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Parachèvement de l'Autoroute 20 (Vaudreuil-Dorion)
un sujet a posté Cataclaw dans Projets oubliés et/ou en suspens
L'autoroute 20 à Vaudreuil est actuellement le seul segment de l'A-20 qui ne respecte pas les standards autoroutiers. Pas pour longtemps! Autoroute 20 - Parachèvement dans Vaudreuil-Soulanges Le projet de parachèvement de l’autoroute 20, qui s’étendra sur une longueur de 7 kilomètres, offrira aux usagers de la route quatre voies de circulation rapides dans les secteurs visés. Le nouveau tronçon de Vaudreuil-Dorion devra être déplacé de l’axe actuel et longera le chemin de fer du CN. Rapport du BAPE du en 2010, peut-être le début des travaux en 2011! Plus d'info: http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/6C01B6CB760F004CE04400144F0104BD -
Projet résidentiel Contrecoeur - 300 M$
un sujet a posté loulou123 dans Projets oubliés et/ou en suspens
La ville devient immobilier promoteur immobilier Pour la première fois de son histoire, la Ville de Montréal se lance dans un mégaprojet de développement domiciliaire évalué à 300 M$, dans l'est de la ville. L'administration Tremblay a confié à la paramunicipale SHDM le mandat de construire environ 1800 maisons, condos et appartements sur un vaste terrain, le site Contrecoeur, qui appartient à la Ville. Le projet doit être réalisé sur une période d'au moins cinq ans et le constructeur principal retenu à la suite d'un appel d'offres est la firme F. Catania. Le site est impressionnant avec ses 380 000 mètres carrés. Il est délimité au sud par la rue Sherbrooke, à l'ouest par la rue Pierre-Bernard, au nord par Anjou et à l'est par la carrière Lafarge, à Montréal-Est. Logements sociaux Les clientèles visées sont les familles, les revenus moyens, les retraités. Une place importante sera faite aux logements sociaux et, à ce chapitre, il a déjà été déterminé par l'administration de Montréal que plus de la moitié des logements seront de type «abordable» (39 %) et à caractère «social» (21 %). Une zone de maisons unifamiliales sera réservée au nord. Elle sera voisine de l'arrondissement d'Anjou. Cet important développement qui amènera près de 5000 personnes dans le quartier Maisonneuve est évalué à 300 M$. «Nous sommes excités, commente la mairesse de l'arrondissement, Lyne Thériault, mais le projet soulève quelques questions auxquelles l'hôtel de ville devra apporter des réponses.» Elle mentionne entre autres «les dépenses accrues auxquelles devra faire face l'arrondissement pour fournir les services publics à cette nouvelle population». Des parcs L'entreprise est colossale. La SHDM doit prévoir plusieurs zones de développement avec ses rues, ses parcs, ses infrastructures et ses unités d'habitation. À l'extrémité est, les nouveaux quartiers seront voisins de la carrière Lafarge. «Je n'ai pas d'inquiétude quant à cette proximité. Le projet prévoit une large bande verte avec des arbres pour atténuer le bruit et la poussière et autres nuisances liées à l'exploitation de la carrière», soutient la mairesse. Une zone de commerces est aussi aménagée le long de la carrière, dans la partie sud du nouveau quartier. Le projet domiciliaire rapportera 5 M$ et plus de taxes municipales annuellement dans les coffres de la Ville.- 68 réponses
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Héritage Montréal dénonce la construction de passerelles aériennes entre de nouveaux édifices du centre-ville. L'organisme estime que cela va à l'encontre des politiques de la ville qui ont plutôt favorisé par le passé le développement du Montréal sous terrain. Un reportage de René Saint-Louis La construction de passerelles est interdite à Montréal en vertu de l'article 353 du règlement d'urbanisme. Mais, exceptionnellement, les élus peuvent les autoriser selon des règles précises (voir en fin d'article). Par exemple, elles ne doivent pas être attenantes