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  1. par Kathy Noël 16 Septembre 2011 Istanbul sent le diésel, le kébab... et l’argent. Le pays offre les occasions d’affaires les plus alléchantes d’Europe. Comment un État en faillite il y a 10 ans peut-il aujourd’hui dépasser la Chine ? Une histoire de jeunesse, d’audace et de bon gouvernement. Les paysages lunaires de la Cappadoce, la Mosquée bleue d'Istanbul, les stations balnéaires d'Izmir... Les touristes - 27 millions en 2009 ! - affluent en Turquie pour contempler toutes ces beautés. Pour sa part, Burak Aktas, récemment rentré chez lui après 10 années au Canada, est séduit par... les gratte-ciels tout neufs qui luisent sous le soleil dans le quartier des affaires d'Istanbul ! Dans sa salle de conférences, au 16e étage de la tour Tekfen, le représentant d'Exportation et développement Canada (EDC) en Turquie est excité comme un gamin dans un magasin de jouets par l'effervescence qui agite son pays. Ce gaillard de 40 ans au crâne rasé et aux yeux bleus comme la Méditerranée imagine déjà l'un des deux centres-villes que le gouvernement promet de construire d'ici l'an prochain à Istanbul, pour « sauver » les 15 millions de Stambouliotes du prochain séisme qui menace. Le prétexte fait sourire Burak Aktas. « La ville n'a plus d'autre choix que de s'agrandir pour loger tous les nouveaux arrivants. C'est une autre Istanbul que l'on reconstruit, en plus moderne. » Istanbul, moteur économique de ce pays de 74 millions d'habitants, sent les kébabs, les marrons grillés et les effluves de narguilé. Mais aussi, ces temps-ci, la poussière, le diésel, la sueur et, de plus en plus, l'argent. Et ce, à peine 10 ans après la crise financière de 2001. Une trentaine d'édifices et de gratte-ciels sont actuellement en construction en Turquie, la majorité à Istanbul. Le plus imposant, le Diamond of Istanbul, une tour de 53 étages conçue pour résister au pire tremblement de terre, sera la plus haute d'Europe au terme de sa construction, l'an prochain. Dans le quartier de Levent, où sont logés les sièges sociaux de plusieurs multinationales, la plupart des gratte-ciels n'étaient pas là il y a cinq ans. Lors de sa dernière campagne électorale, le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, a promis un canal de 50 km reliant la mer de Marmara à la mer Noire, pour désengorger le détroit du Bosphore, par où des dizaines de milliers de navires transitent annuellement. Le concept comprend un nouvel aéroport, un port, des tours de logements et de bureaux... Sans compter le troisième pont prévu sur le Bosphore, plus le chantier Marmaray, un tunnel ferroviaire creusé sous ce même détroit. Le tunnel, qui devait être inauguré en 2010, a quatre ans de retard, les ouvriers ne cessant de découvrir des vestiges de l'époque de Byzance. Selon le Urban Land Institute, ONG qui analyse les perspectives de développement immobilier partout dans le monde, Istanbul est la ville d'Europe qui offre aux investisseurs les occasions d'affaires les plus alléchantes. Occasions ou... projets fous ? « Pensez à Dubaï : cela a commencé par un rêve, et c'est arrivé ! » dit Burak Aktas. L'homme