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  1. Publié le 22 avril 2013 à 07h00 | Mis à jour à 07h00 Hélène Baril La Presse L'économie de Montréal a changé, mais pas tant que ça. Ce qui fait la force de la ville, c'est la diversité de ses activités et sa capacité d'adaptation. Non, tout ne va pas mal à Montréal. Sceptiques? Levez les yeux vers le ciel. Le nombre de grues en activité ne trompe pas. Ou alors, jetez un coup d'oeil sur les statistiques. La population continue d'augmenter, lentement mais sûrement. Le taux de chômage y est plus bas qu'à Toronto. Les résidants choisissent aussi de rester en plus grand nombre. La ville perd de moins en moins de citoyens au profit des autres provinces canadiennes et elle affiche actuellement le meilleur solde migratoire interprovincial des 15 dernières années. Ces nouveaux résidants viennent pour étudier, attirés par les quatre universités de la ville, et pour gagner leur vie dans des secteurs d'activité dynamiques et diversifiés. L'an dernier, 8 millions de touristes ont visité Montréal, dont la moitié sont venus de l'étranger. Malgré tous ses travers, Montréal reste une ville attrayante, dit Claude Montmarquette. Le président-directeur général du CIRANO, un centre de recherche sur les organisations, est plus habitué à travailler sur ce qui va mal. Il reconnaît pourtant que la métropole parvient à tenir son bout. Montréal, métropole financière et industrielle du Canada au tournant du XXe siècle, ne rivalise plus avec Toronto et Calgary pour le nombre de grandes entreprises et de sièges sociaux. Son taux de chômage reste plus élevé que la moyenne québécoise. Mais son économie montre des capacités d'adaptation et de résilience qui étonnent les spécialistes. «Montréal est peut-être la ville canadienne dont l'économie a le plus changé au cours des 25 dernières années», estime Mario Lefebvre, directeur du Centre d'études urbaines du Conference Board. Selon les statistiques, Montréal carbure aujourd'hui aux mêmes activités qu'hier: la fabrication, la finance et le commerce. Mais le poids respectif de ces catégories a changé. Ce qu'on appelle aujourd'hui la fabrication ou la finance regroupe des activités différentes. Les usines ne fabriquent presque plus de vêtements, de chaussures ou de meubles pour consommation locale. On a appris à faire des avions et des médicaments qui sont vendus dans le monde entier. Les secteurs aéronautique et pharmaceutique, l'industrie des jeux vidéo et le secteur culturel sont florissants. Ce sont actuellement les moteurs économiques de Montréal, selon Claude Montmarquette. «La finance, on l'oublie souvent, reste aussi un secteur important, qui regorge d'expertise», souligne le professeur. C'est d'ailleurs le secteur financier qui contribue le plus au produit intérieur brut (PIB), qui mesure la valeur de tout ce qui se produit à Montréal, selon les chiffres du Conference Board. C'est grâce surtout au formidable essor immobilier qu'a connu la ville au cours des dernières années. Dany Fougères, chercheur à l'INRS et professeur à l'UQAM, examine, lui, la ville d'un angle historique. Montréal change, mais pas tant que ça, estime-t-il. «Ses points forts d'hier sont les mêmes que ceux d'aujourd'hui.» La métropole a toujours été une ville internationale, axée sur le commerce et les services, dit-il. La différence, c'est que ses échanges commerciaux, avec l'Europe d'abord, avec les États-Unis et le reste du monde ensuite, se faisaient à un rythme moins rapide, celui des bateaux à vapeur. Montréal a traversé plusieurs mondes avec l'arrivée du chemin de fer, de