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  1. Collège Marianopolis: feu vert à une version réduite du projet Martin Croteau La Presse Site du promoteur: http://www.msurlamontagne.com/
  2. J'ai cherché tant bien que mal et je n'ai pas trouvé de discussion donc j'en ouvre une nouvelle pour les phases 3 et subséquentes, entamées en 2008 et qui devraient durées encore un bon nombres d'années. Site internet: http://www.boisfranc.com/fr/
  3. Le 500 de Maisonneuve Ouest Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Bureau Emplacement: Centre ville ? mètres - 23 étages Description: - Aucun rendu n'est encore disponible de la tour.
  4. ROUGE 5.0 est un immeuble de 12 étages dans lequel se retrouvent 91 unités d'habitation de superficies exceptionnelles et uniques dans le secteur avec 3 étages de stationnements intérieurs. Devmont, comme toujours, offre à sa clientèle distincte encore plus de nouveautés dans les choix de cuisine, la climatisation individuelle à air forcé, 2 salles de bain (4 ½ - 5 ½) et tellement plus, qu'une visite s'impose. http://www.rougecondominiums.com/plans-phase-5
  5. Situé à l'intersection des rues Hochelaga et Fletcher, ce projet est composé de 3 phases distinctes. Les deux premières phases sont complétées mais les travaux de la troisième phase ne sont pas encore commencés. Les unités de la troisième phase sont encore en vente. Photos en date du 10 décembre 2013 La troisième phase: La première phase complétée: La deuxième phase complétée: Le terrain longeant la rue Hochelaga qui accueillera la troisième phase:
  6. http://www.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php <!-- .excerpt --> Le Métropolis subira une cure de rajeunissement l'an prochain. Son propriétaire, l'Équipe Spectra, cherche actuellement un partenaire-commanditaire pour mener à bien des travaux qui doivent commencer au printemps et se terminer à temps pour la saison des festivals. Il n'est pas question de fermer la salle de spectacle pendant ce réaménagement, qui ne touchera pas à sa structure. «C'est le 20e anniversaire de l'acquisition du Métropolis par Spectra, le 375e de Montréal, et le Quartier des spectacles est vraiment en ébullition. On veut y participer, et c'est un bon moment pour faire ces investissements-là», affirme Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra. À 132 ans bien sonnés, le Métropolis n'a pas subi de baisse de fréquentation récemment et sa réputation est bien établie. Le magazine spécialisé Pollstar le classe bon premier au Canada et 13e au monde dans sa catégorie de salle. «Mais comment fait-on pour passer de la 13e à la 4e place au monde et pour que les artistes et le public qui nous adorent nous adorent encore plus?» demande Jacques-André Dupont. «Il faut garder cet actif-là en parfait état et, tant qu'à investir, on va essayer d'aller plus loin et de créer un lieu qui va nous mener vers les 20 prochaines années.» Agrandir Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra, qui est propriétaire du Métropolis. Photo Ivanoh Demers, Archives La Presse S'ouvrir sur la rue L'Équipe Spectra veut surtout investir dans l'aspect technologique du Métropolis pour être à la fine pointe de ce qui se fait ailleurs dans le monde. Son président tient également à ce qu'il soit plus accueillant pour les spectateurs et qu'il prenne un peu plus de place au coeur du Quartier des spectacles. «On pourrait ouvrir davantage sur la rue Sainte-Catherine, dit M. Dupont. Notre façade pourrait être plus large que présentement. C'est un petit sas pour entrer dans le Métropolis, et j'aimerais que ce soit plus accueillant. Il y aurait même la possibilité d'ouvrir une terrasse sur la [rue] Sainte-Catherine si on voulait. J'aimerais bien également avoir un accès direct au Savoy. Présentement, pour accéder à cette boîte, il faut entrer par le Métropolis.» Il est également question de changer les systèmes de son de la salle, de rénover les loges des artistes, les toilettes, les guichets, les bars ainsi que, peut-être, les loges au balcon et les corbeilles de chaque côté de la scène. «On a trois objectifs: on veut que le public voie la différence et que son expérience soit améliorée, que les artistes soient mieux accueillis et que les techniciens trouvent ça encore plus facile de travailler chez nous.» Changement de nom? M. Dupont parle d'un investissement «dans les sept chiffres» dont la hauteur dépendra de l'implication du partenaire à dénicher. Ce commanditaire éventuel pourrait provenir du monde médiatique ou encore du milieu technologique, plus présent que jamais dans les arts de la scène. Des pourparlers ont déjà été entrepris, et M. Dupont espère que le partenariat sera scellé d'ici la fin de l'année. Le Métropolis pourrait-il changer de nom et devenir la vitrine d'un commanditaire, comme son grand cousin du Groupe CH, le Centre Bell? «Il est tôt pour parler de cela, mais nous serions ouverts à explorer cette option avec le bon partenaire - un partenaire qui, au-delà d'une contribution financière, partagera nos valeurs et notre attachement au Métropolis et à la métropole», répond Jacques-André Dupont. Le Métropolis au fil des ans 1884: Ouverture du Théâtre français. 