a quitté son pays en 2001 pour faire un MBA à l'Université d'Ottawa, avant d'être recruté, en 2002, par EDC, un mois avant d'obtenir son diplôme. Il est rentré en Turquie en 2011, d'où il aide les entreprises canadiennes à percer les marchés de la Méditerranée orientale. L'Istanbul qu'il retrouve est à mille lieues de celle qu'il a laissée, à l'époque où la Turquie se remettait péniblement du tremblement de terre dévastateur de 1999 et qu'elle mendiait l'aide internationale pour sauver son système bancaire de la faillite. « C'était comme la Grèce aujourd'hui. Et maintenant, regardez-moi tous ces nouveaux immeubles ! » dit-il. Dans les rues bondées, les travail*leurs pressent le pas, cellulaire à l'oreille, zigzaguant entre les taksi jaunes, les Mercedes et les BMW. Les Turcs de la classe moyenne magasinent dans les boutiques branchées de la place Taksim, les plus aisés dans le quartier de Nisantasi, chez Vuitton, Prada, Gucci. Avenue Istiklal - une rue piétonnière bordée de restaurants, de boutiques et de boîtes de nuit -, les bruits de la foule, la cloche du tramway, la musique pop et les cris des vendeurs de kébabs enterrent les appels à la prière provenant des mosquées. De temps à autre, une charrette poussée par un vendeur de bricoles ambulant surgit de nulle part. « Bienvenue à Istanbul, la ville aux mille visages ! » dit Caroline Bégin, une Française de 33 ans venue s'installer à Istanbul il y a six ans pour enseigner. Selon l'OCDE, chaque année en moyenne depuis 10 ans, 164 000 étrangers (surtout en provenance d'Europe et des Balkans) débarquent dans cette ville cosmopolite. Sans compter les nombreux migrants des régions rurales de la Turquie. Depuis son accession au pouvoir, en 2002, le Parti de la justice et du développement (AKP), un parti religieux et pro-islamiste dirigé par Recep Tayyip Erdogan, a privatisé des secteurs clés de l'industrie (entre autres l'énergie et les télécommunications), favorisé l'investissement étranger (8,4 milliards en 2009) et baissé les impôts, pour inciter les Turcs à consommer. Ces mesures ont porté leurs fruits. Au premier trimestre de 2011, le taux de croissance de la Turquie a atteint 11 %, surpassant celui de la Chine. À ce rythme, l'économie turque pourrait même dépasser la canadienne d'ici 2050. La récession de 2008-2009 l'a à peine ralentie. « La Turquie avait déjà nettoyé sa maison en 2001. Les banques problématiques ont fait faillite et d'autres ont été nationalisées », dit Ahmet Tonak, économiste et professeur à l'Université Bilgi, à Istanbul. Suite: http://www.lactualite.com/monde/turquie-un-pays-en-plein-boum
  2. Sur le site de MTL URB, on retrouve maintenant un compteur pour la dette du Québec, présenté par l'Institut économique de Montréal. Pourquoi est-il toujours en croissance? Même si la tendance est à la hausse, il ne devrait pas y avoir des fluctuations vers le haut ou vers le bas? À qui ou à quoi est dû tout cet argent? À quel montant il y aura faillite? Quand ça arrivera, ça fera quoi? Je peux paraître très néophyte, car habituellement tout ce qui a des chiffres, formulaires, paperasse, impôt ne m'intéresse guère. Mais là, ça m'intrigue.
