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  1. La pétrolière française Total prédit que la situation géopolitique va limiter la production plus tôt que prévu. Pour en lire plus...
  2. http://www.journaldequebec.com/2016/06/11/une-journaliste-francaise-installee-au-quebec-raconte-la-realite-dici Une journaliste française installée au Québec raconte son expérience Une journaliste française installée au Québec raconte son expérience COURTOISIE VILLE DE MONTRÉAL Stéphane Plante 002 STÉPHANE PLANTE Samedi, 11 juin 2016 14:06 MISE à JOUR Samedi, 11 juin 2016 14:22 Emmanuelle Walter vit au Québec depuis cinq ans. Elle décrit son expérience en sol québécois et rapporte les témoignages d’autres Français. Pour son article «S'installer au Canada: Français, arrêtez de gueuler et adoptez l'accent!» publié sur le site de l’hebdo L’Obs, la journaliste a recueilli les commentaires d'autres Français ayant élu domicile au Québec depuis quelques années. Si le topo s’avère positif dans l’ensemble, quelques-unes des personnes consultées pour l'article adressent tout de même quelques mises en garde à leurs compatriotes tentés par l'expérience québécoise. Par exemple, les Français nouvellement installés au Québec devraient cesser le plus rapidement possible de comparer leur terre d’accueil avec la France. D'emblée, Emmanuelle Walter se montre sévère envers ses congénères: «Notre ethnocentrisme franco-français est proprement ahurissant.» Une Française ayant témoigné dans l'article abonde dans le même sens. «Tout est tellement différent que la comparaison (entre le Québec et la France) est vaine. À un moment, il faut déplacer son centre de gravité et s'intéresser plutôt, si on veut être pertinent dans les discussions, à ce qui se passe à Toronto, Seattle ou Vancouver», affirme Sarah, qui œuvre dans le secteur des communications. La question de l’accent, bien sûr, demeure au centre des préoccupations des Français au Québec. Comme l’affirme une des femmes citées par la journaliste, les nouveaux arrivants se doivent d’être à l’écoute sans condescendance. «Je conseille aux néo-arrivants français d'ouvrir grand leurs oreilles, de ranger leur mépris pour l'accent au placard, de comprendre les différents registres (la langue parlée est très différente de la langue écrite) et d'adopter avec jouissance le maximum d'expressions québécoises.» Les relations de travail «à la québécoise» sont aussi commentées par un jeune entrepreneur d’origine française à la tête d’une start-up de jeux vidéo. «Tu ne peux pas formaliser un reproche de manière abrupte. Il faut réfléchir à l'avance à la manière dont tu vas le verbaliser. Sinon, l'employé claque la porte et va voir ailleurs, et je sais de quoi je parle. C'est à l'opposé du management sanguin de Marseille, d'où je viens! Moi, j'y ai trouvé beaucoup d'apaisement.» Dans l'article, Emmanuelle Walter parle aussi de l’éducation des enfants, du féminisme tel qu’il est perçu chez nous et de l’hiver québécois. sent via Tapatalk
  3. Flo j'ai pris la liberté de créer un lien dans la section technologie urbaine avec ce fil, car je crois que c'est une trouvaille extraordinaire qui ne doit pas passer inaperçue. http://mtlurb.com/forums/showthread.php/23547-Quand-la-route-devient-centrale-photovolta%C3%AFque-une-premi%C3%A8re-mondiale-fran%C3%A7aise?p=236164#post236164 et un autre lien qui vient de la même source avec une petite vidéo http://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/021398624191-colas-lance-la-route-photovoltaique-une-premiere-mondiale-1165007.php#
