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24 résultats trouvés

  1. monctezuma

    L7 - 3 étages

    Nouveau projet près du marché Atwater. L7CONDO Prévente L7CONDO sous peu, remplissez le formulaire contact pour être tenu informé du lancement du projet. Pour toutes questions, contactez nous: 514.808.0590 http://www.chapam.ca/
  2. http://www.lemaxence.ca/ L’art de vivre, conjugué avec chic À Saint-Lambert, aux abords du fleuve et à quelques minutes de la métropole, se dresse Le Maxence ; un complexe résidentiel de 44 unités de prestige, offrant un panorama imprenable sur l’eau, les lumières de la ville et les Cantons de l’Est. Le Maxence, c'est un environnement haut de gamme, au style épuré et contemporain, où somptuosité se marie avec noblesse. D’une qualité de construction exceptionnelle, Le Maxence se transforme en art de vivre où chic s'accorde avec distinction. Livraison automne 2014
  3. http://www.spimmobilier.com/avenir.html LES TERRASSES OTWAY Réalisées par SP Immobilier, concepteur du projet Les terrasses Cherrier et Les terrasses Chambord dont le développement est synonyme de bon goût, d’'originalité et de qualité. Les terrasses Otway sauront vous séduire par son style moderne et ses matériaux haut de gamme. Situés en plein coeur du Mile End à deux pas de la rue Bernard et la rue Laurier ces condos de prestige vous offriront les attraits et le charme de Montréal.
  4. Nom du projet : Eau Vie Description : Projet de condos haut de gamme de 10 étages à Laval-des-Rapides, sur le bord de la rivière des Prairies. Immeuble avec salle d'exercice, sauna, jacuzzi, quais privés, piscine intérieure et plus. Site : http://www.condoeauvie.com/ Images : http://www.condoeauvie.com/gx/_carousel/01_g.jpg http://www.condoeauvie.com/gx/_carousel/01_g_grande.jpg
  5. Le projet Otto Condos propose 8 unités de 1 à 3 chambres, de 610 à 1370 pieds carrés, dans le vibrant quartier de Rosemont, à Montréal. Situé à proximité de nombreux services (écoles, centres commerciaux, clinique), de parcs et à quelques pas des transports en commun, dont la station de métro Saint-Michel, le projet se démarque par son architecture mêlant l’ancien au moderne et par ses condos conçus pour respecter les attentes les plus variées. Du coquet 3 1/2 au très spacieux 5 1/2, le projet vous offre aussi des places de stationnement généreuses. Inclus : Architecture unique Stationnement extérieur Finitions haut de gamme Insonorisation supérieure Balcons Plus d'information à la page: ottocondo.com
  6. Montréal du futur 2014 Du 22 au 28 avril 2014 Soirée d'ouverture officielle le mardi 22 avril Grande place du Complexe Desjardins Une exposition incontournable de maquettes et plans des projets immobiliers majeurs (résidentiels, commerciaux, institutionnels, d'infrastructures et de transports) qui moduleront le profil de Montréal d'ici 20 ans ! Un événement haut de gamme avec des retombées médiatiques importantes. Pour devenir exposant et/ou commanditaire, contactez l'organisateur de l'événement : Robert J. Vézina RJV Communications 514 875-1353 poste 205 - rjv@rjvcom.com
  7. Voilà un nouveau projet sur Beaubien au coin de la Roche. La Belle Province sera démolie prochainement pour faire place à de nouveaux condos. Super emplacement je trouve, un peu bruyant, mais près de tout. http://www.chapam.ca/133-projets/ROCHE_condominiums.html
  8. 136 condominiums haut de gamme • Penthouses dans une classe à part • Maisons de ville intimes tout confort • Condos de grand luxe sans stress Grands espaces lumineux de conception raffinée et intelligente. • Bâtiment signature de distinction. • Au cœur d'une érablière, à proximité du domaine Fontainebleau. • Tous les services que vous aimez, à deux pas. http://lemonroe.ca/
  9. Petit projet en hauteur (un total de 6 étages si je ne me trompe pas) et en nombre d'unité (5 seulement) mais grand en prix et de par sa localisation dans un immeuble prestigieux. Grand aussi par la dimension des unités. Avec son voisin le 333, ce tronçon de rue aura un coté assez haute gamme. Intéressant. http://www.jutrascourtage.com/16-projet-condominium/APPARTEMENT_CLUB_ST_DENIS.html?projetavenir=1
