Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'dollar'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Canada ranks 2nd among 10 countries for cost competitiveness, says KPMG THE CANADIAN PRESS 03.29.2016 TORONTO - Accounting giant KPMG says Canada has proven to be second most competitive market in a comparison test of 10 leading industrial countries. In its report, KPMG says Canada lags only behind Mexico when it comes to how little businesses have to pay for labour, facilities, transportation and taxes. The report, which compared the competitiveness of a number of western countries along with Australia and Japan, found that a high U.S. dollar has helped Canada stay affordable despite rising office real estate costs and lower federal tax credits. When it comes to corporate income taxes, it found that Canada, the U.K. and the Netherlands had the lowest rates overall due to tax incentives to support high-tech and research and development. KPMG also looked at the competitiveness of more than 100 cities worldwide. It ranked Fredericton, N.B., as the most cost-effective city in Canada due to low labour costs and continued low costs for property leases. Montreal topped the list among 34 major cities in North America, followed by Toronto and Vancouver. The three Canadian cities beat out all U.S. cities. Although there have been concerns over the impact of a weakening loonie on the economy, having a low Canadian dollar has actually been "a driver in improving Canada's competitiveness and overall cost advantage," KPMG said. As a result, that has made it more attractive for businesses to set up shop north of the border than in the U.S., it said. http://www.montrealgazette.com/business/canada+ranks+among+countries+cost+competitiveness+says+kpmg/11817781/story.html
  2. La Presse, 7 Juillet 2009 Tokyo est la ville la plus chère du monde Les deux villes japonaises de Tokyo et Osaka ont doublé Moscou et sont devenues en 2009 les villes les plus chères du monde pour les expatriés, selon une étude dévoilée mardi par le cabinet d'études britannique Mercer. Le classement a profondement changé en 2009 pa rapport à 2008, principalement à cause des fluctuations monétaires mondiales. Le renforcement du yen japonais par rapport au dollar américain a ainsi fait passer Tokyo de la 2e à la première place et Osaka de la 11e à la 2e. Au Canada, la baisse du huard par rapport au dollar américain a entraîné une chute des principales villes du pays dans le classement. Toronto a baissé de 31 places au 85e rang et Ottawa de 36 places à la 121e position. Montréal est maintenant au 103e rang alors qu'elle occupait la 72e place en 2008. Les villes américaines ont en général progressé. New York, la plus chère, entre dans le top 10 en se classant 8e. Los Angeles est passée du 32e au 23e rang, alors que San Francisco a bondi du 78e au 34e rang. Houston, Boston et Chicago occupent les 63e, 60e et 50e places respectivement. «La majorité des villes européennes a baissé dans le classement», indique l'étude, à l'exception des villes suisse: Genève (4e), par exemple, prend 4 places. Paris se classe 13e (12e en 2008), Varsovie, classée 113e, enregistre la plus importante chute en reculant de 78 places par rapport à l'an dernier. Moscou (3e) reste la ville européenne la plus chère, malgré la dépréciation du rouble par rapport au dollar et le léger reflux de l'immobilier. Londres et Oslo, dans le top 10 l'année passée, perdent respectivement 13 et 10 places. La plupart des villes du Moyen-Orient ont connu une tendance inverse, notamment Dubaï qui monte de 32 places (20e) et Abou Dhabi de 39 places (26e). Outre les villes japonaises, les mégapoles asiatiques restent onéreuses: Hong Kong se classe 5e , Singapour 10e, et Pékin intègre le top 10 à la 9e place. Seule l'Inde fait exception, en raison de la dépréciation de la roupie: New Dehli perd 