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  1. Dans le quartier Sainte-Marie http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,80081586&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=5418&ret=/pls/portal/url/page/arrond_vma_fr/rep_annonces/rep_actualites/detail_actualite Le deuxième projet propose la démolition de l'église Saint-Anselme, sérieusement endommagée par un incendie en 2011, et de son presbytère pour les remplacer par un immeuble résidentiel. Sis au 2700, rue de Rouen, il compterait 4 étages et 114 unités d'habitation, ce qui contribuerait à atteindre l'objectif de 2000 logements, tel que suggéré dans le Programme particulier d'urbanisme du quartier de Sainte-Marie. Rappelons que les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble font toujours l'objet d'une consultation publique. Pour ces quatre projets, l'assemblée publique de consultation est prévue le 19 décembre 2012.
  2. Réaménagement de l'échangeur A-20/A-25/Rte-132 L’échangeur situé à la jonction de l’autoroute 20, de l’autoroute 25 et de la route 132 à Longueuil constitue une véritable plaque tournante pour le réseau routier supérieur de la Rive-Sud de Montréal. En plus de donner accès au pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, cet échangeur assure la continuité de l’autoroute 20 le long du fleuve Saint-Laurent, dans l’axe de la route 132, jusqu’au pont Champlain. L’échangeur a été construit dans les années 60 et sa configuration géométrique présente certaines déficiences qui limitent aujourd’hui la capacité des autoroutes 20 et 25. L’achalandage est très élevé sur ces deux grands axes, soit plus de 100 000 véhicules par jour, sans compter les quelque 620 déplacements quotidiens d’autobus. De plus, trois structures qui font partie de cet échangeur ont atteint leur durée de vie utile et nécessitent une reconstruction complète. C’est aussi le cas de la chaussée de l’autoroute 20/route 132 à Longueuil, sur un tronçon compris entre le boulevard Roland Therrien et l’échangeur. Plus d'information: http://www.longueuil.ca/vw/asp/gabarits/gabarit_popup.asp?ID_MESSAGE=29539&ID_ARROND_COMM=40 et http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/monteregie_est/reame_echan_a20_a25_r132
  3. Restauration d'un superbe immeuble édifié par la London & Lancashire Insurance Company en 1900. 18 unités résidentielles et 1 de commerce. Le projet est annoncé par Les projets Europa (les mêmes qui font Art de Vivre à Atwater, le Penny Lane annoncé par Monctezuma au 404 St-Jacques: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/21088-404-rue-Saint-Jacques-Ouest) http://www.projeteuropa.com
  4. Un petit oiseau nous a transmis les plans détaillés et finaux du tronçon de l'autoroute 15 entre Turcot et le nouveau pont Champlain. Comme toujours, nous vous encourageons à envoyer vos scoops ici: scoop @ mtlurb.com :shhh: P.S.: Toutes les images font 2000 pixels de large, n'hésitez pas à les ouvrir dans un autre onglet pour voir tous les détails.
  5. 225 St Jacques Architectes: Panzini Architectes Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Vieux-Port, Montréal ? mètres - 11 étages Descriptions: - Le projet est la réhabilitation d'anciens sièges sociaux en 50 appartements de luxe. - Les bâtiments font partie du Complexe Aquilini dans le Vieux-Montréal. - Le projet inclu l'ajout de 4 étages à l'édifice du départ.
  6. Économie québécoise Les ministres Bachand et Gignac se font rassurants Agence QMI 11/08/2011 11h34 QUÉBEC – Le gouvernement du Québec ne s’en fait pas pour l’économie de la province, malgré la croissance anémique aux États-Unis et en Europe, et les secousses boursières partout sur la planète. «L’économie québécoise va bien», a affirmé le ministre des Finances Raymond Bachand lors d’un point de presse jeudi matin à Québec. Il a mentionné que les prévisions de croissance 2 % pour cette année «sont maintenues», mais qu’il faudra réviser les chiffres pour l’an prochain en raison des nuages qui s’accumulent dans le ciel économique un peu partout dans le monde. Raymond Bachand a souligné que le taux de chômage est près d’un creux historique dans la province et que les investissements et la consommation demeurent soutenus. Les exportations se maintiennent, selon le ministre des Finances. Il a affirmé que cette bonne performance est notamment due au plan de contrôle de la dette qui prévoit un retour à l’équilibre budgétaire en 2013-2014. Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, s’est toutefois dit «préoccupé par la situation américaine», mais il a rappelé que le «boom en Asie nous aide». Les deux ministres ont souligné qu’il faut faire la distinction entre la bourse et l’économie. Selon eux, l’économie peut croître malgré des chutes boursières. Rendement de la Caisse de dépôt et placement Le ministre Bachand ne s’est pas montré préoccupé à propos du rendement de la Caisse de dépôt et placement. «Je n’ai pas d’inquiétudes sur le rendement de la Caisse de dépôt», a-t-il dit. Selon lui, les dirigeants du bas de laine des Québécois ont adopté «un plan de gestion du risque costaud» qui le protège davantage de la volatilité boursière qu’en 2008, lors de la dernière crise financière mondiale. La Caisse doit divulguer ses résultats pour les six premiers mois de l’année plus tard en août.
