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  1. *VIDÉO* La transformation du Stade Saputo (CKAC Sports) – Le début de la saison de la MLS demain à Seattle m'a donné le goût de vous mettre l'eau à la bouche pour 2012. Si l'on se fie aux propos de Don Garber hier en conférence de presse et à ceux de Richard Legendre sur nos ondes la semaine dernière, la MLS et l'Impact confirmeront l'arrivée du club dans le grand circuit d'ici peu. Dans un monde idéal, Joey Saputo aurait aimé entamer la première phase d'agrandissement du Stade Saputo cet hiver, pour ensuite pouvoir compléter avec la deuxième étape l'an prochain. Mais la bureaucratie gouvernementale a fait en sorte que le projet a été décalé d'un an. Sans avoir de confirmation que les paliers de gouvernements ont accepté de se joindre au projet de l'Impact, l'enthousiasme qui se ressent dans le discours de tous et chacun nous permet de croire que ce dossier est réglé. Après les deux phases d'agrandissements, le Stade Saputo deviendra en effet un réel stade de soccer dont le terrain de jeu sera entouré à 100% d'estrades. Ça permettra à l'Impact de pouvoir accueillir plus de 20,000 spectateurs par match, un pré requis pour la MLS. Par ailleurs, vous pouvez voir sur le vidéo que l'équipe a aussi l'intention de faire ajouter un petit abri qui viendrait couvrir les quelques rangées les plus hautes des sections extérieures du stade. http://www.youtube.com/watch?v=UAHIOVOOcCU&feature=player_embedded#
  2. McGill prévoit se joindre à l'ÉTS pour établir un centre de recherche dans Griffintown: le Quartier d'innovation (QI) devrait au départ prendre la forme de 2 bâtiments, un pour chaque université. Les partenaires espèrent créer un effet d'entraînement et attirer les entreprises faisant de la recherche dans le quartier. http://www.quartierinnovationmontreal.com/ http://www.mcgilltribune.com/news/mcgill-reveals-more-about-future-quartier-d-innovation-1.2748613?pagereq=1#.TzVDUcgU6Jp Source: http://www.montrealitesurbaines.com/
  3. http://www.lapresse.ca/actualites/201607/13/01-5000552-les-risques-lies-au-transport-du-petrole-en-hausse.php Publié le 13 juillet 2016 à 06h16 | Mis à jour à 06h16 Les risques liés au transport du pétrole en hausse La production de pétrole et de gaz est maintenant responsable de 26,2 % des émissions de gaz à effet de serre du Canada. Sur la photo, les sables bitumineux à Fort McMurray, en Alberta. Martin Croteau La Presse Le nombre d'accidents qui surviennent pendant le transport du pétrole augmente, révèle une étude rendue publique par Statistique Canada. Si bien que l'or noir est désormais la marchandise dangereuse la plus souvent impliquée dans des accidents. Le rapport, rendu public hier, révèle par ailleurs que le pétrole dérivé des sables bitumineux est encore plus polluant qu'on l'avait estimé jusqu'ici. Risque en hausse Par camion, par bateau, par rail ou par pipeline, la quantité de pétrole qui est transportée au Canada ne cesse d'augmenter. Et les accidents sont en hausse eux aussi. « Le nombre d'accidents concernant des produits de pétrole brut a diminué après le ralentissement économique de 2008, mais il augmente constamment depuis et dépasse maintenant le nombre d'accidents concernant toutes les autres marchandises dangereuses », peut-on lire dans le rapport. On a dénombré un sommet de 283 accidents impliquant du brut en 2013, année de la tragédie de Lac-Mégantic. La tendance a semblé s'estomper en 2014. Pipelines De 2005 à 2014, on a dénombré en moyenne 55 accidents impliquant des pipelines chaque année. La grande majorité de ces événements, 84 %, a entraîné le rejet de pétrole, de condensat ou d'un produit raffiné. Le volume moyen de chaque déversement est de 36 000 L. Mais cette estimation est prudente : la loi qui rend obligatoires les rapports de déversement n'est entrée en vigueur qu'en juillet 2014. « Sur les 463 rejets accidentels de pipeline de pétrole signalés de 2005 à 2014, 70 % des rapports ne quantifiaient pas le volume de produit rejeté », révèle Statistique Canada. Rail Il y a eu en moyenne 780 déraillements par année sur des chemins de fer canadiens entre 2005 et 2014. De ce nombre, moins du tiers (31 %) impliquaient des trains transportant des marchandises dangereuses. Seule une fraction de ces accidents a entraîné le rejet de matières dangereuses, entre deux et sept cas par année. En 2013, année où un train de la Montreal, Maine & Atlantic a déraillé à Lac-Mégantic, on a dénombré six déraillements causant un rejet de matières dangereuses. Pétrole polluant Le pétrole bitumineux est plus polluant que le pétrole classique car il faut consommer de grandes quantités d'énergie pour chauffer le sable et en dégager le bitume. Lors de son étude du projet d'oléoduc Keystone XL, le département d'État américain avait calculé que le brut albertain émettait 17 % plus de gaz à effet de serre (GES) que le brut classique Mais l'écart est encore plus marqué, peut-on lire dans le rapport de Statistique Canada. L'organisme fait sien le calcul du Carnegie Endowment for International Peace, selon lequel le pétrole lourd non classique émet 50 % plus de GES que le brut léger. Production en hausse L'industrie canadienne du pétrole a profité de la baisse des réserves classiques, de progrès technologiques et de prix élevés sur les marchés mondiaux depuis 10 ans. Entre 2005 et 2014, la production au pays a crû de 51,9 %. La quasi-totalité de la hausse (97 %) est attribuable à la croissance de l'extraction de brut dérivé des sables bitumineux. La récente baisse des cours du pétrole ne devrait pas entraîner une chute de la production albertaine, bien que celle-ci ait diminué temporairement dans la foulée des incendies de forêt à Fort McMurray. Émissions en hausse La production de pétrole et de gaz est maintenant responsable de 26,2 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) du Canada, confirme Statistique Canada. Ce secteur industriel a dépassé celui des transports comme la plus importante source de pollution. À elle seule, l'industrie des sables bitumineux génère 9,3 % des émissions canadiennes.