10 places en 65e position et Bombay glisse de 18 places au 66e rang. Johannesbourg (Afrique du Sud) se positionne de son côté comme la ville la moins chère des 143 villes couvertes par l'étude, à la place d'Asuncion au Paraguay. L'étude fonde son évaluation du coût de la vie sur les prix de 200 objet ou service incluant le logement, le transport, la nourriture, l'habillement, les appareils ménagers et les loisirs. Voici le classement des 15 villes les plus chères selon Mercer: 1) Tokyo 2) Osaka 3) Moscou 4) Genève 5) Hong Kong 6) Zurich 7) Copenhague 8) New York 9) Pékin 10) Singapour 11) Milan 12) Shanghai 13) Paris 14) Oslo 15) Caracas
  3. Enfin une bonne nouvelle *** Le secteur manufacturier retrouve son niveau d'avant 2008 http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/manufacturier/le-secteur-manufacturier-retrouve-son-niveau-d-avant-2008/568948 C’est une bonne nouvelle qu’avait à annoncer ce matin les Manufacturiers et Exportateurs du Québec : le secteur manufacturier a retrouvé en mars le niveau d’avant la crise économique mondiale de 2008. La création de PME ou leur expansion fait moins de bruit que la fermeture de grosses usines comme Electrolux, à L’Assomption, mais les dernières statistiques montrent un dynamisme certain. Si les ventes de biens manufacturiers au Canada, en mars, ont augmenté de 216 M$ pour atteindre près de 51 G$ (milliards de dollars), c’est essentiellement parce les ventes au Québec ont cru de 243 M$ au cours du même mois. Cette augmentation au Québec suit une légère baisse de 15 M$ en février et une hausse de 355 M$ en janvier. Ce qui a permis au secteur manufacturier québécois de retrouver son niveau de ventes de 12 G$ de 2007. En 1994, à l’aube de l’Accord de libre-échange nord-américain, l’ALENA, les ventes manufacturières au Québec se chiffraient à 7 G$. Cet accord allait fournir une poussée d’adrénaline au secteur manufacturier dont les ventes ont grimpé à 12 G$ au début du 21e siècle. La période 2001 à 2007 en a été une de relative stabilité. Puis, la crise de 2008 a amputé 2 G$ de ventes au bilan de 2009. Il aura donc fallu quatre ans pour récupérer ces 2 G$. Audrey Azoulay, directrice des affaires publiques et relations gouvernementales de MEQ, se réjouit de cette bonne nouvelle mais préfère attendre avant de sabrer le champagne. «La baisse du dollar canadien a sans doute à voir avec la bonne performance du secteur manufacturier. La question est de savoir comment va évoluer notre dollar au cours des prochains mois. Et puis, le faible coût de l’énergie aux États-Unis, surtout à cause de l’exploitation massive du gaz de schiste, fait un dure concurrence à nos entreprises.»
  4. walker

    L'HOMME de Calder

    La sculpture "L'Homme" d'Alexander Calder, sur le site d'EXPO 67, serait, d'apres la revue MONTREAL centre-ville (printemps 2008), " la plus importante oeuvre d'art de la collection municipale d'art de la ville de Montreal, mais aussi la plus grande oeuvre de valeur au Canada ". Sa valeur serait evaluee a 50 millions de dollars americains (Quoiqu'avec la valeur du dollar americain, on ne sait plus si c'est un " plus value" )
  5. Finalement, la catastrophe annoncée par les doomsayers ne s'est pas concrétisée. La crise étudiante n'a pas empêché les touristes de venir......Tant mieux! http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201210/13/01-4582997-ete-record-pour-le-tourisme-a-montreal.php?fb_action_ids=10152177053535564&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map=%7B%2210152177053535564%22%3A454736937899116%7D&action_type_map=%7B%2210152177053535564%22%3A%22og.recommends%22%7D&action_ref_map=%5B%5D&utm_source=All&utm_campaign=Revue+de+presse+du+Quartier+des+spectacles-+lundi+15+octobre+2012&utm_medium=email
  6. jesseps

    SAQ lawsuit

    CJAD This should be an interesting case to watch. We know that we are being screwed.
