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  1. Via Les Affaires : L'incubateur Founder Institute s'établit à Montréal Offert par Les Affaires Publié à 06:00 Édition du 08 Février 2014 PAR JULIEN BRAULT Le Founder Institute accueillera sa première cohorte d'entrepreneurs à Montréal le 29 avril prochain. Fondé dans la Silicon Valley en 2009, l'incubateur est déjà implanté dans quelque 70 villes, mais Montréal représentera sa première incursion au Canada. Son ambition ? Amener des employés à créer des entreprises qui dureront. «Mon but est d'inverser le taux d'échec des start-ups, dont 90 % ferment leurs portes avant d'avoir atteint 24 mois», explique Adeo Ressi, pdg du Founder Institute. L'incubateur affiche des résultats qui semblent probants. Des 1 034 entreprises issues de l'incubateur, 89 % seraient toujours actives. Dans chaque ville où s'implante le Founder Institute, des directeurs locaux s'occupent de mettre en place le programme. À Montréal, c'est Sergio Escobar, organisateur de Startup Weekend à Montréal, et Louis-Philippe Maurice, pdg de Busbud, qui font office de codirecteurs. Contrairement aux incubateurs comme FounderFuel, le Founder Institute n'investit pas dans les entreprises qu'il incube. En fait, il faut débourser 750 $ pour y être admis à Montréal, en plus de céder 3,5 % des parts de toute entreprise créée durant le programme. Ces parts sont ensuite partagées entre le Founder Institute et les mentors. D'une durée de quatre mois, le programme requiert des poulains un investissement en temps d'au moins 15 heures par semaine, mais leur permet de garder leur emploi. «Le but est d'attirer des jeunes professionnels qui ont peut-être une idée, mais qui ne savent pas quel chemin emprunter pour la concrétiser», explique Louis-Philippe Maurice. Conseils d'entrepreneurs à succès L'incubateur, qui accepte les candidats individuellement, favorise ainsi la formation d'équipes, mais surtout, il permet à ses participants de bénéficier des conseils d'entrepreneurs à succès. Hicham Ratnani, cofondateur de Frank & Oak, Ian Jeffrey, directeur général de FounderFuel, Martin-Luc Archambault, pdg de Wajam et Alexandre Taillefer, associé principal de XPND Capital, seront du nombre. «Ce programme permet aux entrepreneurs d'éviter de faire des erreurs ; si on en avait fait partie, on aurait pu aboutir plus vite», soutient Hicham Ratnani, de Frank & Oak. Le Founder Institute n'est pas aussi sélectif qu'un incubateur traditionnel, mais n'y est pas admis qui veut. Le processus d'admission repose en grande partie sur un test de personnalité en ligne, qui permettrait de retenir les candidats ayant ce qu'il faut pour devenir des entrepreneurs à succès. Un second tri est effectué durant le programme. En règle générale, entre 20 et 30 % des participants partent en cours de route. Un devoir non rendu ou une absence peuvent entraîner l'exclusion. «C'est dans le contrat de chaque participant», explique Sergio Escobar, codirecteur du Founder Institute à Montréal. Ceux qui souhaitent faire partie de la première cohorte montréalaise de l'incubateur ont jusqu'à la mi-avril pour poser leur candidature. Entre 20 et 25 participants devraient être retenus.
  2. la page francaise de Frank Gehry sur wikipedia contient cet idem dans la liste des realisations de l'architecte: euh, je connais pas ca ? qqun sait c'est suppose etre quoi ?
