Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'disponible'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Projet l'Avenue 25 est un développement de 8 unités de 1 ou 2 chambres, allant de 732 à 835 pi2 , dans Rosemont. Caractéristiques: Climatisation murale incluse Stationnement extérieur disponible Planchers de bois franc et céramique Choix de couleurs pour les armoires Douche et bain séparés Plus d'information à la page: http://www.lesconstructionsdla.com 25ème avenue entre Bélanger et St-Zotique
  2. Le 500 de Maisonneuve Ouest Architectes: ? Fin de la construction:2008 Utilisation: Bureau Emplacement: Centre ville ? mètres - 23 étages Description: - Aucun rendu n'est encore disponible de la tour.
  3. J'utilise souvent le site d'Altus pour consulter les espaces à bureau disponibles. Depuis un certain temps, on peut visualiser les espaces sur les principales villes canadiennes en 3D! Très cool! Le data pour les tours en construction n'est malheureusement pas disponible (ex. tour Manuvie). Légende: Montréal: Notre grande dame en arrache comparée aux cinq grands... L'ancien édifice de Manuvie sur Sherbrooke est pas mal vide!! Toronto: Vancouver: Calgary: Find | Altus InSite - Canada's Leading Real Estate Information Provider
  4. 1-Fort Lauderdale 442 139 2-Chicago 278 979 3-NYC (LGA) 259 779 4-Miami 256 049 5-Orlondo 209 187 6-NYC (NWK) 201 617 7-Las Vegas 185 989 8-Atlanta 181 850 9-Los Angeles 151 409 10-NYC (JFK) 137 210 Florida and NYC area are the biggest Market le comparatif avec 2013 sera disponible prochainement les amis
  5. Un petit projet de MONDEV en à quelques blocs de chez moi. Le bâtiment visible sur StreetView est déjà démoli. [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/?ll=45.524297,-73.587161&spn=0.003146,0.004823&t=m&z=18&layer=c&cbll=45.524297,-73.587161&panoid=g7pZWBNgC916QuyYX3m6-g&cbp=12,54.77,,0,-10.91[/sTREETVIEW] http://www.mondev.ca/129-condo-henri-julien-condo-plateau-mont-royal.html
  6. C'est un quiz! Vous devez identifier ou était situé ce projet de Karl Fischer. La seule info disponible est qu'il était situé sur la rue de la Montagne. Je compte 30 étages. Je ne connais pas la réponse!
  7. Construction de huit (8) unités de condos avec fenestration sur 3 côtés pour le Bloc A. La livraison est prévue pour fin septembre 2012. La bâtisse est divisée en 2 blocs. L’adresse sera le 5989, 23e Avenue, à quelques minutes du Jardin Botanique entre Bellechasse et Rosemont. Il y aura 8 unités de 4 ½ (2 chambres) de 1095 p2 brut pour le demi sous-sol, 1er et 2e et 1140 p2 brut pour le dernier étage. Le métro le plus près est « Métro Pie IX ». Le Parc Maisonneuve y est à proximité. Air climatisée murale incluse et stationnement extérieur disponible. Plancher de bois francs et céramique, choix de couleur pour les armoires en mélamine grains de bois (choix disponible selon l'avancement des travaux), douche et bain séparés. Quoi de mieux! http://lesconstructionsdla.com/projet_le_23e_avenue.asp
  8. http://lesconstructionsdla.com/accueil.asp Construction de six (6) unités de condos avec fenestration sur 3 côtés. La livraison est prévue pour février 2012. La bâtisse est divisée en 2 blocs. Le Bloc A aura son entrée sur St-Michel et le Bloc B sur l’avenue Shelley. Afin de situer le terrain, rendez-vous au 7165 rue St-Michel là où la bâtisse sera détruite. À 2 minutes du Métro St-Michel, il y aura 4 unités de 4 ½ (2 chambres) de 1069 à 1281 p2 brut ainsi que 2 unités de 5 ½ (3 chambres incluant la mezzanine) de 1339 ou 1615 p2 brut incluant une terrasse sur le toit. Situé à proximité de Jean-Talon et du Métro St-Michel. Air climatisée murale incluse et stationnement extérieur disponible. Plancher de bois francs et céramique, choix de couleur pour les armoires en mélamine grains de bois (choix disponible selon l'avancement des travaux), douche et bain séparés. Quoi de mieux!
