Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'garneau'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

7 résultats trouvés

  1. LES COURS GARNEAU NOUVEAU PROJET DE 14 CONDOS AVEC GRAND BALCON OU TERRASSE SUR TOIT PROJET LIVRAISON ÉTÉ 2012 AVEC UNITÉ DE 1 ET 2 CHAMBRES À COUCHER. TOUTES LES UNITÉS ONT UN BALCON OU TERRASSE SUR LE TOIT ET CERTAINES ONT UNE ENTRÉE PRIVÉE. IL Y AURA UNE COUR INTÉRIEUR PAYSAGÉE Adresse 470 GARNEAU MONTRÉAL Quartier À 2 PAS DU METRO LAURIER AU COEUR DU PLATEAU MONT-ROYAL SITUÉE SUR UNE PETITE RUE TRANQUILLE Nombre d'unités 14 Bureau des ventes A VENIR Tél: 514-916-3141 Courriel: AMACDUFF@SYMPATICO.CA http://www.montrealdevelopers.com
  2. Publié le 16 mars 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 De nouvelles règles pour les drones récréatifs Le ministre des Transports Marc Garneau annoncera aujourd'hui de nouvelles règles de sécurité qui interdiront désormais de faire voler les drones récréatifs à plus de 90 mètres d'altitude et à moins de 75 mètres de bâtiments, de véhicules ou de personnes, a appris La Presse. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE (http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201703/15/01-5079190-de-nouvelles-regles-pour-les-drones-recreatifs.php#wcm:article:5079190) Joël-Denis Bellavance (https://cse.google.com/cse?cx=004348325735519040616:xugxk9rp5mm&q=Jo%C3%ABl-Denis+Bellavance) La Presse (Ottawa) La prolifération de drones récréatifs dans le ciel aux quatre coins du pays est devenue une menace pour la sécurité publique. Désirant agir avant qu'une tragédie ne survienne, le ministre des Transports Marc Garneau entend serrer la vis aux propriétaires de ces objets volants. M. Garneau annoncera aujourd'hui à l'aéroport Billy Bishop de Toronto de nouvelles règles de sécurité qui interdiront désormais de faire voler ces drones à plus de 90 mètres d'altitude et à moins de 75 mètres de bâtiments, de véhicules ou de personnes, a appris La Presse. En outre, les utilisateurs ne pourront s'amuser avec ces objets dans un rayon de neuf kilomètres du centre de tout aéroport, héliport, aérodrome ou hydrobase où décollent et atterrissent des aéronefs. Enfin, il sera interdit d'utiliser ces petits appareils durant la nuit. Le ministre Garneau confirmera l'entrée en vigueur immédiate de ces nouvelles mesures avec des représentants de compagnies aériennes et de pilotes, de même que des policiers de la Gendarmerie royale du Canada et du Service de police de Toronto pour illustrer l'importance d'agir dans ce domaine. La Fédération canadienne des municipalités avait aussi réclamé des mesures plus contraignantes. «L'utilisation de ces drones récréatifs est devenue un véritable fléau. N'importe qui peut se procurer un tel drone pour quelque 350 $ chez Walmart. Il faut imposer de nouvelles règles avant qu'une tragédie ne survienne», affirme une source gouvernementale qui a requis l'anonymat. Ces nouvelles règles toucheront les drones récréatifs dont le poids est de 250 grammes mais n'excède pas 35 kilogrammes. Les propriétaires devront aussi inscrire leurs coordonnées sur leur drone et ils devront rester loin des espaces aériens contrôlés ou règlementés, des incendies de forêt et des zones où des premiers intervenants sont à l'oeuvre. Toute personne qui contreviendra à ces règles de sécurité pourrait se voir imposer des amendes pouvant aller jusqu'à 3000 $. Le ministère des Transports encouragera d'ailleurs les gens à composer le 9-1-1 ou à communiquer avec les forces policières locales s'ils voient des propriétaires de drones récréatifs enfreindre ces règles. Le ministre Garneau a décidé d'utiliser les pouvoirs ministériels que lui confère la Loi sur l'aéronautique pour imposer d'urgence ces nouvelles règles, étant donné que les campagnes de sensibilisation au sujet de l'utilisation sécuritaire des drones près des aéroports et des autoroutes n'ont pas donné les résultats escomptés. Ces nouvelles règles s'appliqueront d'ici à ce que les nouvelles dispositions règlementaires soient adoptées - une démarche qui pourrait prendre jusqu'à un an. Incidents