  3. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201001/08/01-937337-canwest-met-sa-division-des-journaux-sous-la-protection-des-tribunaux.php
  4. GM dérape vers la faillite 12 novembre 2008 - 06h32 Bloomberg General Motors (GM), qui écoule des liquidités à la vitesse grand V et dont les ventes chutent aux États-Unis, dérape de plus en plus vers la faillite, tandis que la société attend de voir si l'industrie de l'auto obtiendra de nouveaux prêts du gouvernement. Seule l'aide de Washington peut empêcher l'effondrement du premier constructeur automobile aux États-Unis, soutiennent différents analystes, dont Joseph Amaturo, de Buckingham Research Group. Hier, l'action de GM a plongé pour la cinquième séance de suite. Il se peut aussi que la réorganisation de GM sous la protection de la cour ne soit pas possible parce que le resserrement du crédit a tari le financement. «Une faillite stratégique n'est pas une option pour GM», avance Mark Oline, analyste en matière de crédit de Fitch Inc., à Chicago. «La question est de savoir si la société marche ou ne marche pas», ajoute-t-il. La perspective d'une liquidation forcée fait en sorte que la quête d'un nouvel emprunt auprès de Washington devient un enjeu encore plus crucial, la société ayant indiqué vendredi dernier qu'elle pourrait être à court de liquidités dès la fin de la présente année. Le 30 septembre dernier, GM disposait de 16,2 milliards US, alors que le constructeur en avait 21 milliards US à la fin de juin. Il faut à GM 11 milliards US pour régler ses factures mensuelles. «Une faillite ne réglerait pas nos problèmes immédiats de liquidités», a souligné Renee Rashid-Merem, porte-parole de GM. «Ce n'est pas une option pour GM parce que cela crée plus de problèmes que ça n'en résout», a-t-elle ajouté. Les ventes de GM aux États-Unis, qui ont chuté de 21% au cours du dernier trimestre et de 45% en octobre, «subiraient un coup terrible» si l'entreprise devait aller en faillite, a dit vendredi dernier Rick Wagoner, PDG de GM, au cours d'une entrevue à Bloomberg Television. M. Wagoner, 55 ans, sabre des emplois et ferme des usines après des pertes de près de 73 milliards US depuis la fin de 2004. Il a indiqué à la revue spécialisée Automotive News que GM a besoin d'un programme d'aide avant que le président élu Barack Obama entre à la Maison-Blanche en janvier. Barack Obama a soulevé directement auprès du président sortant George W. Bush la question d'une aide immédiate de l'État fédéral aux constructeurs automobiles américains en pleine dépression, a indiqué hier son entourage. M. Obama a évoqué cette question lundi lors de ses premières discussions approfondies avec M. Bush à la Maison-Blanche depuis sa victoire le 4 novembre, a dit un collaborateur, confirmant sous le couvert de l'anonymat des informations de la presse. Il se peut que les investisseurs aient déjà conclu que GM ne tiendra pas la route. Hier, le titre a glissé de 44 cents US, ou 13,1%, à 2,92$US, à la Bourse de New York. Cela a poursuivi la descente amorcée lundi à un creux de 59 ans après que Deutsche Bank eut estimé que l'action de GM ne vaudra peut-être plus rien dans un an. GM, Ford et Chrysler ont réclamé une aide de 50 milliards US pour faire face au pire marché de l'auto en 17 ans, ont indiqué des personnes familières avec les discussions. Cette somme s'ajouterait aux 25 milliards US approuvés en septembre pour aider les constructeurs à rééquiper leurs usines pour construire des véhicules moins énergivores. «Il y a de plus en plus de soutien à Washington, au Congrès, à l'idée d'une aide gouvernementale à GM et aux autres constructeurs», estime Bruce Zirinsky, coprésident de la filiale de restructuration financière de Cadwalader, Wickersham&Taft, à New York. «La question est de savoir comment cela sera fait, ajoute-t-il, et à quel prix pour les actionnaires et les créanciers.» Entre-temps, l'agence de notation financière Fitch Ratings a annoncé hier avoir abaissé de six crans la note de dette de long terme du groupe américain de services financiers GMAC, contrôlé à 49% par General Motors et à 51% par Cerberus. La note a été fixée à «CC», reflétant un risque probable de non-remboursement, comparativement à «B+» auparavant. Cette note est sous «surveillance négative», ce qui signifie que Fitch envisage de l'abaisser encore. Standard and Poor's avait également abaissé cette note vendredi, à «CCC». Fitch estime que si GMAC devenait une banque et pouvait prétendre au plan de recapitalisation par le Trésor américain, il le jugerait «positivement», mais qu'il restait «un certain nombre d'obstacles (...), en particulier dans l'actionnariat actuel, ainsi que la levée de capitaux pour satisfaire aux exigences» de ce statut.
