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  1. Avantage Montréal et le Québec Le faible coût de la vie et des services publics compense amplement les impôts plus lourds 4 février 2015 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Photo: Maridav / iStock Le coût de la vie est généralement beaucoup plus bas au Québec qu’en Ontario, en Alberta ou aux États-Unis, même lorsqu’on tient compte de sa fiscalité plus lourde, conclut une étude. Caractérisée notamment par des services publics à bas coût et une fiscalité plus lourde mais progressive, Montréal s’avère nettement plus abordable que Toronto pour les 19 types de ménages analysés, constatent deux économistes de l’UQAM dans une étude d’une trentaine de pages réalisé pour le compte de la CSN. La métropole québécoise fait mieux également que Calgary, à l’exception des familles à revenu plus élevé qui n’ont pas d’enfant à la garderie ou à l’université. Il en coûte aussi nettement moins cher de vivre dans la ville américaine de Philadelphie pour les ménages plus riches, en raison de la fiscalité, mais aussi en raison de l’éclatement de la bulle immobilière aux États-Unis. Combinant le fardeau fiscal au coût d’un panier de biens et services, l’étude montre qu’un couple avec un seul enfant inscrit à l’université et un revenu annuel de 60 000 $ fait face, dans la région montréalaise, à un coût de la vie global de 55 700 $ par année, soit 4300 $ de moins que dans la région de Calgary, 9400 $ de moins que dans celle de Toronto et 12 000 $ de moins qu’à Philadelphie. L’avantage montréalais se révèle nettement plus marqué pour un couple avec un enfant inscrit à la garderie (CPE) qui gagne seulement 35 000 $ par année, à raison d’un coût de la vie de 33 800 $, soit 12 800 $ de moins qu’à Calgary, 16 000 $ de moins qu’à Toronto et 16 800 $ de moins qu’à Philadelphie. Le Québec se démarque moins à l’autre bout du spectre des tranches de revenus analysées, puisqu’un couple ayant deux enfants dont un inscrit à l’université et gagnant 160 000$ par année fait face à des coûts globaux de 166 500 $ dans la métropole québécoise, soit 3600 $ de plus qu’à Calgary, 24 700 $ de plus qu’à Philadelphie, mais encore et toujours 28 300 $ de moins que dans la région de Toronto. Logements, garderies, universités… Pour cette étude, les professeurs Jean-Denis Garon et Dalibor Stevanovic, du Département de sciences économiques de l’UQAM, se sont basés sur des chiffres produits par Runzheimer International, une firme de consultants habituée de comparer le coût de la vie dans les villes américaines pour aider les entreprises à fixer leur rémunération. Le panier de biens et services a été établi en fonction des habitudes de chaque type de ménage. Il comprend les coûts de logement — comme locataire pour les ménages au revenu égal ou inférieur à 60 000 $, ou comme propriétaire pour les autres — de transport et de consommation courante (alimentation, vêtements, ameublement, loisirs) ainsi que les frais de santé, de scolarité et de garderie. La charge fiscale comprend l’impôt sur le revenu, les taxes à la consommation et les taxes foncières. On estime ainsi que, pour se loger, il en coûte en moyenne 18 900 $ par année à un couple ayant un enfant et un revenu annuel de 88 000 $ dans la proche banlieue de Montréal, soit 5500 $ de moins que dans des quartiers équivalents à Calgary, 10 000 $ de moins qu’en banlieue de Toronto, mais 4700 $ de plus que dans celle de Philadelphie. Le même couple devra débourser 1540 $ à Montréal pour voir son enfant à la garderie et 2371 $ à l’université, soit beaucoup moins qu’à Calgary (+7800 $ et +3400 $), Toronto (+9000 $ et +3400 $) et Philadelphie (+10 700 $ et +9700 $). « Nous utilisons ces paniers de biens et services comme outils de comparaison, a expliqué mardi au Devoir Jean-Denis Garon. Dans certains cas, comme les frais de garderie ailleurs qu’au Québec ou l’assurance santé pour les moins nantis aux États-Unis, on sait bien que leurs coûts deviennent proportionnellement tellement prohibitifs que les gens doivent y renoncer. » Impôts plus élevés Les écarts sont si grands en matière de coûts de santé, entre le Canada et les États-Unis, et en matière de frais de garderie, entre le Québec et le reste de l’Amérique du Nord, observent les auteurs de l’étude, que la récente réforme de la santé adoptée sous l’égide du président américain Barack Obama et l’augmentation des tarifs de garderie par le gouvernement québécois de Philippe Couillard ne risquent pas de réduire vraiment l’avantage