à un bâtiment patrimonial. La décision des élus de l'arrondissement Ville-Marie d'autoriser la construction d'une passerelle à proximité de la Gare Windsor, édifice classé, déplaît donc à Héritage Montréal. « Il y a une question de qualité d'aménagement, parce que des passerelles au-dessus des rues, c'est vraiment une chose qui est contraire au modèle montréalais d'aménagement, soutient le porte-parole de l'organisme, Dinu Bumbaru. On a développé la ville souterraine à Montréal. » « On va créer des précédents et finir comme les villes de l'Ouest (Saint Paul au Minnesota ou l'Alberta) où les centres-villes sont encombrés de passerelles qui empêchent le ciel d'être public finalement. C'est un très mauvais précédent qui n'est pas recevable. » — Le porte-parole d'Héritage Montréal, Dinu Bumbaru Cette passerelle qui enjambera la rue Saint-Antoine reliera une tour résidentielle de 37 étages, la Tour des Canadiens 2, au centre Bell. Ces dernières années, des dérogations ont aussi été accordées pour construire des passerelles au nouveau Centre hospitalier de l'Université de Montréal, à l'École de Technologie supérieure, et à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Le professeur à l'école d'urbanisme de l'Université de Montréal, Gérard Beaudet, s'inquiète de cette tendance. « On ne semble pas avoir une vision globale, dit-il. Pour l'instant, les choses se font à la pièce. Quand on regarde l'expérience de certaines villes de l'Ouest canadien et de plusieurs villes des États-Unis, on peut penser que ce n'est pas le meilleur choix d'un point de l'urbanisme. On a l'impression actuellement que ce sont les promoteurs qui sont aux commandes et que la ville improvise. » Il s'inquiète aussi du milieu de vie pour les piétons dans ce secteur du centre-ville en plein développement. « Il ne faut pas justifier des passerelles parce que le quartier n'est pas fréquentable pour les piétons à l'heure actuelle », souligne-t-il. L'Office de consultation publique de Montréal et le Conseil du patrimoine de la ville et le Comité Jacques-Viger s'opposent aussi à la construction de passerelles aériennes. Critères pour permettre une dérogation et autoriser la construction d'une passerelle : Une passerelle devra relier deux bâtiments d'un ensemble détenu par un même propriétaire; La portion de rue où se trouve la passerelle ne devra pas présenter de perspectives visuelles intéressantes vers un repère bâti ou naturel important, tels le massif du centre-ville, le Mont-Royal ou un bâtiment d'intérêt patrimonial. La perspective devra idéalement présenter un champ visuel fermé; Interdire la construction d'une passerelle sur les axes structurants jouant un rôle dans la perception de Montréal et offrant notamment des vues sur les grandes composantes de son paysage urbain (rues d'ambiance, rues commerciales, axes commémoratifs et historiques, liens stratégiques à valoriser, grands axes et parcours d'accès au Centre), par exemple la rue Notre-Dame Ouest et la rue Peel. Exigences : Une passerelle ne devra pas être attenante à un bâtiment identifié comme ayant un intérêt patrimonial ou architectural; Une passerelle devra uniquement être localisée aux étages supérieurs d'un bâtiment à partir du 3e étage. Ceci permettra de limiter les impacts sur le paysage urbain des rues, ainsi que de maximiser les conditions d'ensoleillement du domaine public; Une passerelle devra avoir une hauteur limitée à un maximum correspondant à la hauteur de l'étage desservi (maximum un étage); La partie du rez-de-chaussée d'un bâtiment qui est localisée sous une passerelle devra comporter des activités génératrices d'animation. http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/01/27/pour-ou-contre-la-construction-de-passerelles-a-montreal_n_9087188.html
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Place Charles-Le Moyne : un centre des congrès et un nouvel hôtel en vue ?
