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  1. http://www.lapresse.ca/arts/arts-visuels/201501/17/01-4836082-une-grande-annee-au-musee-pointe-a-calliere.php Publié le 17 janvier 2015 à 18h00 | Mis à jour le 17 janvier 2015 à 18h00 Le musée Pointe-à-Callière accueillera de nouvelles expositions sur l'hiver canadien, sur la civilisation aztèque et sur Agatha Christie, qui s'est inspirée de ses voyages archéologiques pour créer certaines de ses oeuvres. Éric Clément La Presse Avec son exposition de grande envergure Les Grecs - D'Agamemnon à Alexandre le Grand, qui se poursuit jusqu'au 26 avril, le musée Pointe-à-Callière a entrepris l'année en lion. Et 2015 sera faste pour le musée d'archéologie et d'histoire de Montréal, qui présentera notamment une expo sur les Aztèques et une autre sur les liens entre la romancière Agatha Christie et l'archéologie. «L'année 2015 est assez exceptionnelle pour nous, car nous avons une conjugaison de grandes expositions, dit Francine Lelièvre, directrice générale du musée Pointe-à-Callière. C'est l'année où l'archéologie va être en vedette.» C'est toutefois une exposition historique sur l'hiver canadien, intitulée Neige: source de passion, de créativité et d'ingéniosité au Québec et au Canada, qui débutera dans quelques semaines. Première exposition du genre au Canada, Neige a été réalisée par le Musée canadien des civilisations en partenariat avec le musée J. Armand Bombardier. Articulée autour de quatre thématiques (adaptation, innovation, passion et inspiration), Neige présentera, du 18 février au 3 janvier 2016, 300 artéfacts sur ce phénomène météo qui comble les sportifs, mais ennuie bien du monde! Les Aztèques Dans le grand espace de la Maison des marins, une exposition sur la civilisation aztèque succédera à celle sur les Grecs à la fin du mois de mai. Réalisée en partenariat avec une vingtaine de musées mexicains, dont le Musée national d'anthropologie et le Musée du Templo Mayor, Les Aztèques, peuple du Soleil est présentée actuellement à Sydney, en Australie. Elle fera connaître cette civilisation en présentant l'histoire de la cité de Tenochtitlan, fondée par les Aztèques en 1325 et devenue Mexico en 1521 après la conquête espagnole. Les visiteurs pourront en apprendre sur la migration des Aztèques, leur goût pour l'agriculture, leur quotidien, leurs calendriers et leurs sacrifices humains. Ils pourront admirer masques, statues, bijoux en or, figurines de femmes, d'enfants et d'animaux, objets de sacrifice, boîtes à offrandes, vases et objets reliés au culte du Soleil. «Il y aura des pièces exceptionnelles, comme des chevaliers-aigles et d'autres objets touchant deux siècles de civilisation», explique Francine Lelièvre. L'exposition, qui aura lieu du 29 mai au 25 octobre, comprendra aussi des projections de documentaires, des reconstitutions en 3D et des vidéos. Agatha Christie Enfin, à l'automne, le musée innovera avec une exposition combinant littérature et sciences des fouilles, intitulée Agatha Christie et l'archéologie. En effet, en 1930, la romancière anglaise avait épousé en secondes noces l'archéologue Sir Max Mallowan, qu'elle avait connu sur le site de fouilles d'Ur, lors de sa deuxième croisière au Moyen-Orient. Dans les années 30, elle a ainsi accompagné son mari lors de sept campagnes de fouilles, notamment en Irak et en Syrie, des voyages archéologiques qui vont influencer son oeuvre et lui inspirer bien des histoires, notamment Le crime de l'Orient-Express ou Meurtre en Mésopotamie. «Nous présenterons cette exposition grâce à plusieurs institutions, surtout le British Museum, dit Francine Lelièvre. On y apprendra qu'Agatha Christie était la photographe officielle des fouilles de son mari. Elle le secondait. Elle participait au nettoyage des pièces. On a pu travailler avec sa famille, qui nous a prêté des objets personnels d'Agatha Christie. Au total, plus de 200 objets, dont des vases, des bas-reliefs, des figurines, des bijoux, des plaques de bronze, des objets en ivoire ainsi que des manuscrits, des photos et des films. Donc un sujet qui touche l'archéologie, mais plus grand public.» La directrice du musée se réjouit. Le site internet Archaelogy Travel a récemment établi son top 5 des expositions archéologiques à ne pas rater cette année. Parmi ces cinq expositions, deux sont présentées par le musée Pointe-à-Callière: Les Grecs et Les Aztèques, peuple du Soleil. «Ça nous donne un positionnement international marquant, dit-elle. On construit pendant des années et, finalement, on s'aperçoit qu'on récolte. Alors, c'est une grande année. On espère que le public sera au rendez-vous!»
