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  1. Google s'installe à Montréal 25 janvier 2007 - 13h48 La compagnie Google a entrepris de faire de la recherche et du développement à partir de locaux situés à Montréal, révèle le journal Les Affaires dans sa plus récente parution. Les bureaux loués par Google se trouvent dans l'immeuble du 1000 de la rue Gauchetière, en plein cœur du centre-ville montréalais. Une petite équipe de sept ingénieurs et développeurs de logiciels aurait déjà été embauchée, selon ce qu'a appris Les Affaires. Les responsables contactés chez Google, parmi lesquels Lars Hansen, porte-parole de Google au Canada, auraient toutefois refusé de donner davantage de précisions. Le géant Internet a également annoncé, sur ses pages d'offres d'emploi, être à la recherche de développeurs et programmeurs spécialistes du système d'exploitation Windows pour sa filiale montréalaise. Selon Les Affaires, les employés d'une entreprise islandaise, récemment achetée par Google, avaient déjà l'habitude de se réunir de temps à autres à Montréal, ce qui pourrait expliquer l'ouverture de bureaux dans la métropole. Il n'est d'ailleurs pas impossible que cette initiative annonce d'autres investissements de Google au Québec, puisque la compagnie serait aussi à la recherche de locaux commerciaux supplémentaires susceptibles d'accueillir entre 200 et 300 employés.
  2. Je crois que ça a passé sous le radar régional mais "Les Centres d’Achats Beauward" prévoient construire un nouveau centre de congrès à St-Hyacinthe, agrémenté d'un hôtel de 200 chambres à proximité de l'ancien Hôtel des Gouverneurs qu'ils ont acquis et qu'ils vont démolir (c'était tout pourri apparemment). En gros, ils reconstruisent un équivalent contemporain, connecté à leur centre d'achat. Pour la petite histoire locale, il y a une guéguerre avec un autre centre d'achat de la région, ça s'accuse de magouilles etc, il y a des détails dans l'article. Ah, oui, le PA de Beauward est ni plus ni moins que Marc-A. Bibeau.
  3. La chaîne de dépanneurs Alimentation Couche-Tard (ATD.B) a reconnu lundi que sa volonté d'accroître sa présence aux États-Unis pourrait se réaliser par l'acquisition de certaines des 2000 stations-service dont Shell prévoit se départir au cours des prochaines années. «Nous sommes toujours intéressés par n'importe quel actif disponible aux États-Unis pouvant s'intégrer dans notre réseau déjà existant», a indiqué le directeur financier de l'entreprise, Richard Fortin. «Si Shell est vraiment intéressée à vendre certains actifs et nous les offre, nous pourrions être intéressés.» M. Fortin a ajouté que plusieurs publications avaient rapporté que Shell, le troisième plus important exploitant de stations-service et de dépanneurs aux Etats-Unis, voulait se départir de certains de ses éléments situés dans des marchés importants. Jessy Hayem, de Valeurs mobilières Desjardins, a indiqué dans une note de recherche que Couche-Tard entretenait une relation solide avec Shell et occupait une position favorable afin de faire une offre pour certains des actifs de la société pétrolière. Selon elle, l'entreprise pourrait s'intéresser à des stations situées dans des marchés de Houston, Dallas, Portland et Sacramento. Shell entend compléter la vente d'ici au troisième trimestre de 2009. M. Fortin a affirmé n'avoir reçu aucune nouvelle de Shell à propos des ventes projetées et ne peut dire si son entreprise a l'intention de présenter une offre dès la première occasion. Il a ajouté que sa stratégie était d'ajouter des stations dans des marchés où son entreprise est déjà présente. «Nous n'achèterons pas 50 stations-service qui seraient perdues dans des marchés où nous sommes inexistants», a-t-il dit. Alimentation Couche-Tard, dont le siège est à Laval, a fait l'acquisition de 286 points de vente de Shell dans le cadre de trois différentes transactions, en 2004 et 2006. La chaîne prévoit acheter 250 magasins durant l'exercice fiscal 2008, un chiffre largement inférieur à celui des 413 acquisitions effectuées en 2007, l'entreprise préférant concentrer son attention sur l'intégration des quelque 200 magasins acquis de Shell en décembre dernier. M. Fortin a indiqué que son entreprise pouvait utiliser ses marges de crédit et des excédents de trésorerie pour faire des acquisitions.
