Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'firme'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. SNC-Lavalin: deux milliards en contrats dans l'Ouest 5 mai 2007 - 15h04 La Presse Martin Vallières Vancouver Pour la première fois, SNC-Lavalin tenait son assemblée d'actionnaires dans la métropole de la côte ouest canadienne. Et pour cause. La Colombie-Britannique et l'Alberta, en plein boom économique, pèsent au moins deux milliards dans le carnet de commandes de 10,4 milliards de SNC-Lavalin, a confirmé son président, Jacques Lamarre, à La Presse Affaires. Il y a bien sûr, en Alberta, plusieurs contrats reliés aux projets pétroliers et gaziers. Mais la province voisine est aussi en plein boom d'investissement. À preuve, les nombreux chantiers dans les environs immédiats de l'hôtel du centre-ville de Vancouver, où avait lieu l'assemblée de SNC-Lavalin. Et la firme montréalaise dirige même le plus gros et le plus compliqué de ces chantiers vancouverois. Il s'agit de la ligne de métro au centre-ville et de train aéroportuaire qui doit ouvrir quelques mois avant les Jeux olympiques d'hiver, en février 2010. SNC-Lavalin est le maître d'oeuvre de ce projet de 1,9 milliard, ainsi qu'un investisseur dans la société d'exploitation de la «Canada Line», pour un mandat de 30 ans. La Caisse de dépôt et placement du Québec est aussi impliquée. Ailleurs en Colombie-Britannique, SNC-Lavalin a un autre projet particulier d'ingénierie et de gestion. Il s'agit du remplacement du «pont autoroutier flottant» sur le lac Okanagan, à Kelowna. Ce projet d'un peu plus de 200 millions est dans une région de villégiature et d'agriculture en forte croissance, située au milieu des chaînes montagneuses entre Vancouver et Calgary.
  2. Prévu pour 2011, le Centre aura une superficie de 11 220 mètres carrés sur trois niveaux. Il comprendra deux salles de traitement de chimiothérapie (38 fauteuils), six appareils de radiothérapie, deux salles de curiethérapie, un bloc opératoire, une urgence oncologique, une salle de pharmacie et plusieurs salles de soutien pour les patients. La construction du CICM reposera entre les mains d’une entreprise de Brossard, EBC inc. L’Hôpital Charles LeMoyne (HCLM) a accordé, jeudi dernier, l’octroi d’un contrat de 40 millions $ pour la construction du Centre de cancérologie de la Montérégie (cicm) à l’entreprise EBC inc., dont la succursale de la région de Montréal est située sur la rue Isabelle, à Brossard. Cette sélection donnait suite à l’examen des huit soumissions reçues le 11 décembre dernier, parmi lesquelles la firme EBC inc. s’est alors classée plus bas soumissionnaire conforme, tel qu’exigé pour tout projet de construction dans le réseau de la santé et des services sociaux. «La majorité des firmes se trouvait grosso modo à environ un million $ près pour un projet évalué à 40 millions $», a précisé le président du conseil d’administration de l’HCLM, Marc Duclos. Devenue l’un des plus prestigieux entrepreneurs généraux en construction du Québec, l’entreprise EBC inc. s’est notamment fait connaître en Mon*té*régie par l’agrandissement du Centre hospitalier Honoré-Mercier de Saint-Hyacinthe et l’Hôpital de Granby. Elle a également construit le Centre de radiothérapie au centre hospitalier régional de Trois-Rivières. Dans la région de l’agglomération de Lon*gueuil, la firme EBC inc. est aussi l’entreprise qui travaille à l’immeuble du campus de Lon*gueuil de l’Université de Sherbrooke. Parce qu’elle est reconnue, notamment, pour son respect des échéanciers serrés, M. Duclos a admis, à l’issue de la rencontre, que «dans notre cas, c’est important de les respecter parce que nous parlons de sauver des vies, nous parlons de traitements de cancer. Notre objectif est d’être capable d’accommoder 400 patients par jour». L’HCLM planifie la mobilisation du chantier pour commencer l’excavation à la fin de janvier ou au début de février 2009. Brossard Éclair
  3. Ceci peut paraitre anodin pour certain, mais j'ai travaillé en gestion de portefeuille pour l'industrielle alliance en tant qu'étudiant (stage d'été) en 2002. À ce moment la compagnie avait +/- $8 milliards en actif sous gestion. Avec cette transaction, elle passe maintenant à $75 milliard, donc presque 10 fois plus en 14 ans. Excellente croissance. L'Industrielle Alliance rachete HollisWealth a la Banque Scotia | Services financiers Publié le 05 décembre 2016 à 17h59 | Mis à jour le 05 décembre 2016 à 17h59 L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth à la Banque Scotia Le groupe financier Industrielle Alliance a annoncé lundi avoir conclu une entente qui lui permettra de racheter la firme de conseil HollisWealth des mains de la Banque Scotia. Selon le chef de la direction de l'Industrielle Alliance, Yvon Charest, l'acquisition fera l'assureur de Québec «une des plus grandes firmes-conseils non bancaires en gestion de patrimoine au Canada», avec des actifs sous gestion totalisant 75 milliards $. HollisWealth compte des actifs sous gestion atteignant 34 milliards $, en plus de 800 conseillers autorisés, 400 000 comptes actifs de clients et plus de 300 bureaux au Canada. La firme était passée sous le giron de la Banque Scotia en 2011, lorsque cette dernière avait acquis DundeeWealth, qui comprenait en outre la firme de gestion d'actifs Dynamic Funds. Dynamic ne fait pas partie de la transaction annoncée lundi et restera chez la Scotia. Le prix de l'acquisition dépendra de la valeur de l'actif sous gestion au moment de la clôture de la transaction, laquelle est prévue pour le troisième trimestre de l'an prochain. L'opération sera financée à même les liquidités de l'Industrielle Alliance, ainsi qu'à l'aide d'une émission d'actions ordinaires. À ce sujet, l'Industrielle Alliance s'est entendue avec un syndicat de preneurs fermes dirigé par Valeurs mobilières TD sur l'achat de 2,5 millions d'actions au prix de 55,65 $ chacune, pour un produit brut de 139 millions $. Une option de surallocation pourrait augmenter ce produit brut de 13,9 millions $. La clôture du placement devrait avoir lieu vers le 14 décembre. L'action de l'Industrielle Alliance a clôturé la séance de lundi en baisse de 21 cents à la Bourse de Toronto, à 56,78 $.
