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  1. Publié le 21 novembre 2010 à 17h09 | Mis à jour à 17h14 Agence France-Presse New York Le milliardaire Warren Buffett a affirmé dimanche que les Américains les plus riches devraient payer «beaucoup plus d'impôts» et qu'il était en faveur de l'expiration en décembre des baisses d'impôts pour les hauts revenus instaurées par l'administration Bush. «Les impôts pour les classe défavorisées et moyennes, et peut-être même pour le haut de la classe moyenne, devraient être baissés, mais je pense que les gens dans le haut de la fourchette, les gens comme moi, devraient payer beaucoup plus d'impôts», a estimé le milliardaire américain sur la chaîne de télévision ABC. «Les choses vont pour nous mieux que jamais», a-t-il justifié, balayant les arguments des républicains selon lesquelles l'expiration des baisses d'impôts pour les hauts revenus nuirait à la croissance. «Les riches disent toujours ça, donnez-nous plus d'argent et nous dépenserons plus et cela se répercutera sur chacun de vous. Mais ça fait dix ans que ça ne marche pas et j'espère que le public américain en prend conscience», a expliqué M. Buffett. La Maison-Blanche a annoncé mercredi que le président américain Barack Obama décernerait début 2011 à M. Buffett la médaille présidentielle de la Liberté, la plus haute distinction civile américaine. M. Buffett avait soutenu la campagne présidentielle de M. Obama. Warren Buffett et le co-fondateur de Microsoft Bill Gates, les deux plus riches Américains, ont lancé en août une initiative visant à inciter les milliardaires à faire don de la moitié de leur fortune à des organismes de philantropie. M. Buffett, à la tête d'une fortune estimé à 47 milliards de dollars, a promis de se défaire de 99% de son capital pour en faire don à des oeuvres philanthropiques de son vivant ou à sa mort. --------------------------------------- Hé non, c'est pas un joueur de tambour ni Québec Solidaire qui le dit, mais bien le deuxième homme le plus riche des États-Unis et troisième au monde.
  2. Michel Girard La Presse Publié le 25 avril 2008 à 00h00 | Mis à jour le 25 avril 2008 à 06h54 Quatre-vingt-quinze milliards de dollars. Voilà la somme magistrale que les contribuables québécois ont directement versée en impôts et taxes de tout acabit aux administrations publiques au cours de l'année 2006, soit 47,4 milliards au provincial, quelque 38,4 milliards au fédéral et 9,1 milliards aux municipalités et commissions scolaires. Sont exclues de cette facture fiscale les cotisations aux divers régimes sociaux (assurance emploi, RRQ, CSST, etc.). Quand le groupe de travail Montmarquette-Lachapelle-Facal sur la tarification des services publics laisse entendre qu'on ne paye pas assez cher pour recevoir les services gouvernementaux, on comprend peut-être un peu mieux pourquoi les Québécois affichent une évidente réticence. En sus des 95 milliards d'impôts et de taxes qu'ils ont versés aux administrations publiques, les Québécois ont versé en 2006 la somme additionnelle de 22 milliards de dollars de tarifs pour obtenir les services publics québécois. Le Groupe de travail Montmarquette estime que les Québécois devraient, par rapport à la moyenne canadienne, payer au moins 5 milliards de plus pour la tarification de ces services publics. Le groupe affirme que ce sont les nantis qui profitent le plus de la «sous-tarification» des services publics. Une petite mise au point s'impose. Pour être équitable un tant soit peu envers les nantis, il faudrait peut-être ajouter que ce sont ces nantis de la classe moyenne et de la classe riche qui payent la grosse proportion des 95 milliards de recettes fiscales. Juste au chapitre des impôts des particuliers, 40% des contribuables québécois ne payent pas d'impôts. C'est donc dire que les 39 milliards d'impôts versés à Québec et Ottawa en 2006 provenaient des poches de seulement 60% des contribuables. Aussi lucide soit-il, le message du groupe Montmarquette sur la «culture de la gratuité» des services publics passe difficilement. La raison en est fort simple: les Québécois ont l'impression qu'une augmentation de tarification représenterait tout simplement une ponction d'impôts indirects additionnels, voire une autre façon déguisée pour le gouvernement du Québec d'aller puiser dans les poches des contribuables. Une anecdote. Cette perception d'impôts indirects par l'entremise d'une augmentation des tarifs des services publics est tellement réaliste que même l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) inclut les bénéfices de certaines sociétés d'État (SAQ, Loto-Québec) dans ses tableaux portant sur la compilation des «IMPÔTS INDIRECTS» perçus par le gouvernement du Québec. Ainsi, en incluant Hydro-Québec, les bénéfices des trois grosses sociétés d'État ont rapporté au gouvernement du Québec quelque 4,6 milliards d'impôts indirects en 2006! Le rapport Montmarquette nous dit que la tarification ne représente qu'un faible pourcentage du financement de divers services publics, voire 16% du coût des services de garde, 6% du réseau de la santé, 41% des organismes de transport, 40% de l'assurance médicaments, 25% de l'éducation postsecondaire, 29% des organismes culturels, etc. En outre, on paierait notre électricité 34% moins cher que la moyenne canadienne. Le problème avec les groupes de travail c'est qu'ils présentent toujours des informations morcelées, détachées de l'ensemble des administrations publiques. Par opposition, le contribuable, lui, a une vision plus globale et pratico-pratique de ce que les administrations publiques lui coûtent. Après s'être fait éplucher le salaire par