  9. Immeuble de 14 étages au coin de Papineau et Sainte-Catherine, sur le site de la station-service abandonée et du théatre abandoné. Les 2 immeubles seront démolis pour faire place à la nouvelle tour. Des espaces commerciaux sont prévus aux 3 premiers étages, et le haut sera consacré à des condominiums. Le promoteur ( à qui j'ai parlé) a bouclé le financement et n'attend que le feu vert de la Ville pour démarrer les travaux. Aucun plan ou aperçu disponible pour l'instant.
  10. Localisation: René Lévesque (intersection Amherst et Wolfe) Étage: 6 Nombre d'appartement: Prometteur: Groupe Cartierville Clientèle: Référence: La Presse 14 nov 2009 Pas de photo disponible
  11. Le Dandurand-9e avenue Actuellement en Pré-vente •Nouveau projet à Rosemont •12 condos de 1, 2 ou 3 chambres •Sur la rue Dandurand entre les 9e et 10e Avenues •Près de la Promenade Masson •Occupation juillet 2011 http://www.idevco.ca/fr/dandurand-9e.html Malheureusement il n'y a pas de photo de disponible.
  12. «L’application Montréal Avant pour découvrir le Montréal d’avant est aujourd'hui disponible pour iPhone et Smartphones Android. Elle permet aux habitants de la ville comme aux touristes de voyager dans le temps en comparant plus de 150 photographies actuelles de Montréal à des clichés vieux de plusieurs décennies voir d’un siècle. Après le succès de Paris Avant et des autres applications lancées en France et en Espagne, les visiteurs de Montréal peuvent désormais eux aussi se prêter au jeu des 7 erreurs ! Comme pour les autres applications déjà publiées, la définition d'une distance de notification au lancement de Montréal Avant permet d'être ensuite automatiquement prévenu à l'approche d’un lieu répertorié. Grâce à l'onglet "Repérer", l'utilisateur peut également voir, sous forme de liste, sur une carte ou en réalité augmentée, les points les plus proches de lui ou encore faire une recherche. Sur la page d’un lieu Avant/Après, il est notamment possible de superposer la photo ancienne au réel et d'en savoir plus sur l’endroit grâce à une description mélangeant commentaire historique et anecdote. De plus, de nouveaux lieux viennent régulièrement compléter la base existante ! « Pour chaque ville ou nous avons créé une application, on constate des changements à travers le temps. Mais l’évolution de Montréal se situe à un tout autre niveau : malgré son histoire relativement récente, de nombreux lieux ou quartiers sont méconnaissables ! C’est la possibilité d’observer cette transformation urbaine qui fait la force des nombreux clichés Avant/Après fournis par notre partenaire Guillaume St-Jean pour l’application. » explique Jean Carrière, l’un des créateurs de MaVilleAvant. Montreal Avant est désormais disponible sur l’Apple Store et Google Play (Android) au prix de lancement de 1,99 $ CAD. Prochaine étape pour les applications MaVilleAvant : Vancouver Avant, prévue avant l’été. Pour plus d’informations sur les applications MaVilleAvant, rendez-vous sur le site internet http://www.mavilleavant.com»'>http://www.mavilleavant.com» Source : http://www.mavilleavant.com
  13. Malek, je sais que tu es un homme occupé, mais pourquoi ne pas donner un petit rafraîchissement au look de mtlurb.com. Après il utilise vBulletin et plusieurs centaines de thèmes sont disponibles gratuitement sur le web. Il utilise encore le thème par défauts. Plusieurs autres sites commencent à lier vers le forum, il faudrait peut-être qu'il est un look accueillant pour attirer d'autre gens, peut-être des gens de l'industrie, peut-être des gens qui ont leur propre opinion. La page d'Accueil peut être tout simplement un lien vers le forum au lieu de tomber sur une "splash page" qui fait très 2002. l'important c'est le contenu, pas le contenant, mais si le contenant peut attirer des gens à essayer le contenue, y'a rien de mal contre ça. En plus sur le forum, certaine personne ont déjà démontrer leur talent de Photoshop. Une nouvelle version de vBulletin, beaucoup plus "SEO friendly" est aussi disponible, la license est plus ou moins 200$. Je suis prêt à mettre 20$ et en plus, j'offre déjà l'hébergement gratuit au forum. d'autres donateurs? On va bien trouver 10 membres actifs pour payer 20$ chaques non? Le forum est comme Montréal, faudrait le développer un peu plus