  2. <header id="page-header"> 23/11/2016 Mise à jour : 23 novembre 2016 | 16:25 Une grande exposition d’art public sur la rue Sherbrooke pour le 375e de Montréal Par Rédaction Métro </header> <figure class="current-photo"> <figcaption> La balade pour la paix Gracieuseté <nav> Previous photo Next photo </nav> </figcaption> </figure> <figure> </figure> <figure> </figure> Dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal, du 50e anniversaire d’Expo 67 et du 150e anniversaire du Canada, une grande exposition d’art public prendra forme sur la rue Sherbrooke à Montréal en 2017. La Balade pour la Paix, un musée à ciel ouvert sera une exposition d’envergure internationale conçue et réalisée par le Musée des beaux-arts de Montréal, le musée McCord et les universités Concordia et McGill. Elle fera un kilomètre de long sur la rue Sherbrooke, traçant un itinéraire entre le musée McCord et le nouveau Pavillon pour la Paix Michal et Renata Hornstein du Musée des beaux-arts de Montréal. Tout au long de ce kilomètre, les visiteurs pourront admirer 29 sculptures et installations d’artistes canadiens et étrangers ainsi qu’une quarantaine de photographies d’artistes montréalais. De plus, les drapeaux de quelque 200 pays du monde et des 13 provinces et territoires du Canada flotteront au vent au-dessus de la rue Sherbrooke, le tout rappelant le Place des Nations d’Expo 67. La Balade sera ouverte du 29 mai au 27 octobre prochain, soit pendant cinq mois. Une grande exposition d’art public sur la rue Sherbrooke pour le 375e de Montreal | Metro
  3. Si ça vous intéresse: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,117743576&_dad=portal&_schema=PORTAL
  4. Je ne sais pas si cette exposition avait déjà été identifiée quelque part. Montréal du Futur 2016 - Complexe Desjardins - du 20 au 25 Avril 2016 (Pour le public) Comme à chaque année et cette fois pour la 6e édition, BOMA Québec propose une exposition et une vitrine pour les développeurs de projets immobilier du Grand Montréal, cette exposition revient tous les 2 ans et est une belle opportunité de visualiser les projets à venir ou en cours de construction, par des maquettes, illustrations et rencontre des organismes et promoteurs. Voir le lien pour plus de détails : http://www.boma-quebec.org/details-autres/2016-04-19/montrEal-6e-edition-le-montrEal-du-futur
  5. Barbie s'installe au Canada : Montréal accueille fièrement EXPO BARBIE, la plus importante exposition permanente de poupées Barbie au monde MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 22 jan. 2016) - Ce n'est pas la poupée Barbie de vos souvenirs. C'est l'étalage de la haute couture, un assemblage des plus grands designers de l'industrie. Un nouveau volet de l'histoire de la mode est sur le point d'être révélé. La poupée la plus adulée de tous les temps ouvre les portes de son musée, EXPO BARBIE en plein coeur du centre-ville de Montréal, aux Cours Mont-Royal. La salle d'exposition d'une superficie de plus de 5000 pieds carrés exhibe plus de 1000 poupées Barbie dans leurs plus beaux atours matérialisant toutes les tendances passées et présentes. Qui d'autre que Barbie pouvait représenter l'évolution de la mode des 60 dernières années? Les connaisseurs de la haute couture seront comblés par ces magnifiques Barbie habillées par les plus grands couturiers tels que Christian Dior, Versace, Givenchy, Donna Karan, Giorgio Armani, Ralph Lauren, Vera Wang, Oscar de la Renta, Christian Louboutin, Zac Posen, Carolina Herrera et Hervé Léger parmi bien d'autres. Aussi, il y a les poupées Barbie du monde du spectacle dont Marilyn Monroe, Audrey Hepburn, Elizabeth Taylor, Beyonce, Cher, Jennifer Lopez, Farrah Fawcett, Barbra Streisand et Lucille Ball pour n'en nommer que quelques-unes. Pour les cinéphiles, Barbie prendra les allures des stars de The Hunger Games, The Wizard of Oz, Twilight, Grease, Titanic, My Fair Lady, Gone with the Wind et Legally Blonde. D'autres poupées Barbie qui retiendront l'attention prennent pour modèles Kate Middleton, Marie Antoinette, Coco Chanel, Grace Kelly et Cléopatre. Ces poupées uniques, confectionnées sur commande sauront fasciner tous les visiteurs, de tous les âges. Le lancement, sur invitation seulement, aura lieu le mercredi 10 février. EXPO BARBIE sera ouverte au public le lendemain. Cette exhibition permanente de classe internationale sera accessible pendant les heures normales d'ouverture, sept jours sur sept. L'entrée est gratuite, mais les dons offerts à « Fais un Voeu ®» Québec seront acceptés. http://www.marketwired.com/press-release/barbie-sinstalle-au-canada-montreal-accueille-fierement-expo-barbie-la-plus-importante-2090361.htm
