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  1. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/474116/immobilier-le-canada-pourrait-resserrer-son-controle Le Devoir Immobilier Le Canada pourrait resserrer son contrôle D’autres pays encadrent déjà l’achat de maisons par les étrangers, rapporte Desjardins 23 juin 2016 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Le Canada aurait les moyens de ralentir l’ascension effrénée du marché immobilier de régions bien précises en encadrant mieux l’activité des investisseurs étrangers, rapporte Desjardins. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a encore une fois mis en garde le Canada, la semaine dernière, contre le danger de la flambée du prix des maisons et son impact sur l’endettement des ménages de la classe moyenne. Le pays a pourtant déjà resserré plusieurs fois ses règles hypothécaires ces dernières années dans l’espoir de freiner le phénomène, commence par rappeler l’économiste du Mouvement Desjardins Benoit P. Durocher, dans une analyse dévoilée mercredi. On a entre autres réduit plusieurs fois la période maximale d’amortissement d’une hypothèque (de 40 à 25 ans), augmenté la mise de fonds minimale (de 0 % à 5 %), réduit le refinancement maximum (de 95 % à 80 %) et durci les règles pour les maisons secondaires. Le problème est que le Canada est aux prises aujourd’hui avec des tendances bien différentes, entre la poursuite du boom immobilier à Vancouver et à Toronto, un ralentissement marqué dans les provinces de l’Ouest depuis la chute du prix du pétrole, et une progression modérée des prix au Québec et dans les provinces atlantiques. « Sans être complètement à court de munitions, il semble difficile [dans ce contexte] d’introduire de nouvelles modifications aux conditions du crédit hypothécaire qui ralentiront de façon efficace le marché de l’habitation en Colombie-Britannique et en Ontario sans nuire aux autres régions », observe Benoit P. Durocher. Le gouvernement fédéral a bien augmenté cet hiver la mise de fonds minimal pour l’achat des maisons valant plus de 500 000 $. Cette mesure qui visait particulièrement les marchés de Vancouver et de Toronto semble toutefois avoir un impact marginal. Freiner les acheteurs étrangers Le ministre des Finances, Bill Morneau, a indiqué au début du mois qu’Ottawa effectuait un examen « en profondeur » des divergences entre les marchés immobiliers du pays et qu’on essayerait notamment de tester l’hypothèse voulant que le principal facteur derrière la montée des prix à Vancouver et à Toronto soit les acheteurs étrangers. Or, « un consensus apparaît de plus en plus au sein des analystes du secteur prix concernant le rôle déterminant que jouent les investisseurs étrangers dans la vitalité du marché immobilier de Vancouver et Toronto », rapporte Desjardins. Une étude d’un chercheur de l’Université Simon Fraser, Josh Gordon, a notamment établi que les deux villes canadiennes comptent parmi les six villes étrangères où les riches Chinois investissent le plus dans l’immobilier, avec Los Angeles, San Francisco, New York et Seattle. Un moyen de freiner cette tendance, dit Benoit P. Durocher, serait que les provinces ou les villes introduisent une taxe annuelle qui augmenterait en fonction de la valeur des propriétés afin de limiter la vente de maisons de haut de gamme particulièrement prisées par les investisseurs étrangers. Le Canada pourrait aussi s’inspirer du Royaume-Uni qui impose une taxe sur les gains de capitaux réalisés au moment de la vente par un étranger d’une propriété britannique. D’autres pays, comme l’Australie et Hong-Kong, imposent aux étrangers une taxe spéciale lors de l’achat d’une propriété. Comme plusieurs investisseurs n’habitent jamais ces maisons ni même ne se donnent la peine de les louer, on pourrait aussi taxer les logements inoccupés. Plusieurs pays exercent un contrôle plus direct des achats immobiliers des étrangers. En Australie, ces derniers ne peuvent habituellement acheter que des maisons neuves. En Suisse, ils sont soumis à des quotas par région. Au Mexique, les investisseurs étrangers ne sont généralement pas admis trop près du centre de la capitale ni à moins de 50 km à l’intérieur des côtes. Vite, mais prudemment Le bon dosage, avec de telles mesures, est important, note l’économiste du Mouvement Desjardins. Il ne faudrait pas que le Canada entache sa réputation d’économie ouverte sur le monde ni ne provoque un ralentissement du marché immobilier trop prononcé. « Cela dit, le temps presse, car plus les prix des propriétés progressent à Vancouver et à Toronto, plus les risques de déséquilibre augmentent et plus la possibilité d’une éventuelle correction s’intensifie. »
  2. Je n'arrive pas à situer exactement ou se trouvera ce nouveau projet mais il me semble que ce sera sur la rue Beaubien (évidemment), quelque part entre St-Laurent et la rue Durocher donc est-ce qu'on est dans la Petite-Italie ou plutôt Petite-Patrie ou peut-être dans le nouveau Mile Ex. Peu importe, je le trouve très bien ce petit projet. http://www.grouperossi.ca/56-condo-le-coin-beaubien.html
  3. L'économiste Benoit Durocher a beau prédire d'autres pertes d'emplois au Canada, il jure être un optimiste dans l'âme. Pour en lire plus...
