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  1. Le Grand Montréal fait de l’effet à Cinesite. La métropole québécoise confirme sa position stratégique sur l’échiquier mondial de l’industrie cinématographique Montréal, le 18 août 2015 – La société britannique Cinesite, chef de file mondial spécialisé dans la production d’effets visuels et d’animation pour le cinéma et la télévision, a annoncé des résultats exceptionnels, dix-huit mois après son implantation dans le Grand Montréal. Le studio montréalais a en effet largement dépassé les attentes en recrutant 220 personnes en un temps record, soit deux fois plus rapidement que prévu, et en travaillant sur de prestigieuses réalisations cinématographiques. L’annonce a été faite par M. Antony Hunt, directeur général de Cinesite, en présence de M. Jacques Daoust, ministre de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations, de M. Nick Baker, consul général du Royaume-Uni à Montréal, de Mme Dominique Anglade, présidente-directrice générale, Montréal International et de M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. Une plaque honorifique a été dévoilée pour célébrer ce succès et souligner l’appui stratégique du gouvernement du Québec, d’Investissement Québec et de Montréal International. Cinesite est particulièrement reconnue pour ses effets spéciaux spectaculaires, dont ceux des huits films d’Harry Potter. Depuis son implantation en 2014, le studio de Montréal a complété plusieurs films de renom, dont X-Men: Days of Future Past, San Andreas, The Man From U.N.C.L.E., et d’autres qui sortiront prochainement : The Last Witch Hunter, The Revenant, Pride and Prejudice and Zombies et Now You See Me: The Second Act. « Nous sommes enchantés de voir que notre croissance à Montréal dépasse nos objectifs, notamment en matière de recrutement. L’équipe qui grandit chez Cinesite se démarque par son talent inégalé », a indiqué le directeur du studio Cinesite, M. Antony Hunt. « Nous tenons à remercier Investissement Québec, le ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations et Montréal International pour leur appui et leur connaissance pointue du milieu des effets visuels qui nous permettent de voir loin pour notre studio », a-t-il ajouté. Une industrie avec le vent dans les voiles « L’industrie des effets spéciaux, Cinesite et Montréal ont en commun qu’ils sont des lieux de convergence entre les arts et la technologie. Montréal est une pionnière de l’industrie, et l’embauche de 220 travailleurs par Cinesite témoigne de la qualité des programmes de formation montréalais ainsi que de l’accès aux talents. Ces résultats confirment le positionnement de Montréal, ville de cinéma, et réaffirme que la Métropole est une véritable ville intelligente avec un attractif bassin de talents créatifs », a affirmé le maire de Montréal, M. Denis Coderre. Dans le Grand Montréal, l’emploi au sein du secteur des effets visuels a en effet connu une croissance annuelle d’environ 24 %, et ce, depuis la bonification du crédit d’impôt en 2009 et l’implantation subséquente de joueurs internationaux, incluant non seulement Cinesite mais également Framestore, Technicolor ou Atomic Fiction. « L’industrie des effets visuels constitue une véritable valeur ajoutée pour le Québec puisque ses entreprises investissent davantage dans les salaires de leurs travailleurs et dans le capital intangible, c’est-à-dire les dépenses en R-D et transfert technologique, en formation et développement des compétences », a affirmé Mme Dominique Anglade, présidente-directrice générale de Montréal International. « Le succès d’un joueur majeur comme Cinesite renforce également toute l’attractivité de la métropole québécoise sur l’échiquier cinématographique et contribue à positionner la région comme chef de file mondial des industries créatives à haute valeur ajoutée », a-t-elle ajouté. Mentionnons que Cinesite a récemment conclu une entente avec 3QU Studios pour créer un pipeline d’animation et soutenir la production de quatre films, le premier étant Charming (Demi Lovato, Avril Lavigne) dont la sortie est prévue pour 2016. À propos de Cinesite (http://www.cinesite.com) Établie à Londres, Cinesite est l’un des principaux fournisseurs d’effets visuels numériques dans le monde. À l’origine propriété de Eastman Kodak, l’entreprise qui a vu le jour en 1995 a été l’une des premières compagnies spécialisées en effets spéciaux au monde. Avec 650 employés, dont 500 au Canada, Cinesite est l’un des plus grands employeurs en effets visuels au Canada. Depuis plus de 20 ans, la société crée des effets visuels pour de grosses productions cinématographiques. De James Bond à Harry Potter, d’Iron Man 3 à World War Z, Cinesite a participé à la réussite d’une grande variété de films et de productions télévisuelles. Plusieurs ont d’ailleurs été récipiendaires de BAFTA et d’Oscars, et Generation Kill a même remporté un Emmy en 2009. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/le-grand-montreal-fait-de-leffet-a-cinesite/