  14. Nouveau projet à Rosemont * 16 condos de 2 ou 3 chambres * À l’intersection de la rue Laurier et de 8e Avenue * Près de la rue Masson * Stationnement disponible $15,000 taxes incl. * Occupation avril 2011 http://www.idevco.ca/fr/
  15. Le Jeanne-Mance Le Jeanne Mance est situé stratégiquement sur le plateau Mt-Royal à l'ouest de la rue St-Laurent dans ce qu'on appelle amoureusement le Ghetto McGill, nous parlons ici du centre ville, là où c'est possible de se rendre à pied sur la montagne, à l'université, dans le nouveau quartier des spectacles et bien sûr dans le quartier des affaires, en fait là où la vie urbaine est à son meilleur. Il s'agit de 6 co-propriétés aménagées pour faire usage du moindre espace disponible. La dimension des condos varient entre 592 pieds carrés et 1032 pieds carrés. Les espaces communs sont minimals tout en étant design, éliminant ainsi les frais de copropriétés onéreux. Les copropriétés sont situées certainement sur le dernier terrain disponible à construire dans ce coin priviligié de la belle ville de Montréal. Visionnez les plans vous serez conquis! http://immeublesbcg.com/lejeanne.php
  16. Beau petit projet infill sur St-Laurent, coin Beaubien ouest. Reste 2 unités à vendre. À partir de 151 500$ taxes incluses 6537 rue St-Laurent (coin Beaubien) 12 unités Lofts, * Finition de qualité (choix de couleurs) * Planchers de bois * Air climatisé * Grands balcons * Stationnement disponible * 3 200 pi. ca d'espace commercial à louer * Subvention disponible * Mezzanines sur le toit Occupation février 2010
  17. Le Patriote LE PATRIOTE - NOUVEAU PROJET À HO-MA! MAINTENANT EN PRÉ-VENTE! Description : À partir de 125 000$ 5990 rue Hochelaga 3½, 4½, 5½ Finition de qualité (choix de couleurs) Planchers de bois Air climatisé Rangement intérieur Stationnement intérieur & extérieur Subvention disponible Information sur le projet Type: Condominium Prix: $125,000.00 Nbre de pièces: 3½ à 5½ Adresse: Le Patriote 5990 Hochelaga Hochelaga/Maisonneuve, Montreal Québec, Canada H1N 1X4 Contact John Cianci Téléphone : 514-324-2828 Site du promoteur: Ulisse Construction Site Web du projet: Le Patriote
  18. L'anémie de la banlieue Publié le 01 septembre 2009 à 07h02 | Mis à jour le 01 septembre 2009 à 07h02 Claude Picher La Presse (Montréal) De Laval à Longueuil, de Repentigny à Châteauguay, les élus locaux auront beau s'efforcer de proclamer le contraire, les quatre régions qui forment la banlieue de Montréal, c'est-à-dire Laval, Lanaudière, les Laurentides et la Montérégie, souffrent toutes intrinsèquement d'anémie économique. Autrement dit, dans les quatre cas, le dynamisme économique local est largement insuffisant pour créer de l'emploi pour tout le monde, et à plus forte raison des emplois de qualité. Dans Lanaudière, la plus mal en point des quatre régions, le produit intérieur brut (PIB) par habitant est même inférieur à celui de la Gaspésie, la région la plus pauvre du Québec! Le découpage administratif du Québec fait que les régions de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie comprennent de vastes territoires parfois très éloignés de Montréal, mais une écrasante majorité de leurs résidants vivent en périphérie immédiate de Montréal. Quant à