  4. Du développement commercial et industriel, le parfait complément à la densification démographique de l'île de Montréal. Je proposerais incidemment un nouveau slogan: des emplois là où habitent les gens, en sonnant le glas à l'expansion des villes-dortoirs. Dans le but de faire échec à l'étalement urbain, un programme incitatif devrait encourager prioritairement la création d'emplois et de logements sur l'île, avec effet décroissant selon l'éloignement vers les couronnes. J'irais même jusqu'à charger une taxe spéciale sur toute nouvelle construction en dehors des zones déjà urbanisées ou dans de nouveaux lotissements, sur tout le territoire de la banlieue. Je ferais cependant exception de Laval qui est déjà en phase de densification. Une ville plus dense diminue les besoins en déplacements automobiles et rentabilise davantage le développement des transport en commun, avec effet durable sur le plan environnemental. Il faut changer les mentalités et briser la dichotomie de la banlieue qui veut que ce soit l'endroit idéal pour élever une famille. Il reste d'ailleurs suffisamment d'espace disponible sur les deux îles (Laval et Montréal) pour facilement doubler la population, tout en renforçant les pôles économiques centraux. On économiserait au passage les meilleures terres cultivables qui restent encore dans le voisinage de la ville, tout en préservant une précieuse ceinture verte, indispensable à l'équilibre écologique et sociologique du grand Montréal. Si on veut véritablement améliorer notre bilan carbone et réduire la pression des villes sur l'environnement, nous n'avons pas le choix que de penser globalement. Ce n'est qu'avec des efforts concertés et simultanés dans tous les domaines d'activités humaines que nous y arriverons. Pour cela il est nécessaire que la volonté vienne du gouvernement provincial lui-même, car c'est le seul qui a les moyens législatifs pour véritablement changer les choses. On n'a plus le choix si on veut léguer aux générations futures, un monde meilleur et en plus grande harmonie avec la nature. L'occupation du territoire est déjà une agression en soi, mais on peut diminuer notre empreinte par toutes sortes de mesures de naturalisation qui réconcilieraient la ville avec le milieu naturel. Une prise de conscience est déjà en voie de se faire, mais il y a encore beaucoup de résistance et d'opposition. Et tant que le message ne viendra pas de la plus haute instance, avec des moyens concrets pour y arriver, on sera limité à des interventions ponctuelles et trop localisées pour faire une différence appréciable. Comme le discours économique est à la mode aujourd'hui, on peut ajouter à cette vision écologique, l'effet positif sur le développement de Montréal en premier lieu, et aussi bien sûr les villes déjà établies, mais dans une moindre mesure. Un Montréal plus populeux et plus dense est un gage d'enrichissement collectif, avec des revenus plus importants et de plus grands moyens pour assurer son développement futur. J'en conclue que la prospérité soutenue de la ville passe nécessairement par l'arrêt de l'étalement urbain, et la fin de la dispersion de nos forces et de nos énergies, dans un territoire devenu démesuré par rapport à sa densité.
  5. Je sais pas pour vous, mais même si d'un côté le ralentissement de l'économie canadienne, qui est la cause de ceci, m'inquiète, je suis tout de même content de voir que mes taux hypothécaires ne risquent pas trop d'augmenter à mon renouvellement dans trois ans. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201301/23/01-4614150-la-banque-du-canada-annonce-un-statu-quo-indefini.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 Quel effet sur le prix de l'immobilier au Canada? J'espère toujours une stabilisation des prix pour laisser le rapport revenus/prix augmenter doucement, mais je redoute toujours une forte chute. J'espère que la petitesse des taux d'intérêt pourra empêcher un crash.