  4. LAVAL, QC, le 7 août 2014 /CNW Telbec/ - Habitations Trigone s'apprête à démarrer son premier projet de développement résidentiel sur le territoire lavallois. Le projet nommé « District Concorde » sera situé au coin de l'avenue Léo-Lacombe et François-Souillard. Celui-ci sera à moins de 700 mètres de la station de métro et de la gare de train De La Concorde. Habitations Trigone est fière d'inaugurer un autre projet de type T.O.D (développement orienté vers le transport en commun) qui s'accorde parfaitement avec la philosophie de la compagnie. District Concorde offre une grande variété de produits qui saura combler les besoins des futurs propriétaires. Le projet compte 480 unités de condos réparties dans 9 bâtiments incluant un stationnement hors sol avec toit vert ainsi qu'un stationnement souterrain. Ce projet innovateur favorisera un mode de vie actif puisque les résidents pourront marcher afin de se rendre au métro ou au train. Le premier bâtiment devrait être complété d'ici le printemps 2015. Le projet District Concorde s'insère dans le cadre d'une volonté de la ville de Laval à vouloir revitaliser le secteur de la station de métro concorde. La ville prévoit revoir complètement le concept d'aménagement afin de créer un milieu de vie de qualité pour les futurs résidents. De plus, un crédit de taxe sera accordé par la ville aux nouveaux propriétaires de ce secteur. Nous sommes heureux d'annoncer que l'ouverture du bureau des ventes du projet aura lieu ce samedi 9 août dès midi sur la rue François-Souillard à Laval. Habitations Trigone est une entreprise active dans le secteur de la construction domiciliaire depuis près de 25 ans, ayant à son actif plus de 10 000 unités construites sur la Rive-Sud et Rive-Nord de Montréal. C'est la réputation de qualité et d'intégrité d'Habitations Trigone qui a permis à cette entreprise de se hisser aux premiers rangs de la construction domiciliaire au Québec. Notre passion de construire est toujours aussi vivante et nous continuerons à développer des projets innovateurs, localisés sur des sites de choix, pour des espaces de vie accessibles à tous. Condo neuf a vendre a Laval-des-Rapides, District Concorde | Habitations Trigone
  5. La Presse+, la semaine dernière, a levé le voile sur une entreprise dont peu de Québécois connaissaient l’existence, MindGeek, un géant mondial du XXX. Cette entreprise a un siège social fictif au Luxembourg, à des fins d’évitement fiscal, mais ses opérations sont à Montréal. Si des Américains prenaient le contrôle de MindGeek, est-ce que des voix s’élèveraient pour déplorer le fait que cette entreprise passe en des mains étrangères ? Évidemment pas. Et pourtant, cette entreprise, établie à Montréal, dirigée par des Montréalais, a créé dans la métropole 900 emplois de qualité, souvent des emplois de siège social ou liés aux nouvelles technologies de l’information. Pourquoi ce long préambule ? Pour illustrer le fait que le débat sur les sièges sociaux a une dimension subjective. La vigueur des réactions lorsqu’un siège social passe dans des mains étrangères dépend, du moins en partie, de facteurs comme la notoriété de l’entreprise, sa cote d’amour, sa présence dans notre vie quotidienne. On l’a vu avec Rona. Sans vouloir nier la pertinence de ces considérations plus affectives, il faut trouver des approches plus rationnelles. Je me suis par exemple aperçu, dans un débat amical avec mon collègue Gérald Fillion de RDI, que le simple fait de parler de défense de nos « champions » plutôt que de nos « fleurons » suffisait déjà à changer la perspective. Une étude toute récente de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), signée par Yvan Allaire et François Dauphin, permet de faire un pas de plus dans cette recherche de la rationalité. Parce qu’elle nous aide à savoir de quoi on parle. Cette étude identifie les entreprises vulnérables. Dans la liste du FP 500, on dénombre 69 entreprises québécoises ayant des ventes supérieures à un milliard en 2015. Là-dessus, 14 étaient des filiales de sociétés non québécoises. Il en reste 45. De ce total, 29 sont à l’abri, parce qu’elles sont des coopératives (4), des sociétés d’État (6), des sociétés par actions privées (8), des sociétés cotées en Bourse avec un actionnaire de contrôle ou protégées par des droits de vote multiple (13) ou des sociétés dont l’actionnariat est réglementé, comme Air Canada ou Groupe Transat (8). Il en reste 16 qui pourraient faire l’objet d’une prise de contrôle hostile ou amicale. Les voici : Metro, SNC-Lavalin, Valeant Pharmaceuticals, WSP Global (ancien Génivar, ingénierie), Produits forestiers Résolu, TransForce (camionnage), Gildan Activewear, Dollarama, Aimia (Aéroplan), CAE (simulateurs de vol), Uni-Select (distributeur de produits automobiles), Groupe Canam (produits métalliques), Stella-Jones (transformation du bois), Colabor (distribution alimentaire), Tembec (produits forestiers), Amaya (jeu en ligne). La première chose qui frappe, c’est que plusieurs de ces entreprises sont inconnues du public. Il serait pas mal plus difficile de se mobiliser pour Stella-Jones que pour Metro. Il y en a d’autres qu’on n’aime pas. Qui voudrait défendre le prédateur pharmaceutique Valeant ou Amaya ? D’autres n’ont pas le même enracinement économique, comme Dollarama. Cela montre à quel point il sera difficile d’établir une politique de protection de ces sièges sociaux qui soit cohérente. Voici quelques pistes pour y parvenir. Premièrement, s’entendre sur l’importance des