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  1. Berlin: pauvre, mais sexy. Montréal s'est donné jusqu'en 2017 pour devenir une authentique métropole culturelle. En attendant, nous sommes allés enquêter à Berlin, Milan et Portland, trois villes comparables à Montréal sur les plans de la taille et de la population, voir comment la culture s'y portait. D'une ville à l'autre, nous avons découvert des scènes culturelles très différentes, mais qui avaient en commun, avec Montréal, un appétit pour la création et la créativité. Dernier constat: Montréal a peut-être encore deux ou trois choses à envier aux autres métropoles culturelles, mais plus pour très longtemps. Berlin chante, compose, peint, performe, écrit, installe et crée. Berlin danse, au Ballet national, avec Sasha Waltz au Radialsystem V, au milieu de bunkers de fortune, dans des clubs qui ouvrent et ferment au gré des saisons, sur les terrains vagues le long de la rivière Spree, au Tanz im August Festival. Berlin danse, mais joue aussi avec le feu. «Berlin est une ville euphorisée par la drogue, accro aux subventions, qui se dirige tout droit vers la catastrophe parce qu'ici, tout le monde accepte le chaos.» Ces paroles sont de Klaus Lemke, le mauvais garçon du cinéma indépendant. Bien qu'elles aient été rapportées par la presse en février, c'est à peine si Berlin les a entendues. Cause toujours, Klaus... Pourtant, tous les acteurs et intervenants culturels rencontrés dans le cadre de ce reportage m'ont répété la même chose avec dans le regard à la fois un brin d'inquiétude et une lueur d'anticipation ravie. «Nous sommes comme des alcooliques qui refusent d'admettre leur alcoolisme. Nous n'avons plus d'argent, mais nous continuons à en dépenser comme des malades», m'a lancé Matthias Lilienthal, qui dirige le HAU, une des salles branchées les plus en vue de Berlin. Pauvre, mais sexy Berlin est à un tournant, c'est clair. Avec une dette publique de plus 60 milliards qui flambe 5 ou 6 millions d'euros en intérêts par jour, un taux de chômage autour de 12,7% et 20% de la population sur l'aide sociale, la ville frôle la faillite. Et pourtant, sa situation précaire la rend plus dynamique et créative que jamais avec en prime une troisième place au classement des métropoles culturelles de l'Europe, après Londres et Paris. Depuis la chute du mur en 1989 et grâce à la pluie féconde et abondante des subventions, Berlin est devenu la capitale mondiale de la danse contemporaine, de la performance, des arts visuels et de la musique classique et électro-acoustique. Tous les ans, neuf millions de touristes s'y précipitent, attirés par l'offre culturelle. Mieux encore: les artistes du monde entier se battent pour y vivre, séduits par l'ambiance bohème, l'énergie créative et la vie bon marché. Les autorités leur accordent même un visa spécial d'artiste, leur permettant d'y résider aussi longtemps qu'ils le veulent et d'avoir accès à un fonds annuel de 27 millions. «Le fonds est ouvert à tous les artistes, sans égard à leur passeport. Un seul critère: leur projet doit être audacieux, innovateur et non commercial», me lance sans sourciller, un fonctionnaire de la chancellerie de la Culture de Berlin, qui consacre 500 millions d'euros par année à la culture. Somme à laquelle s'ajoutent annuellement 400 millions d'euros versés par le gouvernement fédéral. En 2003, Klaus Wowereit, le maire ouvertement gai de Berlin, a eu cette phrase célèbre: Berlin est pauvre, mais sexy. L'expression a non seulement trouvé preneur sur les t-shirts, elle est aussi devenue la marque de commerce de la ville. Va pour la ville pauvre et sexy, mais comment expliquer que, malgré le chômage et la fuite des capitaux et des industries, les opéras, les théâtres, les orchestres symphoniques et les salles de spectacles marchent à plein régime tous les soirs? «Parce que Berlin compte 3,5 millions d'habitants et au moins 4,5 millions de dépisteurs de nouveauté, qui ne veulent pour rien au monde manquer la nouvelle