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  1. Dix projets a surveiller - La Presse+
  2. Bell frappe un grand coup : 200 hélicoptères vendus! http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/aeronautique-et-aerospatiale/bell-helicopter-obtient-une-commande-de-200-appareils/576792#%2EVPhhJpMYjTk%2Elinkedin
  3. Projet terminé
  4. Bravo au Maire Coderre!! Il était temps que quelqu'un prenne le taureau par les cornes! Il faut amincir la taille de nos bureaucraties! Montréal veut abolir 2700 postes d'ici cinq ans http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201404/03/01-4754115-montreal-veut-abolir-2700-postes-dici-cinq-ans.php Karim Benessaieh La Presse Aux prises avec une masse salariale en explosion depuis dix ans, qui gruge plus de 52% de ses revenus, la Ville de Montréal aura droit à un remède de cheval. L'administration Coderre a annoncé ce matin l'abolition d'un poste sur dix d'ici cinq ans, soit 2700 postes, une économie annuelle de près de 240 millions. En point de presse à l'hôtel de ville, le maire Denis Coderre estime que ce plan lui permettra de «reprendre le contrôle des ressources humaines de la Ville, freiner la croissance démesurée qu'on a connue au cours des dix dernières années.» À titre de comparaison, les deux dernières grandes opérations de rationalisation depuis 2006 visaient chaque fois l'abolition d'un millier de postes. Elles ont eu des résultats mitigés, puisque le nombre global d'employés n'a cessé d'augmenter. Cette fois, pour contrer la tendance, on ne remplacera qu'un poste sur deux laissé vacant, soit par un départ à la retraite «ou autre motif» d'ici 2018, chez tous les groupes à l'exception des policiers et des pompiers. La Ville prévoit que 1589 cols bleus, 843 cols blancs et 471 cadres, notamment, seront admissibles à une retraite sans réduction d'ici 2018. «Ça ne peut plus continuer comme ça. On ne peut plus laisser les effectifs de la Ville croître suite à la prise de décisions en silo. L'improvisation, c'est fini.» Denis Coderre, Maire de Montréal Révision à la sécurité publique Même les pompiers et les policiers, les seuls groupes d'employés qui avaient été épargnés par les compressions dans le budget 2014, devront subir une «révision des processus des services de la sécurité publique et une rationalisation du personnel en conséquence», peut-on lire dans un document explicatif remis aux journalistes. On prévoit qu'un millier de pompiers et 876 policiers seront admissibles à une retraite sans pénalité d'ici 2018. Selon les projections de la Ville, on s'attend à ce que 2150 autres personnes vont quitter pour «d'autres motifs» d'ici 2018. Ce «plan quinquennal de la main-d'oeuvre 2014-2018» prévoit en outre l'embauche de 100 personnes par année «pour répondre aux priorités de la Ville». On prévoit qu'il s'appliquera autant aux services centraux qu'aux arrondissements. Ceux-ci, de qui relèvent 30% des effectifs, seront toutefois libres de s'y soustraire. «C'est un projet non seulement ambitieux, mais réaliste et nécessaire pour sortir Montréal de l'impasse financière», estime le maire Coderre. Il a tenu à rassurer les employés de la Ville, qu'il a décrits comme «excessivement compétents». «Ces mesures ne sont pas dirigées contre vous, nous ne procédons pas à des coupures sauvages ni à des mises à pied massives. Tout cela va se faire dans le respect des conventions collectives.» 800 millions comptant À terme, on espère simplement revenir aux effectifs de la Ville de Montréal au moment des fusions, en 2002, qui était de 20 000 employés à temps plein et représentaient alors 42,5% des dépenses. Ils ont graduellement monté pour s'établir à 22 423 en 2013, pour 51,9% du budget, soit une hausse de 9,4%. L'objectif principal de l'administration Coderre est de hausser les investissements dans les infrastructures, bâtiments et équipements de toutes sortes. Alors que les besoins sont évalués à 2,1 milliards annuellement, on ne prévoit y consacrer que 1,3 milliard. Cet écart annuel de 800 millions, on veut essentiellement le combler graduellement d'ici 2024 en augmentant la part payée comptant des immobilisations, qui passerait de 80 millions cette année à 800 millions. Cette décision de recourir moins souvent aux emprunts est «une question d'équité intergénérationnelle, pour ne plus pelleter vers l'avant», estime le président du comité exécutif, Pierre Desrochers.