  2. La firme britannique Framestore, spécialisée dans les effets spéciaux pour le cinéma et la publicité, a confirmé lundi son implantation à Montréal, ce qui devrait créer 200 emplois d'ici la fin de l'année. La première ministre Pauline Marois, en mission au Royaume-Uni, a participé à l'annonce officielle en compagnie du PDG de Framestore, William Sargent, au siège social de l'entreprise, à Londres. Le gouvernement consentira un prêt sans intérêt de 900 000 $ étalé sur cinq ans, ce qui lui coûtera environ 35 000 $ par année. En conférence de presse, Mme Marois a soutenu qu'aucun crédit d'impôt n'allait être accordé au projet, mais il en est tout autrement. Les clients de Framestore, principalement les grands studios de cinéma de Hollywood, auront droit à des avantages fiscaux pouvant représenter jusqu'à 44% de toutes les dépenses effectuées à Montréal et jusqu'à 60% en incluant le crédit d'impôt fédéral. M. Sargent a d'ailleurs expliqué que l'une des deux raisons pour lesquelles Framestore a choisi Montréal, c'est l'existence des généreux crédits d'Impôt, l'autre étant le bassin de main d'oeuvre qualifiée qu'on trouve dans la métropole québécoise. Vive concurrence Montréal était notamment en concurrence avec Toronto, Vancouver et des villes asiatiques pour obtenir le studio. À l'heure actuelle, l'industrie canadienne des effets spéciaux est concentrée à Vancouver. Québec espère que l'arrivée de Framestore à incitera d'autres entreprises du secteur à s'y établir également. Les premières productions auxquelles travailleront les artisans de Montréal, et ce dès le mois de mars, sont RoboCop (Columbia Pictures et MGM), et All You Need Is Kill (Warner Brothers), qui doivent tous deux sortir en 2014. Framestore compte trois studios à Londres, un à New York et un à Los Angeles, où travaillent environ 700 personnes. Si tout va comme prévu, le studio de Montréal sera le plus important de l'entreprise à l'extérieur de Londres d'ici la fin de l'année. Pauline Marois s'est également rendue lundi matin au Foreign & Commonwealth Office pour rencontrer le ministre délégué responsable de l'Amérique du Nord pour le Royaume-Uni, Alistair Burt. Sur l'heure du midi, elle prononcera un discours devant la Chambre de commerce Canada-Royaume-Uni auquel assistera notamment l'ancien premier ministre de Colombie-Britannique, Gordon Campbell, qui est maintenant haut-commissaire du Canada à Londres. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/cinema-framestore-creera-200-emplois-a-montreal/553618
  3. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/430736/le-canada-manque-d-informations-sur-les-impacts-du-petrole-lourd Le Canada manque d’informations sur les impacts du pétrole lourd 3 février 2015 | Alexandre Shields - Avec La Presse canadienne | Actualités sur l'environnement Le pipeline de TransCanada doit traverser de nombreuses rivières majeures du sud du Québec, mais aussi le fleuve Saint-Laurent. Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Le pipeline de TransCanada doit traverser de nombreuses rivières majeures du sud du Québec, mais aussi le fleuve Saint-Laurent. Bien qu’il se fasse le promoteur d’importants projets de pipelines d’exportation, le gouvernement fédéral manque résolument d’information pour évaluer les impacts d’un déversement de pétrole des sables bitumineux en milieu aquatique. II existe un « manque évident de données concernant les effets écotoxicologiques » du pétrole extrait des sables bitumineux, conclut ainsi un rapport préliminaire commandé par Ottawa en 2013 et qui n’avait jamais été publié jusqu’à présent. Greenpeace en a finalement obtenu copie, à la suite d’une demande d’accès à l’information. Ce document de 260 pages souligne notamment des lacunes importantes dans l’évaluation des caractéristiques physiques et chimiques du pétrole lorsqu’il se déverse dans un milieu aquatique, qu’il s’agisse d’un lac, d’une rivière, d’un fleuve ou d’un océan. Les impacts toxiques d’un déversement sur les espèces aquatiques comportent eux