affaire qui n'est pas encore née», blague Matthias Lilienthal. Plus sérieusement, le directeur du HAU ajoute: «Les Berlinois se définissent par la culture. La culture, pour eux, c'est aussi naturel que l'air qu'ils respirent. C'est dans leur ADN.» Chaque soir est un spectacle Le metteur en scène Marius von Mayerburgh offre une autre explication. Auteur en résidence du Schaubühne, un théâtre semi-privé qui ressemble au TNM, il m'initie à l'étonnant système qui a cours au Schaubühne comme partout ailleurs. Le système est basé sur une rotation quotidienne. Si vous êtes à Berlin pour trois jours, vous pourrez ainsi assister à un opéra différent chaque soir au Komische ou avoir le choix entre un Brecht, un Shakespeare et une pièce de Sarah Kane, au Schaubühne, le tout interprété par la même troupe d'acteurs permanents. «Nos acteurs jouent sept ou huit rôles différents par mois, dit l'homme de théâtre. Ça les garde en forme. Pour les touristes, c'est un système flexible qui offre plus de choix et pour les Berlinois, quand ça fait trois ou quatre mois qu'ils entendent parler d'une pièce, le bouche à oreille finit par les rattraper.» Diversité, flexibilité, abondance, la culture à Berlin est accessible partout et tout le temps. Mais il y a une autre raison qui explique la forte fréquentation culturelle: «Berlin a les loyers les moins chers d'Europe, avance Matthias Lilienthal. Quand ton loyer ne te coûte pas la peau des fesses, tu as de l'argent pour sortir et te cultiver, pas juste pour manger et dormir.» Des loyers pas chers: c'est le nerf de la guerre, l'argument répété 100 fois par le milieu culturel et par Guillaume Coutu-Dumont, un musicien et DJ de l'électro pop et un des jumeaux de l'actrice Angèle Coutu. Âgé de 33 ans et père d'un jeune enfant, Guillaume est arrivé à Berlin en 2007, en même temps qu'une douzaine d'amis musiciens montréalais. Sur le lot, seulement deux sont repartis depuis, dont son jumeau, Gabriel. Il me reçoit dans un appartement vaste et lumineux du quartier Kreuzeberg. Serge Gainsbourg joue en sourdine pendant qu'il prépare du thé. «Le rythme de vie relax d'ici me rappelle Montréal, plaide-t-il. Les gens sont cool. Les rues sont grandes. Il y a de la place. On peut respirer. L'été, c'est tout vert. Bref, c'est un cadre de vie agréable et puis on est à une heure d'avion de n'importe quelle autre ville européenne. Pour la musique que je fais, c'est l'idéal. Sans compter que pour composer, je loue un grand studio éclairé qui me coûterait 10 fois plus cher ailleurs.» Il y a cinq ans, en débarquant dans un Berlin en pleine réunification, ce qui a frappé le musicien montréalais, ce ne sont pas tant les grues qui griffaient le ciel et les cathédrales d'architecture contemporaine qui poussaient partout que le climat de grande liberté. Il me cite l'exemple d'amis italiens qui ont décidé de retaper un local abandonné pour y ouvrir un restaurant. «Ils n'avaient pas de permis et pendant deux ans, personne n'est venu leur en demander, dit Guillaume. Berlin est la ville la plus libérale que je connaisse. Tu peux présenter un show, partir un bar, ouvrir une galerie où tu veux. À Paris, si tu veux organiser le moindre évènement, il te faut 127 permis et trois toilettes chimiques. Les autorités d'ici n'infantilisent pas les gens et font confiance à leur sens des responsabilités.» N'empêche. Parce qu'il veut que son fils aille à l'école en français et se frotte à ses racines québécoises, Guillaume prévoit revenir à Montréal dans trois ans. Mais il sait que quitter Berlin sera difficile. «Berlin, aujourd'hui, c'est comme Paris dans les années 20, Londres dans les années 60 ou New York dans les années 70. Il n'y a aucune autre ville en ce moment qui bat l'effervescence, la vitalité et la créativité de Berlin, lance la journaliste et critique Renate Klett, auteure d'un livre d'entretiens avec Robert Lepage. «Quand c'est rendu que des amis new-yorkais t'appellent pour te dire qu'ils viennent d'acheter un appartement à Berlin, c'est