Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'discussion'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

  • Évènements à Montréal
  • Canadiens de Montréal
  • CF de Montréal

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. C'est quand même particulier d'être incapable de penser que les gens veulent habiter à Montréal. Vivre dans le Plateau Mont-Royal est un choix de vie avec peu d'équivalent hors des quartiers centraux de la métropole. C'est désirable pour beaucoup, et les gens mettent le prix. Et il y a la proximité de beaucoup plus qu'un emploi au centre-ville qui rentre en jeu, d'ailleurs.
  2. VIA Rail CEO Argues Against High-Speed Rail, Wants Dedicated Montreal-Toronto Passenger Track http://www.huffingtonpost.ca/2015/11/04/high-speed-rail-canada-via-rail-yves-desjardins-siciliano_n_8473342.html?ncid=fcbklnkcahpmg00000001 sent via Tapatalk
  3. Des transports collectifs en mouvement… La grande réforme dans l’organisation des transports collectifs de la région métropolitaine de Montréal s’est concrétisée le 1er juin 2017, alors que deux nouvelles entités ont pris la relève de l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et des autorités organisatrices de transport (AOT) des couronnes nord et sud : L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) est responsable de la planification, de l’organisation et du financement des services de transports collectifs pour la grande région métropolitaine de Montréal. Elle favorise l’intégration des services entre les différents modes de transport. Le Réseau de transport métropolitain (connu sous exo) est responsable sous mandat de l’ARTM, d’exploiter sur son territoire les services de transport collectif réguliers par autobus (couronnes nord et sud) et par trains de banlieue, incluant le transport adapté pour les personnes handicapées). Le Réseau de transport de Longueuil (RTL), la Société de transport de Laval (STL) et la Société de transport de Montréal (STM), continuent de fournir leurs services respectifs, sous le mandat de l’ARTM.
  4. rtm.quebec Rôle Le Réseau de transport métropolitain (RTM) est responsable d’exploiter, sur l’ensemble de son territoire, les services de transport collectif réguliers par autobus et trains de banlieue, incluant le transport adapté pour les personnes handicapées et à mobilité réduite. Principaux mandats Exploiter le réseau de trains de banlieue Exploiter le réseau de transport métropolitain par autobus (couronnes nord et sud) Exploiter les services de transport adapté Établir un plan de desserte des services de transport collectifs pour l’ensemble de son territoire Construire et entretenir les infrastructures et les équipements sous sa responsabilité Conseiller l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) pour l’édiction de normes de comportement des personnes dans les véhicules et les gares ainsi que sur les quais et les stationnements qu’il exploite Collaborer, sur demande de l’ARTM, à la planification, au développement, au soutien et à la promotion du transport collectif Territoire Le territoire du RTM est constitué de ceux de la Communauté métropolitaine de Montréal (82 municipalités), de la réserve indienne de Kahnawake et de la Ville de Saint-Jérôme. Ce territoire est partagé avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).
  5. Discussion générale sur les transports à Montréal Informations, discussion générale, actualités
  6. Parc du Mont-Royal: Informations, discussion générale et actualités http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7377,94551572&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=81 http://www.lemontroyal.qc.ca/carte/fr/index.sn
  7. /R E P R I S E -- Invitation aux médias - Denis coderre à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain/
  8. je regardais un film hier soir, et il y avait une image des ponts de New-york. J'airemarqué qu'ils étaient prèsque tous illuminé la nuit. Pendant ce temps à Montréal, nous avons un superbe Pont qui date du début du dernier siècle, et on ne le mets pas en évidence! C'Est quoi la joke? Dans un ville ou nous recherchons des symboles, pourquoi ne pas dépenser quelque dollars de plus pour bien illuminer la structure complète du Pont Jacques-Cartier. J'ai de la misère à croire qu'il n'y a personne à l'hôtel de Ville qui a pensé à ceci?!?! Si c'est le cas, ils devraient tous être remercié! Twitter #illuminationMTL Search Twitter - #illuminationMTL
  9. Discussion sur la Société des transports de Montréal Actualités, informations générales, discussion générale
  10. https://www.tvanouvelles.ca/2019/01/04/en-route-vers-une-prochaine-station Quelques erreurs dans le texte mais ça résume bien les projets STM en 2019.