l'industrialisation, des guerres, dit-il. «On parle aujourd'hui de nouvelle économie, mais chaque époque a eu sa nouvelle économie.» Les entrepôts et les silos à grains témoignent du passé commerçant de Montréal, du temps où tous les biens nécessaires au développement de l'Ouest transitaient par son port et ses chemins de fer. La plupart de ces structures sont maintenant désaffectées, mais le commerce de gros et de détail est encore bien vivant à Montréal. Le port lui-même s'est adapté à la mondialisation du commerce en développant la manutention de conteneurs. Plus de 1,5 million de conteneurs transitent par Montréal chaque année, ce qui en fait un des 100 ports à conteneurs en importance au monde. Montréal a aussi conservé avec les années ses attributs de ville de culture et de divertissement, comme le prouvent les investissements massifs qui font revivre le Quartier des spectacles. Comme partout ailleurs, les services ont surpassé la fabrication dans le PIB de Montréal, note Mario Lefebvre. Mais l'économie montréalaise est encore bien diversifiée. «On dit souvent que le secteur manufacturier s'est effondré, mais pas tant que ça. À Montréal, il est encore bien vivant.» La finance, l'enseignement et la recherche de même que la culture restent des secteurs porteurs pour l'économie de Montréal, souligne aussi Joëlle Noreau, économiste chez Desjardins. L'industrie aéronautique a repris une trajectoire ascendante, malgré la hausse du dollar, note-t-elle. «La diversité, c'est ce qui fait la force de la ville.» *** MONTRÉAL EN CHIFFRES 1,8 million: La population de Montréal compte pour 25 % de la population du Québec. 7,8 millions: Le nombre de touristes qui visitent la ville chaque année. 942 000: Nombre total d'emplois 800 700: Nombre d'emplois dans le secteur des services 141 300: Nombre d'emplois dans le secteur manufacturier 36 162 $ : Le revenu par habitant est plus élevé à Montréal que dans l'ensemble du Québec (35 942 $). 7,8 % : Le taux de chômage à Montréal est plus élevé qu'au Québec (7,7 %). *** LES ATOUTS DE MONTRÉAL Des jeunes Le nombre de jeunes de 15 à 24 ans est en augmentation à Montréal, ce qui est un plus pour les entreprises en quête de main-d'oeuvre. Des diplômés Montréal a une plus grande part d'étudiants universitaires en regard de sa population que New York ou Boston. Des investissements Les entreprises publiques et privées ont investi près de 10 milliards à Montréal en 2011, un record. *** OÙ SONT LES EMPLOIS? 1931 380 000 emplois au total (1) Transformation, fabrication et services publics: 116 463 emplois (31 % du total) (2) Ventes et services: 84 839 emplois (22,3 %) (3) Affaires, finances et administration: 65 359 emplois (17 %) 2012 942 000 emplois au total (1) Commerce de gros et de détail: 141 300 emplois (15,0 % du total) (2) Soins de santé: 113 040 emplois (12,2 %) (3) Services professionnels, scientifiques et techniques : 106 446 emplois (11,3 %) (4) Fabrication: 101 736 emplois (10,8 %) (5) Information, culture et loisir: 68 766 emplois (7,3 %) (6) Hébergement et restauration: 62 172 emplois (6,6 %)