  3. Voici les photos du Yacht de Tony Accurso sur lequel est allé Frank Zampino pendant l'appel d'offre du contrat de 355 millions pour les compteur d'eau: Monarques et Figurines Patrick Lagacé, 4 Avril 2009 Comment se fait-il que je n'aie jamais été invité sur le yacht de Tony Accurso, moi? Non mais, on dirait que tout le monde, sa soeur et son caniche ont été invités à venir se faire bronzer sur le Touch, le bateau du discret mais prospère entrepreneur en construction québécois. Tout le monde, bon, j'exagère. Mais M. Accurso a accueilli Michel Arsenault, président de la FTQ, et Frank Zampino, alors président du comité exécutif de la Ville de Montréal. Mais pas moi. Je n'ai jamais été invité sur le yacht de M. Accurso. M. Accurso est riche et je n'ai rien contre les riches. Les riches ont le droit de l'être. Ils ont le droit de rénover à grands frais des yachts de 119 pieds pour fendre les flots des mers du Sud en tout confort. David Whissell, ministre du Travail de Jean Charest, n'a pas enfilé son Speedo sur le pont du Touch. Mais ce que M. Whissell partage avec Messieurs Arsenault et Zampino, des hommes de pouvoir qui ont des liens privilégiés avec M. Accurso, c'est... comment dire... euh... je cherche mes mots. C'est cette réticence, oui, c'est le mot, cette réticence à parler de sa relation avec l'entrepreneur. Tous trois, lorsque questionnés sur M. Accurso, n'ont pas exactement fait preuve d'empressement pour confirmer ou expliquer la nature de cette relation. Je ne sais pas trop pourquoi. Tenez, ça peut en surprendre quelques-uns, mais j'ai moi aussi des amis. Disons que vous me demandez si Dominic Fugère (je le prends au hasard) est mon ami. Il me fait parfois un peu honte, surtout depuis qu'il porte la queue de cheval, mais je vais vous le confirmer. Je ne vais pas faire de cachettes. Oui, c'est mon ami. Oui, il m'a fait faire un tour de Volvo. Je ne vais pas d'abord vous dire que l'entretien ne porte pas sur ça (comme David Whissell à propos de M. Accurso), je ne vais pas d'abord vous donner du «no comment» (comme Michel Arsenault à propos de M. Accurso), je ne vais pas d'abord vous dire qu'il s'agit de «ma vie privée» (comme Frank Zampino à propos de M. Accurso). D'où cette question: pourquoi tous les hommes de pouvoir qui se retrouvent liés à M. Accurso par les caprices de l'actualité sont-ils si gênés de dire qu'ils sont amis avec lui, qu'ils ont des liens avec lui, qu'ils sont allés se faire bronzer sur son bateau? Frank Zampino a le droit d'être ami avec Tony Accurso. Il l'était, dit-il, depuis 25 ans, avant d'aller sur son bateau. Frank Zampino, alors numéro deux de la Ville de Montréal, a séjourné sur le Touch, dans les Caraïbes. Là, je dis: non, il n'avait pas le droit. Il y est allé PENDANT le processus d'appel d'offres du plus gros appel d'offres (350 millions de dollars) de l'histoire de la Ville (pour des compteurs d'eau); appel d'offres auquel M. Accurso participait, au sein d'un consortium. Appel d'offres finalement remporté par le consortium en question, GéniEAU, composé de la firme Simard-Beaudry (propriété de M. Accurso), de la firme de génie Dessau et du Fonds de solidarité de la FTQ. À propos du Touch: on ne parle pas ici d'une chaloupe. Ni d'un pédalo. On parle d'un bateau de 119 pieds. On parle de grand luxe. D'un bateau rénové et retapé pendant des années par M. Accurso. On parle d'un palace flottant. Qui se loue 60 000$US par semaine. Sauf erreur, c'est le genre de gâteries qui, au prix du marché, était difficilement à la portée d'un élu gagnant le salaire de M. Zampino. Peut-être que maintenant, M. Zampino peut se payer ce genre de luxe maritime. Il est après tout devenu, après son départ de la politique, vice-président de Dessau, une grande firme d'ingénierie, une firme qui doit bien payer ses chefs. Oui, oui, le Dessau de GéniEAU. Si au moins, dans le cas de dérives éthiques comme celle de M. Zampino, leurs collègues se taisaient. Mais non. Ils en remettent. Prenez Claude Dauphin. M. Dauphin, vice-président du comité exécutif de la Ville, a dit de la croisière de M. Zampino, avant que ce dernier ne se mette à table: «On ne peut pas vous garantir ce soir qu'il y est allé ou qu'il n'y est pas allé ou jamais allé ou qu'il n'ira jamais: c'est du domaine privé.» Il y a des blagues pour adultes de Mike Ward, l'humoriste, qui sont moins vulgaires que cette déclaration de M. Dauphin. D'autres exemples de gâteries acceptées par des gens de pouvoir? Tiens, trois ex-ministres libéraux. Allan Rock est allé pêcher au camp d'une riche famille du Nouveau-Brunswick. Claudette Bradshaw est montée dans le jet privé de la même famille pour retourner à Moncton. Martin Cauchon est allé à la pêche avec Jean Lafleur, désormais célèbre fournisseur de l'État... Ces jours-ci, j'écoute beaucoup Alain Bashung, le chanteur français récemment décédé. Je redécouvre Osez Joséphine. C'est une chanson coquine, mais c'est fou, je l'écoute et je pense à des compteurs d'eau et à des voyages de pêche. Extrait: À l'arrière des berlines on devine des monarques et leurs figurines juste une paire de demi-dieux livrés à eux ils font des petits ils font des envieux... C'est pour ça que des types comme Arsenault ou Zampino, élus ou hommes de pouvoir, devraient oser refuser les cadeaux des monarques. Parce qu'en les acceptant, on devient une figurine.