sièges sociaux comme industrie, pour les emplois de qualité qu’elle crée, l’industrie de services professionnels qu’elle soutient, le prestige, des bénéfices indirects, comme le mécénat, pour les partenariats stratégiques. Deuxièmement, savoir de quoi on parle. Il faut un inventaire des entreprises plus détaillé. Certains sièges sociaux ne sont que des coquilles vides. D’autres, dont le siège social n’est pas ici ou qui ne sont pas sous contrôle québécois, ont des activités de siège social significatives, comme Rio Tinto. La dernière étude sur la question, de Secor-KPMG, date de 2011. Troisièmement, il faut savoir ce que l’on tient à protéger, au-delà du siège social, les symboles ou les bénéfices économiques, comme le dynamisme de l’entreprise, son potentiel d’avenir, ses effets structurants, son rôle stratégique. C’est ce qui permet de déterminer les efforts que l’on doit déployer pour éviter qu’une entreprise change de mains. Quatrièmement, définir la palette d’outils que l’on peut utiliser. L’étude de l’IGOPP écarte une politique d’opposition systématique aux transactions qui pousserait les entreprises à installer leur siège social ailleurs et estime que la création d’un fonds de blocage est coûteuse et inefficace. Elle propose plutôt des mesures préventives, recours balisé à des actions à droit multiple, modifications réglementaires pour permettre à un conseil d’administration de bloquer une offre hostile ou pour l’empêcher d’être séduit par une offre amicale. Le Groupe de travail sur la protection des entreprises québécoises a remis au gouvernement Marois un rapport en 2014 qui allait dans le même sens, avec des recommandations très fouillées dont le gouvernement Couillard devrait s’inspirer. Cinquièmement, il faut mettre sur pied un organisme pour faire le suivi. Pas nécessairement une nouvelle structure, mais un mécanisme permanent qui peut suivre la marche des entreprises, prévenir plutôt que guérir, centraliser l’information, coordonner les interventions parfois disparates. Pour éviter ce que la saga du ministre Jacques Daoust a révélé dans le cas de Rona : l’absence de leadership. La raison plutot que la passion - La Presse+
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  7. FRANCIS VAILLES La Presse Serge Godin n'a pas l'habitude de commenter les grands enjeux économiques ou de se mêler de politique. Cette fois, le proprio du Groupe CGI sort de sa réserve concernant la fuite de nos sièges sociaux, qu'il juge très préoccupante. En particulier, il affirme que la fiscalité canadienne incite nos entrepreneurs à vendre leur entreprise au plus offrant plutôt que la léguer à leurs enfants. Cette problématique accentuera grandement nos pertes de sièges sociaux au cours des prochaines années, soutient le président exécutif du conseil de la multinationale informatique. « Le problème est extrêmement sérieux. On essaie de protéger nos sièges sociaux, mais le système fiscal fait exactement le contraire », dit Serge Godin, dont l'entreprise de Montréal fait travailler 65 000 employés dans 40 pays. Selon l'homme d'affaires, ce sujet est la grande inquiétude de l'heure des entrepreneurs du baby-boom. Cette préoccupation est confirmée par le fiscaliste Jean-François Thuot, de Raymond Chabot Grant Thornton. De nombreux hommes d'affaires de Québec inc. sont rendus à un âge avancé. Qu'on pense à Jean Coutu, aux frères Lemaire, à Alain Bouchard ou à Rémi Marcoux. Pour eux, la question de la succession devient cruciale même si certains ont fait des arrangements. « Quand un siège social est à Montréal, c'est ici que se prennent les décisions, ce qui favorise nécessairement la communauté, les avocats, les comptables, etc. Il y a tout un écosystème autour d'un siège social et des emplois bien rémunérés », détaille Serge Godin. Or « la fiscalité est un incitatif à vendre nos entreprises, ce qui contribue à la fuite des sièges sociaux. Tous les entrepreneurs sont pris avec ce problème-là », dit Serge Godin, 66 ans, dont la fille Julie est l'une des vice-présidentes de CGI. Deux raisons expliquent la situation : le manque de liquidités de la succession pour acquitter les impôts lors de l'héritage, d'une part, et les pertes importantes qu'engendrerait le legs de l'entreprise plutôt que sa vente pure et simple, d'autre part. Lorsque le propriétaire d'une entreprise décède, faut-il savoir, le fisc exige des héritiers le paiement immédiat des impôts sur le gain en capital. Essentiellement, ce prélèvement représente 26,7 % de la valeur des actions du fondateur au Québec (fédéral-provincial combiné). Or la succession - souvent les enfants - n'a pas les fonds nécessaires pour payer les impôts et doit donc vendre une portion importante des actions de l'entreprise, ce qui en met le contrôle à risque. Prenons l'exemple d'une firme dont les actions du fondateur en Bourse valent 100 millions de dollars et représentent 55 % des droits de vote. À son décès, les héritiers devront payer 26,7 millions en impôts, essentiellement. N'ayant pas les fonds, ils devront vendre 26,7 % de leurs actions de l'entreprise, faisant ainsi passer la position de la famille de 55 % à 40 % environ, ce qui leur fait perdre le contrôle. La situation est plus dramatique lorsqu'il s'agit d'actions à vote multiple, par exemple des actions qui donnent droit à 10 votes. Ces actions procurent le même gain qu'une action ordinaire lorsqu'elles sont vendues en Bourse, mais leur cession fait perdre à la famille 10 droits de vote pour chacune. La position de