  4. Dany Laferrière entre à l'Académie française L'écrivain d'origine haïtienne Dany Laferrière est le premier Québécois à faire son entrée à l'Académie française. Il a été élu au premier tour jeudi, à Paris, par les membres de la célèbre institution. L'auteur de Comment faire l'amour avec un Nègre sans se fatiguer a été préféré à cinq autres candidats : Catherine Clément, Yves-Denis Delaporte, Arthur Pauly, Jean-Claude Perrier et Georges Tayar. À 60 ans, Dany Laferrière devient le plus jeune membre à siéger sous la coupole. Il occupera le fauteuil numéro deux, autrefois dévolu à Montesquieu et, plus tard, à Alexandre Dumas fils et laissé vacant par Hector Bianciotti. La secrétaire perpétuelle de l'Académie française, l'historienne Hélène Carrère d'Encausse, avait personnellement sollicité la candidature de l'écrivain, qui faisait figure de favori pour l'homme de lettres français Bernard Pivot. Quelques minutes après être devenu « immortel » (c'est ainsi que l'on appelle les membres de l'Académie française), Dany Laferrière a réagi depuis sa ville natale, Port-au-Prince, en Haïti, où il a appris la nouvelle. Il a tenu à clarifier un point : non, il ne déménagera pas à Paris, même si, de son propre aveu, « il ne tient jamais en place ». — Dany Laferrière S'il affirme ne pas vouloir « chambouler quoi que ce soit » en entrant à l'Académie française, il reconnaît que le simple fait de poser sa candidature était un chamboulement en soi. Hélène Carrère d'Encausse avait même consulté l'actuel Président de la République française, François Hollande, le protecteur de l'institution, sur le cas de ce candidat ni français, ni parisien, né en Haïti et installé à Montréal. Vérification faite, les statuts de l'Académie française n'incluent aucune condition quant à la nationalité des candidats à l'Académie. Et pour Hélène Carrère d'Encausse, « la nationalité, c'est la langue ». — Hélène Carrère d'Encausse, secrétaire perpétuelle de l'Académie française Fondée par le cardinal Richelieu il y a 378 ans, l'Académie française est composée de 40 membres, les « immortels », élus à vie par leurs pairs, qui ont pour mission de surveiller la langue française et de concevoir le dictionnaire de référence, qui en est à sa neuvième édition. Rappelons que Dany Laferrière a dû fuir la dictature des Duvalier en Haïti en 1976. Installé à Montréal, il publie son premier roman, Comment faire l'amour avec un nègre sans se fatiguer, en 1985, et connaît un succès immédiat (il a été traduit en 14 langues). Une dizaine de romans suivront, faisant de Dany Laferrière une figure marquante de la littérature québécoise. Il a reçu de nombreuses distinctions, dont le Prix du gouverneur général en 2006 pour son album jeunesse Je suis fou de Vava (La Bagnole) et le prix Médicis, en 2009, pour L'énigme du retour (Éditions du Boréal). Son vingtième et plus récent roman, Journal d'un écrivain en pyjama (Mémoire d'encrier), se veut une sorte d'adresse complice aux aspirants écrivains. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2013/12/12/004-dany-laferriere-academie-francaise.shtml
  5. http://www.oaq.com/accueil.html PLAN DU SITE L'ORDRE Histoire de l'Ordre Conseil d'administration Comités et groupes de travail Plan stratégique 2013-2018 Personnel de l'Ordre [*]L'ARCHITECTURE Actualité Événements de l'Ordre Prix d'architecture Concours d'architecture [*]TRAVAILLER AVEC UN ARCHITECTE Services de l'architecte Pourquoi choisir un architecte Comment choisir un architecte Bottin des architectes Protection du public [*]DEVENIR ARCHITECTE Études universitaires Stage obligatoire Examens d'admission Connaissance de la langue française Demande de permis d'exercice [*]ARCHITECTES ÉTRANGERS Candidats canadiens et américains Candidats français Candidats d'autres pays Connaissance de la langue française [*]AIDE À LA PRATIQUE Les formalités Calendrier des formations Centre de documentation Petites annonces Stagiaires
  6. La chaîne française Canal+ bientôt disponible au Québec Le groupe français Canal+ va diffuser ses contenus en mode payant sur Internet au Canada via la plateforme française DailyMotion, selon la page dédiée à ce lancement sur DailyMotion et son directeur général Martin Rogard sur son compte Twitter. Les séries, les films et les documentaires du groupe Canal seront accessibles depuis le Canada à compter de mi-novembre pour un abonnement de 7,99$ (moins de 6 euros), selon DailyMotion, filiale de l'opérateur de télécommunications Orange. Martin Rogard et Jean-Marc Juramie, directeur des projets internationaux du groupe Canal+ ont procédé au lancement de ce nouveau service de vidéo à la demande par abonnement (SVOD) mardi à Montréal dans le cadre du Festival du nouveau cinéma. Pour la chaîne française c'est une