  2. Le second prototype de bac à recyclage de la Ville de Montréal a été présenté ce matin. Le premier avait été jugé trop peu solide et pas assez ergonomique par les cols bleus. Le nouveau bac devrait permettre de répondre aux besoins des citoyens vivant dans les immeubles de 8 logements et moins et il est adapté à l'architecture des bâtiments de Montréal, aux dires de la Ville. «Ergonomique, plus volumineux et muni d'un couvercle, le nouveau bac sera davantage fonctionnel. Il contribuera à augmenter les quantités de matières recyclables ainsi que la propreté du domaine public», a noté par voie de communiqué Alan de Sousa, responsable du développement durable, de l'environnement et des parcs à la Ville de Montréal. Le comité exécutif a autorisé une dépense de 6,7 M$ pour sa fabrication. Chaque bac, d'une durée de vie de 7 ans, coûtera 11,13 $ à fabriquer, ce qui représente 0,0043 $ par jour. Le nouveau bac a été élaboré en collaboration avec le Laboratoire design et proximité de l'école de design de l'UQÀM et Instadesign, et a bénéficié du soutien financier de RECYC-Québec et d'Éco Entreprises Québec. http://www.journalmetro.com/linfo/article/777584--un-nouveau-bac-a-recyclage-fera-son-entree-a-montreal
  3. Le chômage a augmenté de 0,2 point en juin * Alexandre Paillé, Lesaffaires.com * 07:22 Au Québec, l'emploi est resté inchangé en juin. Le taux de chômage a augmenté de 0,2 point de pourcentage en juin au Canada, pour atteindre 8,6 pour cent. Statistique Canada affirme qu'un plus grand nombre de personnes a cherché du travail. L'économie canadienne a donc perdu 7400 emplois en juin, alors que les analystes s'attendaient à des pertes de quelque 35 000 emplois, contre 41 800 en mai, et à une augmentation du chômage à 8,7%. Pour le deuxième trimestre de 2009, les pertes nettes totales se chiffrent à 13 000 emplois, soit bien moins que la baisse de 273 000 observée au cours des trois premiers mois de l'année. Au premier trimestre, l'emploi avait reculé dans presque toutes les branches d'activité, mais surtout dans la fabrication et la construction. Par contre, au cours des trois derniers mois, l'emploi a progressé dans la plupart des industries du secteur des services, s'est stabilisé dans la construction, mais a continué à fléchir dans le secteur de la fabrication, indique Statistique Canada. Par province L’agence fédérale note que le changement le plus marqué dans la tendance de l'emploi en juin a été observé au Québec, en Colombie-Britannique et en Alberta. L'emploi y a fortement baissé au cours des trois premiers mois de 2009 et cela contraste avec les trois derniers mois au cours desquels l'emploi a augmenté au Québec et en Colombie-Britannique et a peu changé en Alberta. Au Québec, l'emploi est donc resté inchangé. Le taux de chômage s'est fixé à 8,8 pour cent dans la province. Depuis octobre, l'emploi au Québec a seulement diminué de 0,8 pour cent, soit un taux de décroissance nettement inférieur à la moyenne nationale (-2,2%). À noter que le Québec encaisse en bonne partie les pertes reliées à l'emploi dans la fabrication à l’échelle nationale. L’Ontario, la perte de 56 000 emplois en juin a été neutralisée par la hausse du travail à temps partiel (+57 000), de sorte que l'emploi total est resté inchangé en juin. Le taux de chômage a connu une légère hausse pour s'établir à 9,6 %, soit le taux le plus élevé en 15 ans. Ailleurs au pays, l'emploi est resté pratiquement inchangé en juin dans les autres provinces, sauf à Terre-Neuve-et-Labrador, où il a augmenté. Par secteur En juin, des emplois ont été créés dans le secteur de l'information, de la culture et des loisirs (26 000) de même que dans celui de la finance, des assurances, de l'immobilier et de la location (21 000). Cependant, des baisses appréciables ont été observées dans la fabrication (-26 000) et dans le secteur des services aux entreprises, des services relatifs aux bâtiments et des autres services de soutien (-14 000). Les jeunes durement touchés Les jeunes de 15 à 24 ans ont été durement touchés par le recul de l'emploi en juin, les pertes nettes s'étant