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  1. http://www.ledevoir.com/culture/theatre/499200/fta-montreal-ville-ouverte
  2. Une des forces de Montréal est sa diversité. Et une des raisons pourquoi j'adore cette ville est bien évidemment la diversité que l'on peut décliner de plusieurs façons différentes. La diversité s'exprime par une diversité de climats/saisons, une diversité de restaurants/gastronomies etc. Mais une facette de la diversité de Montréal est son coté multiethnique, religieuse et/ou linguistique. En voici un bel exemple dans cet article provenant du New jersey et faisant part du dynamisme de la communauté juive qui s'exprime dans les nombreux commerces, lieux de cultes et quartiers ayant une forte concentration de gens de cette communauté. http://www.jewishlinknj.com/index.php?option=com_content&view=article&id=8716:vacationing-in-montreal&catid=165:travel&Itemid=577 Merci à Montréal city weblog pour avoir posté cet article. C'est là que je l'ai vu et j'en profite pour le partager avec la communauté de mtlurb.com
  3. [h=1]Découvrir et vivre Montréal - La Ville dévoile un guide d'accueil à l'intention des personnes nouvellement arrivées à Montréal[/h][h=3]31 octobre 2014[/h]Montréal, le 31 octobre 2014 - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et M. Dimitrios (Jim) Beis, responsable de l'approvisionnement, des sports et loisirs et des communautés d'origines diverses au comité exécutif de la Ville de Montréal, en présence de la ministre de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion, Mme Kathleen Weil, ont lancé aujourd'hui un guide à l'intention des personnes immigrantes qui ont choisi de s'installer dans la métropole. Intitulé Découvrir et vivre Montréal, ce nouvel outil présente les ressources et les services qu'offre la Ville de Montréal et vise à faciliter l'intégration des nouveaux arrivants dans la métropole. « Montréal est reconnue à l'échelle internationale pour être une ville accueillante, une ville qui fait une place à l'ensemble de ses citoyens. Les nouveaux arrivants jouent un rôle essentiel dans le développement de notre ville et ce guide sera très certainement un outil pratique pour les personnes nouvellement arrivées à Montréal ou pour ceux et celles qui projettent s'y établir. Notre ville accueille annuellement 70 % des personnes qui choisissent le Québec comme terre d'adoption et il est de notre devoir de leur fournir les outils nécessaires afin qu'elles puissent contribuer pleinement au développement et au rayonnement de notre ville », a déclaré le maire. Une publication du Service de la diversité sociale et des sports de la Ville de Montréal, réalisée dans le cadre de l'Entente entre la Ville de Montréal et le ministère de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion, le guide Découvrir et vivre Montréal aborde divers aspects de la vie montréalaise. Ainsi, de l'information et des conseils pratiques permettent au lecteur de se familiariser sur une foule de sujets tels que l'histoire et la géographie de la ville, le logement, le transport, le marché du travail, l'offre culturelle, les loisirs, la sécurité et l'environnement. En outre, des renseignements relatifs à la vie démocratique, aux instances politiques et aux principes de démocratie de la ville permettent aux nouveaux arrivants de se familiariser avec les valeurs communes de leurs concitoyens. « Nous partageons un objectif commun avec la Ville de Montréal, celui d'offrir à la population de Montréal des actions et des moyens qui favorisent le vivre-ensemble et l'établissement de relations interculturelles harmonieuses. Les personnes immigrantes viennent enrichir le Québec de leurs talents et de leurs compétences. Elles ont besoin de notre appui pour pouvoir contribuer pleinement à la prospérité de Montréal et du Québec », a souligné la ministre Kathleen Weil. À l'instar du ministère de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion du gouvernement du Québec, qui a publié un guide pour l'intégration des nouveaux citoyens dans la province, Découvrir et vivre Montréal a été conçu comme un outil de référence pour accompagner ces derniers à leur arrivée dans la métropole et tout au long de leur intégration à la vie montréalaise. « À ceux et celles qui ont choisi Montréal comme ville d'adoption, je vous souhaite la plus sincère des bienvenues. Vous trouverez ici une métropole dynamique, où l'ouverture et la convivialité sont des valeurs que partagent les gens qui y habitent. Montréal s'enrichit de l'apport de ses nouveaux citoyens qui viennent des quatre coins de la planète et je vous invite à contribuer, à votre manière, à l'édification d'une ville où l'harmonie et le respect mutuel sont des valeurs qui se vivent au quotidien », a conclu le maire. Le guide Découvrir et vivre Montréal sera distribué aux organismes qui œuvrent à l'intégration des personnes immigrantes à Montréal et peut être téléchargé sur le site Web de la Ville de Montréal à l'adresse suivante : www.ville.montreal.qc.ca/diversite.