québécois. « Il faut noter aussi que nous ne tenons pas compte, dans notre comparaison, de la qualité des services offerts », ajoute Dalibor Stevanovic. La fiscalité plus lourde au Québec permet aux autres de le rattraper en matière de coût de la vie, mais pas complètement. Généralement plus progressive qu’ailleurs, la charge fiscale totale pour un couple ayant un seul enfant à la garderie et un revenu annuel de 35 000 $ s’élève à 4400 $ au Québec, soit 2800 $ de plus qu’en Alberta, 1300 $ de plus qu’en Ontario et 1500 $ de plus qu’en Pennsylvanie. L’écart se creuse au sommet de l’échelle des revenus, car un couple ayant deux enfants dont un à la garderie et gagnant 160 000 $ par année doit retourner aux gouvernements 76 100 $ à Montréal, soit un peu plus qu’à Toronto (-4000 $) et bien plus qu’à Calgary (-18 700 $) et Philadelphie (-26 800 $). Loin de l’enfer Ce portrait de la situation n’est pas tellement différent d’un autre que la CSN avait elle-même réalisé il y a une dizaine d’années, a d’abord remarqué mardi, en entretien avec Le Devoir, le trésorier de la centrale syndicale québécoise, Pierre Patry. Il arrive aussi à point nommé, ajouté le syndicaliste, qui venait de passer la journée en commission parlementaire, où on étudiait une fournée d’augmentations de tarifs et de réformes de l’État québécois proposées par le gouvernement Couillard. « Cette étude nous alerte sur l’importance de ne pas régresser. Dans le contexte actuel, où le gouvernement du Québec passe au peigne fin l’ensemble des programmes gouvernementaux et la fiscalité, nous pensons qu’il faut avancer avec prudence et surtout se poser la vraie question : quelle sorte de fiscalité voulons-nous pour financer quelle sorte de politiques publiques ? Si tout est toujours perfectible, il faut quand même constater que le Québec est loin d’être l’enfer que certains disent. » Voir aussi le tableau au lien http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/430818/avantage-montreal-et-le-quebec
  2. Bonjour a tous, Je n'ai pas vu de thread pour ce projet alors je me permet d'en créer un. Le projet en lui-même n'est pas exceptionnel: une garderie, a l'angle de Jean Brillant et Gatineau, a Cotes des Neiges. Toutefois, c'est le procédé de construction qui est visiblement assez particulier, et j'ai pense que vous pourriez être intéressé. Ce sont des blocks de polystyrène, assembles l'un sur l'autre comme des legos. Le béton est ensuite coulé a l'intérieur. Il parait que c'est l'une des rares construction faites ainsi sur l'ile en ce moment. Je vous mets des photos que j'ai pris cette semaine.
  3. Une dépense de 1,5 milliard Après avoir clamé «un enfant, une place» en campagne électorale, le PQ de Pauline Marois a réitéré hier que tous les parents du Québec devraient disposer d'une place en garderie pour leurs enfants. Après avoir réclamé des compressions budgétaires mardi, l'opposition péquiste a ainsi demandé une augmentation des dépenses pouvant atteindre 1,5 milliard, selon une estimation sommaire faite par le ministère de la Famille et de l'enfance, à la demande du Journal. Reprenant là où il avait laissé en décembre, le député de Gouin, Nicolas Girard, a déploré l'apparent favoritisme du ministre de la Famille, Tony Tomassi, dans l'attribution des places en services de garde, avant de présenter une motion qui consacrerait le «paradis des familles» qu'est devenu le Québec. Cette motion se lit ainsi : «Que l'Assemblée nationale suggère à la Commission des relations avec les citoyens de se saisir rapidement de la pétition signée par plus de 17 800 personnes et déposée en cette Chambre le 17 novembre 2009 réclamant que le gouvernement libéral complète le réseau des services de garde afin que chaque parent qui le désire ait accès à une place à 7 $ pour son enfant.» Le député Girard a évidemment été chaudement applaudi par ses collègues. Campagne électorale Durant la dernière campagne électorale, la chef péquiste, Pauline Marois, avait fait de son slogan «Un enfant, une place» la pièce maîtresse de sa politique familiale. Elle avait proposé une première tranche de 38 000 places en garderie, nécessitant des dépenses additionnelles de 500 millions. Toutefois, proposer une place pour chaque enfant salerait davantage la facture. Selon les statistiques du ministère, il y a actuellement 206 000 places en garderie, dont les coûts totalisent 1,8 milliard. Comme il y a 375 000 enfants de zéro à quatre ans, il faudrait ajouter 169 000 places pour qu'ils en aient chacun une. La facture annuelle