élevées à 33 000 dans ce groupe. Le taux de chômage chez les jeunes a progressé d’un point de pourcentage pour s'établir à 15,9 %, soit le taux le plus élevé en 11 ans. Depuis le sommet atteint en octobre dernier, ce sont les jeunes, parmi tous les groupes d'âge, qui ont connu la baisse la plus marquée de l'emploi (-6,4 %). Plus de travailleurs indépendants Le travail indépendant a progressé en juin (37 000 emplois), tandis que le nombre d'employés du secteur privé a diminué (-39 000). Statistique Canada rapporte que depuis octobre, le nombre de travailleurs indépendants a augmenté de 1,5 %, alors que l'effectif des salariés s'est contracté, particulièrement dans le secteur privé (-3,3%). Le taux dans les provinces du pays Le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses: _ Terre-Neuve-et-Labrador 15,6 (15,1) _ Ile-du-Prince-Edouard 12,2 (13,1) _ Nouvelle-Ecosse 9,4 (8,9) _ Nouveau-Brunswick 9,2 (8,8) _ Québec 8,8 (8,7) _ Ontario 9,6 (9,4) _ Manitoba 5,2 (4,9) _ Saskatchewan 4,6 (4,9) _ Alberta 6,8 (6,6) _ Colombie-Britannique 8,1 (7,6) Le taux dans les grandes villes du pays Le chiffre du mois précédent figure entre parenthèses: _Saint-Jean, T.-N.-L. 7,6 (7,5) _Halifax 5,9 (5,8) _Saint-Jean, N.-B. 5,0 (5,9) _Saguenay 9,2 (9,4) _Québec 4,6 (4,4) _Trois-Rivières 8,2 (8,8) _Sherbrooke 9,1 (8,8) _Montréal 9,5 (9,4) _Gatineau 5,4 (5,4) _Ottawa 6,4 (6,1) _Kingston 6,6 (6,5) _Toronto 9,6 (9,1) _Hamilton 7,1 (7,4) _Kitchener 9,9 (9,9) _London 10,4 (10,2) _Oshawa 8,7 (7,9) _St. Catharines-Niagara 10,9 (10,6) _Sudbury 8,9 (8,4) _Thunder Bay 8,8 (8,8) _Windsor 14,4 (13,8) _Winnipeg 4,9 (4,8) _Regina 3,4 (3,8) _Saskatoon 4,6 (5,0) _Calgary 6,6 (6,6) _Edmonton 6,5 (6,0) _Abbotsford 8,2 (7,5) _Vancouver 6,9 (6,8) _Victoria 6,3 (6,4) _Moncton 5,3 (5,6)
  4. Pour un pont à New York Groupe Canam décroche un contrat de 25M$ 29 avril 2009 - 07h23 LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe Canam (CAM) a annoncé mardi avoir obtenu un contrat de 25 millions $ pour la reconstruction, la rénovation et l'élargissement du pont new-yorkais Alexander Hamilton et de ses bretelles d'accès. Le projet, qui sera réalisé par Structal-ponts, une division du Groupe Canam, comprend huit ponts et viaducs. Les travaux prévoient entre autre le remplacement d'un pont caisson en béton par un pont caisson en acier sur l'une des rampes d'accès. La fabrication des composantes sera entièrement réalisée à l'usine de Claremont, au New Hampshire, et devrait s'échelonner jusqu'en 2011. Le directeur général de Structal-ponts, Robin Lapointe, a indiqué dans un communiqué que l'entreprise avait beaucoup investi dans la formation du personnel et l'acquisition d'équipements pour réaliser de tels projets. Structal-ponts, qui emploie 350 personnes, opère une usine dans la ville de Québec depuis 1956. Elle compte également des usines à Laval et au New Hampshire. Groupe Canam exploite 12 usines spécialisées dans la conception et la fabrication de produits et de solutions de construction. L'entreprise, présente au Canada, aux Etats-Unis, en Roumanie et en Inde, emploie 2600 personnes. L'analyste financier de Canaccord Adams, Yuri Lynk, a indiqué que ce contrat était «un gain significatif» pour le Groupe Canam et qu'il représentait environ huit pour cent de son carnet de commandes, qui totalisait 313 millions $ à la fin de 2008. Les actions de Canam ont perdu un cent mardi, pour clôturer à 6,34 $ à la Bourse de Toronto.
  5. La compagnie québécoise fera la fabrication de pièces de remplacement pour le train d'atterrissage de l'appareil Fokker 100. Pour en lire plus...