contrôle peut alors fondre très rapidement avec le paiement des impôts. Autre élément néfaste, selon Serge Godin : la mécanique fiscale fait en sorte que les héritiers empochent davantage si l'entrepreneur vend au plus offrant avant de mourir que s'il transfère les actions à son décès. Par exemple, un entrepreneur qui vend son entreprise en Bourse à un concurrent obtient une prime qui peut atteindre 40 %. Dit autrement, les actions qui valaient 100 millions peuvent gonfler à 140 millions lors d'une offre d'achat. Après l'impôt de 26,7 %, il reste environ 103 millions net pour les héritiers éventuels. Au contraire, au décès, les héritiers reçoivent une valeur nette de 73 millions après paiement de l'impôt de 26,7 millions, soit beaucoup moins que si le père avait vendu son entreprise avant son décès, dit-il. Cette problématique est semblable dans les autres provinces canadiennes, mais elle est moins aiguë aux États-Unis. Serge Godin croit qu'il faut carrément changer les dispositions fiscales lors du legs à la famille d'actions d'entreprise. Il imposerait seulement le gain à la vente des actions. L'homme d'affaires affirme qu'il ne cherche absolument pas à vendre son entreprise, ni à éviter de payer ses impôts. Il est conscient que ses suggestions seront impopulaires et difficiles à vendre sur le plan politique. « Mais si on veut garder nos sièges sociaux et ne pas redevenir une économie de succursales, il faut agir », affirme-t-il. Après la sortie d'Alain Bouchard sur les actions à droit de vote multiple, voilà un autre débat connexe lancé sur nos sièges sociaux par un homme d'affaires d'envergure... GROUPE CGI EN BREF Employés : 65 000 Étendue : 400 bureaux dans 40 pays Revenus annualisés : environ 11 milliards Capitalisation boursière : 20 milliards http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201604/21/01-4973867-sieges-sociaux-en-peril-le-cri-du-coeur-de-serge-godin.php
  8. LINAGORA annonce l’ouverture à l’automne prochain de sa filiale dans le Grand Montréal. Pour Alexandre Zapolsky, président-directeur général de LINAGORA : « La politique québécoise de soutien à l’innovation et aux entreprises ainsi que la proximité du marché américain ont été des facteurs déterminants dans notre décision. De plus, l’intérêt avoué du gouvernement québécois pour le logiciel libre offre des perspectives très prometteuses pour une entreprise comme LINAGORA. » « L’arrivée dans le Grand Montréal d’une entreprise comme LINAGORA, leader français du logiciel libre, qui se spécialise dans un domaine porteur de l’économie du savoir, met de l’avant le dynamisme de toute la région comme centre de haute technologie », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal de Montréal International. Déjà implantée dans la Silicon Valley depuis plusieurs années, LINAGORA a décidé d’écrire une nouvelle page de son développement international. La première étape passera par le Québec et le Grand Montréal. Cette décision est le fruit d’un dialogue qui s’est noué depuis près de cinq ans avec Montréal International, Investissement Québec et la Délégation du Québec à Paris. « Les filiales de sociétés étrangères représentent un puissant levier pour le développement économique et le rayonnement de la métropole. On y recense quelque 2 000 établissements étrangers, incluant plus de 300 filiales de sociétés françaises, qui comptent pour 9 % des emplois totaux et 20 % du PIB de la région », a ajouté M. Farah. Dans un premier temps, le leader français du logiciel libre installera deux employés à Montréal. Mais l’ambition est tout autre puisque à l’horizon de 3 ans, LINAGORA projette d’investir 10 M$ et de créer 55 nouveaux emplois au Québec et au Canada. À PROPOS DE LINAGORA (http://www.linagora.com) LINAGORA édite ses propres logiciels Open Source et propose une gamme de services professionnels pour réussir les grands projets du Libre. L’activité d’édition Open Source s’articule autour de 4 offres innovantes : OBM.org : Outils de messagerie et de travail collaboratif ; LinShare : Solutions de confiance numérique et de sécurité ; LinID : Applications de gestion et de fédération des identités ; Petals : L'ESB libre qui s'adapte aux infrastructures étendues et grande échelle. L’offre logicielle de LINAGORA s’accompagne de l’OSSA, l’Open Source Software Assurance, qui propose un catalogue complet de plus de 200 logiciels libres, prêts à l’emploi, sur une plateforme unique, le http://www.08000LINUX.com. Ces logiciels bénéficient d’un support et d’une maintenance garantis contractuellement. L’OSSA, c’est l’Open Source sans risque. Ces offres logicielles sont complétées par une gamme de services professionnels et de formations visant à accompagner les grands utilisateurs de logiciels libres dans le projet de transformation de leur SI. http://www.montrealinternational.com/linagora-le-champion-francais-du-logiciel-libre-simplante-dans-le-grand-montreal/
  9. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/03/11/009-ostc-bureaux-marceau.shtml À écouter le reportage à l'émission Classe économique de la Première Chaîne: http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2013/CBF/2013-03-11_18_30_00_classeecono_0000_128.asx Écoutez bien à la fin du reportage: on parle du classement du Global Financial Center Index, qui classait Mtl au 17e rang mondial de la finance l'an passé. Eh bien, le dévoilement de la liste 2013 du GFCI aura lieu cette année le 25 mars à Montréal! C'est peut-être signe d'une nouvelle progression? On verra!