  6. Cette année, Tourisme Montréal souhaite attirer les visiteurs... par le ventre! L'organisme a même financé un encart de 22 pages dont plusieurs seront consacrées aux restaurants de la métropole, qui paraîtra dans le numéro de juin du National Geographic Traveler. Cet encart - écrit par les journalistes du magazine - se retrouvera aussi dans le quotidien Toronto Star ainsi que dans le magazine Food and Drink. Impossible toutefois d'avoir un avant-goût des tables montréalaises qui voleront la vedette. Tourisme Montréal a suggéré une liste de restaurants aux reporters du National Geographic Traveler, mais l'organisme ignore lesquels ont réussi à séduire leurs papilles. Toutefois, selon nos sources, les photographes du magazine se seraient notamment présentés aux 400 Coups, dans le Vieux-Montréal... Chose certaine, Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, est convaincu que cette campagne saura mettre les gourmets en appétit. À la suite de la publication du cahier, une tournée du Montréal gastronomique sera également organisée pour des journalistes américains et canadiens. «Il y a 10 ans, les gens venaient ici surtout pour l'histoire, pour le fait français, explique Charles Lapointe. Mais depuis cinq ans, dans les éléments qui attirent les touristes, la gastronomie arrive à égalité avec l'attrait historique.» Simple effet de mode? Selon lui, Montréal est beaucoup plus qu'un simple effet de mode et jouit toujours d'une réputation enviable sur la scène gastronomique internationale. «En 2011, une centaine d'articles ont été écrits dans 12 pays sur la cuisine montréalaise, sur les restos de quartier.» Et la métropole figure au palmarès des 10 villes du monde où l'on mange le mieux, selon le guide touristique Frommer's. Quelques chiffres Prix moyen d'un repas (entrée, plat, dessert) Montréal 43$ Paris 51$ Barcelone 61$ Tokyo 91$ Les touristes ont dépensé 503 millions de dollars dans les restaurants montréalais en 2008. http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/restaurants/201204/13/01-4515151-montreal-une-destination-gastronomique.php
  7. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/canada/201111/15/01-4468130-construction-ralentissement-prevu-a-montreal-et-toronto.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 On a quand même plusieurs chantiers en cours ceux la ne devraient pas avoir de problème mais est-ce que ça va avoir un effet négatif sur ceux qui sont proposés ! Ex : La tour des canadiens etc.
  8. Le 7e ciel pour les clients de l’hôtel Le Dauphin Rivesudexpress.ca VIEUX-LONGUEUIL – Afin d’offrir plus de services à ses clients, l’hôtel Le Dauphin, situé sur la rue Saint-Laurent dans l’arr. du Vieux-Longueuil, souhaite agrandir ses installations. Le bâtiment passerait ainsi de six à sept étages. Un second projet de règlement à cet effet était à l’ordre du jour du conseil d’arr. du Vieux-Longueuil, le 16 août. Il est à noter que ce projet d’agrandissement n’amènera pas l’aménagement de cases de stationnement supplémentaires, car aucune autre chambre ne sera construite à ce nouvel étage. En effet, les propriétaires, Jean-Pierre et Jean-François Milot, prévoient plutôt y ajouter deux salles de réunion, une salle à déjeuner, une salle d’entraînement et une terrasse avec une vue sur Montréal. Selon la Direction de l’urbanisme et du développement durable de la Ville de Longueuil, «le secteur est propice aux bâtiments de grande hauteur».
  9. Photo Bernard Brault, La Presse Presse Canadienne Montréal Un inventaire réalisé pour la ville de Montréal indique que les deux raffineries de Shell et de Pétro-Canada constituent les deux plus grosses sources ponctuelles d'émissions de gaz à effet de serre de la métropole. Avec 19 % des émissions, elles contribuent presque autant au réchauffement du climat que les émissions attribuables aux 4,1 millions de déplacements d'automobiles recensés chaque jour sur l'île. L'inventaire a été dressé par le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs à partir de données statistiques des années 2002-03, les plus récentes à sa disposition. Selon cette enquête, les trois principales sources d'émissions de gaz à effet de serre à Montréal sont, par ordre d'importance, les transports (49 %), les industries (28 %) et le parc immobilier (20 %). Les émissions liées aux déchets de la ville s'élevaient quant à elles à trois pour cent. On y apprend que les deux pétrolières Shell et Pétro-Canada rejettent à elles seules 71 % des gaz à effet de serre du secteur industriel, échantillonné à partir d'une analyse des émissions de 90 grandes entreprises. Le transport des personnes et des marchandises est sans contredit la première source d'émissions de GES à Montréal avec la moitié du grand total. C'est le trafic routier qui se taille la part du lion des transports avec 86 % des émissions. Les voitures à essence génèrent à elles seules 43 % des émissions du volet transports, suivies des camions lourds au diesel (29 %) et des camions légers à essence (19 %). Montréal affiche une moyenne de 7,2 tonnes de gaz à effet de serre par habitant, ce qui en fait «un des bons élèves du monde industrialisé». En guise de comparaison, la moyenne québécoise se situe à 12 tonnes par habitant. Celle du Canada atteint 24 tonnes par habitant et celle des États-Unis, 25.