  7. Dana FlavelleBusiness Reporter Dana Flavelle Business Reporter There’s a bill before the U.S. Congress that would allow Americans to bring back $1,000 worth of Canadian goods duty-free after just a few hours of shopping across our border. Meanwhile, Canadians can’t bring back anything from the U.S. duty-free until they’ve been away for 24 hours. Even then the limit is $50. This protectionism is one of the reasons U.S. retailers who open up shop in Canada can charge higher prices here than in their home market, an economics professor says. “There are two reasons prices are higher in Canada,” said Ambarish Chandra, a professor with the University of Toronto’s Rotman School of Management. “It is more expensive. Retailers here have to pay higher taxes and have somewhat higher costs. But a larger part of it is because they can get away with it.” Canadians can complain all they like but unless they do more cross-border shopping, retailers here will charge whatever the market will bear, Chandra said. The same barriers exist online: Canadians are charged duty on items shipped across the border. The Consumers Association of Canada says it has lobbied Ottawa to raise the limits, noting the maximum exemption - $750 after a week-long stay - hasn’t changed in more than 15 years. But the consumer group says its efforts are always opposed by Canadian retailers. The Retail Council of Canada denies it has lobbied the government on this issue. “In an age when you can shop around the world, travellers’ exemptions would be the least of our concerns,” said council president and chief executive Diane Brisebois. “We have not had any conversations with the government about exemptions.” Ottawa doubled the exemption for 48-hour trips outside the country to $400 from $200 in 2007, but has no plans to make further changes at this time, said a spokesperson for federal Finance Minister Jim Flaherty. “We continually monitor the adequacies of the travellers’ exemption for Canadians. This includes taking into consideration the impact of any further modifications on the government’s budgetary balance and the impact on Canadian retailers,” the minister’s office said in a written statement. The U.S. currently allows $200 for same-day shopping. The issue of retail price parity arose again this week after some Canadian customers complained U.S. retailer J. Crew is charging higher prices in its new Canadian store and on its Canadian website than in its U.S. stores and on its U.S. website. The difference in the stores averages 15 per cent; the difference online is up to 40 per cent, once taxes and shipping are included. Canadians have been railing about price differences between the two countries ever since the Canadian dollar rose to parity with the U.S. greenback in 2007 after years in the doldrums. “It’s come to the fore again because the Canadian dollar is so strong and so many U.S. retailers are coming here,” said Lynn Bevan, a partner with the consulting firm RSM Richter in Toronto. Bevan said retailers who bring their operations north of the border face a slew of higher costs, from duty and freight to real estate and labour. Overhead costs in Canada are spread across fewer stores, and in some cases the Canadian business is separately owned and must pay royalty and other fees to the U.S. parent. “It’s not like Canadian retailers are making out like bandits,” she said. Prices were on average 20 per cent higher in Canada than in the U.S. on a broad range of goods from DVDs to luxury cars to golf balls, according to a survey last April by Doug Porter, deputy chief economist at BMO Capital Markets. The only times the price gap has closed in the past four years are when the Canadian dollar has dropped below the U.S. greenback, Porter said. http://www.thestar.com/business/article/1043928--canadians-need-higher-duty-free-limits-prof-says
  8. (Courtesy of The Globe and Mail) Weak loonie or strong loonie we get screwed I bet if C$1 = US$1.20 we would still get ripped off.
  9. http://www.nytimes.com/2011/03/03/greathomesanddestinations/03gh-househunting-1.html?_r=1&adxnnl=1&adxnnlx=1299593719-+xlaQH3kS13uLe9aveRW4A
  10. $1 (1914) = $19.21 (2010) $1 (2010) = $0.05 (1914)
  11. The Ville Marie borough has given the go-ahead for a major facelift of the Helene de Champlain pavilion on St. Helen's Island - the building that until a six months ago housed the Helene de Champlain Restaurant. It will undergo a 10-million dollar expansion and upgrade this fall. After the facelift it will house a restaurant affiliated with the prestigious Relais et Chateaux chain as well as a cooking school and library. http://www.cjad.com/node/1174275
  12. I am no economist, so can someone explain to me why China would keep their currency down and now have it slowly rise against the USD? Not sure if what I am thinking is a negative thing or positive thing. If things start getting more expensive to be manufactured in China, wouldn't that mean more jobs coming back here? When I am mean here back to North America.