  5. FAILLITE DE NEW YORK AVANT NOEL du 16 au 18 novembre 2009 : Le gouverneur de New York David Paterson a déclaré que la ville n'aura plus un rond avant Noël, ce qui va se traduire par la fermeture d'écoles, de sevices sociaux, etc. car il faut sabrer 3,2 milliards de dollars... tout de suite ! Merci à Mr Salomon, et regardez l'article ici sur Wcbstv.
  6. Le délai pour déposer un recours contre le plan de restructuration du constructeur ayant expiré, GM pourrait émerger de la faillite et repartir sur de nouvelles bases dès vendredi. Pour en lire plus...
  7. Un prêt pour un ancien proche des Hells Mise à jour le mardi 28 avril 2009 à 17 h 14 Exclusif Radio-Canada a appris que le Fonds de solidarité FTQ a investi des millions de dollars avec un homme qui était considéré comme un sympathisant des Hells Angels. Selon nos sources, Ronald Beaulieu aurait réussi à faire passer ses projets au Fonds grâce à ses liens d'amitié avec Jocelyn Dupuis, l'ex-directeur général de la FTQ-Construction. Le Fonds pourrait perdre plus de 2,5 millions de dollars avec ce mauvais placement. Il ne reste plus rien de Fournitures d'hôtel et de restaurant Pascal, fondée il y a 70 ans par la famille Pascal, qui a aussi exploité les quincailleries du même nom. Le commerce a été vendu en 2006 à Ronald Beaulieu, qui a pu compter sur un prêt et une garantie de prêt totalisant 3,2 millions de dollars du Fonds de solidarité FTQ. On peut voir Ronald Beaulieu sur une photo de police lors de son arrestation pour prêt usuraire dans le cadre de l'opération Sud, en 2004. Quarante-et-une personnes avaient été arrêtées, dont des figures connues des Hells Angels. La Sûreté du Québec (SQ) le décrivait alors comme un sympathisant des Hells Angels. Il a plaidé coupable à une accusation de taux d'intérêt criminel, en décembre de la même année. Ronald Beaulieu est un ami de l'ex-directeur de la FTQ-Construction Jocelyn Dupuis, dont Radio-Canada a révélé les dépenses extravagantes. Selon des sources à la FTQ-Construction et au Fonds de solidarité, ce serait en raison de cette amitié que le Fonds a investi avec M. Beaulieu dans Pascal. Pascal, autrefois une entreprise prospère, plonge dans le rouge sous l'administration de M. Beaulieu. L'entreprise fait faillite en novembre, le déficit atteint près de 4,5 millions de dollars. Le Fonds de solidarité estime qu'il perdra au plus 2,6 millions dollars dans l'aventure. Il a été impossible de poser des questions à Ronald Beaulieu. Les responsables du Fonds nous ont écrit qu'ils avaient exigé de M. Beaulieu qu'il obtienne aussi du financement ailleurs, compte tenu de son passé, ce qu'il a d'ailleurs obtenu auprès de la Banque de Montréal. Sauf que cette banque pourra, elle, récupérer une partie des sommes qu'elle a prêtées à M. Beaulieu, ce qui n'est pas le cas du Fonds de solidarité, selon le syndic de faillite. Le Fonds de solidarité FTQ nous a dit que le dossier de Ronald Beaulieu a été traité avec les mêmes standards que dans les grandes institutions financières. Le fait qu'il ait déjà fait faillite en 1996 n'a pas dissuadé l'institution de faire des affaires avec lui, pas plus que son antécédent criminel qui était connu du Fonds.