  10. Il s’agit du centre communautaire de l’Est de l’Arrondissement Pierrefonds-Roxboro. Ce bâtiment est situé sur le boulevard Gouin Ouest face à la station de train Sunnybrooke. Ouvert officiellement le 13 septembre 2008. Le centre communautaire est au dire des représentants municipaux le premier toit vert de l’ouest de l’île. Même si on peut en douter, le bâtiment est plutôt intéressant architecturalement. En plus du dit toit, le centre communautaire se distingue par sa large fenestration ainsi que par ses lignes résolument modernes. En forme de C inversé, il possède une cour centrale. Celle-ci se poursuit à l’extérieur du carré du bâtiment pour constituer un agréable petit espace de repos, ce qui n’est pas peu dire pour cette partie du boulevard Gouin. D’ailleurs, on peut, grâce à l’importante fenestration, observer à partir de cet endroit les différentes activités et les circulations qui ont cours dans le centre. La construction du centre communautaire s’inscrit dans la cadre d’un projet revitalisation du secteur est de l’arrondissement. Son implantation, à proximité de la gare, témoigne de la volonté de consolider la vocation civique de l’endroit. Comme le savent ceux qui sont familiers avec le quartier, ce secteur présente un environnement déstructuré, où la densité bâtie est plutôt faible et où les bâtiments commerciaux sont trop souvent implantés en fond de lot. Le projet du centre communautaire marque ici un changement. Il présente une petite marge de recul par rapport au boulevard Gouin, constituant ainsi une tentative pour encadrer la voie publique et ainsi engendrer un effet de densité.
  11. Publié le 22 septembre 2010 à 17h36 | Mis à jour à 17h40 Le Port de Montréal accueille le plus gros navire de son histoire Pierre Saint-Arnaud La Presse Canadienne Montréal Le Port de Montréal accueillera ce jeudi le plus gros navire de son histoire, une opération qui aura nécessité deux années de préparatifs. Le Aida Luna, un navire de croisière allemand appartenant au voyagiste Aida Cruise, mesure 252 mètres de long et peut accueillir jusqu'à 2500 passagers. Il s'agit, en l'occurrence, principalement d'Européens, explique Ross Baldwin, directeur général de McLean Kennedy, l'agent maritime qui est à l'origine de la venue du mastodonte: «Les passagers sont surtout des Allemands mais aussi des Italiens, des Autrichiens et des Espagnols qui viennent voir les couleurs de l'automne sur le fleuve Saint-Laurent et sur le Saguenay. Pour plusieurs, c'est la première fois qu'ils voient une chose semblable.» La problématique de la venue du navire à Montréal réside moins dans sa longueur ou son tirant d'eau, qui n'est que de sept mètres, que dans sa hauteur. Le mastodonte se présente en effet à une hauteur de 47,9 mètres (157 pieds) au-dessus de la ligne de flottaison. «Nous avons commencé il y a deux ans par un dialogue avec les pilotes du Saint-Laurent pour voir si l'on pouvait amener ce navire à Montréal, a indiqué M. Baldwin, parce qu'il y a beaucoup d'obstacles: la hauteur du Pont de Québec, des lignes d'Hydro-Québec. Il y a aussi les manoeuvres d'accostage au Port de Montréal. C'est difficile mais les pilotes ont déterminé que c'était possible.» Le cas du vieux pont de Québec est en effet assez problématique, précise-t-il: «Le passage sous le Pont de Québec nécessite un ajustement du trajet à l'heure de la marée. On ne peut passer que si la marée est basse. À 48 mètres de hauteur, il passe pas à marée haute.» Bien que le dégagement soit suffisant sous les lignes d'Hydro-Québec à Trois-Rivières, on a prévu là aussi de les franchir à marée basse pour ne prendre aucun risque. Pour le dernier droit, les deux pilotes qui seront à la barre du navire entre Trois-Rivières et Montréal seront en terrain familier, indique M. Baldwin. «Ces deux pilotes sont allés en Allemagne l'an dernier pour faire une simulation sur un simulateur et confirmer que c'était vraiment possible. La décision était déjà prise mais il était utile d'offrir cette expérience aux pilotes et d'ajouter au simulateur leur expérience et les données sur les courants, les profondeurs du chenal et ainsi de suite.» Il a également fallu déterminer, entre autres, quelles manoeuvres seraient requises et quel type de remorqueurs pourraient les accomplir afin de permettre d'accoster le navire au quai Alexandra. Après avoir traversé l'Atlantique, l'Aida Luna a d'abord fait escale à New York et dans les ports des provinces maritimes avant de se rendre à Québec. Il est attendu dans le Port de Montréal à 7h00 du matin, ce jeudi. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201009/22/01-4320642-le-port-de-montreal-accueille-le-plus-gros-navire-de-son-histoire.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS3
  12. J'ai répondu au mieux que je pouvais, faites votre bilan: http://www.lebilan.ca Énergie : 134,67 GJ/année Coût : 3 249,57 $/année Gaz à effet de serre : 4,39 t CO2/année
  13. http://www.cyberpresse.ca/opinions/forums/la-presse/200908/04/01-889558-le-train-manque.php
  14. Publié le 11 mai 2009 à 16h10 | Mis à jour à 18h34 Le Québec se joint à la future Bourse du carbone François Cardinal La Presse Le gouvernement Charest fera un pas de plus vers la création d'un vaste marché du carbone nord-américain en déposant mardi un projet de loi en ce sens. Sans attendre Ottawa, Québec jettera les bases de sa participation au futur programme de plafonnement et d'échanges de droits d'émissions de gaz à effet de serre, qui doit entrer en vigueur en 2012. Lors d'un discours prononcé mardi à Montréal, la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, précisera que la pièce législative qu'elle dévoilera au cours de la journée permettra au gouvernement de mettre sur pied une Bourse du carbone à Montréal, et d'y participer activement. Sous l'égide du Western Climate Initiative (WCI), ce futur marché financier devrait devenir le plus important système de plafonnement et d'échanges de droits d'émissions en Amérique du Nord, le second au monde. En clair, cette future Bourse permettra l'échange de droits de polluer entre entreprises (celles qui émettent plus de 25 000 tonnes de gaz à effet de serre par année). Les émissions de ces dernières seront plafonnées, après quoi les mauvais élèves, qui ne réussiront pas à respecter la limite fixée, devront acheter des crédits aux bons élèves, qui auront émis moins de gaz à effet de serre que permis. «À ce jour, le Québec a surtout eu recours à des plans d'action qui contenaient des mesures de nature volontaire et incitative, a reconnu la ministre. Les réductions obtenues jusqu'ici sont fort appréciables, mais elles seront insuffisantes pour l'atteinte des cibles de réduction à long terme préconisées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC).» Sans vouloir préciser ses intentions, la ministre a laissé entendre que le Québec se fixerait une cible de réduction plus ambitieuse, à l'horizon 2020, que celle préconisée par le WCI: moins 15 % sous le niveau de 2005.