1923: Après un incendie qui le détruit complètement à la fin du XIXe siècle, il est reconstruit et sera converti en salle de cinéma. 1930: Au début de la décennie, il est encore la proie des flammes. Il sera rénové et décoré par Emmanuel Briffa, qui a également décoré le Théâtre Outremont. 1960: Le théâtre devient une salle de cinéma érotique. 1987: Le Métropolis rouvre ses portes après une fermeture qui aura duré sept ans. Il a une double vocation de discothèque et de salle de spectacle. 1997: L'Équipe Spectra achète le Métropolis et le réaménage quelques années plus tard pour qu'il soit consacré uniquement au spectacle. w.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php
  7. ** Note aux modérateurs: je ne souhaite en aucun cas enfreindre les règles du forum, je partage un évènement que j'organise ici ** Bonjour à tous, Je participe depuis quelques années au forum, que je lis à tous les jours avec beaucoup de plaisir! Je fais partie du comité organisateur du concours d'idées Morphopolis, et nous organisons une édition en 2017 sous le thème du transport en commun à Montréal. Le thème explore toutes les facettes des lieux du transport, de l'échelle de l'objet à la planification générale des modèles de transport à Montréal. La fin des inscription est le vendredi 17 mars @ 23h00, et les prohets doivent être remis le 22 mars. Nous demandons 1 panneau format A2 (orientation portrait, 420mm x 594mm), sous la forme d'image et de croquis. Nous souhaitons surtout dégager des idées, des tendances en aménagement, ou encore des projets audacieux pour redorer l'image du transport en commun. *Tous les détails sont sur notre site morphopolis et sur notre Facebook (Morph.o.polis Montréal).* Nous avons cette année un jury très dynamque, composé de: - François Cardinal, rédacteur en chef de La Presse - Catherine Demers, Architecte Associée, Jodoin Lamarre Pratte Architectes Inc. (chargée de projet pour les projets à l'Aéroport Montréal-Trudeau) - Josée Bérubé, architecte, Provencher_Roy, présidente du CA de l'ARTM - Jonathan Cha, architecte paysagiste, urbanologue, phD en aménagement - Valérie Mahaut, professeure titulaire à l'Université de Montréal. Nous présentons également des conférences la semaine prochaines à la Faculté de l'Aménagement (2940 chemin de la Côte-Sainte-Catherine), amphithéâtre 3110: - Mardi 14 mars @ 18h00 : Zvi Leve, Rue Publique, "Les rues comme lieux de transit" - Jeudi 16 mars @ 18h00 : Maxime Frappier, ACDF* Architecture, "Architecture et Mouvement" Je sais que certains d'entre-vous avez participé l'année dernière et que certains projets ont été relayés ici. Je me permets de faire la promotion de mon évènement avec vous parce que je sais qu'il saura vous rejoindre en tant que passionnés de Montréal. Je serais très content de voir une équipe MTLURB, ou d'autres contributions à titre personnel! Il y a 2000$ à gagner en prix, dont 1 grand prix de 1000$. Vous pouvez me contacter en message privé, ou encore nous envoyer un courriel pour toute question ou inscription. Merci, et bonne chance aux futurs participants!! Simon Tremblay Responsable du jury Morphopolis 2017
  8. Il n'était pas encore ouvert lors de mon dernier passage, mais les photos publiées sur la page FB de l'aéroport en donnent déjà un bon aperçu. ADM : Page - Shopping : Shopping : Passagers | ADM
  9. Bonjour, Apparemment, il y a un nouveau salon VIP commandité par Desjardins qui se prépare à ouvrir dans les prochains jours à YUL. Est-ce que quelqu'un en sait plus là-dessus? Je n'ai rien vu sur internet à ce sujet encore. Selon mes déductions, il devrait être situé au deuxième étage, entre la porte 63 et 65. Cependant, je n'en sait pas plus... À bientôt!
  10. Texte que je trouve intéressant et malheureusement n'apportera pas le débat de société nécessaire. C'est quand même gigantesque le montant qui sort de la province par année! Des milliards investis dans la congestion | Pierre-Olivier Pineau | Votre opinion Des milliards investis dans la congestion
  11. La Ville de Laval a déposé le premier projet de son nouveau schéma d'aménagement, qui sera soumis à des consultations plus tard cette année (je n'ai pas les dates exactes). Le projet final sera connu dans environ un an. Le document est gigantesque (près de 500 pages) et renferme une tonne d'informations. Il peut être consulté ici : http://www.oreedesbois.info/documents/documents_divers/SADR_1.pdf J'y ai notamment trouvé les toutes premières limites de hauteur de l'histoire de la Ville! On a vraiment l'impression que quelque chose se passe à Laval. Réinvestissements dans les infrastructures, projets majeurs à venir (Centre aquatique, Grande bibliothèque...) et plus encore. Les prochaines années vont être vraiment intéressantes!