  4. Tres intéressant. À Concordia, en français et organisé par L'Association francophone pour le savoir (l'Acfas)! http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/82/600/616/c
  5. Un document faisant état de la valeur patrimoniale du réseau de métro de Montréal vient d’être complété. Il servira à orienter les décisions futures de la Ville et de la Société des transports de Montréal. «On oublie parfois que le métro est un emblème de Montréal à l’international, pour la diversité de son architecture et l’ensemble des corridors souterrains qui s’y rattachent» -Isabelle Dumas, Chef de la division du patrimoine à la Ville de Montréal http://journalmetro.com/actualites/montreal/414308/un-document-pour-evaluer-le-patrimoine-du-metro/ http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=2240,96375615&_dad=portal&_schema=PORTAL
  6. Alexandre Paré, L'auteur est candidat à la maîtrise à l'Institut d'urbanisme de Montréal Je me sens en partie responsable des maladresses du conseil d'arrondissement du Plateau Mont-Royal dans sa gestion du bruit des dernières semaines. J'ai voté, il y a bientôt près d'un an, pour les candidats de Projet Montréal, un parti qui, à plusieurs égards, me rejoint dans la conception que j'ai d'une grande ville comme Montréal. Je me souviens d'avoir vu dans la prise de l'arrondissement par l'équipe de Luc Ferrandez un pas dans la bonne direction pour la ville au grand complet. Un petit pas, mais un pas quand même. J'imaginais une équipe progressiste, à l'écoute des citoyens, consciente de son influence à l'échelle métropolitaine, désireuse de voir Montréal continuer à cultiver la diversité et de faire d'elle un véritable lieu de création et d'innovation. Comme beaucoup de mes amis, de mes collègues et de mes proches, j'avais gagné mes élections. Peut-être qu'enfin, pensions-nous, les élus municipaux comprendront que les petites entreprises culturelles sont des animaux qui ont la santé fragile. Peut-être qu'enfin les élus municipaux comprendront qu'il n'est dans l'intérêt de personne de leur faire la vie dure et de les voir disparaître. C'est ce que je pensais jusqu'à très récemment. La question de la survie des petites entreprises de diffusion artistique et des bars du Plateau Mont-Royal me touche depuis plusieurs années. Bien que je n'y aie pas joué un bien grand rôle, j'ai suivi de près les événements qui ont bien failli faire fermer le Green Room (c'est finalement un incendie qui aura eu raison du bar au printemps dernier) et qui sont venus à bout du Main Hall, sur le boulevard St-Laurent. J'étais DJ les vendredis soirs au Green Room au moment où les plaintes de bruit ont commencé à se multiplier vers 2006 ou 2007. On apprendra éventuellement que ces plaintes avaient essentiellement été déposées par un seul résidant qui avait acheté une propriété derrière les salles et qui s'était donné pour mission de les fermer. L'homme en question, depuis ce temps, a déménagé. Le Zoobizarre aurait également connu à peu près le même sort. La Casa del Popolo est passée bien près d'y passer aussi. Des établissements qui, en fin de compte, se sont trouvés au centre de conflits de voisinage, pas au centre d'un problème global. Ce ne sont là que quelques exemples parmi tant d'autres petits bars ou salles de spectacles qui souffrent tous de l'arbitraire et de l'opacité des règlements municipaux qui laissent la latitude nécessaire aux policiers pour intervenir de façon souvent abusive et intimidante. Dans son message aux résidants concernant son projet « Noise », le poste de quartier 38 fait part de son intention de « rencontrer les tenanciers de clubs» et de créer « un comité de médiation pour les cas lourds ». Lors de son intervention à l'émission de Michel Desautels sur la première chaîne de Radio-Canada vendredi dernier, le maire de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal, Luc Ferrandez, a déclaré que la décision de modifier le règlement sur le bruit de manière à pouvoir imposer des amendes plus élevées aux entreprises avait été motivée par l'incapacité de l'administration