  15. Publié le 03 novembre 2008 à 10h22 | Mis à jour à 10h25 GES par habitant : le Québec chef de file François Cardinal La Presse La bonne nouvelle : Le Québec affiche toujours le plus faible taux d'émissions de gaz à effet de serre (GES) par habitant au pays. La mauvaise : il a été incapable de réduire ses émissions ne serait-ce que d'une tonne au cours des 15 dernières années. Le ministère de l'Environnement a publié cet avant-midi les plus récents chiffres de l'Inventaire québécois des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que leur évolution entre 1990 et 2006. On y apprend entre autres que le Québec a vu ses émissions totales croître de 1,6 % depuis 1990, année de référence du protocole de Kyoto. Il s'agit de l'un des plus faibles taux d'augmentation au Canada, loin derrière la Saskatchewan (63,6 %), l'Alberta (36 %) et la Colombie-Britannique (27,4 %). Dans l'ensemble, le Québec émettait en 2006 quelque 84 Mt de GES, ce qui représente 11,7 % du total canadien. La province fait ainsi belle figure en comparaison avec l'Ontario et l'Alberta, qui émettaient respectivement 190 Mt (26,2 %) et 234 Mt (32,3 %) du bilan canadien des émissions de GES. Si l'on s'attarde plutôt aux émissions par habitant, le Québec fait meilleure figure encore. Depuis 1990, celles-ci ont diminué de 7 % pour s'établir à 11,1 tonnes par habitant. Si l'on s'attarde aux dernières années, de 2003 à 2006, la réduction atteint 5,5 %. «Le Québec présente déjà depuis plusieurs années le meilleur bilan d'émissions de GES par habitant au Canada et cette baisse additionnelle de nos émissions vient confirmer notre position parmi les chefs de file au Canada», a indiqué la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp. Le transport, c'est-à-dire l'ensemble des autos, des camions, des avions et des bateaux, est toujours le plus important émetteur au Québec, étant responsable à lui seul de 40 % des GES. Entre 2003 et 2006, les émissions de ce secteur ont crû de 0,6 %. L'industrie suit de près, émettant 33,6 % des gaz à effet de serre de la province. Puis vient le chauffage (résidentiel, commercial et institutionnel) au 3e rang, avec 12,5 % des émissions. Les secteurs de l'agriculture (7,5 %), des déchets (5,9 %) et de l'électricité (0,5 %) suivent La baisse des émissions depuis 2003 s'explique en grande partie par l'importante baisse constatée dans les secteurs du chauffage, soit 22,3 %. Cela fait une nette différence, étant donné que le chauffage, des résidences, des commerces et des institutions, provient de combustibles fossiles. On constate également des baisses dans le secteur industriel (2,6 %) et le secteur de l'agriculture (2 %).