  6. Une exposition sur les projets jamais construit de Montréal de 1990-2015 http://maisondelarchitecture.ca/ Reportage de la radio de radio-canada http://ici.radio-canada.ca/emissions/gravel_le_matin/2015-2016/archives.asp?date=2015/10/23&indTime=1542&idmedia=7361353
  7. Je viens de voir sur le site de l'amt qu'il va avoir un demonstration d'un kioske qui simule un train de banlieue. Pourquoi tenir une telle exposition a Ste-Hyacinthe il n'y a pas de gare desservi par le train de banlieue a part celui de Via Rail. A t'on une idée derriere la tete? https://www.amt.qc.ca/fr/actualites/nouvelles-evenements/evenements/venez-nous-rencontrer-au-marche-public-de-saint-hyacinthe-2
  8. Lundi 12 mai 2014 | Mise en ligne à 10h25 «Célébrer l’Expo 67 en 2017, un devoir de mémoire» Belanger - Expo Lettre intéressante de Michel Dumas, professeur au département de communication sociale et publique de l’UQAM, et président de la Fondation Expo 67. Je la publie intégralement en vous invitant à y réagir. C’est avec le plus grand intérêt que j’ai lu la chronique de François Cardinal intitulée «375e: trop tard pour bien faire?» dans laquelle il dit craindre qu’on ne puisse laisser un legs significatif à Montréal en 2017 à l’occasion des fêtes du 375e anniversaire. Il croit, cependant, qu’il n’est pas trop tard pour le faire, «car il existe sur les planches à dessin un projet d’envergure porteur de sens»: la transformation des îles du Parc Jean-Drapeau pour rappeler leurs origines de 1967. Nous ne pouvons qu’être d’accord avec ce projet. On sait que le 50e anniversaire de l’Expo 67 coïncide avec le 375e de Montréal. Mettre en valeur l’héritage remarquable de l’Expo, c’est en même temps saluer l’un des plus grands évènements qui aient propulsé Montréal sur la scène internationale. La Fondation Expo 67 qui regroupe des amants de l’Expo souhaite que les pouvoirs publics acceptent, alors qu’il en est encore temps, ce projet de transformation du Parc Jean-Drapeau. Outre de favoriser des projets de développement, nous nous devons de célébrer le 50e de l’Expo, comme l’ont fait d’autres villes qui ont tenu une exposition universelle. En 2008, Bruxelles a rappelé l’exposition de 1958 par une série d’événements sous le thème «Bruxelles bonheur» et notamment par une exposition dans un Atomium ayant retrouvé tout son lustre. En 2012, un programme d’événements et d’expositions d’une durée de six mois appelé Next Fifty a rappelé l’exposition universelle de Seattle de 1962. En 2017, Montréal célèbrera-t-elle comme il se doit sa grande exposition? Nous avons déjà proposé qu’on développe comme legs spécifique un centre permanent d’interprétation de l’Expo ou, pourquoi pas, sur les îles, à la Biosphère par exemple. On pourrait aussi célébrer cet anniversaire par des évènements visant différents publics: faire revivre aux écoliers l’expérience de l’«édu-kit» menée alors avec succès par le service des relations publiques dans des milliers d’écoles au Canada et aux États-Unis, en 1967; rappeler l’expérience des «journées nationales» en célébrant avec chaque pays l’anniversaire de sa participation à l’Expo; organiser un ensemble de spectacles rappelant le célèbre Festival mondial qui fut un évènement culturel sans précédent. Quels que soient les projets retenus, Montréal doit célébrer l’Expo. Notre Fondation ne dispose pas de ressources pour financer ces projets, ne comptant que sur de modestes cotisations de ses membres, Amis de l’Expo. Toutefois, elle encourage fortement à le faire les pouvoirs publics, en leur assurant tout son appui. Nous devons accomplir notre devoir de mémoire et redonner aux Montréalais la fierté d’avoir tenu ce grand évènement. Il en est encore temps.