aussi d’importantes zones grises. « Il existe un manque de données sur les effets du bitume pour les écosystèmes aquatiques, spécialement pour les poissons et d’autres espèces sentinelles », concluent les auteurs du rapport commandé dans la foulée des inquiétudes soulevées par le projet de pipeline Northern Gateway. Le rapport préliminaire met en évidence des lacunes en ce qui a trait aux effets, notamment, des HAP. Or, ces composés chimiques présentent une forte toxicité. On montre du doigt un manque de rigueur dans les programmes de suivi dans les régions où sont exploités les sables bitumineux. Selon le texte du rapport, il serait donc « impératif » d’étudier davantage les effets du pétrole sur les écosystèmes aquatiques. Jusqu’à présent, le gouvernement fédéral n’a rien annoncé en ce sens. Réagissant à la publication de ce rapport préliminaire, Pêches et Océans Canada a fait valoir qu’un rapport final et complet est en préparation et qu’il devrait être publié au cours des prochains mois. Mais pour le NPD, l’absence de publication d’un quelconque rapport depuis 2013 démontre que les conservateurs tentent d’éviter toute critique de l’industrie de l’énergie fossile, qu’ils défendent sur toutes les tribunes. « Ça me laisse croire qu’ils tentent de cacher quelque chose », a faitvaloir lundi la porte-parole du parti en matière d’Environnement, Megan Leslie. Peut-être Cacouna Le président du projet Énergie Est de TransCanada, François Poirier, a pour sa part soutenu que plusieurs études ont déjà conclu que le pétrole qui sera transporté dans ce pipeline se comportera comme n’importe quel autre type de pétrole. Au cours d’une allocution devant le Cercle canadien d’Ottawa, François Poirier a par ailleurs réaffirmé que le projet de port pétrolier de Cacouna fait toujours partie des plans de la pétrolière albertaine. Ce port, s’il est construit, se situera en plein coeur de la pouponnière des bélugas du Saint-Laurent, une espèce en voie de disparition. Les spécialistes de l’espèce ont d’ailleurs déjà souligné que la construction d’un tel port pourrait accélérer le déclinde ces mammifères marins. En marge de son allocution, M. Poirier a dit que la multinationale continuait d’étudier divers scénarios. Selon ce qu’il a affirmé, le projet à Cacouna irait de l’avant seulement si l’entreprise a l’assurance qu’il n’y aura pas d’impacts négatifs sur les bélugas. Ce dernier a également affirmé que le projet Énergie Est demeurait rentable sans terminal maritime à Cacouna. Québec n’a toujours pas commencé l’étude environnementale de la portion québécoise du pipeline de TransCanada. Tout au long de son tracé, le pipeline doit aussi traverser de nombreuses rivières majeures du sud du Québec, dont plusieurs sont utilisées comme source d’eau potable par les municipalités. Il doit aussi traverser le fleuve Saint-Laurent.
  4. Je propose une nouvelle discussion axée sur le transport des marchandises, et qui comprendrait des sections sur chacun des modes: ferroviaire, routier, fluvial/maritime et aérien, plus l'inter-modal. On sait que Montréal, comme plusieurs autres villes du monde, a historiquement pris son essor en raison des facilités de transport que son site avantageait, renforcé subséquemment par la construction d'infrastructures qui y convergeaient. Ces villes se distinguent de celles qui furent créées d'abord pour des raisons politiques ou religieuses. Je suis particulièrement intéressé par l'inter-modal, et les projets requis (essentiellement des infrastructures) pour réussir un gain quantitatif et qualitatif substantiel qui assurerait la pérennité du rôle de la ville/région en la matière. Il y a de nombreux enjeux sous-jacents: 1) compétences (constitutionnelles) partagées entre le fédéral et le provincial; 2) zonage agricole de certains sites pressentis; 3) éventuel dragage du fleuve et/ou construction d'un avant-port (un port en aval pour les navires à plus fort tirant d'eau; 4) rôle du secteur privé et tarifications; 5) politiques/mesures incitatives en faveur d'une réduction des coûts, des effets sur l'environnement (dont: consommation d'énergie) et des nuisances (bruits, risques pour les populations riveraines) Les exemples "venus d'ailleurs" pourront être sources d'inspiration, mais il serait bien que les particularité montréalaises soient correctement prises en compte. Inévitablement, les discussions ici ne pourront éviter un certain chevauchement avec d'autres. Le défi sera de maintenir le focus sur "marchandises", par opposition à "personnes".