un sujet a posté Miska dans L'actualité
Place Charles-Le Moyne : un centre des congrès et un nouvel hôtel en vue ? L’évaluation foncière du projet devra être supérieure à 80 M$ Alexandre Lampron Le Courrrier du Sud - Publié le 14 juillet 2011 à 11:40 LONGUEUIL. La Ville de Longueuil vient d’approuver une entente majeure avec la société immobilière Maestri Terra pour la mise en valeur de certains lots situés dans la partie du stationnement P-2, à proximité de la bretelle d’accès du pont Jacques-Cartier, dans le secteur de la station du métro de Longueuil. Le projet prévoit entre autres un centre de congrès, un complexe hôtelier, des espaces commerciaux et résidentiels et un stationnement souterrain. Selon les documents obtenus par Le Courrier du Sud, la société immobilière Maestri Terra, dont la présidence est actuellement occupée par l’homme d’affaires bien connu à Longueuil Jean-Guy Parent, désire participer au développement d’une partie de ce secteur fort névralgique de la ville. Ces documents précisent spécifiquement que «l’évaluation foncière minimum de ce projet devra être supérieure à 80 M$». «L’entente prévoit que le terrain est réservé pour une durée d’un an, en échange d’une somme mise en garantie (25 000$), le temps de réaliser les études de faisabilité, dont les résultats seront ensuite communiqués à la Ville, a expliqué la porte-parole de Longueuil, Alexandrine Coutu. La somme proposée au pi2 est d’environ 60$ par rapport à la quarantaine de dollars pour le prix payé pour des terrains comparables dans le même secteur, notamment le projet Blü Rivage.» Des détails Ainsi, les informations obtenues par Le Courrier du Sud confirment que le promoteur devra réaliser, d’ici au 30 juin 2012, les études avant le démarrage d’un éventuel projet de construction. Cela comprend des études de marché, des concepts d’aménagement préliminaires, le démarchage pour adjoindre la municipalité à un groupe hôtelier, la prospection de différents locataires pour des composantes de bureaux et commerciales, ainsi que le plan de mise en marché de la composante habitation. «À la fin de cette période, le promoteur bénéficiera aussi d’une option d’achat de ce terrain, d’une superficie de 11 200 m2, jusqu’au 30 décembre 2012, au prix de 645$ le m2, pour un montant total de 8 229 942$, taxes comprises, ce qui constitue la valeur du marché tel qu’établi par la Direction de l’évaluation municipale», peut-on lire dans les documents de la Ville. De plus, il est également précisé que «les activités du complexe immobilier devront s’inscrire en complémentarité de l’Université de Sherbrooke». Ainsi, une passerelle pourrait relier le projet au campus situé en face. Le projet tel que présenté par Maestri Terra devra également faire l’objet d’une approbation du comité consultatif d’urbanisme (CCU), conformément à la réglementation municipale actuellement en vigueur. «La Ville sera partie prenante des études, faisant un suivi régulier, permettant de mieux planifier la mise en valeur et le développement des îlots avoisinants», précise-t-on dans les documents. Aucun appel d’offres? Étrangement, Le Courrier du Sud a constaté qu’aucun appel d’offres n’avait été produit et lancé par la Ville de Longueuil dans le cadre de cet immense projet. La porte-parole de la municipalité a pour sa part expliqué que «rien ne le prévoit dans la loi». «Cependant, par souci de transparence, ces transactions sont rendues publiques, a ajouté Mme Coutu. Dans ce projet spécifiquement, deux groupes étaient intéressés par le terrain. Le projet retenu était le plus structurant pour le secteur et entraînait à long terme les retombées plus importantes pour la Ville de Longueuil.» -
Revitalisation Un nouveau visage pour la rue Jarry Est Le secteur Est de la rue Jarry connaîtra une profonde transformation au cours des prochaines années. Dans le but d’amorcer une véritable revitalisation de cette artère, le conseil d’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension a octroyé, lors de sa séance du 1er juin dernier, un contrat de 108 253 $ à la firme AECOM pour l’élaboration d’une étude de planification détaillée. Le consultant travaillera d’ailleurs en étroite collaboration avec les professionnels de divers services à la Ville ainsi qu’avec les partenaires du milieu que sont les commerçants, les industriels et les organismes communautaires. Une stratégie de développement économique La première étape de cette démarche consistera à mener une étude sur