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  1. Ça ne dit pas ce qu'ils vont faire avec l'édifice sur Saint-Jacques via LaPresse : Publié le 11 février 2014 à 06h39 | Mis à jour à 06h39 Le Groupe financier TD déménage à l'édifice CGI ANDRÉ DUBUC La Presse La Banque TD (T.TD) quittera la rue Saint-Jacques à la fin de 2014, mettant fin à une présence ininterrompue de 154 ans sur l'artère qui a longtemps symbolisé le coeur financier du Canada. L'institution financière, qui connaît une expansion de son volume d'affaires dans la province depuis 10 ans, déménage son bureau régional pour le Québec à l'édifice CGI, dans la Cité du commerce électronique, dans le secteur ouest du centre-ville de Montréal, boulevard René-Lévesque Ouest. «Étant donné notre expansion, on n'a plus de place ici. On est obligés de s'en aller», a dit Christine Marchildon, première vice-présidente, réseau de succursales, du Groupe Banque TD, au sujet de l'emplacement actuel, au 500, rue Saint-Jacques. Environ 450 employés déménageront au 1350, boulevard René-Lévesque Ouest, où ils occuperont près de 100 000 pieds carrés, soit quatre étages au complet. Synergies «Le fait de se regrouper va créer des synergies entre les lignes d'affaires, a-t-elle poursuivi. C'est beaucoup plus facile de travailler ensemble et d'analyser les stratégies qui vont nous permettre de gagner dans le marché quand on est physiquement les uns avec les autres.» Mme Marchildon, qui porte aussi le titre de présidente, direction Québec, de la banque, a accordé une entrevue à La Presse Affaires la semaine dernière. L'institution financière poursuit la stratégie «Une seule TD» dont l'objectif est de regrouper ses différentes gammes de services sous un chapeau commun afin de gagner des parts de marché en allant chercher la meilleure portion possible du portefeuille de ses clients. Les services visés sont les services de détail, la gestion de patrimoine (aussi connue sous le nom TD Waterhouse) et les services aux entreprises. Au rez-de-chaussée de l'édifice CGI, TD Canada Trust ouvrira une succursale. Le groupe financier, qui emploie quelque 5000 personnes au Québec, ne délaisse pas sa clientèle du Vieux-Montréal pour autant, puisque la succursale de la rue Saint-Jacques, au coin de McGill, déménagera de trois pâtés de maisons plus au nord, au rez-de-chaussée de la tour Aimia, qui est actuellement en construction au coin de Viger et Beaver Hall. «La succursale est beaucoup trop grande pour nos besoins. C'était la succursale principale. On a pris la décision de déménager cette succursale», a expliqué la première dirigeante de la TD au Québec. Loyers plus abordables De leur côté, les 800 employés travaillant au sein des services administratifs s'en vont d'ici la fin de l'année au 7250, rue du Mile-End, dans le quartier Villeray, entre les stations de métro De Castelnau et Parc. Ils loueront 103 000 pieds carrés, répartis sur trois étages. Il s'agit entre autres des équipes des services téléphoniques bancaires et des services de crédit. Dans cette portion de la ville, où abondent d'anciennes manufactures converties en immeubles de bureaux, les loyers sont plus abordables qu'au centre-ville. La Banque Laurentienne fut l'une des premières à agir en ce sens quand elle a déménagé ses services administratifs un peu plus au nord, au 555, Chabanel, au début des années 2000. À noter que TD Assurance, aussi connu sous le nom de Meloche Monnex, reste dans ses bureaux du boulevard Crémazie, le long de l'autoroute Métropolitaine. ------------------- Groupe Banque TD au Québec > 5000 employés > 124 succursales > 6 centres bancaires commerciaux > Présentateur officiel du Festival international de jazz jusqu'en 2019 © 2014 La Presse inc., une filiale de Gesca. Tous droits réservés.
  2. Le parc Roland-Giguère a été conçu par la firme NIP Paysage dans le cadre d'un concours mené conjointement par l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et l'équipe de Design Montréal. Roland Giguère (Montréal, le 4 mai 1929- Montréal, le 17 août 2003) était poète, typographe, éditeur, maquettiste, graveur, lithographe et vivait dans le quartier Ahuntsic. Le parc est situé près de l'intersection des boulevards Henri-Bourassa et de l'Acadie, au coeur d'un ensemble immobilier résidentiel d'envergure, Cité l'Acadie, qui comptera à terme plus d'un millier de logements. Réalisé avec l'appui financier du ministère de la Santé et des Services sociaux et l'Institut national de la santé publique du Québec, le parc constitue un espace de verdure significatif pour les résidents et contribue à la réduction des îlots de chaleur urbains. De plus, il comporte la particularité d'être doté d'un système de brumisation permettant de rafraîchir les aires de jeux en période estivale.