  16. L'avantage de l'hydroélectricité nous coule-t-il entre les mains? 22 septembre 2008 - 06h00 Collaboration spéciale La Presse Pierre-Olivier Pineau La puissance de l'eau est la source de l'une des plus grandes richesses renouvelables du Québec: l'hydroélectricité. C'est le gouvernement du Québec qui est propriétaire de cette "force hydraulique", qu'elle loue aux producteur d'hydroélectricité - principalement Hydro-Québec - au tarif de 0,27¢ le kilowattheure (kWh). C'est donc dire qu'environ 5% du prix déboursé pour un kWh (5,40¢ pour les premiers 30 premiers kWh) sert à payer la source énergétique qui permet de produire de l'électricité. N'était cette énergie hydraulique, il faudrait faire comme en Ontario: avoir des centrales nucléaires, brûler du charbon et du gaz naturel. Dans ces filières, respectivement 10%, 16% et 80% du prix rembourse le coût de l'énergie primaire utilisée pour produire cette électricité: l'uranium, le charbon et le gaz naturel. Le prix final, en bout ligne, est plus élevé qu'au Québec, soit environ 10¢ par kWh: c'est ce que payent les Ontariens. Si les consommateurs québécois sont bienheureux de payer 5,40¢/kWh quand leur voisins payent le double, ils devraient être bien malheureux à l'idée que le propriétaire de l'énergie hydraulique (l'État québécois!) ne vend pas à sa pleine valeur une énergie que d'autres achètent au double du prix. Un bon gestionnaire ferait payer à tous le même prix, quitte à aider ceux qui en ont besoin - comme les ménages à faible revenu. Mais on préfère brader l'électricité, et ridiculiser ceux qui investissent dans la géothermie, le solaire passif et les électroménagers efficaces, tout simplement parce qu'ils font des choix économiquement "irrationnels": ces gens là perdent leur argent à économiser l'électricité! Cette gestion irresponsable du patrimoine hydrique québécois ne se limite pas à l'énergie. Consommation québécoise Chaque Québécois consomme en effet 424 litres d'eau par jour pour sa consommation personnelle, tandis qu'un Ontarien en consomme 260! Pourquoi? En grande partie parce que 92% des foyers ont des compteurs d'eau en Ontario, mais seulement 16% au Québec (et 20% de l'eau se perd dans les fuites du réseau, contre 12% en Ontario). Il y a pire encore - ou plutôt, il va bientôt y avoir pire encore. L'hydroélectricité est une source marginale de gaz à effet de serre. Elle bénéficie donc d'un avantage important, parce qu'elle est "propre". Lorsque les émissions de gaz à effet de serre seront limitées, soit à travers des réductions sectorielles dictées par le gouvernement (comme le propose le plan conservateur), soit à travers une taxe uniforme sur les toutes les émissions (comme le propose le plan libéral), les producteurs d'électricité qui utilisent le charbon ou le gaz naturel auront un coût de plus à payer: à 10$ la tonne de CO2, un cent s'ajoute au prix du kWh produit avec du charbon. À 40$ la tonne de CO2, c'est donc 4¢ de plus pour cette électricité, et 2¢ pour celle produite avec du gaz naturel. Les consommateurs ontariens verront donc leur facture d'électricité augmenter... alors que les Québécois seront "protégés" contre de telles augmentations, parce que leur électricité n'émet pas de CO2. Mais que va donner cette protection? Tandis que les Ontariens feront des efforts additionnels d'efficacité énergétique pour réduire leur facture d'électricité, les Québécois n'évolueront pas, insensibles à la valeur de l'électricité, comme sous une anesthésie générale. Encore plus que jamais, l'avantage concurrentiel de l'hydroélectricité - son faible coût et sa propreté - sera dilapidé par notre tarification basée sur les coûts de production, qui ne tient pas compte de la valeur relative (et bien plus grande) de l'une de nos plus grandes ressources renouvelables. Une simple réforme de la tarification - sans privatisation, et avec prise en compte des besoins des ménages à faible revenu - pourrait générer d'importants gains d'efficacité énergétique, tout en faisant d'Hydro-Québec une société d'État encore plus rentable. Tous les Québécois y gagneraient et, pour une rare fois, le développement durable serait autre chose qu'un discours creux, déconnecté de la réalité des choix concrets. L'auteur est professeur à HEC Montréal. Il organise, le lundi 20 octobre prochain, le colloque l'Énergie et le développement durable (http://blogues.hec.ca/gridd). Chaque Québécois consomme en effet 424 litres d'eau par jour pour sa consommation personnelle, tandis qu'un Ontarien en consomme 260! Pourquoi? En grande partie parce que 92% des foyers ont des compteurs d'eau en Ontario, mais seulement 16% au Québec (et 20% de l'eau se perd dans les fuites du réseau, contre 12% en Ontario). Il y a pire encore - ou plutôt, il va bientôt y avoir pire encore. L'hydroélectricité est une source marginale de gaz à effet de serre. Elle bénéficie donc d'un avantage important, parce qu'elle est "propre". Lorsque les émissions de gaz à effet de serre seront limitées, soit à travers des réductions sectorielles dictées par le gouvernement (comme le propose le plan conservateur), soit à travers une taxe uniforme sur les toutes les émissions (comme le propose le plan libéral), les producteurs d'électricité qui utilisent le charbon ou le gaz naturel auront un coût de plus à payer: à 10$ la tonne de CO2, un cent s'ajoute au prix du kWh produit avec du charbon. À 40$ la tonne de CO2, c'est donc 4¢ de plus pour cette électricité, et 2¢ pour celle produite avec du gaz naturel. Les consommateurs ontariens verront donc leur facture d'électricité augmenter... alors que les Québécois seront "protégés" contre de telles augmentations, parce que leur électricité n'émet pas de CO2. Mais que va donner cette protection? Tandis que les Ontariens feront des efforts additionnels d'efficacité énergétique pour réduire leur facture d'électricité, les Québécois n'évolueront pas, insensibles à la valeur de l'électricité, comme sous une anesthésie générale. Encore plus que jamais, l'avantage concurrentiel de l'hydroélectricité - son faible coût et sa propreté - sera dilapidé par notre tarification basée sur les coûts de production, qui ne tient pas compte de la valeur relative (et bien plus grande) de l'une de nos plus grandes ressources renouvelables. Une simple réforme de la tarification - sans privatisation, et avec prise en compte des besoins des ménages à faible revenu - pourrait générer d'importants gains d'efficacité énergétique, tout en faisant d'Hydro-Québec une société d'État encore plus rentable. Tous les Québécois y gagneraient et, pour une rare fois, le développement durable serait autre chose qu'un discours creux, déconnecté de la réalité des choix concrets.