la stratégie de développement économique du secteur. On dressera d’abord un portrait socioéconomique de la population résidant dans la zone de la rue Jarry Est, puis on dénombrera les entreprises actives dans le milieu. Il faudra aussi cerner les besoins des résidants ainsi que les opportunités d’affaires en vue. En plus de jauger le potentiel financier, la firme évaluera les fuites commerciales potentielles et établira des comparaisons avec des projets semblables afin d’établir une stratégie de développement pour l’artère. Urbanisme en tête On abordera ensuite les thèmes de l’urbanisme, du design urbain et de l’architecture. Les experts produiront des analyses qui permettront d’encadrer le redéveloppement immobilier. Réaménagement du domaine public Le troisième volet visera le réaménagement du domaine public où une recension des composantes actuelles devra être effectuée. On compte également proposer des scénarios de réorganisation respectant l’ensemble des objectifs sectoriels, les orientations des documents de planification et d’encadrement adoptés par la Ville. Une évaluation du coût de mise en oeuvre de ces plans d’action devra suivre ces propositions. La totalité des études devra être réalisée d’ici la fin décembre 2010. Au cours de la dernière étape, on produira un plan particulier d’urbanisme où seront intégrées les recommandations résultant des analyses et des discussions précédentes. « http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/arr_vill_fr/media/documents/tournesol_aout_10.pdf
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Montréal accueillera 100 000 visiteurs de moins cette année
un sujet a posté ErickMontreal dans L'actualité
Tourisme Montréal accueillera 100 000 visiteurs de moins cette année 28 avril 2009 - 10h52 Carl Renaud Argent Le nombre de touristes qui vont visiter Montréal va glisser de 1,6% en 2009 selon Tourisme Montréal. L’organisme estime que la métropole accueillera 6,89 millions de visiteurs pour des séjours de plus de 24 heures, soit 110 000 visiteurs de moins que l’an dernier. Malgré la chute du nombre de visiteurs, Tourisme Montréal anticipe que les dépenses des touristes vont rester stables aux environs de 2,12G$. L’industrie touristique montréalaise devra cependant multiplier les efforts pour lutter contre le ralentissement économique qui menace la saison 2009. Tourisme Montréal a choisi de miser sur le web pour vendre Montréal dans de nouveaux marchés et rejoindre une clientèle moins touchée par le marasme économique. Une attention particulière sera apportée aux voyageurs des marchés nord-américain, français, britannique et mexicain.-
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Québec devra plier sur les paradis fiscaux Publié le 16 février 2009 à 06h13 | Mis à jour à 06h16 Francis Vailles La Presse (Montréal) Alors que le gouvernement du Québec est au coeur d'une bataille contre l'audace fiscale des entreprises, tout indique qu'il devra reculer sur un élément important impliquant des paradis fiscaux, comme l'a fait récemment fait le fédéral. Dans le dernier budget, le ministre canadien des Finances, Jim Flaherty, a abandonné un article de la Loi de l'impôt qui, s'il avait été mis en vigueur, aurait fermé la porte à un stratagème utilisé par les multinationales. L'article de loi 18.2 devait entrer en vigueur en 2012. Essentiellement, par l'entremise d'un paradis fiscal comme la Barbade, les multinationales canadiennes sont en mesure d'obtenir deux déductions d'impôts pour une même dépense d'intérêts encourues sur un emprunt servant à investir à l'étranger. En mai 2007, Jim Flaherty considérait ce stratagème comme de l'évitement fiscal, ce qui l'avait amené à modifier la Loi, en décembre 2007, pour en interdire l'utilisation. Mais en janvier 2009, dans le budget, le ministre s'est finalement rangé à l'avis du Groupe consultatif sur le régime canadien de fiscalité internationale qui demandait l'abandon de cet article 18.2. Aujourd'hui, c'est le gouvernement du Québec qui est pris avec ce problème. En effet, le Québec avait emboîté le pas au fédéral, bloquant lui aussi le stratagème. Ainsi, à l'heure actuelle, le stratagème est interdit au Québec à partir de 2012, mais permis ailleurs au Canada. Au ministère des Finances du Québec, on est peu loquace. «Les décisions concernant l'harmonisation de la législation québécoise aux mesures fiscales contenues dans le dernier budget fédéral seront annoncées lors du prochain budget du