  3. La métropole figure de mieux en mieux au palmarès du Global Financial Center Index, gravissant deux échelons pour se hisser au dix-huitième rang des places financières mondiales. Dans cette 11e édition du palmarès de mars 2012, réalisé d'après une analyse de l'environnement d'affaires et un sondage auprès de financiers partout dans le monde, Montréal est maintenant établie comme un centre financier d'envergure internationale. La métropole rayonne notamment parce qu'elle héberge plusieurs joueurs d'importance dans tous les secteurs, notent les auteurs du palmarès. Outre ses gains au palmarès mondial, Montréal gravit également les échelons du Top 10 des Amériques. Dernière en 2011, elle est maintenant 8e, devant Calgary et Sao Paulo. C'est grâce à ses activités de gestion de caisse de retraite que la métropole retient l'attention dans les Amériques. Sa spécialisation dans le logiciel financier, notamment, lui permet de marquer des points. http://newsletter.cfimontreal.com/1340134321/fr/
  4. (Montréal) La réputation de Montréal gagne des points parmi les principales villes financières du monde, selon un palmarès international établi par des firmes d'analyse établies à Londres et que La Presse Affaires a obtenu. Montréal se situe maintenant au 18e rang des principaux «centres financiers du monde», deux rangs de plus que sa 20e position de l'an dernier dans ce palmarès qui comprend 77 villes. Dans les Amériques, Montréal se maintient au huitième rang parmi les 13 principaux centres financiers, derrière ses plus proches voisines Toronto (3e continentale et 10e mondiale) et Boston (4e continentale et 11e mondiale). Montréal devance encore dans ce palmarès les métropoles latino-américaines São Paulo, Mexico et Rio de Janiero. Au niveau canadien, Montréal conserve aussi son troisième rang parmi quatre centres financiers; derrière Toronto et Vancouver (17e mondial), mais devant Calgary (28e mondial). Ce palmarès est compilé par deux firmes londoniennes d'analyse du secteur financier, Long Finance et Z/Yen Group. Il est établi avec le soutien financier du Qatar Financial Center, un organisme de promotion économique qui relève du gouvernement du Qatar. Selon ce palmarès, Londres peut encore prétendre au premier rang mondial des centres financiers, devant New York, Hong Kong et Singapour. Mais à l'avantage du Canada, la présence de trois villes dont Montréal parmi le top-20 mondial représente une bonne note qui excède le poids relatif de l'économie canadienne sur l'échiquier mondial. Cette prestance du Canada parmi les centres financiers du monde a d'ailleurs valu à Gordon Campbell, haut-commissaire (ambassadeur) du Canada à Londres, de rédiger le préambule de l'édition 2012 du palmarès. Après avoir vanté la tenue avantageuse du Canada lors des années de crise financière et de récession, M. Campbell souligne à propos de Montréal sa «forte expertise» en gestion de caisses de retraite, ainsi que sa primauté dans le développement de logiciels pour le secteur des services financiers. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201203/21/01-4507746-palmares-des-villes-financieres-montreal-gagne-en-reputation.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS10
  5. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201202/15/01-4496134-state-street-concentre-des-activites-a-montreal.php
  6. MONTREAL, le 27 mars Annonce et dévoilement officiel du projet de renouvellement des outils d'interprétation du Biodôme, un projet qui démarre grâce à l'appui du Groupe Financier Banque TD via la Fondation TD des amis de l'environnement. -------------------------------------------------------------- Date le mercredi 28 mars 2007 Heure 10 h 30 Lieu Biodôme de Montréal 4777, avenue Pierre-de Coubertin
  7. Montréal veut son quartier de la finance Mise en ligne 15/11/2007 04h00 Photo © Corbis Géraldine Martin Le Journal de Montréal Après le «quartier des spectacles», pourquoi pas le «quartier de la finance»? C’est l’idée de Jacques Girard, président-directeur général par intérim de CFI Montréal, qui songe à créer une grappe dans le secteur financier à Montréal tout comme il en existe déjà dans le secteur de l’aérospatiale, par exemple. M. Girard a déjà eu deux rencontres à ce sujet avec les entreprises du secteur financier et la Ville de Montréal. Une rencontre avec la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, est également dans les plans. Selon M. Girard, Montréal dispose de tous les ingrédients pour développer une grappe dans le secteur de la finance. «Ayant notamment constaté que le monde financier se développe là où il y a une réalité universitaire intéressante, pourquoi ne pas tenter de faire croître la place financière de Montréal en se donnant des mécanismes de coordination?», nous a-t-il confié. Montréal possède quatre grandes écoles de gestion et universités qui accueillent chaque