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  1. 09/07/2007 Des proches du Parti conservateur souhaitent la construction d'un parc thématique près de l'échangeur Turcot, à Montréal, où se marieraient les activités récréotouristiques et sportives, l'environnement et la biotechnologie. Cet ambitieux projet, dont l'un des penseurs est l'ancien président du comité exécutif de Montréal sous Pierre Bourque, Jean Fortier, se chiffre à plusieurs milliards de dollars. M. Fortier voit dans ce rêve l'occasion de faire un véritable «Central Park» montréalais. Baptisé «Lac à la Loutre», le projet envisage de creuser un véritable lac sur les terrains de l'ancienne cour de triage Turcot, à l'endroit où se trouvait jadis le lac à la Loutre, avant son remblaiement, au XIXe siècle. Un vaste parc boisé serait aménagé avec terrasses et restaurants autour du nouveau plan d'eau, qui permettrait la navigation de plaisance à partir du canal de Lachine. Des résidences luxueuses pourraient également être bâties dans le secteur ouest du parc, selon le document de présentation du projet consulté par Le Devoir. Le boisé de la falaise Saint-Pierre y serait intégré. Le long de la rue Notre-Dame Ouest, une ligne de tramway traverserait le parc d'ouest en est et permettrait de relier Dorval au Vieux-Montréal. L'espace ne manque pas, puisque la cour de triage fait près de 100 hectares. En comparaison, le parc Lafontaine a une superficie de 36 hectares. D'ailleurs, les instigateurs du projet Lac à la Loutre voient grand. Jusqu'à présent, parmi les idées mentionnées pour l'utilisation de ce site après 2015, on songe surtout à implanter des projets industriels et commerciaux sur le site de l'ancienne cour de triage. Rappelons que Transports Québec a racheté celle-ci en 2003. «Ce n'est pas une proposition précise, c'est une illustration de ce qu'on pourrait faire», précise Jean Fortier, en entrevue au quotidien montréalais. «Mais s'il y a une réfection de l'autoroute, pourquoi ne pas intégrer cette autoroute dans un parc? Pourquoi ne pas faire quelque chose d'intéressant d'un point de vue urbanistique et environnemental?», demande-t-il. Plus à l'est, au sud de l'échangeur Turcot, un stade de 15 000 à 25 000 places pourrait voir le jour. L'endroit est idéal, selon M. Fortier, puisqu'il se situe au carrefour des autoroutes, qu'il est facile d'accès et qu'il offre des possibilités de stationnement. Le secteur immédiat du nouvel échangeur pourrait aussi accueillir un «aménagement urbain» comprenant restaurants et commerces. Le tout se marierait au pôle biotechnologique qu'on souhaite voir s'établir à l'est de l'échangeur Turcot et au sud de la rue Saint-Jacques, afin d'y attirer des entreprises du secteur.
  2. Michael Fortier se joint au bureau montréalais de Morgan Stanley 4 mars 2009 - 15h47 LA PRESSE CANADIENNE MONTREAL -- L'ancien ministre conservateur Michael Fortier devient conseiller spécial au bureau montréalais de la banque d'investissement américaine Morgan Stanley, selon le site internet du quotidien The Globe and Mail. M. Fortier restera associé au cabinet d'avocats Ogilvy Renault, qu'il a rejoint en janvier. Le président de Morgan Stanley Canada, Dougal Macdonald, s'est dit «enchanté» qu'une personne du calibre de Michael Fortier représente la banque au Québec. L'ancien politicien est aussi, depuis janvier, membre du conseil d'administration du Groupe Aéroplan (AER), spécialisé dans les programmes de fidélisation. Avant de faire partie du cabinet de Stephen Harper à titre de ministre non élu, M. Fortier a été directeur général de Credit Suisse First Boston à Montréal et directeur général des activités de banque d'investissement au Québec pour Valeurs mobilières TD. Ces derniers jours, Morgan Stanley a reconnu qu'il y avait eu des licenciements à son bureau montréalais, mais n'a pas voulu en chiffrer l'ampleur. Selon le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, quelque 220 employés travaillent actuellement pour Morgan Stanley à Montréal. M. Bachand a dit avoir bon espoir qu'à terme, la banque respecte son engagement d'employer 500 personnes dans la métropole, tel que convenu en vertu d'un programme de crédits d'impôt. Le ministre a toutefois reconnu qu'il faudrait attendre plus longtemps que prévu avant d'atteindre l'objectif fixé il y a un an.
