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  1. Le voyagiste exploitera 19 nouvelles liaisons aériennes pour relier des villes canadiennes aux destinations soleil. Au Québec, cela se traduira notamment par trois nouveaux vols au départ de Montréal (La Havane, Ixtapa et Rio Hato au Panama) et un autre au départ de Québec (La Romana). En fait, Transat cesse restreindre ses inventaires pour renouer avec la conquête de parts de marchés. «Nous augmenterons notre offre globale au 13% dans l’ensemble du Canada», révélait Annick Guérard, directrice général de Transat Tours. «Jean-Marc Eustache l’a annoncé en conférence de presse : nous cessons de réduire nos inventaires, tant sur le Sud que sur l’Europe.» Un redéploiement qui, au Québec, se traduira par la mise en marché vers les destinations soleil de 85 000 sièges de plus pendant la saison d’hiver et de 30 000 sièges supplémentaires pour la saison d’été! http://www.paxnouvelles.com/article/transat-lance-sa-saison-sud-2015-2016
  2. http://galeriesmontreal.ca/ [h=3]La référence culturelle incontournable des galeries et des lieux d’art de Montréal Mission[/h]Promouvoir et diffuser les arts visuels de la scène montréalaise en offrant aux Montréalais et aux visiteurs un guide complet permettant de découvrir les galeries d’art, centres d’artistes autogérés, musées et centres d’exposition consacrés aux arts visuels et médiatiques. [h=3]Avec le site Web et la version mobile de Galeries Montréal[/h] + Explorez une base de données de plus de 110 lieux d’exposition + Découvrez des circuits piétonniers de lieux d’art + Consultez les critiques et articles rédigés par nos auteurs invités + Soyez à l’affût des vernissages, expositions et événements d’arts visuels [h=3]L’équipe[/h]Mélodie Hébert Directrice et fondatrice mhebert@galeriesmontreal.ca Pascal Champagne Directeur artistique pchampagne@galeriesmontreal.ca [h=3]Galeries Montréal dans les médias[/h]Nightlife :: www.nightlife.ca La Presse + :: plus.lapresse.ca ARTV :: www.blogueartv.ca Revue Ex Situ :: www.revueexsituuqam.wordpress.com Montréalistement :: www.montrealistement.blogspot.ca CISM :: podcast.ustream.ca
  3. 9,9 M$ pour agrandir le Collège Montmorency Geneviève Fortin Publié le 25 Mai 2010 Malgré la mauvaise température à l'extérieur, les sourires étaient nombreux au Collège Montmorency, lundi matin, alors que la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, annonçait un investissement de 9,9 M$ pour l'agrandissement de l'établissement postsecondaire. Attendue depuis longtemps, cette annonce est la suite logique de celle faite en octobre concernant l'augmentation du nombre admissible d'étudiants. Le collège qui compte actuellement 5700 étudiants peut en accueillir 100 de plus selon le nouveau devis. Le bâtiment construit au début des années 1970 a quant à lui une capacité d'accueil de 5000 étudiants. Lors de la conférence de presse, la directrice générale du Collège Montmorency, Denyse Blanchet, a souligné qu'il n'était plus possible d'agrandir le cégep de l'intérieur. En entrevue, elle notait que le manque d'espace ne se traduit pas seulement par une pénurie de locaux de classe, mais également par un manque d'espace dans les aires communes, notamment la cafétéria et la bibliothèque. Le député de Laval-des-Rapides, Alain Paquet, estime que l'agrandissement du collège permettra d'avoir un environnement adéquat pour l'enseignement. Celui qui avait promis l'agrandissement de l'établissement collégial lors de la dernière campagne électorale a insisté sur l'importance de pouvoir compter sur une relève qualifiée dans un contexte où le taux de chômage est très bas. Travaux La directrice générale dit espérer que les travaux d'agrandissement débuteront l'automne prochain. Les plans de construction n'étant pas établis, les élus et Mme Blanchet ne peuvent dire de quelle façon on augmentera l'espace, ni de quel côté le bâtiment s'agrandira. «Nous avions déjà travaillé sur des plans, mais ils étaient pour un devis pédagogique moindre», indique Mme Blanchet. Elle assure toutefois, que les plateaux sportifs ne seront pas être sacrifiés. -------------------------------------- 1er juin 2010 Expansion du collège Montmorency (à droite)
