Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'essais'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

1 résultat trouvé

  1. Voilà une bonne nouvelle. Ça devrait aussi rassurer les éternels inquiets qui ne peuvent dormir à cause du faible taux de fécondité et qui cherchent à jeter le blâme sur des gens qui n'ont rien à voir avec ça... ------------------------------- Projet de loi Québec financera la fécondation in vitro La Presse Canadienne Jocelyne Richer 22/04/2009 16h22 - Mise à jour 22/04/2009 17h35 Les femmes qui ont besoin de la technologie pour donner la vie recevront bientôt un coup de pouce financier de l'Etat pour mener à bien leur projet. Elles auront droit à trois essais gratuits, assumés par la Régie de l'assurance-maladie, alors qu'actuellement la facture peut grimper jusqu'à 45 000 $. Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, a déposé un projet de loi en ce sens, aujourd'hui, à la grande satisfaction des couples stériles, qui réclamaient depuis longtemps l'aide financière du gouvernement. Le projet de loi 26 vise en fait à encadrer tout le processus de procréation assistée. Dès qu'il sera adopté, les femmes qui veulent devenir enceintes auront donc droit à trois essais sans frais. Cependant, la question cruciale du nombre maximal d'embryons qui pourront être implantés à chaque reprise dans l'utérus de la femme reste à déterminer. Le nombre autorisé pourrait varier en fonction de l'âge de la femme et de la qualité des embryons. En point de presse, le ministre Bolduc a dit qu'il fallait faire en sorte d'éviter les grossesses multiples, très coûteuses pour l'Etat, et remettait à plus tard la décision à ce sujet. Mais une chose est sûre, «des huit, puis des sept embryons, il n'y en aura pas», a-t-il promis. «On ne vous cachera pas qu'on veut éviter des situations comme il y a eu aux Etats-Unis avec la naissance d'octuplés, alors que tout le monde trouve ça étrange qu'on ait implanté autant d'embryons en même temps», a fait valoir le ministre Bolduc. Québec vise à promouvoir en ce domaine «une pratique éthiquement acceptable et également une pratique de qualité». L'Association des couples infertiles du Québec s'est montrée très satisfaite du projet de loi, surtout qu'il prévoit le remboursement de trois essais, au lieu de deux comme le projet de loi précédent, qui avait été déposé en 2008. La présidente de l'association, Caroline Amireault, a fait valoir qu'elle souhaitait que Québec laisse conjointement au médecin traitant et à la femme la décision à prendre quant au nombre d'embryons à implanter. Elle veut surtout éviter que Québec fixe à un seul embryon le plafond autorisé pour chaque intervention, «parce qu'avec un seul embryon vous avez 15 pour cent de chances d'avoir une grossesse». «Il faut s'assurer que les couples infertiles ne seront pas pris en otages», en devant recommencer «indéfiniment», a-t-elle ajouté. Une grande victoire de l'association consiste à avoir réussi à convaincre le gouvernement de considérer l'infertilité comme une maladie. Malgré les pressions, le gouvernement avait toujours refusé dans le passé de céder sur ce point, à l'époque où le ministère de la Santé était dirigé par Philippe Couillard. Il disait aussi qu'enfanter n'étais pas un droit, mais un privilège. Environ 1700 traitements pour l'infertilité sont pratiqués chaque année au Québec, pour un coût unitaire variant entre 10 000 $ et 15 000 $. Il faut s'attendre à voir le nombre de demandes augmenter avec la gratuité du traitement. Le projet de loi prévoit aussi que toute activité de procréation assistée, sauf exception, devra être exercée dans un centre privé de procréation assistée, et que ce centre devra être dirigé par un médecin. Ces centres devront détenir un permis délivré par le ministère de la Santé et respecter les normes en vigueur.
×
×
  • Créer...