le signe qu'il se passe quelque chose», dit-elle avant de laisser tomber: «Le revers, c'est que depuis que tout le monde veut venir à Berlin, les loyers ont augmenté de 20%, ce qui n'augure rien de bon pour l'avenir.» De la controverse et des positions radicales Thomas Oberender est le nouveau directeur du Bureau des festivals de Berlin - le Berliner Festspiele -, une instance fédérale créée il y a 60 ans qui réunit une douzaine de festivals de jazz, de théâtre, de musique classique et contemporaine, sans oublier la Berlinale du cinéma. Ce qu'il a souhaité en entrant en fonction en janvier? Plus de rentabilité pour les festivals? Non. Plus de controverse et de positions esthétiques radicales. Je lui demande pourquoi, un mois plus tard dans son bureau. «Il ne peut y avoir de création sans controverse ni clash d'idées. La controverse est un puissant moteur qui empêche la culture de s'embourgeoiser. Ce que j'aime de Berlin, c'est le mélange de glamour et de trash, de haut et de bas de gamme. Ici, il n'y a pas de nouveaux riches comme à Munich. Ici, il y a encore beaucoup d'espaces libres, ouverts et fluides où tout est possible.» La recherche du plan C L'espace le plus ouvert et le plus fluide de Berlin est sans contredit le Radialsystem V, une ancienne usine de pompage, rénovée au coût de 10 millions d'euros par un investisseur privé. Cet espace pour les arts et les idées, de 3000 mètres carrés, équipé de deux théâtres, trois studios et d'une superbe terrasse sur le Spree, a ouvert ses portes en 2006. Le succès a été fulgurant et instantané, et cela, malgré le fait qu'il s'agisse du seul lieu culturel non subventionné de Berlin. «On a deux coeurs dans notre corps, raconte Folkert Uhde, un des cofondateurs. Un pour la business, l'autre pour la création pure. La rumeur, c'est que les gens viennent ici sans savoir ce qui est l'affiche, mais convaincus que ça sera intéressant.» Et ça marche! Chaque année, le Radialsystem V vend 40 000 billets pour 180 spectacles explorant des avenues non conventionnelles en musique, chant, danse et performance. «C'est vraiment une belle époque pour les arts à Berlin, mais le poids de la dette fait peur», dit Folkert Uhde. En avril 2011, le Radial-system V était l'hôte d'une grande séance de remue-méninges qui avait pour credo: «Capitalisez vos cellules grises, carburez avec la crise.» La centaine d'intervenants du réseau international des arts de la scène en sont venus à une conclusion étonnante: c'est parce que Berlin est en crise que la ville est aussi dynamique et créative. Depuis, les artistes de Berlin sont à la recherche d'un planC pour maintenir ce fragile équilibre entre la création et la crise. Non seulement vont-ils finir par le trouver, mais ce planC devrait inspirer bien des métropoles culturelles, y compris Montréal. 5 IDÉES DE BERLIN > Exiger de l'audace et de l'innovation des créateurs. > Ne pas avoir peur de la controverse et des positions esthétiques radicales. > Accorder un visa spécial aux artistes étrangers qui veulent vivre et créer à Montréal. > Garder bas les loyers des studios et des ateliers d'artiste. > Encourager le mélange des disciplines artistiques. nb:Portland métropole internationale ??????Heuhhhhhhhhh http://www.cyberpresse.ca/arts/201203/23/01-4508765-berlin-pauvre-mais-sexy.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics_sujets-a-la-une_1664122_accueil_POS4
  2. Le Groupe Akka Technologies s'implante à Montréal 4 novembre 2010 | 09h23 Le groupe européen d'ingénierie AKKA Technologies s'implante à Montréal, d'où il entend rayonner partout en Amérique du Nord. AKKA Groupe Amérique du Nord prévoit embaucher plus de 100 personnes «à court terme». La société française compte plus de 5600 employés dans 11 pays à travers le monde. Au dernier semestre terminé le 30 juin, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 197,5 millions d'euros, en hausse de 19,8%, générant un bénéfice avant impôts de 10,7 millions d'euros. Les activités internationales du groupe