année près de 20 000 étudiants. «Il y a une force réelle à Montréal», assure M. Girard. Toujours pertinent Dans son projet, pas question toutefois de supprimer les centres financiers internationaux, ce programme qui offre des avantages fiscaux aux entreprises et aux personnes qui viennent faire de la finance internationale à Montréal. Idéalement, le programme s’inscrirait dans le cadre de la grappe. «Il faut bonifier le programme, sinon il risque d’être marginalisé», soutient Frank Zampino, président du Comité exécutif de la Ville de Montréal, qui siège au conseil de CFI Montréal, l’organisme qui fait la promotion du programme fiscal. Les deux hommes assurent que le programme a encore toute sa raison d’être. «C’est un programme qui a donné des résultats et qui continue de donner des résultats», affirme M. Girard. En plus de retenir à Montréal des spécialistes qui seraient peut-être allés à Toronto, le programme, soutient-il, est allé chercher chaque année, depuis 2005, de six à huit nouveaux CFI. Et si, dans les chiffres, ça ne se voit pas forcément, c’est qu’il y a eu des fusions et des acquisitions, dit-il. √ Une grappe regroupe des entreprises d’un même secteur d’activité. L’idée est de partager certaines ressources pour être plus compétitif. √ Le projet des grappes est une initiative de la Communauté métropolitaine de Montréal. Il en existe quatre actuellement, dont trois qui sont hébergées chez Montréal International. √ Jacques Girard était président de Montréal International entre 1996 et 2003.
  8. C'est tout de même la preuve de la résilience de notre ville, quand elle réussit à s'organiser malgré le mépris des gouvernements supérieurs (fédéral ou provincial, tout dépendant du dossier.....)! http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201011/08/01-4340321-grappe-financiere-montreal-devra-se-passer-du-federal.php
  9. Comment réanimer le Montréal financier François Normand . Les Affaires . 14-05-2010 Le recul de la métropole sur l'échiquier de la finance canadienne n'est toutefois pas inéluctable. Photo : lesaffaires.com Déménagement de sièges sociaux, perte du négoce des actions, exode de cerveaux financiers : Montréal souffre depuis près de 50 ans d'un long déclin dans le domaine financier. Il y a un demi-siècle, la métropole pouvait se targuer d'être le coeur financier du Canada. Aujourd'hui, elle est reléguée à un rôle de second plan, derrière Toronto et Vancouver. Le recul de la métropole sur l'échiquier de la finance canadienne n'est toutefois pas inéluctable. Montréal peut jouer à nouveau un rôle important. Le franc succès de Singapour - la cité-État d'environ cinq millions d'habitants s'est hissée en quelques décennies au quatrième rang mondial du palmarès des plus grands centres financiers du monde, selon la dernière édition du Global Financial Centres Index, grâce à une fiscalité avantageuse - montre que tout est possible quand une ville a une vision qui fera d'elle un leader du monde financier. Montréal, qui est au 32e rang des centres financiers du monde, a besoin d'électrochocs pour réanimer ses activités de gestion de portefeuille, de transactions de produits dérivés ou encore de contrats d'assurance. Lesquels ? Voici l'ordonnance d'une douzaine d'analystes, de financiers et de gestionnaires de portefeuille d'ici et d'ailleurs. 1. Dotons-nous d'une vision commune, ça presse La finance à Montréal, quel est son numéro de téléphone ?, pourrait-on dire en paraphrasant la célèbre expression du secrétaire d'État américain Henry Kinsinger à propos du manque d'unité de l'Europe. C'est un des problèmes du Montréal financier : il n'a pas d'organisme unique, comme le Toronto Financial Services Alliance (TFSA), pour parler au nom des acteurs clés qui gravitent dans le domaine, des financiers aux universitaires en passant par les gouvernements. Or, il est impératif que la communauté financière montréalaise ait une vision commune sur ce qu'elle veut faire (marchés visés, stratégies d'attraction, concurrents à contrer, etc.). Sans ce projet commun, les efforts pour redynamiser Montréal sont inutiles, selon l'avocat Jean Martel, associé chez Lavery, de Billy. " S'il n'y pas de sensibilité pour ces questions-là, on ne se rendra pas au premier but ! ", dit l'ancien président de la Commission des valeurs mobilières du Québec. Aussi, la volonté de Québec de mettre sur pied une table de concertation pour justement déterminer cette vision est bien vue dans le milieu financier. Cependant, il faut faire vite, et accoucher d'un projet commun concret et réaliste, disent les analystes. Pour Louis Régimbal, associé et responsable du secteur financier chez SECOR, la renaissance de Montréal passe par une niche bien définie pour la métropole, comme les produits dérivés - la spécialité de la Bourse de Montréal, grâce à ses options et à ses contrats à terme - et le secteur de l'assurance, en