  4. La firme montréalaise Groupe WSP Global (Tor., WSP) a annoncé mercredi l'acquisition de Mouchel Consulting pour approximativement 75 millions de livres sterling, soit 120,4 millions $ CAN. Mouchel Consulting compte environ 2000 employés, la plupart dans des bureaux répartis au Royaume-Uni et en Irlande, ainsi que dans quelques bureaux au Moyen-Orient. Mouchel Consulting est la division de services de génie-conseil de Mouchel Limited. Elle offre une gamme de services tout au long du cycle de vie de projets: élaboration de politiques, planification et conception, et suivi du rendement, principalement en transport, en environnement et en gestion de l'eau. La firme mène des activités au Royaume-Uni et au Moyen-Orient. WSP croit que l'acquisition de Mouchel Consulting renforcera sa présence dans le secteur des infrastructures publiques au Royaume-Uni, plus particulièrement pour ce qui est de la conception d'autoroutes, des systèmes de transport intelligents et des réseaux d'aqueduc réglementés, marchés où WSP cherchait à augmenter sa présence. WSP compte parmi les plus grandes firmes de services professionnels au monde. WSP acquiert Mouchel Consulting pour 120,4M$ | LesAffaires.com
  5. Une firme de design new-yorkaise propose de doter l’Île Sainte-Hélène d’un deuxième dôme conçu comme l’ancien pavillon des États-Unis au cours de l’Expo 67. Selon le magazine de design et d'architecture Dezeen, la firme new-yorkaise Studio Dror aimerait construire une autre sphère géodésique à côté de la Biosphère actuelle, l’ancien pavillon des États-Unis. Ce pavillon avait été conçu à l’époque par l’architecte Richard Buckminster Fuller. Depuis 1990, le dôme est devenu un musée consacré à l’environnement. Le fondateur de Studio Dror, Dror Bensherit, a expliqué son projet au magazine Dezeen: «Comme le ferait le soleil et la lune, notre concept se présente comme une danse poétique avec le design de Fuller. Pour exploiter le potentiel du Parc dans un contexte contemporain.» Cette nouvelle structure, jumelle à celle de l’ancienne Biosphère, en adopterait les mêmes dimensions: 76 mètres de diamètre pour une hauteur de 62 mètres. Toutefois, la nouvelle version des Studio Dror serait construite avec un auvent aménagé à partir du haut de la structure. Ce qui permettrait de créer une zone partiellement abritée autour de sa base. Ses treillis en aluminium seraient aussi conçus pour permettre à la végétation d’y pousser afin de mieux intégrer la structure au décor environnant et d’insonoriser partiellement les lieux. Si le projet des Studio Dror se concrétise, la construction de ce deuxième dôme coïnciderait avec le 50e anniversaire d’Expo 67 l’an prochain. http://www.journaldemontreal.com/2016/04/26/un-nouveau-dome-sur-lile-sainte-helene
  6. http://www.cbre.ca/EN/Pages/Home.aspx?redirect=true [h=1]À notre sujet[/h][h=2]L’immobilier local. À l’échelle mondiale.[/h][h=3]NOTRE ENTREPRISE CANADIENNE[/h] CBRE a démarré ses opérations canadiennes en 1983 sous le nom de Coldwell Banker Canada Inc. Son premier bureau a été établi au centre-ville de Toronto, suivi d’autres dans le nord de Toronto et à Vancouver. Depuis, l’entreprise a pris de l’expansion et comptait, déjà en 1994, plusieurs bureaux à l’échelle du pays, notamment dans toutes les grandes villes. Elle a également élargi la portée de ses opérations en offrant des services d’actifs, de courtage, corporatifs, d’évaluation, de financement hypothécaire et de recherche et conseil, entre autres. En 2001, l’entreprise s’est dirigée vers la gestion d’installations et l’immobilier d’entreprise en formant un consortium avec O & Y Enterprises. L’année 2004 a vu l’acquisition de 100 % des intérêts pour ouvrir la voie à la création des services de gestion CB Richard Ellis dont le mandat fut d’offrir des services immobiliers complets pour des entreprises canadiennes très réputées et prestigieuses. CBRE a été reconnue en 2005 comme une des entreprises ayant la meilleure culture par la firme de recrutement canadienne Waterstone Human Capital. Elle continue d’attirer les meilleurs jeunes professionnels. En 2006, CBRE a fait l’acquisition de la Trammell Crow Company, ce qui renforcé son pouvoir d’influence et sa capacité à fournir des services intégrés, y compris immobiliers, pour la gestion des comptes clients dont les entreprises, les organismes institutionnels, de soins de santé et gouvernementaux. En 2007, CBRE est devenue la première entreprise de services immobiliers à annoncer ses projets visant à devenir neutre en carbone avant 2010. Elle a même lancé une importante initiative pour aider ses clients à adopter des programmes écoénergétiques dans les espaces qu’elle gère à travers le monde – soit une superficie de 1,7 milliard pi2. La même année, CBRE a été déclarée « une des 50 meilleures entreprises de sa catégorie » et « une des 40 entreprises les plus généreuses » par BusinessWeek. Elle a même obtenu la 33e position dans le palmarès Fortune des 100 entreprises connaissant la croissance la plus rapide. Aujourd’hui, les 20 bureaux de CBRE L​​imitée au Canada comptent environ 2 079 employés répartis d’un océan à l’autre. [h=3]À PROPOS DE CBR​E[/h] Le groupe CBRE, inc. (NYSE: GBC), coté comme entreprise Fortune 500 et S & P 500, dont le siège social se situe à Los Angeles, est la plus importante firme de services immobiliers commerciaux et d’investissement au monde (selon les revenus de 2014). L’entreprise compte environ 52 000 employés (excluant les affiliés) et dessert les propriétaires d’actifs immobiliers, les investisseurs et les occupants à partir de plus de 370 bureaux à travers le monde (excluant les bureaux affiliés). CBRE offre des conseils stratégiques pour la réalisation de transactions de vente et de location, des services corporatifs, de gestion immobilière, d’installations et de projet, de financement hypothécaire, d’évaluation et services-conseils, de développement, de gestion d’investissement, ainsi que de recherche et consultation. Visitez notre site Web au http://www.cbre.com.​​​
  7. La Ville de Montréal, qui s'apprête à emprunter des milliards de dollars dans les prochaines années pour réparer ses infrastructures, économisera des sommes importantes en intérêts, puisque sa cote de crédit vient d'être rehaussée par une firme de notation, notamment en raison d'un «environnement politique plus stable». La cote de crédit de la métropole accordée par Standard & Poor passe ainsi de à A+ à AA-, une première hausse en plus de 30 ans pour la Ville de Montréal. La firme de notation vante les «liquidités exceptionnelles» de la Ville, son faible endettement et le redressement de la «performance budgétaire» par rapport à l'administration Tremblay. «Nous croyons que l'environnement politique s'est stabilisé dans les dernières années», peut-on lire aussi lire dans le document. Le maire Denis Coderre se réjouit de cette annonce, qui tombe la même semaine que le dévoilement du programme triennal d'immobilisations 2016-2018 de la Ville de Montréal, lequel prévoit 5,2 milliards de travaux. « C'est la preuve que les décisions que nous avons prises commencent à porter fruit. Les experts de S&P ont examiné chacune de nos actions sur le plan du contrôle des dépenses, de la gestion de notre dette, de la planification de nos investissements. Ce rehaussement de notre cote de crédit traduit un niveau élevé de confiance en la solidité financière de Montréal à long terme », a déclaré M. Coderre, dans un communiqué. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201510/22/01-4912878-standard-poors-rehausse-la-cote-de-montreal.php