  5. Une société espagnole obtient d'importants avantages pour s'implanter au Québec Publié le 22 janvier 2014 à 13h31 Comblée par de l'électricité au rabais et un congé fiscal de dix ans, la société espagnole FerroAtlàntica va s'implanter au Québec. À l'occasion du Forum économique mondial de Davos, le premier producteur mondial de silicium métal a annoncé mercredi un investissement de 375 millions de dollars au Québec et la création de plus de 300 emplois. Le site de la future usine n'est pas encore choisi, mais la construction est prévue «dans les prochains mois» et le début des activités est fixé à la fin de l'année 2016. Le silicium métallurgique est une composante d'alliage destinée entre autres à l'industrie automobile, à la production de silicone, de béton haute performance et de panneaux solaires. Avec le quartz, des résidus forestiers pourront être utilisés pour la transformation des matières premières en silicium métal. L'entreprise espagnole est la première société à profiter des mesures incitatives que comporte la politique économique «Priorité emploi» présentée l'automne dernier par la première ministre Pauline Marois et le ministre des Finances Nicolas Marceau. FerroAtlàntica aura donc droit à un congé de taxes d'une durée de dix ans et à un rabais d'un cent du tarif L d'électricité consenti aux grandes entreprises (4,4 cents le kilowattheure). Investissement Québec souhaite prendre une participation de cinq à dix pour cent dans le projet, ce qui représente un montant oscillant entre 20 millions et 30 millions de dollars. Des conditions «très favorables», a convenu le directeur général de FerroAtlàntica, Pedro Larrea, en point de presse. «L'avenir de FerroAtlàntica aujourd'hui se trouve au Québec, a lancé M. Larrea. Nous avons trouvé de la compréhension pour nos problèmes et des solutions à nos problèmes, des solutions pour l'électricité (et) des solutions financières.» La création de 300 emplois est un baume pour Mme Marois qui a été rattrapée à Davos par les difficultés de Bombardier. Le géant de l'aéronautique a annoncé mardi le licenciement de 1700 employés, dont 1100 au Canada, notamment aux installations de Montréal et Mirabel. La première ministre a dit être «très désolée» pour les travailleurs mis à pied, mais s'est montrée optimiste pour l'avenir. «Je suis confiante pour la suite des choses. Bombardier est une très grande entreprise. Ils ont eu dans le passé certaines difficultés, ils ont toujours respecté leurs engagements», a-t-elle souligné. Conséquence du contexte économique, Bombardier accuse une diminution de son carnet de commandes pour les avions d'affaires. En outre, l'entrée en service de ses appareils CSeries a été reportée à la deuxième moitié de 2015. Un tel ralentissement n'est pas inédit dans l'industrie de l'aéronautique, a fait valoir Mme Marois, rappelant que les constructeurs Embraer et Airbus avaient aussi été confrontés à des délais dans la mise en service de nouveaux appareils. Quant aux travailleurs licenciés, le gouvernement du Québec fera tout ce qu'il peut avec les programmes existants pour les accompagner «s'il y a lieu», a indiqué Mme Marois. http://affaires.lapresse.ca/dossiers/forum-economique-de-davos/201401/22/01-4731350-une-societe-espagnole-obtient-dimportants-avantages-pour-simplanter-au-quebec.php
  6. Si vous en êtes encore à planifier vos vacances estivales et que vous aimeriez visiter un des plus importants pôles internationaux de la bonne bière, n’allez pas plus loin que Montréal, ou une autre des dix capitales mondiales de la bière… Car selon un article paru il y a deux semaines sur le site HotelClub, qui offre des outils de réservation hôtelière dans plus de 141 pays aux internautes australiens (et qui est une filiale du géant américain Orbitz.com), la métropole québécoise figure parmi les meilleures destinations pour quiconque apprécie la bière. Les Australiens, dit-on, sont de fervents amateurs de broue. Détail amusant, l’article est illustré d’une photo (ci-haut) empruntée à ce que j’identifierais comme un client du Marché des saveurs du Marché Jean-Talon, à Montréal. Les dix villes suggérées sont les suivantes : — Munich (surtout à la fin septembre); — Qingdao (alias Tsingtau, ou Tsing-Tao, ville chinoise construite par des Allemands à partir d’un modèle bavarois, et qui nous a donné la brasserie du même nom); — Perth (plusieurs microbrasseries peuplent cette ville australienne); — Londres (si j’avais à boire une bitter, ce serait à Londres); — Bruxelles (l’épicentre des bières belges et hollandaises); — Milwaukee (ville américaine fondée par des immigrants allemands où vous