  10. C'est assez banale comme question, mais je vais dire que ça fait longtemps que je me la pose! Pourquoi qu'il n'y a pas de marque automobile Québécoise? Je sais ce n'est pas une question d'urbanisme, même, qui n'a pas vraiment rapport avec Montréal directement, mais je crois que la tribune est bonne et que plusieurs membres auront de bonnes idées pour remplir cette conversation. Oui je sais il y a HTT Supercar de St-Eustache qui font la Pléthore mais à 500 000$ c'est loin d'être l'auto du peuple! Pourtant nous avons plusieurs compagnies qui pourraient s'y attaquer. BRP est un des choix assez facile, ils font déjà leur Can-Am Spyder et aurait le support moral de la population. C'est quoi la différence entre 3 et 4 roues après tout. Dans la même catégorie il y a Campagna qui font la T-rex, ils ont lancé la V13R qui commence sérieusement à ressembler à un véhicule traditionnel. Ils pourraient faire une gamme de modèles dans le genre Scion, jeune et sportive. Nova Bus est un autre choix évident, il font déjà des véhicules à 4 roues (et plus) et depuis que Volvo, maison mère de Nova ne fait plus d'automobile (Volvo Cars appartient à la chinoise Geely) Pourquoi pas Bombardier, ils s'y connaissent en transport après tout, ferroviaire et aéronautique mais franchement, il peuvent bien faire une gamme d'automobiles, ont les poches profondes et savent déjà comment "dealer" avec des employés en grève. Nous avons eu quelques essais comme ZennCars mais le véhicule n'a jamais eu les permissions de rouler sur les routes du Québec. Il était possible d'aller plus rapidement en Vespa! Au début des années 70 il y a eu la Manic mais c'était une Peugeot à 70%. Aujourd’hui, il y a quelques compagnies qui font des automobiles de façon artistique. Pour ce qui des véhicules électriques, nous avons l'expertise d'Hydro Québec et de TM4 qui ont prouvés dans le passé qu'ils avaient les idées pour faire avancer des auto dans les rues du Québec? TM4 vend déjà ces moteurs à Tata Motors et à BRP En conclusion, ont prend une compagnie déjà établie et qui fait déjà tourner des roues sur le bitume, avec des poches semi-profondes, l'expertise de la main d'oeuvre déjà existante (anciens employés GM et beaucoup en Ontario qui s'y connaissent) Beaucoup d'espaces libre pour construire une belle grande usine avec chaînes de montage. Nous faisons appel à l'équipementier Canadien Magna, déjà fournisseur de plusieurs des grands constructeurs (et qui ont presque acheté Opel en 2009), nous utilisons de l'aluminium d'Alcan et nous avons déjà tout ce qu'il faut. De plus, avec la valeur du dollar canadien les prix seraient à notre avantage. je ne vois vraiment pas pourquoi ça ne se ferait pas. Il est possible avec tout ce bagage de faire une gamme de 3-4 véhicules (-20 000$, 20-28 000$, 28-40 000$, 40 000$+) et de 1 ou 2 camions et une sportive fait Québec. Et vous, vous en pensez quoi?
  11. Emplacement stratégique rue Du Fort, au Centre-Ville de Montréal. Découvrez les 14 unités de condo au lignes épurées dans ce bâtiment neuf derrière cette façade historique. Un peu de shopping sur Ste-Catherine, les musées, cinémas, boutiques ne sont qu’à quelques pas. Vivez pleinement le "VIBE" de Montréal dans des espaces contemporains de 1 et 2 chambres, penthouse sur deux étages, avec terrasses privées et vue sur le Centre-Ville. De plus vous pourrez personnaliser votre unité avec des finitions haut de gamme, un look signé Daniel Corbin de D-COR Design. Robinetterie murale, douche pluie, comptoir de quartz, dosseret en mosaique de céramique et bien plus. La superficie de ces habitations au style loft varie entre 630 et 1055 pc. À partir de 235 000$ + taxes. http://www.vibecondominiums.com/fr/accueil/ Vendu a 21%
  12. Le V1 Gordon Versatile. Avant-gardiste… Voici le V1 Gordon! Une construction de qualité supérieure, une structure en béton. Quatre lumineux étages pour 32 unités qui ont du style. Ascenseur et garage, balcon pour chacun, terrasse sur le toit et jardin à l'arrière. Condominiums 3 1/2, 4 1/2, 5 1/2. Finition haut de gamme et choix de finis personnalisés. Lobby attrayant. Gicleurs et système d'alarme-incendie. Haussez la barre à la hauteur de vos aspirations et bénéficiez du meilleur qualité-prix sur le marché. À voir absolument! http://v1gordon.com/
  13. Le fabriant de boissons gazeuses est poursuivi par un Américain pour publicité mensongère au sujet de sa gamme VitaminWater. Pour en lire plus...