  11. Etant Français résidant dans votre beau pays depuis plusieurs années, je propose ce fils de discussion et de suivi sur ce qu offre l Hexagone en matière d architecture passée, présente et futur.
  12. OPINIONS CHRONIQUE Sylvain Ménard 19/05/2015 Mise à jour : 19 mai 2015 | 1:14 Ajuster la taille du texte Échapper le Plateau Par Sylvain Ménard Métro http://journalmetro.com/opinions/sylvain-menard/779308/echapper-le-plateau/ J’ai vu deux Plateau en fin de semaine. Celui de dimanche, baigné de soleil, où les promeneurs sortaient littéralement par toutes les craques du trottoir. L’autre, celui de samedi, tout sombre et triste au centimètre cube. Sur Laurier, le temps était long, et le vide déprimant. Vous connaissez l’histoire : la mise en place du système de vignettes pour le stationnement des résidants est un coup dur à encaisser pour les marchands du coin. Un autre… Déjà qu’on avait l’impression de jouer aux serpents et échelles pour se rendre dans le quartier en bagnole, désormais, il est virtuellement impossible de se garer le temps de faire ses emplettes. Pour plusieurs commerçants, la taloche sera fatale. J’en ai visité plusieurs. Des «de longue date» qui sont inquiets. Des nouveaux qui ont misé leur chemise pour se lancer en affaires et qui sont sur le point de se retrouver tout nus dans le chemin. Ils avaient choisi l’avenue Laurier parce qu’il y avait là, depuis toujours, une sympathique cohabitation entre le commerçant et le résidant. Ça, c’était avant. Aujourd’hui, il y a ce fameux – pour ne pas dire furieux – maire d’arrondissement qui est en train de tout foutre en l’air avec son désir obsessif et maladif de chasser tout ce qui roule hors des limites du territoire dont il se croit l’unique dépositaire. Un idéaliste qui, au nom des résidants du coin, est en train de tuer toute activité commerciale là où, depuis toujours, des travailleurs gagnent leur vie. En voulant artificiellement monter les uns contre les autres (on dit diviser pour mieux régner), cet homme est en train de causer un tort irréparable au Plateau. Quand j’entends son estafette de service Marie Plourde – eille, Marie Plourde, on rit pu… – déclarer que l’opération vignette répond à un besoin parce que 600 stickers ont été vendus en un mois, tout en omettant de dire que les résidants du coin n’ont pas le choix de s’en procurer une s’ils ne veulent pas se faire coller des contraventions au quotidien, il y a de quoi se poser des questions sur l’honnêteté intellectuelle et sur l’honnêteté tout court de ces ayatollahs de l’urbanisme. On attend après quoi pour les empêcher de continuer le massacre? Dans 30 secondes, il sera minuit.
  13. Le quartier Sainte-Marie, situé aux abords et à l'est du pont Jacques-Cartier, est en ébullition. Ville de Montréal - Arrondissement de Ville-Marie - Quartier de Sainte-Marie Portrait du quartier de Sainte-Marie C’est à partir de 1840 que l’on peut véritablement parler du « quartier » de Sainte-Marie, appellation qui s’inspire du nom du courant du fleuve passant à cet endroit. Durant le 19e siècle, Sainte-Marie, connu sous le nom « Faubourg à mélasse », était le bastion industriel des ouvriers canadiens français de la Ville de Montréal. Depuis le milieu du 20e siècle, le quartier est en période de transition et sa structure industrielle se transforme au profit d’entreprises de services. Bien que différent du centre des affaires montréalais, le quartier de Sainte-Marie s’inscrit dans une perspective naturelle de développement du centre-ville vers l’est entamée il y a quelques décennies avec la construction de la tour de Radio-Canada. Bien desservi par le transport en commun et par les axes routiers, ce quartier accueille 21 745 résidants et offre aujourd’hui un formidable potentiel de développement au centre-ville de Montréal. En 2011, un Programme particulier d’urbanisme (PPU) a été élaboré pour revitaliser le quartier de Sainte-Marie situé à l’est de l’arrondissement. La version finale du projet d'aménagement urbain du quartier a été adoptée à l’unanimité par le conseil municipal. Elle fait suite aux recommandations émises par l’Office de consultation publique. Redynamiser le pôle Frontenac et les abords des stations de métro, réaménager la rue Ontario, créer de nouveaux espaces verts, combler les terrains vacants et développer l’environnement piétonnier : voici quelques-uns des grands objectifs proposés qui guideront le développement du secteur pour les prochaines années Avec ses 2 stations de métro, 19 stations de BIXI, 4 écoles, 15 espaces verts, une nouvelle piscine au centre Jean-Claude-Malépart, plus de 250 organismes, entreprises et lieux de diffusion qui viennent compléter l’offre culturelle du Quartier des spectacles, le secteur est incontestablement en marche vers un avenir prometteur et favorable à l’établissement de nouveaux résidants. Par ailleurs, plusieurs artistes et artisans habitent ce quartier et de nombreuses troupes de théâtre y ont élu domicile. En métro : Frontenac, Papineau