  17. mtlurb

    Un effet domino

    Le naufrage de Lehman Brothers, jumelé à l'absorption de Merrill Lynch par Bank of America, montre bien que la crise financière est loin de s'apaiser. Pour en lire plus...
  18. Le président de la FTQ, Michel Arsenault, estime que la construction d'un complexe hydroélectrique sur la rivière Romaine, en Minganie, est un projet majeur pour la Côte-Nord, qui générera une énergie renouvelable et sans émission de gaz à effet de serre. Pour en lire plus...
  19. Des Californiens rouleront à l'hydrogène Mise à jour le lundi 16 juin 2008 à 6 h 30 PartagerTexteImprimer Photo: AFP/GABRIEL BOUYS La Honda FCX Clarity, un véhicule à pile hydrogène. Les prix records du pétrole et la prise de conscience par plusieurs des effets néfastes des gaz à effet de serre ouvrent grand la porte aux véhicules hybrides qui permettent de réduire la consommation d'essence et les émissions polluantes. Et c'est exactement à ces deux contraintes propres aux moteurs traditionnels que s'attaque le géant japonais de l'automobile Honda. En effet, Honda annonce la production commerciale de son premier véhicule à pile hydrogène, la FCX Clarity. Cette voiture, qui n'émet que de la vapeur d'eau, produit l'électricité nécessaire à son fonctionnement en mélangeant de l'hydrogène et de l'oxygène. Il semblerait que Honda soit en mesure de produire environ 200 Clarity d'ici 2011. À partir de juillet, un nombre limité de clients californiens pourra louer, pour 600 $ par mois pendant trois ans, une Clarity qui devra toutefois demeurer à proximité d'une des trois seules pompes à hydrogène de l'État. La Clarity a une autonomie maximale de 435 kilomètres et peut rouler à un maximum de 160 kilomètres à l'heure. ============================================== bon ça commence, la fin de l'automobile au pétrole, pas la fin de l'automobile
  20. Plus de vingt villes américaines vont mesurer leurs émissions de CO2 Manhattan (Photo Bloomberg News) Agence France-Presse Une vingtaine de villes américaines, dont New York et la Nouvelle-Orléans, ont annoncé dimanche qu'elles allaient mesurer leurs émissions de gaz à effet de serre pour trouver les meilleurs moyens de les réduire et freiner le réchauffement climatique. Pour ce faire ces centres urbains ont adopté un système déjà utilisé par 1.300 entreprises dans le monde qui publient volontairement leurs émissions de ces gaz. «Plus de 70% des émissions mondiales de gaz à effet de serre sont produites par les villes et si on ne les mesure pas, il n'est pas possible de les contrôler», a expliqué à l'AFP Paul Dickinson, le PDG du Carbon Disclosure Project (CDP) ou Projet de publication volontaire des émissions carboniques. Basé à Londres (GB), le CDP est un consortium de 385 investisseurs institutionnels qui interroge depuis 2000 des sociétés sur leurs émissions de gaz à effet de serre. Le CDP dont les membres gèrent un porte-feuille de 57.000 milliards de dollars d'actifs a formé un partenariat pour ce projet avec le groupement américain des collectivités locales pour une économie durable, (Local Government for sustainability USÀ ou ICLEI). L'ICLEI compte 450 membres aux États-Unis. Chacune des 21 municipalités américaines devenues membres de ce nouveau partenariat va collecter des données d'émissions de gaz à effet de serre pour les principales activités municipales comme le service des pompiers, le ramassage et le traitement des ordures ainsi que la consommation d'énergie des bâtiments municipaux. Cela permettra à ces villes d'avoir une référence pour comparer leurs performances avec les autres municipalités et d'établir aussi la totalité de leurs émissions polluantes. «Travailler ensemble et ce avec les meilleurs données, nous permettra de maîtriser ce problème et de léguer à nos enfants et petits enfants une planète plus saine et plus durable», a déclaré Michael Bloomberg, le maire de New York dans un communiqué. Les villes participant à ce programme soumettront leurs réponses au CDP d'ici le 31 octobre 2008. Toutes les réponses seront rendues publiques et publiées en janvier 2009 dans le tout premier rapport du CDP sur les émissions polluantes des villes. Paul Dickenson a indiqué que d'autres grandes métropoles américaines comme Los Angeles était en discussion avec le CDP pour se joindre à ce programme. Il a aussi espéré que d'autres grandes ville européennes comme Paris se joindraient à cette initiative. L'approche du CDP devrait permettre aux grands groupes industriels et maintenant les grands centres urbains de développer des stratégies pour réduire leurs émissions globales de dioxyde de carbone (CO2), a relevé Paul Dickenson,, notant que la première étape pour ce faire est d'évaluer les volumes émis. Le caractère volontaire du CDP, créé il y a cinq ans, est toutefois limité. Plus de 20% des 500 plus grosses entreprises au monde refusent toujours de publier leurs émissions de CO2, selon des groupes de défense de l'environnement. En outre, la crédibilité du CDP reste limitée, puisque les données fournies par les entreprises ne sont pas soumises à une vérification par des organismes indépendants.
  21. Effet direct de la crise du crédit, les Canadiens doivent recommencer à épargner pour s’acheter une maison. Et bonne chance aux mauvais payeurs! Les prêteurs hypothécaires ont resserré leurs conditions de crédit. Pour en lire plus...