  7. Trouvé sur cyberpresse.ca Excellent article. ça vaut la peine! http://www.cyberpresse.ca/opinions/201104/15/01-4390367-montreal-mobiliser-pour-immobiliser.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_place-publique_1242600_accueil_POS2 Montréal: mobiliser pour immobiliser François Pratte Sur le blogue de la maison de recherche CROP, récemment, on ne cachait pas son enthousiasme: la véritable vedette du message de deux minutes de Chrysler, avec Eminem, est la ville industrielle de Detroit. Elle n'est pas «New York City» ni «The Windy City» (Chicago), ni «Sin City» (Las Vegas). Elle ne se prend pas pour une autre: «This is the Motor City. This is what we do.», nous dit Eminem, à la fin du message. Qu'on le veuille ou non, Montréal est Montréal et ne sera jamais Barcelone. De trop nombreux Montréalais (minoritaires, sans doute, mais à qui on cède un espace démesuré dans les médias) ont oublié ce qu'est une ville qui se construit, qui vit et qui se métamorphose sans qu'elle ait à demander à l'État de la penser à sa place. Ce sont les habitants d'une ville qui font d'elle ce qu'elle est, et deviendra. Ils la font vivre et évoluer par leurs initiatives individuelles qui, additionnées, enchevêtrées, se bousculant les unes les autres, ne peuvent être planifiées, scénarisées par un maître d'oeuvre déconnecté de la réalité quotidienne des citadins. On a parlé, récemment, de la construction d'une tour ou deux. «Un projet comme on n'en a pas vu depuis plus de 20 ans à Montréal!», avons-nous entendu de la bouche du maire à la radio. Voilà. Montréal est, en fait, une ville qui ne vit pas, mais vivote depuis plus de 20 ans. Une ville qui prétend être grande, mais qui a peur de mots tels que prospérité, richesse, développement. Ce n'est plus vrai? On est fier de voir le Quartier des spectacles se développer? On sent que «ça bouge enfin», à Montréal? Non. On s'illusionne. Montréal était passivement calée dans son divan depuis bien plus que 20 ans, et maintenant qu'elle donne l'illusion de se lever et de se remettre à marcher (non, elle ne court pas), elle se croit aussi en forme que les vraies grandes villes du globe qui, elles, sont des athlètes qui ne craignent pas de courir, de suer, de bouger, de creuser 24 heures sur 24, au risque de commettre quelques erreurs qui seront beaucoup moins graves que la plus grande de toutes, celle que continue de commettre Montréal, cette ville qui a déjà été une grande ville en devenir?: tuer dans l'oeuf tout projet d'envergure en lui faisant passer l'épreuve de l'enfer bureaucratique, lui-même pavé de bonnes intentions de groupes de pression dont la devise est «je mobilise pour immobiliser». Les plus grands ennemis de Montréal se trouvent majoritairement parmi ceux qui lui veulent du bien. Ils font de leur ville une cigale paresseuse, lymphatique, neurasthénique, qui essaie de se convaincre qu'elle est une fourmi. Une ville polyglotte qui vit sous le joug de mythomanes soi-disant francophiles, mais en réalité xénophobes ou anglophobes, qui rêvent de lui couper quelques langues, craignant de ne pouvoir la façonner à leur guise, à l'image de ces Québécois qui s'endorment le soir en pensant qu'un jour, leur Québec sera un «vrai» pays... Des Québécois qui se racontent de belles histoires avant de sombrer dans leur rêve chimérique auquel ils croient pourtant dur comme fer. À leur réveil, au matin, ces Québécois, qui ont choisi la carrière d'éteignoir, ne comprennent pas que certains - qui rêvent, eux, de vivre pleinement leur vie et de contribuer à leur collectivité sans adopter la posture de victimes - ne s'intéressent plus à ce conte de fées. De quelle ville fêterons-nous les 375 ans en 2017? Quel branding, quelle signature, allons-nous lui attribuer?