Laval, c'est essentiellement une ville de banlieue, même si elle a le statut de région administrative distincte. Toujours est-il que si la banlieue réussit malgré tout à maintenir un niveau de vie comparable à celui du reste du Québec, ce n'est pas à cause de sa vigueur économique, mais à cause de la ville centre et des emplois qui s'y trouvent. Pour mieux comprendre la faiblesse des économies de la banlieue, il faut faire la différence entre le revenu personnel disponible et la valeur de la production, c'est-à-dire le PIB. Les plus récentes séries de chiffres de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), publiées la semaine dernière, nous apprennent que le revenu personnel disponible par habitant, dans l'ensemble du Québec, se situe à 25 494$ (1). Le revenu personnel disponible comprend les revenus de toutes provenances (salaires, caisses de retraite, prestations sociales, revenus de placement et de location) moins les taxes, impôts et contributions sociales. Ainsi, un Lavallois qui travaille et qui reçoit son salaire à Montréal ajoute ce montant à son revenu personnel, ce qui contribue à faire grimper la richesse de Laval... À Montréal et dans les quatre régions de la périphérie, le revenu personnel disponible oscille entre 26 605$ et 24 222$. Donc, à quelques poussières près, plus ou moins au même niveau que la moyenne québécoise. Le problème ne se situe pas là. Le portrait change radicalement lorsque l'on considère la taille des économies régionales. Le PIB mesure la valeur de l'ensemble des biens et services produits sur un territoire donné. Ainsi, le PIB du Québec est de 283 milliards, ou 36 542$ par habitant. Le PIB donne une idée du niveau de vie d'une société, mais c'est un outil qu'il faut manier avec précaution. Ainsi, dans la région de Lanaudière, le PIB se situe à 10 milliards, ou 22 142$ par habitant, le plus faible niveau au Québec. Est-ce dire que les Lanaudois sont presque deux fois plus pauvres que les autres Québécois? Certainement pas! Comme on vient de le voir, leur revenu personnel soutient parfaitement la comparaison. En revanche, le PIB nous donne une excellente image de l'activité économique d'une région, de son dynamisme entrepreneurial, de sa capacité à créer de l'emploi localement et, dans la mesure du possible, des emplois de qualité. Il saute aux yeux que Lanaudière n'y parvient pas, et que la région doit remercier Montréal pour son niveau de vie relativement élevé. Même chose pour la Montérégie, où le PIB par habitant n'atteint que 30 776$, Laval (30 487$) ou les Laurentides (28 378$). Tous des chiffres bien en deçà de la moyenne québécoise, et qui font clairement ressortir l'atonie économique de la banlieue. À Montréal, par contre, le PIB par habitant bondit à 52 883$, presque deux fois plus qu'en banlieue. Encore ici, cela ne veut pas dire que les Montréalais sont deux fois plus riches. Leur revenu personnel disponible est à peine supérieur à la moyenne provinciale. En revanche, ce chiffre indique clairement que c'est à Montréal même que se trouve le moteur de l'économie québécoise, le plus important réservoir de dynamisme entrepreneurial ainsi que les meilleurs emplois, en nombre et en qualité, qui viennent avec. En fait, la ville centre (et les quelques autres municipalités situées dans l'île de Montréal) compte à elle seule pour 35% du PIB québécois, même si elle n'abrite que 24% de la population. À lui seul, le PIB de Montréal (99 milliards, l'équivalent du PIB de pays comme le Vietnam ou le Maroc) fait facilement deux fois celui de la Montérégie, sept fois les Laurentides, huit fois Laval, dix fois Lanaudière. Quand on parle de la «locomotive Montréal», c'est de cela dont il s'agit. (1) Tous les chiffres, dans cette chronique, proviennent de l'ISQ.
