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  1. Adapter l'urbanisme à l'hiver : l'exemple d'Edmonton Le mercredi 8 février 2017 [TABLE=class: visuel] <tbody>[TR] [TD][/TD] [/TR] [TR] [TD=class: legende] Daniel Cournoyer, directeur général de la Cité francophone devant l'une des cabines chauffées par le soleil à Edmonton. Photo : Radio-Canada/Dominic Brassard [/TD] [/TR] </tbody>[/TABLE] Montréal pourrait s'inspirer de l'architecture et de l'urbanisme de la capitale albertaine pour devenir une véritable ville d'hiver, croit Dominic Brassard. Edmonton a installé, dans les parcs de la ville, de petites cabanes en bois entièrement chauffées par le soleil pour réchauffer les citoyens. « Leur conception est géniale. Elles ne coûtent presque rien à construire et se démontent facilement au printemps », précise le journaliste. Néanmoins, la stratégie hivernale d'Edmonton va bien au-delà de ça. L'aménagement urbain prend en considération le vent, capte la lumière du jour, etc. Une autre façon d'aménager la ville est de construire des terrasses qui restent ouvertes tout l'hiver. « Ça favorise la vie de quartier! Ça vous permet de manger ou de prendre un café en même temps que vous regardez un piéton qui marche », ajoute Dominic Brassard. Adapter l'urbanisme à l'hiver : l'exemple d'Edmonton | Le 15-18 | ICI Radio-Canada Première
  2. https://www.facebook.com/22avril2012 http://22avril.org/ Dominic Champagne prépare «un printemps québécois» Le comédien et metteur en scène appelle à une mobilisation générale le 22 avril Isabelle Paré 15 février 2012 Actualités culturelles Photo : Annik MH De Carufel - Le Devoir Dominic Champagne Tout ça l'assassine... À tel point que le comédien et metteur en scène Dominic Champagne, connu pour son engagement contre l'exploitation des gaz de schiste, appelle les Québécois à descendre dans la rue le 22 avril prochain pour crier l'urgence d'assurer une exploitation durable et sensée des richesses naturelles du Québec. C'est à l'occasion de sa nomination à titre d'Artiste pour la paix 2011 hier matin, que Dominic Champagne a rendu public son projet citoyen, en ébullition depuis plusieurs mois. Le retrait du Canada de l'accord de Kyoto, en décembre dernier, a eu l'effet d'une bombe chez le comédien déjà connu pour ses sensibilités écologiques et politiques. «En décembre dernier, on était 200 à manifester à la place du Canada, alors que je m'attendais à une foule monstre. J'ai dit à un copain: "C'est 100 000 qu'on devrait être!"», raconte M. Champagne, qui invite les citoyens à dire leur ras-le-bol par rapport à la dépossession des richesses naturelles du territoire québécois. Gaz de schiste, développement du Plan Nord, projets miniers, gaziers autant que pétroliers: le coauteur du brûlot politique Tout ça m'assassine, présenté à la Place des Arts l'automne dernier, déplore que les Québécois assistent impuissants au pillage de leurs ressources énergétiques et minières. «Il faut se rassembler pour dire notre attachement à ce bien commun. Il ne s'agit pas seulement d'être CONTRE, mais de redire les valeurs auxquelles on aspire. J'en fais une affaire de justice, au-dessus des partis et des groupes de pression», affirme-t-il. Apolitique, le mouvement a déjà son site (22avril.org), sa page Facebook et son compte Twitter, invitant les citoyens à se rassembler lors du Jour de la Terre à 14h, dans un endroit qui reste à déterminer. Champagne en veut aux gouvernements qui, dit-il, se délestent de leurs responsabilités et, néolibéralisme oblige, n'exigent que des miettes aux sociétés étrangères qui exploitent le sous-sol québécois. «Il faut que cette exploitation se fasse au profit de tout le monde. Si on a su développer notre électricité et devenir des champions de la lutte contre les inégalités, pourquoi laisse-t-on le tiers des minières exploiter nos ressources sans redevances? On peut faire mieux!», tonne-t-il. À son avis, le Québec pourrait imiter la Norvège qui a sagement bâti une réserve de 600 milliards «pour les générations futures» en choisissant, il y a 40 ans, d'exploiter elle-même ses immenses réserves pétrolières. *** Des artistes pour la paix Dominic Champagne a été nommé hier Artiste pour la paix 2011 pour son engagement dans le débat sur les risques environnementaux posés par les gaz de schiste. À la même cérémonie, l'Association des artistes pour la paix a également remis à la danseuse et chorégraphe Margie Gillis, ainsi qu'à l'humoriste Yvon Deschamps, des prix hommage pour leur engagement dans diverses causes sociales et humanistes. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/342740/dominic-champagne-prepare-un-printemps-quebecois
  3. C'est ce qu'a fait savoir mardi le président et chef de la direction de la société, Dominic D'Alessandro. Pour en lire plus...