  14. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7377,94551572&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=78&sc=5 Coordonnées Bistro culturel Espace La Fontaine 3933, avenue du Parc-La Fontaine, Montréal 514 280-2525 Stationnement: Sur les rues avoisinantes. Horaire: Les grands parcs sont ouverts au public de 6 h le matin à minuit et de 7 h jusqu'au coucher du soleil dans les parcs-nature. À l'exception des parcs René-Lévesque et des Rapides qui ferment à 23 h. En dehors de ces heures, il est interdit de se trouver dans un grand parc, y compris dans un stationnement. Toutefois, des permissions spéciales peuvent être accordées lors de la tenue d'événements. Pour s'y rendre En voiture Arriver par la rue Sherbrooke Est, l'avenue Papineau, la rue Rachel ou l'avenue du Parc La Fontaine. En transport en commun Station Mont-Royal - ligne orange Station Sherbrooke - ligne orange Autobus 24 À vélo : Piste cyclable Piste verte au coeur du parc La Fontaine, pistes cyclables sur la rue Rachel et sur la rue Cherrier Superficie 34 hectares Carte de la Parc Lafontaine: http://montreal2.qc.ca/rep_parcs/media/documents/application/pdf_doc_carte_ete_lafontaine_id21.pdf http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=2497,3090586&_dad=portal&_schema=PORTAL Le parc Lafontaine Étang et fontaine du Parc Lafontaine, date inconnue. Centre d'histoire de Montréal. Depuis sa création, le parc Lafontaine est l'un des parcs montréalais les plus populaires. Inauguré en 1874, en pleine époque victorienne, il s'inscrit dans la phase d'aménagement des grands parcs naturels de la ville, comme le parc du Mont-Royal et l'Ile Sainte-Hélène. Ilot de verdure et de loisirs, ce parc est fortement ancré dans l'âme des habitants du plateau Mont-Royal et est devenu un lieu de rassemblement familial et populaire. Le parc Lafontaine est situé sur les terrains de l'ancienne ferme Logan. Cette terre, cédée en 1845 au Gouvernement du Canada, sert alors de site militaire. Les soldats de la garnison britannique y logent et s'y entraînent en pleine nature. À partir de 1874, la ville loue une partie de la ferme Logan pour créer un parc. Les premiers grands travaux d'embellissement et d'aménagement sont entrepris au nouveau parc en 1888. Deux ans plus tard on y déménage les serres du Carré Viger. C'est là que sont produites, jusqu'en 1952, toutes les fleurs qui orneront la ville. En 1900, deux bassins sont creusés au centre du parc. On y rajoute aussi une fontaine illuminée (1929) qui fera l'admiration de tous. Bien que dans les faits, le parc Lafontaine ne soit plus utilisé à des fins militaires depuis 1874, le gouvernement fédéral a conservé jusqu'en 1991 un droit d'utilisation militaire dans la partie est du parc. Étang et chalet du parc Lafontaine, 1925. Collection privée. Occupant une place de plus en plus importante dans le coeur de la population canadienne-française, le parc Logan est rebaptisé La Fontaine en hommage au premier ministre francophone du Canada-Uni. Le « baptême » se fera lors de la parade de la Saint-Jean-Baptiste de 1901. Cette appropriation du parc par les résidents de l'est montréalais va se refléter dans son utilisation comme lieu de rassemblement lors des fêtes populaires et par l'érection de différents monuments: Dollard-des-Ormeaux, Sir-Louis-Hippolyte-Lafontaine, et plus récemment Félix-Leclerc et Charles-de-Gaulle. L'écrivain Michel Tremblay évoque fréquemment cette appartenance du parc à la culture canadienne-française de Montréal dans ses chroniques du Plateau Mont-Royal : « Le parc était immense...mais pour « jouer », selon les critères de Marcel, il fallait entrer dans l'aire de verdure qui longeait la rue Calixa-Lavallée... là où se trouvaient tous les jeux, cette partie du parc Lafontaine qu'on appelait aussi « le parc ». Extrait de La grosse femme d'à côté est enceinte, Éditions Leméac, 1986.