  3. Christian Paradis, responsable de la métropole - Montréal et Laval satisfaits Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du vendredi 31 octobre 2008 Mots clés : Laval, Montréal, Christian Paradis, Municipalité, Gouvernement, Canada (Pays) Faute d'élu conservateur dans la région de Montréal, le premier ministre Stephen Harper a confié au député de Mégantic-L'Érable, Christian Paradis, la responsabilité de la métropole. Qu'importe si le ministre n'est pas de la région, les intérêts de la métropole seront bien défendus, soutiennent les maires Gérald Tremblay et Gilles Vaillancourt. Gérald Tremblay s'est entretenu hier après-midi avec le nouveau lieutenant politique de M. Harper au Québec et responsable de la métropole, Christian Paradis, et les deux hommes ont convenu de se rencontrer bientôt. C'est que M. Tremblay a une longue liste de sujets dont il veut discuter avec le ministre, dont la diversification des sources de revenus pour Montréal, les projets culturels à réaliser dans la métropole, le réaménagement de l'autoroute Bonaventure et les enjeux liés au transport. Le fait que M. Paradis ne soit pas un député de la métropole ne semble pas inquiéter outre mesure le maire Tremblay. «J'ai de bonnes raisons de croire, pour en avoir discuté avec Stephen Harper, qu'il va consacrer beaucoup d'énergie à la métropole du Québec», a-t-il dit. Le maire, qui avait appuyé la candidature de l'ex-ministre responsable de la région de Montréal Michael Fortier pendant la campagne électorale fédérale, croit que M. Paradis lui prêtera une oreille attentive. «Michael Fortier m'a parlé de M. Paradis d'une façon très élogieuse», a précisé M. Tremblay. Rappelons que M. Fortier a mordu la poussière lors du scrutin du 14 octobre dernier. Le fait que M. Paradis cumule plusieurs fonctions, dont celle de lieutenant politique pour le Québec et ministre des Travaux publics, constitue un avantage, estime pour sa part le maire de Laval. «Ça veut dire que le ministre aura une communication à peu près quotidienne avec le premier ministre Harper et que celui-ci a compris les difficultés de la région de Montréal», a expliqué Gilles Vaillancourt, qui a décrit M. Paradis comme «un Beauceron plein d'enthousiasme.» M. Paradis devra avoir un bureau à Montréal car «il est important que le ministre consacre des journées entières à la région de Montréal, et non pas quelques moments par-ci par-là», a ajouté M. Vaillancourt. Lors d'un point de presse à Ottawa hier, Christian Paradis, un avocat de 34 ans, a dit aimer Montréal même s'il n'y vit pas. Son objectif est d'y faire élire un député à la première occasion. D'ici là, il dit vouloir «aider» la ville à réaliser ses projets, dont le sauvetage du Grand Prix de Formule 1. «Une chose est certaine, je veux travailler avec les gens. Je vais mettre tout l'effort que je peux à ce niveau-là», a-t-il insisté. http://www.ledevoir.com/2008/10/31/213426.html (31/10/2008 11H47)
  4. Gouvernement Hudon et Tremblay préoccupés par l'absence de Montréal Lia Lévesque PC 15/10/2008 17h45 La défaite de Michael Fortier, ministre reponsable de la région de Montréal, jumelée à l'absence d'élus conservateurs à Montréal, préoccupent le maire et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. En entrevue au lendemain du scrutin, la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon, s'est dite «déçue mais pas surprise» du résultat. «C'est une grosse perte pour Montréal», a-t-elle opiné. Montréal a donné 11 circonscriptions au Parti libéral du Canada, six au Bloc québécois et une au Nouveau parti démocratique. Le Parti conservateur n'y a rien récolté. Par voie de communiqué, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a dit juger «primordial que les intérêts de Montréal soient représentés et défendus au sein du cabinet du premier ministre du Canada». Encore mercredi matin, le premier ministre Stephen Harper a affirmé que son futur cabinet ne serait formé que d'élus, donc qu'il ne nommerait plus de non élu au poste de ministre, comme il l'avait fait en nommant M. Fortier au Sénat pour ensuite l'inclure au conseil des ministres. «J'ai dit que notre cabinet sera un cabinet d'élus. En même temps, quelqu'un sera nommé, comme c'est la tradition, comme