  22. Loin de craindre que les festivités de Québec drainent tous les touristes hors de leur marché, les associations touristiques de Charlevoix et du Saguenay-Lac Saint-Jean disent vivre «un effet 400e favorable». Pour en lire plus...
  23. Le premier ministre français a profité de son passage à Montréal, vendredi, pour présenter la filière nucléaire comme une façon de réduire les émissions de gaz à effet de serre, y compris au Canada. Pour en lire plus...
  24. Climat: Québec et Toronto se liguent contre Ottawa Le Québec et l'Ontario se liguent contre le gouvernement conservateur de Stephen Harper sur la question des changements climatiques. Les premiers ministres du Québec et de l'Ontario, Jean Charest et Dalton McGuinty. (Photo PC) Jocelyne Richer Presse Canadienne Québec Selon ce qu'a appris La Presse Canadienne samedi, les deux provinces signeront un protocole d'entente, lundi, afin d'accroître leur collaboration pour la mise en place d'un système interprovincial de plafond et d'échange de crédits d'émissions de gaz à effet de serre (GES). Le but avoué des deux gouvernements libéraux provinciaux sera d'unir leurs forces pour faire contrepoids à la politique fédérale en matière de changements climatiques, qui a pour effet «d'isoler le Canada sur la scène internationale», a indiqué une source gouvernementale au fait du dossier. L'annonce sera faite lundi par les premiers ministres Jean Charest, pour le Québec, et Dalton McGuinty, pour l'Ontario, en marge du conseil des ministres conjoint qui se tient à Québec dimanche et lundi, au Château Frontenac. C'est la première fois qu'une telle initiative - un conseil des ministres qui réunit deux provinces - a cours et elle vise à renforcer les liens entre Québec et Toronto, sur les plans économique, énergétique et environnemental. En matière de changements climatiques, les premiers ministres Charest et McGuinty jugent les engagements pris par le gouvernement fédéral nettement insuffisants et ont décidé de prendre le taureau par les cornes. Si les élus conservateurs à Ottawa «ne veulent pas nous organiser, on va s'organiser nous-mêmes», confie la source. MM. Charest et McGuinty espèrent que le protocole d'entente signé lundi servira de base pour convaincre les autres provinces d'emboîter le pas. Les deux provinces reprochent notamment à Ottawa d'avoir fixé, dans sa politique, des objectifs «d'intensité» de réduction des gaz à effet de serre, au lieu de seuils de réduction absolue de quantité. De plus, le Québec et l'Ontario jugent beaucoup trop éloigné l'échéance fixée par Ottawa pour obtenir des résultats, soit 2025. On reproche aussi à Ottawa d'avoir retenu 2006 comme année de référence pour mesurer les efforts accomplis, plutôt que 1990, comme le préconisait le protocole de Kyoto. Or, on estime au Québec avoir fait beaucoup entre ces deux dates pour réduire les GES, dans le secteur des alumineries, par exemple, explique-t-on à Québec. Les deux provinces veulent donc démontrer qu'elles s'alignent sur le protocole de Kyoto et les pays qui s'engagent dans cette voie, plutôt que sur le fédéral, pour ce qui est des changements climatiques. L'alliance Québec-Ontario «viendra en quelque sorte faire pression sur le fédéral pour qu'on passe à un système qui va être compatible avec ce qui se fait ailleurs», particulièrement en Europe, a précisé la source. http://www.cyberpresse.ca/article/20080531/CPACTUALITES/80531041/6108/CPENVIRONNEMENT
  25. Dans le journal de montreal sous la signature de Martin Smith, on pouvait lire le 22 avril: Le stade Saputo prefere au BMO field pour le match retour entre le Canada et Saint-vincent-et-les-Grenadines. Le stade Saputo n'a pas encore ete inaugure qu'il se permet deja un joli pied de nez au BMO field de Toronto pompeusement surnomme " stade national du soccer au Canada " En effet l'Association canadienne de soccer annoncera aujourd'hui....... Et l'article se termine ainsi " le grand patron Joe Saputo a donc pu decider d'eriger un stade concu specifiquement pour le soccer avec un terrain de gazon naturel, surface preferee par la tres vaste majorite des joueurs. Pour une fois le comite executif de l'Association canadienne a pris une decision en tenant doublement compte des souhaits exprimes par les joueurs plutot que sur le niveau des revenus escomptes. Le choix de Montreal et du stade Saputo devant Edmonton et son immense stade du Commonwealth, par exemple, s'explique par un autre souhait des joueurs, majoritairement bases en Europe, ils tiennent a jouer autant que possible dans l'est du Canada afin d'eviter d'avoir a combattre les effets d'un trop grand decalage horaire. Le choix du stade Saputo pour la rencontre du 20 juin fournira une occasion supplementaire aux Montrealais de faire rager leurs ennemis jures de Toronto. En effet, si les Quebecois assurent un succes populaire au match contre Saint-vincent-et-les-Grenadines ainsi qu'aux eventuelles rencontres contre le Honduras et le Mexique, il ne faudrait pas s'etonner que le stade Saputo devienne le veritable stade de predilection de l'equipe du Canada ". En effet la nouvelle devait se confirmer plus tard .
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