les impôts, il paye des taxes de vente sur ses achats de biens et services, des taxes municipales, des taxes scolaires, des droits d'accise sur le pétrole, etc., etc. Ainsi quand ils entendent parler d'une augmentation de tarification des services publics, les contribuables voient immédiatement l'État leur imposer une surcharge financière sans aucune forme de compensation fiscale. Voilà pourquoi les contribuables perçoivent une hausse de tarification des services publics comme rien de moins qu'un impôt indirect. Les gros canons du Groupe de travail Montmarquette auront beau expliquer qu'une augmentation des tarifs gouvernementaux aura des répercussions bénéfiques sur une meilleure utilisation des services gouvernementaux, et ce, sans que les plus démunis de la société en soient pénalisés, leur message passera difficilement tant et aussi longtemps que la révision des tarifs ne fera pas partie d'une réforme plus globale de la redistribution des recettes fiscales. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/200901/09/01-692896-la-facture-fiscale-des-quebecois-95milliards.php
  3. Ottawa devrait adopter un plan de 33 milliards $ 6 janvier 2009 - 13h20 La Presse Canadienne Pour créer 400 000 nouveaux emplois - Ottawa devrait adopter un plan de 33 milliards $ Le Centre canadien des politiques alternatives souhaite qu'environ la moitié des dépenses soit investie dans des projets d'infrastructures. Le Centre canadien des politiques alternatives a pressé mardi le gouvernement fédéral d'adopter dans son prochain budget un plan d'aide de 33 milliards $ qui favoriserait la création de 400 000 nouveaux emplois. L'organisme a exhorté le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, à ne pas se fier uniquement sur les réductions d'impôts pour relancer l'économie. Selon l'organisme, la réduction d'impôts, en plus d'être une «voie politique facile», représente aussi la façon la moins efficace de stimuler l'économie. Le Centre canadien des politiques alternatives souhaite qu'environ la moitié des dépenses soit investie dans des projets d'infrastructures, et qu'un autre important montant soit réservé pour des mesures sociales comme l'assurance emploi pour les travailleurs mis à pied. De passage à Montréal mardi, le ministre Flaherty a répété que les réductions d'impôts feraient partie des mesures visant à stimuler l'économie dans son budget du 27 janvier.
  4. Des baisses d'impôts, des dépenses en infrastructures et de l'aide aux nouveaux chômeurs pourraient faire partie des mesures économiques dans le budget fédéral de la fin de janvier. Pour en lire plus...
  5. Le programme de stimuli économiques prôné par le président désigné Barack Obama comprendra pour des centaines de milliards US d'allégements fiscaux pour les particuliers et les entreprises. Pour en lire plus...
  6. Les réductions d'impôts envisagées par le président désigné risquent d'accentuer la pression sur le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, pour qu'il annonce aussi des baisses d'impôts dans son budget le 27 janvier. Pour en lire plus...
  7. La banque suisse a confirmé jeudi être revenue dans le vert au troisième trimestre grâce à un crédit d'impôts. Pour en lire plus...
  8. SAP Labs est à Montréal grâce à Québec Même si la Grande-Bretagne accuse le Canada de pratiques commerciales déloyales avec tous les crédits d'impôts que les provinces accordent à l'industrie du jeu, le premier ministre du Québec, Jean Charest n'y voit rien de mal. "Si on regarde ce qui se fait, on se rend rend compte que tous les pays le font, a-t-il déclaré en marge d'une conférence de presse pour souligner l'agrandissement des installations de SAP Labs à Montréal. Et nous le faisons en respectant les règles établies." Le dernier budget de la ministre Forget prévoit des crédits d'impôts de l'ordre de 30% sur les salaires des entreprises des technologies de l'information. "Avec le ralentissement économique, le gouvernement du Québec a instauré des crédits d'impôts pour que les compagnies investissent dans les TI", a rappelé le premier ministre. Québec a investi des sommes d'argent considérables dans l'expansion des locaux de SAP Labs, situés dans la Cité du Multimédia à Montréal, qu'on pense seulement aux crédits d'impôts qui ont été octroyés. Même chose pour la Ville de Montréal, dont le maire Gérard Tremblay y voit le résultat des grappes industrielles, concept cher à cet ancien ministre de l'industrie, du commerce et de la technologie, sous le gouvernement Bourassa au début des années 1990. "SAP contribue à la prospérité de la ville de Montréal" a souligné le maire Tremblay. Qu'une compagnie de renommée internationale soit implantée à Montréal, c'est à cause de la main d"œuvre hautement qualifiée, mais aussi "des frais d'exploitation qui y sont moindres que dans d'autres pays", a rappelé le maire. Bien entendu, des sociétés comme SAP Labs recherchent les meilleures conditions financières. Et c'est ce qui s'est produit à Montréal, où la création de centaines d'emplois n'aurait pas été possible, sans les partenariats entre les deux palliers gouvernementaux, a précisé le pdg de SAP Canada, Robert Courteau. Le développeur de solutions logicielles pour entreprises comptait 85 employés en 2003 à Montréal. Aujourd'hui, le laboratoire de recherche et de développement de SAP emploie plus de 400 personnes. Alors, que la Grande-Bretagne s'en plaigne ou non, les crédits d'impôts et autres mesures favorables à l'implantation de sociétés étrangères au Québec sont là pour rester. http://benefice-net.branchez-vous.com/actubn/2008/04/post_1.html
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