préoccupants De plus en plus, le ministère des Transports et les forces policières sont saisis de rapports d'événements impliquant des drones récréatifs. Des pilotes d'avion qui doivent effectuer des manoeuvres à la dernière seconde pour éviter de frapper un drone alors qu'ils s'apprêtent à faire atterrir leur aéronef. Des automobilistes qui doivent donner un coup de volant pour ne pas être heurtés par un de ces objets volants. Des personnes qui se trouvent dans un parc municipal qui sont blessées après que le propriétaire d'un drone récréatif eut perdu le contrôle de son appareil. Encore récemment, le pilote d'un Airbus A330-343 d'Air Canada qui effectuait la liaison Londres-Montréal a signalé au ministère des Transports qu'il avait aperçu un drone blanc «assez gros», en forme de losange, qui volait à une altitude d'environ de 1600 pieds au-dessus du niveau de la mer (487 mètres), dans les environs du collège Saint-Jean-Vianney, à Montréal, selon un relevé du Système de compte rendu quotidien des événements de l'aviation civile (SCRQEAC). Heureusement, aucun accident n'a eu lieu. En 2016, un hélicoptère qui effectuait un vol entre Saint-Hubert et Mirabel a signalé être passé très près d'un drone, à quelques mètres à peine, alors qu'il traversait les axes d'approche des pistes 24 à Montréal. Les nouvelles mesures ne s'appliqueront pas aux individus qui utilisent des drones à des fins commerciales, universitaires ou de recherche étant donné que ces derniers doivent obtenir des permis de Transports Canada et qu'ils sont déjà soumis à des règles contraignantes. «Au Canada, il y a eu plusieurs incidents préoccupants où des drones ont failli percuter des aéronefs. Nous devons tout mettre en oeuvre pour éviter ce genre d'incidents. [...] Aujourd'hui, en présence de la GRC, de l'Airline Pilots Association, du Conseil des aéroports du Canada, de l'Association des pilotes d'Air Canada et du Conseil national des lignes aériennes du Canada, je prends des mesures sur-le-champ pour mettre en place des dispositions coercitives qui vont protéger les Canadiens et amener ceux qui utilisent des drones à des fins récréatives à le faire prudemment», affirme le ministre, selon un texte du discours qu'il doit prononcer ce matin à Toronto.
  3. UN autre pas vers une société ultra-socialiste...qui frôle le communisme! Bientôt je suppose que je vais devoir demander la permission du gouvernement ou d'un syndicat si je peux aller chier dans ma propre maison! Je n'ai pas de problème à ce que le gouv. investisse de l'argent pour éduquer les jeunes, mais commencer avec des interdictions, non merci. Nous ne vivons pas dans une dictature. Notre gouv. prend déjà assez de place comme ça. Pi si un morveux de 18 ans avec sa civic pi sa casquette à l,envers se fait pincer par la police pour un grand excès de vitesse, et bien qu'on lui enlève son permis pour 3-5 ans. Si il perd son permis à 18 ans, il ne pourra pas le récupéré avans l'age de 23 ans. Pourquoi chercher à pénaliser tout les jeunes! Il y a BEAUCOUP de jeunes qui ne font pas les imbéciles en auto. Pourquoi les pénaliser aussi! Pour ce qui est des jeunes à Drummondville qui se sont tués, si ils sont assez caves pour rouler à 140km/h dans une zone de 50km/h, et qu'ils sont saouls en plus et bien ils méritent de mourrir! Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/centre-du-quebec/201105/10/01-4397895-alcool-et-vitesse-au-volant-des-jeunes-un-coroner-reclame-un-couvre-feu.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1 Alcool et vitesse au volant des jeunes: un coroner réclame un couvre-feu Un coroner troublé par les ravages de l'alcool et de la vitesse au volant chez les jeunes recommande l'imposition au Québec d'un couvre-feu nocturne pour les conducteurs âgés de 16 à 24 ans. Cette recommandation du coroner Yvon Garneau prévoit cependant des exceptions pour les conducteurs devant se rendre à leur lieu d'étude ou de travail. Le coroner Garneau a enquêté sur un accident qui a tué quatre jeunes hommes de 17 à 22 ans le 10 octobre dernier, à Drummondville. L'analyse toxicologique a révélé que