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  1. (Courtesy of The Financial Post) Plus they forgot, soon to be one of the largest producers of lithium. Thing is the US could get all their "black gold" from the Bakken Formation (part of it is in Canada but the rest is in the US). Here some info on the Bakken: Research
  2. Vers une seule commission canadienne... Mise à jour le lundi 12 janvier 2009 à 8 h 19 Les marchés financiers canadiens sont régis par 13 agences provinciales et territoriales, mais un seul organisme national pourrait bientôt prendre le relais. Selon le quotidien The Globe and Mail, des experts recommandent au ministre des Finances Jim Flaherty de créer une seule commission des valeurs mobilières au Canada. Tom Hockin, le président du Groupe d'experts sur la réglementation des valeurs mobilières, publiera et expliquera ses conclusions lundi après-midi, à Vancouver. Le Groupe d'experts a été mis sur pied par le ministre Flaherty il y a près d'un an. Le mandat des experts est de proposer des mesures pour améliorer la réglementation des valeurs mobilières au Canada. Au mois de novembre, le gouvernement minoritaire du conservateur Stephen Harper réaffirmait son intention de s'engager dans la voie d'une seule commission, tout en laissant aux provinces opposées au projet la possibilité de s'y soustraire. Le Québec et l'Alberta font partie des opposants tandis que l'Ontario défend depuis longtemps l'idée d'un organisme unique. Le Globe and Mail rapporte que les experts proposeront au ministre Flaherty de suggérer aux provinces d'adhérer volontairement à la nouvelle instance nationale. Si elles refusent, le ministre aura la possibilité d'offrir aux entreprises d'adhérer à la réglementation nationale. Le fédéral pourrait aussi contester devant les tribunaux l'entêtement des provinces à maintenir en force leur réglementation sur les valeurs mobilières. Les conclusions du Groupe risquent fort d'irriter certaines provinces qui tiennent à leurs pouvoirs en matière réglementaire. La ministre des Finances du Québec Monique Jérôme-Forget croit qu'en tentant d'enlever ce pouvoir aux provinces à la faveur d'une seule commission des valeurs mobilières au Canada, le gouvernement Harper remettrait en question le fédéralisme d'ouverture qu'il prône depuis son arrivée au pouvoir. Le premier ministre Stephen Harper a convoqué ses homologues des provinces et territoires à une rencontre le 16 janvier, à Ottawa. La réglementation des marchés financiers fait partie de l'ordre du jour des discussions, tout comme l'accélération des investissements en infrastructure, l'élimination des barrières au commerce interprovincial et le développement des communautés autochtones. Tom Hockin est un ancien ministre d'État aux Finances et ex-président de l'Institut des fonds d'investissement du Canada. Parmi les six autres membres du Groupe figure Denis Desautels, ancien vérificateur général du Canada.
  3. Valeurs mobilières: Ottawa prépare une commission nationale Publié le 22 juin 2009 à 16h09 | Mis à jour le 22 juin 2009 à 18h33 La Presse Canadienne Ottawa Le gouvernement fédéral a fait un pas de plus vers la création d'un organisme national de réglementation des marchés financiers en annonçant lundi la mise sur pied d'un bureau de transition dont le mandat sera de coordonner le projet avec les provinces et avec l'industrie. Ce bureau sera présidé par l'ancien président de la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique, Doug Hyndman. Il sera secondé par le Torontois Bryan Davies, qui occupe depuis 2006 le poste de président du conseil de la Société d'assurance-dépôt du Canada. Le ministre des Finances Jim Flaherty a assuré que l'adhésion au futur organisme de réglementation serait volontaire et que le Québec - qui s'y est toujours opposé - pourrait choisir de rester à l'écart. Il ne perd cependant pas espoir de voir un jour la Belle Province rentrer dans le rang. «Nous ne claquons la porte au nez de personne. Je rêve du jour où nous aurons un organisme de régulation vraiment national», a-t-il insisté lors d'un point de presse à Ottawa. Pour le ministre, la création d'une commission nationale contribuera à la consolidation de l'État canadien. Il a toutefois insisté lundi pour dire qu'il faudrait respecter les expertises et les spécificités régionales tout au long du processus. Le gouvernement du Québec n'a cependant pas semblé rassuré par ces propos. Le grand argentier de la province, Raymond Bachand, craint que le projet de régulateur national crée de l'incertitude sur les marchés à un bien mauvais moment. «La dernière chose dont on a besoin c'est un débat de structures. Moi j'ai besoin que mes autorités de valeurs mobilières et les commissions des autres provinces concentrent 100 pour cent de leur énergie sur la réglementation, la surveillance des marchés et faciliter la reprise économique», a-t-il martelé. Le ministre Bachand a ajouté que, s'il le fallait, Québec pourrait se tourner vers les tribunaux pour faire valoir son point de vue et défendre son Autorité des marchés financiers. L'annonce de Jim Flaherty n'a pas non plus été bien accueillie par les partis d'opposition à Ottawa. Pour le Bloc québécois et le Nouveau Parti démocratique, la création du bureau est une manoeuvre de plus pour faire