grande première et une ouverture sur un segment de diffusion de films et de séries sur l'internet comme le fait l'Américian Netflix. En se lançant au Canada et auprès d'un public principalement francophone au Québec, le groupe Canal+ vient se frotter à la concurrence de Netflix qui a réalisé un percée significative au Canada. Netflix, avec ses 30 millions d'abonnés aux États-Unis, a ainsi pratiquement doublé ses abonnés au Canada l'an dernier avec 17% des 14 millions de ménages, selon les derniers chiffres du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC). Certes l'offre de Canal+ sera moins abondante que celle proposée par Netflix mais le prix est également inférieur pratiquement de moitié à l'abonnement mensuel de Netflix. Selon la page de lancement sur DailyMotion, les abonnés au SVOD de Canal+ pourront voir "les séries qui ont fait le succès de Canal+, une sélection de grands films européens récents" et des documentaires ou magazines. Par ailleurs, en accès gratuit sur DailyMotion au Canada, les internautes pourront visionner toutes les émissions en clair de la chaîne cryptée française (Le Grand Journal, les Guignols de l'info...). Films en streaming A partir de la plateforme DailyMotion, les Canadiens pourront avoir accès aussi à de la vidéo à la demande avec des films en streaming à partir de 3$. En se positionnant sur la diffusion internet en mode payant, le groupe Canal+ a choisi le Canada pour toucher un public déjà converti à la consommation sur Internet et qui a tendance comme son voisin américain à moins regarder la télévision. Au Canada, huit ménages sur dix ont un accès internet (la moitié avec une connexion haut débit) et, selon le CRTC, le temps passé sur internet augmente alors que celui passé devant la télévision stagne. http://www.lesaffaires.com/techno/medias-et-communications/la-chaine-francaise-canal-bientot-disponible-au-quebec/562528#.Ul6YxVBWym4
  7. acpnc

    Une vidéo sensas

    "Le papier n'est pas mort", une superbe publicité que je viens de recevoir d'une amie française et qui mérite de gagner plein de prix. A vous de juger
  8. Pastas interdites dans un resto italien ! SOPHIE DUROCHER Le Buona Notte est un resto jet set du boulevard St–Laurent fréquenté par de nombreuses vedettes. Mais la prochaine fois que Patrick Bruel ou un joueur des Canadiens ira manger là, il ne pourra pas commander des pastas. L’Office québécois de la langue française reproche au restaurant italien d’avoir un menu contenant trop de mots…italiens. BASTA LA PASTA Hier, le proprio du resto Massimo Lecas n’en revenait pas *encore! Il venait de recevoir la lettre de l’OQLF le *réprimandant pour avoir utilisé le mot pasta au lieu de pâtes. Il se fait taper sur les doigts pour avoir utilisé le mot polpette au lieu de boulettes. Pourtant, explique-t-il, la description des mets est en français. Seul le nom des plats est in italiano. Mais il semble que ces quelques mots dans la langue de Sophia Loren soient trop durs à avaler. L’Office lui reproche aussi d’utiliser le mot bottiglia au lieu de bouteille pour sa liste de vins. «Le lendemain de l’élection du Parti québécois, j’ai reçu une visite d’un inspecteur qui me disait qu’il y avait eu une plainte concernant mon menu», raconte Massimo Lecas. «J’étais surpris, franchement. Qui s’offusque de voir le mot pasta dans un resto italien? On m’a dit qu’on allait étudier mon dossier. Et cinq mois plus tard, je reçois une lettre avec une photocopie de mon menu et les mots “fautifs” entourés.» (Heureusement pour lui, le mot pizza n’est pas entouré. Faut dire qu’une traduction française du mot pizza, bonne chance pour trouver ça dans le dictionnaire…) Depuis qu’il a pris une photo Instagram de la lettre de l’OQLF et mis cette information sur Twitter et Facebook, Massimo Lecas est inondé de commentaires. «Les gens trouvent ça ridicule. Est-ce qu’on ne devrait pas s’occuper des vrais problèmes avec la langue plutôt que de «capoter» sur le mot pasta?» Quelle est la prochaine étape pour Massimo Lecas? «C’est entre les mains de mes avocats, m’a-t-il répondu. Jusqu’ici, ça m’a déjà coûté 4500 $ de frais. Le Buona Notte existe depuis 22 ans