ministre responsable de la grande région de Montréal pour des devoirs régionaux. C'est normal. Mais ce sera un de nos élus», a indiqué M. Harper, en conférence de presse à Calgary. Mme Hudon y voit une difficulté supplémentaire pour Montréal. «C'est évident que ça ne simplifie pas notre situation à Montréal. Quand les décisions se prennent, il faut être autour de la table. Et là, pour l'instant, il y a une absence.» Elle estime que cela va exiger davantage d'efforts du maire de Montréal, de la Chambre de commerce de Montréal, des différents organismes de représentation et de toute la société civile, afin de faire progresser les dossiers d'intérêt de Montréal, malgré ce contexte politique. «Il va falloir être ultra-présent et fort dynamique, la société civile, pour que le gouvernement continue d'investir et de garder un intérêt vif pour la métropole économique du Québec», a-t-elle dit. Le maire Tremblay a abondé dans le même sens. «Dans le contexte économique actuel, il est primordial de soutenir les initiatives et les projets de Montréal afin de contribuer à la stabilité économique du pays.» De son côté, le ministre responsable de la région de Montréal dans le gouvernement Charest, Raymond Bachand, s'est dit déçu que M. Fortier ait été battu. «C'est pour ça que j'étais intervenu pendant la campagne. Maintenant les électeurs ont fait leur choix et je suis sûr que le premier ministre Harper va trouver une façon dans son assignation de responsabilités pour que les intérêts économiques de la région de Montréal soient entendus. Je n'ai pas d'inquiétude qu'on va trouver une façon d'organiser les choses avec le gouvernement du Canada. Ca va devoir être une autre façon, tout simplement», a-t-il fait savoir. Mme Hudon rappelle que des dossiers montréalais d'importance attendent une action gouvernementale fédérale, comme le mégaprojet de la société du Havre, la réfection de l'autoroute Bonaventure et celle du pont Champlain. Dans le cas du Grand prix de Formule 1, un dossier que le ministre Fortier s'était engagé à défendre, juste avant sa défaite, Mme Hudon s'inquiète moins, parce qu'il ne s'agit pas que d'un dossier montréalais, mais d'un dossier canadien. Le Grand prix est en effet le Grand prix du Canada, mais qui se déroule à Montréal. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/federales2008/archives/2008/10/20081015-174518.html
  5. Le ministre canadien du Commerce international affirme que la position du Canada n'a pas changé quant au maintien de barrières tarifaires appropriées pour protéger la production agricole canadienne. Pour en lire plus...
  6. 09-11-2007 Le Cirque du Soleil invite les entreprises à suivre son exemple. Chaque année, l'organisation achète 60 000 $ de billets, pour des spectacles présentés à Montréal, qui sont distribués à ses employés. Une belle façon d'aider la métropole culturelle. «On crée ainsi des occasions pour eux de voir de la culture, ça peut développer une habitude de fréquentation», indique Gaétan Morency, vice-président Citoyenneté au Cirque du Soleil. L'entreprise achète surtout des billets de spectacles émergents. «Si les entreprises embarquaient dans une idée comme ça, ça remplirait les salles», dit celui qui agit aussi à titre de vice-président Conseil de Culture Montréal depuis 2004. Le Cirque du Soleil intervient également auprès des jeunes en difficulté par le biais du vecteur de la culture. C'est le cas de la TOHU, dans le quartier Saint-Michel. Le Cirque du Soleil y investit de 600 000 $ à 800 000 $ par année en soutien aux créateurs. «Il s'agit de redonner accès à la culture aux communautés», dit M.Morency. Le Cirque du Soleil sera présent au Rendez-vous Montréal, métropole culturelle, la semaine prochaine. Immobilisme québécois On évoque souvent le spectre du projet avorté du Casino comme porte-étendard de l'immobilisme québécois. Le Cirque a-t-il un autre projet dans sa mire pour Montréal? «Ça fait 16 ans que je suis au Cirque il ne faut jamais dire jamais, mais ce n'est pas à l'agenda du Rendez-vous», dit Gaétan Morency, qui compte sur cette tribune pour faire valoir plus de soutien à la création. «Je pense que là, c'est le temps qu'on voie un engagement concret de nos partenaires publiques. Arrêtons de