  12. Le St-Vincent… Projet de condominiums situé sur un bord de l’eau au 4536, Boul. Lévesque Est à Laval. Offrez-vous une qualité de vie d’un style dynamique et moderne sans pareil. Gâtez-vous avec un gym intérieur, salle de réception, piscine creusée à l’extérieur, et plus encore. Architecture contemporaine avec un choix luxueux de lofts, appartements ou penthouses. À seulement deux min. du pont Pie-IX et de tous les services. http://www.lestvincent.ca/fr/index.php
  13. Montréal Art déco Jean-Christophe Laurence La Presse Publié le 20 mai 2009 à 07h44 | Mis à jour le 20 mai 2009 à 07h52 Le cinéma Snowdon, boulevard Décarie. Photo fournie par Art Déco Montréal Bien peu de gens le savent, mais Montréal compte parmi les plus importantes villes d'architecture Art déco de la planète. Le problème, c'est que ce patrimoine bâti est trop souvent négligé, quand il n'est pas carrément démoli, comme ce fut le cas l'an dernier du mythique Ben's Delicatessen. C'est un peu, beaucoup dans l'espoir de sensibiliser nos élus à cette richesse mal exploitée, que Sandra et Colin Cohen-Rose, fondateurs de l'organisme Art déco Montréal, ont décidé d'accueillir le 10e Congrès international d'Art déco le week-end prochain, avec des visiteurs venus d'aussi loin que la Nouvelle-Zélande. «Les gens ne réalisent pas l'importance de cet héritage, souligne Sandra Cohen-Rose, auteure du livre Northern Deco: Art Deco Architecture in Montreal. Au delà de sa valeur historique, c'est une richesse qui pourrait rapporter beaucoup d'argent au plan touristique. À New York, le bâtiment le plus populaire est encore le Chrysler Building. Ça en dit beaucoup sur l'attrait de ce style.» Selon Mme Rose, d'autres villes dans le monde exploitent déjà avec succès leur patrimoine Art déco. C'est le cas de South Beach en Floride, de Napier en Nouvelle-Zélande et de Saint-Quentin en France, qui l'ont mis au centre de leurs programmes touristiques. Avec des lieux aussi connus que le cabaret du Lion d'or, la Casa d'Italia, le Cinéma Empress, le théâtre Le Château, l'église Saint-Esprit, l'Université de Montréal ou le mythique 9e étage de chez Eaton, Montréal a tout ce qu'il faut pour jouer dans les mêmes ligues, croient M. et Mme Cohen-Rose. Mais encore faut-il que le politique s'en soucie, ajoutent-ils. Si certains de ces édifices sont aujourd'hui protégés (Eaton's, le Château), la plupart ne bénéficient d'aucun statut, ce qui les rend encore vulnérables. Le cas de Ben's, détruit il y a peu, est encore frais dans les mémoires. Mais on pourrait aussi mentionner le théâtre York, le théâtre Snowdon, l'ancien Woolworth. l'ancien Kresge ou l'hôtel Laurentien, que Sandra et Colin ont vu disparaître, en tout ou en partie, pendant le dernier quart de siècle. Un Art déco typiquement canadien? Consacré à Paris en 1925, l'Art déco (pour Art décoratif) a connu son heure de gloire jusqu'au milieu des années 50. Fait intéressant, Montréal a adopté très tôt ce style architectural en vogue, parce que plusieurs architectes allaient étudier en France. C'est le cas d'Ernest Cormier, à qui l'on doit certains des plus prestigieux édifices du genre, à commencer par le pavillon central de l'Université de Montréal, son grand oeuvre, dont la construction dura plus de 12 ans. Autre fait intéressant: l'Art déco canadien avait aussi sa propre couleur, ou plutôt son absence de couleur! Moins flamboyants qu'en Floride et moins mégalo qu'à New York, les constructions montréalaises se caractérisent généralement par leurs dimensions modestes (l'édifice Aldred, sommet du genre, ne fait que 24 étages) et leur côté «pierreux» un peu gris. Ironiquement, ce sont nos églises qui ont été les plus excentriques. Les créations du moine français Dom Bellot, surnommé le «poète de la brique» sont, à ce chapitre, très impressionnantes, notamment l'abbaye Saint-Benoît-du-Lac avec ses mosaïques de briques colorées. «L'architecture Art déco reflète le contexte social et économique d'une certaine période, souligne Sandra Cohen-Rose. Les églises voyaient gros et cherchaient à se moderniser. On remarque aussi des bas-reliefs très éloquents sur les édifices publics, qui représentent souvent l'époque ou un certain folklore propre à l'histoire du Québec.» C'est pourquoi il est vital de préserver ces bâtiments, conclut-elle. «Ils sont attirants pour les visiteurs, mais aussi importants pour les générations futures qui voudront comprendre d'où l'on vient...» En savoir plus Dixième Congrès international d'Art déco, du 24 au 30 mai. Informations sur le programme: http://artdecomontreal.com/fr/ La maison Cormier, avenue des Pins. Photo fournie par Art Déco Montréal Montréal Art déco 10 adresses 1. Pavillon principal de l'Université de Montréal. 2. Oratoire Saint-Joseph. 3. Théâtre Snowdon. 4. Cinéma Empress. 5. Neuvième étage de chez Eaton 6. Pavillon central du Jardin botanique 7. Cabaret le Lion d'or (rue Ontario, angle Papineau) 8. Théâtre Le Château (angle Saint-Denis et Bélanger) 9. Casa d'Italia (angle Berri et Jean-Talon) 10. Église Saint-Esprit (angle Rosemont et 8e Avenue)
  14. Salut! Pour les intéressés, C-GWSZ fera quelques rotations sur YUL demain. Voici l'horaire prévu : WS580 (YYZ-YUL) Arrivée prévu à 09h15 WS2820 (YUL-CUN) Départ prévu à 11h45 WS2821 (CUN-YUL) Arrivée prévu à 21h54 Et bien sûr, on peut s'attendre à un dernier départ en fin de soirée (sûrement sur YYZ encore une fois). Bon spotting! Envoyé de mon SGH-I337M en utilisant Tapatalk