  8. Après leur annonce du Rogers Arena à Vancouver pourquoi pas un Centre Rogers à Montréal avec un spectacle permanent du Cirque du Soleil maintenant qu'ils sont partenaires ? Ça serait pas mal du tout et j'ai l'impression qu'ils ont les poches profondes:highfive: ! En tout cas moi je m'abonne avec eux s'ils font ça ! http://smr.newswire.ca/fr/rogers-communications-inc/cirque-du-soleil-and-rogers-two-icons-of-innovation
  9. Le Québec au coeur du succès de la reprise canadienne Publié le 16 juin 2010 à 06h38 | Mis à jour à 06h43
  10. Le Québec trop étroit pour les PME québécoises Olivier Schmouker . les affaires.com . 16-12-2009 Les petites et moyennes entreprises (PME) québécoises font preuve d’un grand dynamisme à l’échelle internationale, selon une étude de l’Institut de la statistique du Québec. Car le marché québécois ne leur suffit plus pour croître… Ainsi, 1 PME québécoise sur 2 (56%) a actuellement des activités hors du Québec, et cela est encore plus vrai pour celles du secteur de la fabrication (83%) et pour celles qui comptent plus de 100 employés (68%). 1 PME sur 2 exporte L’activité la plus commune est, sans surprise, l’exportation. De fait, 1 PME sur 2 (52%) exporte ses produits et services hors du territoire québécois ; dans le secteur de la fabrication, le pourcentage grimpe à 82%. Une autre activité consiste à posséder un établissement à l’extérieur du Québec. Par exemple, 16% des grandes PME, à savoir celles qui ont plus de 100 employés, sont dans ce cas, alors que cette proportion tombe à 4% chez celles de plus petite taille. À noter que les grandes PME font plus souvent des acquisitions que des implantations pour étendre leurs activités hors du Québec. Enfin, une autre activité correspond à faire appel aux services d’une entreprise établie hors du territoire québécois. C’est ce que fait 1 PME sur 4 (22%), et en particulier les grandes PME (32%). Dans ce cas, l’option de la sous-traitance est la plus prisée. Les pays du Bric deviennent tendance Les PME exportatrices font surtout des affaires avec les autres provinces canadiennes. C’est le cas pour 83% d’entre elles. L’autre destination des exportations est les Etats-Unis (70%). Et arrive, loin derrière, l’autre partenaire de l’Alena, le Mexique (14%). En fait, de nouveaux marchés mondiaux sont en train de prendre de l’importance pour les PME québécoises exportatrices. Par exemple, l’Union européenne est un marché aujourd’hui plus important que celui du Mexique, vu que 26% des PME exportatrices d’ici y destinent leurs produits et services. Idem avec les marchés asiatiques, avec un pourcentage de 16%. La fréquence des exportations vers la Chine est particulièrement élevée dans le secteur de la fabrication (12%). Les marchés les plus en croissance sont ceux des pays émergents, notamment ceux du Bric (Brésil, Russie, Inde et Chine), où respectivement 6%, 6%, 4% et 10% des PME actives hors du Québec font actuellement des affaires. D’ici les cinq prochaines années, une proportion encore plus grande de PME ont l’intention d’y étendre leurs activités, en particulier en Inde. La seule méthode pour continuer de croître Qu’est-ce qui pousse les PME québécoises à s’internationaliser de la sorte? De manière générale, c’est qu’elles misent sur cette stratégie pour poursuivre leur croissance, le marché québécois ne leur suffisant plus. Ainsi, 55% des PME actives hors du Québec ont pour motivation principale de «développer de nouveaux marchés», mais aussi de «se rapprocher de marchés ou de clients» (33%) et de contourner le phénomène de «saturation du marché québécois» (20%). Une autre motivation importante réside dans le fait que 15% ces PME veulent «répondre à la concurrence des pays émergents», signe que leurs dirigeants ont saisi l’importance vitale de la mondialisation des affaires. À noter que, contrairement à une croyance solidement rivée dans la mentalité occidentale, les PME ne font pas forcément des affaires à l'étranger pour profiter de salaires et de coûts de production inférieurs à ceux pratiqués chez elles. En effet, seulement 8% des PME québécoises disent que cette raison a motivé leur choix de s’internationaliser… Les obstacles sont nombreux quand on décide d’être actif hors du Québec. Selon les PME qui sont dans ce cas, la principale difficulté réside dans la vigueur du huard (22%). Suivent, entre autres, les coûts de transport et de logistique (18%), les barrières légales, administratives et tarifaires (16%), les services externes «trop coûteux» (12%) et le manque de personnel qualifié pour ce type d’activité (10%).