Québec», nous a indiqué la porte-parole, Catherine Poulin. Selon nos informations, le Ministère devra se plier à la volonté des entreprises, lui aussi, question de ne pas pénaliser les entreprises du Québec par rapport à celles des autres provinces. Audace fiscale Pour le ministère des Finances du Québec, cette situation survient en pleine période de consultation sur les «planifications fiscales agressives», définies comme des opérations d'évitement fiscal respectant la lettre de la loi, mais non l'esprit. Le gouvernement songe à obliger les entreprises à divulguer les opérations menant à un avantage fiscal. À défaut de divulguer l'opération dans les 30 jours, les entreprises s'exposeraient à des pénalités variant entre 10 000$ et 100 000$. La communauté d'affaires a réagi promptement à cette consultation, demandant cependant qu'elle soit allongée d'un mois, ce qui a été accordé. Les intéressés ont donc jusqu'au 1er avril pour soumettre leur mémoire. Dans le cas de l'article 18.2, la communauté d'affaires a fait d'intenses pressions auprès du fédéral et du Groupe pour que l'article soit abrogé. Deux arguments ont prévalu. D'abord, plusieurs autres pays permettent la double déductibilité des intérêts, disent-ils, et l'interdiction d'Ottawa diminuerait la compétitivité des entreprises canadiennes. Ensuite, le perdant d'un tel stratagème utilisé par les multinationales canadiennes n'est pas le fisc canadien, mais le fisc étranger. En effet, si les multinationales canadiennes investissaient dans un tiers pays sans passer par un paradis fiscal, leur emprunt au Canada pour ce faire serait tout aussi déductible. Les opposants au stratagème, tel André Lareau, de l'Université Laval, estiment que les multinationales contournent l'esprit des lois fiscales, selon lesquelles une seule déduction d'impôts peut être permise pour une même dépense, déduction qui doit éventuellement procurer un revenu imposable. Quoi qu'il en soit, les études réalisées pour le Groupe consultatif devraient nous éclairer. Elles n'ont toutefois pas encore été rendues publiques, même si le Groupe a publié son rapport final. Au ministère canadien des Finances, on justifie le délai de quelques semaines par l'obligation de traduire les études en français.
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Pour la deuxième fois en moins d'un an, la Caisse de dépôt et placement du Québec devra trouver un nouveau patron. Pour en lire plus...
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La Caisse de dépôt n'est pas au bout de ces peines dans le dossier du papier commercial (PCAA). Tout indique qu'elle devra à nouveau dévaluer son placement de quelque 2 milliards de dollars, a pu constater La Presse. Pour en lire plus...
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Le Canada devra jouer un rôle moteur dans une réforme du G8 pour y inclure les grandes économies émergentes, faute de quoi il risque la marginalisation internationale. Pour en lire plus...
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La Banque du Canada estime qu'elle devra «probablement» réduire encore son taux directeur pour ramener l'inflation à sa cible de 2% à moyen terme, indique son Premier sous-gouverneur, Paul Jenkins. Pour en lire plus...
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Publié le 27 septembre 2008 à 10h20 | Mis à jour le 27 septembre 2008 à 10h21 Le Québec jaloux de l'Alberta François Cardinal La Presse On a beau montrer l'Alberta d'un doigt accusateur, cracher sur son pétrole et mépriser son indifférence pour l'environnement, dans le fond, avouons-le, on est un peu jaloux Jaloux des «chèques de prospérité» distribués annuellement aux Albertains, des milliards qui s'empilent dans les coffres du gouvernement et de la relative insouciance de cette province face à la crise économique qui s'étend. Pourquoi eux et pas nous? Pourquoi l'Alberta, Terre-Neuve et la Saskatchewan peuvent-elles tirer profit de l'or noir, tandis que nous nous contentons de tirer une grande fierté de notre or bleu? C'est la question que pose le Parti québécois qui, depuis son voyage estival en Norvège, s'est converti aux bienfaits des pétrodollars. À preuve, cet important changement rhétorique dans le discours péquiste: il est moins question de réduire notre dépendance au pétrole, que de réduire notre dépendance au pétrole étranger. Remarquez, sur le plan économique, les intentions de Pauline Marois se défendent très bien. Le Québec se ruine en important