le taux d'alcoolémie du conducteur, Carl Francoeur-Ouellette, dépassait de près de deux fois la limite légale. De plus, l'enquête policière a démontré que le véhicule circulait à environ 140 km/h dans une zone de 50 km/h. Dans ses recommandations au législateur, Yvon Garneau rappelle que l'Ontario applique déjà une interdiction de conduire à de jeunes conducteurs entre minuit et 5h00, même si les dispositions de cette province touchent une catégorie d'âge plus restreinte. Il signale qu'au Québec, les jeunes de 16 à 24 ans sont responsables d'un excès de vitesse sur deux, qu'ils écopent de 34 pour cent des contraventions pour grande vitesse et qu'ils sont impliqués dans le quart des accidents avec blessés. Le coroner émet d'autres recommandations. En outre, il propose que tous les véhicules neufs vendus au Canada soient munis d'anti-démarreurs éthylométriques. Il suggère aussi que Transports Canada poursuive ses travaux étudiant la pertinence des dispositifs limitant la vitesse. Enfin, il recommande au gouvernement du Québec d'intégrer des cours de sensibilisation routière à la 6e année du primaire et tout au long du secondaire.
  4. J'aime beaucoup ce que Garnotte fait, je vais "poster" celles qui me font sourire. Lisa Raitt, ministre des Ressources naturelles Le Devoir Michel Garneau Édition du mercredi 10 juin 2009 http://www.ledevoir.com/2009/06/10/254223.html
  5. Cash-strapped Quebec Liberal wing warns of closing CAMPBELL CLARK From Thursday's Globe and Mail September 27, 2007 at 5:07 AM EDT OTTAWA — The Liberal Party's Quebec wing has warned Leader Stéphane Dion that it needs a quarter-million-dollar cash injection by Friday or it will have to close its Montreal office and lay off staff. The threat is not a sign of a financial crunch but part of an internecine battle between the party's national headquarters, run by officials close to Mr. Dion, and its Quebec machine over the transfer of funds, according to party officials. The Montreal office will remain open, Liberal officials said, but the dire warning has piled onto a run of troubles for Mr. Dion. It all seems to be centred in Quebec, where grumbling about his leadership has been loudest since last week's poor showing in three by-elections, including the loss of the party's traditional safe seat of Outremont. Mr. Dion yesterday lost potential star candidate Marc Garneau, the former astronaut, who said he was frustrated by the leader's delay in appointing him to run in the safe Liberal seat of Westmount-Ville Marie. And even an MP who leapt to his defence, Raymonde Folco, of the suburban Montreal riding of Laval-Les Iles, appeared to damn him with faint praise and conceded that Mr. Dion was "not getting through" in Quebec. At his age, Ms. Folco told reporters, the leader is not going to be able to change radically, so strong players in the party might have to travel with him in the province. Former Liberal cabinet minister Jean Lapierre said on CTV-Newsnet that the party's Quebec director-general, Serge Marcil, told Mr. Dion "that if [the Liberals] don't deposit a quarter of a million dollars by Friday, they probably will have to close down the office in Montreal and they can't even honour the payroll." When reached by telephone, the president of the party's Quebec wing, Robert Fragasso, said he would call back, but he did not. A spokesman for the Liberal Party in Ottawa, Elizabeth Whiting, said that the party's Montreal office will not close. She said that a request for funds came from Quebec, but did not discuss the details, although she acknowledged that Ottawa and the Quebec Liberals disagree over money. The public departure of Mr. Garneau was another blow to Mr. Dion yesterday. The former head of the Canadian Space Agency had wanted to carry the party's banner in Westmount Ville-Marie, but decided to give up on running for the party because he doubted Mr. Dion would choose him. The Liberal Leader has said he will name a candidate in the riding, but, having been passed over for an appointment in Outremont, Mr. Garneau said he decided he will no longer try to run.