  4. Publié le 27 avril 2009 à 06h44 | Mis à jour à 08h34 SHDM: le vérificateur s'en remet à la police Denis Lessard La Presse (Québec) Après avoir mis cinq mois à passer au crible une vingtaine de transactions immobilières de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), le vérificateur général de la Ville, Michel Doyon, en arrive à un verdict lourd de conséquences. Tout le dossier devrait être transmis à la police, fort probablement à la Sûreté du Québec, qui elle seule a le pouvoir de pousser plus loin l'enquête qui s'avère nécessaire sur la société qui gère un portefeuille immobilier de 300 millions pour la Ville de Montréal. «Les faits sont suffisamment troublants pour que la police s'en mêle», a indiqué une source sûre à La Presse. Le vérificateur Doyon fait cette recommandation en soulignant qu'il n'a pu entrer en contact avec bien des acteurs importants de ces transactions - seule la police a les pouvoirs nécessaires pour aller plus loin. C'est la principale conclusion du rapport du vérificateur de la Ville de Montréal, qui faisait l'objet en fin de semaine d'échanges entre Québec et l'administration Tremblay. Le vérificateur Doyon avait jusqu'alors gardé jalousement les conclusions de son rapport. S'il estime qu'il appartient à la police de poursuivre plus loin l'investigation, le vérificateur convient toutefois qu'avec les moyens dont il dispose, il n'a pas pu constater d'intentions criminelles ou de malversation. Zampino Surtout, l'ancien président du comité exécutif de la ville, Frank Zampino, n'est pas égratigné par le rapport -on relève même qu'il était intervenu pour que le vérificateur de la Ville demeure le vérificateur de la SHDM, malgré la volonté de l'ancien directeur général, Martial Fillion. Le dépôt de ce rapport a été inscrit, à la fin de la semaine, à l'ordre du jour du conseil municipal de ce soir, et doit faire l'objet d'une conférence de presse, demain matin, avec les conclusions d'une autre vérification administrative, celle commandée à Samson Bélair/Deloitte et Touche sur les décisions de la SHDM dans le projet du Faubourg Contrecoeur. De sources fiables, La Presse a appris que le vérificateur Doyon «a mis en lumière le non-respect des règles dans de nombreux projets» de cet organisme paramunicipal transformé en catimini en organisme privé, en janvier 2007. Parmi une vingtaine de transactions -des «aliénations» dans le jargon du vérificateur -, on note la vente de deux immeubles à appartements du centre-ville, sur l'avenue Lincoln et la rue Sussex, vendus au quatrième plus élevé de cinq soumissionnaires. Les règles n'ont pas été respectées davantage pour un autre projet, rue Brewster, où se trouve le bureau de l'arrondissement du Sud-Ouest. La SHDM aurait vendu l'édifice en deçà de la valeur marchande. On n'a pu faire confirmer hier soir si une autre transaction controversée, rue Saint-Patrick, avait été marquée en rouge par le vérificateur de la Ville. Dossier Contrecoeur Pour ne pas faire double emploi, M. Doyon avait d'entrée de jeu fait savoir qu'il ne travaillerait pas sur le dossier du Faubourg Contrecoeur, auquel s'activaient déjà les vérificateurs de Samson Bélair/Deloitte et Touche, à la demande du conseil d'administration de la SHDM. Cette seconde enquête sur le Faubourg Contrecoeur reprend et approfondit des constats déjà faits par la firme KPMG. Ce terrain de 38 hectares, que l'évaluation municipale estimait à 23,5 millions, a été vendu 1,6 million à la SHDM, en dépit de l'avis de l'expert immobilier de la Ville, Joseph Farinacci. La SHDM l'a revendu par la suite 4,4 millions au promoteur Frank Catania. Un rabais important a été accordé, notamment pour des coûts présumés de 11 millions pour la décontamination. Ces coûts de décontamination posent problème. Ils ont été scrutés à la loupe, mais la firme privée a constaté que beaucoup de documents manquaient pour faire une vérification. Partout, le vérificateur Doyon comme les spécialistes de Deloitte et Touche constatent que les règles qui devaient baliser les processus de décision étaient systématiquement transgressées. De plus, les vérificateurs ont «écarquillé les yeux» quand ils ont ouvert des dossiers «presque vides», confie-t-on. Le directeur général de la SHDM, Martial Fillion, avait été suspendu en octobre puis carrément remplacé au début de l'année après qu'un rapport accablant de KPMG eut levé le voile sur de nombreux gestes administratifs inappropriés de M. Fillion, l'ancien chef de cabinet du maire Gérald Tremblay. Coup dur Ces révélations ont été un coup dur pour bien des libéraux provinciaux; pendant des années, Martial Fillion a été un conseiller respecté et influent du regretté Claude Ryan. Le directeur Fillion avait été limogé après que KPMG eut recensé l'automne dernier une dizaine «d'incidents» où ce dernier n'avait pas informé le conseil d'administration de développements