  10. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/personnalites-la-presse/201207/30/01-4560554-dax-dasilva.php
  11. Il y a des moments où l’énergie et l’enthousiasme du groupe est tel qu’on a l’impression que quelque chose est en train de se passer et que les plus grands exploits semblent possibles. J’ai eu ce sentiment mercredi soir à Québec en assistant au 14e gala des grands prix du Concours québécois en entrepreneuriat. Voilà un concours méconnu et sous-estimé. Il constitue pourtant un antidote puissant au cynisme et au pessimisme. Il vise à récompenser des projets entrepreneuriaux en milieu scolaire et communautaire ainsi que des entreprises nouvellement créées dans toutes les régions du Québec. On décerne 42 grands prix, dont trois pour des élèves de niveau primaire ! Imaginez des gamins hauts comme trois pommes tous fiers d’avoir contribué à changer les choses dans leur école et d’avoir été remarqués et récompensés. Les statistiques qui entourent ce concours sont renversantes. 63 355 projets ont été soumis depuis 14 ans, impliquant 1 235 000 personnes. Cette année, 3490 projets ont été présentés et le nombre de participants a atteint 45 300 personnes. Il y avait toutes sortes de projets d’entreprise, de l’ouverture d’un café étudiant à l’école secondaire, à la confection de cirés pour les pêcheurs, à l’élevage d’écrevisses ou d’alpagas, en passant par la vente de mini-cupcakes. La culture entrepreneuriale est forte au Québec et un tel événement me donne l’impression que l’entrepreneuriat est un mouvement social d’envergure et pas seulement une forme d’organisation économique. C’est un mouvement d’autant plus noble qu’il favorise le développement personnel et la prise en main de son propre destin dans l’optique de servir sa collectivité. Pour un deuxième année, je faisais partie du jury du grand prix défi de l’entrepreneuriat jeunesse. Mes collègues et moi avions la dure tâche de comparer et d’évaluer des entreprises déjà gagnantes dans leur catégorie respective ou qui auraient pu se distinguer tant leurs présentations étaient solides et méritoires. L’entreprise gagnante, Novothermic Technologies, a fait l’unanimité. Leur produit permet aux restaurants d’économiser considérablement sur leur facture d’énergie en utilisant leurs rejets d’eau chaude. Voilà une entreprise qui mise sur l’innovation et le développement durable et dont le plan d’affaires était exemplaire. Au-delà des bonnes intentions, nous avions là un projet dont les hypothèses commerciales semblaient raisonnables et prometteuses. La jeune entreprise s’est même dotée d’un comité consultatif composé d’entrepreneurs et de spécialistes pour aider ses dirigeants dans la gestion de l’entreprise et son développement. Longue vie au Concours québécois en entrepreneuriat ! http://www2.lactualite.com/pierre-duhamel/2012/06/22/les-triomphes-de-lentrepreneuriat-quebecois/
  12. Le Cirque du Soleil agira désormais à titre de consultant pour d'autres artistes sur des projets d'envergure. Son premier client? Madonna, qui a fait appel au Cirque pour la mise en scène de sa tournée MDNA qui commence cette semaine. Ce n'est pas la première fois que le Cirque du Soleil offre ses services à d'autres artistes. L'hiver dernier, l'entreprise québécoise a aidé Madonna sur son spectacle de la mi-temps du Super Bowl. L'expertise du Cirque pour la conception de costumes a aussi servi sur le plateau de tournage de plusieurs films (confidentialité oblige, le Cirque ne peut dévoiler quels films). «Notre entreprise est d'abord une entreprise de création. (...) Ce nouveau service d'affaires permet à nos équipes de création de vivre des projets différents et stimulants qui valorisent leur savoir-faire créatif», a indiqué Daniel Lamarre, président et chef de la direction du Cirque, par voie de communiqué. Le Cirque produit actuellement 21 spectacles à travers le monde. Son nouveau service de consultation amènera le Cirque à travailler avec la même «démarche créative», mais sur des projets qui ne sont pas traditionnellement identifiés au Cirque du Soleil. En clair, le Cirque pourra travailler sur un spectacle sans y intégrer des numéros d'acrobatie. «Nous avons longtemps résisté (de faire de la consultation pour d'autres artistes) car notre carnet de commandes est plus que rempli, mais l'expérience du spectacle du Super Bowl nous a fait tripper, dit Renée-Claude Ménard, directrice des communications du Cirque du Soleil. Beaucoup de gens ont pensé que notre contribution au spectacle du Super Bowl était seulement la partie des acrobates, mais nous avons imaginé l'ensemble de la mise en scène.» Le nouveau service de consultation du Cirque, réservé aux «projets d'envergure», sera sous la responsabilité de Jacques Méthé, directeur de la division des événements spéciaux du Cirque et producteur pour le Cirque du spectacle de Madonna au Super Bowl. Pour son premier mandat, le service de consultation du Cirque a dépêché Michel Laprise à la mise en scène de la tournée MDNA de Madonna. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201205/30/01-4530167-le-cirque-du-soleil-devient-consultant.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS13