  13. Un Québec souverain devrait envisager le dollar américain 17 février 2010 | 18h38 Argent Dans l'éventualité où le Québec devenait souverain, ce nouveau pays devrait envisager d'adopter comme devise le dollar américain, selon Jean-François Lisée, directeur exécutif du Centre d'études et de recherches internationales (CERIUM). À son avis, l'importance grandissante du pétrole dans l'économie canadienne risque d'avoir des conséquences pour les provinces qui ne produisent pas l'or noir, en causant des pertes d'emplois dans le secteur manufacturier. Selon des études d'économistes d'Ottawa, d'Amsterdam et du Luxembourg citée par M. Lisée, le pays a déjà perdu 54 % de ses emplois manufacturiers depuis cinq ans, soit environ 55 000 emplois au Québec. En fait, le pays pourrait être victime du mal hollandais, dont le principe veut qu'un État misant beaucoup sur l'exportation de ses ressources naturelles fait ainsi augmenter la valeur de sa devise, ce qui nuit à ses autres exportations. Qu'il provienne du large de Terre-Neuve-et-Labrador ou des sables bitumineux de l'Alberta, plus le Canada exportera du pétrole affirme M. Lisée, et plus le huard va s'apprécier. Selon les prévisions, la production pétrolière du Canada devrait doubler dans la prochaine décennie, et doubler une fois de plus la décennie suivante. Ce qui laisse une perspective sombre pour des provinces comme le Québec. « Pour des compagnies comme Bombardier ou bien d'autres qui exportent leurs produits en dollar canadien, plus la valeur du dollar augmente, et plus il est difficile d'exporter », explique-t-il. « Être une province productrice de pétrole, c'est merveilleux d'un point de vue économique. Mais être une province, même de services, dans un pays producteur de pétrole, c'est autre chose. L'augmentation du dollar n'est pas un atout, mais un obstacle, et c'est sans compter l'augmentation du prix du pétrole », poursuit-il. Aussi longtemps qu'une province fait partie du Canada, la question d'adopter le dollar américain ne se pose pas et il faut s'adapter en conséquence, précise M. Lisée. Mais à son avis, un Québec indépendant devrait se poser la question, d'autant qu'il faut exclure la création d'une monnaie locale. Landry : «La fédération canadienne appauvrit le Québec»17 février 2010 | 17h09 Argent Une journée après la sortie très médiatisée de Lucien Bouchard contre le Parti Québécois et l’option souverainiste, l’ex-premier ministre Bernard Landry a livré aujourd’hui un plaidoyer pour l’indépendance alors qu’il croit que la fédération canadienne appauvrit le Québec. En entrevue avec Argent, M. Landry qui a dirigé la province de 2001 à 2003 a estimé que le contexte de mondialisation fait en sorte que le Québec doit marcher «plus que jamais vers la souveraineté». À lire également : Un Québec souverain devrait envisager le dollar américain «Pour qu’elle soit vivable et qu’on puisse la réguler, la mondialisation doit être sous la surveillance des organisations internationales. Et qui siège dans ces organisations ? Les États membres des Nations Unies», a estimé M. Landry très en verve. Il a pris pour exemple la dernière Conférence sur l’environnement de Copenhague où plusieurs divergences sont apparues entre Ottawa et le Québec sur les émissions de gaz à effet de serre. «On l’a vu à Copenhague, le cancre qui est le Canada parle au nom du Québec qui est le premier de classe. C’est comme cela à l’OMC et c’est comme cela partout», a-t-il indiqué. Cela fait en sorte que le Canada impose souvent des choix aux Québécois qui ne sont pas en concordance avec les besoins et ses aspirations, constate-t-il. «Est-ce que le Québec achèterait des chars d’assaut et des avions de combat ? Est-ce que le Québec serait en Afghanistan ? Je crois qu’on contribuerait à la paix mondiale mais en fabriquant des hôpitaux de campagne, on ferait des missions humanitaires. Mais on ne se comporterait pas comme une grande puissance et le Canada n’en est pas une», a-t-il dit. Situation alarmante du Québec dans le Canada Encore plus préoccupante est la situation du Québec à l’intérieur du Canada croit l’ancien chef du Parti Québécois, position qu’il a occupé de 2001 à 2005. «On envoie 50 % de nos taxes et impôts à Ottawa comme une province et on a la responsabilité de la santé, de l’éducation et de l’aide sociale. J’ai été ministre des Finances du Québec et ce n’est pas vivable», a-t-il indiqué. Selon lui, il s’agit même d’une position largement partagée par plusieurs grands argentiers du Québec dans l'histoire récente. «On se rappelle que Gérard D. Lévesque (ancien ministre libéral des Finances) disait : ‘Ottawa nous étrangle’. Yves Séguin un autre Libéral affirmait aussi : ‘Ottawa nous vampirise’. Donc on se fait étrangler, vampiriser et on va se dire : ‘Ce n’est pas grave, ce n’est pas urgent’. Il faut se réveiller», a-t-il estimé. Le système de péréquation instaurée au Canada et dont le Québec profite ne trouve pas non plus grâce aux yeux de M. Landry. «Le Canada ne marche pas. La péréquation date de 40 ans. On était une province pauvre à ce moment et on en est encore une. Et même l’Ontario va en toucher. Mais qu’est-ce que c’est cette fédération ?», s’est-il demandé. M. Landry croit que le Québec a tout le potentiel économique pour aller vers la souveraineté. Selon lui, l’industrie du jeu vidéo – 6000 emplois à Montréal – et l’hydroélectricité sont des pierres angulaires du développement économique québécois. «On a tout. On a l’intelligence, la créativité, Bombardier, SNC-Lavalin et les richesses naturelles. Qu’est-ce qui nous faut de plus ?», a-t-il lancé. Du côté politique, M. Landry affirme que la sortie de M. Bouchard est «désolante» et qu’elle envoie un message contradictoire au Canada et à la communauté internationale. Il affirme être encore passionné par la souveraineté et il souhaite encore «mener le combat». «Je n’arrête jamais d’en parler. Je respecte les adversaires. Et je suis sûr que cette cause est celle du destin du Québec et que cela va se faire un jour… J’espère le plus tôt possible», a indiqué M. Landry.