  9. Pas un concours, plutôt un appel à contribution pour bonifier une exposition de photographie qui va avoir lieu au parc Bellerive dans le quartier Sainte-Marie intitulée ''Le fleuve, le pont et l'Homme'' Voici les détails:
  10. http://fondationguidomolinari.org/ INFOLETTRE LIENS UTILES CONTACT - HORAIRES - ACCÈS ENGLISH ACCUEIL LA FONDATION L’ARTISTE ET SON ŒUVRE ACTIVITÉS [TABLE=width: 866] <tbody style="background-color: transparent; border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">[TR] [TD][h=2]La Fondation[/h]La Fondation Guido Molinari est ouverte du jeudi au dimanche de 13h à 17h et les jeudis jusqu’à 20h. Entrée libre. Elle résulte d’un geste généreux de l’artiste, destiné à valoriser et perpétuer son travail de création, en installant notamment, dans son dernier studio situé dans une ancienne banque du quartier Hochelaga- Maisonneuve, un centre d’exposition, de documentation, de conférence, de diffusion et de création, susceptible d’encourager aussi le cas échéant de jeunes artistes émergents…. Lire la suite > [/TD] [TD][h=2]L’artiste et son œuvre[/h]Guido Molinari est né en 1933 à Montréal où il ne suit que quelques cours à l’École des beaux-arts et à l’École du Musée des beaux-arts, entre 1948 et 1951. En 1953, il présente sa première exposition particulière à L’Échourie et, trois ans plus tard, il expose aux États-Unis pour la première fois. Très tôt, cet autodidacte est considéré comme le maître de la peinture abstraite au Canada…. Lire la suite > [/TD] [TD][h=2]Activités[/h][h=3]EN COURS[/h]Molinari en deux temps : Tableaux 1964- 1968 et oeuvres sur papier 1953-1957. Notre exposition d’ouverture réunit deux corpus d’œuvres, séparés par une dizaine d’années. À première vue, on dirait de la musique de chambre, à l’étage, et de la musique symphonique, au rez-de-chaussée. Ou encore des créations de jeunesse à côté d’une production de maturité. C’est un peu vrai, encore que… Lire la suite > [h=3]À VENIR[/h]La Fondation Guido Molinari travaille sur sa programmation annuelle. Lire la suite > [h=3]PASSÉES[/h]La Fondation Guido Molinari a présenté Les années Moli de Marc Séguin en mai-juin 2013. Une exposition réunissant des travaux réalisés entre 1996 et 1998, soit à l’époque où le jeune artiste travaillait dans un espace, rue Chapleau, mis à sa disposition par Molinari qui était son professeur, et un peu son complice. Lire la suite > Abonnez-vous à notre infolettre [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE]
  11. Hi all, there's an art show tonight at Café El Dorado on Mont-Royal street, seems interesting! https://www.facebook.com/CafeElDorado?ref=ts&fref=ts
  12. Jardin botanique Les Mosaïcultures de retour à Montréal http://fr.canoe.ca/voyages/nouvelles/archives/2012/03/20120308-165723.html Montréal recevra cette exposition horticole à l'été 2013. Le public pourrait admirer prochainement les Mosaïcultures internationales de Montréal. Après 10 ans d'absence, le Jardin botanique devrait accueillir cette exposition horticole à l'été 2013. L'événement aurait dû être organisé cette année. Une trentaine de pays, dont la Chine, la France et le Japon devraient participer à cette manifestation qui est «à la fois une compétition et une exposition où les participants sont invités à présenter leur culture à travers ce médium horticole très spécialisé et spectaculaire», explique le site de la Ville de Montréal. Les Mosaïcultures internationales illustrent l'importance de la « richesse et de la diversité culturelles de notre planète et l'importance d'intégrer l'art des jardins dans le développement du paysage des villes de ce siècle ». Soulignons que les trois premières expositions ont remporté un vif succès avec plus de 2,1 millions de visiteurs. Les retombées économiques ne sont évidemment pas négligeables, évaluées à plus de 150 millions de dollars pour la métropole. La dernière exposition de sculptures florales a eu lieu dans le Vieux-Port de Montréal, en 2003.
