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  1. http://argent.canoe.ca/nouvelles/bmo-prevoit-90-000-emplois-montreal-13062013
  2. La panne immobilière semble bel et bien avoir atteint le marché canadien alors que les ventes de maisons existantes en novembre ont été en baisse de 12,3% face au mois d’octobre. Pour en lire plus...
  3. Aux portes du Québec, la tempête économique a fini par provoquer une chute en vrille de 31% des ventes de maisons existantes dans la région de Montréal, en novembre. Pour en lire plus...
  4. Pour les neuf premiers mois de l’année, les ventes d’habitations existantes dans la région de la Métropole ne sont en baisse que de 2 % comparativement à l’année passée. Pour en lire plus...
  5. Les ventes des maisons existantes en hausse 15 octobre 2008 - 11h38 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Les ventes des maisons existantes a été hausse en septembre, le prix en baisse. Les ventes des maisons existantes ont augmenté en septembre alors que les acheteurs se sont empressés d’acheter de l’immobilier avant que les conditions de crédit se resserrent. Selon l’Association canadienne de l’immeuble, les ventes ont été en hausse de 25 680 unités ou 3% par rapport au mois précédent. Cette hausse est explicable selon l’Association par un flux d’acheteurs importants qui souhaite accéder à la propriété avant les nouvelles mesures gouvernementales. En juillet dernier, les conditions des prêts hypothécaires ont été resserrées. Ainsi, pour avoir accès à l’assurance hypothécaire, les nouveaux acheteurs doivent signer une hypothèque étalée sur 35 ans ou moins avec une mise de fonds de départ d’au moins 5% de la valeur de la propriété. Toutefois, le prix de revente a chuté de 6,2% à 315 461 $ alors qu’il était à 336 321 $ pour le même mois l’an passé. Une chute des prix moyens est donc à prévoir selon l’association. «Dans certains marchés résidentiels cossus du Canada, la chute des prix sera plus importante que les autres hausses de prix que subiront les autres marchés, et elle continuera à faire baisser le prix moyen national d’ici la fin de l’année et jusqu’en 2009», indique l’économiste en chef de l’ACI, Gregory Klump. Encore et toujours les principaux coupables, les turbulences qui secouent les marchés financiers mondiaux et le recul de la croissance économique, ont un impact sur le secteur.
  6. Toutefois, le prix de revente a chuté de 6,2% à 315 461 $ alors qu’il était à 336 321 $ pour le même mois l’an passé. Le prix moyen devrait continuer à descendre, selon l'Association canadienne de l'immeuble. Pour en lire plus...
  7. La bulle immobilière est-elle sur le point d'éclater? 30 septembre 2008 - 17h24 Collaboration spéciale Maurice Marchon De janvier 2002 à août 2008, le prix moyen des maisons existantes s’est accru de 71 % au Canada, de 106 % à Calgary, de 102 % à Montréal, de 100 % à Vancouver et de 36 % à Toronto. Après six ans d’augmentation du prix des maisons, les gens continuent d’acheter en croyant à tort que la tendance à la hausse se poursuivra ou du moins se stabilisera. Une façon de déterminer s’il y a une surévaluation ou encore une sous-évaluation du prix des maisons existantes consiste à vérifier la relation à long terme entre le prix moyen de revente des maisons existantes et le revenu personnel disponible par habitant. À très long terme, l’augmentation du prix des maisons ne peut pas s’éloigner systématiquement de celui du revenu personnel disponible par habitant. Cette relation est de même nature que la relation entre les dépenses de consommation et le revenu personnel disponible. Toute déviation exagérée des dépenses de consommation financées par l’emprunt devra tôt ou tard s’ajuster à cette contrainte de long terme. On ne peut pas dépenser systématiquement plus que l’on gagne! C’est pourtant exactement ce qui s’est passé au Canada au cours des dernières années: le prix moyen des maisons existantes s’est accru beaucoup plus rapidement que le revenu personnel disponible par habitant. De plus le gouvernement, via la SCHL, a mis de l’huile sur le feu en accordant des programmes sans mise de fonds et en permettant aux consommateurs d’amortir leurs prêts hypothécaires sur 40 ans. Ces nouveaux programmes ont stimulé le marché immobilier permettant à