  14. http://blogs.moneycentral.msn.com/topstocks/archive/2009/08/17/almost-90-of-us-bills-have-cocaine-traces.aspx Posted Aug 17 2009, 06:04 AM by Douglas McIntyre Cocaine traces on dollar bills Filed in the folder marked “facts most people would never imagine” is the news that nearly nine out of 10 bills in the U.S. are contaminated with cocaine. Data released by the American Chemical Society says that “cocaine is present in up to 90 percent of paper money in the United States, particularly in large cities such as Baltimore, Boston, and Detroit. The scientists found traces of cocaine in 95 percent of the banknotes analyzed from Washington, D.C., alone.” Many of those bills were used at some point to actually take cocaine, but many were contaminated by being bundled with tainted bills. The problem is growing rapidly. Two years ago, the number was 67%. The information raises the opportunity for law enforcement agencies to use the traces of the substance to track the international movement of drugs. Most large transactions for products like cocaine and heroin are done in cash. The flow of illicit drugs has been nearly impossible to trace. That may have changed in just the last year or so.
  15. China's Arithmetic When It Comes to the Dollar “It will be helpful if Geithner can show us some arithmetic” -Yu Yongding From the lens of a global risk manager, this morning has to be one of the more fascinating that I have ever woken up to. At the same time as the US Government is setting themselves up to announce one of the largest bankruptcies in US corporate history, we have a squirrel hunting US Treasury Secretary telling the Chinese to “trust us” and America’s currency. That a boy! Providing leadership to the world’s increasingly interconnected economy is by no means an easy task, and maybe that’s why the world is voting against America holding the world’s reserve Currency Conch any longer. Timmy Geithner’s effectiveness with the Chinese translators overseas this morning is borderline laughable. There was a time when the Wizards of Wall Street’s Oz could fly overseas and make a comment like “we are committed to a strong dollar” and it would actually matter. Rather than getting on a plane and shaking hands with The Client (China) himself, President Obama opted to send the same guy that called the holder of $768B in US Debt “manipulators"... Nice! When it comes to financial market sophistication, other countries aren’t as gullible as they used to be. An internet connection and You Tube screen have effectively changed all that. On the heels of Timmy’s “reassuring” comments, the US Dollar is getting spanked again, trading down another -0.73% to lower-lows at $78.63. Rather than fading Geithner from my soapbox, now the world is – it’s sad. I understand that this is all doesn’t matter yet because someone on CNBC is hopped-up about where the US futures ramped into Friday’s close and look here on today’s open. That manic behavior really helps America’s reputation. At the end of the day, the US stock market could go up another 6% to 9% today, and it would still be amongst one of the worst performing stock markets in the world. The Dollar moving into crisis mode matters. First, all of the reflation trades pay themselves out in full. Second, all of the global political capital associated with the almighty Petro-Dollar gets redistributed. And Third, well… rather than analyzing this as the said Great Depression Part Deux… how about another Third Quarter of 2008 in US Equities? Nah, that’s crazy right? Like they say in the Canadian Junior Hockey Leagues, “crazy is as crazy does”! There are loads of unintended consequences associated with a US Dollar crashing – the only other sustainable break we’ve seen in the US Dollar Index below the $80 level since 1971 (when Nixon abandoned the gold standard), was that one that led us to that 2008 Third Quarter… After locking in another +5.3% month for May, the S&P500 is up a whopping +1.8% for the YTD. Unlike most global equity markets that are charging to higher-highs this morning, the S&P500 is still trading below its January 6th