  15. http://journalmetro.com/local/ouest-de-lile/actualites/907385/projet-de-camping-au-cap-saint-jacques/ 24/01/2016 Mise à jour : 25 janvier 2016 | 10:31 Projet de camping au Cap-Saint-Jacques Par Laurence Houde-Roy Métro TC Media Vue du Cap-Saint-Jacques La Ville de Montréal est en réflexion au sujet de l’implantation d’un projet de camping individuel au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, dans l’ouest de l’île. Les tarifs pour ce projet ont d’ailleurs déjà été approuvés dans le dernier budget 2016 de la Ville de Montréal. Rien n’est encore assuré, a toutefois prévenu le service des communications de la Ville de Montréal à Métro. Ces tarifs ont été approuvés seulement «en prévision d’une éventuelle implantation du camping individuel dans les parcs-nature», nuance-t-on. «Mais les études requises pour une telle implantation n’ont pas été faites (capacité de support du milieu, services sanitaires, etc)», a précisé le service des communications. Actuellement, le camping est permis pour les groupes de 10 personnes et plus dans le secteur du centre de plein air du Cap-Saint-Jacques, dans le secteur est du parc. Si les études en à venir sont concluantes, le projet pourrait offrir des terrains individuels au centre du parc-nature du Cap-Saint-Jacques au centre du parc, soit des terrains sans services (sans eau ni électricité), et les véhicules devraient être garés dans les stationnements. «Par contre, il n’est pas garanti que ce soit cette année. Et si c’était le cas, ce serait sur une base expérimentale, car nous n’avons pas encore les infrastructures nécessaires (processus de réservation, aspects de sécurité, aires de feu, etc.)», ajoute le service des communications. Le nombre de terrains qui seraient offerts n’a pas encore été défini, ni l’endroit exact dans le parc où ils seraient aménagés. Vincent Léger, un citoyen qui a déjà fait quelques propositions pour des projets de camping urbain à la Ville de Montréal notamment autour du bassin Peel, croit qu’il y a effectivement une demande de la part de la population «pour développer de nouvelles façons de visiter Montréal et d’y être hébergé». «Ce serait intéresse même de planifier un réseau pour le cyclotourisme, pour faire du plein air en ville et pouvoir s’installer de façon sécuritaire», ajoute-t-il. Il croit même qu’avec la revitalisation du Vieux-Port, qui a été annoncée, il y aurait des possibilités pour aménager certains terrains de camping dans ce secteur, «de façon à ce qu’on ait une image urbaine, qu’on se sente en ville même en faisant du camping», propose M. Léger. Métro a contacté Camping Québec, mais l’association n’a pas voulu commenter ce projet
  16. http://plus.lapresse.ca/screens/8c0a4aa0-2206-4c64-a178-197400956714%7C_0.html sent via Tapatalk
  17. http://journalmetro.com/actualites/montreal/803754/du-pain-a-domicile-livre-a-cheval/ 05/07/2015 Mise à jour : 5 juillet 2015 | 22:28 Du pain livré à domicile… à cheval Par Mathias Marchal Métro Mathias Marchal/Métro L’initiative de la Run de pain dans le Sud-Ouest vise entre autres à promouvoir la réhabilitation du cheval en milieu urbain. L’arrondissement du Sud-Ouest offre (avec succès) la livraison du pain à cheval, histoire de souligner les 350 ans du cheval canadien. L’initiative du musée La Maison Saint-Gabriel sera répétée tous les samedi matin de l’été dans le quartier Pointe-Saint-Charles. Aux trois quarts de la première Run de pain, les deux tiers des 150 miches s’étaient envolées comme des petits pains. «Il y a encore 150 ans, on trouvait une petite écurie dans chaque ruelle de Montréal. Le cheval servait à tout: à livrer la glace, car il n’y avait pas encore de frigidaire, au livreur de lait, à l’aiguiseur de couteaux, pour l’agriculture et même le déneigement», explique Josée Lapointe, cochère et propriétaire des Écuries de Montréal. «Dans les grandes villes comme New York, Londres et Paris, où le ramassage du crottin n’était pas immédiat, les enfants pouvaient se faire quelques sous en balayant le chemin devant les dames souhaitant traverser la rue sans salir leur robe», renchérit Éric Michaud, animateur historique et boulanger estival. Le cheval besogneux a graduellement disparu avec l’arrivée de l’automobile, et la «run de pain» est devenue une relique à partir des années 1950. En France toutefois, 400 municipalités ont déjà entamé le retour du cheval en ville, que ce soit pour ramasser les poubelles ou pour remplacer les véhicules des employés municipaux dans les parcs. Au Mont-Saint-Michel, une des navettes qui relient les stationnements du site principal carbure au foin et aux carottes. Dans l’ouvrage Le cheval au service de la ville (Éditions Écosociété), un fonctionnaire de la ville de Trouville, Olivier Linot, raconte l’expérience menée depuis 14 ans par cette petite ville française, qui compte désormais cinq chevaux, afin de démystifier son côté folklorique. Depuis l’introduction du cheval en ville, la collecte du recyclage s’est multipliée, les cols bleus sentent leur travail valorisé, sans parler des bénéfices financiers et écologiques, explique-t-il. «Une maman m’a dit que la seule possibilité pour que son fils aille se coucher le soir, c’était de le menacer de le conduire à l’école en auto le lendemain [plutôt qu’en carriole]», illustre M. Linot. Mais Montréal hésite encore. Si le conseiller municipal rêve d’une grande écurie municipale à saveur éducative, qui viendrait aussi fournir les cols bleus en chevaux pour les épauler dans leurs travaux dans les grands parcs, il fait presque cavalier seul. «C’est vrai que ce serait intéressant, mais quand on y regarde de près, c’est plutôt complexe à concrétiser», indique Benoit Dorais, maire de l’arrondissement du Sud-Ouest. 62 000 Pour sauver le paddock du Horse Palace, une fondation a été mise en place. La campagne de sociofinancement qui a été lancée s’était fixé 45 000$ comme objectif. Ce sont finalement 62 000$ qui ont été récoltés. Ce dernier souligne néanmoins que la ville a contribué en 2013 au projet de sauvegarde du Horse Palace, l’une des trois écuries montréalaises, cerné par les nouveaux condos en construction. «On a racheté le terrain adjacent pour le zoner parc. Maintenant, quand on se promène sur la rue Ottawa, on voit d’ailleurs toujours au moins deux ou trois propriétaires de condos qui regardent de leur balcon les chevaux s’ébrouer», ajoute le maire de l’arrondissement. «Le cheval est à Montréal pour y rester», conclut-il.