  15. Discussion portant sur l'ancien Hôtel Laurentien.
  16. Un «Dix30» à Montréal Montréal aura son «quartier Dix30» de type lifestyle comme à Brossard, mais en beaucoup plus imposant, sur un site d'une douzaine d'hectares, dans le secteur Griffintown au pied du centre-ville, a appris Le Journal de Montréal. Le comité exécutif étudie le projet, évalué à plus de un milliard, depuis plusieurs semaines et il doit aborder la question une fois de plus aujourd'hui en vue d'en saisir le conseil municipal et d'accélérer le processus de réalisation. Le projet est tellement important et futuriste que le conseil municipal devra modifier le plan d'urbanisme de la Ville pour en permettre la réalisation sur le site qui voisine la zone récréotouristique du bassin Peel et du canal de Lachine. Le promoteur qui a édifié le quartier commercial suprarégional Dix30, à Brossard, veut construire plusieurs super grandes surfaces commerciales, des commerces intermédiaires et des tours de bureaux et d'habitations à l'ouest de l'autoroute Bonaventure et au nord du bassin Peel. «Compliqué à la Ville» Le président de Devimco, Serge Goulet, a confirmé au Journal qu'il s'agit «d'une vaste entreprise à vocation mixte» mais il n'a pas voulu parler davantage de son projet, «qui réunit plusieurs partenaires et intervenants», a-t-il dit. Il estime cependant que «c'est compliqué et lent avec les Villes» et qu'il faut être «très patient». Il concède que son projet est sur la table depuis plus d'un an. Le conseiller municipal Alan DeSousa, responsable du développement économique à l'hôtel de ville, a expliqué que le projet est à l'état «embryonnaire» et que plusieurs services corporatifs étudient la proposition. Selon les renseignements obtenus par le Journal, l'administration Tremblay-Zampino attendait que Devimco soit propriétaire d'environ 85% du site avant d'accélérer les procédures. Le projet vise évidemment la démolition de plusieurs bâtiments sur le territoire compris entre le bassin Peel au sud et le campus de l'École de technologie supérieure (ÉTS) au nord, et entre l'autoroute Bonaventure à l'est et la rue du Séminaire à l'ouest. Valeurs patrimoniales Pour préparer sa position dans ce dossier, la Ville a mandaté une firme externe pour réaliser une étude des valeurs patrimoniales que l'on retrouve dans Griffintown. Même si le projet est supervisé par la ville centrale, la mairesse Jacqueline Montpetit a déclaré au Journal que «le promoteur ne fera pas n'importe quoi dans ce projet même si la ville centrale doit décider de sa planification pointue dans le cadre du plan d'urbanisme». L'arrondissement du Sud-Ouest s'étend sur 13,6 km le long du canal de Lachine. En plus de Griffintown, il comprend la Petite-Bourgogne, Saint-Henri, Pointe-Saint-Charles, Côte-Saint-Paul et Émard. Ce secteur a été le berceau de l'industrialisation au pays. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/07/20070704-052401.html ----------------------------------------------------------------- Un projet immobilier d'un milliard Le promoteur à l'origine du complexe Dix30, sur la Rive Sud, voit grand. Il aurait approché la Ville de Montréal pour la construction d'un projet immobilier d'un milliard de dollars dans le secteur du Bassin Peel, selon le Journal de Montréal. Le projet - qui prévoit des commerces de grandes surfaces, des commerces intermédiaires, des tours à bureau et d'habitation - occuperait une superficie de 12 hectares. Il nécessiterait toutefois des modifications au plan d'urbanisme, ce que le comité exécutif de la Ville étudierait. Le futur complexe, qui porterait le nom de Griffintown, serait entouré de l'autoroute Bonaventure, du Bassin Peel, du campus de l'École de technologie supérieure (ETS), de la Cité du multimédia et de la pointe ouest du Vieux-Montréal. Le responsable du développement économique au conseil municipal, Alan De Sousa, soutient que le projet demeure embryonnaire. Néanmoins, le sujet sera abordé mercredi et elle pourrait être soumise au conseil municipal pour accélérer les démarches. Les commerçants de la rue Sainte-Catherine craignent que la construction de ce mégaprojet leur nuise. Ils ont mis 15 ans à revitaliser l'ouest de l'artère commerciale et ils croient que le projet pourrait leur faire de l'ombre. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/07/04/003-Griffintown-Bassin-Peel_n.shtml