parler d'une métropole culturelle et faisons-la», conclut-il. Les poches vides mais les oreilles ouvertes Malgré ses surplus qui se comptent en milliards de dollars, Ottawa n'a pas l'intention de faire pleuvoir les annonces de subventions lors du Rendez-vous Montréal, métropole culturelle. Plutôt qu'avec les poches pleines, c'est avec les oreilles bien ouvertes que se présenteront les ministres conservateurs. «Ce n'est pas un rendez-vous d'annonces», avertit le ministre responsable de la Région de Montréal dans le cabinet de Stephen Harper, Michael Fortier. «Je pense que c'est important que tous les gouvernements prennent le temps d'écouter et tiennent compte des propos avant de mettre sur pied ou avant d'annoncer quoi que ce soit», estime-t-il. Membre du comité qui a mis sur pied le Rendez-vous Montréal, métropole culturelle (RV07) depuis 18 mois, M. Fortier entend plutôt se présenter les 12 et 13 novembre avec la ministre du Patrimoine, Josée Verner, pour prendre le pouls de la métropole. Ceux qui s'attendent à de grandes annonces de financement pourraient donc être déçus. «Sachant que le Rendez-vous s'en venait, on aurait pu retarder toutes nos annonces d'un an et demi. Est-ce que ça aurait été intelligent?» questionne le ministre. Plus de 1 G$ au Québec La ministre de la Culture, Christine Saint-Pierre, affirmait pourtant cette semaine avoir des «attentes assez élevées» envers le gouvernement fédéral. Elle espérait qu'il profite du RV07 pour démontrer l'importance que revêt Montréal pour le Canada. Michael Fortier, de son côté, rappelle qu'Ottawa en fait déjà beaucoup pour la culture au Québec et à Montréal. «On met au-delà d'un milliard de dollars par an si on tient compte de Radio-Canada», dit-il. Citant l'augmentation récente du budget du Conseil des arts du Canada, qui s'est traduite par des transferts de plusieurs millions de dollars dans les institutions culturelles montréalaises telles que l'OSM, l'Opéra de Montréal ou le TNM, le programme pour les festivals, la rénovation des théâtres de Quat'sous et Denise-Pelletier, et l'agrandissement du Musée des beaux-arts de Montréal, Michael Fortier estime qu'il est faux de croire que les conservateurs ne sont pas impliqués en culture. «On s'est démarqués des libéraux, qu'on a toujours associés aux arts, mais qui n'ont jamais vraiment fait quelque chose, indique-t-il. On s'est démarqués d'eux et nous, jusqu'à présent, on livre la marchandise.» Long terme Celui-ci estime qu'il faut avoir une vision à long terme du RV07, puisqu'on y décidera d'un plan de développement pour les 10 prochaines années. Des projets aussi concrets que le Quartier des spectacles, dont les plans ont été dévoilés la semaine dernière et dont on attend l'annonce du financement, pourraient donc attendre un peu. «Je pense que ce qui est plus important pour la Ville de Montréal, c'est que ça se fasse, je pense pas que ce soit le jour ou l'heure à laquelle c'est annoncé», conclut le ministre.
  7. Ottawa sells buildings in $1.64B lease-back deal Aug 20, 2007 04:48 PM Canadian Press OTTAWA – The federal government has sold nine office properties to a Vancouver-based real-estate company for $1.64 billion, but will lease them back for the next 25 years. Larco Investments Ltd. made the purchase after what the government called "an extensive open, transparent and competitive process" involving properties in Vancouver, Edmonton, Calgary, Toronto, Ottawa and Montreal. Public Works Minister Michael Fortier says the government sought independent advice from Deutsche Bank before making the sale, concluding it is a fair deal for taxpayers, particularly since markets were favourable at the time. A government statement says the deal makes good sense because it transfers ownership risk for major capital costs to the private sector and ensures the buildings are properly maintained. It says the conditions of the leases are fair and stable, and Ottawa will maintain the right to name the buildings. Fortier says office space is a commodity and government does not need to own it to use it. The transaction increases the percentage of leased properties in the Public Works portfolio from to 47 per cent from 43.
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