son pétrole. L'an dernier, la balance commerciale du secteur énergétique affichait un déficit de 10 milliards. Sur le plan environnemental, par contre, les choses sont moins claires. Pour convaincre les Québécois du bien-fondé de l'exploration pétrolière et gazière dans le Saint-Laurent, le Parti québécois devra répondre à de nombreuses questions et pas seulement celles qui concernent les baleines. Est-il pertinent, par exemple, de se lancer dans une aventure aussi coûteuse et risquée, au moment où un nombre grandissant de pays occidentaux se fixent l'objectif de s'affranchir du pétrole? Rappelons d'ailleurs que Mme Marois a affirmé dans le passé pouvoir libérer le Québec de sa dépendance pétrolière en seulement 10 ans. Dépenserait-on la même énergie pour atteindre cet objectif au lendemain d'un forage réussi dans le Saint-Laurent? Le PQ fait miroiter des redevances de 20 milliards en 10 ans. Mais pour que l'État touche autant d'argent, il ne pourra se contenter de forer dans les basses-terres du fleuve, là où l'impact environnemental est limité. Il devra explorer au large des Îles-de-la-Madeleine, ce qui est une tout autre histoire sur le plan environnemental. Certes, il y a sur les tablettes un rapport du BAPE qui trace la voie à suivre pour réduire l'impact des levés sismiques dans le Golfe, mais rien sur les autres impacts potentiels (risques de déversements, construction d'énormes plateformes, etc.). Comment la formation de Mme Marois convaincra-t-elle les groupes écolos, qui ont toujours eu une grande influence au sein de son parti? En réponse à ces questions, le PQ dit vouloir s'inspirer de la Norvège, qui fait les choses autrement. On y émet par exemple une quantité limitée de gaz à effet de serre par baril de pétrole produit ce qui se traduit néanmoins par de grandes quantités d'émissions lorsque l'on additionne tous les barils. La Norvège est d'ailleurs très loin de sa cible Kyoto. Que fera-t-on pour éviter que les émissions globales du Québec explosent? Si le PQ compte faire de ce projet un cheval de bataille des prochaines élections, il devra donc préciser ses intentions dans le menu détail, énumérer les avantages autres qu'économiques de son projet, et prouver qu'il peut faire les choses sans trop de dégâts. Bref, il devra aller au fond de la question avant de creuser au fond de l'eau. courriel Pour joindre notre journaliste francois.cardinal@lapresse.ca Ne manquez pas dans le cahier PLUS: L'Alberta saoudite, une grande série sur l'exploitation des sables bitumineux et ses effets, de Agnès Gruda et François Cardinal. Treize chars! On savait que John McCain possède sept maisons. On apprend maintenant ce que contiennent ses nombreux garages: 13 rutilantes voitures, révèle Newsweek. Alors que le couple Michele et Barack Obama se contente pour sa part d'une seule auto. On pourrait croire que cela fait scandale dans un pays aux prises avec de si graves problèmes économiques. Mais ce n'est pas vraiment le cas. La seule véritable indignation a été manifestée par les United Auto Workers (Travailleurs unis de l'automobile), qui se désolent que dans le lot, on compte une Volskwagen et une Honda. Deux autos étrangères, quelle honte! Le courrier VERT QQu'est-ce qui pollue moins, la conduite avec ou sans «cruise control»? (Anonyme) RTout dépend de la route sur laquelle vous vous déplacez, selon le site spécialisé Edmunds.com. Sur une autoroute plane, le régulateur de vitesse vous permettra en effet de réduire votre consommation d'essence et, ainsi, de moins polluer. La conduite est alors plus douce, moins agressive, ce qui réduit les à-coups. Sur une route montagneuse, par contre, le régulateur a l'effet inverse: il exige plus de carburant, parce qu'il oblige la voiture à s'ajuster continuellement au terrain changeant. Edmunds.com Supermarché de CO2 Alors que l'Amérique du Nord s'éveille aux bienfaits de l'échange de droits de polluer, l'Europe bat des records. La Presse a révélé cette semaine la création prochaine de la deuxième Bourse du carbone en importance au monde, à laquelle le Québec participera. Comme pour lui donner raison, le marché climatique européen (Bluenext) a annoncé le jour même avoir enregistré un nombre de transactions record en une seule journée: plus de 2 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre. Chaque tonne échangée (au coût de 37$ CAN) signifie qu'une entreprise a réussi à polluer moins que permis.
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