et c’est la première fois qu’on se fait dire que *notre menu est trop «italien». Il y a quelques années, l’OQLF avait essayé de remplacer le mot hamburger par hambourgeois. Ça n’a jamais fonctionné. Aujourd’hui, demande Massimo Lecas, est-ce que le mot pasta est devenu le nouveau hamburger? PASTA OU HAMBURGER ? J’ai parlé à Martin Bergeron, le porte-parole de l’OQLF. Chaque dossier est confidentiel, il ne commentera donc pas le dossier du Buona Notte. Mais il a tenu à préciser : «Le menu peut être en italien, en anglais, en portugais, mais la Charte de la langue française stipule qu’aucune autre langue ne doit l’emporter sur le français.» Est-ce qu’on compte les mots, ai-je demandé à Mr Bergeron? «Ce n’est pas une question du nombre de mots, mais de TAILLE DE CARACTÈRE.» Un conseil aux autres restos italiens : Écrivez donc le mot pasta en tout petit. Comme ça, vous ne vous ferez pas taper sur les doigts. http://www.journaldemontreal.com/2013/02/19/pastas-interdites-dans-un-resto-italien
  9. Est ce que c'est ce qui nous attends au Québec si nous continuons de patauger dans la médiocritée?? Excellent article de Pratte. La France va mal http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/andre-pratte/201302/21/01-4624153-la-france-va-mal.php André Pratte La Presse «En France, les ouvriers prennent une heure pour déjeuner et faire des pauses, ils travaillent trois heures, et les trois autres heures de la journée, ils s'assoient ou se promènent et discutent.» Cette caricature du travailleur français vient du patron de Titan International, un fabricant de pneus américain. On la trouve dans la réponse adressée par Maurice Taylor au ministre français du Redressement productif (!), Arnaud Montebourg, qui l'invitait à acheter l'usine Goodyear à Amiens, menacée de fermeture. M. Taylor, qui s'est rendu sur place pour examiner la situation, a conclu que le syndicat local était «fou» et qu'il n'était pas question que Titan reprenne l'usine. «Bientôt, en France, il n'y aura plus d'emplois et tout le monde passera la journée assis dans les cafés à boire du vin rouge», prédit l'Américain. La lettre a provoqué l'indignation en France. Le ministre Montebourg a répliqué en rappelant le rôle du marquis de La Fayette lors de la Guerre d'indépendance... Le diagnostic de M. Taylor est évidemment bourré de préjugés. Toutefois, a souligné la représentante du patronat français, Laurence Parisot, le PDG de Titan «met en avant des dysfonctionnements qu'il faut que nous corrigions.» L'économie du pays connaît une période sombre. Les usines ferment les unes après les autres. M. Montebourg a beau semoncer les patrons des multinationales, ils agissent ainsi parce que produire dans l'Hexagone coûte plus cher et est beaucoup plus compliqué qu'ailleurs, notamment en raison de la rigidité des lois du travail. Comme M. Taylor le concède, «les ouvriers français travaillent bien.» Cependant, ils travaillent beaucoup moins d'heures que ceux de la plupart des pays de l'Union européenne (4,3 heures de moins par semaine que les Allemands). Résultat, «l'industrie française atteint aujourd'hui un seuil critique, au-delà duquel elle est menacée de déstructuration», concluait l'an dernier un comité d'experts formé par le gouvernement socialiste. Le gouvernement a réagi au rapport Gallois en annonçant une série de mesures qui, pour la plupart, reposent sur l'action de l'État. Or, c'est un des gros problèmes de la France, le gouvernement y occupe une place démesurée. Malgré les hausses d'impôts et de taxes décrétées depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement Ayrault ratera cette année la cible de déficit public fixée par la Commission européenne (3% du PIB). La Cour des comptes (l'équivalent de notre Vérificateur général) a averti le gouvernement: il lui faut absolument diminuer ses dépenses. En somme, la France doit prendre un virage difficile. L'OCDE précise: il ne s'agit pas de démanteler le modèle social français, mais d'agir pour être en mesure de le préserver. Les socialistes veulent-ils, peuvent-ils lancer un tel chantier? Ce n'est pas certain. La société française y est-elle prête? Pas encore.