  8. Aujourd'hui 24 Septembre on a inauguré un nouveau pont a Cadix en Espagne dans la province de l'Andalousie. Ce pont nommé Puente de la Constitution 1812 a couter 511 millions de Euro (environ 750 millions de $ canadiens.) Et a nécessité 8 ans de travaux beaucoup de modification au projet original mais quand meme c'est pas tellement cher payer pour un tel ouvrage. Ce pont a été construit par la firme de construction et d'ingénierie Dragados. Beaucoup critiqué ce pont mais quand meme un très bon résultat pour un pont de 5 kilometres de long et haut de 185 metres de hauteur. Le plus haut d'Europe pour la hauteur entre le niveau de l'eau et la travée (65 metres) et le deuxième plus haut du monde pour la hauteur permettant le passage des navires apres le pont Verazzano a New York. http://www.rtve.es/alacarta/videos/programa/24h-puente-cadiz-240915/3297800/
  9. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201505/22/01-4871605-un-geant-du-luxe-sinstalle-a-montreal.php Accueil > Affaires > Économie > Immobilier > Un géant du luxe s'installe à Montréal EXCLUSIF Publié le 22 mai 2015 à 07h15 | Mis à jour à 07h33 Un géant du luxe s'installe à Montréal Le premier bureau montréalais d'Engel & Völkers sera officiellement inauguré... (PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE) Agrandir Le premier bureau montréalais d'Engel & Völkers sera officiellement inauguré le 17 juin. Il n'y aura pas de valeur plancher pour pouvoir inscrire une propriété avec l'agence, mais certains critères « esthétiques » à respecter. PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE MAXIME BERGERON La Presse L'intérêt des investisseurs étrangers envers le marché immobilier montréalais semble se confirmer avec la venue prochaine d'Engel & Völkers, l'une des plus grandes agences de luxe du monde. Le groupe ouvrira trois bureaux dans la métropole d'ici 12 mois avec son nouveau partenaire, McGill Immobilier. « La raison de l'ouverture à Montréal, c'est parce qu'il y a une demande internationale », a fait valoir à La Presse Affaires Patrice Groleau, propriétaire de l'agence McGill Immobilier, qui pilote l'ouverture prochaine des bureaux. Certains projets de condos autour du Centre Bell ont fait les manchettes depuis 18 mois en raison de la présence marquée d'investisseurs étrangers. L'un d'eux, le YUL, a été racheté en partie par des intérêts chinois, tandis qu'un entrepreneur syrien caresse un autre projet de deux tours dans le même secteur. Patrice Groleau, dont la firme se spécialise dans la vente de projets neufs, confirme cet engouement grandissant des acheteurs internationaux, notamment de la Chine et de la Russie. « Il y a de l'intérêt, et pas seulement dans le haut de gamme. Par exemple, on a eu un prince d'un pays pétrolier qui est venu récemment et qui a acheté 16 condos de prix moyen d'un seul coup, comme investissement locatif », dit-il. Dans ce contexte, l'entrepreneur se dit fort satisfait de l'entente de franchisage conclue avec le groupe allemand Engel & Völkers. La firme fondée en 1977 est peu connue ici, mais elle est déjà présente dans 39 pays et compte environ 6000 employés. Le groupe a fait son entrée au Canada en novembre dernier, en Ontario et en Alberta, et vise à prendre rapidement de l'expansion. « C'est très, très agressif et c'est une croissance très, très rapide, a souligné Patrice Groleau. Moi, je suis sûr qu'on va faire une entrée remarquée et que ça va fonctionner. » CLIENTS FORTUNÉS Le premier bureau montréalais d'Engel & Völkers sera officiellement inauguré le 17 juin. Il n'y aura pas de valeur plancher pour pouvoir inscrire une propriété avec l'agence, mais certains critères « esthétiques » à respecter, fait valoir M. Groleau. En gros, la firme veut conserver une image haut de gamme. Les acheteurs visés sont notamment des chefs d'entreprise ou de vieilles fortunes qui cherchent à diversifier leurs investissements. Anthony Hitt, PDG d'Engel & Völkers en Amérique du Nord, souligne avoir rencontré plusieurs franchiseurs potentiels à Montréal avant d'arrêter son choix sur McGill Immobilier. « Même si Montréal figure parmi notre liste de priorités, il fallait absolument trouver le bon partenaire avant de s'y lancer », a souligné Anthony Hitt. Le dirigeant reconnaît que le nom de son entreprise est inconnu de la plupart des Montréalais, contrairement à Sotheby's, considéré comme une référence dans le marché du luxe. Il croit toutefois que les choses pourraient vite changer. « J'ai travaillé pour Sotheby's il y a 10 ans à Los Angeles, a-t-il rappelé. À l'époque, la plupart des gens connaissaient la marque pour sa maison d'enchères, mais pas pour l'immobilier. » En plus de vendre des maisons de luxe, Engel & Völkers exploite une division de ventes de yachts et, depuis peu, une autre pour les jets privés. LES SECTEURS LUXUEUX DE MONTRÉAL CENTRE (comprend Outremont, Westmount, Mont-Royal, Hampstead, Montréal-Ouest) 1 095 000 $ : Prix médian des maisons unifamiliales + 3 % : Augmentation depuis un an 429 ventes depuis un an + 35 % : Augmentation depuis cinq ans + 12 % : Augmentation des ventes depuis un an 131 jours : Délai de vente moyen Source : FCIQ. Données pour le premier trimestre 2015. Variation en pourcentage sur un an sent via Tapatalk
  10. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/424197/comment-vendre-un-pipeline-aux-quebecois Comment vendre un pipeline aux Québécois TransCanada dispose d’un plan précis pour faire aboutir le projet Énergie Est 18 novembre 2014 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement Le rapport souligne que le « scepticisme » par rapport à l’utilisation du train « est très fort » depuis les événements tragiques de Lac-Mégantic. Si elle veut convaincre les Québécois d’appuyer son mégaprojet de pipeline Énergie Est, TransCanada doit vanter la sécurité de ce moyen de transport par rapport au train, dans la foulée de la tragédie de Lac-Mégantic. La pétrolière doit aussi établir des stratégies afin de nuire aux opposants tout en éduquant les citoyens d’ici sur les vertus du pétrole des sables bitumineux. Ce sont là certains des principaux piliers du « plan stratégique » pour le Québec élaboré par la multinationale des relations publiques Edelman, à la demande de TransCanada. Le document, obtenu par Greenpeace et transmis au Devoir, présente plusieurs éléments clés de la stratégie qui devrait se déployer dans le but de convaincre les Québécois d’accepter le passage ici du plus important projet de transport de brut albertain en Amérique du Nord. Revenant d’entrée de jeu sur le fait que le transport de pétrole est devenu un « enjeu majeur » pour les citoyens du Québec depuis la catastrophe de Lac-Mégantic, le rapport souligne que le « scepticisme » par rapport à l’utilisation du train « est très fort » depuis ces événements tragiques. Les Québécois, peut-on lire, souhaitent désormais être mieux « protégés », et « le pipeline pourrait constituer une réponse à cette préoccupation ». Les pipelines peuvent en fait constituer une « nouvelle opportunité » de transport pétrolier, même s’ils demeurent toujours « méconnus » du public. Edelman, qui a aussi travaillé sur le projet de pipeline Keystone XL, propose justement d’éduquer les Québécois à ce sujet. « Les Québécois ne sont pas familiarisés avec le pétrole comme source d’énergie. Les mythes et les appréhensions sont encore plus présents lorsqu’il s’agit du pétrole provenant des sables bitumineux albertains, qui sont directement associés au gouvernement de Stephen Harper. L’éducation sur le sujet est donc fortement requise », peut-on lire dans le document de 45 pages rédigé en anglais. Investir pour convaincre Dans ce contexte éducatif mis en avant par la pétrolière, il serait toutefois préférable d’utiliser le bon langage. « Nous recommandons de continuer à miser sur le terme “ressources naturelles” lorsque cela est possible, plutôt que le terme “sables bitumineux”, qui est perçu négativement », écrit Edelman dans ce rapport daté du 20 mai 2014. Celui-ci fait partie d’une série de documents confidentiels