tablant sur la présence de Standard Life et d'Axa. Montréal pourrait également devenir un centre financier en énergie grâce à l'industrie gazière en émergence au Québec, souligne Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille chez Claret. " Montréal pourrait jouer dans l'est du Canada le même rôle que Calgary. " Steve Gauthier, vice-président du Centre financier international de Montréal, un organisme qui se consacre au développement de Montréal à titre de place financière internationale, estime que la métropole pourrait aussi devenir un pont entre les États-Unis, l'Europe, et les économies émergentes, où les besoins financiers explosent. Enfin, plusieurs observateurs estiment que la communauté financière montréalaise doit se mobiliser pour que le Québec ne perde pas son unique régulateur - l'Autorité des marchés financiers - au profit d'une éventuelle commission fédérale des valeurs mobilières qui serait probablement située à Toronto. La perte de l'AMF drainerait encore d'autres ressources financières vers la métropole canadienne, comme des avocats spécialisées en valeurs mobilières, sans parler d'une perte de contrôle de Québec sur le secteur financier. Pour l'ex-premier ministre Bernard Landry, la souveraineté serait le seul rempart contre cette éventualité. 2. Donnons un grand coup de barre pour réduire les impôts Si elle veut attirer l'élite financière, Montréal devra offrir quelque chose que les autres places financières n'ont pas, notamment sur le plan fiscal. " Il faudrait bonifier au maximum le crédit d'impôt pour attirer les financiers internationaux ", croit Denis Durand, associé principal chez Jarislowsky Fraser. Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille chez Claret, va plus loin. Selon lui, Québec devrait carrément abolir pendant 10 ans l'impôt des sociétés financières et des financiers qui viennent s'établir dans la métropole. " Le gouvernement se priverait de revenus à court terme, mais il pourrait les accroître à moyen terme grâce à l'activité économique générée par l'arrivée de nouvelles entreprises et de nouveaux acteurs à Montréal ", dit-il. Pour attirer des experts, Steve Gauthier, vice-président du Centre financier international de Montréal, estime qu'il faut réduire l'impôt des particuliers. " C'est le plus élevé en Amérique du Nord. C'est là que le bât blesse ! ", dit-il. Selon lui, l'impôt des sociétés n'est pas vraiment un frein : à 29,9 % (taux provincial et fédéral combinés), c'est en fait le plus bas en Amérique du Nord. Pour sa part, Claude Béland, président du Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) et ancien dirigeant du Mouvement Desjardins, affirme que Québec doit accorder plus d'autonomie fiscale à Montréal, afin que la métropole puisse imposer directement, au niveau qu'elle souhaite, les sociétés financières et les financiers. Cela dit, aucun analyste ne suggère que Montréal devienne un paradis fiscal (impôt insignifiant ou inexistant, absence de transparence du régime fiscal et d'échanges de renseignements fiscaux avec d'autres États). Le Canada se trouve sur la " liste blanche " de l'Organisation de coopération et de développement économiques (États ou territoires qui ont mis en oeuvre des normes internationales en signant au moins 12 accords conformes à ces normes), et il doit y rester. " Nous avons la certification de l'OCDE, c'est un avantage énorme ", dit Steve Gauthier. Du reste, la fiscalité ne serait pas un élément si important aux yeux des financiers, selon Louis Régimbal, associé et responsable du secteur financier chez SECOR. " Ce qui compte vraiment, c'est l'infrastructure et l'expertise technologique, comptable, actuarielle, sans parler de la gestion du risque ", dit-il. 3. Confions plus de mandats aux gestionnaires locaux Les Québécois ont souvent tendance à croire que ce qui se fait ailleurs est meilleur, et la finance n'échappe pas à cette logique. " Cette perception est forte dans l'industrie ", déplore Jean-Luc Landry, président de Landry Morin, une firme de gestion de portefeuille. Or, plusieurs sociétés montréalaises décrochent d'importants mandats internationaux d'investisseurs étrangers qui font davantage confiance aux financiers de Montréal qu'à ceux de... New York, Londres ou Hong-Kong. Hexavest, une firme spécialisée dans la gestion d'actions, en est un bel exemple. Fondée en 2004, elle vient de décrocher un mandat avec le National Pension Service of Korea, qui gère un portefeuille de 250 milliards de dollars américains. Si Montréal veut redevenir une place financière d'envergure, les gestionnaires de portefeuille locaux doivent avoir plus de contrats. " C'est l'activité financière qui génère l'activité financière ", dit Vital Proulx, président d'Hexavest. C'est pourquoi Bâtirente, le système de retraite de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), confie souvent des mandats de