  13. EXPOSITION LUMIÈRE SUR LE GESÙ - 37 PROPOSITIONS PROVENANT DE 3 CONTINENTS Dans le cadre du concours d’idées pour la mise en lumière de sa façade, le Gesù, en collaboration avec le Partenariat du Quartier des spectacles et Design Montréal de la Ville de Montréal, présente jusqu’au 28 mars 2009 l’exposition Lumière sur le Gesù, qui regroupe 37 propositions d’éclairage architectural et scénographique provenant de trois continents. Cette exposition unique réalisée dans le cadre du plan lumière du Quartier des spectacles vous offre la chance de découvrir cet important lieu historique et culturel à travers la créativité de concepteurs du Brésil, de l’Inde, de la France, de l’Italie, du Royaume-Uni, des États-Unis et de partout au Canada. Tous ont répondu à l’invitation lancée en novembre dernier visant à révéler par la lumière la personnalité unique du Gesù. Au cours de votre visite, vous serez invité à voter pour votre concept favori. Un prix du public assorti d’une bourse de 2 000 $ sera remis à l’équipe dont la proposition aura obtenu le plus de votes. La date limite pour voter est le 28 février, date de la Nuit blanche du Festival MONTRÉAL EN LUMIÈRE.
  14. Application iPhone Le Musée McCord propose un voyage dans le temps Agence QMI Emmanuel Delacour / 24H 19/09/2011 19h29 MONTRÉAL - Le Musée McCord de Montréal lance une application pour les iPhones qui permet de «voyager dans le temps» tout en se promenant dans les rues de la métropole; une approche avant-gardiste jamais vue au Canada. C’est lors de l’annonce de sa nouvelle exposition permanente Montréal : Points de vue que la présidente et chef de la direction du Musée McCord, Suzanne Sauvage, a fait connaître cette technologie de prochaines générations, qui «ajoute une strate de perception à l’expérience muséale». L’application Musée urbain MTL, qui est offerte gratuitement sur internet, permet de visualiser des photos d’archives, ouvrant ainsi une fenêtre sur le passé. Lorsqu’elles passent à des endroits spécifiques dans les rues de Montréal, les personnes munies d’un téléphone intelligent ont accès à des photos liées à l’histoire des lieux. Les 150 points de repère sont marqués d’une étiquette, permettent de visualiser les lieux tels qu’ils étaient dans le passé. Les images proviennent de la collection des archives photographiques Notman du Musée McCord. «Nous avons sélectionné ces clichés parmi notre banque de 1,3 million de photographies, en tenant compte tant de l’intérêt historique du lieu que du caractère surprenant et émouvant de la photo, pour que le visiteur soit constamment interpell », a affirmé Suzanne Sauvage. Il n’est pas nécessaire de posséder de téléphone intelligent pour profiter de l’application, puisqu’il est possible de télécharger une carte virtuelle sur un ordinateur qui situe les endroits archivés par Musée urbain MTL. Techno jusqu’au bout La nouvelle exposition permanente Montréal : Points de vue profitera elle aussi des récentes technologies des médias pour offrir une expérience interactive aux visiteurs. La salle centrale de l’exposition donne accès à 10 cubicules qui portent sur certains lieux importants dans l’histoire de la métropole. Les passants y sont accueillis par une vidéo d’un expert en histoire résumant les points importants de la section qu’ils s’apprêtent à visiter. En plus du volet interactif, 350 artefacts du passé de Montréal seront exposés au public. «Le but est de créer une ambiance d’immersion totale. Au lieu d’offrir une exposition exhaustive à propos de Montréal, ce qui est difficile, nous nous sommes affairés à dévoiler des aspects inusités de la ville, qui pourraient surprendre même les Montréalais», a expliqué Isabelle Corriveau, responsable de la production de Montréal : Points de vue.
  15. Le Service de la gestion des documents et des archives de HEC Montréal présente l'exposition virtuelle: Dupuis et Frères, le Magasin du Peuple (1868-1978) http://experience.hec.ca/dupuis_et_freres/
  16. Bonjour, Chez moi dans mon corridor central j'ai fait une exposition de Montréal en construction et je voulais en partager une peu avec vous. Si vous avez d'autres photos en construction de nos jours où du passée, amusons nous, exposons-les.