  17. Discussion générale sur le Vieux-Montréal et ses infrastructures
  18. AMT: Ligne Mascouche Discussion sur la ligne Mascouche de l'Agence métropolitaine de transport.
  19. Je remarque qu'on a pas de discussion sur le grand débat Uber et le Taxi à Montréal... Qu'en pensez-vous? Avez-vous une opinion tranchée sur le sujet? Supportez-vous le droit acquis des taxis? Ou vous êtes en faveur d'un marché plus ouvert que prône Uber?
  20. Hey everyone! for this discussion, I want to talk about our downtown. I know and we all know that we have a unique and busy downtown compared to other cities and one that is envied by others as well. But I've been noticing a lot of people from the city and tourists saying how quickly the downtown area gets "dead" after 9 pm (in winter and summer). Personally, I disagree 110% since I find the downtown bust from 5am-3am every day no matter what season. But what do you guys think? is the downtown area getting busier or "quieter" as others have been saying, and if so, what would you do to make it livelier? I definitely want to hear others opinions on this and see others observations as well.
  21. UN très bon article trouvé sur cyberpresse.ca Une bonne nouvelle et une mauvaise sur la dette http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201303/12/01-4630039-une-bonne-nouvelle-et-une-mauvaise-sur-la-dette.php Francis Vailles La Presse J'ai une bonne nouvelle et une mauvaise à vous annoncer à propos de la dette du Québec. Laquelle voulez-vous lire en premier? Commençons par la bonne. Plusieurs observateurs s'inquiètent de l'impact d'une hausse éventuelle des taux d'intérêt sur le budget du Québec. En effet, avec la dette monstrueuse du gouvernement, toute hausse de taux aura un impact sur les intérêts annuels à rembourser. Certains craignent que cette hausse ne compromette le déficit zéro et n'oblige le gouvernement à faire de nouvelles coupes. Mercredi dernier, l'Institut économique de Montréal (IEDM) faisait justement une analyse dramatique de la situation (http://www.iedm.org/fr/node/43045). Si les taux d'intérêt bondissent de deux points de pourcentage, ce qui est probable, les intérêts sur la dette augmenteront de 1,3 milliard par année, estime l'IEDM. C'est l'équivalent du budget combiné du ministère de l'Environnement, de la Culture et des Relations internationales. Ouch! L'organisme omet toutefois un détail très important: le ministère des Finances du Québec a prévu cette hausse de taux d'intérêt dans son calcul du déficit zéro. Dans son budget de novembre dernier, le Ministère estime que le taux d'intérêt des obligations fédérales à 10 ans passera de 1,9% en 2012 à 3,2% en 2014, un bond de 1,3 point de pourcentage. Ce taux passera à 4,4% en 2017, selon le ministère des Finances. Autrement dit, le Ministère a prévu atteindre le déficit zéro durant ces années malgré une hausse progressive de 2,5 points des taux d'ici cinq ans. Au cours de l'année 2012-2013, qui se termine le 31 mars, le gouvernement aura payé 10,1 milliards d'intérêts sur sa dette. Ce service de la dette, comme on l'appelle, passera à 12,9 milliards dans cinq ans, soit une hausse de 2,8 milliards (plan budgétaire, p. A.22). De cette somme, la part attribuable à la hausse prévue des taux d'intérêt sur la dette actuelle est de 1,2 milliard. Bref, la facture d'intérêts augmente, ce qui n'est pas plaisant, mais le gouvernement l'a intégré dans ses équilibres financiers. Si les taux montent moins que prévu, il se dégagera une marge de manoeuvre. Voilà pour la bonne nouvelle. La mauvaise maintenant. Le samedi 2 mars, Jacques Parizeau reprochait au gouvernement Marois de s'enfermer dans la logique paralysante du déficit zéro. Il affirmait que le gouvernement du