high of 934. On the heels of another strong, albeit not herculean PMI manufacturing report last night (it decelerated slightly month over month), China’s stock market charged to higher-highs, closing up another +3.4%. The Shanghai Composite Index is now +49.5% YTD, and we, as our British philosophy competitor likes to say remain “long of it.” From Hong Kong to Russia, stock markets are up +4 to +6% this morning. Why? Because, much like the only other time we saw the US Dollar break down to these levels, everything that China needs reflates. Oil prices and the promises of a potentially empowering Chinese handshake have the Russian Trading System Index (RTSI) up +83% for 2009 to-date. Now that and the price of oil trading up +19% in less than 2-weeks is getting someone paid - and it isn’t the American Consumer! As she trashes her currency, America will continue to lose political capital both domestically and abroad. After all, a -12% three-month swan dive in the US Dollar has hacked over $90 Billion of value from the Chinese position in US Treasuries. Creditors and citizenry hush yourselves! All the while, 17 out of 23 Chinese economists polled are calling holding those Treasuries a “great risk” this morning. I know, I know… an economist or a billion US Dollars ain't what it used to be… At some point, China’s interpretation of the arithmetic is going to really matter.
  16. Vers une période soutenue de croissance au Canada Publié le 25 mai 2009 à 16h19 | Mis à jour à 16h22 La Presse Canadienne, Ottawa Les Canadiens peuvent s'attendre à une période soutenue de solide croissance au cours de la décennie à venir, mais cette période sera différente de la plus récente qui s'est soldée par un effondrement de l'économie, selon un rapport de la Banque CIBC.(T.TCM) La prochaine décennie verra l'économie mondiale changer de façon fondamentale, mais aura aussi des airs de déjà-vu pour le Canada puisque l'ouest du pays retrouvera sa place au premier plan, le dollar canadien sera fort et la valeur des actions montera en flèche, affirment les économistes de la CIBC. L'économie canadienne dépendra moins des consommateurs ou des Etats-Unis, ce qui constituera pour elle le plus important changement, ont écrit dans leur rapport les économistes Avery Shenfeld et Benjamin Tal. Dans l'ensemble, les deux spécialistes dressent un portrait rose d'une décennie qui se mettra en branle lentement l'an prochain, mais qui démarrera vraiment grâce à la croissance mondiale et la poussée de la demande des consommateurs dans les économies émergentes comme la Chine et l'Inde, de même que dans les pays riches en pétrole comme les nations membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie. «Je suis optimiste, en particulier par rapport à ceux qui disent que l'économie s'est enfoncée dans un trou si profond (...) que nous allons en payer le prix», a indiqué M. Shenfeld, économiste principal à la CIBC. «Ce n'est pas parce que la croissance de la dernière décennie reposait de façon exagérée sur un effet de levier que nous sommes condamnés à une lente décennie de croissance mondiale», a-t-il ajouté. L'économie du Canada sera stimulée par les exportations, en particulier celles des produits de base, dont les prix retrouveront une partie de leur lustre grâce à la hausse de la demande dans les marchés en pleine croissance. «Nous n'allons pas rompre nos liens avec l'économie américaine, mais la nature de ce que nous vendons dans le monde sera beaucoup plus déterminée par la demande en provenance de l'Extrême-Orient. Même (dans le cas des matières premières) que nous vendons aux Etats-Unis, les prix seront davantage déterminés par l'Extrême-Orient», a indiqué M. Shenfled. La baisse de l'importance des Etats-Unis aura un impact sur le dollar américain, qui perdra 20 pour cent de sa valeur au cours de la décennie, selon le rapport. En contrepartie, la valeur du huard sera de nouveau supérieure à celle du dollar américain. Cela aura un effet négatif sur le secteur manufacturier du Canada central et les exportations de produits forestiers, mais profitera au secteur des ressources de l'Ouest.
