Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'dominique'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

7 résultats trouvés

  1. Le Québec, un chasseur plus qu’une proie Depuis 2010, les Québécois ont réalisé trois fois plus d’acquisitions hors des frontières qu’ils n’ont cédé d’entreprises à des intérêts étrangers 1 avril 2016 Éric Desrosiers, Robert Dutrisac En dépit des Rona et St-Hubert, les entreprises québécoises sont nettement gagnantes au jeu des acquisitions à l’étranger, a soutenu la ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation, Dominique Anglade. « St-Hubert est une des marques les plus aimées au Québec année après année. Alors ça touche l’imaginaire, a affirmé Dominique Anglade au Devoir. Mais au-delà de l’imaginaire, il faut aussi qu’on regarde les chiffres. » Depuis 2010, les sociétés québécoises ont fait 258 transactions pour acquérir des entreprises à l’extérieur du Québec, tandis que les sociétés hors Québec ont conclu 85 rachats d’entreprises québécoises, a signalé la ministre. La valeur des transactions est nettement en faveur du Québec. Ainsi, les sociétés québécoises ont fait 177 transactions dont la valeur a été rendue publique — 520 millions de dollars en moyenne — pour une valeur totale de 92 milliards. Pour acquérir des sociétés d’ici, les sociétés non québécoises ont conclu 53 transactions dont la valeur est connue — 400 millions de dollars en moyenne — pour une valeur totale de 21 milliards. Dans le cas de St-Hubert, Dominique Anglade n’est pas prête à dire que la transaction est bénéfique pour le Québec, comme elle l’avait fait pour Rona. Investissement Québec a entamé des discussions avec la direction de St-Hubert mais à défaut d’un repreneur québécois, elles n’ont pas abouti. « On n’a pas eu l’occasion de déposer une contre-offre », a précisé la ministre. Le gouvernement était bien conscient que la relève n’existait pas au sein de l’entreprise familiale à capital privé. Dominique Anglade reconnaît que le gouvernement a peu de prise pour imposer de quelconques conditions à l’acquéreur. La question de la relève des chefs d’entreprise québécois est un problème sérieux, a-t-elle noté. « C’est pas compliqué : il y a plus de 50 000 personnes qui sont à la tête d’entreprises aujourd’hui qui vont prendre leur retraite dans les dix prochaines années », a prévenu la ministre. Mieux s’occuper de la relève La ministre Anglade n’était pas la seule jeudi à voir dans la vente de St-Hubert à des intérêts ontariens une illustration de l’immense défi auquel fera face le Québec inc. avec l’arrivée à l’âge de la retraite de toute une génération d’entrepreneurs. Le président exécutif de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), Yvan Allaire, dit souhaiter que la transaction « sonne le réveil » des chefs d’entreprises et des pouvoirs publics sur le défi immense que représentera le transfert massif de propriété des entreprises québécoises au cours des prochaines années. « Il est temps que tout le monde s’occupe de cela de beaucoup plus près. » Selon une étude conjointe dévoilée en juin 2014 par le Fonds de solidarité de la FTQ et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), entre 5700 et 10 000 entreprises québécoises devront se trouver un nouveau propriétaire d’ici 10 ans. Le sort de ces entreprises sera important parce qu’elles compteront pour de 79 000 à 139 000 emplois et de 8,2 à 12 milliards de retombées économiques. « La préparation d’une relève est un travail de longue haleine. Les chefs d’entreprises sont portés à sous-estimer le temps et les ressources nécessaires », explique le porte-parole du Fonds, Patrick McQuilken. Liés émotivement à leur compagnie, les entrepreneurs tendent souvent à trop attendre ou à se laisser surprendre par la maladie. Plutôt que de demander aux pouvoirs publics de bloquer en catastrophe des transactions au nom de la protection de la propriété québécoise des entreprises, on ferait mieux de demander à Investissement Québec, à la Caisse de dépôt et autres Fonds de solidarité de se fixer des objectifs beaucoup plus clairs et de mieux accompagner les entreprises québécoises dans leurs processus de transferts de propriété, pense le président et chef de la direction de la CCMM, Michel Leblanc. « Chaque entreprise a sa réalité propre, mais je suis convaincu qu’on trouverait plus de repreneurs québécois si l’on se donnait la peine de faire les choses comme il faut. Les choses s’améliorent, mais pas assez vite. » Transfert en interne Les gouvernements pourraient commencer par changer leurs règles fiscales, observait l’étude de la CCMM et du Fonds de solidarité. Trop souvent, elles se révèlent moins favorables aux personnes qui voudraient céder leur entreprise à leurs enfants plutôt qu’à des étrangers. Il faudrait notamment regarder du côté des États-Unis, pense Yvan Allaire. On y accorde des avantages fiscaux à ceux qui voudraient céder graduellement le contrôle de leur entreprise à ses cadres et ses employés. « C’est un modèle très populaire », dit l’expert en gouvernance d’entreprise. Plus de 10 000 entreprises s’en sont prévalues, dont la chaîne d’épiceries bien connue en Floride, Publix. « Il faudrait pour cela que le Québec s’entende avec Ottawa, mais on pourrait lui montrer la voie. Le problème est beaucoup plus aigu ici. » http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/467043/le-quebec-un-chasseur-plus-qu-une-proie
  2. Le Dominique est un projet de condos de 15 unités dans l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. Il offre une mezzanine, terrasse et plafonds de 8 ou 9 pieds pour les condos du troisième étage ainsi qu'un possibilité de garage pour toutes les unités. Juste à côté du Parc Jarry ainsi que plusieurs métros, vous êtes près du Marché Jean-Talon et de la Petite Italie. Plus d'information à la page: http://www.gabconstruction.com St-Dominique coin Faillon
  3. La Banque européenne de reconstruction et de développement (BERD) a indiqué dimanche qu'elle n'enquêtera pas sur la récente embauche de Piroska Nagy, une économiste qui figure au centre de l'enquête visant le directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn. Pour en lire plus...