et des policiers de régler une « dizaine de cas problèmes ». Vous me permettrez donc de douter de la volonté du PDQ 38 d'utiliser son comité de médiation pour les cas lourds. L'attitude des élus municipaux face aux petites entreprises de diffusion artistique et des bars est, depuis longtemps, condescendante et témoigne d'un dédain évident pour une grande portion des acteurs de la vie nocturne montréalaise ainsi que pour un grand nombre de créateurs et d'artistes qui travaillent en marge des courants populaires ou conventionnels. Sauf que la création et l'innovation trouvent souvent leurs sources dans ces petits lieux de création et la diversité de la vie nocturne est généralement assurée par l'existence de ces petits bars. L'adoption d'un règlement universel qui ne tient pas compte de cette diversité est non seulement infantilisante, elle contribue également à uniformiser un arrondissement qui rayonne surtout par la diversité et la mixité de ses activités et de ses habitants. La question des nuisances liées au bruit en milieu urbain n'est pas négligeable, au contraire, mais il faut l'aborder en prenant soin de l'examiner sous plusieurs angles et de manière à ne pas polariser ses acteurs. Les riverains d'une artère comme l'avenue du Mont-Royal ou le boulevard St-Laurent sont, comme les autres citoyens de la ville, en droit de s'attendre à un milieu de vie relativement paisible, sauf qu'ils doivent être conscients (la plupart le sont, j'en suis certain) que ce sont également des lieux où se concentrent plusieurs activités nocturnes. Lorsque M. Ferrandez affirme que l'avenue du Mont-Royal ne comptait autrefois que quelques tavernes où une dizaine d'hommes mangeaient leurs chips en prenant une bière tranquillement, c'est à l'intelligence de tout son électorat qu'il fait offense. D'ailleurs, même si certains établissements le long de l'avenue sont plus bruyants que d'autres, ce n'est probablement pas là que se trouvent les cas les plus problématiques, mais plutôt sur des petites rues au sein de quartiers résidentiels où se sont installés certains bars. Il s'agit donc de cas particuliers qui méritent d'être traités de la sorte. Les propriétaires de bars et de salles de spectacles ne se lancent pas en affaire avec l'intention d'embêter les gens et ils tiennent généralement à leur établissement, de sorte que la ville et ses citoyens auraient beaucoup plus à gagner en s'assurant de favoriser leur succès. En imposant des amendes de plus en plus élevées, la ville enlève à ces établissements les moyens qu'ils ont de régler leurs problèmes. En intervenant de façon souvent musclée, lampes-torches à la main, les policiers font fuir une clientèle généralement constituée de jeunes gens qui n'ont rien à se reprocher. Quand un bar ou une salle de spectacles ferme, ce sont des dizaines de gens qui perdent leur emploi, des centaines d'artistes qui perdent une vitrine ou un lieu de création, et des milliers de gens comme vous et moi qui perdent un endroit de socialisation unique. Tous ces gens votent. À une époque où le cynisme de la population est nourri quotidiennement par l'indifférence et l'arrogance de politiciens à tous les paliers de gouvernement, la maladresse d'un conseil d'arrondissement qui incarnait, pour plusieurs, l'ouverture, la tolérance et l'écoute du citoyen, justifie davantage le désabusement grandissant des électeurs. La diversité de l'offre culturelle montréalaise fait qu'évidemment, tout ne peut pas plaire à tout le monde, mais tout le monde peut y trouver quelque chose. C'est une qualité dont peu de villes peuvent se vanter et il faut tout faire pour la préserver. La ville est un lieu d'échange, de cohabitation et de compromis. L'attitude des élus municipaux et du service de police de la Ville de Montréal en matière de gestion des nuisances liées au bruit ne favorise en rien l'échange, la cohabitation et le compromis. http://www.cyberpresse.ca/place-publique/opinions/cyberpresse/201009/07/01-4313291-bruit-sur-le-plateau-ne-nuisons-pas-a-la-diversite-culturelle.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_place-publique_1242600_accueil_POS1