  4. Déjà une facture de 4 millions $ L’annulation du contrat va coûter cher aux Montréalais Agence QMI Julie Charette 23/09/2009 20h16 Avant même la présentation par le consortium GÉNIeau de la note finale pour l'annulation du contrat des compteurs d'eau, la Ville de Montréal devra d'ores et déjà débourser près de 4 millions $. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a fait rouler hier deux têtes après l'annulation du contrat de 356 millions$, une décision qui coûtera à elle seule près de 427 000$ à la Ville. Les contrats de travail du directeur général, Claude Léger, et du directeur des affaires corporatives, Robert de Linval, ont ainsi été immédiatement résilié. Ces deux cadres auront toutefois droit à des indemnités de départ correspondant à 12 mois de salaire. Claude Léger touchera donc 244 494$ tandis que Robert de Linval empochera 182 070$ pour un total de 426 564$. Pénalité de 3,5 millions $ À ce montant de 426 564$, il faut aussi ajouter une pénalité de 1% en cas d’annulation, soit 3,5 millions$, incluse dans le contrat avec GÉNIeau. La Ville devra aussi vraisemblablement payer pour certains des travaux déjà réalisés par GÉNIeau. Le consortium a d’ailleurs indiqué mardi par voie de communiqué mardi qu’il évaluera dans les prochaines semaines «les conséquences financières qui résulteront de la terminaison du contrat». Nouvelle directrice générale Dans la foulée du départ de Claude Léger, le maire Tremblay a confié à la directrice générale adjointe, Rachel Laperrière, le poste de directrice générale par intérim. Le Service du capital humain de la Ville a déjà été chargé de pourvoir aux postes de directeur général et de directeur des affaires corporatives. Le poste de directeur général doit toutefois être entériné par le conseil municipal. Première femme directrice générale de la Ville de Montréal, Rachel Laperrière était auparavant responsable des parcs, des loisirs, des espaces verts, du Biodôme et du Jardin botanique.
  5. Archambault quitte le Complexe Les Ailes 13 janvier 2009 - 06h02 La Presse Laurier Cloutier La chaîne Archambault a vidé ses locaux du Complexe Les Ailes, le 31 décembre dernier, mais pas du tout à cause de difficultés financières. C'est ce qu'assure la directrice du marketing du Groupe Archambault, Diane Langlois. Par contre, elle reconnaît que la chaîne a demandé une baisse de loyer aux Ailes, il y a déjà plus de deux ans, et que, faute d'un accord, les deux parties ont conclu une entente pour mettre fin au bail. Ivanhoé Cambridge n'a pas mis Archambault dehors, assure de son côté la directrice du Complexe Les Ailes, Johanne Marcotte, sans donner de détails sur le dossier «confidentiel» et la pénalité éventuelle de fin de bail. Le propriétaire ne sait pas encore qui va prendre les locaux d'Archambault. «Ce n'est pas attaché encore. C'est quand même des locaux rares sur la rue Sainte-Catherine, qu'on n'aime pas voir vides», selon Johanne Marcotte. Le Complexe Les Ailes a profité d'une hausse de son affluence en 2008 et a renouvelé des baux, souligne la directrice, sans préciser si des locataires ont exigé des baisses de loyers. Par ailleurs, Diane Langlois indique qu'Archambault a investi 8 millions de dollars l'an dernier dans l'ouverture d'un magasin à Sainte-Dorothée et la rénovation de quatre autres (Anjou, Laval, Saint-Georges, Saguenay). À Montréal, les clients peuvent faire leurs achats dans les deux autres Archambault de la rue Sainte-Catherine, dit-elle.