  14. Plombé par une gamme inadaptée, menacé d'une crise de trésorerie, le plus petit des trois constructeurs automobiles américains doit trouver un acheteur. Pour en lire plus...
  15. Les Américains ont déserté les grands magasins 6 novembre 2008 - 13h25 Agence France-Presse Les chaînes d'habillement de moyenne gamme, comme Gap et Abercrombie & Fitch, souffrent également, avec des ventes, à nombre de magasins comparables, en chute de 16% et de 20% respectivement. Les groupes de distribution ont annoncé jeudi un effondrement de leurs ventes en octobre aux États-Unis, attestant que la crise frappe maintenant les Américains au portefeuille, mais le spécialiste des prix bas, Wal-Mart, fait toujours preuve d'une bonne résistance. Alors qu'il tablait sur une stabilité des ventes, le Conseil international des centres commerciaux (ICSC) a estimé que l'activité des chaînes de magasins avait plongé de 0,9% en octobre, après une croissance de 1,7% en septembre. Maintenant qu'ils n'ont plus l'aide des chèques de remises d'impôts distribués au printemps par le gouvernement, «les consommateurs n'ont tout simplement plus l'argent pour dépenser de manière poussée», résume Andrew Gledhill, analyste du cabinet d'études économiques Moody's economy.com. Si la rechute des prix de l'essence a été un soulagement pour les finances des Américains, le risque d'une récession économique prolongée les dissuade de pousser les portes des grands centres. «L'environnement de la vente au détail en octobre a été tout simplement affreux, avec un degré élevé d'incertitude sur les marchés financiers. Les consommateurs ont repoussé toute dépense non nécessaire, ce qui a abouti à des ventes extrêmement faibles en octobre», commente Michael Niemira, chef économiste de l'ICSC. Les familles coupent clairement dans leurs budgets vêtements et accessoires, frappant en premier lieu les grands magasins. À surfaces de ventes comparables, les ventes de Macy's ont fondu de 6,3% sur le mois d'octobre et celles de JCPenney de 13%. Le recul est encore plus flagrant pour la chaîne haut de gamme Saks, qui a connu une contraction de 16,6% de ses ventes. Les chaînes d'habillement de moyenne gamme, comme Gap et Abercrombie & Fitch, souffrent également, avec des ventes, à nombre de magasins comparables, en chute de 16% et de 20% respectivement. Cela laisse augurer de nouveaux chiffres médiocres pour les dépenses de consommation des ménages aux États-Unis, après un recul de 0,3% en septembre. D'autant plus que la confiance des consommateurs s'est effondrée à un niveau jamais vu. Mais surtout, la période phare des fêtes de fin d'année, dont la réussite donne le ton de l'ensemble de l'exercice pour les distributeurs, s'approche sous de mauvais auspices. «La saison des fêtes s'annonce faible, ce qui pourrait mettre une pression supplémentaire non seulement sur les détaillants haut de gamme, mais aussi sur certains fabricants et fournisseurs», prévient Frederic Dickson, analyste de DA Davidson. L'ICSC table pour l'instant sur une croissance très faible, de 1%, en novembre et décembre. «Le seul point positif c'est Wal-Mart, mais cela indique seulement qu'un consommateur à sec se tourne, pour l'ensemble de ses besoins, vers le magasin qui fait des remises», souligne Jon Ogg, analyste du site d'informations financières 247wallst.com. Pour les chaînes spécialisées dans les prix bas, les difficultés d'une grande partie de la population sont l'occasion d'attirer de nouveaux clients. Ainsi, le géant de l'hypermarché, Wal-Mart, dont les ventes ont progressé à contre-courant du reste du secteur, a annoncé de nouvelles réductions de prix à l'approche de Noël. Mais le tableau reste tout de même en demi-teinte, avec une hausse restreinte de son activité de 2,4%, à magasins comparables et hors essence, en octobre, exactement comme en septembre. Ses concurrents Target et Costco, également présent sur le créneau des produits discount, ont de leur côté tout juste réussi à limiter le repli de leurs ventes à -4,8% et à -1%. Un tel niveau de vente est «très décevant» et cela devrait «continuer pendant la saison des fêtes et au-delà», ne se fait guère d'illusions le PDG de Target, Gregg Steinhafel.