  17. Montréal | Mercredi 03 sep 2008 | 12:36 L'Expo 2020 à Montréal? (INFO690)- Le maire de l'arrondissement de Ville-Marie et chef de l'Opposition officielle de la Ville de Montréal, Benoît Labonté, souhaite la tenue de l'Exposition Universelle de 2020 à Montréal. Le processus de mise en candidature pour l'Exposition de 2020 sera lancé au début de l'année 2011. Monsieur Labonté a annoncé la formation d'un comité chargé de préparer le dossier de Montréal. Pierre Laporte / Info690 ............................................................................................... MAJOR COMPETION AHEAD.....GOOD LUCK!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ------------------------------------------------------- Expo 2020 From Wikipedia, the free encyclopedia Jump to: navigation, search 2020 is a Universal scale Registered Exposition time slot which can be sanctioned by the Bureau of International Expositions, Paris between 2011 and 2014. Once a city has lodged a bid with the BIE other cities will have six months to respond. The earliest allowed time to lodge a bid is 2011, and the latest is 2014. As a Registered Exposition it must be six months in length and adhere to a wide universal theme that applies to all humanity. Recent themes of Universal Expositions include "Man and His World" Montreal Expo 67, and "Discovery" Seville Expo 92. The following cities have indicated an interest in hosting Expo 2020: * o Copenhagen, Denmark (proposed bid)[1] o Houston, Texas, United States (proposed bid)[2] o Manila, Philippines (proposed bid) o New York City, New York, United States (proposed bid) o San Francisco, California, United States (proposed bid)[3] o Brisbane, Queensland, Australia (proposed bid)[4] In particular, the Brisbane bid co-incides with the 250th Anniversary of Australia 1770-2020 and with a possible Olympics Games bid for the same year[5]. :crowded: :crowded: :)
  18. EXPOSITION UNIVERSELLE DE SHANGHAI 2010 - MONTRÉAL DÉVOILE LA MAQUETTE DE SON LIEU D'EXPOSITION En prévision de l'Exposition universelle de Shanghai 2010, Montréal a dévoilé les principaux aspects de son lieu d'exposition intitulé Espace Montréal, un lieu unique qui offrira aux visiteurs une expérience des plus spectaculaires. L'Espace Montréal sera situé dans le secteur réservé aux meilleures pratiques urbaines, une zone rassemblant une cinquantaine de villes du monde. D'une superficie de près de 500 mètres carrés, l'Espace Montréal proposera aux visiteurs de découvrir le Complexe environnemental de Saint-Michel et ses innovations technologiques par l'entremise d'une projection multimédia sur une maquette évolutive qui les fera vivre virtuellement les grandes métamorphoses de ce quartier de Montréal. L'Exposition universelle de Shanghai se déroulera du 1er mai au 31 octobre 2010 sous le thème Meilleure ville, Meilleure vie. Plus de 200 pays et organisations internationales participeront à cet événement d'envergure. Pour la première fois dans l'histoire des Expositions universelles, les villes sont invitées à y participer.
  19. Vous allez devoir m'excuser pour l'auto promotion, mais j'essaie de mettre toute les chances de mon côtés. Je fais ma 3e exposition de photos la semaine prochaine avec une amie artiste peintre et je vous invite à venir faire un tour. http://www.galerieouest.ca Merci et j'espère vous voir, présentez vous et dites moi votre nick sur le forum.
  20. Des étudiants de l'Université de Montréal présentent leur vision de Pointe-Saint-Charles lors d'une exposition Montréal, le 8 avril 2009 - Quarante étudiants de l'Atelier de maîtrise en urbanisme de l'Université de Montréal exposeront leurs travaux portant sur quatre secteurs représentatifs des potentiels de développement dans le quartier Pointe-Saint-Charles le jeudi 16 avril, de 11 h à 19 h, au Centre Lorne, situé au 2390, rue Ryde au 2e étage (locaux 208 et 209). Toute la population est invitée à visiter cette exposition qui se veut une occasion d'échanger avec les étudiants sur leur vision d'avenir pour ce quartier. L'entrée est libre. Michel Raynaud et Juan Malo, enseignants de l'Atelier, ont identifié quatre sections du territoire de Pointe-Saint-Charles présentant des potentiels de développement intéressants : le secteur Bridge-Mill, le secteur du canal de Lachine, le secteur des terrains du CN et le secteur Wellington. Les 10 équipes proposent sur chacun des sites des alternatives et présentent des arguments pour une croissance urbaine harmonieuse dans le cadre du développement durable (social, économique et environnemental). Les projets proposés par les étudiants se veulent des réponses créatives aux questions posées sur la place que doit prendre Pointe-Saint-Charles dans Montréal dans le respect de son identité et de son histoire. Initié par l'Institut d'urbanisme de la Faculté d'aménagement du l'Université de Montréal et de son directeur, Gérard Beaudet, le programme s'est donné pour objectif d'inviter les étudiants à apporter une vision innovante et à participer activement à la réflexion sur l'avenir de Pointe-Saint-Charles en tenant compte de la situation présente, et en ouvrant des perspectives de développement de longue durée.