  6. L'usine de fabrication de roues cessera ses activités au cours des prochains mois. Environ 200personnes perdront leur emploi. Pour en lire plus...
  7. L'entreprise ontarienne renonce à l'idée d'installer une usine de fabrication de composantes de panneaux solaires dans l'ancienne usine Magnola. Pour en lire plus...
  8. Les grandes différences entre les secteurs manufacturiers québécois et ontarien rendent la province voisine plus vulnérable aux déboires de l'économie américaine. Pour en lire plus...
  9. Le géant américain de la fabrication et de la distribution de produits chimiques supprime 5000 emplois et annonce la fermeture de 20 usines dans le monde. Pour en lire plus...
  10. Le décollage de Mecachrome Après un an de préparatifs, de mise en place d’équipements ultra-perfectionnés et d’ajustements de toutes sortes dans sa toute nouvelle usine de Mirabel, la compagnie Mecachrome vient de compléter la production et l’assemblage de sa première caisse de train d’atterrissage avant pour les avions Airbus A-330 et A-440. La première d’une longue série de livraisons. Mecachrome Canada a été retenue par Airbus pour devenir un partenaire de tiers 1, ce qui signifie dans le jargon de l’aéronautique qu’Airbus a décidé de confier à Mecachrome toute la fabrication et l’assemblage final des caisses de train d’atterrissage qui équiperont dorénavant tous les A-330 et A-440 qui vont sortir de son usine d’assemblage de Toulouse. Il s’agit d’une pièce d’équipement majeure, une structure primaire qui doit résister à des charges importantes puisqu’elle abrite le train d’atterrissage et qu’elle doit supporter le choc des décollages et des atterrissages. Mecachrome, qui exploite deux centres de fabrication, l’un à Montréal-Nord et l’autre à Mirabel, usine depuis des années des pièces de haute précision pour le secteur automobile et de l’aérospatiale, mais elle a décidé, il y a trois ans, de s’imposer dans l’industrie comme un intégrateur. C’est-à-dire qu’elle veut fabriquer et assembler tous les éléments d’équipements importants de plusieurs familles d’avions, fonction qui était anciennement assumée par les fabricants. Le contrat des caisses d’atterrissage des A-330 et A-440 est un premier jalon de la transformation de Mecachrome. L’entreprise réalise elle-même dans son usine de Mirabel 200 des 650 pièces qui composent la structure. La fabrication des pièces mineures, tels les rivets et les boulons, est donnée en sous-traitance, mais c’est Mecachrome qui est responsable de ses fournisseurs. Elle livre à Airbus une pièce finie, complète, testée qui sera assemblée à Toulouse selon le mode juste-à-temps. C’est donc dire que l’assemblage final de la première caisse a mobilisé toutes les énergies des employés de l’usine de Mirabel, lesquels ont réussi le tour de force de livrer la pièce deux jours avant l’échéancier. «On avait un an pour préparer l’usine pour cet important contrat. On a perdu du temps au départ, et il a fallu réajuster le tir. On aura mis finalement sept mois pour terminer la chaîne de production. Ç’a été un vrai travail d’équipe», observait cette semaine Guillaume Casela, président de Mecachrome International, lors d’une visite à l’usine de Mirabel. Du travail en perspective Mecachrome va assembler cette année 35 caisses de train d’atterrissage d’Airbus et va atteindre l’an prochain son rythme de croisière avec une production annuelle de 60 caisses. Airbus a déjà livré 868 appareils A-330 et A-440 et son carnet de commandes compte 739 avions à livrer, ce qui assure plus de 10 années de production à l’usine de Mirabel. Mecachrome fabrique aussi à Mirabel 150 pièces pour Bombardier, pour les CRJ700 et CRJ900 de même que le Global Express. La nouvelle usine de Mecachrome fabrique de plus les nervures d’ailes pour les avions de série 170 d’Embraer, qui doit livrer cette année 10 appareils par mois. Enfin, Mecachrome a obtenu de Boeing le contrat de fabrication exclusif des cadres de fuselage arrière de ses nouveaux