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  1. J'ouvre ici un fil afin de trouver des idées pour stimuler l'offre touristique de la ville tout en reconnaissant l'apport des communautés culturelles à notre société. C'est à dire que je crois fortement qu'il est temps pour Montréal de jouer la carte de la diversité culturelle. Non seulement en reconnaissant l'apport des différentes communautés pour la ville mais en favorisant le développement des quartiers dit ''ethniques'' pour en faire des destinations touristiques incontournables. Montréal possède déjà des quartiers de ce genre mais il manque un gros ''wow'' à ces endroits pour que les bus de touristes fassent le détour ou que les banlieusards décident de descendre en ville pour y passer une après-midi. L'une de mes activités préférées est justement de me balader dans les quartiers ''ethniques'' pour y passer une heure ou deux, y manger, y prendre un café ou simplement de les faire visiter à des gens de l'extérieur, des touristes etc. C'est d'ailleurs l'une des première chose que je fais lorsque je visite d'autres villes. Je sais qu'il y a des aménagements dans le quartier chinois en ce moment mais je ne crois pas que ce sera assez. C'est à dire que c'est la densité qui est le moteur du succès et on aura beau rendre l'endroit plus beau, s'il n'y a pas plus de monde alors ca ne changera pas grand chose. Plus de monde emmène plus de commerce et cela emmène plus d'activité de toute sorte. C'est une simple question de mathématique. Donc comme je dis souvent, il y a 3 façons de rendre un quartier plus dynamique: Densité, densité et densité ! J'envoie une lettre à Tourisme Montréal ainsi qu'à la ville mais je souhaite récupérer d'autres idées novatrices pour pouvoir inciter les dites communautés à participer davantage mais aussi la ville et les arrondissements. Et je ne parle pas ici de façon financière car la ville ne peut pas et ne dois pas continuellement injecter des sommes mais elle peut jouer un rôle de rassembleur, changer quelques règlements, faire la promotion des idées et éventuellement des quartiers.
  2. "Officialiser'' les quartiers ethniques de Montréal est-ce que vous pensez que c'est une bonne chose ? Nous avons déjà le Quartier chinois (Chinatown) et la Petite Italie (Pica Italia) ou St-Léonard mais est-ce que d'autres coins devraient avoir une appellation plus spécifiqe pour mieux refléter l'image du quartier en question ? Je pense au quartier grec qui tarde à arriver (mais qui nous a été promis), au quartier portugais qui ne demande que cela, au quartier du Petit Maghreb qui vient à peine d'etre reconnu (Si je ne me trompe pas), mais il y a aussi d'autres endroits comme: St-Michel (pour les haitiens), une partie de St-Laurent (pour les libanais), une partie de Lasalle près du temple sikh (pour les sikhs ), Parc-Extension (pour les pakistanais et/ou les indiens), Beaubien entre St-Laurent et St-Hubert (pour les latinos), Hutchison/Van Horne approximativement (pour les hassidims), etc... Je ne fais que poser la question, tout simplement. Qu'en pensez-vous ?
  3. Le Québec a mauvaise presse Les accommodements raisonnables du Québec galvanisent les médias d'un bout à l'autre du pays. Archives La Presse Émilie Côté La Presse Les Québécois moins accommodants que les Canadiens envers les communautés ethniques? Les chroniqueurs et les médias des autres provinces ne se gênent pas pour le dire. Et l'écrire. Pourtant, en consultant les statistiques et en dépêchant des journalistes à Toronto, Vancouver et Calgary, La Presse a constaté que si les autres provinces tenaient aussi des commissions sur les accommodements raisonnables, le débat ferait tout autant jaser. Cette semaine, à Toronto, on apprenait qu'une musulmane, Halima Muse, avait été suspendue par la compagnie Garda. L'agente de sécurité refusait de porter la jupe du nouvel uniforme fourni par son employeur. Elle la jugeait trop courte. Un peu plus à l'ouest, au Manitoba, un arbitre a empêché une fillette musulmane de participer à une compétition de judo avec son voile. Au Canada anglais, les frictions entre immigrants et citoyens «de souche» sont loin d'être rares. Depuis la commission Bouchard-Taylor, ce sont pourtant les accommodements raisonnables du Québec qui galvanisent les médias d'un bout à l'autre du pays. Dans un éditorial du National Post, John Moore écrivait il y a trois semaines: «Le Québec, dans ses spasmes actuels, semble incapable de comprendre que le «raisonnable» de l'«accommodement raisonnable» n'est pas si difficile à définir. Les mutilations génitales, les lapidations sommaires et la religiosité excessive dont les gens de Hérouxville ont tellement peur, c'est exactement ce que les nouveaux arrivants ont cherché à fuir en venant ici.» John Moore n'est quand même pas allé aussi loin que Jan