  17. Ottawa 4,2 M$ octroyés à 12 organismes artistiques montréalais La Presse Canadienne Lia Lévesque 24/04/2009 12h56 Le gouvernement fédéral, qui avait fait des compressions de 45 millions $ dans divers programmes culturels, juste avant l'élection, vient d'annoncer l'octroi de 4,2 millions $ à 12 organismes artistiques de la région de Montréal. Le ministre du Patrimoine canadien James Moore s'est déplacé à Montréal, aujourd'hui, pour en faire l'annonce, devant plusieurs représentants des groupes visés. Cette somme est versée par Ottawa en proportion des dons reçus de la part des entreprises privées par ces mêmes organismes. Ainsi, pour chaque dollar recueilli de la part des entreprises privées par ces organismes, Ottawa verse 72 cents, a précisé le ministre Moore. Au cours d'une rencontre avec la presse, le ministre Moore a précisé qu'il s'agissait-là d'une amélioration par rapport à l'an dernier, alors que son ministère avait attribué 52 cents pour chaque dollar recueilli du privé. Parmi les 12 organismes ainsi soutenus, on note les Grands Ballets canadiens, l'Orchestre symphonique de Montréal, l'Ecole nationale de théâtre, l'Ecole nationale du cirque, le Festival international de Lanaudière, l'Orchestre de chambre I Musici, la Compagnie Jean Duceppe et les Jeunesses musicales du Canada. Interrogé à savoir si cet appui financier devait permettre de compenser en partie les compressions de 45 millions $ dans les programmes culturels, notamment ceux comme Routes commerciales qui soutiennent les tournées à l'étranger, le ministre Moore a nié que son gouvernement ait réduit les sommes affectées à la culture. «C'est vrai qu'il y avait des programmes inefficaces, par exemple Routes commerciales, qui a coûté 5 millions $ pour livrer 2 millions $ de bénéfices. Alors c'était un programme qui était franchement irresponsable de continuer. Alors on n'a pas continué le programme, mais on a continué avec nos investissements sans précédent pour aider nos artistes, ici au Canada et à l'étranger», a commenté le ministre Moore. Des organismes présents à la conférence du ministre se sont toutefois montrés plus critiques.
  18. Posted: 07 Apr 2009 06:44 AM PDT 10 raisons qui expliquent pourquoi le Québec s’en sort mieux que n’importe qui sur la planète… Système bancaire canadien le plus solide au monde présentement, a échappé aux pires dérapages. Consommateurs n’ont pas été appauvris par un chômage massif, crise immobilière, ou surendettement. Les gens sont prudent mais ont presque autant d’argent dans leurs poches que l’an dernier, il n’y a donc pas eu d’effondrement de la demande interne. Le marché américain compte que pour le 1/4 de notre activité économique, mais même en récession ils continuent d’acheter. Le temps: Une partie de la crise américaine a déjà été absorbée depuis 2006. La chance d’avoir une dévaluation du dollar, nos prix sont plus avantageux aux États-Unis. Structure industrielle, le Québec compte moins sur les secteurs les plus frappés (automobile, pétrole, etc.) Pas d’euphorie Pétrolière comme en Alberta, ou Financière comme à Toronto, les maisons augmentent encore à Montréal mais pas à Toronto ou a Calgary. Déclin démographique, pénurie de main d’oeuvre dans plusieurs secteurs compensent pour les pertes d’emplois. Investissement dans les infrastructures de 8 milliards planifiés (pur coïncidence) avant la crise donc qui commenceront maintenant & non après la crise. Alors cessez de vous en faire, vous êtes Québécois ! Original article by La Presse. Prepared by Patrice Groleau The Montreal Real Estate Blog
  19. La Caisse de dépôt et placement dévoile une perte globale de 39,8milliards de dollars en 2008 attribuable essentiellement aux fluctuations du dollar canadien et à l'importante détention de papiers commerciaux. Pour en lire plus...