  19. Le revenu net par habitant en hausse de 4% Publié le 17 août 2009 à 12h37 | Mis à jour à 12h39 La Presse Canadienne Le revenu personnel disponible par habitant au Québec s'est accru de 4% en 2008 pour s'établir à 25 494$, selon les données publiées lundi par l'Institut de la statistique du Québec. En 2007, il avait connu une hausse de 4,9%. De toutes les régions administratives, c'est le Nord-du-Québec qui a enregistré, de loin, la plus forte augmentation en 2008. Dans cette région, le revenu disponible a plus que doublé, passant de 25 867$ en 2007 à 53 527$ en 2008. Cette situation s'explique par le versement spécial du gouvernement fédéral à l'Administration régionale crie pour le règlement des questions liées à la mise en oeuvre de la Convention de la Baie-James et du Nord québécois. La région de la Capitale nationale, avec une hausse de 4,2%, a connu la deuxième plus forte hausse, grâce en bonne partie à la vigueur du marché du travail. Le Saguenay-Lac-Saint-Jean (+ 2,5%), l'Estrie (+ 2,6%) et le Centre-du-Québec (+ 2,7%) affichent des progressions plus lentes en raison du repli de l'emploi en 2008. L'augmentation du revenu disponible dans ces régions a été, respectivement, de 2,5%, 2,6% et 2,7%. Les régions de la Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine et du Bas-Saint-Laurent ont continué de se situer au bas du classement avec un revenu disponible par habitant de 21 022$ et de 21 806$ respectivement. À l'inverse, le Nord-du-Québec, avec 53 527$, a présenté, pour une deuxième année consécutive, le revenu disponible le plus élevé de la province. Viennent ensuite les régions de Montréal (26 605$), de la Montérégie (26 408$), de la Capitale nationale (26 363$) et de Laval (26 048$). Le revenu personnel disponible correspond à la somme de tous les revenus reçus par les particuliers et les entreprises individuelles résidant dans un territoire donné, moins les impôts directs des particuliers, les cotisations aux régimes d'assurance sociale et autres transferts versés par les particuliers aux administrations publiques tels que les primes d'assurance médicaments et les permis.
  20. Les marchés boursiers ont clôturé en hausse, jeudi, les investisseurs ayant une meilleure idée de l'aide financière que l'administration Obama compte rendre disponible. Pour en lire plus...
  21. Le détaillant d'articles de quincaillerie a annoncé jeudi le lancement d'une nouvelle circulaire disponible exclusivement sur le web. Pour en lire plus...
  22. Les compagnies ont indiqué qu'elles oeuvraient toutes les deux à s'assurer de faire la transition vers la technologie de quatrième génération qui deviendra disponible début de l'année 2010. Pour en lire plus...