  18. Le vol commence dans quelques jours.Pensez vous que le vol sera un succés et ne se retirera pas encore fois.
  19. Logement abordable: la nouvelle politique du Plateau échaude un promoteur http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/796387/logement-abordable-la-nouvelle-politique-du-plateau-echaude-un-promoteur/ Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement, les élus ont fait retirer de l’ordre du jour la seconde lecture du projet du Groupe Canvar qui souhaite reconvertir le bâtiment situé au 30, boulevard Saint-Joseph Est en un immeuble mixte de 89 logements, afin de «laisser le temps au promoteur de faire une proposition d’inclusion de logements sociaux». L’arrondissement s’est doté d’une nouvelle politique en matière de logement social. Depuis le 1er juin, le Plateau-Mont-Royal demande aux promoteurs d’inclure 20% d’unités de logement abordables dans les projets résidentiels dérogatoires de cinq unités et plus. Pour être conforme avec la nouvelle politique du Plateau, le promoteur devrait consacrer 18 unités à prix modiques dans son projet, ou encore verser dans un fonds spécial 15 000$ pour chaque unité de logement abordable non-construite. Joint par téléphone, Richard Varadi, le principal actionnaire du Groupe Canvar, n’a pas caché son mécontentement. «Je n’ai rien contre le logement abordable, mais je suis en colère avec l’arrondissement. Qu’est-ce que tu veux négocier? On nous met un fusil sur la tempe. On va aller se battre en cour s’il le faut.» Présentement, le projet est sur la glace. Le Groupe Canvar étudie toutes ses options pour faire valoir ses droits. «On ne va plus travailler dans le Plateau, a laissé tomber l’homme d’affaires. On a une hypothèque sur ce bâtiment et on est maintenant pris avec. Si l’arrondissement ne modifie pas le zonage, on ne peut pas aller de l’avant avec le projet et l’immeuble ne sera pas intéressant pour un éventuel acheteur.» «On ne sait pas encore ce qu’on va faire avec notre projet, a précisé M. Varadi à TC Media plus tard dans un courriel. La meilleure chose pour nous sera de tout simplement trouver un locataire. L’option de convertir l’immeuble n’est plus possible avec les politiques et les exigences de l’arrondissement.» L’homme d’affaires croit que la nouvelle politique du Plateau est contreproductive. «Si un promoteur doit céder au logement abordable une unité sur cinq, j’imagine qu’il va monter le prix des cinq autres pour balancer.» Rappelons que la Ville de Montréal a adopté en 2005 une stratégie d’inclusion facultative de 15% logements sociaux et de 15% de logements abordables dans les projets immobiliers de 200 unités et plus. L’arrondissement se montre confiant Le conseiller Richard Ryan, responsable du dossier de l’habitation demeure confiant que le Plateau-Mont-Royal trouvera un terrain d’entente avec le Groupe Canvar. «Il n’y a encore d’entente, mais j’ai discuté avec le promoteur et il a montré certains signes d’ouverture. Peut-être qu’il se dirigera vers une compensation.» L’élu ne croit pas que la nouvelle politique fera fuir les investisseurs immobiliers dans le Plateau. «Les 20% d’unités abordables que nous demandons aux projets dérogatoires sont vendues, pas données, a rappelé M. Ryan. Les promoteurs feront moins de profits, mais ils ne perdront pas d’argent. Les arrondissements centraux comme le Plateau possèdent une plus-value que recherchent les promoteurs, malgré le prix des terrains et les contraintes de construction reliées à la densité.» «Maintenant, les choses sont claires. Rosemont fait la même chose, le Sud-Ouest y songe, et je ne serais pas surpris que d’autres arrondissements nous suivent.» Le conseiller a souligné par ailleurs que certains projets dérogatoires dans l’arrondissement ont prévu l’inclusion de logements à prix modique avant même l’adoption de la politique.