  10. Pas édifiant... Pis le pire c'est de voir les autres passagers appuyer.
  11. Français sur les électroménagers: détaillants et fabricants dénoncent Québec Les détaillants et les fabricants montent au créneau pour dénoncer l'intention de Québec de rendre obligatoires les inscriptions en français sur six types d'électroménagers. À l'heure actuelle, le Règlement sur la langue du commerce et des affaires de la Charte de la langue française prévoit une dérogation pour les inscriptions gravées, incrustées, rivetées ou soudées que l'on trouve sur les cuisinières, fours à micro-ondes, laveuses, lave-vaisselles, réfrigérateurs et sécheuses. Or, en avril, le gouvernement a publié un projet de règlement visant à mettre fin à cette dérogation. Dans une lettre envoyée en mai à la ministre de la Culture, Christine St-Pierre, le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur, soutient que le changement aura des impacts "très significatifs" pour les détaillants, pour les consommateurs et même pour l'économie québécoise. Nathalie St-Pierre, vice-présidente du Conseil canadien du commerce de détail, a également écrit à la ministre. Selon elle, "l'adaptation des chaînes de montage pour accommoder les modifications réglementaires coûterait quelque 165 millions $". Le changement proposé "n'ajoute aucune protection réelle de la langue française au Québec", soutient Nathalie St-Pierre. Les détaillants calculent qu'entre 85 et 90 pour cent des électroménagers actuellement en vente au Québec ne pourraient plus être offerts si le règlement devait entrer en vigueur. De son côté, l'Association of Home Appliance Manufacturers, dont le siège social est situé à Washington, prévient que le nouveau règlement "pourrait engendrer une diminution de l'éventail d'appareils disponibles à la clientèle et, potentiellement, des prix plus élevés au Québec". En 2009, l'Office québécois de la langue français estimait qu'à peine 25 pour cent des électroménagers vendus au Québec portaient des inscriptions en français, contre plus de 75 pour cent au moment de l'adoption de la Charte de la langue française, en 1977. Sur son site Web, l'Office précise avoir "entrepris des démarches qui touchent tous les intervenants du domaine des électroménagers". Les détaillants se plaignent toutefois de ne pas avoir été consultés avant la publication du projet de règlement. Dans sa missive, M. Lafleur a demandé une rencontre avec Christine St-Pierre. Marie-Hélène Paradis, attachée politique au cabinet de la ministre, a toutefois indiqué mardi, au cours d'un entretien téléphonique, qu'aucune réunion n'était prévue pour le moment. Rappelons qu'Electrolux et Mabe ont annoncé la fermeture de leurs usines québécoises pour 2013 et 2014, ce qui mettra fin aux activités de fabrication d'électroménagers dans la province. Dans un autre dossier, le Conseil canadien du commerce de détail conteste l'interprétation que fait le gouvernement de la Charte de la langue française en matière d'affichage. À ses yeux, la loi n'oblige pas les commerçants à ajouter un descriptif français devant leur nom. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/francais-sur-les-electromenagers-detaillants-et-fabricants-denoncent-quebec/546614
  12. Les Français du Canada et des Etats-Unis ont commencé à voter pour le premier tour de la présidentielle. En métropole, ce sera dimanche à 8 heures. Les Français du Canada et des Etats-Unis ont commencé à voter samedi pour l'élection à la présidence de la République française, avec une journée d’avance sur la métropole. Une file d’attente de plusieurs dizaines de personnes s’est formée à Montréal devant le Collège Stanislas, une des écoles françaises de la grande ville québécoise, bien avant l’ouverture des 20 bureaux de vote dans ses deux gymnases à 8 heures locales (12 heures GMT). Montréal représente le plus grand nombre d'électeurs français en Amérique du Nord, avec 44 000 inscrits. C’est aussi la quatrième ville française à l'étranger, après Genève, Londres et Bruxelles. Au même moment, le vote a débuté dans les grandes villes de la côte est des Etats-Unis, dont New York, avec 23.000 inscrits. Il devait commencer trois heures plus tard sur la côte pacifique du continent, pour se terminer partout à 20 heures locales. http://www.liberation.fr/politiques/2012/04/21/le-scrutin-a-commence-a-saint-pierre-et-miquelon_813337 http://www.lalibre.be/toutelinfo/afp/369559/elysee-2012-outre-mer-et-ameriques-ouvrent-le-bal-du-premier-tour.html