  7. Le CRTC permet la diffusion d'Al Jazeera English La Presse Canadienne . les affaires.com . 26-11-2009 Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) a annoncé jeudi qu'il approuve la demande de licence pour une chaîne en anglais d'Al Jazeera. Par le passé, l'organisme de régulation a souvent hésité à accorder une licence à des chaînes étrangères susceptibles de concurrencer des réseaux canadiens. Cette fois-ci, le CRTC explique que sa décision s'inscrit dans une politique visant à promouvoir la diversité des points de vue éditoriaux. De plus, le CRTC n'a pas imposé à Al Jazeera English le genre de surveillance du contenu qui avait fait échouer la demande de licence de sa chaîne en langue arabe en 2004. La chaîne d'information internationale est déjà diffusée dans 100 pays, à la télévision ou sur Internet. Elle emploie quelque 1200 journalistes, dont certains sont canadiens. Son directeur, Tony Burman, a déjà été à la tête de CBC News et a contribué à récolter des appuis au Canada pour la demande de licence. Le CRTC a noté que la chaîne a reçu un grand nombre d'interventions en faveur de son ajout aux listes numériques, notamment de la part de l'Association des libertés civiles de la Colombie-Britannique, du leader du Nouveau Parti démocratique, Jack Layton, et du sénateur conservateur Hugh Segal. Quelques groupes, comme le Congrès juif canadien et B'nai Brith Canada, ne se sont pas opposés à la demande de licence, mais ont indiqué qu'ils demeureraient vigilants quant au contenu diffusé. Dans une décision dissidente, le conseiller Marc Patrone a cependant soutenu que le CRTC aurait dû tenir compte des antécédents des services arabes d'Al Jazeera, qui ont déjà été mis sur la sellette pour avoir présenté du contenu jugé offensant. Il a également exprimé des doutes quant à l'indépendance totale des deux chaînes _ en arabe et en anglais _ l'une par rapport à l'autre. "C'est aussi une occasion ratée d'envoyer un message international concernant les normes et les codes journalistiques que nous considérons assez importants pour les exiger de tous les nouveaux radiodiffuseurs qui souhaitent s'implanter dans ce pays", a écrit M. Patrone. "Ajouter de la diversité est nécessaire, mais pas à n'importe quel prix."
  8. Faire de Montréal LA ville de la création Fabien Deglise Édition du samedi 14 et du dimanche 15 février 2009 Le rêve d'une immigration plus diversifiée et polyglotte caressé par le président du groupe Juste pour rire, Gilbert Rozon, pour stimuler le côté créatif de Montréal, pourrait bien devenir un cauchemar pour la métropole, estime Impératif français, organisme qui se porte à la défense de la langue de Nelligan au Québec. Le regroupement craint d'ailleurs que des «aménagements» dans les lois afin d'attirer plus d'immigrants de souche non francophone ne finissent par «hâter le processus d'assimilation et de défrancisation de la ville», si on n'y prend pas garde. «Malgré la Charte de la langue française, ce processus est déjà en marche, a commenté hier Jean-Paul Perreault, président de l'organisme. Les chiffres le démontrent. Un grand nombre d'immigrants allophones choisissent l'anglais lorsque vient le temps de parler une autre langue que la leur. Et ce, même s'il y a une volonté collective très forte pour faire du français la langue commune de la diversité.» Un portrait qui incite d'ailleurs, selon lui, à considérer les propos de M. Rozon avec circonspection. Cette semaine, devant le Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM), le célèbre homme d'affaires a en effet plaidé pour une plus grande ouverture et diversité de l'immigration à Montréal. Sans remettre en question les lois actuelles, a-t-il indiqué, M. Rozon constate toutefois qu'en forçant les immigrants à «apprendre le français, cela encourage surtout l'immigration de souche francophone», a-t-il indiqué. Le hic c'est que, pour doper le côté créatif de la métropole -- le fondateur du festival Juste pour rire souhaite en effet que Montréal devienne LA ville de la création