  23. La bulle immobilière est-elle sur le point d'éclater? 30 septembre 2008 - 17h24 Collaboration spéciale Maurice Marchon De janvier 2002 à août 2008, le prix moyen des maisons existantes s’est accru de 71 % au Canada, de 106 % à Calgary, de 102 % à Montréal, de 100 % à Vancouver et de 36 % à Toronto. Après six ans d’augmentation du prix des maisons, les gens continuent d’acheter en croyant à tort que la tendance à la hausse se poursuivra ou du moins se stabilisera. Une façon de déterminer s’il y a une surévaluation ou encore une sous-évaluation du prix des maisons existantes consiste à vérifier la relation à long terme entre le prix moyen de revente des maisons existantes et le revenu personnel disponible par habitant. À très long terme, l’augmentation du prix des maisons ne peut pas s’éloigner systématiquement de celui du revenu personnel disponible par habitant. Cette relation est de même nature que la relation entre les dépenses de consommation et le revenu personnel disponible. Toute déviation exagérée des dépenses de consommation financées par l’emprunt devra tôt ou tard s’ajuster à cette contrainte de long terme. On ne peut pas dépenser systématiquement plus que l’on gagne! C’est pourtant exactement ce qui s’est passé au Canada au cours des dernières années: le prix moyen des maisons existantes s’est accru beaucoup plus rapidement que le revenu personnel disponible par habitant. De plus le gouvernement, via la SCHL, a mis de l’huile sur le feu en accordant des programmes sans mise de fonds et en permettant aux consommateurs d’amortir leurs prêts hypothécaires sur 40 ans. Ces nouveaux programmes ont stimulé le marché immobilier permettant à des gens qui n’avaient pas nécessairement les moyens de devenir propriétaire. Du premier trimestre de 2002 au deuxième trimestre de 2008, le revenu personnel disponible par habitant s’est accru de 29,5 % comparativement à 73,3 % pour le prix moyen des maisons existantes (graphique 1). On notera également, que cette déviation a été moins marquée aux États-Unis puisque au cours des six ans qui ont précédé le sommet du prix des maisons de juin 2000 à juin 2006, le revenu personnel disponible a bondi de 26,5 % comparativement à 49,3 % pour le prix moyen des maisons existantes. Cela veut dire que les ménages canadiens ont emprunté encore plus massivement pour investir dans l’immobilier. En effet, au deuxième trimestre de 2008, l’endettement (passif) des ménages canadiens en pourcentage du revenu personnel disponible a atteint un sommet de 137,6 % et dépasse maintenant celui des ménages américains qui est tombé à 133,9 % après avoir atteint un record de 139,1 % au 4e trimestre de 2007. Certains propriétaires pourraient avoir une surprise lorsque viendra le temps d’effectuer un refinancement pour consolider leurs dettes alors que le prix des résidences serait à la baisse. On se retrouvera dans la même situation que les américains avec un prêt garanti par une hypothèque immobilière supérieure à la valeur de cette résidence fournie en garantie. Tout semble correct aussi longtemps que les prix des maisons montent, tout comme ce fut le cas aux États-Unis, en Espagne, en Irlande et en Grande-Bretagne. Cependant, lorsque les prix baissent, ceux qui ont acheté au sommet du marché et ceux qui ont refinancé leur hypothèque pour accroître leurs dépenses de consommation se trouveront en difficultés financières. Par ailleurs, le nombre de maisons offertes sur le marché augmente au moment même ou le comportement pro-cyclique des banques les incite à resserrer leurs critères de financement. C’est ce qui s’est passé aux États-Unis comme le montre l’évolution du prix moyen de revente des maisons existantes aux États-Unis comparativement au Canada. Le graphique 2 présente l’évolution des indices de prix moyen des maisons existantes normalisé à 1,0 en janvier 1980. Cette normalisation à 1,0 n’entraîne pas de distorsion puisqu’en janvier 1980 le prix moyen des maisons était très semblable dans les deux pays (62 200 $CAN au Canada comparativement à 68 200 $US aux États-Unis). Le prix des maisons