  21. Un phénomène que je trouve intéressant visuellement est quand des phares éclairent à travers la brume ou une tempête de neige. Cependant, c'est très dur à bien prendre en photo, surtout si le véhicule et/ou la brume est en mouvement... - courte exposition, on voit rien à part les faisceaux de lumière - longue exposition, le mouvement rend tout flou - flash annule l'effet parce qu'on éclaire aussi - plus d'ISO crée du bruit dans mon cas - plus d'ouverture, je sais pas, je m'en sers rarement Avez-vous déjà essayé de prendre ça en photo? si oui, quelles sont vos astuces? Voici un exemple qui, par hasard, se rapproche un peu de ce que je veux dire : Midnight Train to Humber (Joel Charlebois), qui a gagné le Metro Global Photo Challenge. http://www.metrophotochallenge.com/ca/gallery/winners
  22. La banque réduit son exposition aux risques dans au secteur immobilier résidentiel américain grâce à un accord avec Cerberus Capital Management. Pour en lire plus...
  23. Cherchant à minimiser l'impact de ce marché sur ses affaires, la banque torontoise décroche un investissement de 1,05 G$ US du fonds américain Cerberus. Pour en lire plus...
  24. Exposition au Monument-National - Montréal, ville ouverte Le Devoir Jean-François Nadeau Édition du vendredi 26 septembre 2008 Mots clés : Montréal, ville ouverte, Exposition, Art, Culture, Montréal, Québec (province) Les photographes Mia Donovan, Guy Glorieux et Gabor Szilasi documentent les changements du centre-ville Mia Donovan Les photos de Mia Donovan apparaissent comme une coupe chirurgicale au milieu d'un monde où le sexe s'apparente à une affaire strictement mécanique. Au coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent se trouvait, jusqu'à l'an passé, une sorte de centre du sexe qui surplombait une suite de petits commerces tous plus ou moins misérables: vendeurs de pizzas maigrement garnies, poseurs d'ongles synthétiques, revendeurs de bijoux de pacotille, soldeurs de t-shirts trop petits. Programme principal du lieu: peep shows et danses très lascives. Ce vieil immeuble hideux, enrobé de tôles ondulées et couvert de réclames, a été rasé depuis pour faire place, selon ce qu'on nous promet, à une partie vitale du nouveau quartier des spectacles. Au pire, cela finira encore en terrain vague ou en espaces de stationnement. À Montréal, comme on le sait, l'horreur semble toujours résister à tous les changements. À deux pas de là, lundi dernier, se réunissaient au Monument-National la plupart des organismes culturels qui entendent donner un nouveau lustre à ce quartier qui a connu de meilleurs jours. Juste au-dessus d'eux, une magnifique exposition, bien que modeste, des photos que Gabor Szilasi, Guy Glorieux et Mia Donovan ont consacrées à ce coin de rue qui appartient désormais au passé. Leur travail est le fruit d'une commande passée par UMA, la Maison de l'image et de la photographie, que dirige André Cornellier. «Il n'y aura plus rien de pareil au centre-ville d'ici moins de cinq ans! On ne se souviendra même pas de quoi avait l'air la rue Sainte-Catherine avant. Il allait de soi pour moi, explique Cornellier, de faire en sorte de documenter au plus vite ces changements.» C'est donc dans cet esprit documentaire que les trois photographes reconnus ont entrepris d'observer à leur manière cette part de la vie urbaine qui cède peu à peu le pas à une nouvelle, sous les assauts répétés des pics des démolisseurs autant que sous le poids de cet argent qui rachète tout, même la virginité d'un quartier pourtant ouvert depuis longtemps à toutes les outrances. Guy Glorieux propose une seule photo, très grande, réalisée grâce à une camera obscura géante. Ce procédé ancien, utilisé depuis des siècles par les peintres, permet de contourner les problèmes parfois insolubles du contrôle des perspectives tout en offrant la possibilité de dessiner de grands ensembles. Pour les photographes, cette technique astucieuse permet aussi de réaliser des clichés de paysages sans objectif, selon une approche noble qui confine aux origines mêmes de la photographie. Installé rue Sainte-Catherine, à l'étage d'un ancien hôtel de passe, Guy