gestion d'actifs à de jeunes firmes québécoises, comme à Hexavest à ses débuts. " C'est sûr que nous prenions un certain risque, mais nous avons commencé par de petits mandats ", confie Daniel Simard, coordonnateur de Bâtirente. Cette politique d'appui aux gestionnaires locaux est bonne pour Montréal car elle crée des acteurs qui se démarquent sur les marchés internationaux, ce qui peut inciter des investisseurs étrangers à confier des mandats à d'autres financiers montréalais. Selon Daniel Simard, cette politique est aussi avantageuse pour Bâtirente : la proximité permet d'exercer une meilleure supervision des activités des gestionnaires que si ces derniers se trouvaient à Toronto ou à New-York, mais aussi de réduire les coûts de transport pour aller rencontrer les financiers qui gèrent le capital des retraités de la CSN. Pour sa part, Jean-Luc Landry affirme que les grandes banques de Montréal devraient soutenir davantage les petites firmes de gestion de portefeuille, dont plusieurs éprouvent des difficultés depuis l'affaire Norbourg, les petits investisseurs hésitant à leur confier leur économies. Vital Proulx abonde dans le même sens. Les institutions financières et les investisseurs institutionnels devraient confier systématiquement un certain pourcentage de la gestion d'actifs à des firmes locales, une pratique courante aux États-Unis, selon lui. 4. Maraudons l'élite financière mondiale Dans la foulée de la crise financière, les États-Unis et l'Europe resserrent la bride du secteur financier. Montréal doit en profiter pour courtiser et attirer ici des financiers étrangers qui pourraient s'inquiéter de l'impact de ces réformes sur leurs activités. La réforme dans le secteur des produits dérivés est intéressante pour Montréal. Les États-Unis et l'Europe veulent réduire le risque associé à des produits non réglementés comme comme les swaps sur défaillance (credit default swap), qui visent à assurer le risque de défaut de paiement. Washington et Bruxelles veulent que ces produits dérivés, négociés de gré à gré, soient réglementés. Or, c'est le type de produits qu'offre la Bourse de Montréal, avec ses contrats à termes et ses options sur actions. " Le seul marché organisé de produits dérivés au Canada est à Montréal ", dit l'avocat Jean Martel, associé chez Lavery, de Billy. Dans ce contexte, Montréal doit convaincre des acteurs financiers de négocier leurs produits dérivés par la Bourse de Montréal, et celle-ci doit s'assurer d'offrir une diversité de produits pour répondre à la demande. Selon Denis Durand, associé chez Jarislowsky Fraser, Montréal pourrait tenter d'attirer des institutions financières américaines en leur faisant valoir que la réforme américaine ressemblera à la réglementation canadienne, qui fonctionne bien. 5. Faisons connaître nos forces au reste du monde Tout comme l'Ontario, Montréal devrait mener une campagne publicitaire énergique dans les grands médias économiques internationaux pour se mettre en valeur. Expertise de calibre mondial, main-d'oeuvre bilingue, structure de coût concurrentielle, Montréal compte plusieurs avantages en tant que place financière. En termes relatifs, Montréal compte plus de CFA - le diplôme d'analyse financière le plus prestigieux du monde, selon The Economist - que New York, soit 1 800 par rapport à 6 800. Or, New-York est le coeur de la finance internationale, et compte près de 20 millions d'habitants, soit six fois plus que la grande région de Montréal. Mais cette expertise n'est pas exploitée, dit Louis Régimbal, associé et responsable du secteur de la finance chez SECOR. " Montréal a une pépinière de CFA, malheureusement, bon nombre d'entre eux doivent quitter la ville pour trouver de l'emploi ", dit-il. Selon Steve Gauthier, vice-président du Centre financier international de Montréal, la métropole a aussi une structure de coûts avantageuse pour les société financières." L'impôt des sociétés le plus bas en Amérique du Nord, les espaces à louer au mètre carré ne coûtent pas cher, et l'industrie financière affiche un faible taux de roulement ", dit-il, en ajoutant que Montréal a l'avantage d'être à proximité de quatre grands centres financiers, Toronto, New York, Chicago et Boston. La diversité culturelle de Montréal est un bénéfice encore méconnu à l'étranger : les financiers sont souvent bilingues, ce qui facilite les échanges avec les clients et les partenaires mondiaux. Les villes multiculturelles comme Montréal sont également souvent plus ouvertes aux influences extérieures, et à l'affût des nouvelles tendances, y compris en finance. Enfin, le style de vie de Montréal, plus près de l'Europe, peut séduire des financiers européens qui voudraient s'installer en Amérique du Nord. " C'est un environnement plus facile à comprendre que celui de Toronto ", dit Denis Durand, gestionnaire de portefeuille et associé chez Jarislowsky Fraser.