obtenus par Greenpeace. Puisque le projet de pipeline et de port d’exportation de Cacouna touche plusieurs communautés du Québec, la firme de relations publiques souligne l’importance de réaliser des investissements financiers afin de rallier la population à son projet. « Nous recommandons de définir un programme d’investissement communautaire spécifique au fleuve Saint-Laurent en raison de son importance dans le projet, en misant sur la restauration de quais et d’infrastructures riveraines puisque cela pourrait générer un retour sur l’investissement significatif. » Edelman estime aussi que « soutenir une campagne majeure de financement d’une université québécoise tout en contribuant à ses efforts dans la recherche environnementale pourrait aider à démontrer le sérieux de TransCanada par rapport à ces enjeux, mais aussi contribuer à améliorer l’image de la compagnie ». Le Devoir révélait récemment que TransCanada négocie actuellement avec l’Institut des sciences de la mer de Rimouski le financement d’une chaire de recherche sur le Saint-Laurent axée sur l’étude du béluga. En plus de ces engagements financiers, TransCanada devrait rencontrer et chercher à rallier à sa cause des personnalités influentes du Québec. La liste établie par Edelman comprend 19 noms, dont ceux de Brian Mulroney, Lucien Bouchard, Monique Jérôme-Forget, Pierre Marc Johnson, Denis Coderre, Régis Labeaume, le p.-d.g. d’Hydro-Québec, Thierry Vandal, ainsi que le président de la Caisse de dépôt et placement, Michael Sabia. Contrer l’opposition S’il importe de se doter d’alliés, Edelman insiste aussi sur la nécessité de contrer les opposants, qui sont d’ailleurs de plus en plus nombreux. « Si on les laisse faire, les opposants à Énergie Est utiliseront chaque information à leur disposition pour attaquer le projet et TransCanada. » La firme souligne notamment la nécessité d’établir le profil précis des groupes d’opposants. « Dans le but d’ajouter des obstacles aux opposants, nous travaillerons avec des tierces parties et nous les armerons avec l’information dont ils ont besoin pour faire pression sur les opposants et les distraire de leur mission », fait aussi valoir la firme de relations publiques. Ces « tierces parties » pourraient être par exemple des voix « crédibles » recrutées au sein des communautés. Parmi les arguments à mettre en avant, celui des bénéfices économiques semble être en haut de la liste. Edelman estime ainsi qu’à la suite des récentes élections, les Québécois ont tourné le dos à la question nationale et sont désormais plus préoccupés par les problèmes économiques. « Dans ce contexte, le projet Énergie Est pourrait être présenté comme une nouvelle occasion d’insuffler une nouvelle vie dans l’économie du Québec, grâce à la création d’emplois et d’effets indirects positifs sur d’autres secteurs. » La firme recommande par exemple de mettre en avant l’argument des bénéfices économiques afin de mieux faire accepter la construction d’un port pétrolier en plein coeur de la pouponnière des bélugas du Saint-Laurent. « L’impact économique du projet sera un argument fort pour rallier la communauté [de Cacouna] au projet », affirment les auteurs de la stratégie préparée par Edelman. Le projet doit permettre, à terme, de créer 133 emplois directs au Québec. Le pipeline Énergie Est doit faire passer ici 1,1 million de barils de pétrole brut chaque jour, soit l’équivalent de 1335 wagons-citernes. La province deviendra ainsi le point le plus stratégique au Canada pour l’exportation de pétrole des sables bitumineux.
  11. Quartier DIX30 : 100 millions $ pour la phase 3 13 janvier 2011 | 14h47 Alexandre Lampron Agence QMI La construction de la phase 3 du Quartier DIX30, à Brossard, commencera en février et comprendra un nouvel hôtel, une clinique privée et un cabaret de 300 places. Sa construction doit se terminer à l’été 2012 et nécessitera des investissements d’environ 100 millions $. « La phase 3 comptera en tout une soixantaine de boutiques et de restaurants et occupera une superficie qui pourrait avoisiner les 65 000 mètres carrés. Nous sommes à l’étape de la planification afin de déterminer un échéancier précis », a indiqué Brian Fahey, président de la firme de consultation en urbanisme Fahey & associés. Parmi les bannières confirmées, les magasins Germain Larivière et Best Buy feront leur entrée au Quartier DIX30. Ils seront les principaux locataires d’un nouveau bâtiment de15 700 mètres carrés qui qui sera érigé à proximité du Centre sportif Bell. Selon M. Fahey, un investissement minimal de 12 millions $ sera nécessaire pour l’érection de ce bâtiment dont la construction doit débuter « sous peu », car les ententes ont déjà été conclues. La phase 3 inclut également la construction d’un nouvel hôtel « haut de gamme » dont le nom n’a pas été indiqué. En septembre 2007, un Hôtel ALT avait déjà ouvert ses portes au Quartier DIX30. Le nom de la clinique privée n’a pas non plus été précisé. Le montant des investissements et la superficie du cabaret de 300 places n’ont pas encore été divulgués, car le projet doit au préalable être soumis à la firme Devimco pour approbation finale. Le tout devrait se faire au cours des prochaines semaines. Une zone de stationnement de 2000 places est également prévue
  12. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201310/04/01-4696394-genivar-et-wsp-une-acquisition-enorme-deja-digeree.php
  13. Fort de son nouvel appui de 25 millions de dollars de Teralys, le gestionnaire de capital de risque ontarien Celtic House ouvrira un bureau permanent à Montréal. La firme investira aussi des dizaines de millions dans les jeunes entreprises québécoises au cours des prochaines années. Tel que rapporté hier par La Presse Affaires, Celtic House a récolté 105 millions pour mettre sur pied un nouveau fonds de capital de risque. Le quart du financement provient de la firme québécoise Teralys. Or, l'équivalent de ce montant, soit au moins 25 millions, sera réinvesti par Celtic House ou ses partenaires dans des entreprises québécoises. «Tout ce qu'on fait est dans cette optique, dit Jacques Bernier, associé principal de Teralys. Tous les investissements qu'on fait reviennent dans l'écosystème québécois. De plus, l'historique montre que chaque dollar québécois investi en capital de risque attire chez nous deux autres dollars des États-Unis ou d'ailleurs.» L'investissement de Teralys - un réservoir de capital de risque créé en 2009 par Investissement Québec, la Caisse de dépôt et le Fonds de solidarité FTQ - était aussi conditionnel à ce que Celtic House ouvre un bureau permanent au Québec. La firme ontarienne avait de toute façon son homme à Montréal depuis plusieurs années, soit l'associé Pierre-André Meunier. «On va avoir pignon sur rue à Montréal d'ici la fin de l'année», promet M. Meunier, qui cherche actuellement un local à partager avec d'autres investisseurs. Occasions d'investissements La spécialité de Celtic House est de parier sur des entreprises en démarrage qui mettent au point des technologies pour les médias et les communications dans l'espoir de les voir percer et ainsi multiplier sa mise. Pierre-André Meunier affirme avoir déjà à l'oeil plusieurs occasions d'investissements dans ces domaines au Québec. «Il y a ici un pool de compétence et une expertise technique de classe mondiale, ainsi qu'un écosystème de qualité», dit-il. «J'ai des projets dans le collimateur au Québec, et directement dans les segments de marché où Celtic House a fait de l'argent précédemment», a-t-il aussi révélé. http://affaires.lapresse.ca/economie/201205/24/01-4528114-capital-de-risque-celtic-house-ouvre-un-bureau-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS14