  4. Construction: mauvais présage au Québec 9 septembre 2008 - 06h42 La Presse Hélène Baril Le ralentissement du marché de la construction est évident. À croire les chiffres sur les permis de bâtir publiés hier par Statistique Canada, l'immobilier se porte encore très bien au Québec, qui mène le bal au Canada. Mais à y regarder de plus près, les signes d'un ralentissement du marché sont évidents. «L'essoufflement qu'on annonce déjà depuis un certain temps est là», résume Benoît Durocher, économiste chez Desjardins. Hier, Statistique Canada a fait savoir que la valeur des permis de bâtir a augmenté de 1,8% en juillet au pays. L'augmentation est de 13,2% au Québec, ce qui place la province en tête de peloton, avec la Saskatchewan et le Manitoba. Ces chiffres doivent toutefois être manipulés avec précaution, selon l'économiste de Desjardins. «Les données sur les permis de bâtir sont très très volatiles, explique-t-il, et on ne peut pas en tirer de conclusion.» D'un mois à l'autre, les chiffres jouent au yoyo. Ainsi, avant d'augmenter de 1,8% en juillet, les permis de bâtir avaient baissé de 5,3% en juin, rappelle Benoit Durocher. En regardant l'évolution de ces données sur une période d'an an, il est toutefois possible d'observer que la tendance est à la baisse dans les permis de bâtir du secteur résidentiel alors que, dans le non-résidentiel, la hausse se poursuit, quoiqu'à un rythme moins effréné. Au Canada, depuis un an, les permis de bâtir résidentiels sont en baisse de 5,7%, précise l'économiste. Mais au Québec, ils sont toujours en hausse de 32,3%. Les permis de bâtir sont des intentions de construire qui ne se concrétisent pas toujours. L'économiste de Desjardins estime que les données sur les mises en chantier sont plus révélatrices de l'état du marché immobilier, et surtout moins volatiles que les permis de bâtir. Statistique Canada publie aujourd'hui les chiffres sur les mises en chantier au mois d'août. Les observateurs s'attendent à un rebond, après la baisse observée en juillet et en août. Selon Benoît Durocher, la baisse observée cet été s'explique par les pluies abondantes qui ont arrosé les deux plus importantes provinces canadiennes, l'Ontario et le Québec, et qui ont forcé le report de certains projets. Mais même si les mises en chantier ont rebondi en août -ce qu'on saura aujourd'hui-, la tendance à plus long terme est à la baisse. «Au cours des trois derniers mois, les mises en chantier ont baissé dans toutes les provinces, à l'exception de la Saskatchewan et du Manitoba.» Les perspectives du secteur immobilier au Canada ne sont pas réjouissantes, estime Benoît Durocher, mais ce n'est rien de comparable à la crise qui secoue le marché américain. C'est simplement la fin du cycle haussier du marché immobilier entamé au début des années 2000.
  5. Le Québec aura un taux de chômage inférieur à l’Ontario 25 mars 2008 - 15h52 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque La force des dépenses gouvernementales dont la réfection du réseau routier va permettre au Québec d'être moins touché par le ralentissement américain. Point intéressant dans les dernières prévisions économiques de Desjardins: le Québec aura un taux de chômage inférieur à l’Ontario en 2009. Et surprise: c’est l’État qui est le principal responsable. Ainsi, le taux de chômage atteindra 6,7% dans la Belle province alors qu’il sera de 6,9% chez sa voisine. Par comparaison, ce même taux était de 8,3% au Québec et de 6,6% en Ontario en 2005. Selon Benoît Durocher, économiste senior au Mouvement Desjardins, le Québec sera moins touché par le ralentissement économique américain en raison de la force des dépenses gouvernementales lors des prochaines années. «Le Québec a de meilleurs assises que l’Ontario en raison des dépenses de l’État. Cela amène un support à la croissance», soutient l’économiste. M. Durocher pointe notamment le programme d’infrastructures publiques qui devrait voir l’investissement de 30 G$ sur 5 ans par Québec. Des dépenses qui viseront la santé et la réfection du réseau routier québécois, ce qui réjouit l’économiste. «C’est en vue de moderniser le Québec, donc cela donne des retombées visibles pour la population et permet l’accroissement de la productivité», dit M. Durocher. À l’inverse, l’Ontario est plus fragile aux soubresauts du marché «de par sa structure», indique Desjardins. «L’Ontario est plus touchée par le ralentissement américain. Cela cause un déclin important dans cette province et a des répercussions sur plusieurs variables économiques», souligne M. Durocher. La structure industrielle de la plus grande province canadienne est la cause principale du déclin, poursuit le Mouvement. Au premier rang des éclopés, l’industrie automobile, qui connaît de sérieuses difficultés. «L’Ontario vit deux chocs avec cette industrie : un premier, plus structurel, avec la réorganisation des trois grands fabricants nord-américains. Et un autre, avec la diminution de la demande pour l’automobile». En 2007, le secteur de l’automobile au pays a connu un premier déficit commercial depuis 1987 et le pire depuis 1979. Toujours selon Desjardins, le Québec est également moins vulnérable en ce qui à trait aux exportations – dirigées en grande partie vers l’Oncle Sam. Celles-ci représentent 33,7% du PIB du Québec alors que le chiffre atteint 40% en Ontario. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080325/LAINFORMER/80325182/5891/LAINFORMER01
  6. à partir de 125 000$ taxes incluses (quoique la plupart des unités oscillent autour de 200 000$) http://www.7225durocher.com
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