Québec est le seul au Canada à utiliser la dette brute pour présenter son endettement, c'est-à-dire sans tenir compte de ses actifs. Il laissait entendre qu'en soustrayant ses actifs (routes, ponts, valeurs des sociétés d'État), le Québec ne se porte pas si mal. L'affirmation de M. Parizeau est inexacte. Depuis 2010, en vertu de la Loi sur la dette publique, le gouvernement du Québec est tenu de présenter non seulement la dette brute, comme le dit M. Parizeau, mais aussi la dette qui représente les déficits cumulés, souvent appelée la «mauvaise dette». Cette dette équivaut essentiellement à la dette brute moins les actifs financiers et non financiers. Au 31 mars 2012, la dette brute s'élevait à 183,4 milliards, l'équivalent de 54,6% de notre produit intérieur brut annuel (PIB). Il s'agit du niveau d'endettement le plus important des provinces canadiennes, et de loin (plan budgétaire, p. D.19). Le plus proche du Québec est l'Ontario (42,6%), suivi de la Nouvelle-Écosse (38%). La loi exige de réduire la dette brute du Québec à 45% du PIB ou moins en 2026. Concernant la «mauvaise dette», celle des déficits cumulés, elle s'élevait à 114,1 milliards au 31 mars 2012 au Québec, soit 34% du PIB. Le Québec est encore premier à ce chapitre. L'Ontario nous rattrape, avec ses gros déficits, mais demeure à 24,8% de son PIB, et celle de la Nouvelle-Écosse, à 21,2%. De son côté, l'Alberta n'a pratiquement pas de dette: son pétrole lui a permis d'accumuler des réserves, qui équivalent à 20,4% de son PIB. La loi exige que le Québec réduise sa dette à 17% du PIB ou moins en 2026. Voilà pour la mauvaise nouvelle. Jacques Parizeau a aussi qualifié d'«énorme supercherie» la comparaison de notre dette avec celle de la Grèce et de l'Espagne. La méthode qu'utilise l'OCDE n'est pas la tromperie dont parle M. Parizeau, bien que la comparaison soit effectivement imparfaite. En incluant la part du fédéral et des municipalités, le Québec est plus endetté que l'Espagne, sauf que le Québec dispose d'un gros atout: Hydro-Québec. Cette société d'État a une valeur marchande excédant probablement 50 milliards, ce qui efface une grande partie de notre mauvaise dette. C'est ce qui explique, entre autres, que le Québec a une cote de A" sur les marchés financiers et qu'il peut donc emprunter à des taux d'intérêt raisonnables, contrairement à la Grèce et à l'Espagne. Malgré ce constat, il ne faut pas prendre la dette à la légère. Non seulement les intérêts à payer sont énormes et augmentent vite, mais aussi le portrait financier peut changer très vite. Avant la crise de 2008, l'Espagne avait une cote de crédit de AA, supérieure à celle du Québec. Aujourd'hui, l'Espagne est à la limite des défauts de paiement, avec une cote de BBB-. Le Québec doit continuer à s'inquiéter de sa dette.
  22. J’ai appris de source tres bien informée que Montreal aura une nouvelle liaison aerienne vers une ville majeure, je ne peux dire laquelle mais ce n’est pas en asie. Je vous laisse spéculer
  23. I've always had the thought of what would happen if stores didn't close early in Montreal, mainly on the weekends. On one hand, it gives a nice work-life balance, but on the other hand, stores closing at 5 pm in a major city gives it a dead feeling. I've had friends from the states, and also people here who want stores to be opened later on weekends, preferably until 9 pm. 2. Bars being open till 6 am, with the last call being at 5:30 am. The question is 1. In your opinion: would you want retail/store hours extended until 9 pm on weekends, and would you want bars open until 6 am? 2. Would it benefit the economy, will things stay the same or will it be a boon? 3. Will it have a huge impact on society? or a minimal one?
×
×
  • Créer...