  20. http://www.lapresse.ca/cinema/nouvelles/201501/24/01-4838132-hausse-de-la-clientele-au-beaubien-et-au-parc.php Publié le 25 janvier 2015 à 10h00 | Mis à jour à 10h00 Hausse de la clientèle au Beaubien et au Parc Ma Presse Cinéma polonais au Parc ANDRÉ DUCHESNE La Presse Terminée il y a deux ans, la mise en commun des administrations du Cinéma Beaubien et du Cinéma du Parc porte ses fruits. Les deux entités ont en effet enregistré des hausses de clientèle en 2014, à contre-courant de ce qui se passe ailleurs au Québec. Selon les chiffres compilés par la firme Cinéac, le Beaubien a vu sa clientèle augmenter de 11% en 2014, alors que le Parc fait encore mieux avec une hausse de 15% des entrées. Pendant ce temps, dans l'ensemble des salles québécoises, on enregistrait une baisse de 9% au box-office. Joint à Paris alors qu'il participait aux Rendez-vous d'Unifrance, le directeur général des deux administrations, Mario Fortin, était de très bonne humeur. Pour lui, ces résultats sont le fruit d'une conjugaison de la présence de bons titres à la programmation, des investissements réalisés aux deux endroits et de décisions d'affaires ciblées. «Nous avons eu beaucoup de bons films en 2014», lance-t-il, énumérant Mommy, The Grand Budapest Hotel, Birdman et autres oeuvres fortes. «Au Beaubien, un film français comme Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu? a très bien marché.» Emplacement et clientèle obligent, le Beaubien mise d'abord sur les films québécois et de la francophonie, alors que le Cinéma du Parc, voisin de l'Université McGill et de sa communauté jeune et diversifiée, propose une programmation plus éclectique. Le Parc organise des petits festivals (films brésiliens, chinois, etc.) qui tiennent dans une salle. Il rejoint aussi une bonne clientèle avec ses documentaires (plus nombreux dans le monde anglo-saxon que dans la francophonie, souligne M. Fortin), ses rétrospectives et son association avec différents festivals tels le FNC et les RIDM. Autre changement, les heures d'ouverture ont été ajustées aux besoins de la clientèle environnante. Investissements Quant aux investissements récents, ils ont été nombreux. Et nécessaires. À commencer par l'achat de projecteurs numériques. «On a investi quelques millions au cours des dernières années dans le Cinéma Beaubien, dit M. Fortin. Nous avons encore quelques projets sur la table. Nous avons aussi fait des investissements au Cinéma du Parc et je m'apprête à préparer le budget de la phase 2 des rénovations.» Début 2013, Roland Smith, directeur général du Parc, a fait une passation de ses pouvoirs à son ami Fortin. Cela a permis de regrouper les forces des deux entités, dit le directeur du Beaubien. «Les personnes travaillant aux communications, à la comptabilité, etc. échangent les travaux», explique-t-il. Aujourd'hui, M. Smith demeure conseiller artistique au Parc. Phare culturel Joint par La Presse, le maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, François Croteau, ne peut que se réjouir des plus récentes statistiques quant à la clientèle du Beaubien. «Ce cinéma est un phare culturel important dans l'arrondissement, dit-il. C'est un symbole pour le quartier. Les gens s'y identifient et l'encouragent. Et au coeur de ce succès, il y a Mario Fortin, un travailleur acharné et passionné.» M. Croteau est d'autant plus heureux que l'arrondissement a investi 100 000$ dans la numérisation des salles du Beaubien. «Cette somme représentait le tiers du projet. Le Beaubien est un moteur économique important, il fait partie du paysage culturel et patrimonial», dit-il pour justifier l'investissement. Les liens entre l'arrondissement et le cinéma vont plus loin encore. Les administrateurs du Beaubien organisent des projections estivales dans les parcs et sont aussi partenaires de la programmation de la maison de la culture.
  21. http://www.konbini.com/fr/tendances-2/clubs-berlin-voisins/ Konbini Snapchat Facebook Twitter Instagram À Berlin, ce sont les voisins qui devront s’adapter, pas les clubs par Vincent Glad | 3 days ago fbshare on facebook twtwitter 13.4K SHARES Journaliste basé à Berlin, Vincent Glad nous a envoyé une nouvelle chronique. Après la grande chaîne berlinoise de l’amitié nue entre inconnus, il nous parle aujourd’hui de la difficile cohabitation entre monde de la nuit et riverains dans la capitale allemande. Sisyphos, Berlin © Vincent Glad Les clubs, d’abord. Pour les habitations, on verra ensuite. La mairie de Berlin veut mettre en place une nouvelle règle : avant de construire un immeuble, les promoteurs devront s’assurer qu’aucun club n’est situé à proximité, en consultant une carte des établissements de nuit. S’ils veulent vraiment construire, ce sera à eux de s’adapter, en insonorisant les nouveaux logements. La capitale allemande veut défendre un de ses plus grands patrimoines : sa vie nocturne. “Notre objectif est que Berlin reste palpitant et sauvage“, a déclaré le 2 juin Andreas Geisel, responsable du développement urbain à la mairie de Berlin. Les autorités veulent éviter que de nouveaux clubs soient fermés à cause de ce dangereux fléau que sont les voisins. Les établissements de nuit pourraient devenir une sorte d’espèce naturelle protégée dans la faune berlinoise. Le King Size obligé de fermer La cohabitation entre le monde de la nuit et les riverains est de plus en plus compliquée. Berlin n’est plus l’immense squat qu’il était à la chute du Mur et le nombre d’espaces vierges dans le centre-ville s’est considérablement réduit ces dix dernières années. De grands noms de la nuit berlinoise subissent régulièrement les foudres du voisinage : le SO36, le Lido, le Yaam ou encore la Kulturbrauerei. Le 23 avril, le King Size, un bar de nuit de la Friedrichstrasse, équivalent berlinois du Baron parisien, a dû fermer ses portes après cinq années de fêtes légendaires, harcelé