B-787 qui seront fabriqués en titane. Comme tous les fabricants, Boeing a décidé de hausser considérablement l’utilisation du titane dans ses avions, un métal plus solide et plus léger que l’aluminium, ce qui a amené Mecachrome à faire l’acquisition de nouveaux équipements, des machines à contrôle numérique qui coupent le métal au millième de millimètre. L’usine est équipée d’une de ces énormes machines et en installera deux autres d’ici à l’an prochain. Mecachrome exploite aussi trois machines à usiner l’aluminium et en installera trois autres d’ici à la fin de l’année. «On travaille avec tous les fabricants mais on veut s’imposer davantage comme intégrateur et participer à un plus grand nombre de leurs familles de produits», affirme Guillaume Casela. Trois ans après son implantation à Mirabel, Mecachrome réalise cette année son vrai décollage. http://argent.canoe.com/lca/chroniqueurs/jeanphilippedecarie/archives/2008/02/20080212-225916.html
  11. L'entreprise de Vancouver, qui se spécialise dans la mise au point et la fabrication de piles à combustible, a indiqué lundi que sa perte nette par action avait été de 19 cents au plus récent trimestre. Pour en lire plus...
  12. D'ici Noël, la production en série d'un serre-vis sera rapatriée à l'usine Thomas&Betts de Saint-Jean-sur-Richelieu, grâce à une nouvelle chaîne de fabrication automatisée à haute cadence. Pour en lire plus...
  13. L'allemand Daimler fermera en 2009 son usine de fabrication de camions Sterling, à St. Thomas entraînant la perte de plus de 600 emplois. Pour en lire plus...
  14. Le fabricant de produits de plastique a annoncé avoir obtenu de la ville de Kelowna, en Colombie-Britannique, ce contrat portant sur la fabrication et la distribution de 157 000 bacs roulants. Pour en lire plus...
  15. L'entreprise suédoise élimine 500 emplois à son usine de fabrication d'équipements de construction en Ontario; 1400 personnes sont également mises à pied en Europe. Pour en lire plus...
  16. Miranda Technologies investit pour agrandir ses bureaux montréalais 26 septembre 2008 - 16h50 Presse Canadienne Technologies Miranda a annoncé vendredi son intention d'investir 8 millions $ pour effectuer des travaux d'agrandissement à son siège social, à Montréal. L'entreprise, spécialisée dans la conception, la fabrication et la distribution de matériel et de logiciels pour l'industrie de la télédiffusion, prévoit ainsi accroître la capacité de ses infrastructures de recherche et développement et de fabrication. La superficie de ses bureaux sera accrue de 55 pour cent, pour atteindre 8500 mètres carrés. Selon le président et chef de la direction Strath Goodship, le volume des ventes de Miranda a plus que triplé depuis que la société s'est établie dans ses installations actuelles, en 2001. «Notre succès a engendré des besoins d'espaces additionnels et nous réalisons cet investissement pour soutenir notre croissance et demeurer concurrentiels à long terme», a-t-il précisé dans un communiqué. La plupart des activités de l'entreprise de 450 employés seront ainsi centralisées dans cet emplacement unique, a-t-il ajouté. Selon Ben Jekic, un analyste chez Desjardins Sécurité financière, cette décision démontre toute la confiance qui habite les dirigeants de l'entreprise et permet d'envisager «une croissance de qualité et de l'amélioration dans les opérations quotidiennes». M. Jekic a noté que des améliorations au niveau de la gestion avaient eu des répercussions positives sur les opérations et «devraient produire de plus grands bénéfices bruts et réduire le temps requis pour commercialiser ses nouveaux produits». Miranda a cessé ses opérations en Grande-Bretagne et décidé de rapatrier à son siège social la fabrication de produits autrefois confiée en impartition. M. Jekic a attribué aux actions de la compagnie un prix-cible de 13,75$. L'action de Miranda a cédé vendredi 28 cents, soit 4,2 pour cent, pour clôturer à 6,36 $ à la Bourse de Toronto. Pour en lire plus...