  14. Voilà des bonnes nouvelles !!! *** Dix investissements étrangers à surveiller Publié le 17 mai 2012 à 14h04 | Mis à jour le 17 mai 2012 à 14h04 André Dubuc La Presse Dans les dernières semaines, Messier-Dowty, Valeant, CryoCath et Ethanol Grenfield ont annoncé des investissements de 226 millions de dollars dans la région de Montréal. D'autres annonces d'une valeur totale d'environ 300 millions suivront sous peu. La Presse Affaires a eu vent de 10 investissements étrangers en cours ou susceptibles d'être annoncés au cours des prochaines semaines. De quoi tonifier l'économie québécoise qui en a grand besoin. Pfizer: 32 millions Pfizer licencie, Pfizer investit? Il y a toujours de l'action avec l'inventeur du Viagra. En février 2011, la pharma supprimait 150 emplois en R-D à l'ancienne Wyeth, à Saint-Laurent. En juin 2011,Pfizer a inauguré son siège social rénové au coût de 22 millions à Kirkland. Cette fois-ci, il s'agit d'un nouvel investissement de 31,7 millions, dont 2,67 millions d'Investissement Québec. Peu de détails ont filtré jusqu'à présent. Hier, dans nos pages, le nouveau président pour le Canada, John Helou, a dit ne pas vouloir s'engager à faire de nouveaux investissements ou à créer des emplois en échange à un meilleur accès à ses médicaments. Jointe en fin de journée, la porte-parole de Pfizer Canada a refusé de confirmer quoi que ce soit. Nouveau studio pour Speedshape Montréal est peut-être à la veille d'accueillir le studio d'une firme spécialisée dans la conversion de films conventionnel en films de 3D. La firme est aussi connue pour ses animations par ordinateur dans les publicités d'autos. Selon nos informations, SpeedShape, de Detroit, prévoit s'implanter sous peu dans la métropole québécoise avec un investissement de 18 millions. Dans une communication officielle, la firme qui a fait la conversion 3D du film Spy Kids: All the Time in the World évoquait l'ouverture de son bureau montréalais dès juillet 2011. Notre appel laissé au siège social de Detroit est resté sans suite. Selenis Canada: phase 2 Les gens de l'est de Montréal ont bien présente à la mémoire la fermeture de la raffinerie Shell. Le secteur pétrochimique à Montréal est considéré par plusieurs comme moribond. Rare bonne nouvelle, la firme Selenis a ouvert la seule usine de polyéthylène téréphtalate (PET) au pays l'an dernier. Quelque 60 personnes y travaillent. Selenis envisage maintenant la phase 2 de son implantation avec un investissement additionnel de 40 millions. IQ se dit prêt à subventionner le projet à hauteur de 1,65 million. Selenis appartient à Control PET SGPS SA, une filiale du Groupe portugais Imastos Gil. Par courriel, La Presse a tenté sans succès de joindre le chef de la direction Giovanni Iadeluca, actuellement au Portugal. Nouvel agrandissement chez Gameloft Leader mondial dans l'édition de jeux vidéo et sociaux, Gameloft conçoit des jeux pour toutes les plateformes numériques incluant les téléphones mobiles, intelligents et tablettes. Installée au 5800, rue Saint-Denis, à Montréal, Gameloft (environ 400 employés) a dans ses cartons un projet d'investissement de 7,2 millions. Le montant comprend les dépenses en immobilisations et les frais de R-D, mais pas la masse salariale, a-t-on compris. La direction montréalaise n'a pas rappelé. Lors du premier trimestre 2012, les ventes sur téléphones intelligents et tablettes ont progressé de 59% et ont représenté 40% du chiffre d'affaires de la société. SCA à Drummondville, 38 millions à l'étude Ex-usine de la société Cascades, filiale d'une multinationale suédoise, les 200 employés de SCA fabriquent des culottes d'aisance pour adultes, un marché en expansion avec le vieillissement de la population dans les pays occidentaux. SCA mijote un investissement de 38 millions auquel IQ participerait à hauteur de 7,1 millions, dont une subvention de 1,5 million et un prêt sans intérêt de 5,6 millions. L'usine de Drummondville, dans le Centre-du-Québec, nous a référé à sa direction nord-américaine de SCA, à Philadelphie. La porte-parole, Amy Belcourt, a confirmé avoir soumis un projet au gouvernement, mais n'a pas voulu dévoiler les détails. Bonduelle Canada: 13 millions Le français Bonduelle qui a acheté Aliments Carrière (Artic Gardens) en 2007 continue de prendre les bouchées doubles. Il a acheté en mars quatre usines de la société américaine Allens. La société a encore de l'appétit pour le Québec. Selon le quotidien d'information financière Les Échos, de Paris, «ses unités canadiennes ont atteint un niveau de saturation qui ne lui permet pas de profiter de l'essor de la demande». La Presse Affaires a appris que Bonduelle va injecter prochainement 13 millions dans ses installations québécoises. Un tel investissement s'accompagne généralement de nouveaux emplois. IQ versera 900 000$ dans le cadre de l'enveloppe Essor. Ce programme vise à appuyer les projets dans une perspective d'accroissement de la compétitivité et de la productivité, de création d'emplois et de développement durable, notamment en accélérant la concrétisation de projets d'investissement dans le contexte de l'implantation, de l'expansion ou de la modernisation d'entreprises. Emballages Lacroix Situé dans la région d'Argenteuil au nord-ouest de Montréal, Emballages Lacroix, qui fabrique l'emballage design des yogourts Yoplait, injecte 24 millions en équipements neufs en trois ans dans ses usines de Saint-Placide et de Saint-Eustache. Québec donne un coup de pouce de 500 000$. Une cinquantaine d'emplois seront créés. Groupe Lacroix, près de Genève, dans le Jura, emploie 200 personnes au Québec. L'usine de Saint Placide augmente sa superficie de 50%, à 320 000 pieds carrés, précise Nicolas Bouvret, responsable nord-américain des opérations, au téléphone. Lacroix vient par ailleurs de lancer cette semaine une machine en Arizona, pour couvrir l'Ouest américain. Emballages Winpack de Vaudreuil-Dorion Winpak, de Winnipeg, produit des matériaux d'emballage pour les produits alimentaires périssables. Dans son rapport annuel 2011, la société confirme un agrandissement en 2012 à son usine du chemin Dumberry à Vaudreuil-Dorion. Une chaîne d'extrusion/couchage/laminage y sera notamment installée. Selon nos informations, Winpack, cotée en Bourse, investira près de 36 millions dans ses installations du Grand Montréal où elle emploie 350 personnes. Investissement Québec y va d'une subvention de 4,1 millions. JTI-Macdonald Corp. On entend plus souvent parler des cigarettiers dans les palais de justice que dans les pages économiques des journaux par les temps qui courent. La vénérable usine de la rue Ontario, dans le quartier Centre-Sud, à Montréal, a pourtant modernisé sa chaîne de production au coût de 17,5 millions dans les derniers mois. Il s'agit du plus important investissement des 10 dernières années. Cette année, la société a refait une beauté à sa tour de l'horloge. «On a une demande plus accrue sur nos produits depuis quatre ans, explique Michel Poirier, président régional, Amériques. On augmente notre part de marché. On a eu besoin d'un équipement encore meilleur capable de produire de meilleurs produits.» Environ 230 personnes travaillent dans la seule usine canadienne du cigarettier Japan Tobacco International. Construite en 1874, l'usine roule les cigarettes Macdonald Special, au sommet des ventes au Québec. Kronos: 44 millions Varennes rêvait d'une usine de titane éponge de 800 millions en 2007. Son actionnaire en a décidé autrement. À défaut du gros lot espéré, Kronos, qui produit du bioxyde de titane, va actuellement de l'avant avec un investissement en trois phases d'un maximum de 44 millions en 3 ans pour lequel Investissement Québec fournit 8,1 millions. «Le but est réduire nos coûts fixes pour rester concurrentiel», explique le directeur de l'usine Serge Payette. Le gros des investissements sert à l'automatisation de l'ensachage, selon ses dires. L'usine emploie 420 personnes.