par les plaintes des voisins. S’attaquer aux clubs, c’est aussi et avant tout s’attaquer au tourisme. Berlin est devenu la troisième ville la plus visitée d’Europe, notamment grâce aux nuées d’EasyJet qui débarquent tous les week-ends pour faire la fête. Dimitri Hegemann, fondateur du séminal Tresor en 1991, devenu un club à touristes, connaît bien le sujet: “Je pense que 60% des visiteurs viennent à Berlin pour la culture alternative — et pas pour faire du shopping dans des centres commerciaux. Des Rolex, vous pouvez aussi en acheter à Dubaï, mais des clubs comme dans notre ville vous n’en trouverez nulle part ailleurs“, déclarait-il récemment au Tagesspiegel. Une carte des clubs berlinois à travers le temps Pour préserver cette exception culturelle, Musicboard, une initiative de la mairie berlinoise en faveur de la musique, vient de présenter un très officiel “cadastre“ des établissements de nuit de la capitale allemande. Cette carte doit permettre aux autorités de n’autoriser des permis de construire que si ceux-ci n’empiètent pas sur le monde de la nuit. Le cadastre, accessible en ligne, est un formidable document pour qui s’intéresse à la scène berlinoise. Mais attention, prévient Katja Lucker, directrice générale de Musicboard, cette carte “n’est pas faite pour donner des bons plans aux touristes“. carte Carte tirée du site http://www.clubkataster.de Sous réserve de ne pas faire le touriste, donc, il est aussi possible de remonter dans le temps et de voir la géographie des clubs telle qu’elle était il y a cinq ans ou à la chute du Mur — même si de nombreux clubs illégaux des années 90 ne sont pas encore répertoriés. Le cadastre de 2015 montre une grande concentration des lieux de fête à l’Est, dans les quartiers de Kreuzberg et de Friedrichshain, le long de la Spree, des espaces encore “sauvages” où les voisins se font rares. C’est là que sont installés la majorité des clubs techno : le Berghain, par exemple, est planté au milieu d’une anonyme zone industrielle, à côté d’un magasin d’usine Metro. L’Ouest a complètement disparu de la carte D’après les chiffres fournis par le cadastre, le quartier qui a connu la plus grosse saignée est Mitte. Le quartier, aujourd’hui largement embourgeoisé, était en ruines à la chute du Mur. Ce sont dans ses espaces abandonnés que s’est développée la scène techno dans les années 90. Aujourd’hui, Mitte compte 93 clubs fermés pour seulement 32 encore ouverts. À l’inverse, on dénombre 26 établissements ouverts à Kreuzberg, contre 23 fermés. L’Ouest a complètement disparu de la carte, à l’image du quartier de Schöneberg (où vivait David Bowie) qui n’a plus de 4 clubs, pour 18 fermés. Kater Blau © Vincent Glad À Berlin, les clubs ferment mais rouvrent souvent ailleurs. Le mythique Bar 25 a fermé en 2010, avant de réapparaître sur l’autre rive de la Spree sous le nom de Kater Holzig (lui-même fermé en 2014). Aujourd’hui, le Kater Blau, héritage des deux clubs précédents, a repris l’emplacement de l’ancien Bar 25. La surprenante fermeture du Stattbad Cette initiative de la mairie — qui ne reste pour l’instant qu’une belle déclaration d’intention — intervient dans un climat morose. La scène berlinoise a la gueule de bois depuis que le Stattbad, un des meilleurs clubs techno de la ville, situé dans une ancienne piscine, a soudainement fermé mi-mai. Et cette fois-ci, ce ne sont pas les voisins qui sont à blâmer. Suite à une dénonciation anonyme, la mairie d’arrondissement a découvert que l’établissement (pourtant mondialement connu) faisait office de club, ce qui n’était pas prévu dans le permis de construire. De gros problèmes de sécurité anti-incendie ont par ailleurs été constatés. Le Stattbad a annoncé avoir besoin de plus d’un an de travaux pour s’adapter, mais l’établissement pourrait ne jamais avoir le droit de rouvrir. Une fermeture qui laisse des doutes quant aux réelles intentions des autorités berlinoises. sent via Tapatalk
  22. Le deal du siècle que j'ai trouvé sur Redflagdeal. Google Earth Pro gratuit donc économie de 400$ annuel avec le key pass GEPFREE. Je ne sais pas combien de temps c'est encore valide. J'an entendu que Google le rendait gratuit, toutefois c'est une nette amélioration à la version de base.
  23. J'aimerais partager le site que je viens de mettre en ligne avec la communauté de MTLURB. Il s'agit d'une plateforme recensant les projets de condos neufs et de maisons neuves à Montréal (d'où son nom : Juste du Neuf). La plateforme se veut un outil qui aidera ceux qui cherchent à faire l'achat d'une propriété neuve. Il existe déjà des répertoires, mais ce nouveau site se distingue sur deux points. Le premier, c'est qu'aucun frais d'inscription n'est exigé aux promoteurs, permettant ainsi de recenser tous les projets à Montréal. De plus, le modèle est participatif : c'est-à-dire que n'importe qui peut ajouter ou modifier un projet au profit de toute la communauté. La deuxième innovation est au niveau de l'interface : plutôt que de présenter les projets sur d'interminables listes, Juste du Neuf est une WebApp qui utilise une carte et des filtres, permettant de visualiser des centaines de projets rapidement. J'espère sincèrement que ce site pourra aider les Montréalais dans leur recherche de condos neufs ou de maisons neuves. Le site étant encore très récent (il est encore en bêta), beaucoup d'améliorations sont à venir. Mais évidemment, vos commentaires sont très appréciés! Accédez à Juste du Neuf
  24. acpnc

    Notre unique habitat