  4. L'information a été dévoilée par le grand patron de la compagnie d'assurance, Dominic D'Alessandro, lors d'une conférence tenue à l'intention d'investisseurs à Toronto lundi matin. Pour en lire plus...
  5. Donald Guloien remplacera Dominic D'Alessandro au poste de président et chef de la direction de la Financière Manuvie, le premier assureur au Canada, à partir du 7 mai 2009. Pour en lire plus...
  6. (10 avril 2007 - LaPresse)S'ils sont plus enclins que les autres Canadiens à envisager la vie familiale dans un condo, les Montréalais ne sont généralement pas prêts à payer plus de 200 000 $ pour en acheter un. C'est du moins ce que révèle un sondage Ipsos Reid réalisé pour le compte de la Banque TD. L'enquête a été menée en ligne du 1er au 5 mars auprès de 725 adultes à Montréal, Halifax, Toronto, Calgary et Vancouver. Ainsi, près des deux tiers (65%) des Montréalais estiment que 200 000 $ est le prix limite à payer pour un appartement en copropriété. Dans l'ensemble des villes sondées, le nombre de répondants à fixer le plafond à ce niveau est de seulement 35%. Aussi, les frais de condo deviennent facilement trop chers. Environ 65% des Montréalais ne sont pas prêts à débourser plus que 200 $ par mois, alors que la moyenne des cinq villes est de 42%. Le condo n'est pas encore populaire à titre de résidence principale à Montréal, 73% des habitants de la ville estimant «peu probable» d'en acheter un à cette fin. Il y a un an, 75% des Montréalais donnaient la même réponse. Quand on évoque la possibilité d'élever une famille dans ce type de propriété, les chiffres diffèrent peu, mais se démarquent de la moyenne. Ainsi, 37% des Montréalais seraient enclins à installer leur famille dans un condo, contre une moyenne de 29% dans les cinq plus grandes villes canadiennes. La maison est donc toujours l'habitation de choix des Montréalais. «S'il est vrai que les prix des habitations ont augmenté à Montréal, cette hausse est inférieure à la moyenne nationale et de loin inférieure à celle enregistrée dans des villes telles que Calgary», souligne Dominic Escobar, directeur régional des ventes chez TD Canada Trust. Selon la banque, le prix moyen d'une copropriété se situait à 169 899 $ en 2006 à Montréal, contre 240 378 $ dans les plus grandes villes du pays. Du côté de l'habitation en général, elle coûtait 219 149 $ à Montréal et 311 101 $ à l'échelle nationale. «Par conséquent, ajoute Dominic Escobar, les maisons unifamiliales sont encore abordables dans la région de Montréal et demeurent le choix préféré de la plupart des acheteurs.» Mais pourquoi les Montréalais sont-ils plus enclins à vivre en famille dans un condo ? «Cela est probablement dû à la disponibilité depuis de nombreuses années d'un grand nombre d'appartements à louer et au fait que de nombreux Montréalais y ont vécu durant leur enfance», répond M. Escobar.
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