  11. En tant que payeur de taxe Montréalais, ca m'enrage de voir une scène comme ca. St-Catherine/Metcalfe - Ca fait 1-2 mois qu'ils ont repavé la rue au complet (enfin presque, la ville est trop incompétente pour attendre la fin des travaux d'aqueduc au coin de la rue pour paver, ce qui fait déja 1 patch) et bien voila, ils charcutent la rue a nouveau... no wonder que nos rues font dur au bout de 2 hivers, si dès qu'elle est refaite, on s'amuse à la ré-ouvrir
  12. J'aime beaucoup ce que Garnotte fait, je vais "poster" celles qui me font sourire. Lisa Raitt, ministre des Ressources naturelles Le Devoir Michel Garneau Édition du mercredi 10 juin 2009 http://www.ledevoir.com/2009/06/10/254223.html
  13. Vive les Québécoises ! 10 juin 2009 - 11h43 Pierre Duhamel Chroniqueur, Argent Si le Québec n’était peuplé que de femmes, ce serait sans doute l’un des endroits les plus prospères et les plus dynamiques au monde. Les Québécoises sont des battantes et elles se classent parmi les toutes meilleures au monde dans certains des classements les plus significatifs au niveau du développement économique. Ce sont les Québécois de sexe masculin qui traînent de la patte et qui peinent à suivre la cadence mondiale. La lecture de l’étude conjointe de l’Institut de la statistique du Québec et du Ministère français du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville achèvera de convaincre tous les sceptiques et les misogynes. Commençons par l’éducation. Marcel Côté et Claude Séguin disaient hier à la Chambre de Commerce de Montréal qu’une grande partie du marasme économique de Montréal s’expliquait parce que la métropole compte moins de diplômés universitaires que ses concurrentes nord-américaines. Laissez-moi vous dire que ce n’est pas la faute des Québécoises. 33 % des jeunes Québécoises de 25 à 34 ans ont au moins un diplôme équivalent au baccalauréat universitaire. Il n’y a que les Danoises et les Néerlandaises qui font mieux dans cette étude comparant une trentaine de juridictions en Europe et en Amérique du Nord. Les jeunes Québécoises sont au même niveau que les Américaines du même âge. Hélas, on ne peut pas en dire autant des jeunes Québécois. Ils ne sont que 23 % à avoir obtenu au moins un diplôme de premier cycle. Ils font beaucoup moins bien que les jeunes Canadiens (25 %) ou Américains (27 %). Le décrochage scolaire est aussi un phénomène essentiellement masculin. Les jeunes Québécoises sont des championnes du monde à l’école. 3,7 % seulement des Québécoises de 18 à 24 ans n’ont pas obtenu leur diplôme de fin de secondaire ou ne suivent ni étude ni formation. Il n’y a que la Slovénie où ce taux est plus bas. Nos jeunes filles déclassent les Canadiennes et les Américaines (taux de 13,2%). On ne peut pas en dire autant des jeunes Québécois de sexe masculin, car 16,4 % d’entre eux ont quitté l’école sans avoir de DEC. Je suis sidéré par ces statistiques. Nous cherchons des modèles dans d’autres pays pour lutter contre le décrochage scolaire alors que les plus beaux exemples de persévérance et de réussite se trouvent assises à notre table de cuisine ! Cette énergie et cette volonté de réussir se reflètent sur le marché du travail. Le taux d’emploi des Québécoises atteint 68,8 %, c’est tout juste après le Danemark, la Suède, le Canada et les Pays-Bas. Ce taux est nettement plus élevé que celui des Américaines (65,9%) ou des Françaises (60 %). Les Québécoises occupent 47,6 % des emplois au Québec. C’est une proportion plus forte qu’au Canada et aux États-Unis et cela les classe au cinquième rang. Les femmes souffrent encore de beaucoup de discrimination en milieu de travail et il subsiste encore un écart de salaire substantiel entre les hommes et les femmes. Mais pour reprendre la formule d’un grand poète, l’avenir des Québécois, ce sont les Québécoises.
  14. Même s'ils se disent prêts à collaborer contre la fraude fiscale, la Suisse, le Luxembourg et l'Autriche appréhendent les pires conséquences si les pressions internationales entraînent la fin du secret bancaire. Pour en lire plus...