  10. Un déficit historique de 4,7 milliards en Alberta Publié le 09 février 2010 à 20h14 | Mis à jour à 21h15 La Presse Canadienne Edmonton Le gouvernement progressiste-conservateur de l'Alberta a présenté mardi un budget qui prévoit un déficit historique de 4,7 milliards $ mais aucune coupe budgétaire importante et aucune hausse d'impôt. Le ministre des Finances de la province, Ted Morton, s'est déclaré mécontent de déposer un budget déficitaire mais confiant que son plan financier général permettrait à l'Alberta de sortir du rouge d'ici 2012. Le grand gagnant de ce budget est le secteur de la santé. Non seulement le gouvernement épongera la dette de 1,3 milliard $ de l'agence de santé albertaine, mais il augmentera aussi son budget de six pour cent par an durant les trois prochaines années. Le secteur de l'éducation n'est pas en reste puisque les conseils scolaires se partageront 250 millions $ de plus, principalement pour faire face à la hausse des inscriptions dans les établissements scolaires. Les programmes destinés aux personnes âgées ou souffrant d'une incapacité recevront aussi un peu plus d'argent afin de conserver les services existants. Des fonds ont également été débloqués pour l'embauche de 100 nouveaux policiers. Mais toutes ces largesses ont un prix. Pour respecter ses promesses, le gouvernement de l'Alberta devra puiser près de 5,8 milliards $ durant le présent exercice financier dans un fonds d'épargne de 15 milliards $ mis sur pied grâce aux surplus des années précédentes. Il prévoit faire de même en 2011 et en 2012, ce qui pourrait bien mettre ses économies à sec. Quinze ministères, dont ceux de l'Agriculture, de la Culture, du Développement durable, de l'Enseignement postsecondaire, de l'Environnement et des Services à l'enfance, devront composer avec des réductions budgétaires de 1,3 milliard $. Quelque 250 employés de la fonction publique albertaine, qui en compte 27 000, pourraient aussi perdre leur emploi. Il s'agirait des premières mises à pied au sein du gouvernement depuis plus d'une décennie.
  11. Publié le 20 juillet 2009 à 06h44 | Mis à jour le 20 juillet 2009 à 06h45 Percées de soleil, risques d'orages Sur le front de l'économie, les nouvelles encourageantes se succèdent. Aux États-Unis, les géants financiers Goldman Sachs et JPMorgan Chase ont rapporté de spectaculaires profits pour le deuxième trimestre de l'année. En Chine, la croissance a été de 7,9% au cours des trois derniers mois, ce qui laisse penser que l'Empire du Milieu atteindra son objectif de 8% pour l'année. Selon les experts consultés par Bloomberg, les ventes de maisons chez nos voisins du Sud devraient avoir atteint en juin leur plus haut niveau depuis octobre 2008. Et pour la première fois, l'administration Obama fait publiquement preuve d'optimisme: le secrétaire au Trésor, Tim Geithner, a parlé jeudi dernier d'«importants signes de reprise». Bref, le pire semble passé. Toutefois, l'économie américaine (et donc l'économie mondiale) reste exposée à des risques considérables. Et avant que la reprise ne s'installe pour de bon, beaucoup de gens vont perdre leur emploi, ou leur maison, ou les deux. Malgré son bénéfice de 3,4 milliards de dollars américains au second trimestre, la situation de JPMorgan Chase révèle à quel point l'économie américaine reste fragile. La banque a fait son argent dans le secteur de l'investissement. Au chapitre du crédit à la consommation et des prêts hypothécaires, par contre, elle a subi des pertes importantes. Le crédit personnel a aussi plombé les résultats de la Bank of America. Ainsi, sa division de cartes de crédit a perdu 1,6 milliard au cours du deuxième trimestre. Enfin, le groupe financier CIT, important prêteur aux PME, se retrouve au bord de la faillite. On peut toutefois voir comme un signe encourageant le fait que les Bourses n'ont pas paniqué devant cette perspective et que Washington a refusé de venir en aide à CIT. De toute évidence, on estime que l'économie est désormais assez solide pour résister à la faillite d'un acteur de moyenne importance. L'envers de cette stabilisation, c'est que les mauvaises habitudes semblent revenir au galop. En vertu de son système de rémunération, Goldman Sachs pourrait verser une moyenne de 770 000$ à chacun de ses 29 000 employés en 2009. Les plus hauts dirigeants recevront des dizaines de millions. Ne s'agit-il pas du genre de pratiques qui ont poussé les banquiers à prendre des risques excessifs dans le passé? Avec la confiance qui revient, le secteur financier relève la tête et combat plus férocement les nouveaux contrôles envisagés par les gouvernements. La semaine dernière, le patron de JPMorgan a averti l'administration Obama que la réglementation plus sévère imposée aux émetteurs de cartes de crédit nuira considérablement à ce secteur déjà en difficulté. Les gouvernements doivent certes se garder d'aller trop loin. Mais après ce qui s'est passé depuis un an, le secteur financier ne peut pas espérer qu'on lui fasse aveuglément confiance. Souhaitons par ailleurs que les petits investisseurs aient appris de la crise que, peu importe la sévérité des règlements, ils sont les premiers responsables de la protection de leurs avoirs. Il leur faut s'informer, diversifier leurs placements, épargner, ne s'endetter qu'avec prudence. Et surtout, se tenir loin de ceux qui leur promettent des rendements miraculeux. apratte@lapresse.ca