  4. «Le fait qu'un certain nombre de banques aux États-Unis sont en train de se restructurer ne doit pas faire céder à la panique», a déclaré Dominique Strauss-Kahn. Pour en lire plus...
  5. Le Canada va mieux s'en tirer, dit Strauss-Kahn 9 juin 2008 - 17h19 Presse Canadienne Agrandir Dominique Strauss-Kahn croit que l'économie mondiale est sous tension mais le Canada devrait s'en tirer mieux. L'économie mondiale est prise entre le feu de l'inflation et la glace d'une possible récession, a souligné lundi le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, en estimant toutefois que le Canada se tirerait mieux d'affaire que le reste du monde. De passage dans la métropole québécoise dans le cadre de la Conférence de Montréal, M. Strauss-Kahn a néanmoins indiqué que le FMI allait abaisser légèrement ses prévisions de croissance pour le Canada, cet automne. À l'instar des autres conférenciers qui ont pris la parole lundi, l'ancien ministre socialiste français a estimé que la solution à la crise financière et à la flambée des prix des matières premières passait par une concertation mondiale. De son côté, Paul Volker, président de la Réserve fédérale américaine de 1979 à 1987, a blâmé l'institution qu'il a dirigée pour la crise financière des derniers mois. Selon lui, la Fed a favorisé la surconsommation et le boom immobilier aux États-Unis. La crise est un cri d'alarme qui doit inciter les décideurs à réformer en profondeur le régime réglementaire du secteur financier, a plaidé M. Volker. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080609/LAINFORMER/80609183/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  6. Selon le patron de l'institution, Dominique Strauss-Kahn, la progression actuelle de l'inflation va affecter la situation mondiale. Pour en lire plus...
  7. voici un article qui parle de la résurection de Lacoste en amérique du nord, et un passage intéressant sur Montreal http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20071018/LAINFORMER/710180843/5891/LAINFORMER01 un extrait de l'article Une expansion qui tire à sa fin au Canada Lacoste a amorcé son retour au Canada en inaugurant une boutique chez Ogilvy rue Sherbrooke, en 1999. Le petit crocodile, qui compte aujourd'hui 12 boutiques au pays, n'a pas tardé à connaître du succès auprès des consommateurs canadiens. Entre 2001 et 2007, le chiffre d'affaires de Lacoste Devanlay Canada est passé de 3,2 à 28,7 millions de dollars. Il s'agit d'une hausse de 798% en six ans. Au cours de la dernière année, la croissance a été plus modeste (+6,04%). Heureusement, s'exclament les dirigeants de Lacoste au Canada. «Dieu merci, nous n'avons pas doublé nos ventes depuis un an comme ce fut parfois le cas au cours des dernières années», dit Dominique Bouchard, qui n'aurait pas pu continuer au même rythme fou. Lacoste compte trois boutiques au Québec, situées aux Ailes de la mode à Montréal, au Carrefour Laval et à Place Sainte-Foy dans la Vieille Capitale. La société n'a pas de projets d'expansion en vue au Québec. Plutôt un déménagement: elle cherche actuellement un nouveau local rue Sainte-Catherine pour sa boutique des Ailes de la mode - un «emplacement plutôt nul», dit Dominique Bouchard en toute franchise. Lacoste compte inaugurer deux autres boutiques à Calgary et Ottawa d'ici 2010. Après, finie l'expansion canadienne. Lacoste ne voudra plus de nouveaux clients. «Nous allons être chanceux si nous parvenons à nous maintenir, dit Dominique Bouchard. C'est dangereux de vouloir saturer le marché. La plupart des marques tombent après 10 ans. Nous, nous allons essayer de nous maintenir. Nous pensons atteindre un équilibre avec 14 boutiques et entre 250 et 300 points de vente dans les magasins de commerce au détail.» Et cette fois, la société Lacoste jure qu'elle veillera sur son petit crocodile, à qui elle promet une longue vie en Amérique du Nord.
×
×
  • Créer...