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  1. Donald Trump Jr. joue un rôle de plus en plus central dans l'empire fondé par son père. La Presse Affaires s'est entretenue avec lui cette semaine en prévision de sa venue à Montréal en septembre, dans le cadre d'une conférence sur l'immobilier. L'homme d'affaires de 34 ans achève de piloter l'un de ses plus gros projets à ce jour, la Trump Tower de Toronto. Et il dit regarder du coin de l'oeil la métropole québécoise, ville où les investissements immobiliers se multiplient à un rythme effréné depuis quelque temps. «On a étudié quelques projets à Montréal, on en a refusé un ou deux qui ne cadraient pas tout à fait avec ce qu'on recherchait, a indiqué M. Trump en entrevue téléphonique. Mais je crois que cela pourrait être un marché intéressant pour nous. J'aime la nature internationale du marché, l'ambiance européenne de la ville, et mes amis qui y vont ont toujours beaucoup de plaisir. Peut-être que la conférence me permettra de trouver une occasion...» Donald Trump Jr., dont la crinière est moins flamboyante que celle de son père, s'est joint à l'entreprise familiale au début des années 2000. Ses premiers contacts avec le monde immobilier remontent toutefois à l'enfance - un passage obligé lorsqu'on porte le nom Trump. «On faisait des choses avec notre père, mais pas dans le sens traditionnel du terme, où on se lançait la balle dans la cour arrière», raconte-t-il. «Pour passer du temps avec lui, on le suivait sur les sites de construction, dans les assemblées du conseil. On a participé à un très jeune âge aux activités de l'entreprise, donc c'est devenu naturel pour nous.» Le New-Yorkais, qui occupe aujourd'hui le poste de vice-président principal de Trump Organization, travaille de très près avec son père ainsi que son frère Eric et sa soeur Ivanka sur les différents projets du groupe. «Je les vois chaque jour... et on trouve même le moyen de prendre nos vacances ensemble.» Crise américaine L'entreprise a plusieurs projets d'hôtels de luxe, de terrains de golf et de résidences de prestige en chantier en ce moment. Or, la crise immobilière - qui fait encore des ravages aux États-Unis - a amené le groupe à être nettement plus sélectif au moment de choisir un investissement. «Avant 2007-2008, je pensais que je connaissais tout ce qu'il avait à savoir au sujet de l'immobilier, avec tout le bagage de ma famille dans ce secteur, reconnaît Donald Trump Jr. C'était comme si rien ne pouvait dérailler. Il se trouve que je connaissais seulement 1 ou 2% du métier, et que les 99% restants de mes connaissances ont été acquis ces dernières années... La meilleure leçon que j'ai apprise vient de cette période, qui a changé mes processus décisionnels.» M. Trump, qui prendra la parole lors du tout premier Salon investissement immobilier Québec, le 29 septembre prochain, prône la plus grande prudence au moment de réaliser une transaction. Que l'investisseur soit une entreprise multimilliardaire comme la sienne ou un particulier. «Mon conseil pour quelqu'un qui n'est pas un expert est d'en devenir un, avance-t-il. Il faut vraiment faire ses devoirs. De bonnes transactions se produisent dans les pires moments et vice versa. Il faut vraiment comprendre le marché qui nous intéresse, la dynamique de marché. À New York, par exemple, il y a une surprime selon le côté de la rue où se trouve la propriété, à cause du flot de trafic, etc. Il faut recueillir le plus d'informations possible.» Son entreprise étudie des investissements potentiels un peu partout dans le monde, notamment en Inde, en Amérique du Sud et dans les ex-républiques soviétiques, dit-il. Mais, répète-t-il, la plus grande vigilance demeure de mise. «On va étudier 100 transactions avant d'en réaliser une.» M. Trump estime que le projet de condos-hôtels de Toronto - un gratte-ciel de 70 étages niché dans le quartier des affaires - est un succès, avec environ 80% des unités vendues à ce jour. Et cela, même si plusieurs acheteurs mécontents ont tenté de rompre leurs contrats. «Dans cet environnement, beaucoup de gens qui ont signé des contrats pendant la crise économique ont tenté de s'en sortir», dit-il. Le père de trois enfants affirme aussi que l'inauguration récente de plusieurs projets luxueux à Toronto, dont le Ritz, n'a pas affecté la performance du Trump. Malgré l'immense attention médiatique - et plusieurs controverses - associé à son flamboyant paternel, Donald Trump Jr. dit bien vivre avec son nom de famille. «Dans le monde des affaires, peut-être que ça place une cible sur ma tête, mais d'un autre côté, ça ouvre bien des portes. Il faut profiter des bons côtés et s'accommoder des aspects négatifs.» http://affaires.lapresse.ca/economie/201206/14/01-4534741-donald-trump-jr-un-oeil-sur-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS2