passerait à 3,3 milliards. Le PQ ne s'est pas préoccupé de cette addition hier, concentrant ses attaques sur Tony Tomassi, toujours accusé d'ingérence politique dans l'attribution des permis de services de garde. Pour l'essentiel, le député Girard continue de prétendre que le ministre est intervenu pour que «des administrateurs ou des donateurs à la caisse du Parti libéral obtiennent des places dans les services de garde, malgré une évaluation négative» de leurs projets. Le ministre Tomassi continue de se défendre en soutenant que le PQ nage dans la fiction. «Notre seule et unique préoccupation, c'est que le Québec soit le paradis des familles», a-t-il répété. -------- On peut bien avoir une dette astronomique, on gratte les fonds de tirroir pour trouver 5milliards pour ne serait-ce qu'effacer le déficit, que le PQ va proposer d'autre dépenses en plus
  4. http://pierresimard.blogspot.com/2009/12/la-grande-garderie.html Je ne pourrais pas être plus d'accord... Récemment, le gouvernement a avancer l’idée d’augmenter l’âge pour l’obtention des permis de conduire, d'interdire au jeune le droit de conduire la nuit, ou de conduire avec plus d’un passager. Je regarde ça et je me dis que les jeunes du future n’auront jamais la chance de vieillir ou de développer un sens des responsabilités. Un jour, on va passer nos vies enrobé dans du « bubble wrap » si ça continue à ce rythme.
  5. Une garderie personnalisée... à 60$ Corinne Amar, directrice de la garderie Kids&Company, qui vient tout juste d'ouvrir dans le centre-ville de Montréal, avec la petite Élise. (Photo André Pichette, La Presse) Annie Mathieu La Presse Il neige à plein ciel, l'école est fermée et la gardienne n'est pas disponible. Votre journée au bureau est planifiée à la seconde près. Que faire avec les enfants? L'entreprise torontoise Kids&Company, qui a ouvert une première garderie hier au centre-ville de Montréal, a été créée pour répondre aux urgences des travailleurs en panne de solution. Mais ils devront en payer le prix. Pour 50$ à 60$ par jour, ce service de garde «personnalisé» permet de passer un coup de fil et reconduire sa progéniture à la garderie située à deux pas du bureau. Un créneau profitable La garderie «d'urgence» ou régulière est offerte aux employés d'entreprises qui doivent payer une cotisation annuelle de 5000$. Plus d'une centaine d'entre elles ont déjà signé avec Kids&Company. L'entreprise membre peut décider de subventionner complètement ou partiellement le service à son personnel. Par exemple, la RBC offre à ses employés deux jours de garde par année chez Kids&Company. La nouvelle garderie fait envie à de nombreux travailleurs et entreprises de la métropole. La demande est si forte que la présidente de Kids&Company, Victoria Sopik, confie vouloir ouvrir trois autres succursales à Montréal. Une garderie privée dans un immeuble à bureaux À l'entrée du 1100, boulevard René-Lévesque Ouest, impossible de deviner que derrière les portes stylisées de Kids&Company, grouille une ribambelle d'enfants dans un local aménagé en conséquence. Legos, téléviseur, tables à dessin; tout y est. Un couple de jeunes travailleurs rencontrés sur place admet trouver les tarifs «très élevés». Ils n'ont pas trouvé de place pour leur enfant de 12 mois dans un CPE à 7$. «On va travailler fort», dit la maman. Des représentants d'entreprises sont aussi venus s'informer des services offerts. «Nous utilisons déjà ce service avec le bureau de Toronto. On est très content», dit Janet Depuis, de la compagnie Autodesk. En juin, Kids&Company, qui compte 23 succursales au Canada, s'est classée au premier rang des entreprises du pays ayant enregistré la plus forte croissance. «Nous répondons à un besoin», explique Mme Sopik. «La location des locaux est très chère», ajoute-t-elle pour expliquer les frais de garde élevés. Réactions mitigées Selon Simon Prévost, l'initiative répond à un besoin urgent. «Le sous-financement des garderies privées fait que le système n'est pas assez flexible pour les parents, dit le vice-président pour le Québec de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI). À plus long terme, il faudra penser à d'autres solutions.» La porte-parole de l'Association québécoise des centres de la petite enfance, Violaine Ouellet, réplique «qu'il faut toujours s'inquiéter de voir une grosse entreprise commerciale investir le milieu de l'éducation à la petite enfance». http://www.cyberpresse.ca/article/20080723/CPACTUALITES/807230588
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