  15. Les marchés asiatiques trébuchent, mardi, dans la foulée d'une nouvelle dégringolade des principaux indices new-yorkais. Les marchés européens ouvrent également en baisse marquée. Pour en lire plus...
  16. Des téléviseurs branchés aux téléphones intelligents, le Consumer Electronics Show a été marqué par des nouveautés qui font de plus en plus de place au contenu vidéo tiré d'Internet. Pour en lire plus...
  17. Deutsche Bank AG, Citigroup et d’autres banques étrangères dont le support est crucial pour la restructuration du 32 G$ de PCAA gelés depuis plusieurs mois font maintenant pression afin qu’une entente soit trouvée cette semaine. Pour en lire plus...
  18. Selon un rapport du ministère du Développement Economique de l'Ontario, d'ici cinq ans, le Canada pourrait perdre plus de 580 000 emplois si les trois géants américains de l'automobile font faillite. Pour en lire plus...
  19. À New York, quelques magasins ont construit leur réputation sur les rabais qu'ils appliquent aux marques. Mais à l'heure de la récession, même la ruée se tarit. Pour en lire plus...
  20. Chute des ventes résidentielles à Montréal 9 décembre 2008 - 10h06 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Montréal n’échappe plus au ralentissement immobilier observé partout au Canada et aux États-Unis. Lors du mois dernier, les ventes résidentielles ont chuté de 31% en comparaison avec celles de novembre 2007. Sur l’année, les chiffres pointent également vers le bas. Les ventes de propriétés sont en recul de 6% face aux résultats de l’année passée. C’est ce qu’indique la Chambre immobilière du Grand Montréal qui a publié ses statistiques, mardi matin. Durant la même période, le prix médian des maisons unifamiliales a grimpé de 3%. Au cours des 11 premiers mois de l’année, la hausse est de 6%. C’est donc dire que le marché immobilier montréalais demeure solide. «Le marché immobilier à Montréal s’est plutôt bien comporté cette année, surtout lorsqu’on considère que les prix sont en hausse et que les ventes sont comparées à celle de 2007, l’année qui a battu tous les records de ventes», a indiqué le chef de la direction de la Chambre, Michel Beauséjour. Selon la Chambre, le marché montréalais n’est toutefois «pas immunisée contre les incertitudes économiques auxquelles les consommateurs font face». Toutefois, comme elle le souligne, Montréalais subit moins de secousses que les autres grands marchés canadiens. Alors que les ventes de maisons unifamiliales ont diminué jusqu’à 37% dans des marchés comme Toronto, Calgary et Vancouver, la baisse n’a été que de 9% dans la Métropole québécoise. Selon la Chambre, les taux d'intérêt, la faible création d'emplois et la chute de la confiance des consommateurs font mal au marché immobilier.
  21. C'est difficile à croire, mais oui, il y a des titres boursiers qui enregistrent un rendement exceptionnel depuis le début de l'année. Alors que le principal indice de la Bourse de Toronto a encore perdu 5,04% en novembre contre 5,32% pour le Dow Jones de New York, Stéphane Paquet et Philippe Mercure nous présentent des titres américains et canadiens qui font plus que tirer leur épingle du jeu. Pour en lire plus...
  22. Les prix du carburant et le ralentissement économique font très mal à ACE Aviation, qui déclare une perte de 135 M$ au troisième trimestre. Pour en lire plus...
  23. Main-d'oeuvre Des retraités qui retournent au travail Mise à jour : 05/11/2008 21h30 Au Québec, quelque 110 000 retraités de 60 ans et plus sont revenus sur le marché du travail. Cela représente presque 9 pour cent de tous les bénéficiaires du régime des rentes du Québec. Certains le font pour se distraire, tandis que d'autres, par nécessité. Car avec la crise financière qui a secoué les marchés boursiers, plusieurs jeunes retraités ont vu leurs épargnes fondre. Pour s’assurer de la retraite dont ils rêvaient, ils n’ont eu d’autre choix que de trouver du travail et se remettre à l’épargne. Ces nouveaux venus sur le marché du travail font toutefois le bonheur des employeurs qui trouvent en eux des qualités que d’aucuns croient presque disparues, en particulier chez la nouvelle génération. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2008/11/20081105-213006.html
  24. Aux États-Unis, le resserrement du crédit et les difficultés économiques font mal à l'industrie automobile, dont les ventes ont chuté à leur plus bas niveau en 20ans. Pour en lire plus...
  25. La baisse attendue de la production des membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole pousse les prix du pétrole à la hausse. Pour en lire plus...
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