  5. pendant que des membres sont maître de la mauvaise nouvelle. D'autre comme moi préfère voir du positif. a lire l'article suivant c'est 220 nouveaux emplois dans les nouvelles technologies qu'on a presque pas eu à cause du Premier Ministre Couillon (L'effet PLQ) source: http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201407/28/01-4787178-technicolor-va-creer-220-nouveaux-emplois-a-montreal.php La Presse (PARIS) Technicolor agrandira considérablement son studio d'effets visuels à Montréal qui deviendra de loin le plus important du Québec, a appris La Presse. D'ici six mois, le studio montréalais d'effets visuels de sa filiale, Moving Picture Company (MPC), passera de 300 à 520 employés, selon des sources proches du dossier. La multinationale française, qui a déjà un studio de 300 employés à Montréal inauguré l'automne dernier, réfléchissait depuis quelques semaines à la ville où aurait lieu la prochaine phase d'expansion de sa filiale d'effets visuels. La réduction du crédit d'impôt québécois de 45% à 36% par le gouvernement Couillard a quelque peu compliqué sa réflexion. L'entreprise, qui a deux autres studios d'effets visuels au Canada (à Vancouver et Toronto), a finalement décidé d'opter pour Montréal, a confirmé un porte-parole à La Presse. D'ici six mois, Technicolor/MPC aura ainsi un studio de 520 employés en effets visuels à Montréal. Il s'agira de loin du plus important studio en effets visuels du Québec. À titre de comparaison, Framestore Montréal, le deuxième studio à Montréal en termes d'effectifs, compte un peu plus de 200 employés actuellement. Outre les projets déjà annoncés l'an dernier (Into the Woods et Cindellera de Disney), les employés de Technicolor/MPC Montréal travailleront sur trois nouveaux projets: Pan, un film sur Peter Pan du studio Warner avec Hugh Jackman et Rooney Mara, le prochain film des Fantastic Four du studio 20th Century Fox avec Kate Mara et Jamie Bell, ainsi que Terminator: Genesis, un film du studio Paramount avec Arnold Schwarzenegger. Les trois films devraient sortir à l'été 2015. Technicolor/MPC a décidé de faire sa nouvelle phase d'expansion à Montréal malgré la décision du gouvernement Couillard de diminuer le crédit d'impôt en effets visuels de 45% à 36%. L'Ontario offre un crédit d'impôt de 45%, la Colombie-Britannique, de 39%. Le sort du crédit d'impôt sera examiné l'automne prochain par la Commission d'examen sur la fiscalité créée par le gouvernement du Québec et présidée par le professeur de fiscalité de l'Université de Sherbrooke, Luc Godbout. Aucune garantie du gouvernement Selon des sources, Technicolor, qui a rencontré les ministres Jacques Daoust (Économie) et Hélène David (Culture) avant de prendre sa décision, a décidé de courir le risque de faire sa prochaine phase d'expansion au Québec malgré la baisse récente du taux du crédit d'impôt, notamment parce que ce crédit restait tout de même intéressant et que la main-d'oeuvre montréalaise était qualifiée. Technicolor devait aussi prendre une décision d'ici la fin de l'été afin de commencer ces trois nouveaux projets à temps pour leur sortie en salle. L'entreprise n'a obtenu aucune garantie du gouvernement à savoir si le crédit d'impôt allait rester à 36% ou revenir à 45% comme auparavant, selon des sources près du dossier. Le sort du taux du crédit d'impôt pourrait toutefois peser plus lourd sur les prochaines phases d'expansion de Technicolor. La multinationale française, qui aimerait continuer à créer des emplois en effets visuels à l'échelle mondiale, a l'intention de faire valoir son point de vue devant la Commission d'examen de la fiscalité québécoise. En entrevue à La Presse plus tôt ce mois-ci, le directeur général du Groupe Technicolor, Frédéric Rose, avait indiqué que «le gouvernement [du Québec] est libre de ses choix budgétaires. Sur le fond, je reste confiant dans le bon sens québécois. Il est important de continuer à développer l'industrie». En passant de 300 à 520 employés d'ici 6 mois, Technicolor/MPC Montréal agrandira ses bureaux actuels rue Wellington, dans le Vieux-Montréal. L'entreprise devrait aussi fonder un centre de formation pouvant accueillir 50 diplômés en animation 3D par année. Ceux-ci suivront des cours intensifs rémunérés, puis feront un stage au sein de l'entreprise.