trouverez, heureusement, une nouvelle génération de brasseurs artisanaux assez audacieux); — Portland (celle d’Oregon, où a lieu chaque année un festival de la bière qui vaut le détour); — Prague (la République tchèque est le pays dans le monde où il se boit le plus de bière par personne); — Dublin (pour la Guinness, sans doute, mais pour les pubs, aussi, quoiqu’à ce titre Édimbourg n’est pas mal non plus et se visite mieux dans un voyage comprenant aussi Londres); — Montréal (McAuslan, Bierbrier, Hopfenstark et Dieu du Ciel sont les brasseries suggérées, aux côtés de l’incontournable Molson). http://blogues.lapresse.ca/biere/2012/07/04/montreal-une-des-dix-capitales-mondiales-de-la-biere/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter
  7. Pour une fois que c'est le cas, soulignons-le....... http://24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/02/20110203-153638.html
  8. Ex-Centris délaisse le cinéma Le Devoir Odile Tremblay Édition du mardi 13 janvier 2009 Mots clés : Ex-Centris, Culture, Cinéma, Montréal, Québec (province) Daniel Langlois donne une nouvelle vocation à ses salles Daniel Langlois fondait il y a dix ans, boulevard Saint-Laurent, le complexe Ex-Centris, consacré jusqu'ici au cinéma. Photo: Jacques Grenier Le temple cinématographique Ex-Centris, qui fêtera ses dix ans en juin, un des rares complexes dédiés au cinéma de qualité à Montréal, cessera sa programmation régulière de films à compter du 20 mars prochain. Son propriétaire et mécène, Daniel Langlois, entend changer la vocation de l'établissement pour le convertir en lieu d'exploration culturelle diversifiée: performances musicales, oeuvres interactives, art de la scène multimédia, etc. «Ce n'est jamais le fun de dire: "On laisse aller". Moi aussi, ça me fait de la peine, déclarait hier Daniel Langlois au Devoir. J'annonce une nouvelle positive: l'objectif d'explorer à fond l'ensemble des possibilités offertes par nos installations et les offrir au public, avec un aspect triste. Les cinéphiles perdent un lieu unique. Je le sais.» Sa vision le mène ailleurs. «Mon intérêt dans la vie, c'est un contenu diversifié, l'accès à des cultures variées, interactives. J'ai continué dans le cinéma le plus longtemps possible. La technologie avant-gardiste des salles permettait au départ d'explorer de nouvelles avenues, mais en se concentrant sur les films, il devenait impossible de diffuser d'autres types de projets. On a conservé ce mandat-là durant dix ans. Tout au long des opérations, on a essayé d'intégrer, en plus de la programmation cinéma, l'exploration culturelle, mais les paramètres de diffusion de films rendaient la cohabitation impossible. Les contraintes imposées par la distribution traditionnelle du cinéma, qui sont basées sur un nombre de séances fixes par jour et sept jours sur sept, sont acceptables pour les salles à vocation spécialisée et équipées uniquement pour la projection du cinéma. Par contre, cela limite grandement un lieu polyvalent comme Ex-Centris, qui désire programmer à sa guise un contenu varié et expérimental. Je ne pouvais présenter un show de danse, par exemple. Nos opérations n'ont jamais été commerciales, et je ne coupe pas les projections de films pour des raisons économiques. Il est évident toutefois que les coûts d'exploitation ont augmenté, mais pas le prix des billets.» Une partie du personnel devra quitter le poste, six personnes en tout, dont Paule Vaillancourt, directrice des opérations des salles, Marie-Christine Picard, directrice de la programmation, Nadine Viau, attachée de presse, ainsi que des projectionnistes et plusieurs placiers. Exit les bons films qui plaisaient si fort aux cinéphiles? «Pas tout à fait, répond Langlois. On va faire du cinéma sur le mode événementiel. Quand il y aura des visionnements de films, ils seront associés à d'autres activités: conférences, échanges, activités interactives. J'ai accompli le travail que j'avais à faire. D'autres poursuivront cette mission: le Beaubien occupe de plus en plus de place, ainsi que le cinéma du Parc. Ils prendront la relève. Au début, on était presque seuls dans ce créneau. Pas aujourd'hui.» Daniel Langlois entend défendre son amour du septième art: «Pour moi, le cinéma demeure une des formes les plus puissantes et complètes pour véhiculer des émotions et des concepts humains, et je resterai toujours un cinéphile. Cela dit, il existe d'autres formes d'expression qui m'intéressent.» Et qu'en est-il du Festival du nouveau cinéma dont le fief était l'Ex-Centris? «Si le FNC veut revenir ici, les installations seront transformées, précise Daniel Langlois. Mais deux écrans