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  1. Publié le 13 juin 2009 à 05h00 | Mis à jour à 07h07 Projets en PPP:Gagnon-Tremblay songe à faire marche arrière Ariane Lacoursière La Presse La présidente du Conseil du Trésor, Monique Gagnon-Tremblay, reconnaît que les avantages liés aux partenariats public-privé (PPP) ne sont pas les mêmes en temps de crise économique. Pour cette raison, elle ne «ferme pas la porte» à l'idée de revenir au mode de construction traditionnel dans quelques grands projets, comme l'échangeur Turcot et le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). «Je suis consciente qu'il y a des avantages aux PPP mais, dans notre contexte économique, si les avantages liés au PPP ne sont pas au rendez-vous, le gouvernement devra prendre les décisions appropriées», a déclaré la ministre. Mme Gagnon-Tremblay n'est «pas insensible» à ce qu'elle a entendu cette semaine. Au cours des derniers jours, l'Ordre des architectes, l'Ordre des ingénieurs, la Corporation des entrepreneurs généraux et l'Association des économistes du Québec ont tous clamé que bâtir un hôpital universitaire et des installations d'envergure comme l'échangeur Turcot en mode PPP n'est pas souhaitable. La coalition «CHU sans PPP» a même vu le jour cette semaine. Sans entrer dans les détails, Mme Gagnon-Tremblay a affirmé que, pour l'instant, le processus suit son cours: «On n'est pas en train d'évaluer un moment pour changer de cap. Mais plusieurs intervenants sont dans le dossier et pourront dire à un moment s'il faut faire marche arrière», a-t-elle dit. Selon nos sources, plusieurs personnes influentes à Québec souhaitent que le gouvernement abandonne les PPP. Un représentant de l'Agence des PPP a d'ailleurs dit cette semaine qu'il se sentait «?bien seul?» dans le dossier PPP. Dans une lettre ouverte publiée jeudi par le quotidien Le Devoir, le président de l'Agence des PPP, Pierre Lefebvre, assure que, si les projets du complexe Turcot et des CHU sont complexes et risqués, il s'agit justement «d'un argument de taille pour que les risques de ces projets ne soient pas assumés uniquement par le gouvernement et les contribuables québécois». Pour sa part, Mme Gagnon-Tremblay affirme que, «quel que soit le mode choisi, la rigueur sera au rendez-vous». «Ma grande préoccupation, c'est l'argent des contribuables», dit-elle. Mme Gagnon-Tremblay n'est pas la seule à ouvrir la porte à un changement de cap. Le cabinet du ministre de la Santé, Yves Bolduc, confirme que les projets de construction de grands hôpitaux en PPP «n'est pas une religion». «On a privilégié le mode PPP parce qu'on nous prouvait que c'était plus avantageux au moment où on a fait l'analyse initiale. Mais quand on aura les propositions finales, on devra réévaluer», a dit l'attachée de presse du ministre Bolduc, Marie-Ève Bédard.
  2. Un bureau du Québec à Sao Paulo Monique Gagnon-Tremblay (archives) Une délégation de 30 personnes composée de représentants des milieux universitaires et des affaires québécois termine lundi une mission au Brésil, premier partenaire commercial du Québec en Amérique du Sud. La ministre des Relations internationales, Monique Gagnon-Tremblay, a profité de cette visite pour annoncer l'ouverture prochaine d'un bureau du Québec à Sao Paulo. En entrevue au Réseau de l'information, elle a affirmé que la mission avait dépassé ses objectifs. « J'ai découvert un pays non pas émergent, mais un pays qui a émergé », a-t-elle dit, soulignant la curiosité des Brésiliens à l'égard du Québec. Des rencontres d'information sur le Québec tenues à Sao Paulo et à Brasilia ont d'ailleurs attiré quelque 500 et 300 personnes, respectivement. Le ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles a aussi profité de la mission pour signer une entente de francisation pour les candidats brésiliens à l'immigration avec le Service national d'apprentissage du commerce. La Conférence des recteurs et principaux des universités du Québec (CREPUQ), Cégep international, l'Université du Québec à Montréal (UQAM), l'Université Concordia et le Collège François-Xavier-Garneau représentaient le volet éducatif de la mission. Onze entreprises de recherche et d'innovation, des affaires et de l'économie sociale faisaient partie du volet économique. La communauté d'affaires souhaitait attirer des entreprises brésiliennes en vue du Forum des Amériques d'octobre prochain, à Saint-Hyacinthe. L'objectif de participation de l'Amérique latine à cette rencontre est de 70 entreprises. Les exportations québécoises vers le Brésil ont atteint une valeur de 364 millions de dollars en 2005, en hausse de 52 % par rapport à l'année précédente. Le Brésil compte quelque 190 millions d'habitants.
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