  15. This is good news. The guy is a Wall Street pro and brings very good expertise to Mtl financial sector. This fund will manage International, US & Canadian money (vs just Canadian). La Presse Publié le 24 mars 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Au cours des huit dernières années, François Trahan a été désigné cinq fois le meilleur stratège boursier de Wall Street et trois fois le second par le magazine Institutional Investor, la bible du capital. Même s'il continue de gérer sa firme newyorkaise Wolfe Trahan & Co, le stratège va lancer le 2 avril prochain son premier «hedge fund» international, le Fonds Opportunités Trahan qui sera administré par sa nouvelle firme montréalaise Gestion de Capital Trahan. Le Fonds Opportunités Trahan destiné exclusivement aux investisseurs canadiens sera dupliqué en deux fonds miroirs, le Trahan hedge Opportunitys (THO) inscrit à New York pour le marché américain et un autre THO enregistré aux Îles Caïman et destiné aux investisseurs internationaux. «On n'a pas enregistré notre fonds aux Îles Caïman dans le but de permettre aux investisseurs de profiter d'un paradis fiscal. Ça n'a rien à voir. Les caisses de retraite aux Etats-Unis peuvent profiter d'un crédit d'impôt si elles investissent aux Îles. «C'est aussi le seul moyen qu'on avait pour offrir notre fonds à nos clients du Japon, de l'Australie ou de Hong Kong», insiste François Trahan, dans ses nouveaux bureaux du centre-ville de Montréal où il a installé sa nouvelle boîte Gestion de Capital Trahan. Cela fait plusieurs années que François Trahan est sollicité par les démarcheurs du Centre financier international de Montréal pour qu'il vienne s'installer dans la ville où il a obtenu son diplôme en Finances aux HEC. Même le premier ministre Charest lui a fait du genou lors d'un coktail à New York... Mais ce n'est pas pour ces raisons que la star de Wall Street a décidé de revenir chez lui. Après 12 ans à New York, il a décidé au printemps d'installer sa famille à Montréal pour se rapprocher de son père qui était gravement malade. Une semaine sur deux, il retourne à Manhattan pour superviser avec son associé les activités de sa boîte Wolfe Trahan qui compte maintenant 50 employés. «Je voulais lancer mon propre «hedge fund» et j'ai décidé de le faire à Montréal, sans en parler à personne», m'explique le spécialiste boursier. Avec le recul, il estime qu'il aurait mieux valu utiliser ses contacts parce qu'il a trouvé très laborieuses les démarches pour s'enregistrer auprès de l'Autorité des marchés financiers (voir autre texte). Collé à l'économie Comme tous les fonds alternatifs, le Fonds Opportunités Trahan sera offert exclusivement aux investisseurs aguerris, c'est-à-dire aux particuliers qui ont au moins 1 million en actifs financiers et aux investisseurs institutionnels qui utilisent ce type de placement pour réduire le risque de leur exposition aux marchés. «Notre but est de produire à chaque année un rendement positif, peu importe le comportement des marchés. Quand la bourse recule de 40% et que mon courtier me dit que je m'en tire bien avec des pertes de 30%, ce n'est pas vrai que je m'en tire bien. J'ai quand même perdu 30%», explique François Trahan. Il existe quelques fonds alternatifs gérés de Montréal mais leurs actifs sous gestion sont inférieurs à 100 millions. François Trahan anticipe que son fonds génèrera des actifs sous gestion de 1,1 milliard. «C'est le maximum que l'on peut aller chercher. À 1,1 milliard, on peut liquider nos positions en deux jours sans affecter la valeur des titres de notre portefeuille. C'est la norme qu'on a fixée. S'il y a encore de la demande on pourra lancer un fonds Opportunités 2», résume-t-il. La composition du portefeuille de ce fonds sera faite par François Trahan qui s'inspire depuis toujours de la macro-économie pour réaliser ses choix d'actifs. «Je privilégie la spécialité du portefeuille en me basant sur l'analyse quantitative. Je cherche les meilleurs actifs en tenant compte des mouvements de l'économie», explique-t-il. Deux exilés de retour Pour le lancement de sa firme montréalaise, François Trahan s'est associé à Marlyn Bilodeau, une spécialiste de l'investissement qui a longtemps oeuvré elle aussi à New York. Elle a été notamment gestionnaire de risque chez l'assureur AXA et responsable du développement de produits chez Credit Suisse Assets Management. «On a un parcours similaire. Je suis marié à une Américaine et nous avons trois enfants. Marlyn est mariée à un Américain et a trois enfants. On est revenu tous les deux à Montréal en juin dernier à une semaine d'intervalle, sans que l'on se consulte. C'est en lui envoyant un courriel durant l'été que j'ai appris qu'elle était elle aussi de retour au pays», relate avec amusement François Trahan. Marlyn Bilodeau sera président de Gestion de Capital Trahan et François Trahan, Chef des placements. «J'ai trois associés américains dans le financement de la firme mais tout le capital de départ (seed money) du Fonds Opportunités Trahan sera mon argent à moi. J'investi beaucoup d'argent dans ce nouveau fonds», souligne le stratège boursier.
