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  1. Ex-Centris délaisse le cinéma Le Devoir Odile Tremblay Édition du mardi 13 janvier 2009 Mots clés : Ex-Centris, Culture, Cinéma, Montréal, Québec (province) Daniel Langlois donne une nouvelle vocation à ses salles Daniel Langlois fondait il y a dix ans, boulevard Saint-Laurent, le complexe Ex-Centris, consacré jusqu'ici au cinéma. Photo: Jacques Grenier Le temple cinématographique Ex-Centris, qui fêtera ses dix ans en juin, un des rares complexes dédiés au cinéma de qualité à Montréal, cessera sa programmation régulière de films à compter du 20 mars prochain. Son propriétaire et mécène, Daniel Langlois, entend changer la vocation de l'établissement pour le convertir en lieu d'exploration culturelle diversifiée: performances musicales, oeuvres interactives, art de la scène multimédia, etc. «Ce n'est jamais le fun de dire: "On laisse aller". Moi aussi, ça me fait de la peine, déclarait hier Daniel Langlois au Devoir. J'annonce une nouvelle positive: l'objectif d'explorer à fond l'ensemble des possibilités offertes par nos installations et les offrir au public, avec un aspect triste. Les cinéphiles perdent un lieu unique. Je le sais.» Sa vision le mène ailleurs. «Mon intérêt dans la vie, c'est un contenu diversifié, l'accès à des cultures variées, interactives. J'ai continué dans le cinéma le plus longtemps possible. La technologie avant-gardiste des salles permettait au départ d'explorer de nouvelles avenues, mais en se concentrant sur les films, il devenait impossible de diffuser d'autres types de projets. On a conservé ce mandat-là durant dix ans. Tout au long des opérations, on a essayé d'intégrer, en plus de la programmation cinéma, l'exploration culturelle, mais les paramètres de diffusion de films rendaient la cohabitation impossible. Les contraintes imposées par la distribution traditionnelle du cinéma, qui sont basées sur un nombre de séances fixes par jour et sept jours sur sept, sont acceptables pour les salles à vocation spécialisée et équipées uniquement pour la projection du cinéma. Par contre, cela limite grandement un lieu polyvalent comme Ex-Centris, qui désire programmer à sa guise un contenu varié et expérimental. Je ne pouvais présenter un show de danse, par exemple. Nos opérations n'ont jamais été commerciales, et je ne coupe pas les projections de films pour des raisons économiques. Il est évident toutefois que les coûts d'exploitation ont augmenté, mais pas le prix des billets.» Une partie du personnel devra quitter le poste, six personnes en tout, dont Paule Vaillancourt, directrice des opérations des salles, Marie-Christine Picard, directrice de la programmation, Nadine Viau, attachée de presse, ainsi que des projectionnistes et plusieurs placiers. Exit les bons films qui plaisaient si fort aux cinéphiles? «Pas tout à fait, répond Langlois. On va faire du cinéma sur le mode événementiel. Quand il y aura des visionnements de films, ils seront associés à d'autres activités: conférences, échanges, activités interactives. J'ai accompli le travail que j'avais à faire. D'autres poursuivront cette mission: le Beaubien occupe de plus en plus de place, ainsi que le cinéma du Parc. Ils prendront la relève. Au début, on était presque seuls dans ce créneau. Pas aujourd'hui.» Daniel Langlois entend défendre son amour du septième art: «Pour moi, le cinéma demeure une des formes les plus puissantes et complètes pour véhiculer des émotions et des concepts humains, et je resterai toujours un cinéphile. Cela dit, il existe d'autres formes d'expression qui m'intéressent.» Et qu'en est-il du Festival du nouveau cinéma dont le fief était l'Ex-Centris? «Si le FNC veut revenir ici, les installations seront transformées, précise Daniel Langlois. Mais deux écrans traditionnels sur trois demeureront en activité. Ça sera aux dirigeants du FNC de faire leur choix. Ils pourraient très bien décider de revenir ici.» Dès le 20 mars, les salles de cinéma seront fermées pour quelques mois, afin d'intégrer de nouveaux équipements et des installations supplémentaires, conformes à la vocation multidisciplinaire. Pour les cinéphiles, toutefois, le deuil est immense. «Il s'agit d'une grande perte pour le Québec et pour la diffusion du cinéma d'auteur, déclarait hier Claude Chamberlan, directeur de la programmation au Festival du nouveau cinéma et longtemps à la tête de la programmation des films à Ex-Centris. Si peu de cinémas se consacrent aux films d'auteur. Je crains l'effet domino. Quand des salles sont éliminées, moins d'oeuvres de la cinématographie internationale peuvent trouver leur vitrine. En plus, elles marchaient bien, ces salles-là.» Le Cinéma Parallèle, une des trois salles de l'Ex-Centris, rampe de lancement pour plusieurs films québécois, documentaires et fictions confondus, devrait renaître ailleurs. «Nous allons le relocaliser et cherchons présentement un local. Pas question de l'abandonner», assure Claude Chamberlan, lui aussi en état de choc. http://www.ledevoir.com/2009/01/13/227162.html (13/1/2009 8H45)
  2. Nouveau film de ONF Un portrait impressioniste du Montreal des années 1950-1960, en images, en chansons et en musique Ils viennent de mettre quelques extrait en ligne. Vraiment un MUST SEE pour tout amateurs d'urbanism. http://beta.nfb.ca/film/memoire_des_anges_extrait_1/ De 1 -12. Le film est au Cinéma Ex-Centris. Si il y en a qui aimerai le voir en gang, je serai game.
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