Glorieux s'est donc évertué pendant 10 nuits à saisir le paysage de ce lieu désormais disparu. Sa chambre, il l'a d'abord réduite à l'obscurité complète. La fenêtre, soigneusement obstruée, ne laissait filtrer de la lumière que par un orifice minuscule. Au mur, solidement fixé, du papier photosensible. Après nombre de tentatives d'exposition très longue à ce filet de lumière, une photo unique de la rue est apparue, diffuse, intrigante, prodigieuse. Le procédé semble s'ajuster parfaitement aux mystères de la nuit. Il présente, tout en douceur, dans des formes presque spectrales, les contours d'un monde aujourd'hui disparu à jamais. Aujourd'hui et demain, dans le cadre des Journées de la culture, on installe d'ailleurs au Monument-National une grande camera obscura. Les visiteurs pourront y entrer et en comprendre le fonctionnement. La visite est gratuite. Gabor Szilasi, vieux routier, a produit pour sa part des images plus classiques de l'extérieur de l'immeuble sis au 2-22, rue Sainte-Catherine Est. En fait, Szilasi montre dans ses photos ce qui semble encore banal pour les habitués des lieux mais qui, à coup sûr, apparaîtra comme étonnant d'ici quelques années à peine. La superposition des images publicitaires enregistrées par l'oeil sûr de Szilasi produit un fouillis unique, véritable oeuvre d'art qui n'en a pas l'allure a priori. Voici les «Ongles glamour», à côté du «Peep Show», des «Danseuses XXX», des pointes de pizza de Miami et des «DVD-VHS» criards. Au milieu de tout cela, cette réclame unique et surréaliste, parfaitement étonnante: «Chaos visuel organisé gratuit!» Ça ne s'invente pas. L'affichage surchargé des lieux apparaît presque aussi vulgaire que les pratiques auxquelles se livrent à l'intérieur des adultes consentants. La photographe Mia Donovan, qui est à réaliser un film sur l'industrie du sexe en Amérique du Nord, avait déjà l'habitude de ce genre d'endroit. Ses photographies au format carré apparaissent comme une coupe chirurgicale au milieu d'un monde où le sexe s'apparente à une affaire strictement mécanique. Nous voici devant le Sex-Machine, fierté de l'établissement disparu, sorte de fétiche géant en plastique pour masturbateurs ultra décidés. «Nous devions vendre le forfait "sex-machine" aux clients parce que plus cher, explique une ancienne employée de l'endroit qui a accepté de se confier au Devoir. Mais lorsque les gars voyaient ce que c'était, la plupart trouvaient la chose ridicule. Je dirais qu'au moins 80 % ne touchaient même pas à ça!» Les cabines de passes que nous montrent les photos de Mia Donovan sont toutes d'un vieux rose. La mélamine règne sur ces lieux où des distributrices de savon à main laissent entendre qu'une relative propreté doit être respectée avec «les demoiselles». Ces espaces réduits ressemblent en fait à des déclinaisons soudainement sexuées de simples salons de bronzage ou de caisses populaires des années 1980. «Mia Donovan a réussi à capter l'esprit d'un lieu, explique André Cornellier. Elle ne prend pas position. Elle n'a pas à le faire: tout est déjà dans ses images! Absolument tout!» La Maison de l'image et de la photographie ne manque pas d'autres projets pour l'avenir. Elle entend d'abord prêter au mieux son concours à des artistes. «Nous n'avons pas de vocation muséale. Nous ne voulons pas collectionner, mais nous pouvons aider les artistes à se retrouver au musée, à favoriser leurs créations.» L'UMA offre des moyens techniques uniques pour contribuer à la réalisation d'oeuvres particulières. Pour André Cornellier, demeure l'espoir de voir apparaître avant longtemps une maison qui serait un point de ralliement pour la culture photographique à Montréal. Cette maison, bien avancée en théorie, souffre néanmoins, pour l'instant, de contraintes hors du contrôle de ses artisans. http://www.ledevoir.com/2008/09/26/207515.html (26/09/2008 13H55)
  25. La compagnie d’assurance vie de Winnipeg a indiqué qu’elle détient des obligations de 101 M$ de Lehman Brothers. La valeur des investissements est de 347 M$ envers AIG et ses filiales. Pour en lire plus...
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