  13. MONTRÉAL – Afin d’inciter les commerçants à respecter la Charte de la langue française, une campagne qui sera lancée cet automne ciblera les établissements dont le nom est rédigé dans une langue autre que le français. L’initiative de l’Office québécois de la langue française se veut un rappel que nul n’est au-dessus de la loi 101, même si celle-ci ne peut forcer les entreprises à traduire leur marque de commerce. La Charte de la langue française ne peut qu’obliger les commerçants à ajouter un terme descriptif ou générique, en français, au nom d’entreprise ou à la marque de commerce. Par exemple, l’affichage «Les cafés Second Cup» respecte le règlement. L’Office compte offrir un service de soutien aux entreprises fautives, tout en s’assurant de la conformité de l’affichage pour les détaillants rencontrés précédemment. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/08/20110831-135357.html -------------- L'art de s'attarder aux choses inutiles (La langue de la raison sociale) plutôt qu'au vrai problème (la difficulté de se faire servir en français dans certains commerces) et cela peut importe le nom!
  14. Le Figaro Pour votre info, Anne Roumanoff est une humouriste française.
  15. Au cours des prochaines semaines je vais scanner des photos de ce magazine que j'ai trouvé au marché aux puces!
  16. Bonjour à vous! J'ai une petite question bien simple pour vous, et j'ignorais où la poser : À quelle distance le mur d'un bâtiment doit-il être du terrain voisin pour que le mur en question puisse avoir des fenêtres? J'ai tenté de trouver la réponse sur le web, mais la réglementation française ou belge est probablement différente... Merci bien! J'espère avoir une réponse!
  17. Invitation aux médias - Rencontre avec le président de Société Générale au Canada - SOCIÉTÉ GÉNÉRALE CHOISIT MONTRÉAL POUR Y INSTALLER UN NOUVEAU CENTRE SPÉCIALISÉ MONTRÉAL, le 18 févr. /CNW Telbec/ - M. Pierre Matuszewski, Président de Société Générale au Canada, invite les représentants des médias du secteur des affaires, de l'économie et des finances à venir en apprendre davantage sur le nouveau centre spécialisé du Groupe qui s'implante à Montréal et sur les nouveaux emplois qui y seront créés. Il y sera aussi question de la présence de la banque française sur l'échiquier québécois et canadien. Cette rencontre se tiendra le mardi 22 février à 10 h 30 dans les bureaux de Société Générale. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/February2011/18/c4040.html
  18. la page francaise de Frank Gehry sur wikipedia contient cet idem dans la liste des realisations de l'architecte: euh, je connais pas ca ? qqun sait c'est suppose etre quoi ?
  19. Très belle pub. Rien ne dit que c'est Mtl, mais on la reconnaît immédiatement! Si des étrangers vous demandent à quoi ça ressemble Mtl, je pense que ça ferait une belle promo.... http://www.youtube.com/watch?v=T6ylOrzc33U&feature=player_embedded
  20. Entrevue avec le président de la société française Train haute vitesse : Alstom rêve de relier Montréal à Boston 19 mars 2009 - 17h11 Katia Germain ARGENT Le président d'Alstom Canada et Alstom USA, Pierre Gauthier, a un rêve qu'il chérit avec d'autres : un train à haute vitesse reliant Montréal à Boston, New York et Washington. «Dans un document du National Geographic, la liaison Montreal-Boston apparaît! Je me dis, ce n'est pas impossible de la concrétiser si on en a la volonté... Nous sommes les leaders à ce chapitre. Je rêve peut-être, mais ça nous ferait un grand plaisir de participer à ce projet!», a-t-il souligné. Le président d'Alstom prononçait, jeudi, une allocution devant le Conseil des relations internationales de Montréal. L'Agence ferroviaire fédérale américaine étudie présentement la possibilité de faire circuler un train à haute vitesse dans le corridor Montréal-Boston. Selon Transports Québec, les résultats seront divulgués au printemps 2010. Des projets en vue à Montréal En parallèle, Alstom se montre intéressée par plusieurs projets actuellement caressés par Montréal. «Montréal a un plan de développement et de modernisation de son réseau de transport en commun ambitieux. Alstom pourrait contribuer à de nombreux chantiers qui pourraient être lancés par la métropole», a lancé M. Gauthier. La construction d'un futur réseau de tramway, une navette ferroviaire entre le centre-ville et l'aéroport Montréal-Trudeau ainsi qu'un train rapide Montréal-Windsor comptent parmi les projets qui suscitent l'intérêt de la société française.