  6. Effets visuels: MPC et BUF s'installeront à Montréal Montréal continue d'avoir la cote auprès des entreprises européennes d'effets spéciaux: après Framestore, c'est au tour de Moving Picture Company (MPC) et de BUF de s'installer prochainement à Montréal, a appris La Presse Affaires. MPC et BUF ont toutes deux travaillé sur les effets spéciaux du film Life of Pi, qui a remporté dimanche l'Oscar des meilleurs effets spéciaux. Selon nos informations, MPC a l'intention de déployer une équipe d'une cinquantaine de personnes pour faire une partie des effets visuels de X-Men: Days of Future Past, un film mettant en vedette l'actrice oscarisée Jennifer Lawrence qui sera tourné à Montréal l'été prochain. Le mandat de la nouvelle équipe montréalaise de MPC sur X-Men devrait commencer l'été prochain et se terminer l'automne. Si l'expérience est concluante, MPC pourrait ensuite installer un studio permanent à Montréal. MPC n'a pas commenté hier les informations de La Presse Affaires sur son arrivée éventuelle à Montréal. L'entreprise française BUF a aussi choisi Montréal comme lieu de son expansion canadienne, mais les détails de son arrivée à Montréal resteraient à finaliser. Fondée en 1984, BUF a des bureaux à Paris, en Belgique et à Los Angeles. Selon nos informations, autant BUF que MPC sont présentement à évaluer la taille de leur futur studio québécois, notamment en considérant la pénurie de main-d'oeuvre déjà existante à Montréal. Après Framestore et Mikros MPC et BUF suivront les traces d'autres boîtes européennes qui ont pignon sur rue à Montréal. Ces jours-ci, l'entreprise britannique Framestore inaugure son loft du Mile End alors qu'une trentaine d'employés commenceront à travailler sur le prochain Robocop. Au début de 2014, Framestore aura 200 employés à Montréal. L'arrivée de Framestore a été annoncée en grande pompe le mois dernier par la première ministre du Québec Pauline Marois au cours d'un voyage en Grande-Bretagne. Une autre entreprise européenne, la française Mikros image, s'est installée plus discrètement à Montréal en 2011, faisant notamment la moitié des effets visuels du film Astérix et Obélix: Au service de Sa Majesté. Pour remplir ses prochains mandats, le studio compte passer de 30 à 180 employés l'été prochain. «Nous avions des clients en France qui souhaitaient travailler au Canada à cause des crédits d'impôt, dit Pascal Laurent, directeur du studio. Nous nous sommes aperçus qu'il y a beaucoup de talent à Montréal, et nous pouvons faire le pont entre les États-Unis et le siège social en France.» Grâce aux crédits d'impôt Selon Éric Julien, associé en fiscalité à la firme Raymond Chabot Grant Thornton, d'autres entreprises européennes d'effets spéciaux sont aussi tentées par l'aventure montréalaise, notamment en raison du crédit d'impôt remboursable de 45% du Québec (53,3% en combinant le crédit d'impôt fédéral). La firme comptable a organisé récemment une rencontre à Londres avec une douzaine d'entre elles. «Elles pensent beaucoup à venir à Montréal, dit Éric Julien. Ce n'est pas le climat ni la beauté de la ville qui les attirent ici, c'est le crédit d'impôt, l'un des plus avantageux au monde. Et pour les Européens, Montréal est plus près que Toronto ou Vancouver. Le coût de la vie est plus avantageux à Montréal qu'à Toronto et surtout qu'à Vancouver.» L'industrie québécoise des effets visuels destinés au cinéma et à la télé compte environ un millier d'emplois. Les entreprises existantes craignent que l'arrivée de studios européens aggrave la pénurie de main-d'oeuvre. «Nous avons une stratégie pour en atténuer les effets. Nous avons réduit les délais d'octroi des visas de travail (de cinq mois à trois semaines) et nous travaillons en collaboration avec les écoles pour accélérer les programmes de formation afin que les étudiants arrivent plus rapidement sur le marché du travail», dit Hans Fraikin, commissaire du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec, qui prévient les boîtes étrangères que le débauchage d'employés dans les boîtes existantes est «très mal venu». ----------------- Portrait des deux entreprises Moving Picture Company > Fondée en 1970, achetée en 2002 par la française Technicolor > 1000 employés dans le monde > Bureau principal à Londres, autres bureaux à Los Angeles, New York, Bangladore (Inde) et Vancouver > Films: Man of Steel, Life of Pi, Skyfall, Sherlock Homes: A Game of Shadows BUF > Fondée en 1984 > Bureau principal à Paris, autres bureaux en Belgique et à Los Angeles > Films: Life of Pi, Avatar, The Dark Knight, Thor, Astérix aux Jeux olympiques http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201302/28/01-4626239-effets-visuels-mpc-et-buf-sinstalleront-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_boitePourAccueilCbp_10209_accueil_POS1