existantes (graphique 3) a commencé à diminuer dans la région métropolitaine de Calgary (-8,2 % en août 2008 par rapport à l’année précédente), à Vancouver (-5,2 %) et dans l’ensemble du Canada (-4,1 %), alors que les prix continuent d’augmenter dans la région métropolitaine de Montréal (+6,8 %) Lorsque les prix baissent, le potentiel de déclin est aussi accentué par le fait qu’au cours des dernières années les promoteurs immobiliers ont augmenté l’offre de maisons neuves à des niveaux supérieurs aux besoins à long terme. Les graphiques 4 et 5 présentent l’évolution des mises en chantier au Canada et aux États-Unis par rapport à leur tendance à long terme. On voit très bien qu’au cours des dernières années les nouvelles constructions ont été bien supérieures aux besoins à long terme. Lorsque les prix baissent, les mises en chantier et la construction résidentielle s’effondrent contribuant ainsi au ralentissement de l’activité économique et aux pertes d’emplois. Le processus est déjà bien avancé aux États-Unis alors qu’il est à peine commencé au Canada. Avec le temps, la situation se rétablit puisque chaque trimestre de mises en chantier en-dessous de la demande à long terme contribuent à éponger l’excédent de maisons neuves et existantes sur le marché. Cela prépare aussi la voie à une reprise éventuelle de la construction résidentielle et du prix des maisons. C’est un processus douloureux pour ceux qui n’ont pas été assez prudents, mais il n’est jamais trop tard pour prendre les mesures nécessaires pour assainir sa situation financière. On peut éviter le pire en réduisant ses dépenses de consommation et en remboursant plus rapidement ses dettes, notamment sa marge de crédit personnel et ses cartes de crédit. Graphique http://pdf.cyberpresse.ca/lapresse/bulle_speculative_oct_2008.pdf
  24. Québec devance Montréal pour le revenu disponible 6 août 2008 - 17h06 La Presse Canadienne Québec Québec a connu une hausse du revenu disponible de 6,2 %. Photo Reuters Pour la première fois, la ville de Québec devance Montréal au chapitre du revenu disponible par habitant, révèlent les données diffusées mercredi sur le site Internet de l'Institut de la statistique du Québec. Sur les six régions métropolitaines de la province, Québec est celle qui connaît la hausse la plus rapide, soit 6,2 %. C'est la plus forte augmentation depuis le début des compilations à ce sujet, mentionne l'Institut. Grâce à cette croissance marquée, le revenu disponible par habitant à Québec s'établissait en 2007 à 26 134 $, comparativement à 25 828 $ à Montréal. L'enrichissement des résidants de la capitale s'explique en bonne partie par les paiements d'équité salariale de l'administration publique provinciale et la bonne performance du marché du travail, selon l'Institut. Saguenay et Trois-Rivières continuent de présenter le plus faible revenu des six régions métropolitaines, soit 22 857 $ et 23 206 $ respectivement. À titre de comparaison, pour l'ensemble de la province, le revenu personnel disponible par habitant a progressé de 4,8 % en 2007, pour se chiffrer à 24 386 $. Toutes les régions administratives ont profité de cette hausse, la plus importante depuis 2000, bien qu'à des degrés divers. La Côte-Nord et l'Abitibi-Témiscamingue ont connu les plus fortes augmentations, tandis que les régions de Montréal et de l'Outaouais affichaient une progression plus lente. C'est d'ailleurs cette croissance modérée qui fait que la région administrative de Montréal n'affiche plus le revenu disponible par habitant le plus élevé. Elle a perdu le premier rang - sur les 17 régions administratives- au bénéfice de la région de la Capitale nationale. La Côte-Nord, qui occupait la septième position au cours des deux années précédentes, s'est hissée au troisième rang en 2007, avec un revenu disponible de 25 438 $ par habitant. Malgré une forte croissance, les régions de la Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine et du Bas-Saint-Laurent restent au bas de l'échelle avec un revenu disponible de 20 238 $ et 20 881 $ respectivement. Pour en lire plus...