ont représenté 11,6% du chiffre d'affaires total de la société. AKKA affirme qu'elle entend développer des «partenariats stratégiques» avec des entreprises locales dans les secteurs de l'aérospatiale, du ferroviaire et des nouvelles technologies alternatives. «AKKA Technologies reconnaît l'importance du Québec dans des industries majeures telles que l'aérospatiale et le ferroviaire. La connaissance approfondie d'AKKA Technologies dans ces secteurs d'excellence du Québec permettra d'apporter un savoir-faire ainsi que des solutions innovantes et créatives qui profiteront à toute notre industrie », a commenté dans un communiqué le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac. AKKA a reçu l'aide de Montréal International pour son implantation dans la métropole. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/11/20101104-092356.html
  3. Le déficit de la France double en un an * Presse Canadienne, * 4 septembre 2009 Le déficit budgétaire de la France a atteint 109 milliards d'euros (169 milliards de dollars) au 31 juillet dernier, soit plus du double de l'année précédente, a annoncé vendredi le ministère du Budget, qui souligne que ce bond "s'explique principalement par le poids de la conjoncture économique". Le déficit budgétaire français était de 51,4 milliards d'euros à la même date en 2008. Cette hausse de 57,6 milliards d'euros "s'explique principalement par le poids de la conjoncture économique sur l'évolution des recettes et, à hauteur de 25,8 milliards d'euros, par l'effet des différentes mesures de soutien à l'économie", précise le ministère dans un communiqué. Au 31 juillet 2009, les dépenses totales de l'Etat atteignent 215,2 milliards d'euros -contre 204,4 milliards l'année précédente- et les dépenses exécutées au titre du plan de relance s'élèvent à 8,5 milliards d'euros. A la même date, les recettes du budget général s'établissent à 133,8 milliards d'euros contre 175 milliards d'euros l'an dernier. A noter que le produit des recettes fiscales est en baisse de 26,5 milliards d'euros par rapport à 2008.
  4. Le Québec augmente de 40% sa contribution à TV5Monde Il y a 14 heures PARIS (AFP) — Le Québec va augmenter de 40% sa contribution à la chaîne francophone internationale TV5Monde, qui va passer à 2,9 millions d'euros, afin d'y accroître la programmation québécoise, a annoncé lundi à Paris la ministre de la Culture du Québec, Christine St-Pierre. Le gouvernement du Québec va verser 1,5 million de dollars (900.000 euros) supplémentaires à TV5Monde, afin de "renforcer la contribution québécoise aux opérations de la chaîne", notamment concernant le sous-titrage, précise dans un communiqué Mme St-Pierre, qui a visité les locaux de la chaîne à Paris. Cette "augmentation de 40%" porte la contribution québécoise à environ 2,9 millions d'euros, a expliqué à l'AFP la directrice générale de TV5Monde, Marie-Christine Saragosse. Un montant supplémentaire de 400.000 dollars (250.000 euros) sera également alloué à TV5Québec Canada, la branche canadienne de TV5Monde qui émet en langue française dans tout le Canada. Quelque 240.000 dollars (150.000 euros) seront par ailleurs alloués pour la "libération des droits d'auteurs". "Grâce à ces enveloppes, TV5Monde va pouvoir programmer du cinéma québécois", s'est félicité Mme Saragosse. Au total, la participation québécoise à TV5Monde et TV5Québec Canada atteindra 7 millions de dollars (4,4 millions d'euros) en 2009. Mme St-Pierre a souligné "l'importance de continuer à soutenir TV5Monde et TV5Québec Canada, qui doivent demeurer compétitifs dans un environnement hautement concurrentiel". Partenaire de la holding publique Audiovisuel extérieur de la France (AEF), qui coiffe la chaîne France 24 et Radio France Internationale (RFI), TV5Monde dispose d'un budget de 97,5 millions d'euros, auquel l'Etat français contribue pour 71 millions d'euros, les partenaires étrangers (Belgique, Canada, Québec, Suisse) pour 18 millions d'euros, le reste étant assuré par des recettes propres.