  6. Un déficit... de riches Québécois 26 septembre 2008 - 07h26 La Presse Collaboration spéciale Annie Mathieu Au Québec, le marché pour le très haut de gamme demeure restreint, selon l'auteur du livre Consommation et luxe, Benoît Duguay. La raison est simple: «Il y a peu de Québécois très riches.» M. Duguay estime que l'échec du centre commercial Les Ailes de la mode démontre bien que les Québécois n'ont pas les moyens des Parisiens ou des New-yorkais. En revanche, le DIX30 à Brossard évoque le succès d'un luxe "à la portée de tous" où l'exclusif côtoie le populaire et permet à la population de satisfaire ses envies de luxe. "Le luxe s'est démocratisé", estime la directrice régionale des relations publiques de Holt Renfrew, Jozée Desrosiers. Comme tout le monde veut son petit bout de luxe, les gens sont prêts à acheter moins, mais de meilleure qualité. Et l'image que l'on souhaite projeter joue de plus en plus sur la consommation des produits hauts de gamme, selon Benoît Duguay. «Si je pense qu'une montre en or, c'est important pour mon image, le prix ne comptera plus», illustre celui qui est également professeur à l'école des sciences de la gestion de l'UQAM. Clientèle hétéroclite Ce peut être un étudiant qui économise ou encore une avocate qui a les moyens. À Montréal, les magasins Ogilvy et Holt Renfrew ont désormais du mal à profiler leur clientèle tant celle-ci est hétéroclite. «Des touristes, des femmes qui ont de l'argent ou des jeunes aisées. Le bassin est très diversifié», dit le directeur général d'Ogilvy, Maurice Moyal. Chez Holt Renfrew, on indique qu'il n'existe pas de profil type des consommateurs de sac à main Gucci et autre jeans Dolce & Gabanna. «Cela n'a rien à voir ni avec le sexe, ni avec l'âge», dit la directrice régionale des relations publiques chez Holt Renfrew, Jozée Desrosiers. Urbains, les acheteurs de produits de luxe sont friands d'art, de design et d'architecture. «Ils ont un intérêt commun pour les belles choses, ils voyagent beaucoup et sont très articulés», ajoute-t-elle. «Il y a davantage de gens issus de la classe moyenne qui achètent. Une pièce à la fois, ils réussissent à se construire des décors luxueux», dit Claude Alain, directeur d'Interversion, un magasin de meubles québécois haut de gamme. "Avant, c'était plus élitiste. Mais la catégorie d'âge a toujours variée entre 30 et 70 ans", ajoute-t-il. Bref, les consommateurs québécois de produits de luxe partagent des intérêts communs, mais se ressemblent très peu.
  7. CGI décroche un contrat avec la Banque de Montréal 19 juin 2008 - 14h07 LaPresseAffaires.com Michel Munger La firme de consultants Groupe CGI (GIB.A) annonce qu'elle décroche des contrats auprès de la Banque de Montréal et d'Australia and New Zealand Banking Group (ANZ). Les ententes qui lient la compagnie à BMO Marché des capitaux et ANZ portent sur l'utilisation continue d'une plateforme de financement du commerce international. La durée des contrats est de sept ans et la valeur est évaluée à 80 M$ US. Les deux clients utiliseront la plateforme Proponix, une solution Web hébergée et intégrée de gestion du financement du commerce international et de la chaîne d'approvisionnement. Ayant fait l'objet d'améliorations récentes, Proponix permet de partager une plateforme, une infrastructure et des coûts de développement communs en s'abonnant à un service facturé à l'utilisation pour le traitement des services. BMO et ANZ l'utilisent depuis cinq ans pour traiter leurs transactions de financement du commerce. Les deux entités pourront fournir une large gamme d'offres, augmenter leurs services de financement des importations et des exportations de leurs clients. «BMO pourra offrir à ses clients des capacités avancées de chaîne logistique financière», indique Sara Joyce, première directrice générale et directrice des Institutions financières internationales et Commerce international chez BMO Marchés des capitaux. «La nature souple et intégrée de la plateforme Proponix de CGI permet à nos clients de réaliser leur ambition de se doter d'un avantage compétitif durable grâce à une meilleure gestion de leurs fonds de roulement», ajoute Mme Joyce. CGI compte parmi ses clients 21 des 25 principales banques américaines et 45 des 50 banques les plus importantes dans les Amériques et en Europe. Son titre était stable à 10,69 $ jeudi après-midi à la Bourse de Toronto.