importants dans le dossier du Faubourg Contrecoeur, des avances sans autorisation, mais aussi des réductions de taux d'intérêt et des modifications de contrats. Des pertes potentielles pour la SHDM avaient aussi été cachées au conseil d'administration. M. Fillion avait également signé ou fait approuver pour 8,3 millions de chèques, des avances, à la société Construction Frank Catania, sans avoir obtenu le feu vert du conseil d'administration de l'organisme. Normalement l'approbation du conseil est nécessaire pour tout engagement au-delà de 500 000$. Dans les coulisses, des gens proches de l'enquête soulignent que M. Fillion évoquait fréquemment des appuis en haut lieu pour justifier des décisions. Construction Frank Catania a obtenu des contrats municipaux d'une valeur totale d'environ 100 millions de la Ville de Montréal, depuis l'arrivée aux commandes de Gérald Tremblay. À la mi-avril, la première partie du projet, représentant 96 unités sur un potentiel de 1800, était la proie des flammes. La SHDM s'était transformée en société privée avec l'appui unanime du conseil exécutif de la Ville. Par la suite, le ministère des Affaires municipales avait mis en doute la conformité de cette opération avec la Loi des cités et villes. Le maire Tremblay avait ensuite assuré que la SHDM reviendrait dans le giron de la Ville, une opération qui est en train de se réaliser avec l'assistance des avocats du ministère des Affaires municipales.
  5. Voici comment on fait des affaires et on monte des projets immobiliers. Lisez au complet si vous aimez le scandaleux:
  6. MI Developments procédera à l'essaimage de sa filiale de courses de chevaux, Magna Entertainment à ses actionnaires, tandis que l'homme d'affaires Frank Stronach en prendre le plein contrôle. Pour en lire plus...
  7. Publié le 15 octobre 2008 à 23h59 | Mis à jour le 16 octobre 2008 à 00h03 Des libéraux rêvent à Frank McKenna Hugo De Grandpré et Joël-Denis Bellavance La Presse Stéphane Dion n'a pas encore fait connaître ses intentions, mais dans l'esprit d'une grande majorité des libéraux, le chef du Parti libéral doit tirer sa révérence. Et parmi les aspirants à sa succession, on pourrait compter l'ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick, Frank McKenna, a appris La Presse. Le Parti libéral n'a remporté que 76 sièges au scrutin de mardi et obtenu que 26,2% des voix exprimées, ce qui représente le plus faible appui populaire de toute l'histoire de cette formation politique. En 1984, le Parti libéral dirigé par John Turner a récolté 28% des voix, mais remporté 40 sièges. Après avoir encaissé la défaite, mardi soir, M. Dion a préféré ne pas rencontrer les médias hier, signe qu'il a entrepris une réflexion au sujet de son avenir. «Le fait qu'il ne réagisse pas est un indice important (qu'il va tirer sa révérence)», a affirmé une source libérale hier. S'il décide de s'accrocher, M. Dion devra soumettre son leadership à un vote de confiance au congrès libéral prévu en mai prochain à Vancouver. Les chances qu'il puisse remporter un tel vote sont plutôt minces étant donné que M. Dion jouissait au départ de peu d'appuis au sein de son caucus. Dans les coulisses, les aspirants à sa succession s'activent. Si les principaux adversaires de M. Dion dans la dernière course à la direction multiplient déjà les appels (notamment Bob Rae et Michael Ignatieff), d'autres libéraux influents estiment qu'aucun de ces deux prétendants au trône n'est l'homme de la situation. McKenna pressenti Plusieurs militants influents exercent d'ailleurs des pressions énormes sur l'ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick, Frank McKenna, pour qu'il soit sur les rangs dès que Stéphane Dion aura confirmé son départ, a appris La Presse hier de plusieurs sources. Selon nos informations, un noyau de partisans regroupant des gens d'affaires très influents, des organisateurs libéraux et des membres du caucus libéral a déjà vu le jour dans l'espoir de convaincre M. McKenna de reprendre du service à Ottawa. Ayant dirigé le Nouveau-Brunswick pendant 10 ans, M. McKenna jouit d'une bonne réputation parmi les gens d'affaires. Il a aussi été ambassadeur du Canada aux États-Unis durant le règne du gouvernement libéral de Paul Martin. «Par respect pour le chef, M. McKenna ne fera rien, il n'organisera pas et il ne fera aucun téléphone avant que Stéphane Dion n'annonce ses intentions. Mais s'il annonce son départ, il y a de bonnes chances que Frank annonce sa candidature», a dit un libéral influent au fait des intentions de l'ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick. Division interne Selon cette personne bien placée au PLC, les risques de division interne seraient beaucoup trop grands si le parti se lançait dans une course à la direction avec Bob Rae et Michael Ignatieff comme principaux candidats. «Il y a une crainte que Rae et Ignatieff replongent