  5. Le sport n'est pas épargné par la crise 16 décembre 2008 - 08h38 Agence France-Presse Des clubs comme Chelsea sont lourdement endettés malgré la présence du milliardaire russe Roman Abramovitch. La crise financière n'a pas épargné le monde du sport, parfois touché de plein fouet par les soubresauts des Bourses, à l'image des clubs de football anglais, des préparatifs des Jeux olympiques de Londres ou de la dispendieuse Formule 1. À l'heure où l'ensemble des activités économiques s'enfonçait dans la crise, il eut été curieux que le sport, ultradépendant de la générosité des sponsors et des banques prêteuses, reste à l'abri du marasme. Leur mauvaise fortune a ainsi porté à l'automne un rude coup à la Premier League anglaise, championnat le plus opulent du monde mais aussi le plus endetté. Alors que les Bourses plongeaient, les fans de Chelsea, Manchester, Arsenal, clubs côtés à la City, découvraient des pieds d'argile à leurs idoles aux souliers d'or. Au début d'octobre, le président de la fédération de football estimait que les clubs «commençaient à voir le bord de l'ouragan» en raison d'un endettement évalué à 3,9 milliards d'euros. Click here to find out more! Dettes contractées auprès de banques en quasi-faillite ou de prodigues mécènes, tels le milliardaire russe Roman Abramovitch (Chelsea), secoués par une crise dont toutes les conséquences ne se feront probablement pas sentir avant le prochain renouvellement des contrats de parrainage. Touchée dans son football, l'Angleterre est également en première ligne au titre de pays hôte des prochains Jeux olympiques. Stigmatisés avant la crise pour leur mégalomanie, les organisateurs de Londres 2012 qui comptaient sur neuf milliards d'euros de fonds privés ont commencé à puiser dans leur fonds d'urgence. Ils envisagent de modestes «plans B» voire l'annulation de constructions en raison de la soudaine frilosité des investisseurs. «Si nous avions su ce que nous savons maintenant, aurions-nous été candidats?», s'est du coup interrogé la ministre en charge des Jeux, Tessa Jowell. Avant d'apporter une réponse sans équivoque: «Presque certainement non». Plus généralement, le mouvement olympique a pâti des conséquences de la crise sur ses parraineurs, avec le retrait de quatre d'entre eux Kodak (EK), ManuLife (MFC), Lenovo et Johnson & Johnson (JNJ) du programme de commandite pour les années 2010-2012. Première victime collatérale de la crise, l'Angleterre n'est pas seule à souffrir. Aux États-Unis, les ligues professionnelles ont les unes après les autres supprimé des emplois et augmenté le prix des places au détriment de spectateurs eux aussi économiquement malmenés. Mais comme pour le football européen, le coût prohibitif des places dans les stades aura à terme un effet vertueux sur l'économie des clubs : Les supporters regarderont la télé, permettant aux droits TV de rester stables. En Russie, la situation est plus critique pour des sports collectifs vivant des perfusions d'oligarques dont le sport n'est plus la priorité en temps de crise. «Quelques clubs pourraient cesser d'exister», affirmait ainsi un responsable du Dynamo Moscou à l'automne. Enfin, sans considération géographique, des sports entiers souffrent: Si le golf, sport de luxe, reste épargné malgré l'annulation d'un tournoi en Inde après la faillite de son commanditaire, la F1, depuis longtemps montrée du doigt pour son incivisme en des temps écologiquement corrects, attaquera la saison 2009 sans l'écurie Honda, forfait pour cause de crise et de mauvais résultats. Si l'équipe nippone n'était pas remplacée, la saison se déroulerait avec 18 monoplaces, soit seulement deux de plus que le «seuil critique» fixé par Max Mosley, président de la fédération internationale (FIA) plus que jamais partisan d'un moteur unique, et donc économique, pour équiper les voitures dès 2010.
  6. Au terme de difficiles négociations, les pays membres de l'Union européenne parviennent finalement à s'entendre sur la création d'un plan de relance d'environ 200milliards d'euros. Pour en lire plus...
  7. Les dirigeants européens vont approuver un plan de relance d'«environ 1,5% du PIB» de l'Union européenne, soit 200 milliards d'euros. Pour en lire plus...
  8. Les ministres des Finances de l'Union européenne réunis à Bruxelles ont approuvé le plan de relance de l'économie de 200 milliards d'euros (environ 315 G$ CA) sur deux ans pour le bloc européen. Pour en lire plus...