  25. L'appauvrissement des Québécois: mythe ou réalité? 22 avril 2008 - 06h40 http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080422/LAINFORMER0202/804220613/5976/LAINFORMER0202 La Presse Claude Picher Grossir caractèreImprimerEnvoyer Plusieurs études montrent que les Québécois s'appauvrissent par rapport aux Canadiens des autres provinces. En fait, les Québécois ne s'appauvrissent pas vraiment. Les chiffres montrent, noir sur blanc, qu'ils sont collectivement plus riches aujourd'hui qu'à la fin des années 90. Le problème, selon certains, c'est qu'ils s'enrichissent moins rapidement que les autres, d'où un appauvrissement relatif. Mais d'où viennent ces chiffres? Pour établir leurs comparaisons, la plupart des spécialistes utilisent le critère du produit intérieur brut (PIB) par habitant. Autrement dit, il s'agit de diviser la taille de l'économie par le nombre d'habitants. Le PIB par habitant est considéré comme un bon indicateur du niveau de vie, mais il ne dit pas tout. Il y a moyen d'être plus précis. Pour cela, on peut utiliser une autre donnée: le revenu personnel disponible. Ce chiffre ne tient pas seulement compte de la valeur de la production, mais de l'ensemble des revenus des ménages: salaires, régimes de retraite, prestations sociales, revenus d'intérêt et de location. Du total, on soustrait ensuite les taxes, impôts et contributions sociales. Par exemple, en 2007, le revenu personnel disponible des Canadiens atteignait 927 milliards de dollars; divisé par le nombre d'habitants, cela donne 26 897$. La semaine dernière, l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) a publié les chiffres les plus récents sur le sujet, incluant les résultats de 2007 et les prévisions pour 2008. L'ISQ fournit aussi des données historiques qui permettent de voir comment la situation a évolué depuis la fin des années 90. Les résultats apportent des réponses fort intéressantes à plusieurs questions. Voyons plutôt: > Est-ce vrai que les Québécois s'appauvrissent par rapport aux autres Canadiens? Bonne nouvelle: pas vraiment. Entre 1999 et 2008, le revenu personnel disponible par habitant, au Québec, est passé de 17 898$ à 25 009$, une hausse de 40% (les montants ne sont pas indexés); pendant la même période, dans les neuf autres provinces, les montants correspondants sont de 20 153$ et 28 684$, une hausse de 42%. Certes, les Québécois sont nettement moins riches que les autres Canadiens, et ils sont vraisemblablement incapables de combler l'écart. Mais en huit ans, à quelques poussières près, leurs revenus disponibles ont augmenté sensiblement dans la même proportion qu'ailleurs au pays. Avec deux points de pourcentage de retard, la progression québécoise est un peu plus molle, mais c'est nettement insuffisant pour parler d'appauvrissement. > Comme le Québec se compare-t-il à l'Ontario? Une autre bonne nouvelle: plutôt bien. Les deux provinces ont été durement touchées par la crise du manufacturier, mais toutes proportions gardées, l'Ontario, heurté de plein fouet par les déboires de l'industrie nord-américaine de l'automobile, a souffert davantage. Nous venons de voir que le revenu personnel disponible par habitant a augmenté de 40% au Québec; en Ontario, le chiffre correspondant est de 33%. Il y donc rattrapage, mais celui-ci est lent. En moyenne, et malgré les problèmes des dernières années, les Ontariens demeurent largement plus riches que les Québécois. > Comment se présente l'avenir? L'Institut ne fait pas de projections, mais il ressort clairement des données historiques que le Québec pourrait rapidement devenir la région la plus pauvre au Canada. L'Ouest, surtout grâce au pétrole albertain, est maintenant la région la plus riche avec un revenu personnel disponible de 30 133$. L'Ontario suit avec 28 191$. Au Québec, on l'a vu plus haut, le chiffre correspondant est de 25 099$. Les provinces de l'Atlantique talonnent le Québec de près avec 24 531$. Or, cette région connaît depuis quatre ans une hausse de revenus plus rapide qu'au Québec: 4,5% contre 3,6%. À ce rythme, le Québec sera vraiment devenu l'enfant pauvre de la Confédération, et cela risque d'arriver très rapidement: si rien ne change, les provinces de l'Atlantique seront plus riches que le Québec... en 2010, dans deux ans seulement! Par ailleurs, un autre indicateur commence à clignoter dangereusement. Les investissements publics et privés sont en chute libre depuis quelques années. Nous ne parlons pas ici de placements ou d'acquisitions d'entreprises, mais de véritables investissements créateurs d'emplois et de prospérité, comme la construction, les agrandissements, les immobilisations en machinerie et équipement. Traditionnellement, le Québec accaparait, bon an, mal an, 20% des investissements au Canada. Ce chiffre était encore de 20,1% en 2004. Or, il devrait se situer à 17,8% cette année. Ce recul peut sembler minime, mais il représente tout de même 8 milliards.
×
×
  • Créer...