  16. Le Trésor américain a annoncé qu'il était en train de «mettre sur pied un programme d'achat d'actions dans une large gamme d'institutions financières». Pour en lire plus...
  17. Alors que la restauration voit sa clientèle bouder, essence et crise financière obligent, Sobeys-IGA lance à partir du Québec une gamme de plats frais, «de qualité de restaurant», partout au Canada. Pour en lire plus...
  18. Le faste fait au Québec 26 septembre 2008 - 06h00 La Presse Collaboration spéciale Clément Sabourin La France a ses tailleurs Chanel, l'Italie ses sacs Gucci, le Royaume-Uni ses chemisiers Burberry et les États-Unis ses bijoux Tiffany mais le Québec a-t-il des produits de luxe dignes de ce nom? «Il n'y a plus de luxe au Québec!» lance Francine Séguin. Professeure de stratégie à HEC Montréal, elle a longuement étudié l'industrie du luxe, au Québec et dans le monde. Selon elle, le Québec ne possède plus d'industrie de luxe. Tout au plus des griffes haut de gamme. Au fil des ans, la fourrure, la joaillerie et la haute couture, les traditionnels porte-étendards du luxe québécois, ont disparu. La pression de l'opinion publique a eu raison des manteaux et des chapkas en fourrure, confectionnés à partir des peaux de castor et de renard. Birks, le fleuron de la joaillerie fondé en 1879 à Montréal, a été fusionné à l'américain Mayors en 2005. Et, dit Mme Séguin, la province ne dispose plus de grands couturiers dont les créations sont reconnues et distribuées dans le monde entier, tels Léo Chevalier et Michel Robichaud, qui habilla entre autres Elizabeth Taylor. «Ce qui reste, ce sont des designers de mode. Ils sont excellents, mais ils font très peu de sur-mesure et plutôt des productions à petite ou moyenne échelles. Ce n'est pas de la haute couture», dit la spécialiste du luxe. Selon elle, seul le travail de la styliste Marie Saint-Pierre se rapproche du "vrai" luxe. Avec plus de 20 ans de carrière, la Québécoise bénéficie d'une certaine notoriété internationale. Ses créations sont confectionnées dans l'île de Montréal, par 25 employés qui travaillent de manière artisanale. Le prix d'une robe de jour varie entre 600$ et 800$, celui d'une robe de soir entre 800$ et 2000$. Toutes sont produites en quantité très limitée. Parfois, ce sont même des oeuvres uniques. «On s'adresse à une clientèle pointue on ne fait pas juste des images», dit Mme Saint-Pierre, faisant référence aux énormes campagnes de pub menées par des marques comme Dolce et Gabbana ou Gucci. À force de devenir populaires et de produire des vêtements en quantités industrielles, souvent dans des pays émergents, ces anciens fleurons du luxe ont perdu de leur prestige. Car la rareté est l'un des principaux éléments qui déterminent si un produit est à classer dans le haut de gamme ou dans le luxe. C'est notamment pour cette raison qu'on ne peut pas considérer les porte-monnaie et sacs de la marque m0851 comme des produits de luxe: ces maroquineries ne sont pas des pièces limitées. Vendue dans les quartiers chic de New York, Paris, Anvers et Taiwan, cette marque montréalaise est en constante croissance, mais n'est "pas assez chère" pour être considérée comme du luxe, dit son fondateur Frédéric Mamarbachi. Même chose pour la marque québécoise Harricana. Le prix de vente de ces produits (3000$ pour un manteau) fait dire à Mme Séguin qu'il s'agit davantage de haut de gamme que de luxe, «bien qu'il s'agisse d'un concept brillant». La designer Mariouche Gagnée a imaginé toute une série de tuques, bottes et manteaux faits à partir du recyclage de fourrures et de tissus de griffes de luxe. «Ce sont presque toujours des pièces uniques», dit Mme Gagné. Pour la styliste Marie Saint-Pierre, le Québec aurait donc une place à prendre dans le luxe en fabriquant "des produits plus marginaux, plus difficiles à trouver", qui refléteraient le travail de créateurs dont l'inspiration se situe à la rencontre de l'Amérique du Nord et de l'Europe. Montréal se doit d'emprunter une telle voie s'il veut rester dans le club des métropoles internationales de premier ordre, ajoute-t-elle, car "l'économie s'en va vers là".