le parti dans une bataille semblable à celle qui a existé entre Martin et Chrétien», a-t-il confié. Cette source fait valoir que seul Frank McKenna a les compétences pour diriger le parti en temps de crise économique. «Les gens craignent que l'expérience de Bob Rae soit reprise par Harper, a-t-elle dit. Quant à Michael Ignatieff, c'est un professeur de la Ivy League qui vient d'un milieu privilégié et qui n'a jamais même eu à faire équilibrer un carnet de chèques!» Une autre source libérale a aussi affirmé que M. Rae et M. Ignatieff sont à couteaux tirés et que le parti ne peut se permettre une course au leadership qui laisse de vives plaies. «Rae a aussi un bilan qu'il sera impossible de faire oublier aux Ontariens. Et il est trop centralisateur. Ce serait un mauvais choix.» Frank McKenna a été premier ministre du Nouveau-Brunswick de 1987 à 1997. Il est passé à l'histoire en remportant tous les sièges à ses premières élections en temps que leader libéral. Avocat et homme d'affaires, il a depuis été ambassadeur du Canada aux États-Unis et est président adjoint du Groupe financier de la Banque TD. M. McKenna partirait cependant avec une longueur de retard sur Michael Ignatieff et Bob Rae, dont les équipes n'ont jamais arrêté de grenouiller depuis deux ans et qui ont recommencé à s'activer de manière encore plus intensive durant la fin de semaine dernière. «Le corps n'était pas encore froid», s'est même désolé une source. L'opposition de l'ancien premier ministre à l'accord du lac Meech est aussi vue comme un handicap potentiel au Québec, où le parti doit rebâtir son organisation. Les autres candidats potentiels à la succession de M. Dion sont l'ancien ministre des Affaires étrangères, John Manley, Gerard Kennedy, qui était candidat en 2005 et qui s'est rangé derrière M. Dion pour lui permettre finalement de l'emporter, et l'ancien ministre de la Justice Martin Cauchon.
  8. Schwartz un jour, Schwartz toujours MARIE-EVE SHAFFER, MÉTRO 29 septembre 2008 05:00 Indémodable, le restaurant Schwartz du boulevard Saint-Laurent. Tous les jours, une foule de fidèles font le pied de grue devant sa porte pour manger son fameux smoked meat, qui fait partie des mythes de Montréal. «Je ne sais pas comment les gens font pour patienter si longtemps, avoue le gérant, Frank Silva. Ils attendent jusqu’à 30 et même 45 minutes. Quand ils entrent, ils sont un peu stressés, et nous aussi.» D’ici deux semaines, un comptoir pour les commandes à emporter ouvrira juste à côté du restaurant. Une véritable révolution pour Schwartz, qui a pignon sur la Main depuis 80 ans. «Mais on ne s’agrandit pas, précise Frank. Ça reste exactement la même chose ici [dans le restaurant].» Parce que Schwartz ne doit pas changer. La recette secrète du smoked meat reste la même depuis 80 ans. Même chose pour le mobilier et le comptoir : ils ont été rafistolés, mais le décor, l’atmosphère restent figés dans le temps. «On n’a pas de micro-ondes parce qu’il n’y en avait pas en 1928, ajoute M. Silva. On n’a pas de congélateur non plus. De toute façon, on ne congèle rien, il n’y a rien qui reste. Ça entre et ça sort.» Microcosme de Montréal Dans les allées étroites, les serveurs et les busboys se déplacent avec une aisance déconcertante. Deux sandwichs pour la première table! Vite, il faut débarrasser la table du fond! Et de nouveaux clients entrent pour prendre la place de ceux qui quittent. Le réalisateur Garry Beitel a suivi les employés du restaurant Schwartz pendant un an. De ces rencontres, il a tiré un documentaire, sorti en 2006, intitulé Chez Schwartz. «Schwartz reflète un peu les vagues d’immigration à Montréal, explique le cinéaste. Les Juifs étaient les premiers serveurs. Ils ont été remplacés par des Portuguais, et après cela, il y a eu une vague venue des Caraïbes et, plus récemment, une d’Asie.» Une franche camaraderie règne parmi ces employés venus d’ailleurs. «On est comme une petite famille, assure Frank Silva. On passe beaucoup de temps ensemble. Chacun connaît bien son emploi, et on s’aide. Personne ne dit à l’autre quoi faire.» Le mythe : la recette Et la règle cruciale des employés de Schwartz : ne jamais dévoiler la recette du smoked meat. Frank Silva reçoit des appels du Japon, de l’Inde et de la Russie, de la part de gens qui veulent l’obtenir, mais pour le gérant, c’est bouche cousue! Tout cela pour mieux entretenir le mythe qui attire les clients chez Schwartz. Mais selon Garry Beitel, il n’y a pas seulement le mythe qui attire des clients. Ces derniers viennent pour revoir les serveurs qui courent entre les tables depuis quelques décennies, pour lire les articles de journaux accrochés au mur et pour s’asseoir avec des étrangers qui adorent eux-aussi le smoked meat accompagné d’une boisson gazeuse aux cerises noires et d’un cornichon à l’aneth. «Il n’y a pas beaucoup d’endroits qui nous touchent comme cela», dit-il.