  12. Mercredi 15 Juillet 2009 à 23h01 Un banquier de la LNH en déroute Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le groupe financier CIT est au bord de la faillite. Après avoir tergiversé pendant plusieurs jours, l’administration Obama a finalement choisi de ne pas se porter à la rescousse de cette institution financière vieille de 101 ans. Ce groupe financier établi à New York l’a révélé en tout début de soirée, après que la négociation de son titre à la Bourse de New York eut été arrêtée quelques heures plus tôt. Aux yeux du gouvernement, CIT ne tombe pas dans la catégorie des institutions financières qui sont dites trop importantes pour tomber. Son actif sous gestion, de 75 milliards de dollars américains, est le dixième de celui de la défunte banque d’affaires Lehman Brothers. Toutefois, la clientèle de ce banquier se compose essentiellement de PME américaines, notamment dans l’industrie de la guenille. Ainsi, la faillite de CIT, qui est presque jugée inéluctable par l’agence de notation de crédit Standard & Poor’s maintenant que le gouvernement américain l’abandonne à son sort, pourrait faire des ravages dans l’économie des États-Unis. D’ailleurs, et c’est ce qui intéressera les amateurs de hockey, CIT a financé nombre d’équipes de la Ligue nationale, à la suite de son acquisition en 1999 de la firme torontoise Newcourt Credit Group. En 2006, un consortium bancaire dirigé par CIT aurait consenti 240 millions US à George Gillett, le propriétaire du Canadien de Montréal, afin qu’il puisse refinancer le club, la division sports et spectacles et le Centre Bell, selon l’hebdomadaire américain SportsBusiness Journal. L’an dernier, CIT a offert une facilité de crédit de 100 millions de dollars à la Rexall Sports Corporation afin de permettre à cette entreprise propriété de Daryl Katz de mettre la main sur les Oilers d’Edmonton. (Lire le communiqué ici.) CIT Group aurait aussi financé les Sénateurs d’Ottawa, les Devils du New Jersey et les Nashville Predators, selon le Globe & Mail. «Cela va être horrible (pour la LNH), a confié à ce quotidien torontois un conseiller financier non identifié qui travaille auprès d’équipes de hockey. Je ne sais pas ce qui va arriver quand ces financements arriveront à échéance.»
  13. Le financier américain Bernard Madoff, condamné à 150ans de prison pour une gigantesque fraude pyramidale, ne fera pas appel de sa peine. Pour en lire plus...
  14. (Montréal) Les déboires de la Caisse de dépôt et placement en 2008 ont un impact tel sur le Régime des rentes du Québec (RRQ) qu'il risque l'épuisement 12 ans plus tôt que prévu, soit dès 2037. Selon un rapport de l'Institut CD Howe publié hier, les «pertes inattendues» de 9 milliards du fonds de réserve du RRQ ont «aggravé la situation et accentué le sentiment d'urgence» envers la suffisance à long terme de la caisse de retraite collective des Québécois. Pour réduire ce risque, le gouvernement du Québec n'aurait guère le choix de rehausser rapidement les cotisations salariales au RRQ, selon l'Institut CD Howe. La hausse requise serait de l'ordre d'au moins un point de pourcentage dès l'an prochain, ce qui ferait passer le taux de cotisation de 9,9% à 11,1% à compter de 2010. Toutefois, souligne l'Institut CD Howe, pareille hausse de cotisation salariale risque aussi de nuire à la compétitivité de l'économie du Québec par rapport aux provinces voisines. Ces provinces, rappelle l'Institut, fonctionnent avec le Régime de pensions du Canada (RPC) qui a subi une perte bien moindre que le RRQ en 2008. Par conséquent, pour réduire la hausse de cotisation requise au RRQ, le gouvernement québécois devrait aussi décréter le gel des prestations du régime aux retraités actuels «pendant une période d'à peu près dix ans». Dans son plus récent sommaire financier, le RRQ confirme que son fonds de réserve a été amputé de 9 milliards ou 26% en 2008. Ce fonds cotait à 25,7 milliards au 31 décembre dernier, contre 34,7 milliards un an plus tôt. Quant aux flux financiers du RRQ, les rentrées de fonds par cotisations -9,9 milliards en 2008- sont encore supérieures aux sorties de fonds pour les prestations, qui ont coûté 9,2 milliards en 2008. Toutefois, la direction du RRQ estime la durée de ce surplus financier à «encore quelques années» seulement. Appelée à commenter le rapport publié hier par l'Institut CD Howe, la direction du RRQ a indiqué par courriel qu'il s'agissait d'un document qui «est du nombre» de ceux attendus lors de la prochaine consultation publique sur l'avenir du régime québécois, l'automne prochain. Lien
  15. Les négociations commencent lundi entre Chrysler et le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile. Chrysler a jusqu'au 31 mars pour conclure une entente afin d'être admissible au soutien financier des deux paliers de gouvernement. Pour en lire plus...