  8. Avoir ou ne pas avoir le Musée du portrait Frédérique Doyon Édition du mardi 12 février 2008 Mots clés : Patrimoine, Musée du portrait du Canada, Art, Culture, Québec (province) La proposition montréalaise tarde à prendre forme Y aura-t-il une proposition montréalaise pour le futur Musée du portrait du Canada (MPC)? La question se pose encore à deux mois de la nouvelle échéance du concours lancé conjointement par les ministères du Patrimoine canadien et des Travaux publics en novembre dernier. La Ville de Montréal dit que «les discussions se poursuivent entre les différents partenaires», selon l'attachée du maire Tremblay, Renée Sauriol. Partenaires plus hypothétiques que réels si l'on se fie au petit tour d'horizon mené par Le Devoir. L'échéance, d'abord fixée à demain pour le dépôt des propositions, vient d'être reportée à la mi-avril. Destiné à accueillir l'imposante collection de Bibliothèque et Archives Canada (BAC) -- des milliers de caricatures, 10 000 estampes, plus de 2000 dessins et quatre millions de photographies --, le MPC devait s'installer dans l'ancienne ambassade américaine en face du Parlement à Ottawa. Les libéraux avaient injecté 11 millions dans les rénovations. Prévoyant les dépassements de coûts, le gouvernement conservateur a plutôt invité neuf villes d'accueil -- Vancouver, Calgary, Edmonton, Toronto, Ottawa, Winnipeg, Montréal, Québec, Halifax -- à soumettre une candidature, dans un souci de représentativité coast to coast. Partenaire institutionnel le plus avisé pour un tel projet à Montréal, le Musée McCord «n'a pas de proposition formelle ni informelle» sur la table, indique sa directrice Victoria Dickenson, mais reste prêt à partager son expertise. «Ça nous intéresse à cause de nos collections», poursuit-elle, faisant valoir les 250 000 portraits photographiques des archives Notman et quelque 4000 tableaux «dont une bonne partie sont des portraits». «Mais la proposition, c'est de bâtir un édifice en PPP pour accueillir tous les services d'un musée. Ce que le gouvernement cherche, c'est un promoteur», résume la directrice qui voit mal l'intérêt du McCord à s'engager. Le Musée des beaux-arts de Montréal n'a pas répondu non plus à l'appel d'Ottawa. Le Musée d'histoire et d'archéologie Pointe-à-Callière qui voyait une synergie possible avec BAC dans le contexte d'un quartier de l'histoire en devenir, s'est finalement ravisé. «On garde un oeil ouvert advenant qu'un promoteur trouve un intérêt et un local dans le secteur», explique la directrice générale Francine Lelièvre, qui lorgnait l'édifice des Douanes, place d'Youville, dont le sous-sol est riche pour l'archéologie. Promoteurs recherchés Deux promoteurs montréalais ont notamment montré un intérêt, Pomerleau et Phil O'Brien de Viger DMC International. Ce dernier a seulement «participé à des discussions très générales et préliminaires à ce sujet», selon sa porte-parole Isabelle Thelen. Chez Pomerleau, on réfléchit toujours... «Nous n'avons pas pris de décision pour savoir si on répondra à l'appel de propositions», indique Marie-Claude Dubeau. L'appel de propositions, issu du ministère des Travaux publics et Services gouvernementaux Canada pour le compte de BAC, s'adresse de fait aux promoteurs, invités à construire un nouvel édifice ou rénover un bâtiment existant «sur un terrain appartenant au promoteur ou contrôlé par celui-ci», qui doit par ailleurs «mobiliser des ressources du secteur privé et l'appui de la communauté» et «fournir un soutien financier continu au MPC», selon le document du ministère. Le projet sera divisé en cinq sections principales, les services aux visiteurs, les expositions, l'éducation et les programmes publics, la gestion des collections ainsi que l'administration et l'exploitation. Le gouvernement achètera ces installations ou les louera à long terme. La démarche a défrayé la chronique dans la capitale nationale détrônée. On l'a qualifiée de «processus tordu» reflétant «une idéologie politique allant à l'encontre du bon sens». Par son histoire et les collections stratégiques du Musée McCord, Montréal est toute désignée pour accueillir une telle institution. Or plusieurs donnent l'avance à Calgary, économiquement riche mais muséalement plus pauvre. http://www.ledevoir.com/2008/02/12/175781.html
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