Wong. L'an dernier, au lendemain de la tragédie de Dawson, la columnist du Globe and Mail établissait un lien entre les tueries survenues au Québec et la non-intégration des immigrants à la société québécoise «pure laine». Le Conseil de presse du Québec a blâmé Mme Wong l'an dernier. Mais au Canada anglais, plusieurs restent convaincus que les Québécois sont plus intolérants que les autres, et surtout, moins ouverts aux demandes des communautés ethniques. Davantage d'attaques racistes Neil Edwards, originaire des Caraïbes, a vécu neuf ans à Montréal avant de déménager à Toronto et de devenir directeur de la médiation à la Commission ontarienne des droits de la personne. L'homme - qui ne s'exprime pas au nom de la commission - est catégorique: «Après mes études à Concordia, j'ai réfléchi et j'ai conclu que le Québec, à cause de tout le racisme, présentait des possibilités très minces pour moi et que je devais aller voir ailleurs. Si, en tant que Noir, j'étais resté au Québec, je n'aurais pas pu progresser. Et vous savez quoi? J'ai pris la bonne décision en venant en Ontario.» Atthar Mahmood, vice-président du Conseil suprême islamique du Canada, est du même avis. «J'ai un ami marocain qui vit à Montréal. Il veut venir s'installer à Calgary car il trouve que lui et sa famille sont trop ciblés. Je connais des gens qui ont du mal à se trouver un emploi au Québec et qui préfèrent venir ici parce qu'il y a moins de discrimination.» Une étude récente de Statistique Canada révèle qu'on retrouve à Montréal l'écart le plus important entre le taux de chômage des immigrants et celui des Canadiens de naissance. Par contre, les plaintes pour discrimination fondées sur la race, la couleur, le lieu d'origine ou l'ascendance ne sont pas plus fréquentes ici. Qu'on soit au Québec, en Ontario ou au Manitoba, elles représentent environ le quart de toutes les plaintes reçues par les différentes commissions des droits de la personne en 2004-2005. «Il y a une augmentation des attaques racistes partout au Canada. De Terre-Neuve à la Colombie-Britannique en passant par l'Ontario et l'Alberta», observe pour sa part Ayman Al-Yassini, président de la Fondation canadienne des relations raciales. Les médias en parlent plus Selon Jean-François Dumas, président d'Influence Communication, il n'y a pas plus de cas de racisme ou d'intolérance au Québec. Bon an mal an, dit-il, l'organisation B'nai Brith dénombre jusqu'à trois ou quatre fois plus d'incidents antisémites en Ontario qu'au Québec, alors que la population juive y est seulement deux fois plus importante. Par contre, quand les médias québécois parlent des communautés ethniques, c'est plus souvent de façon négative. Et c'était le cas même avant la controverse de Hérouxville, révèle une analyse réalisée par Influence Communication. Fait surprenant: les médias ontariens parlent davantage des controverses ethniques qui éclatent au Québec que de celles qui surviennent en Ontario. «Les médias québécois servent d'amplificateurs démesurés aux médias des autres provinces», commente Jean-François Dumas. Au Québec, ajoute-t-il, «nous avons l'habitude de nous auto-flageller, c'est-à-dire de donner de la démesure à nos enjeux de société». Qu'on parle des fenêtres givrées du YMCA ou des jeunes musulmanes voilées expulsées d'un tournoi de judo, «c'est du bonbon pour les médias», explique-t-il. Pour les médias du Québec comme pour ceux du Rest of Canada (ROC). «Dans une bonne histoire, il faut un méchant, une victime et un enjeu.» Un impact certain Bien entendu, la commission Bouchard-Taylor est une tribune publique qui fait beaucoup jaser le ROC. «Ce n'est pas la commission qui choque, c'est le fait que les gens tiennent des propos gratuits», souligne Jack Jedwab, directeur général de l'Association d'études canadiennes. Daniel Béland est professeur de sociologie à l'Université de Calgary. Il est surpris que Québec ait nommé deux «pure laine» pour diriger la commission. «Il y a une minorité de gens ici qui approuvent cette commission. La fameuse pudeur anglaise fait qu'on n'oserait pas tenir une commission comme celle que vous avez. Mais si on le faisait, je suis sûr qu'on entendrait ici aussi des choses étonnantes et peu édifiantes sur les immigrants.» Avec la collaboration de Mario Girard et Isabelle Hachey Pourcentages par province des plaintes de discrimination fondée sur la race, la couleur, le lieu d'origine et l'ascendance Territoire du Nord-Ouest : 35% Manitoba : 25% Québec : 25% Ontario : 25% Nouvelle-Écosse : 23% Nouveau-Brunswick : 20% Alberta : 15% Colombie-Britannique : 15% Yukon : 15% Sakatchewan : 14% Terre-Neuve : 2% Île-du-Prince-Édouard : 1% Source : Commission des droits de la personne de l'Alberta et la Commission canadienne des droits de la personne 2004-20.
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