  13. Une poignée d'investisseurs français et québécois en capital-risque s'est donné rendez-vous en début de semaine au Venture Capital Forum. L'événement organisé à Montréal par la Chambre de commerce française au Canada a permis à une douzaine d'entrepreneurs de se faire voir des firmes de capital-risque locales, mais aussi étrangères. Aurélien Chouvet, chef de la direction d'Insidoo, ne voulait pas rater l'occasion de faire connaître son entreprise à des investisseurs nord-américains. «On veut prendre le pouls local», a-t-il indiqué en entrevue avec La Presse Affaires. L'entreprise de commerce électronique qu'il a cofondée se positionne comme un intermédiaire dans la vente en ligne de mobilier, en plus de fournir l'accès web à un logiciel de planification d'intérieur. Maintenant qu'il est bien implanté en France, Aurélien Chouvet souhaite reproduire son modèle d'affaires en Amérique du Nord. Et, selon lui, le Québec pourrait être un terreau fertile pour accueillir sa version nord-américaine. «Lorsqu'on réfléchit à un tremplin de lancement sur l'Amérique du Nord, le Québec est sûrement une possibilité intéressante», a-t-il précisé. Des représentants de firmes de capital-risque ont aussi fait le voyage Paris-Montréal pour participer à l'événement. Didier Moret, directeur général du fonds français I-source, en a profité pour tisser de nouveaux liens d'affaires. «Ça nous permet d'être informés sur ce qu'il peut y avoir comme entreprise intéressante ailleurs que chez nous. C'est aussi une occasion de rencontrer des investisseurs qu'on peut ensuite inviter à se joindre à nos entreprises», a-t-il dit. I-source gère un fonds de 243 millions investit dans 24 entreprises, dont au moins une québécoise, LeddarTech, qui commercialise des outils de détection pour le secteur du transport. Grâce en partie à cet investissement d'un fonds français, l'entreprise de Québec est en train de faire sa place sur le marché européen. «Quand une entreprise se développe bien, c'est bien qu'elle soit financée par des fonds d'autres pays, parce que ça lui ouvre des portes pour se développer à l'international», indique Didier Moret. Le Venture Capital Forum se voulait d'ailleurs une occasion pour les investisseurs et entrepreneurs participants de faire le saut à Boston le temps d'une journée pour y rencontrer les acteurs de l'endroit. Selon Serge Auray, PDG de Laboratoire M, c'était une occasion en or qui s'offrait à son entreprise. «Trouver un investisseur qui connait bien mon secteur et qui a de l'expertise dans les réseaux de distribution, ce serait le Klondike pour moi», disait-il quelques heures avant son départ pour Boston. Son entreprise, située à Sherbrooke, a développé une série de nettoyants «verts» pour les secteurs industriel et résidentiel. Elle lancera un premier produit aux États-Unis d'ici quelques jours, et prépare aussi une entrée éventuelle en sol européen. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201203/23/01-4508524-capital-de-risque-rapprochement-entre-le-quebec-et-la-france.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS1
  14. Je viens tout juste de trouver ce curieux projet sur internet, dont la date de réalisation est inconnu mais qui se retrouve dans la section Réalisation du site et qui est plus récent que la Cité du Commerce Électronique (2006). Le site en question est celui de Imso Inc., une entreprise qui se spécialise dans l'acquisition, la gestion et la mise en valeur d'immeubles commerciaux et industriels et d'édifices à bureaux. http://www.imsoinc.com/ ---------------------------------------------- •Nom: Bassin Peel •Année de réalisation: en cours •Adresse: Bassin Peel, Montréal •Catégorie: Bureaux, commerces, hôtels et loisirs •Superficie: 1 000 000 pc •Type: Acquisition, promotion et gestion
  15. Paul-André Gilbert Le Courrier du Sud - Publié le 27 septembre 2011 à 09:00 BROSSARD.En venant s’installer à Brossard, BBA a l’intention d’être une bonne entreprise citoyenne, qui s’impliquera dans la communauté brossardoise. «BBA étant une bonne entreprise citoyenne, partout où nous sommes installés, on a été actifs dans les différents organismes», a déclaré Steeve Fiset, président de l’entreprise. Ainsi, lorsque vient le temps de s’impliquer dans la communauté, l’entreprise privilégie deux domaines : les arts et l’éducation. BBA se targue également d’être une entreprise de pointe au niveau de la conciliation travail-famille. Parmi les mesures mises en place, la compagnie possède une banque de temps qui permet aux employés d’accumuler des heures et de les reprendre plus tard. «Ils peuvent faire des heures en avance dans la semaine et reprendre ces heures-là, lorsque c’est possible évidemment, lorsque les conditions le permettent, pour aller s’occuper d’un enfant qui est malade ou aller à un rendez-vous», a indiqué M. Fiset. La compagnie choisit Brossard pour poursuivre sa croissance La compagnie, dont le siège social est situé à Mont-Saint-Hilaire, couvre principalement deux marchés : l’énergie et les mines. Le bureau de Brossard sera consacré aux projets d’infrastructures électriques et d’automatisation pour des clients qui sont dans le secteur minier. Selon M. Fiset, BBA a décidé d’ouvrir un bureau à Brossard pour deux raisons. Premièrement, la ville de Brossard, et plus particulièrement le secteur du Quartier DIX30, est aux dires du président un endroit dynamique qui sera propice à la croissance future de la firme. Ensuite, l’ouverture d’un bureau à Brossard donnera à BBA l’accès à un bassin de main-d'œuvre complémentaire à son bureau de Montréal et à son siège social de Mont-Saint-Hilaire. «Avoir un bureau à Brossard donnera accès à toute une main-d'œuvre qualifiée technique, qui ne souhaite pas nécessairement venir à Saint-Hilaire ou traverser les ponts à Montréal», a-t-il dit. Le président veut attirer la main-d’œuvre de Brossard, mais aussi de la région de La Prairie, Sainte-Catherine et Saint-Constant.