  9. http://www.reuters.com/article/newsOne/idUSN2639114520080827 TORONTO (Reuters) - An Air France-KLM Boeing 747 aircraft on a flight from Paris skidded off the runway after landing at Montreal's Trudeau airport on Tuesday but there were no injuries or serious damage, police said. Passengers were taken off the plane by emergency crews after it overshot the runway and became stuck in the grass. Operations at the airport were not seriously affected and planes continued to land and take off. (Reporting Ted Kerr; Editing by Jackie Frank)
  10. Certains d'entre vous ont surement déjà surfé sur ce site qui n'en demeure pas moins intéressant. C'est le genre de site que moi personellement ,passionné d'urbanisme a longtemps cherché : La carte des espaces vacants de la Communauté métropolitaine de Montréal ainsi que des Comtés de la région. Le site : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/enjeux6.html **Communauté Métropolitaine de Montréal** http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_complet_CMM.pdf **Pour la Couronne nord** L'Assomption : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Assomption.pdf Mirabel : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Mirabel.pdf Thérèse-de-Blainville : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_ThereseDeBlainville.pdf Les Moulins : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_LesMoulins.pdf **Pour la Couronne Sud** Beauharnois-Salaberry : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Beauharnois-salaberry.pdf Lajemmerais : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Lajemmerais.pdf La Vallée du Richelieu : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_valleedurichelieu.pdf Longueuil : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Longueuil.pdf Rousillon : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Roussillon.pdf Rouville : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Rouville.pdf Vaudreuil-Soulanges : http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Vaudreuil-Soulanges.pdf **Pour Laval** http://www.cptaq.gouv.qc.ca/fileadmin/fr/publications/publications/rannuel/rap_annuel2003-2004/Carte_vacant_PDF/Vacant_MRC_Laval.pdf Amusez-vous ! Ps: étrange ils ont oublié mon comté ! Deux-montagnes ! Frank
  11. Tremblay choisit Dauphin et Forcillo Sammy Forcillo, Gérald Tremblay et Claude Dauphin, lors de la conférence de presse annonçant leurs nouveaux postes à l'exécutif de la Ville. (Photo Alain Roberge, La Presse) Éric Clément La Presse Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a choisi le maire de l'arrondissement de Lachine, l’avocat Claude Dauphin, pour remplacer le 3 juillet Frank Zampino à la présidence du comité exécutif. Le conseiller municipal de Sainte-Marie-Saint-Jacques, Sammy Forcillo, aura la responsabilité des finances de la Ville. C’est donc l’option d’un aigle à deux têtes que le maire Tremblay a privilégiée pour conduire son équipe exécutive jusqu’aux prochaines élections municipales. Avocat de formation, M. Dauphin était déjà vice-président du comité exécutif, responsable de la sécurité publique et civile et des relations intergouvernementales. Il conserve ses responsabilités auxquelles s’ajoutent celles des services administratifs, des affaires corporatives, du capital humain et des sociétés paramunicipales. Par contre, M. Dauphin abandonnera son poste de président de la Conférence régionale des élus. «Sa vaste expérience lui permettra d’avoir une vision d’ensemble des enjeux auxquels la métropole fait face en plus de consolider encore davantage nos relations avec les gouvernements du Canada et du Québec», a dit le maire Tremblay en conférence de presse ce mercredi matin. Quant à Sammy Forcillo, le maire a loué «sa connaissance encyclopédique de la Ville» en le désignant vice-président du comité exécutif et Grand argentier de la métropole, avec la responsabilité des finances, de la fiscalité et de l’évaluation foncière. Il conserve sa charge des infrastructures, de la voirie et de la gestion de l’eau. M. Forcillo devra poursuivre les efforts accomplis par Frank Zampino pour réduire les dépenses de la municipalité. Il aura notamment à couper 100 millions en 2009 sans hausser le fardeau fiscal général des Montréalais, tel que prévu dans l’engagement de Gérald Tremblay de