  21. Sondage L'économie et le français en déroute Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 18/02/2009 09h10 http://www.canoe.com/archives/infos/quebeccanada/2009/02/20090218-091000.html La langue française perd du terrain à Montréal, et l'économie se dégrade, constatent une majorité des Montréalais interrogés dans le cadre d'un sondage Léger Marketing-Le Journal de Montréal. Trois Montréalais sur cinq trouvent que l'état de la langue française dans leur ville se détériore. L'opinion des Montréalais rejoint donc les conclusions de plusieurs rapports -et d'une récente enquête du Journal de Montréal -qui démontrent que l'utilisation du français recule à Montréal, particulièrement dans les commerces du centre-ville. Le gouvernement a lancé plus tôt cet hiver une vaste campagne pour promouvoir l'usage du français dans les commerces montréalais. L'économie aussi Sans surprise, la même proportion des répondants juge que l'économie de la métropole va de mal en pis. À peine 2% des personnes interrogées croient que l'économie s'améliore. «Avec la crise économique que nous traversons, il est un peu normal que les gens soient pessimistes», fait remarquer le sondeur Jean-Marc Léger.
  22. Le géant pétrolier français réalise un profit de près de 23 milliards de dollars en 2008, soit le plus important bénéfice jamais réalisé par une société française. Pour en lire plus...
  23. Le président de la banque française BNP Paribas, Michel Pébereau, et le directeur général, Baudouin Prot, ont décidé de renoncer à leur rémunération variable («bonus») pour l'exercice 2008, a indiqué samedi à l'AFP une porte-parole de la banque. Pour en lire plus...
  24. De plus en plus d'institutions financières, comme la banque française Natixis ou la britannique Royal Bank of Scotland, de même que des gestionnaires de fonds disent avoir perdu de l'argent confié à Madoff. Pour en lire plus...
  25. L'école française à la traîne Le Devoir Clairandrée Cauchy Édition du jeudi 13 novembre 2008 L'élève montréalais qui fréquente une école anglaise a deux fois plus de chances L'élève qui fréquente l'école anglaise à Montréal a deux fois plus de chances d'obtenir son diplôme de cinquième secondaire que celui qui va à l'école française. Le constat brutal, qui fait écho aux inquiétudes de Jacques Parizeau formulées plus tôt cet automne, vaut même lorsqu'on isole l'effet d'autres variables, tel le milieu socioéconomique. Voilà un des éléments qui ressortent d'une étude intitulée «L'environnement éducatif dans les écoles publiques et la diplomation des élèves de l'île de Montréal», réalisée par les chercheurs Pierre Lapointe, Roch Chouinard et Jean Archambault pour le compte des cinq commissions scolaires de l'île de Montréal. Concrètement, seulement 53 % des élèves obtenaient leur diplôme en 2005 dans les délais normaux dans le secteur français, comparativement à 72 % dans le secteur anglais. L'écart entre les secteurs français et anglais s'est même creusé au fil des ans: de 16 points en 1995, il est passé à 19 points en 2005. Certains pourraient cependant arguer que ces différences peuvent s'expliquer par d'autres facteurs. Or, lorsqu'on annule l'effet d'autres déterminants de la réussite tels le sexe, le milieu socioéconomique, les retards scolaires à l'entrée au secondaire ou encore le nombre d'élèves en difficulté d'apprentissage, on constate quand même que l'élève fréquentant une école anglaise a deux fois plus de chances de réussir que celui qui va à l'école française. L'école influence aussi davantage que la langue maternelle: un enfant anglophone inscrit dans une école française ne réussit pas mieux que son camarade de classe de langue maternelle française. L'inverse est aussi vrai pour l'élève de langue maternelle française inscrit dans une école anglaise (par exemple lorsqu'il est issu d'un mariage mixte). «On ne peut expliquer [les écarts entre la performance selon les secteurs linguistiques], mais cela semble assez lié à des caractéristiques des organisations scolaires», avance le chercheur Pierre