  7. Relance : le plan Harper ne fonctionne pas * Presse Canadienne, * 07:16 Selon le directeur du budget, l'économie canadienne ne retrouvera pas son plein potentiel avant l'année 2014. Le directeur parlementaire du budget, Kevin Page, estime que 100 000 emplois seront encore perdus, cet été, et qu'il n'y a eu aucune preuve jusqu'à maintenant que le plan de relance du gouvernement fédéral aura un impact sur l'économie du pays. M. Page a affirmé aux journalistes, mercredi, que les 46 milliards $ qu'Ottawa s'est engagé à verser sur deux ans pour stimuler l'économie n'adouciront pas énormément les effets de la récession sur l'emploi, les revenus et la production au pays. Et même si le gouvernement de Stephen Harper a publié sa mise à jour économique, en juin, en alléguant que "80 pour cent (des engagements) ont déjà commencé à être mis en oeuvre", M. Page a précisé qu'il n'était pas évident de déterminer à quel point la situation avait commencé à s'améliorer. "C'est probablement trop tôt pour s'attendre à ce que le plan de relance ait un impact important, a-t-il affirmé. Il faudra attendre l'automne avant de commencer à en voir les effets. (...) Je pense que le gouvernement fournit des informations sur ses engagements. Quand on recevra les données (...), on verra le niveau de l'impact." Même si le plan de relance a les effets escomptés par le gouvernement, les 190 000 emplois qui devraient être épargnés ou créés, selon les prévisions du fédéral, auront néanmoins été éclipsés par les 453 000 emplois qui auront été perdus. Les prévisions de M. Page sur l'emploi et l'économie font partie de l'évaluation de la conjoncture économique et fiscale sur cinq ans qui a été rendue publique, mercredi. Dans cette évaluation, le directeur parlementaire du budget s'est fié sur les plus récentes prévisions sur l'économie et sur la reprise qui suivra. Certaines données rassemblées dans le document de M. Page avaient auparavant été divulguées aux journalistes par des députés, qui en avaient reçu un exemplaire en début de semaine. Le directeur du budget a toutefois présenté de nouvelles analyses des données, lors de sa conférence de presse mercredi. M. Page a notamment indiqué que le ralentissement économique était au moins aussi grave que celui qui a frappé le Canada au début des années 1980 et 1990, et même pire à certains égards. Mais quant aux effets à long terme, la présente récession ressemble davantage à celle de 1991-1992, dont le Canada avait mis des années à se remettre. Selon le directeur du budget, l'économie canadienne ne retrouvera pas son plein potentiel avant l'année 2014, tandis que le taux de chômage national n'aura toujours pas retrouvé dans cinq ans la moyenne de 2008, qui était de 6,2 pour cent. Par ailleurs, les répercussions du ralentissement pour le gouvernement fédéral sont sérieuses, a soutenu M. Page. Ottawa accusera des déficits budgétaires atteignant 155,9 milliards $ au cours des prochaines années ainsi qu'un déficit structurel avoisinant les 12 milliards $, qui persistera même quand l'économie aura renoué avec la croissance. Il y aura déficit structurel, ont expliqué les fonctionnaires du budget, parce que la capacité économique du pays se sera contractée pendant la récession, et en raison de l'introduction par le gouvernement d'une réduction d'impôt sur le revenu des entreprises à 15 pour cent d'ici à 2012. Les déficits structurels se traduisent par un bilan financier qui demeure déficitaire à suite d'une récession, même lorsque l'économie fonctionne de nouveau à plein. Pour sortir de cette spirale, les gouvernements doivent habituellement se résoudre à réduire leurs dépenses, à augmenter leurs revenus grâce à une hausse des impôts ou à d'autres mesures, ou encore à adopter l'une et l'autre de ces mesures. Par ailleurs, M. Page a expliqué la divergence entre ses chiffres et ceux du budget de janvier du gouvernement fédéral _ dans lequel les conservateurs avaient inscrits des déficits atteignant 85 milliards $ _ par le fait que la récession a été beaucoup plus sévère que ce qui avait été anticipé en début d'année.
  8. Inquiets dans l'avenir du secteur bancaire et des effets réels qu'aura le plan de relance de l'économie américaine, les investisseurs se réfugient dans le secteur de l'or. Pour en lire plus...