couper 300 millions en trois ans. Frank Zampino, qui quittera ses fonctions après avoir présidé une dernière fois le comité exécutif mercredi prochain, a dit que les choix du maire Tremblay sont «judicieux» car Claude Dauphin a «de grandes qualités et de grandes connaissances» tandis que Sammy Forcillo «est celui autour de la table de l’exécutif qui connaît le mieux le budget». Le maire n’a pas voulu dire pourquoi il avait choisi d’augmenter les tâches de MM. Dauphin et Forcillo plutôt que d’en confier certaines à d’autres membres de son caucus. Il a seulement fait comprendre que les deux récipiendaires de la journée étaient «capables d’en prendre» autant que lui, qui s’est attribué l’an dernier les charges supplémentaires du patrimoine, de la culture et du design. M. Zampino a dit que si le maire n’a pas comblé son poste au comité exécutif ni celui de Benoit Labonté, démissionnaire en septembre, c’est que l’équipe actuelle est «solide et connaît bien ses dossiers». À noter que le maire a demandé à son frère, le conseiller Marcel Tremblay, d’être responsable de la Société du parc Jean-Drapeau, à la place d’Helen Fotopulos. «J’ai commencé ma carrière là en 1967 durant l’Expo, a dit Marcel Tremblay à La Presse. J’ai déjà eu la responsabilité du 40ème de Terre des Hommes. Là, je serai en charge d’organiser le 50ème anniversaire pour 2017 et de m’assurer que les investissements seront là.» Interrogée sur la perte de cette responsabilité, Mme Fotopulos a répondu : «Le plan directeur du parc est adopté, il ne reste plus que les activités». Toutes ces nominations ont été entérinées lors d’une assemblée spéciale du conseil municipal, hier après-midi. Le chef de l’opposition officielle et maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, a réagi et dit que le maire de Montréal «a raté une belle occasion d’enrichir son comité exécutif et, par conséquent, de réinsuffler à son administration un dynamisme plus que nécessaire», soulignant par ailleurs «qu’aucune femme n’est promue». http://www.cyberpresse.ca/article/20080625/CPACTUALITES/80625092/6730/CPACTUALITES
  12. 29/05/2007 Le système informatique de la Ville de Montréal est dépassé. C'est l'un des constats faits par le vérificateur général, dans son rapport annuel déposé au conseil municipal. Et ça fait perdre des millions de dollars à la Ville. On apprend dans ce rapport que le système de gestion des ordinateurs de la Ville est un vrai capharnaüm: 550 serveurs installés sur 63 sites différents, neuf systèmes d'exploitation indépendants les uns des autres. Certains ordinateurs sont tellement vieux que les fonctionnaires n'en connaissent même plus le mode de fonctionnement. Le président du comité exécutif, Frank Zampino, affirme qu'il tente l'impossible pour corriger la situation. Mais pour Noushig Eloyan, chef de l'opposition à la Ville de Montréal, l'administration Tremblay paie le prix de sa décentralisation. Le vérificateur général identifie ainsi une dizaine de secteurs de la Ville de Montréal qui ont besoin de sérieux correctifs.
  13. 24/04/2007 La Ville de Montréal, qui réclamait encore récemment de nouvelles sources de revenu de Québec, a terminé l'année 2006 avec un excédent budgétaire de 140M$, ce qui représente un peu plus de 3,5% de son budget annuel de 3,9G$. Le président du comité exécutif de la ville, Frank Zampino, a toutefois tenu à mettre ce surplus en perspective, indiquant que cela se comparait à un ménage ayant un revenu de 60 000$ qui aurait réussi à économiser 2160$ à la fin de l'année. Il en a profité pour louer la rigueur dont fait preuve l'administration municipale dans la gestion de ses finances publiques, imputant le surplus, en outre, au fait que la Ville aura réduit ses dépenses de 300M$ et ses effectifs de 1000 personnes d'ici trois ans. L'administration a déjà engagé plus de 90% de cet excédent, et la part provenant des arrondissements demeurera dans leurs budgets respectifs, indique la Presse Canadienne. Frank Zampino prend soin d'ajouter que ces résultats n'effacent en rien les besoins financiers de Montréal dont la situation financière demeure précaire, selon lui. Il précise que l'administration Tremblay-Zampino entend donc poursuivre ses démarches auprès de Québec pour accroître l'autonomie de Montréal en matière d'administration et de fiscalité.