des gens qui n’avaient pas nécessairement les moyens de devenir propriétaire. Du premier trimestre de 2002 au deuxième trimestre de 2008, le revenu personnel disponible par habitant s’est accru de 29,5 % comparativement à 73,3 % pour le prix moyen des maisons existantes (graphique 1). On notera également, que cette déviation a été moins marquée aux États-Unis puisque au cours des six ans qui ont précédé le sommet du prix des maisons de juin 2000 à juin 2006, le revenu personnel disponible a bondi de 26,5 % comparativement à 49,3 % pour le prix moyen des maisons existantes. Cela veut dire que les ménages canadiens ont emprunté encore plus massivement pour investir dans l’immobilier. En effet, au deuxième trimestre de 2008, l’endettement (passif) des ménages canadiens en pourcentage du revenu personnel disponible a atteint un sommet de 137,6 % et dépasse maintenant celui des ménages américains qui est tombé à 133,9 % après avoir atteint un record de 139,1 % au 4e trimestre de 2007. Certains propriétaires pourraient avoir une surprise lorsque viendra le temps d’effectuer un refinancement pour consolider leurs dettes alors que le prix des résidences serait à la baisse. On se retrouvera dans la même situation que les américains avec un prêt garanti par une hypothèque immobilière supérieure à la valeur de cette résidence fournie en garantie. Tout semble correct aussi longtemps que les prix des maisons montent, tout comme ce fut le cas aux États-Unis, en Espagne, en Irlande et en Grande-Bretagne. Cependant, lorsque les prix baissent, ceux qui ont acheté au sommet du marché et ceux qui ont refinancé leur hypothèque pour accroître leurs dépenses de consommation se trouveront en difficultés financières. Par ailleurs, le nombre de maisons offertes sur le marché augmente au moment même ou le comportement pro-cyclique des banques les incite à resserrer leurs critères de financement. C’est ce qui s’est passé aux États-Unis comme le montre l’évolution du prix moyen de revente des maisons existantes aux États-Unis comparativement au Canada. Le graphique 2 présente l’évolution des indices de prix moyen des maisons existantes normalisé à 1,0 en janvier 1980. Cette normalisation à 1,0 n’entraîne pas de distorsion puisqu’en janvier 1980 le prix moyen des maisons était très semblable dans les deux pays (62 200 $CAN au Canada comparativement à 68 200 $US aux États-Unis). Le prix des maisons existantes (graphique 3) a commencé à diminuer dans la région métropolitaine de Calgary (-8,2 % en août 2008 par rapport à l’année précédente), à Vancouver (-5,2 %) et dans l’ensemble du Canada (-4,1 %), alors que les prix continuent d’augmenter dans la région métropolitaine de Montréal (+6,8 %) Lorsque les prix baissent, le potentiel de déclin est aussi accentué par le fait qu’au cours des dernières années les promoteurs immobiliers ont augmenté l’offre de maisons neuves à des niveaux supérieurs aux besoins à long terme. Les graphiques 4 et 5 présentent l’évolution des mises en chantier au Canada et aux États-Unis par rapport à leur tendance à long terme. On voit très bien qu’au cours des dernières années les nouvelles constructions ont été bien supérieures aux besoins à long terme. Lorsque les prix baissent, les mises en chantier et la construction résidentielle s’effondrent contribuant ainsi au ralentissement de l’activité économique et aux pertes d’emplois. Le processus est déjà bien avancé aux États-Unis alors qu’il est à peine commencé au Canada. Avec le temps, la situation se rétablit puisque chaque trimestre de mises en chantier en-dessous de la demande à long terme contribuent à éponger l’excédent de maisons neuves et existantes sur le marché. Cela prépare aussi la voie à une reprise éventuelle de la construction résidentielle et du prix des maisons. C’est un processus douloureux pour ceux qui n’ont pas été assez prudents, mais il n’est jamais trop tard pour prendre les mesures nécessaires pour assainir sa situation financière. On peut éviter le pire en réduisant ses dépenses de consommation et en remboursant plus rapidement ses dettes, notamment sa marge de crédit personnel et ses cartes de crédit. Graphique http://pdf.cyberpresse.ca/lapresse/bulle_speculative_oct_2008.pdf
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