pression sur les «provinces récalcitrantes». «C'est de la provocation», a résumé le leader parlementaire du Bloc québécois, Pierre Paquette, en entrevue à La Presse Canadienne. «On n'est pas dupes du tout. Le caractère volontaire, c'est tout simplement pour s'assurer d'isoler le Québec et d'éventuellement le forcer à intégrer cette commission-là», a-t-il ajouté. De son côté, le chef-adjoint du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair, reproche à Ottawa d'empiéter encore une fois dans un champ de compétence exclusive des provinces. Les deux hommes se sont par ailleurs dits «outrés» que le ministre Flaherty ait attendu que les travaux parlementaires soient suspendus pour faire son annonce. «Il n'a même pas eu le courage de soulever le débat pendant que la Chambre siégeait encore. Il a attendu le premier jour où la Chambre ne siège plus», a souligné M. Mulcair, qui est le seul député néo-démocrate du Québec. Le projet d'un organisme national est cher aux yeux des conservateurs et particulièrement du ministre Flaherty, qui en a fait l'une de ses priorités depuis son arrivée en poste en 2006. L'industrie des services financiers, très largement basée à Toronto, en a aussi fait l'un de ses chevaux de bataille depuis quelques années. Les libéraux, qui ont longtemps été favorables à l'idée d'un organisme pancanadien de régulation des marchés, ont récemment indiqué qu'ils avaient désormais des doutes et qu'ils préféreraient demander à la Cour suprême de se pencher sur la constitutionnalité du projet avant de se prononcer. Actuellement, chaque province et territoire est responsable du commerce des valeurs mobilières à l'intérieur de ses frontières. Plus de 85 pour cent des inscriptions et des transactions réglementées sont toutefois sous la juridiction de la Commission des valeurs mobilières de l'Ontario.
  4. Un déficit fédéral de 162 milliards? * Ulysse Bergeron, lesaffaires.com * 14:31 Le déficit devrait continuer de se creuser au cours des cinq prochaines années, selon Don Drummond. Photo : Bloomberg Le déficit du gouvernement canadien pourrait graviter autour de 162 milliards de dollars d’ici cinq ans, selon les estimations de l’économiste en chef de la Banque Toronto Dominion, Don Drummond. L’expert en matière de budget fédéral soutient que le gouvernement Harper ne sera pas en mesure d’équilibrer son budget dès 2014, comme le prévoit le ministre des Finances Jim Flaherty. Au contraire. Le déficit devrait continuer de se creuser au cours des cinq prochaines années. Don Drummond avait déjà émis de sérieuses réserves quant aux estimations avancées par le ministre Flaherty, le 26 mai dernier. Outre le dévoilement d’un déficit de 50 milliards pour l’année en cours, le ministre avait alors avancé que le Canada enregistrerait un surplus de 700 millions dès 2014. Pour cette même année, Don Drummond estime plutôt qu’Ottawa enregistrera un déficit de 19 milliards. La seule façon pour le Canada d’obtenir un budget équilibré pour 2014 serait de geler les programmes de dépense dès l’année fiscale 2012-2013. Ce qui est peu probable, souligne la TD.
  5. Le ministre des Finances déclare qu'il n'a pas été informé d'une possible fuite d'information sur les données de chômage de Statistique Canada, qui a provoqué une enquête de l'organisme. Pour en lire plus...
  6. Harmonisation de la TPS et de la TVQ Vers une entente Ottawa-Québec La Presse Canadienne 29/04/2009 17h11 Le conflit entre Québec et Ottawa entourant l'harmonisation des taxes de vente fédérale et provinciale ainsi que la compensation monétaire l'accompagnant pourrait être en voie de se régler. Les conservateurs de Stephen Harper ont, contre toute attente, appuyé aujourd'hui une motion du Bloc québécois voulant que le gouvernement fédéral négocie de bonne foi avec Québec en vue d'harmoniser la TVQ avec la TPS. Cette motion prévoit une compensation de 2,6 milliards $ pour le Québec et insiste également sur le fait que Québec continuerait à administrer les taxes harmonisées, comme le souhaite le gouvernement de Jean Charest. Cependant, si l'on en croit les paroles du ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, les conservateurs ont plusieurs réserves sur cette motion pour laquelle ils ont malgré tout voté. Après le vote, le ministre a soutenu que le gouvernement appuyait l'idée générale de la motion, mais pas nécessairement les détails. Cette précision du ministre a laissé perplexe le chef bloquiste Gilles Duceppe, qui a fait valoir que la motion était claire, unanime, et que les conservateurs allaient devoir respecter les engagements qu'ils avaient pris en votant pour la motion. Par ailleurs, M. Flaherty a indiqué qu'il avait discuté en après-midi avec son homologue québécois, le ministre des Finances Raymond Bachand, et que la première étape de la négociation consistait en des discussions sur les aspects techniques de l'harmonisation.
  7. Le ministre des Finances invite l'opposition à lui laisser les mains libres pour injecter rapidement des fonds destinés à stimuler l'économie. Pour en lire plus...
  8. Considérant la gravité de la situation économique canadienne, le ministre fédéral des Finances devance et accélère l'injection des milliards promis pour relancer l'économie, et ce, en dépit des risques d'erreur. Pour en lire plus...