  9. Nous sommes dans une des plus grandes tempêtes économiques de l'histoire, et possiblement la plus significative. À peu près tous les records seront battus donc plusieurs le sont déjà : le plus de dette, le plus de plans de sauvetage, la plus grande contagion dans toutes les industries et tous les pays, la plus grande spéculation mondiale sur marge et, comme nous le verrons lorsque la poussière retombera, les plus grandes fraudes économiques et financières de l'histoire. Certaines de ces fraudes se déroulent devant nos yeux et nous restons là ... impuissants. Ce sera aussi le plus grand jeux de dominos de l'histoire. Cette année nous entendrons un peu plus parler de l'effet pervers d'une baisse majeure dans la valeur des caisses de retraite. Elles sont en moyenne en baisse autour de 25% (probablement car je n'ai pas vu de chiffres officiels). Ceci affectera négativement les profits des compagnies qui doivent renflouer ces caisses déjà sous-capitalisées, et leurs flux monétaires libres pour autres firmes d’investissement. Ultimement, cela affectera probablement beaucoup d’employés et de retraités car il n’y aura pas moyen de rembourser toutes les pertes. Et c'est pour cette raison que je dis que nous sommes aveuglés par la poudrerie de la tempête. L'ordre de grandeur des problèmes est tellement énorme, que même ceux qui les voient ne veulent pas y croire. La majorité veut encore croire que les méthodes utilisées pour régler les petites récessions d’après guerre seront suffisantes. La plupart n’ont pas les capacités techniques pour pouvoir comprendre ce qui se passe. Pour réaliser l’ampleur de l’effet de levier qui a été utilisé dans nos institutions financières, nos gouvernements et nos corporations, à notre insu, et à l’insu des organismes de règlementation (conscient ou non) et même à l’insu de la plupart des dirigeants qui étaient en charge de toutes ces entités économiques. Un plan de 1 000$ milliards ? ce plan, qui inclurait les sommes nécessaires pour racheter les actifs dits toxiques, ces actifs que pratiquement personne n’a la capacité de comprendre, encore moins la capacité d’évaluer… Les « credit default swaps » à eux seuls ont été évalués entre 30 000$ et 60 000$ milliards. Ils représentent essentiellement une forme d’assurance pertes dont les utilisateurs ont tous eu besoin. Bref, l’assureur n’a pas les moyens de payer … autrement dit, le swap vaut beaucoup moins qu’il ne valait. Combien ? Personne ne le sait et ça fluctue avec le déroulement de la crise. Alors la poudrerie est violente et la visibilité nulle. Et chaque fois qu’elle fait une pause, nous ne pouvons faire autrement que d’espérer qu’elle revienne tellement ce qu’on voit est désastreux. Et la plupart des gens refusent catégoriquement d’accepter cette tempête. Ils croient qu’en continuant d’emprunter et de dépenser, ou en niant qu’il y a une tempête, ces effets négatifs ne se produiront pas. Les effets de Katrina se font encore sentir. Les effets de cette crise sont inévitables. Seuls ceux qui sont préparés en bénéficieront. Seuls ceux qui comprennent et qui ne sont pas aveuglés par la poudrerie, par l’illusion, s’en sortiront indemne. À vous de choisir. Paul Dontigny Jr, M.Sc., CFA http://www.lesaffaires.com/nouvelles/opinion/blogues/blogue.fr.html?handle=pauldontigny
  10. C'est au tour du géant américain de l'informatique de prendre des mesures pour contrer les effets du ralentissement de la consommation. Pour en lire plus...
  11. Le gouvernement Charest annonce une série de mesures immédiates pour stimuler l'économie québécoise et atténuer les effets de la crise économique mondiale au Québec. Pour en lire plus...
  12. Le ministre du Commerce international, Stockwell Day, a un remède en tête pour atténuer les effets de la crise économique mondiale: le libre-échange. Pour en lire plus...
  13. La crise économique continue d'avoir des effets négatifs sur l'emploi au pays, avec un recul constaté de 34 000 postes pendant le mois de décembre. Pour en lire plus...
  14. La plus faible croissance chinoise en 20 ans ? 16 décembre 2008 - 07h28 Agence France-Presse La Chine pourrait terminer l'année 2008 avec la croissance économique la plus faible en près de 20 ans, estiment des économistes après la publication des chiffres de novembre, nettement moins bons que prévu. Une série d'économistes estiment que la croissance sera située en 2008 entre 5% et 6,5% au quatrième trimestre. Pour l'ensemble de l'année, la Banque mondiale avait indiqué qu'elle s'attendait à ce que l'économie chinoise progresse de 9,4%. «Notre prévision est plutôt pessimiste», dit Tao Dong, analyste au Crédit Suisse à Hong Kong, qui prévoit 6,5% de croissance entre octobre et décembre. Selon lui, c'est le niveau le plus bas depuis que la Nation asiatique a commencé à publier des indicateurs trimestriels en 1995. Avant, la Chine avait enregistré une croissance annuelle de 3,8% en 1990. Son économie s'était ensuite emballée, affichant des taux jamais inférieurs à 7,6%, même pendant la crise financière asiatique de 