  16. Le comptable du financier déchu est inculpé pour fraude. David Friehling est notamment accusé de fraude sur titres et d'avoir rédigé des faux rapports d'audit. Pour en lire plus...
  17. Jeudi, le financier américain plaidera coupable aux 11 chefs d'accusation qui pèsent contre lui dans une gigantesque affaire de fraude, tandis que le procureur requerra 150 ans de prison à son encontre. Pour en lire plus...
  18. Les chefs d'État des principales économies européennes s'entendent pour une régulation accrue du système financier. Ils s'accordent aussi pour augmenter de 500 milliards les ressources du Fonds monétaire international. Pour en lire plus...
  19. Les investisseurs européens et asiatiques se montraient peu convaincus des bienfaits du plan de redressement du système financier américain présenté par Washington. Pour en lire plus...
  20. Le Sénat américain approuve finalement le plan de 838 milliards de dollars de l'administration Obama, tandis que le secrétaire au Trésor présente la seconde tranche du plan de sauvetage du système financier de 700milliards adopté l'automne dernier par l'administration Bush. Pour en lire plus...
  21. Le dirigeant d'une société d'investissement new-yorkaise, suspecté d'avoir monté une fraude pyramidale et détourné quelque 380 M$ US, a été arrêté lundi soir, selon la presse américaine. Pour en lire plus...
  22. La BMO abandonne ses satellites Mise à jour le dimanche 25 janvier 2009 à 18 h 21 BMO Groupe financier a décidé de procéder à des changements importants dans son offre de service. Une centaine de succursales satellites de la Banque de Montréal, offrant des services de base dans des magasins, fermeront ainsi leurs portes. La moitié de ces fermetures surviendront d'ici la fin avril, dont certaines dans la région de Montréal. Le porte-parole de BMO Groupe financier, Ronald Monet, a affirmé à la télévision de Radio-Canada que le processus de fermeture s'échelonnerait jusqu'en 2012. Plus de 350 employés seront touchés, et la plupart devraient être mutés dans une autre succursale de la BMO. Toutefois, la banque ne peut garantir que tous ces emplois seront préservés, et précise que certains employés devront être flexibles et accepter un déménagement dans une succursale qui ne sera pas dans les environs immédiats de leur ancien lieu de travail. Les succursales en magasins de la Banque de Montréal comptent un ou deux employés, offrent des services bancaires de base et ont des heures d'ouverture plus longues que dans les grandes succursales offrant tous les services. Selon BMO Groupe financier, des sondages menés auprès de la clientèle ont montré qu'elle préférait bénéficier d'une offre de services complète, sous un même toit. Cela aurait donc sonné le glas des petites succursales. Le professeur adjoint en affaires publiques et internationales Patrick Leblond, de l'Université d'Ottawa, estime toutefois que la situation économique a certainement joué un rôle dans la décision de la BMO. La semaine dernière, l'institution financière a également annoncé qu'elle resserrait ses règles de crédit, malgré la baisse du taux directeur de la Banque du Canada. La BMO affirme que ses coûts de financement ont connu une hausse
  23. Trois mois après un premier plan de sauvetage financier salué de par le monde, le gouvernement de Gordon Brown devrait une nouvelle fois voler au secours des banques britanniques cette semaine, en assurant sur les deniers publics leurs actifs à risque, selon les médias. Pour en lire plus...
  24. Le Sénat américain autorise le déblocage de la dernière tranche du plan de sauvetage financier négocié l'automne dernier, que l'administration Obama utilisera notamment pour aider le secteur hypothécaire. Pour en lire plus...
  25. Le Sénat américain s'est prononcé jeudi pour le déblocage des 350 milliards de dollars restant du plan de sauvetage du secteur financier. Pour en lire plus...
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