  8. New York évoque la faillite Devoir Le Édition du vendredi 10 avril 2009 Le maire de New York, Michael Bloomberg, a affirmé hier que la Ville allait devoir supprimer de nombreux emplois pour éviter la faillite. Le maire, engagé dans des négociations tendues avec les syndicats d'employés municipaux, a affirmé que 7000 emplois supplémentaires devraient être supprimés, à moins de réduire drastiquement les avantages des salariés. «Nous ne pouvons pas continuer. Le coût des retraites et de la couverture maladie pour nos employés va provoquer la faillite de cette ville», a-t-il déclaré sur la chaîne de télévision NY1. M. Bloomberg doit présenter le budget de la Ville, qui ne peut pas statutairement être déficitaire, d'ici la fin du mois. Les dirigeants des différents services municipaux ont jusqu'à lundi pour proposer des réductions de dépenses. La récession et la crise à Wall Street ont provoqué un trou béant dans les finances de la Ville, qui reposent lourdement sur les taxes imposées aux entreprises financières. _____________________________________________________________________________________ Job cuts needed to stop NY bankruptcy: mayor 22 hours ago NEW YORK (AFP) — Sweeping layoffs of government employees are needed to prevent New York going bankrupt, Mayor Michael Bloomberg said Thursday. Bloomberg, who is in tense negotiations with municipal workers' unions, said an extra 7,000 jobs would have to go unless major reductions are made in employee benefits. "We cannot continue. Our pension costs and health care costs for our employees are going to bankrupt this city," he said in comments broadcast on NY1 television. Bloomberg, running for a third mayoral term at the end of this year, said that proposals from unions so far were "nowhere near what is adequate." The possible job cuts, first announced Wednesday, would be on top of 1,300 already proposed and another 8,000 that could be axed through attrition. Department heads have until Monday to propose cuts and Bloomberg must present the city budget by the end of the month. The city is barred by law from running deficits. The recession and the Wall Street crisis have knocked a huge hole in city finances that traditionally relied heavily on taxes from financial companies. The budget office on Wednesday said that 7,000 extra job cuts would allow the city to cut a further 350 million dollars in expenditure.
  9. Le géant canadien des médias obtient un autre sursis de ses créanciers, cette fois jusqu'au 7 avril, au moment où il se débat pour éviter la faillite. Pour en lire plus...
  10. L'action de l'ancien numéro mondial de l'automobile atteint son plus bas niveau depuis 75 ans à la Bourse de New York. Malgré l'aide gouvernementale, les investisseurs craignent la faillite de GM. Pour en lire plus...
  11. L'équipementier canadien Nortel Networks, menacé de faillite et de démantèlement, a enregistré une perte nette de 5,8 milliards $ en 2008, en hausse de près de 600% par rapport à un an plus tôt. Pour en lire plus...
  12. Le rachat de la banque en faillite Washington Mutual par l'américain JP Morgan, l'automne dernier, entraînera la suppression de milliers d'emplois d'ici la fin de l'année. Pour en lire plus...
  13. Sur le point d'être largué par General Motors, le constructeur automobile suédois a déposé vendredi, devant un tribunal suédois, une demande de mise en redressement judiciaire pour éviter la faillite. Pour en lire plus...
  14. Le constructeur automobile américain Chrysler a multiplié les alliances internationales au cours de son histoire agitée, qui l'a déjà mené plusieurs fois au bord de la faillite. Pour en lire plus...
  15. Les usines Fils Atlantique et Fils Fins Atlantique, à Atholville et à Poquemouche au Nouveau-Brunswick, sont à nouveau au bord de la faillite. Pour en lire plus...
  16. Le premier fabricant mondial de carton d'emballage est confronté cette semaine à une échéance de 7,3 M$ US d'intérêts et «il n'est pas certain qu'elle puisse en assurer le paiement». Pour en lire plus...
  17. La mise sous protection de faillite de Nortel Networks aux États-Unis et au Canada, confirmée hier, a provoqué des secousses dans plusieurs directions. Pour en lire plus...