au monde --, «il faudrait s'ouvrir plus que ça et trouver des aménagements pour attirer des immigrants qui, en plus de leur langue maternelle, vont apprendre le français et l'anglais», a-t-il ajouté. Un trilinguisme que Montréal pourrait alors facilement «transformer en avantage», selon lui. Pour le sociologue Rachad Antonius du Centre de recherche sur l'immigration, l'éthnicité et la citoyenneté (CRIEC) de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), les craintes des francophones par rapport à des allégements législatifs qui pourraient affaiblir la position du français au Québec «sont fondées» étant donné le contexte minoritaire de la société francophone dans le Canada. «Mais cela dit, il y a toujours moyen de répondre à ces craintes par des politiques et une clarté linguistiques pour inciter les immigrants à se rallier à la culture du Québec». Toutefois, M. Antonius ne voit pas en quoi l'idée d'ouverture à une plus grande immigration non francophone avancée par M. Rozon viendrait changer la donne culturelle de Montréal où, selon lui, la diversité est déjà bien ancrée. «Le problème majeur, c'est le manque d'ouverture à cette diversité», lance l'universitaire qui invite à allumer sa télévision pour prendre la mesure de ses propos sur les ondes de Radio-Canada ou de TVA. «De toute évidence, les responsables de la programmation gagneraient à descendre dans le métro de Montréal pour comprendre ce qu'est Montréal, dit-il. Ils devraient aussi se comparer aux réseaux de télévision publics et privés anglophones pour voir que la diversité est déjà devenue un atout ailleurs dans la ville.» Au début de cette année, un portrait livré par Statistique Canada a confirmé cette polychromie culturelle et linguistique de Montréal où désormais quatre personnes sur dix parlent une autre langue que le français à la maison. Au rayon de la différence linguistique, l'anglais domine (48,4 %) mais il est aussi suivi de l'espagnol (6,9 %), de l'italien (6,8 %), de l'arabe (6,1 %) et des langues asiatiques (6 %), constatent les spécialistes fédéraux du chiffre.
  9. Pour se différencier, un cabinet d'avocats pancanadien mise sur la diversité. Serait-ce l'effet Obama? Pour en lire plus...
  10. La Presse Le vendredi 09 novembre 2007 À l'instar de la relève artistique qui demande un meilleur financement et accompagnement, le Conseil interculturel de Montréal (CIM) croit que la Ville doit s'intéresser davantage aux artistes issus des communautés culturelles. Dans une métropole où près de 40 % de la population est d'origine autre que française ou anglaise, le président de cet organisme aviseur, Frantz Benjamin, croit que «les arts et la culture permettent de favoriser les rapprochements» à l'heure où le débat sur l'identité québécoise fait rage. Faisant écho aux groupes et artistes des communautés culturelle et en vue du Rendez-vous novembre 2007 sur la culture à Montréal, le Conseil recommande donc à la Ville de véritablement procéder à la «reconnaissance» de la diversité culturelle et interculturelle en créant un comité de travail sur le développement des publics, notamment. Il milite aussi faveur de l'établissement d'une Maison des cultures qui ne serait pas un lieu de diffusion, mais plutôt un centre où les artistes et associations pourraient s'établir
  11. Fédération internationale pour la diversité culturelle Le siège social à MontréalMise à jour le jeudi 20 septembre 2007, 22 h 22 . Montréal abritera le siège de la nouvelle Fédération internationale pour la diversité culturelle. À Séville, en Espagne, les délégués de 37 pays, dont le Canada, ont décidé par un vote unanime de créer cet organisme voué à défendre le droit des pays d'appliquer des politiques culturelles. La première Coalition pour la diversité culturelle a été créée au Canada en 1999. Aujourd'hui, ce type de coalition existe dans 42 pays. Leur lutte a abouti à l'adoption de la Convention de l'UNESCO sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles, en 2005. À ce jour, 67 pays l'ont ratifiée.
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