    http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/423800/sonde-sur-comete-a-t-on-renonce-a-sauver-notre-seul-habitacle-la-terre A-t-on renoncé à sauver notre unique habitat? Il est temps de déployer autant d’efforts pour préserver la Planète bleue que pour explorer l’espace 14 novembre 2014 | Frédéric Côté - Québec | Actualités en société Si la tendance se maintient, la grande majorité pour qui la Terre sera encore la seule et unique option se trouvera en terrain hostile. Photo: NASA - Agence France-Presse Si la tendance se maintient, la grande majorité pour qui la Terre sera encore la seule et unique option se trouvera en terrain hostile. J'ai sursauté en entendant mercredi un haut représentant de la NASA affirmer que la race humaine est vouée à disparaître si elle continue d’être confinée à notre seule planète. La conquête de la comète Tchourioumov-Guérassimenko par la sonde Rosetta (qui a largué le robot Philae) pourra certes être utile dans notre préparation pour une expédition vers une planète comme c’est le cas pour Mars, mais personnellement je ne peux m’empêcher de voir dans cet aveu étonnant de la NASA une sorte de renonciation à vouloir sauver notre planète des menaces qui pèsent ou qui pèseront sur elle à l’avenir. À ses origines, la conquête spatiale avait comme but scientifique premier de tenter d’expliquer l’origine de la vie sur Terre et ainsi possiblement de mieux connaître l’espèce humaine, pour le bien de tous. Cela est sans doute encore vrai dans la tête des plus romantiques parmi nous. Néanmoins, après l’exploit extraordinaire de cette sonde mercredi dernier, je jure avoir perçu à travers l’enthousiasme évident (et compréhensible) du responsable de la NASA un soupçon de mégalomanie égocentrique et, de ce que j’en ai déduit de ses propos, une ferme intention de quitter la planète dès que possible, avant que l’environnement terrestre ne devienne soudainement invivable. Ainsi, les agences spatiales, les gouvernements et les entreprises travaillent à des programmes spatiaux dont la mission véritable semble être de trouver un moyen pour des êtres humains de fuir une Terre devenue inhabitable pour l’homme, en direction d’un endroit viable, une planète où ces humains pourraient s’épanouir à nouveau, comme espèce. Avec une telle vision d’avenir en tête, je me questionne à savoir si nos dirigeants vont consentir à prendre fait et cause pour le développement durable (terrestre), et daigner investir temps et argent dans la recherche de solutions permanentes aux problèmes engendrés, par exemple, par la pollution. Car la vraie question sera peut-être un jour de savoir si l’on veut rebâtir à partir de ce qui a été détruit — aussi colossale et irréaliste qu’une telle tâche puisse être — ou alors si l’on veut affronter cet univers inconnu, à la recherche d’une nouvelle Terre rédemptrice ; entreprise comportant des risques inouïs mais recelant en même temps des possibilités infinies. Je crois qu’au rythme où les ressources terrestres font l’objet d’exploitations excessives, le jour risque d’arriver où des humains auront à faire un tel choix. Sans surprise, la NASA a déjà fait le choix de la conquête de l’espace. Mais qu’en est-il par contre des élites puissantes et dirigeantes de ce monde ? Serait-ce possible que ceux qui tiennent les cordons de la bourse acceptent sans sourciller l’idée que les bouleversements subis par notre planète ont franchi un point de non-retour ? Que dorénavant, l’idée de notre permanence (relative) sur Terre est sérieusement remise en question et que le choix sensé serait de quitter ce navire avant qu’il ne soit trop tard ? Sorts liés S’il s’avérait que ces dirigeants ou les peuples eux-mêmes entretiennent de telles pensées eschatologiques, il leur serait aussi permis de croire qu’il est vain de vouloir trouver des solutions durables pour une planète dont les dégâts auront été jugés irréparables. Les jeunes qui n’auront pas embrassé l’idée d’un grand départ vers l’inconnu, mais n’y voyant pas non plus de solutions de rechange, en seront atteints dans leur confiance en l’avenir et dans la quête du sens de l’existence. Avant longtemps, donc, les agences spatiales NASA, ESA et les autres auront construit des vaisseaux habitables dans le but de conquérir d’autres planètes. Assurément, ces projets auront été financés à même un système monétaire, politique et financier pétri du sens de la démesure, au détriment des valeurs humaines. Quand ce jour arrivera, où les torts faits à la planète seront irréversibles, alors pour les 99,9999 % d’êtres humains pour qui la Terre sera encore la seule et unique option, la Planète bleue leur sera devenue un terrain hostile où les matières toxiques, libérées dans l’environnement par des décennies de négligences, seront désormais bien ancrées partout dans la chaîne alimentaire, réduisant ces enfants de l’avenir à devoir supporter de nouvelles formes d’esclavage encore insoupçonnées. Force est d’avouer que la tendance vers une Terre qui ne sera pas l’ombre d’elle-même d’ici quelques décennies est extrêmement lourde. Collectivement, le manque de sensibilité envers nous-mêmes et envers notre environnement nous rend comme incapables de réaliser l’ampleur et la richesse incomparables de cette biosphère, et de comprendre et de ressentir à la fois son équilibre fragile, sa vitalité bouillonnante et son extraordinaire beauté. L’homme du XIXe siècle se plaçait lui-même sur un piédestal, déclarant sa primauté sur le reste du vivant. Comme si nous avions oublié ce qui suit : je dirais que le simple fait d’être la seule espèce vivante sur Terre ayant une conscience d’elle-même et capable d’abstractions mentales sophistiquées ne change rien au fait que notre sort dépende intimement de celui de la Terre et de plusieurs espèces vivantes qui y habitent.
  25. Et après ça on va dire que les hivers montréalais sont les pires et les plus longs! Une chance que l'OACI n'est pas là-bas. Le Qatar aurait eu une vraie chance de l'avoir... http://www.lapresse.ca/environnement/climat/201409/09/01-4798558-calgary-recevra-une-2e-bordee-de-neige-estivale.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_environnement_263_accueil_POS1
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