traditionnels sur trois demeureront en activité. Ça sera aux dirigeants du FNC de faire leur choix. Ils pourraient très bien décider de revenir ici.» Dès le 20 mars, les salles de cinéma seront fermées pour quelques mois, afin d'intégrer de nouveaux équipements et des installations supplémentaires, conformes à la vocation multidisciplinaire. Pour les cinéphiles, toutefois, le deuil est immense. «Il s'agit d'une grande perte pour le Québec et pour la diffusion du cinéma d'auteur, déclarait hier Claude Chamberlan, directeur de la programmation au Festival du nouveau cinéma et longtemps à la tête de la programmation des films à Ex-Centris. Si peu de cinémas se consacrent aux films d'auteur. Je crains l'effet domino. Quand des salles sont éliminées, moins d'oeuvres de la cinématographie internationale peuvent trouver leur vitrine. En plus, elles marchaient bien, ces salles-là.» Le Cinéma Parallèle, une des trois salles de l'Ex-Centris, rampe de lancement pour plusieurs films québécois, documentaires et fictions confondus, devrait renaître ailleurs. «Nous allons le relocaliser et cherchons présentement un local. Pas question de l'abandonner», assure Claude Chamberlan, lui aussi en état de choc. http://www.ledevoir.com/2009/01/13/227162.html (13/1/2009 8H45)
  9. Dix compagnies québécoises au palmarès des 50 meilleurs citoyens corporatifs 30 janvier 2009 - 11h19 par Charles-Albert Ramsay ARGENT Dix sociétés québécoises figurent au palmarès annuel des 50 meilleurs citoyens corporatifs du Canada. Le palmarès est réalisé par le magazine Corporate Knights, de Toronto. Cette publication spécialisée en responsabilité sociale des entreprises a étudié les pratiques en environnement et en responsabilité sociale des plus importantes sociétés du Canada pour identifier les meilleurs citoyens corporatifs. En tête d'affiche, IBM Canada, Petro-Canada et McKesson Canada se placent respectivement en première, deuxième et troisième position. La quatrième position a été méritée par Rio Tinto Alcan, la filiale d'aluminium dirigée de Montréal du géant minier Rio Tinto. Les autres québécoises figurant au palmarès sont Domtar (8e), Hydro-Québec (12e), Cascades, (17e), Mouvement Desjardins (20e), Transcontinental (22e), CN (23e), Tembec (32e), Financière Sun Life (35e), SNC-Lavalin (41e) et BCE (42e).
  10. Dix ans après être né de la fusion de Citicorp et Travelers, l'ancien numéro un du secteur bancaire américain va se scinder en deux dans l'espoir de sauver les meubles. Pour en lire plus...
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  16. Un emprunteur immobilier sur dix est potentiellement menacé d'une expulsion de son logement aux États-Unis, a indiqué vendredi l'Association des banquiers hypothécaires MBA. Pour en lire plus...
  17. Le géant japonais de l'électronique prévoit maintenant un profit d'environ 388 M$ CAN en raison de la crise économique. Pour en lire plus...
  18. Le fossé entre riches et pauvres s'est aggrandi au cours des dix dernières années, partiellement en raison de dépenses sociales d'Ottawa qui se trouvent à un niveau inférieur de la moyenne des pays développés. Pour en lire plus...
  19. Le rendement du portefeuille indiciel de Mercer a été de -7,9% au deuxième trimestre. Il s’agit du pire trimestre des dix dernières années pour ce type de fonds. Pour en lire plus...
  20. La crise financière qui sévit depuis un an est l'expérience la plus difficile à laquelle ait été confrontée la Banque centrale européenne en dix ans d'existence, a déclaré son président. Pour en lire plus...
  21. L'économie néo-zélandaise est entrée officiellement en récession vendredi, après avoir enregistré un deuxième trimestre consécutif de rendement négatif de son produit intérieur brut. Pour en lire plus...
  22. Dix grands banques internationales ont annoncé dimanche la mise en place d'un fonds de 70 milliards de dollars dans lequel elles pourront puiser si elles devaient risquer de se retrouver à court de liquidités. >>> Plus de détails à venir Pour en lire plus...
  23. Les baisses de deux des dix composantes ont été suffisamment importantes pour neutraliser les faibles hausses de sept autres composantes. Pour en lire plus...
  24. Tone Grant, ancien patron de Refco, courtier indépendant américain des marchés à terme, a été condamné jeudi à dix ans d'emprisonnement par un juge pour une fraude qui a coûté plus de deux G$ à des investisseurs. Pour en lire plus...
  25. Environ 938 000 particuliers ou organismes ont laissé dans leurs comptes de banque sans se manifester une seule fois en dix ans. Pour en lire plus...
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