  16. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/312376/rencontre-avec-henry-mintzberg-gourou-du-management-la-productivite-a-l-americaine-tue-les-entreprises#partager
  17. Source: Cyberpresse Pour satisfaire son nouveau PDG montréalais, la plus prestigieuse série de tournois de poker au monde, la World Series of Poker, déménage son siège social à Montréal. Selon ce qu'a appris La Presse, Mitch Garber, un avocat mont¬réalais de 44 ans qui a fait fortune dans l'industrie du pari et du jeu en ligne en Europe, a en effet été nommé, le 22 mai dernier, président et chef de la direction de Harrah's Interactive Entertainment. Cette firme américaine est une filiale de Harrah's Entertainment Inc, un géant du jeu qui possède une cinquantaine de casinos, dont le célèbre Caesars Palace à Las Vegas, et emploie 85 000 personnes. Le volet interactif dont hérite M. Garber se spécialise dans le pari en ligne, et contrôle les droits des prestigieux tournois de poker qui remettent annuellement plus de 180 millions en bourses. Les René Angélil, Isabelle Mercier, Patrick Bruel et Guy Laliberté sont des habitués de ces tournois dont les droits de participation coûtent jusqu'à 50 000$. La compétition est féroce: un gros joueur comme René Angélil n'a jamais réussi mieux qu'une 49e place - c'était en juillet 2006. Du groupe, Isabelle Mercier et Patrick Bruel sont les seuls à avoir percé l'élite mondiale. La Québécoise a obtenu une cinquième place en 2006, qui lui a valu une bourse de 175 404$, tandis que le joueur français a remporté un tournoi et 224 000$ en 1998, avant l'explosion de popularité du poker. La condition de M. Garber pour accepter la direction de l'entreprise: que les activités administratives de l'entreprise soient déménagées à Montréal, sa ville natale qu'il a quittée en 2006 pour l'Europe. C'est là qu'il a fait sa marque en tant que PDG de PartyGaming, la plus grande entreprise de jeu en ligne inscrite à la Bourse de Londres. Aux côtés de personnalités comme Richard Branson et Michael Dell, il a notamment été un des 150 chefs d'entreprise interviewés dans le best-seller The Secrets of CEOs, publié en 2008. «J'ai eu des offres très sérieuses à Londres et à Las Vegas, et j'ai fait savoir dès le début que ma condition primordiale était de choisir où j'allais demeurer, et mon choix était Montréal, a expliqué en entrevue M. Garber. Harrah's a accepté ce choix.» Provenant d'une vieille famille anglophone de Montréal - il parle cependant un français impeccable -, M. Garber tenait à ce que ses deux jeunes fils soient élevés ici. «Mes enfants adorent Montréal. Je suis content qu'ils aient eu l'expérience de vivre en Europe, de voir d'autres choses, mais Montréal, c'est chez nous. Ma famille est à Montréal depuis plus de 100 ans, j'ai des racines, des amis, un amour pour la ville.» Internet et nouvelles villes L'accord des dirigeants de Harrah's ne reposait cependant pas que sur des raisons sentimentales, reconnaît l'avocat. L'un des rôles cruciaux du siège social de Montréal sera de nouer des liens sur le plan international avec des gouvernements ou des partenaires privés. L'entreprise a deux grands objectifs: d'abord, courtiser les consommateurs européens dans les pays où le pari en ligne est légal, comme la Grande-Bretagne et l'Italie, contrairement à l'Amérique du Nord. L'autre projet, c'est d'organiser des tournois de poker dans de nouvelles villes. L'an dernier, 55 des 59 tournois ont eu lieu à Las Vegas, les autres se tenant à Londres. «Mon projet, mon premier voeu, c'est d'élargir le territoire des tournois: il y a une faim pour le poker partout dans le monde. Il n'y a pas de raison pour laquelle on n'aurait pas un tournoi à Moscou, au Canada, partout. Je pense qu'il faut que les tournois croissent à l'extérieur des États-Unis.» Montréal, estime M. Garber, a toutes les qualités pour permettre à son entreprise de relever ces deux défis. «Je leur ai expliqué (aux dirigeants de Harrah's) que Montréal était une ville très internationale, que je serais capable de trouver des dirigeants avec de l'expérience en entreprise internationale, et sur l'internet. Il faut un esprit international pour négocier avec les gouvernements français ou anglais, en Allemagne, en Suède, en Finlande, au Canada. Les Montréalais, culturellement, sont bons là-dedans.» Une dizaine de collaborateurs ont déjà été embauchés et ont emménagé dans les bureaux, angle Peel et Sainte-Catherine. Des rencontres «avec des gouvernements en Europe et ailleurs» seraient déjà organisées. «Je ne veux pas lancer de chiffres, mais ça va continuer à grandir, assure M. Garber. Je prévois une croissance intéressante.» Est-ce qu'un tournoi de poker mondial pourrait avoir lieu à Montréal? L'idée plaît de toute évidence au PDG, qui reconnaît cependant que la décision finale ne lui revient pas. «Au Canada, on ne peut le faire qu'en partenariat ou avec une licence du gouvernement provincial. Loto-Québec, c'est une des meilleures sociétés de loterie au monde, j'ai beaucoup de respect pour eux. C'est sûr que c'est une des sociétés qu'on aimerait rencontrer.»
  18. Critiqué par un comité du Congrès pour la gestion désastreuse de son entreprise, le PDG de l'assureur déclare qu'il n'a pas le choix de verser à ses cadres les juteuses primes, qu'il a qualifiées de «répugnantes». Pour en lire plus...
  19. La Royal Bank of Scotland déclare une perte historique de 43 milliards de dollars pour l'année 2008, soit la plus importante perte nette jamais déclarée par une entreprise britannique. Pour en lire plus...