  16. La ville de Montréal s'est hissée au 10e rang du classement des meilleures villes universitaires au monde établi par la firme britannique QS et publié mercredi. La métropole québécoise se glisse ainsi au 2e rang en Amérique du Nord et au 1er rang au Canada devançant ainsi Toronto (26e) et Vancouver (31e). « C’est une nouvelle formidable pour Montréal de figurer à ce palmarès […] aux côtés de ville comme Paris, Londres et Boston, a déclaré dans un communiqué Guy Breton, recteur de l’Université de Montréal. La firme QS a pris plusieurs éléments en compte pour établir son palmarès. Seules les villes de plus de 250 000 habitants comptant au moins deux universités s’étant classée au QS World University Rankings étaient éligibles. Le nombre d’étudiants internationaux, la qualité et le coût de la vie ainsi que l’avis d’employeurs locaux et internationaux sur la valeur des diplômés universitaires de la ville sont des critères retenus pour déterminer le classement. Montréal s'est démarquée pour la qualité de vie et pour le nombre d’étudiants internationaux. QS décrit Montréal comme une ville se distinguant par sa culture hybride et sa créativité. Pour plus de renseignements sur le classement et sur la méthodologie du sondage visitez le site de QS World University Ranking. La ville de Montréal s'est hissée au 10e rang du classement des meilleures villes universitaires au monde établi par la firme britannique QS et publié mercredi. La métropole québécoise se glisse ainsi au 2e rang en Amérique du Nord et au 1er rang au Canada devançant ainsi Toronto (26e) et Vancouver (31e). « C’est une nouvelle formidable pour Montréal de figurer à ce palmarès […] aux côtés de ville comme Paris, Londres et Boston, a déclaré dans un communiqué Guy Breton, recteur de l’Université de Montréal. La firme QS a pris plusieurs éléments en compte pour établir son palmarès. Seules les villes de plus de 250 000 habitants comptant au moins deux universités s’étant classée au QS World University Rankings étaient éligibles. Le nombre d’étudiants internationaux, la qualité et le coût de la vie ainsi que l’avis d’employeurs locaux et internationaux sur la valeur des diplômés universitaires de la ville sont des critères retenus pour déterminer le classement. Montréal s'est démarquée pour la qualité de vie et pour le nombre d’étudiants internationaux. QS décrit Montréal comme une ville se distinguant par sa culture hybride et sa créativité. Pour plus de renseignements sur le classement et sur la méthodologie du sondage visitez le site de QS World University Ranking.
  17. On parle ici d'une maison à Westmount, qui est qualifiée de "Number one home in Canada" dans un article du Architectural Digest. Je vous en recommande fortement la lecture. L'article dans Architectural Digest. La firme d'architectes: http://www.ericjsmitharchitect.com Designer d'intérieurs: http://www.davideastoninc.com/
  18. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201008/26/01-4309871-immobilier-industriel-flottement-post-recession-a-montreal.php
  19. Revitalisation Un nouveau visage pour la rue Jarry Est Le secteur Est de la rue Jarry connaîtra une profonde transformation au cours des prochaines années. Dans le but d’amorcer une véritable revitalisation de cette artère, le conseil d’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension a octroyé, lors de sa séance du 1er juin dernier, un contrat de 108 253 $ à la firme AECOM pour l’élaboration d’une étude de planification détaillée. Le consultant travaillera d’ailleurs en étroite collaboration avec les professionnels de divers services à la Ville ainsi qu’avec les partenaires du milieu que sont les commerçants, les industriels et les organismes communautaires. Une stratégie de développement économique La première étape de cette démarche consistera à mener une étude sur la stratégie de développement économique du secteur. On dressera d’abord un portrait socioéconomique de la population résidant dans la zone de la rue Jarry Est, puis on dénombrera les entreprises actives dans le milieu. Il faudra aussi cerner les besoins des résidants ainsi que les opportunités d’affaires en vue. En plus de jauger le potentiel financier, la firme évaluera les fuites commerciales potentielles et établira des comparaisons avec des projets semblables afin d’établir une stratégie de développement pour l’artère. Urbanisme en tête On abordera ensuite les thèmes de l’urbanisme, du design urbain et de l’architecture. Les experts produiront des analyses qui permettront d’encadrer le redéveloppement immobilier. Réaménagement du domaine public Le troisième volet visera le réaménagement du domaine public où une recension des composantes actuelles devra être effectuée. On compte également proposer des scénarios de réorganisation respectant l’ensemble des objectifs sectoriels, les orientations des documents de planification et d’encadrement adoptés par la Ville. Une évaluation du coût de mise en oeuvre de ces plans d’action devra suivre ces propositions. La totalité des études devra être réalisée d’ici la fin décembre 2010. Au cours de la dernière étape, on produira un plan particulier d’urbanisme où seront intégrées les recommandations résultant des analyses et des discussions précédentes. « http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/arr_vill_fr/media/documents/tournesol_aout_10.pdf
  20. Martin Croteau La Presse L'escouade policière Marteau a investi les locaux du Groupe F. Catania en lien avec le Faubourg Contrecoeur, hier, alors que le ton continue de monter entre la firme et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) au sujet de ce projet immobilier de l'est de Montréal. En matinée, des agents de la Sûreté du Québec, appuyés par des policiers de Longueuil, ont investi le siège social de l'entreprise à Brossard. Ils y ont rencontré des dirigeants et des employés de la compagnie en plus de consulter certains documents. Selon nos sources, la perquisition est liée au Faubourg Contrecoeur, le projet immobilier qui se trouve au coeur du scandale qui a ébranlé la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) dans les derniers mois. Par l'entremise de la SHDM, la Ville de Montréal a vendu au Groupe F. Catania cet immense terrain à l'est de l'autoroute 25. L'évaluation municipale était de 31 millions de dollars, mais la SHDM l'a vendu au prix de l'évaluation marchande de 19 millions. Elle a déduit de ce prix divers frais, dont 11 millions pour la décontamination du terrain. Or, des enquêtes ont établi que la décontamination pourrait avoir coûté beaucoup moins cher - entre 5,9 et 7 millions. L'été dernier, la nouvelle direction de la SHDM a donné jusqu'au 31 janvier au Groupe F. Catania pour lui fournir les factures de la décontamination. La firme a demandé un délai jusqu'au 28 février, mais elle n'a toujours pas rendu les documents, a récemment révélé à La Presse le directeur général de la SHDM, Guy Hébert. Cette sortie a indisposé le Groupe F. Catania, qui a expédié une lettre à la SHDM pour l'aviser qu'elle ne fournirait pas les documents demandés tant que le travail de décontamination ne serait pas terminé, c'est-à-dire à la fin de l'été. «L'idée était que ça allait se négocier entre eux et non sur la place publique, a indiqué le porte-parole de la firme, Philippe Roy. La relation s'est refroidie et le Groupe F. Catania a décidé de ne pas remettre toutes les factures à la SHDM et d'attendre la fin de la décontamination.» La SHDM évaluera donc ses options dans les prochains jours. «Parce qu'on n'a pas encore les documents demandés, on a décidé de confier le dossier à nos procureurs», a indiqué son porte-parole, André Bouthillier.