  14. 300 : de la mythologie et de Montréal Marc-André Lussier La Presse Los Angeles Pour donner forme à la vision mythologique d'une bataille de l'Antiquité qu'a créée l'auteur de Sin City, l'équipe de 300 est venue s'installer à Montréal Vous vous retrouvez dans la cité des anges pour assister à une rencontre de presse organisée à l'occasion de la sortie prochaine de 300, une adaptation d'un roman illustré écrit par l'auteur de Sin City, Frank Miller. La tête encore un peu étourdie par les images saisissantes, créées avec des effets numériques, et la manière très «rock'n'roll» avec laquelle on vient de vous entraîner dans une bataille de l'Antiquité, vous tentez de reprendre un peu votre souffle. En vous attardant à la lecture du générique de fin, vous constatez que les noms à consonance québécoise se multiplient, et défilent pendant un bon moment, liés à pratiquement toutes les étapes de la production. «C'est normal, vous dit alors le réalisateur Zack Snyder (Damn of the Dead). Le film a presque entièrement été fabriqué à Montréal. Dans une proportion d'au moins 90 % je dirais!» La société québécoise Hybride, déjà réputée pour la qualité de ses effets visuels numériques, a notamment été mise à contribution. Les vedettes du film, Gerard Butler, Rodrigo Santoro, Dominic West et Lena Headey, se sont ainsi livrées bataille sur un plateau montréalais devant un écran vert, les décors ayant ensuite été ajoutés à l'étape de la post-production. Jeffrey Silver, l'un des producteurs de ce film épique, doté d'un budget d'environ 55 millions de dollars, a déclaré, lors d'une conférence de presse, que le choix d'établir la production à Montréal avait plein de sens. La bataille des Thermopyles «D'une part, les effets visuels qu'avaient créés Hybride pour Sin City étaient déjà remarquables, a-t-il dit en substance. L'approche de cette entreprise cadrait parfaitement bien avec la vision de Zack. D'autant plus que les techniciens qu'on trouve à Montréal sont de toute première classe. Et puis, il faut aussi dire que les politiques dynamiques mises de l'avant par les autorités pour attirer des tournages à Montréal sont très avantageuses sur le plan financier.» Cet aspect de la chose a évidemment eu son importance. Quand les producteurs sont arrivés dans les bureaux de la Warner Brothers pour lancer l'idée de faire un film à partir de l'ouvrage que Frank Miller avait fait en s'inspirant d'une célèbre bataille de l'Antiquité, l'enthousiasme n'était pas délirant. Du moins, pas au début. «On pouvait les comprendre, explique l'un des producteurs. Troy n'avait pas eu vraiment le succès espéré, et Alexandre avait carrément déçu. Ils pensaient que nous arrivions avec un projet de même nature.» Heureusement pour eux, Sin City a pris l'affiche avec le succès que l'on sait. Le caractère unique de 300, tant sur le plan narratif que visuel, a alors pu convaincre les bonzes de la singularité de la vision proposée. Ainsi, 300 relate de façon très stylisée la mythique bataille des Thermopyles, en 480 avant Jésus Christ, alors que 300 Spartiates, menés par le roi Léonidas 1er (Gerard Butler), se battent jusqu'à la mort contre l'armée perse de Xerxès (Rodrigo Santoro). Gonflé à la testostérone, le film va au bout de son parti pris. Et reste fidèle à l'esprit du graphic novel de Frank Miller. C'est dire que rien n'a été «adouci» au profit d'une vision plus réaliste, plus «humaine», ou plus encline à la rectitude politique. Nous nageons ici en pleine mythologie avec des personnages plus grands que nature, tout en muscles, féroces et sanguinaires. Gerard Butler, vu notamment dans Lara Croft et The Phantom of the Opera, a d'ailleurs dû s'astreindre à une discipline toute spartiate pour donner corps au roi Léonidas. Bernie Goldman, l'un des producteurs du film, affirme que le choix s'est fixé sur Butler quand l'équipe a vu la prestation de ce dernier dans Dear Frankie, un film de Shona Auerbach. «Il émanait de lui une telle masculinité dans ce film que nous avons immédiatement pensé qu'il serait parfait pour le rôle de Léonidas. Gerard fait partie de ces hommes qui n'ont besoin de rien dire pour asseoir leur autorité. Je crois que 300 est le film qui fera de lui une star.» 300 prend l'affiche le 9 mars. Bientôt dans La Presse, nos entrevues avec Rodrigo Santoro, Gerard Butler et Zack Snyder.Les frais de voyage ont été payés par Warner Brothers. J'ai vraiment hate de voir le film... surement j'irais le voir en imax!
  15. ricasa25

    Musical question

    I'm looking for a song which its lyrics says : In Montreaaaaaaaaaal. Sing a man (like Frank Sinatra- the same voice, more or less) , and it belongs (I think) to the same generation. I know is not easy (or yes, it depoends) I would like you could help me. MERCI!!!!
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