  9. La compagnie d'aviation irlandaise a lancé lundi une offre d'achat à 748 millions d'euros sur sa compatriote Aer Lingus dont elle possède déjà 29,82% du capital. Pour en lire plus...
  10. Le gouvernement français prépare un plan de l'ordre de 19 milliards d'euros (environ 30 G$ CA), afin de soutenir l'activité économique touchée par les contrecoups de la crise financière. Pour en lire plus...
  11. La Commission européenne va présenter mercredi un plan de relance économique de quelque 200 milliards d'euros (319 G$ CAN) qui agrège des mesures nationales et reste modeste. Pour en lire plus...
  12. Le constructeur automobile General Motors Europe a annoncé chercher à obtenir un prêt de 1 milliard d'euros de la part du gouvernement allemand pour sa filiale. Pour en lire plus...
  13. Les bourses de Chine ont reçu un coup de fouet après l'annonce dimanche d'un plan de relance gouvernemental de 586 milliards de dollars (455 milliards d'euros) destiné à contrer les effets de la récession mondiale. Pour en lire plus...
  14. Les grands États européens se sont repositionnés au coeur du système financier en injectant des dizaines de milliards d'euros pour sauver des établissements bancaires menacés d'effondrement. Pour en lire plus...
  15. Le gouvernement portugais a annoncé dimanche qu'il allait nationaliser BPN (Banco Portugues de Negocios), une petite banque qui a enregistré des pertes d'environ 700 millions d'euros (1,08 milliard $ CAN)durant la crise financière et qui fait actuellement l'objet d'une enquête pour mauvaise gestion. Pour en lire plus...
  16. La compagnie aérienne a annoncé un plan d'économies supplémentaires de 700 à 800 millions d'euros d'ici 2011-2012 et révisé ses objectifs à la baisse. Pour en lire plus...
  17. En France, trois têtes dirigeantes de la Caisse d'Épargne démissionnent après l'annonce vendredi d'une perte de 600millions d'euros sur les marchés financiers. Pour en lire plus...
  18. Les deux principaux dirigeants de la Caisse d'Epargne ont démissionné dimanche, à l'issue d'une réunion extraordinaire convoquée après la perte de 600 millions d'euros essuyée par la banque française, pour laquelle la classe politique réclamait des sanctions. Pour en lire plus...
  19. L'Etat néerlandais renforce le capital du bancassureur néerlandais ING à hauteur de 10 milliards d'euros, a annoncé dimanche le ministre néerlandais des Finances, Wouter Bos. Pour en lire plus...
  20. Les trois principaux dirigeants de la Caisse d'Epargne, dont le président Charles Milhaud, ont démissionné dimanche après la perte en Bourse par la banque française de 600 millions d'euros, a annoncé à l'AFP une source proche du dossier. Pour en lire plus...
  21. Le groupe bancaire espagnol Santander est parvenu à un accord pour le rachat des 75,65% qu'il ne contrôlait pas encore dans le capital de la banque américaine Sovereign, pour un montant de 1,9 milliard de dollars (1,4 milliard d'euros), a annoncé le groupe espagnol dans un communiqué mardi matin. Pour en lire plus...
  22. La Réserve fédérale américaine (Fed) a approuvé l'acquisition de la banque américaine Wachovia, en faillite, par sa concurrente Wells Fargo, pour un montant de 11,7 milliards de dollars (8,6 milliards d'euros), a-t-on appris dimanche dans une brève déclaration de la Fed. Pour en lire plus...
  23. Aux prises avec la plus importante débâcle financière de son histoire, l'Islande demande l'aide de la Russie pour éviter l'effondrement de son système financier. Pour en lire plus...
  24. La Banque centrale européenne a annoncé vendredi vouloir absorber jusqu'à 220 milliards d'euros de liquidités, tout en injectant 50 G$ US sur le marché monétaire. Pour en lire plus...
  25. Les marchés plongeaient de 3 à 5% lundi, leurs angoisses quant à l'avenir du système financier mondial. La Banque centrale européenne a réagi et a injecté lundi 30 milliards d'euros dans les marchés. Pour en lire plus...
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