  18. Québec: la tendance à la hausse des faillites se poursuit 7 janvier 2009 - 08h56 ARGENT Sur une base annuelle - Québec: la tendance à la hausse des faillites se poursuit Le nombre total de faillites au Québec a accusé une hausse de 9,5% en novembre sur une base annualisée, mais il a cependant diminué de 5,7% par rapport à octobre. Selon les chiffres publiés mercredi par le Bureau du surintendant des faillites du Canada, 29 772 consommateurs et entreprises ont déclaré faillite pendant la période de 12 mois terminée en novembre dernier, comparativement à 27 187 l’année précédente. En novembre, un nombre total de 2766 consommateurs et entreprises ont déclaré faillite, ce qui constitue une baisse par rapport aux 2934 faillites en octobre. Le nombre de faillites des consommateurs a crû de 9,8% sur un an, passant de 25 159 à 27 626 faillites. Pour le mois de novembre seulement, le nombre de consommateurs ayant fait faillite a toutefois chuté de 7,4%, pour totaliser 2561, par rapport à octobre. Un total de 2146 faillites d’entreprises a été recensé sur une période de 12 mois, ce qui représente une hausse de 5,8% par rapport aux 2028 de l’année précédente. Selon l’organisme fédéral, 205 entreprises québécoise ont déposé leur bilan en novembre, en hausse de 22% sur les 168 faillites déclarées en octobre. Canada Au pays, la tendance globale est semblable à celle du Québec, avec une progression de 9% sur une base annualisée, pour un total de 94 134 faillites.
  19. Le fondateur Calisto Tanzi a été condamné jeudi à 10 ans de prison par un tribunal de Milan pour des chefs découlant de la faillite du géant de l'agroalimentaire italien en 2003. Pour en lire plus...
  20. Un dépôt de bilan des constructeurs automobiles américains est l'une des options envisagées et l'administration du président George W. Bush est très proche d'une décision sur ce qu'elle fera. Pour en lire plus...
  21. CIBC : Montréal perd son élan * Anne Robert, Lesaffaires.com * 10:08 On fait faillite plus fréquemment à Montréal. L’activité économique a considérablement ralenti à Montréal lors des six derniers mois selon une étude économique de la banque CIBC. L’emploi s’enlise, les faillites sont élevées et l’immobilier ralentit. Montréal a ainsi perdu de son élan lors des six derniers mois. Elle ne se classe qu’au 13ème rang de la liste des villes canadiennes les plus dynamiques. La grande gagnante du dynamisme est Regina, ville du Saskatchewan portée par les développements dans les matières premières et l’énergie. Malgré la crise financière, Toronto demeure deuxième. À Montréal, le nombre d’emplois a reculé entraînant les consommateurs dans un cercle vicieux de faillites. 35 consommateurs sur 10 000 sont en faillite, contre un taux de 20 pour 10 000 à Toronto et de 10 pour 10 000 à Calgary. Montréal est au premier rang des faillites d’entreprises. Elles sont 10 pour mille à avoir déposé leur bilan, alors qu’à Toronto le taux tombe à 7 pour 1000 et à 2 pour 1000 à Vancouver et Calgary. Au palmarès des faillites d’entreprises, Montréal, Québec, Saguenay et Trois-Rivières sont les premiers classés. L’immobilier a aussi connu un ralentissement important. Les ventes de logements ont baissé de 30% et les mises en chantier ont aussi reculé de 30%. Mais le prix moyen des logements continue de progresser, alors qu’il recule à Toronto et dans l’Ouest canadien.
  22. La chaîne de magasins britannique Woolworths annonce la fermeture de toutes ses succursales d'ici janvier et le licenciement de ses 27000 employés. Pour en lire plus...
  23. Selon un rapport du ministère du Développement Economique de l'Ontario, d'ici cinq ans, le Canada pourrait perdre plus de 580 000 emplois si les trois géants américains de l'automobile font faillite. Pour en lire plus...