Lapointe, de l'Université de Montréal, qui a décortiqué les données pour le Comité de gestion de la taxe scolaire de l'île de Montréal, qui réunit les cinq commissions scolaires de l'île. Des entrevues avec une trentaine de directeurs d'école fournissent néanmoins quelques pistes d'explication. «Il semble que, dans le secteur francophone, on soit davantage axé sur des mesures structurelles ou organisationnelles pour aider les élèves en difficulté: on va créer des programmes, regrouper des élèves, offrir des services généraux. Dans les écoles anglaises, on entend davantage parler d'activités de type tutorat, individualisées», avance M. Lapointe, ajoutant que le mystère mérite d'être fouillé plus avant. Il observe aussi qu'une plus forte proportion d'élèves des écoles anglophones se présentent aux examens ministériels de cinquième secondaire, alors que, dans le secteur francophone, une sorte d'«écrémage» est effectué au préalable. «C'est comme s'il y avait toutes sortes de voies particulières qu'on développe dans le secteur français pour répondre aux besoins des élèves, comme si on ne voulait pas les placer en situation d'échec. Dans le secteur anglophone, on a plutôt tendance à dire: "Tu es en difficulté, mais tu vas suivre avec les autres; tu vas aller à l'examen en cinquième secondaire, que tu réussisses ou pas"», poursuit M. Lapointe Haro sur les changements d'école Outre le secteur linguistique, plusieurs facteurs significatifs influencent la probabilité d'obtenir un diplôme après cinq ans au secondaire. On constate notamment que les filles ont deux fois plus de chances de réussir que les garçons. Ceux qui ont fréquenté le privé ont quant à eux une espérance d'obtenir leur diplôme cinq fois plus élevée que ceux du public. Les élèves identifiés en difficulté (élèves handicapés ou en difficulté d'apprentissage ou d'adaptation) ont quant à eux six fois moins de chances d'obtenir leur diplôme. À ces évidences, répétées depuis plusieurs années, d'autres constats plus surprenants se dégagent des modèles statistiques. Ainsi, les élèves qui ont changé d'école pendant leurs études secondaires ont deux fois et demie moins de chances de réussir que ceux qui sont demeurés au même endroit; le rapport passe même à huit lorsqu'on considère ceux qui ont changé plusieurs fois d'école. Le fait d'arriver plus tard au secondaire, par exemple en raison d'un redoublement, fait aussi diminuer par trois fois les probabilités d'obtenir un diplôme. Ces observations peuvent inspirer les commissions scolaires en quête de moyens pour améliorer la persévérance. «Il faut se demander dans quelle mesure le système scolaire lui-même n'a pas tendance à changer les élèves d'école. Parfois, pour offrir des services plus intéressants, on va suggérer à un élève de changer d'école. Il y aurait des effets secondaires, collatéraux, à ce genre de mesure. Ceux qui changent d'école ou qui interrompent leurs études n'ont pas tendance à revenir», analyse M. Lapointe. En effet, lorsqu'un jeune interrompt ses études secondaires, les risques qu'il ne revienne pas sont de neuf sur dix. Le chercheur espère que ces données permettront aux commissions scolaires d'affiner leurs méthodes. Éventuellement, les enseignants devraient selon lui être davantage informés des taux réels de décrochage scolaire dans leurs classes. «Les enseignants croient que les élèves réussissent bien. Leur indicateur, c'est le taux de passage à l'examen en cinquième secondaire, mais il y en a 30 % qui ne se rendent même pas à l'examen. Se faire dire comme enseignant que, parmi les 30 élèves qu'on avait l'an passé, 10 ont quitté l'école pour de bon, c'est surprenant. Quand des élèves s'absenteront par la suite, les enseignants seront plus soucieux et feront peut-être des interventions plus directes», croit M. Lapointe. Le chercheur a déjà présenté ses résultats à la Commission scolaire de Montréal la semaine dernière et entend poursuivre avec les autres administrations scolaires au cours des prochains mois.
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