  17. L'entreprise, qui se spécialise dans la fabrication de joints d'étanchéité, pourrait abolir jusqu'à 300emplois à Coaticook, à Waterville et à Bromptonville. Pour en lire plus...
  18. Simmons Canada ferme l'usine de fabrication de matelas paralysée depuis un mois par un conflit de travail, ce qui entraîne 185 mises à pied. Pour en lire plus...
  19. Simmons Canada a fermé son usine de fabrication de matelas à Brampton, en Ontario, laissant quelque 185 employés sans travail. Pour en lire plus...
  20. La firme de design et de fabrication aéronautique Héroux Devtek, de Longueuil, obtiendra ce matin un appui financier fédéral de près de 30 millions de dollars à son projet de recherche et développement sur les trains d'atterrissage de l'avenir. Pour en lire plus...
  21. La deuxième vie de l’usine sherbrookoise de fabrication de bâtons de hockey, Sherwood-Drolet, risque d’être très courte. Elle pourrait fort bien ne pas survivre à l’été. Pour en lire plus...
  22. Le constructeur automobile américain misera cette somme afin d'adapter une usine de camionnettes à la fabrication des petits modèles. Pour en lire plus...
  23. Le contrat consiste en la fabrication et le montage de la charpente d'acier qui servira à construire la Edmonton Clinic North, à Emonton, en Alberta. Pour en lire plus...
  24. La fabrication pousse le PIB à la hausse Olivier Bourque LaPresseAffaires.com Belle surprise dans le dernier rapport de l’Institut de la statistique du Québec: la vitalité du secteur de la fabrication donne du tonus à la croissance économique de la province. Ce secteur a bondi de 3,3% en avril dernier. Il s’agit d’une troisième hausse dans les 12 derniers mois. Cette augmentation a donc permis au Québec de voir son produit intérieur brut (PIB) grimper de 0,9% en avril, ce qui fait plus qu’effacer les reculs de 0,2% et de 0,4% enregistrés en février et mars. La performance du Québec est d’autant plus impressionnante qu’elle dépasse de beaucoup la hausse canadienne de 0,4% en avril. D’autres industries comme le commerce de gros et de détail ainsi que le secteur des mines ont aussi eu un impact sur la hausse du PIB au Québec. Pour ce qui est de la fabrication, la hausse fait suite à deux importants reculs de 1,5% en mars et de 2,2% en février. Toutefois, la tendance récente du secteur «demeure négative» alors que cette industrie fait face à plusieurs contraintes dont «le ralentissement de l’économie états-unienne et la vigueur du dollar canadien», avertit le rapport de l’Institut de la statistique du Québec. La forte croissance des coûts de l’énergie fait également mal à la fabrication. Selon l’Institut, l’industrie principalement responsable de la croissance du secteur manufacturier est celle de la fabrication des machines. Le secteur des textiles n’est pas en reste alors qu’il a connu un gain de 10,4% en avril. Encore là, cette hausse ne doit pas cacher le fait que cette industrie est mal en point, constate l’Institut. La fabrication de produits textiles depuis le début de l’année 2008 est 24% inférieure à celle en 2007. Du côté de l’industrie du commerce de détail, la production a augmenté de 3,5 % en avril. Ce n’est pas le cas de l’industrie de la construction qui a connu en avril une huitième baisse en 10 mois. Cette fois-ci, le recul a été de 1,2% en raison de la faiblesse de la construction de maisons individuelles. http://www.cyberpresse.ca/article/20080724/LAINFORMER/80724142/5891/LAINFORMER01
  25. Les 350 employés de l'usine du secteur Cap-de-la-Madeleine ont rejeté la proposition de leur employeur, une offre dite finale pour sauver l'usine de fabrication de pièces d'aluminium. Pour en lire plus...
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