1997. Xing Ziqiang, économiste basé à Beijing pour China International Capital Corporation, partage le même pessimisme, prévoyant un chiffre entre 5% et 5,5% au quatrième trimestre. Les indicateurs publiés depuis la semaine dernière pour le mois de novembre montrent que la quatrième économie mondiale ressent l'impact de la crise mondiale beaucoup plus fortement que prévu. Parmi les principales inquiétudes figure le recul des exportations, pour la première fois depuis 2001, de 2,2% sur un an, alors qu'elles avaient progressé en octobre (+19,2%). L'indice des prix à la consommation, principale mesure de l'inflation en Chine, a progressé en novembre de 2,4% sur un an, son plus bas niveau mensuel depuis près de deux ans, laissant planer la menace d'une déflation dès le premier trimestre 2009. Dans le même temps, la production industrielle en Chine a également fortement ralenti, en augmentant de 5,4% sur un an, alors qu'elle avait atteint un pic en mars (+17,8%). Le dernier chiffre, publié mardi, montre que les investissements en capital fixe ont progressé de 26,8% sur un an entre janvier et novembre, contre 27,2% sur les dix premiers mois. Beijing a pris récemment une série de mesures pour accroître la demande intérieure et adoucir les effets du ralentissement des marchés à l'exportation, notamment quatre baisses des taux d'intérêt depuis septembre. Les autorités ont également adopté un plan de relance budgétaire de 4000 milliards de yuans (724 G$ CAN) jusqu'à la fin de 2010. Cependant, les économistes soulignent qu'il faudra plusieurs mois avant d'en sentir les effets. Dans ce contexte, le gouvernement devrait agir de nouveau. Mardi, le gouverneur de la Banque centrale Zhou Xiaochuan a laissé entendre que de nouvelles baisses des taux d'intérêt pourraient intervenir, soit fin décembre soit au début de l'année prochaine. D'autres programmes pour réduire les impôts, accroître les crédits aux petites et moyennes entreprises et soutenir les familles à revenus modestes sont attendus en fonction des résultats du plan de relance, selon les économistes. Malgré tout, la Chine, qui a connu des taux de croissance à deux chiffres ces cinq dernières années, semble encore mieux placée que les autres économies pour affronter l'hiver. Huang Yiping, économiste chez Citigroup à Hong Kong, prévoit ainsi une croissance de 8,2% en 2009, en prenant en compte les effets des mesures de relance, dont une grande partie sera consacrée aux infrastructures. «Cela serait encore plus bas sans ces politiques», dit-il. BNP Paribas voit une croissance chinoise à 7-8% l'année prochaine
  15. Il faudra plusieurs mois pour évaluer les effets des plans de relance économique sur la demande, dit le grand patron du groupe italien Pirelli. Pour en lire plus...
  16. Pour certains économistes et tenants du libre marché, le commerce équitable serait une subvention déguisée, une façon d'aider artificiellement des entreprises qui ne seraient pas rentables autrement; bref, le commerce équitable ne saurait avoir que des effets pervers sur l'économie mondiale. Pour en lire plus...
  17. Le constructeur aéronautique prévient ses clients des effets de l'arrêt de la production pendant la grève de ses mécaniciens. Pour en lire plus...
  18. Trois grands constructeurs automobiles américains croient que leur faillite aurait des effets dévastateurs sur l'économie. Par ailleurs, le secrétaire américain au Trésor répète son plan de sauvetage n'est pas une panacée. Pour en lire plus...
  19. Les bourses de Chine ont reçu un coup de fouet après l'annonce dimanche d'un plan de relance gouvernemental de 586 milliards de dollars (455 milliards d'euros) destiné à contrer les effets de la récession mondiale. Pour en lire plus...
  20. La croissance de l'économie chinoise devrait atteindre 9% en 2008 malgré le ralentissement observé sur les trois premiers trimestres lié aux effets de la crise financière, a estimé mardi un haut responsable chinois. Pour en lire plus...
  21. La croissance de l'économie chinoise est passée sous la barre des 10% sur les trois premiers trimestres 2008, ressentant les premiers effets de la crise internationale, selon Pékin. Pour en lire plus...
  22. M. Bush a averti que «cela prendrait du temps» avant que les effets du plan se fassent sentir, lors d'une allocution dans les jardins de la Maison Blanche. Pour en lire plus...
  23. La candidate indépendante dans la circonscription de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques propose une stratégie pour contrer les effets de la hausse vertigineuse du prix du carburant. Pour en lire plus...
  24. Tôt en matinée, le baril de brut chutait de plus de 8 $ au Nymex, les investisseurs étant rassurés que l'ouragan Gustav n'a pas eu les effets dévastateurs attendus sur les installations américaines. Pour en lire plus...
  25. Les patrons de compagnies aériennes américaines se tournent vers les consommateurs en vue de limiter les effets de la spéculation sur le prix du pétrole. Pour en lire plus...
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