  19. Un déficit... de riches Québécois 26 septembre 2008 - 07h26 La Presse Collaboration spéciale Annie Mathieu Au Québec, le marché pour le très haut de gamme demeure restreint, selon l'auteur du livre Consommation et luxe, Benoît Duguay. La raison est simple: «Il y a peu de Québécois très riches.» M. Duguay estime que l'échec du centre commercial Les Ailes de la mode démontre bien que les Québécois n'ont pas les moyens des Parisiens ou des New-yorkais. En revanche, le DIX30 à Brossard évoque le succès d'un luxe "à la portée de tous" où l'exclusif côtoie le populaire et permet à la population de satisfaire ses envies de luxe. "Le luxe s'est démocratisé", estime la directrice régionale des relations publiques de Holt Renfrew, Jozée Desrosiers. Comme tout le monde veut son petit bout de luxe, les gens sont prêts à acheter moins, mais de meilleure qualité. Et l'image que l'on souhaite projeter joue de plus en plus sur la consommation des produits hauts de gamme, selon Benoît Duguay. «Si je pense qu'une montre en or, c'est important pour mon image, le prix ne comptera plus», illustre celui qui est également professeur à l'école des sciences de la gestion de l'UQAM. Clientèle hétéroclite Ce peut être un étudiant qui économise ou encore une avocate qui a les moyens. À Montréal, les magasins Ogilvy et Holt Renfrew ont désormais du mal à profiler leur clientèle tant celle-ci est hétéroclite. «Des touristes, des femmes qui ont de l'argent ou des jeunes aisées. Le bassin est très diversifié», dit le directeur général d'Ogilvy, Maurice Moyal. Chez Holt Renfrew, on indique qu'il n'existe pas de profil type des consommateurs de sac à main Gucci et autre jeans Dolce & Gabanna. «Cela n'a rien à voir ni avec le sexe, ni avec l'âge», dit la directrice régionale des relations publiques chez Holt Renfrew, Jozée Desrosiers. Urbains, les acheteurs de produits de luxe sont friands d'art, de design et d'architecture. «Ils ont un intérêt commun pour les belles choses, ils voyagent beaucoup et sont très articulés», ajoute-t-elle. «Il y a davantage de gens issus de la classe moyenne qui achètent. Une pièce à la fois, ils réussissent à se construire des décors luxueux», dit Claude Alain, directeur d'Interversion, un magasin de meubles québécois haut de gamme. "Avant, c'était plus élitiste. Mais la catégorie d'âge a toujours variée entre 30 et 70 ans", ajoute-t-il. Bref, les consommateurs québécois de produits de luxe partagent des intérêts communs, mais se ressemblent très peu.
  20. Au Québec, le marché pour le très haut de gamme demeure restreint, selon l'auteur du livre Consommation et luxe, Benoît Duguay. La raison est simple: "Il y a peu de Québécois très riches." Pour en lire plus...
  21. mtlurb

    Un

    Le quadrilatère du centre-ville de Montréal ceinturé par la Maison Ogilvy et Holt Renfrew est en train de se transformer en "carré de la mode" haut de gamme, conçu par l'expert immobilier David B. Jubb. Pour en lire plus...
  22. La firme ontarienne Carpe Diem Growth Capital se dit ravie de cette opportunité qui lui permet d’élargir sa gamme de produits en tant que fournisseur-clé d’articles de sports ayant trait au hockey. Pour en lire plus...
  23. Stimulée par l'acquisition des vélos haut de gamme Cannondale et les vêtements Sugoi, la compagnie dégage des profits de 31,3 M$ US au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  24. Mega Brands s'en remet au magnétisme pour attirer de nouveau les investisseurs. En lançant cet été sa gamme de jouets de construction aimantés Magnext, Mega Brands veut faire oublier sa gamme précédente Magnetix. Pour en lire plus...
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