  9. Le ministre fédéral des Finances répète que les pays doivent éviter le protectionnisme, et se dit prêt à prendre d'autres mesures pour compenser la perte d'investissements étrangers au Canada. Pour en lire plus...
  10. Alors qu'Ottawa prépare son plan de stimulation économique en vue du budget fédéral du 27 février, presque toutes les industries canadiennes tendent leur chapeau vers le ministre des Finances, Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  11. Le prochain budget que déposera le ministre des Finances Jim Flaherty, le 27 janvier à la Chambre des communes, sera rédigé entièrement à l'encre rouge. Pour en lire plus...
  12. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, affirme que son budget du 27 janvier sera axé sur les dépenses, mais admet que cela aura un impact sur les finances publiques. Pour en lire plus...
  13. Le ministre des Finances, Jim Flaherty, a été catégorique hier: les mauvaises nouvelles seront nombreuses en 2009 au chapitre de l'emploi et de l'économie. Les Canadiens doivent s'attendre à ce que les pertes d'emplois enregistrées en décembre soient le début d'une vague au pays au cours des prochains mois. Pour en lire plus...
  14. Des baisses d'impôts, des dépenses en infrastructures et de l'aide aux nouveaux chômeurs pourraient faire partie des mesures économiques dans le budget fédéral de la fin de janvier. Pour en lire plus...
  15. Le ministre des Finances du Canada doit rencontrer la Fédération canadienne des contribuables dans le cadre de sa ronde de consultations prébudgétaires. Pour en lire plus...
  16. Les réductions d'impôts envisagées par le président désigné risquent d'accentuer la pression sur le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, pour qu'il annonce aussi des baisses d'impôts dans son budget le 27 janvier. Pour en lire plus...
  17. Le ministre des Finances, Jim Flaherty, pourrait baisser les impôts dans le prochain budget, et ce, afin de stimuler la consommation en ces temps d'incertitude économique. Pour en lire plus...
  18. Un déficit de 30 G$ au Canada ? 19 décembre 2008 - 09h55 Agence France-Presse Stephen Harper juge réaliste la mise en place d'un plan de 20 à 30 G$ pour stimuler l'économie. Le Canada va enregistrer l'an prochain son premier déficit budgétaire en plus d'une décennie, qui pourrait excéder les 30 G$, a reconnu dans une entrevue de fin d'année le premier ministre Stephen Harper. M. Harper a dit à la chaîne CTV que le gouvernement pourrait avoir à dépenser jusqu'à 30 G$ US pour tenter de relancer l'économie canadienne, qui vient d'entrer en récession au quatrième trimestre. «Certaines personnes pensent qu'un déficit de 5 à 10 milliards (suffirait pour relancer l'économie). D'après nous, cela sera franchement insuffisant compte tenu des défis auxquels nous faisons face», a-t-il déclaré. «Un plan de l'ordre de 20 à 30 G$ US semble plus réaliste», a-t-il ajouté. Avec de telles dépenses, le déficit pour l'année fiscale 2009-2010, débutant le premier avril prochain, pourrait facilement excéder les 30 G$ US. Mercredi, le ministre des Finances Jim Flaherty avait en effet déclaré qu'il anticipait un déficit budgétaire de quelque 5,9 G$ US pour l'an prochain, sans compter les sommes supplémentaires qui seraient investies pour soutenir l'économie. Élève modèle du G7 en matière de discipline budgétaire, le Canada a enregistré des budgets à l'équilibre ou excédentaires au cours des onze dernières années. Il y a trois semaines encore, M. Flaherty prévoyait de modestes excédents budgétaires pour le Canada pour les quatre prochaines années fiscales. Menacé d'être renversé par l'opposition qui l'accuse d'être resté les bras croisés face à la dégradation rapide de la situation économique, le gouvernement conservateur minoritaire a depuis avancé à la fin de janvier la présentation de son projet de budget en indiquant qu'il comprendrait de nombreuses mesures de relance.
  19. Ottawa, le Québec et l'Ontario fourniront du financement pour la restructuration du PCAA, annonce vendredi le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  20. Au terme d'une rencontre avec ses homologues des provinces et territoires, le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, déclare que le Canada connaîtra un déficit en 2009. Pour en lire plus...
  21. Le ministre des Finances anticipe maintenant un recul du PIB de 0,4% alors que ses prévisions un mois plus tôt faisait état d'une augmentation de 0,5%. Pour en lire plus...
  22. Le ministère des Finances, Jim Flaherty, s’est montré ouvert pour la première fois à utiliser des fonds publics afin d’aider à restructurer les 32 G$ de PCAA gelés depuis plusieurs mois. Pour en lire plus...
  23. Le gouvernement canadien est prêt à aider le secteur automobile du pays, a déclaré vendredi le ministre des Finances Jim Flaherty. Pour en lire plus...
  24. Le ministre des Finances a affirmé qu'il croyait être «capable» de répondre aux demandes d'aide financière des trois grands constructeurs automobiles qui totaliseraient 6,8 G$. Pour en lire plus...
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