  24. Nortel bousculée par une rumeur de faillite 11 décembre 2008 - 06h00 La Presse Martin Vallières Nortel (NT) envisagerait de se mettre sous la protection de la faillite afin de poursuivre se restructuration, selon la presse financière new-yorkaise. Fausse rumeur, a répliqué Nortel. L'entreprise affirme plutôt qu'elle ne fait que solliciter des avis professionnels pour améliorer sa restructuration, «sans projet imminent de protection de faillite». «Rumeur encore prématurée», ont tempéré pour leur part des analystes qui connaissent bien l'équipementier des télécommunications. Et ce, malgré leur constat de complications évidentes pour Nortel des suites de la crise financière et de la récession. En Bourse, les investisseurs déjà inquiets de la viabilité de Nortel ont fait la sourde oreille à ces messages de l'entreprise et des analystes. En fait, ils ont encore largué en masse les actions de Nortel, qui ont basculé de 23%, à seulement 49 cents chacune, en clôture à la Bourse de Toronto. Elles ont même descendu jusqu'à 46 cents en cours de séance, ce qui constituait un nouveau prix plancher en Bourse pour Nortel. D'ailleurs, la valeur boursière totale de Nortel cote maintenant sous les 250 millions, une pitance par rapport à sa dette à long terme de 4,8 milliards US au 30 septembre dernier. Pas étonnant que certains analystes aient récemment accordé un prix cible de «zéro» aux actions de Nortel, un symbole de l'incertitude encore considérable à propos de son plan de relance. Le mois dernier, Nortel a annoncé une perte trimestrielle de 3,4 milliards US, gonflée par d'autres frais de restructuration. Elle a aussi abaissé ses résultats cibles pour 2009 et annoncé la suppression additionnelle d'au moins 1300 postes, ou 5% de son effectif récent. Par ailleurs, si les actions de Nortel devaient se maintenir longtemps sous 1$ chacune, l'entreprise risque l'expulsion de la Bourse de New York pour contravention à ses normes de valeur minimale. Pour remédier à ce problème, Nortel pourrait devoir effectuer une autre fusion d'actions comme elle l'a fait il y a deux ans, selon l'analyste Kris Thompson, de la Financière Banque Nationale (FBN) à Toronto. En décembre 2006, Nortel avait fusionné ses actions à raison de 10 pour une afin d'en rehausser la valeur. Mais deux ans plus tard, cette tactique boursière s'avère encore nécessaire face aux doutes des investisseurs envers les chances de survie de Nortel. D'où leur sensibilité extrême à toute rumeur d'insolvabilité imminente, d'autant qu'il s'agirait d'un processus où les actionnaires de Nortel seraient les plus grands perdants. En contrepartie, les détenteurs d'obligations de Nortel, eux, pourraient y trouver un moyen de limiter leurs pertes, de même que les créanciers d'affaires de l'entreprise. «Les détenteurs d'obligations pourraient même avoir intérêt à une déclaration d'insolvabilité et de protection de faillite par Nortel parce qu'ils se retrouveraient en tête de liste pour l'accès aux actifs», a commenté Robert McWhirter, gestionnaire de placements chez Selective Asset Management, à Toronto. N'empêche, selon l'analyste Kris Thompson, de la FBN, un processus de protection de faillite de Nortel demeure "prématuré" avant que l'entreprise ait pu délester certains actifs. Dans un avis envoyé hier à ses clients-investisseurs, M. Thompson souligne que Nortel, à son rythme d'affaires actuel, dispose encore d'une bonne réserve de liquidités. Cette réserve serait encore à hauteur d'environ 1,4 milliard US dans un an, considérant une utilisation de fonds (burn-rate) prévue autour de 900 millions d'ici là. Quant aux actifs à revendre par Nortel, sa division des équipements de télécoms de type CDMA est présumée première candidate par des analystes comme Mark Sue, chez Marchés des capitaux RBC. Toutefois, dans un avis récent, l'analyste souligne que la valeur potentielle d'une telle cession demeure très incertaine pour Nortel parce que la technologie CDMA vieillit dans le secteur des télécommunications.
  25. Alors que les mises à pied se multiplient dans divers secteurs d'activité, on embauche chez les syndics de faillite et les départements de restructuration-insolvabilité des grands cabinets comptables. Pour en lire plus...
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