  6. Borough in bloom Concerted efforts of long-time residents and more recent transplants have helped buff away Verdun's dodgier side KRISTIAN GRAVENORFreelance Thursday, September 06, 2007 CREDIT: JOHN MAHONEY, THE GAZETTEVerdun resident Claire Garneau was instrumental in revitalizing the park of Notre Dame de Lourdes Church, an example of the borough's revival.The scraggly, weed-covered lawn of the neighbouring Notre Dame de Lourdes Church at Verdun and Fourth Aves. never impressed resident Claire Garneau. She envisioned a magnificent park and started mobilizing. "I've lived in Verdun for all of my 52 years and felt sad about the state of that land. People were hesitant to do anything to turn it into a park. They said it would just attract drug addicts. All sorts of people were against it," says Garneau. After six years of holding fundraising plays and concerts, hitting up businesses and government, as well as countless blisters resulting from endless volunteer landscaping work, the park has officially opened its doors as an urban oasis amid the oft-maligned avenues of Verdun. "It's amazing to see the changes, and the respect has followed. People are proud of the place," Garneau says. "They sit in the garden, they read books, eat their lunch there and toss out their garbage afterwards. The people who were against the park aren't against it any more." The park is one of countless small initiatives that has combined to transform the southwest riverside borough of Verdun. The area, once synonymous in many minds with welfare and dilapidation, has seen government assistance rates fall to eight per cent, about half the rate of 1994, while property values in many parts have quadrupled since the late 1990s. Although the Verdun butterfly might look like it suddenly busted out from a cocoon, the changes are the result of 15 years of snail-like progress, according to Roger Cadieux. In 1991 the veteran physician traded hats for a job leading economic community development as the head of the Economic Forum of Verdun, which has 240 dues-paying members. "Every year citizens and businesses start little projects, small renovations - we've had about 150 projects a year for 15 years and we supported them and published tributes to them. You can really see the changes have added up," he says. When he set up his medical clinic in Verdun in the 1960s, Cadieux got an eyeful of social problems that plagued the area. "We'd see young pregnant girls having problems raising their children. And for a time the welfare was much too high - people saw it as an old-age pension that they could get early. I saw people with no future or hope." Verdun was full of families of workers at GE and Sherwin-Williams. As the jobs went, they too disappeared. The area lost 10,000 residents in the 1990s, leaving approximately 60,000 today. So the area ditched its industrial image and went green. The sprucing up of Verdun relied heavily on the waterfront, which was jazzed up with trees and bike paths. "I'm lucky enough to live on LaSalle Blvd.; 40 years ago I had no idea I'd be able to put a sailboat in front. The waterfront is Verdun's great natural resource," says Cadieux. But like many Verduners, Cadieux admits that the city hasn't fully shed its bingo, welfare and hot-dog persona. "We did a focus group of about 60 new arrivals and noticed that a lot of their ideas about Verdun are quite negative." The borough is roughly divided into three areas: Nuns' Island, which has a population of 16,000; the wealthier area west of the avenues; and then downtown, or east Verdun, which has the highest level of poverty in the area. Another veteran of Verdun's slow march forward is Verdun's development commissioner, Alain Laroche, who was lured away from a journalism career in St. Laurent in the early 1990s. Laroche offers frequent bus tours to new residents, where he points out how a modest cottage in Crawford Park sold for $300,000. But he glosses over the ongoing challenge of Verdun's empty storefronts, a blight partially tackled by zoning that requires almost all empty stores to revert to residential except for on Wellington and de L'Église. Laroche also credits an influx of Plateau yuppies for the turnaround. "Developers started advertising on the Plateau, pointing out that people can buy an 850-square-foot condo here for about $160,000. It's as cheap to own here as it is to rent on the Plateau. Once they started coming, it really snowballed." But the fast-paced gentrification is a challenge to Verdun's traditional social mix, which includes a working-class population. "We try to buy property to build cooperatives to find a place for them, but developers are always snapping them up first," Laroche says. Much has changed, but Laroche is visualizing far more. Some of the next stages of evolution he visualizes include having the four top floors of the city parking lot turned into boutiques, hotels and restaurants. The Verdun auditorium - which costs the administration nearly a million dollars a year to operate - could also be made into a conference centre, and there could also one day be a bridge along Galt to Nuns' Island.
×
×
  • Créer...