  20. La compagnie montréalaise attribue essentiellement ce redressement à la dépréciation rapide du dollar canadien au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  21. http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/alain-dubuc/200812/21/01-812280-recession-le-mystere-quebecois.php Alain Dubuc, collaboration spéciale La Presse Le Québec résiste mieux à la crise mondiale que les États-Unis, ou que son éternelle rivale ontarienne. L'emploi a augmenté en novembre au Québec quand il plongeait en Ontario. Les spécialistes prévoient une récession technique pour le Québec, tandis que l'économie ontarienne sera clairement en recul. Comment se fait-il que notre économie, dont la performance n'est pas exceptionnelle, semble vouloir s'en tirer relativement bien, ou plutôt moins mal? Je vous propose les fruits de ma réflexion sur le sujet, et quelques pistes d'explication de l'exception québécoise. Le bouclier canadien. Il y a d'abord un phénomène canadien, dont le Québec profite comme la plupart des régions, à l'exception notable de l'Ontario. Le Canada résiste à la crise mieux que la plupart des pays industrialisés notamment parce que son système bancaire a échappé aux pires dérapages. Ici, les consommateurs n'ont pas été appauvris par du chômage massif ou une crise de l'immobilier. Les gens sont inquiets et prudents, mais ils ont autant d'argent dans leurs poches que l'an dernier, ce qui explique qu'il n'y a pas eu d'effondrement de la demande domestique. Les limites de la dépendance. Le choc de la crise pour le Québec s'exprime surtout par nos exportations vers les États-Unis, notre principal marché extérieur qui compte pour le quart de notre activité économique. Mais même en récession, les Américains continuent d'acheter. Durant les 10 premiers mois de cette année, les exportations québécoises ont augmenté de 2,5%. C'est moins que d'habitude, certaines industries sont plus touchées, mais ce n'est pas une chute. N'oublions pas non plus qu'une baisse de 1% de nos exportations vers les États-Unis représente seulement un recul de 0,25% de notre PIB. Le facteur temps. Une partie du choc de la crise américaine a déjà été absorbée. La crise immobilière et l'effondrement de l'industrie de la construction ont frappé il y a deux ans, avec un impact majeur sur notre industrie forestière. De la même façon, l'industrie manufacturière a été mise à mal par la hausse brutale du dollar canadien en 2006 et 2007, avec des pertes d'emplois importantes. Tant et si bien que les entreprises qui ont survécu à ce choc sont en bonne position pour résister. La dévaluation du dollar. L'impact négatif de la contraction de la demande américaine a été compensé par la dévaluation importante du dollar canadien. À parité en début d'année, il est maintenant aux alentours de 80 cents. Cela peut permettre à nos exportateurs de réduire leurs prix aux États-Unis, et de maintenir leur volume de ventes. La structure industrielle. Les industries sont affectées très différemment par la conjoncture. L'automobile est en crise, l'aérospatiale est encore en essor. L'Ontario, où se concentre l'industrie automobile, est donc frappée de plein fouet. Tandis qu'au Québec, grâce à l'aéronautique, les ventes manufacturières étaient en hausse au Québec en octobre. Notre médiocrité relative. Les régions canadiennes les plus touchées sont celles qui ont connu l'euphorie économique des dernières années. L'Alberta est touchée par la baisse du prix du brut. Toronto, notre capitale financière, a roulé sur l'or en profitant abondamment de la frénésie financière. Parce qu'elle n'a pas connu de sommet, Montréal, qui n'est ni un grand centre financier ni un producteur pétrolier, ne peut pas tomber de haut. On le voit par le prix des maisons, qui augmente encore à Montréal, mais pas à Toronto ou à Calgary. Le déclin démographique. Le Québec arrive au stade où sa population active va baisser. On connaît donc des pénuries d'emplois dans plusieurs industries, régions et métiers. Cette rareté de la main-d'oeuvre permet d'atténuer l'impact de la tourmente sur le marché du travail. Les politiques gouvernementales. Tout le monde parle de l'importance d'injecter des fonds publics pour contrer le ralentissement, notamment par des travaux d'infrastructure. Le problème, c'est que les bulldozers risquent de se mettre à rouler quand la récession sera terminée. Sauf au Québec où le gouvernement Charest a annoncé il y a un an et demi un très vaste programme d'infrastructures qui a atteint son rythme de croisière à temps pour atténuer les effets du ralentissement. Ces facteurs permettent de comprendre pourquoi le Québec a mieux résisté jusqu'ici. Est-ce que cela signifie que le choc de la crise sera moins fort ici, ou qu'il sera seulement retardé? Je penche pour la première hypothèse. Et c'est ma façon de vous souhaiter de joyeuses Fêtes.
×
×
  • Créer...