  20. Le Québec Inc. est en panne Martin Jolicoeur, Les affaires 09:30 Seulement 16% des Québécois ont déjà créé ou repris une entreprise. Le mythe du Québec entrepreneur est résolument en déclin. Un sondage Léger Marketing montre que la province se trouve bonne dernière pour la plupart des indicateurs de l’entrepreneuriat au Canada. Raymond Bachand réagit au sondage Entrepreneuriat : Québec, société distincte Ainsi, seulement 16% des Québécois adultes affirment avoir déjà créé ou repris une entreprise, selon le sondage commandé par la Fondation de l’entrepreneurship. C’est le pire résultat au pays, loin derrière la moyenne canadienne, qui est à 24%. Et quand on se compare, on se désole. Ainsi, en Alberta, 38% des répondants (soit plus du double qu’au Québec) ont vécu l’expérience de l’entrepreneuriat; 30% au Manitoba; 29% en Colombie-Britannique. « La situation est alarmante au Québec, commente Mario Girard, pdg de la Fondation de l’entreneurship. Si rien ne change, si on ne se mobilise pas rapidement pour changer les choses, on se prépare à un lendemain de veille assez terrible. » Basé à Québec, cet organisme a eu l’initiative de ce sondage, le plus important jamais réalisé sur la question au pays. Plus de 17 000 Canadiens ont été sondés, dont plus de 10 000 Québécois. Dans tous les résultats de ce sondage, un entrepreneur est défini comme une personne ayant créé ou repris une entreprise, en incluant les travailleurs autonomes. En queue de peloton Le Québec se trouve également en queue de peloton en ce qui concerne la proportion de ceux qui ont créé une entreprise au cours des cinq dernières années. Ainsi, 2,8% des Québécois affirment avoir tenté l’aventure. Ce résultat est inférieur du quart à la proportion observée dans le reste du Canada (3,7%). Cette proportion atteint 3,6% en Ontario, près de la moyenne nationale, et même 4,3% en Alberta et 4,6% en Colombie-Britannique. Dans cette dernière province, le nombre d’adultes qui affirment avoir fondé une entreprise au cours des cinq dernières années dépasse de 65% celui du Québec ! L’écart est cependant moins grand en ce qui concerne l’intention de création d’entreprises au Québec. Au cours des cinq prochaines années, 7,1% des Québécois affirment vouloir se lancer en affaires, comparativement à une moyenne de 7,5% dans le reste du pays. Mais bien qu’il soit proche de la moyenne nationale, ce résultat inquiète au plus au point les spécialistes de la question. Il indique en effet un recul brutal de l’ambition d’entreprendre des Québécois, qui tournait autour de 15%, en 2007, d’après le consortium de recherche internationale Global Entrepreneurship Monitor (GEM). « En deux ans, le désir d’entreprendre des Québécois a fondu de moitié ! » se désole Nathaly Riverin, vice-présidente, vigie, recherche et développement à la Fondation de l’entrepreneurship et responsable de GEM Canada. Derrière les Maritimes Le seul aspect pour lequel le Québec semble se rapprocher de la moyenne canadienne concerne la proportion de la population qui affirme... avoir fermé une entreprise ! À ce chapitre, le Québec affiche un taux de 5,8%, comparativement à une moyenne nationale de 5,7%. Un résultat d’autant plus surprenant que la proportion d’entrepreneurs dans la province (7,3%) est presque deux fois moindre que celle du reste du pays (13,8%). À titre de comparaison, en Alberta, pas moins de 16,8% de la population se dit propriétaire d’une entreprise; 8,6% dans les provinces maritimes. « Dans le passé, observe Nathaly Riverin, le Québec parvenait toujours à devancer une ou deux régions du pays. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Québec se trouve au tout dernier rang, et même bien souvent derrière les Maritimes. » Problème de financement ? Par ailleurs, on remarque que les entrepreneurs du Québec comptent davantage sur le financement institutionnel que les autres Canadiens pour créer leur entreprise. Interrogés sur leur principale source de financement, le tiers d’entre eux (34%) citent les banques et autres institutions telles que la SGF ou la Caisse de dépôt et placement du Québec, et seulement 16% leurs économies personnelles. En Alberta, les modèles de financement sont complètement inversés : 39% puisent d’abord dans leurs économies, et 10% seulement s’en remettent aux institutions financières. Autre surprise : lorsque les entrepreneurs du Québec demandent l’aide du gouvernement, c’est une fois sur deux (49%) pour de l’aide financière. Dans le reste du pays, cette proportion n’est que de 30%. Faut-il en conclure que les entrepreneurs du Québec dépendent trop de l’État ou de tiers pour réaliser leurs projets? Pas forcément, estime M. Girard, qui pointe plutôt la rareté des grandes fortunes privées au Québec. Le sondage de la Fondation de l’entrepreneurship est le plus important jamais réalisé sur la question au pays. La firme Léger Marketing a sondé 17 192 Canadiens de toutes les régions du pays par Internet entre le 23 janvier et le 3 février. Parmi les répondants, 10 665 habitent le Québec. Les résultats du sondage comportent une marge d’erreur de 0,33 % au Canada et de 4,1 % au Québec. Ce sondage sera répété chaque année au cours des quatre prochaines années, ce qui permettra de suivre l’évolution de l’entrepreneuriat au pays.
  21. Une entreprise norvégienne investira 600 millions de dollars dans l'ancienne papetière d'UPM Kymmene à Miramichi. Elle compte employer plus de 300 personnes d'ici trois ans afin de fabriquer des pièces de panneaux solaires. Pour en lire plus...
  22. La plus ancienne entreprise canadienne annonce la mise à pied de 1000 employés, soit 5% de son personnel à temps plein. La Banque TD croit quant à elle que le taux de chômage passera de 6,6% à 8,8% au Canada cette année. Pour en lire plus...
  23. Le géant pétrolier déclare un bénéfice net de 45,2 milliards de dollars américains pour 2008, une hausse de 11% par rapport à 2007 et un record absolu pour une entreprise cotée en bourse. Pour en lire plus...
  24. Corporation Sun Media, une entreprise membre du groupe Quebecor, a annoncé qu'elle réduira ses effectifs d'approximativement 600 postes à temps plein. Pour en lire plus...
  25. Le Fonds de solidarité FTQ est prêt à voler au secours de Mecachrome, croyant encore à cette entreprise. Pour en lire plus...
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