  21. le 15 novembre 2007 De plus en plus sollicité par le train de banlieue Saint-Jérôme–Montréal, le pont quasi centenaire qui enjambe la rivière des Prairies et relie Laval et Montréal à l'île Perry, au sud du quartier Laval-des-Rapides sera remplacé par un neuf, d'ici la fin novembre. L'intervention, prévue depuis près de deux ans, est nécessaire en raison de l'augmentation de la fréquence des trains de banlieue qui y circulent. «On veut augmenter la capacité du pont. Le train de banlieue est un succès et est toujours en croissance», fait valoir le porte-parole du CP, Michel Spénard. Avant de procéder au remplacement de la vieille structure, le CP procédera au démantèlement de la passerelle piétonnière, où est également aménagée une piste cyclable. Cette opération sera amorcée le lundi 19 novembre et s'échelonnera sur une semaine, précise le porte-parole de la compagnie ferroviaire. La firme de construction Euler, en collaboration avec la firme d'ingénierie MLC Associés, se chargera de cette portion des travaux. «C'est ce qui aura le plus d'impact sur le public», dit-il. Le reste des travaux, soit le remplacement du pont par une nouvelle structure préfabriquée, peut se faire en un week-end, assure-t-il. Si tout se déroule comme prévu, l'horaire du train de banlieue, qui n'est pas en service la fin de semaine, ne sera pas touché. La ligne Saint-Jérôme–Montréal effectue trois arrêts sur le territoire lavallois: à Sainte-Rose, Vimont et à la station intermodale Concorde. L'ensemble des travaux, y compris la réinstallation de la passerelle, devrait être achevé au plus tard le lundi 17 décembre. Le remplacement du pont devrait se faire en un week-end, estime le Canadien Pacifique.
  22. Le marché de l'immobilier commercial tarde à reprendre 17 août 2009 | 16h51 Brenda Bouw LA PRESSE CANADIENNE Si le marché de l'immobilier résidentiel donne des signes de regain de vie au Canada, on ne peut en dire autant du marché de l'immobilier commercial, si on se fie à des données rendues publiques lundi. Le marché de l'immobilier commercial comprend les tours à bureaux, les emplacements industriels et les espaces de vente au détail. Selon les données de la firme CB Richard Ellis, les transactions dans ce secteur ont plongé de plus de 50 % pendant le premier semestre de 2009, comparativement à l'an dernier. Les valeurs de ces transactions ont atteint quelque 4,9 G$ entre janvier et juin, contre 10 G$ au même moment l'an dernier. Le nombre de transactions s'est aussi effondré, passant de 2542 à 1569. « L'impact de la récession mondiale sur le marché de l'immobilier commercial n'est pas encore terminé », a dit le vice-président de CB Richard Ellis, John O'Bryan. Il a expliqué que ce marché est lié beaucoup plus étroitement à l'état général de l'économie, et qu'on n'y retrouve donc pas le même regain de vie que sur le marché résidentiel. « Il y a une différence énorme entre les deux marchés; un semble semble complètement remis, l'autre se redresse plus lentement », a dit M. O'Bryan. Il estime que l'année 2010 sera difficile pour le marché immobilier commercial aux États-Unis, en raison de la robustesse du taux de chômage et des entreprises qui cherchent encore des moyens de réduire leurs coûts. Le taux d'inoccupation des espaces commerciaux a augmenté à 8,3 % au Canada au deuxième trimestre, contre 6,4 % l'an dernier. L'analyste Adrienne Warren, de la Banque Scotia, a expliqué que le marché de l'immobilier commercial récupère plus lentement que d'autres secteurs, parce que les projets sont de grande envergure et qu'ils nécessitent des années et beaucoup d'argent à développer. « Il faut trouver plusieurs locataires et beaucoup de financement garanti. C'est plus compliqué », a-t-elle dit. Elle ajoute que bon nombre de projets lancés alors que l'économie se portait mieux sont maintenant terminés, ce qui gonfle le taux d'inoccupation dans des villes comme Calgary et Toronto. Elle s'attend à voir ces taux augmenter encore avant de redescendre. Mme Warren précise toutefois que l'excédent n'est pas aussi criant que pendant les années 1980 et 1990, quand le taux d'inoccupation avoisinait les 15 %. « Aujourd'hui, nous sommes plus prudents concernant la construction et les prêts », a-t-elle dit. Pour sa part, la firme PriceWaterhouseCoopers estime que le Canada devra encore surmonter des « obstacles importants » avant de voir son marché de l'immobilier commercial reprendre du mieux. La firme affirme même que les conditions se font de plus en plus difficiles, notamment en raison d'un resserrement de l'accès au crédit et d'une réduction de l'intérêt des investisseurs envers les titres adossés à des hypothèques commerciales. Le secteur souffre aussi de la faiblesse financière et de la croissance faible de plusieurs locataires.
  23. Patrimoine - Les églises d'Hochelaga-Maisonneuve auront une idée de leur sort en août Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du jeudi 09 juillet 2009 Mots clés : Fermeture, Hochelaga, Patrimoine, Église (immeuble), Montréal Les deux églises du quartier Hochelaga-Maisonneuve menacées de fermeture devront encore patienter quelques semaines avant d'être fixées sur leur sort. La semaine dernière, le comité de sauvegarde des deux lieux de culte a donné jusqu'à la fin d'août à une firme d'architectes et à une compagnie spécialisée en rénovation patrimoniale pour remettre des dossiers sur l'avenir des deux églises. «On aura des propositions beaucoup plus intéressantes avant la fin de l'été», résume Carole Poirier, députée de la circonscription à l'Assemblée nationale et porte-parole du comité. «Les solutions seront présentées à la population cet automne. Ce sera une forme de consultation.» Les deux églises catholiques, Très-Saint-Nom-de-Jésus et Saint-Clément, situées près l'une de l'autre dans la rue Adam, n'attirent presque plus de fidèles et coûtent des centaines de milliers de dollars à entretenir chaque année. L'évêché a donc décidé de les fermer au culte. L'objectif à moyen terme vise la construction de logements sociaux sur le site de Saint-Clément. Les esquisses préliminaires n'ont pas satisfait le comité. Les architectes doivent en livrer de nouvelles à la fin d'août. «Nous avons eu des discussions sur la préservation de l'église comme telle, explique Carole Poirier. On comprend bien qu'il ne sera pas possible de tout préserver. Nous avons tenté d'établir un compromis autour des sections à préserver absolument. Les architectes vont travailler à partir de ces idées.» Il est également envisagé de transformer la nef ou d'autres parties en centre de diffusion ou de création artistique. Des logements pour les artistes pourraient aussi être intégrés au projet, mais il y a loin de la coupe aux lèvres. «Il y a plusieurs groupes associés au projet parce qu'on veut mettre en place un mouvement d'économie sociale, dit Mme Poirier. Les services connexes seront tous offerts par des organismes de l'économie sociale présents dans Hochelaga-Maisonneuve.» Une douzaine de personnes assistaient à la rencontre de la semaine dernière. Le comité a aussi décidé d'octroyer un contrat pour l'examen de la structure de Très-Saint-Nom-de-Jésus. La firme recommandée par le ministère de la Culture doit déterminer la nature et le coût des travaux à réaliser à court, à moyen et à long terme sur la structure de l'édifice centenaire. Avec ses 5000 mètres carrés, ce temple a la taille d'une cathédrale romano-bysantine. L'orgue de tribune de la maison Casavant frères (opus 600), installé en 1915, est toujours un des plus puissants au monde. L'orgue a été restauré pendant la dernière décennie, avec l'aide de l'argent public, mais aussi de dons des citoyens. Si l'église doit être démolie, le comité étudie la possibilité de conserver l'instrument de 91 jeux, répartis sur quatre claviers, dans l'église voisine de la Nativité. Cette seule opération délicate coûterait trois quarts de millions. http://www.ledevoir.com/2009/07/09/258364.html
×
×
  • Créer...