  2. http://www.montrealgazette.com/entertainment/start+something+good/3750237/story.html
  3. Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers 17 février 2009 - 09h44 ARGENT Dette de 1,7G$ US - Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers La société de casinos Trump Entertainment Resorts Inc. (TRMP) s’est placée mardi sous la protection de ses créanciers en vertu du Chapitre 11 de la loi sur la faillite. La requête était largement anticipée, après que le président et fondateur de l’entreprise, le flamboyant Donald Trump, eut quitté son siège au conseil d’administration la semaine dernière. Sa fille, Ivanka Trump, avait aussi démissionné. La société avait raté une échéance de paiement d’intérêts au montant de 53,1M$ le 1er décembre dernier, alors que les clients se font plus rares dans les établissements. Les détenteurs d’obligations ont poussé la société à avoir recours au chapitre 11, ce que ne voulait pas M. Trump. La dette de la société de casinos se chiffrait à environ 1,74G$ US le 31 décembre dernier, en comparaison avec des actifs de 2,1G$ US, selon l'agence Reuters. Donald Trump a affirmé que la compagnie représentait moins d’un pour cent de sa valeur nette, et que cet investissement n’avait plus de valeur pour lui. Trump Entertainment Resort Holdings avait déjà eu recours au chapitre 11 en 2004, pour en sortir une année plus tard avec M. Trump au poste de chef de la direction.
  4. Publié le 15 octobre 2008 à 20h52 | Mis à jour le 15 octobre 2008 à 20h57 Bush aurait dû être destitué, estime Donald Trump Agence France-Presse Washington Le président américain George W. Bush aurait dû être destitué pour avoir menti au pays à propos de l'Irak, a estimé mercredi le milliardaire Donald Trump, pourtant ardent défenseur du parti républicain. Lors d'un entretien avec la chaîne de télévision CNN, M. Trump s'est dit surpris que les démocrates n'aient pas engagé de procédure de destitution à l'encontre du président après avoir obtenu la majorité au Congrès en 2006. «C'aurait été une chose merveilleuse», a déclaré le magnat de l'immobilier, qui ne pardonne pas au président les raisons qu'il a avancées pour justifier l'invasion de l'Irak en 2003. «Il a menti. Il nous a mis en guerre sur des mensonges», a martelé Donald Trump, 62 ans. L'homme d'affaires a fait le rapprochement avec le scandale Monica Lewinsky, la jeune femme avec qui le prédécesseur de M. Bush, Bill Clinton, a eu une liaison qui a failli lui coûter la Maison Blanche en 1999. «Regardez tous les problèmes que Bill Clinton a eus pour une chose sans aucune importance. Ils ont tenté de le destituer, ce qui était ridicule», a asséné M. Trump. «Et Bush nous a engagés dans cette horrible guerre avec des mensonges, en racontant qu'il y avait des armes de destruction massive et des tas d'autres choses qui se sont avérées fausses», a-t-il lancé. A propos de la campagne en cours pour la Maison Blanche, M. Trump n'en a pas moins fait part de son soutien au candidat républicain John McCain «C'est un type très malin, c'est un dur. Je pense qu'il ferait un grand président (...) et qu'il peut gagner», a-t-il ajouté, alors que M. McCain est distancé dans les sondages par son rival démocrate Barack Obama. Donald Trump, qui a hérité d'un empire immobilier, a donné son nom à une compagnie aérienne, des casinos, des hôtels, des stations balnéaires et à son gratte-ciel new-yorkais.
  5. Donald Guloien remplacera Dominic D'Alessandro au poste de président et chef de la direction de la Financière Manuvie, le premier assureur au Canada, à partir du 7 mai 2009. Pour en lire plus...
  6. Ancien ambassadeur du Canada au Japon puis en Corée, il prendra la place du président et chef de l'exploitation de la société, Gilles Gagné. Pour en lire plus...
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