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  1. Les Canadiens sont toujours en voie d'atteindre une année record en ce qui a trait au niveau d'endettement personnel, même s'ils ont terminé 2013 en réduisant légèrement la somme d'argent qu'ils doivent à leurs créanciers, a indiqué mercredi l'agence de surveillance du crédit TransUnion. À la fin de l'année, les Canadiens cumulaient en moyenne des dettes de 27 368 $ sur diverses lignes de crédit, cartes de crédit et prêts automobiles, a indiqué TransUnion dans une étude dévoilée mercredi. Ce montant est en baisse de 117 $, soit 0,42%, par rapport à celui de 27 485 $ du quatrième trimestre de 2012 - le plus haut niveau d'endettement jamais affiché, en excluant les dettes hypothécaires. «Nous nous sommes fait dire encore et encore et encore, de la part de tant de personnes, que nous devions réduire cette dette, mais nous n'y arrivons pas», a observé le vice-président des services d'analyse et de décision de TransUnion, Thomas Higgins. TransUnion prévoit toujours que la dette moyenne des consommateurs canadiens, en excluant les prêts hypothécaires, atteindra le sommet record de 28 853 $ d'ici la fin de 2014. «Il n'y a rien qui nous laisse croire que les niveaux d'endettements vont commencer à reculer de façon assez importante», a poursuivi M. Higgins depuis Toronto. «En ce moment, nous nous dirigeons toujours (vers une plus haute dette), certainement.» Les Canadiens ont commencé à accumuler des dettes dans les années précédant la récession de 2008, a expliqué M. Higgins. Selon lui, il faudrait que la dette personnelle des Canadiens diminue de façon soutenue d'entre 500 $ et 1000 $ sur quatre à six trimestres avant de pouvoir dire qu'une tendance à la baisse se dessine. Au cours du dernier trimestre de 2013, la dette sur les cartes de crédit et les lignes de crédit des consommateurs a légèrement reculé, a noté M. Higgins. Mais si les consommateurs ont moins dépensé pendant leurs courses des Fêtes, ce n'est que parce qu'ils ont profité de «meilleurs rabais», et non parce qu'ils ont volontairement réduit leurs dépenses, a-t-il estimé. L'étude a en outre montré que les taux de délinquance sur les prêts du trimestre terminé le 31 décembre avaient reculé, ce qui signifie que les consommateurs sont en mesure de faire les paiements minimaux sur leurs dettes. M. Higgins a cependant prévenu que si quelque pépin devait survenir et avoir un impact sur l'économie, les marchés ou les taux d'intérêt, les taux de délinquance seraient normalement les premiers à être touchés. Entre-temps, l'étude a permis de montrer que les résidents de Vancouver sont les Canadiens qui ont le plus augmenté leur endettement - il a atteint 41 077 $ à la fin de l'année, en hausse de sept pour cent par rapport à 38 357 $ en 2012. Les Montréalais, à l'inverse, ont réussi à réduire leur dette de 5,5% et celle-ci est passée de 19 651 $ à une moyenne de 18 563 $, la plus faible parmi les résidents des grandes villes canadiennes. Selon M. Higgins, les Vancouvérois jouissent généralement de salaires plus élevés qui leur permettent de contracter de plus grosses dettes, tandis que les consommateurs de Montréal économisent habituellement avant d'effectuer de gros achats, ou bien règlent leurs factures avec des cartes de débit. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201402/26/01-4742513-endettement-eleve-au-canada-mais-pas-autant-a-montreal.php
  2. LNH | Devils du New Jersey Une dette de 80 millions $ Agence QMI 13/01/2012 12h43 Les Devils du New Jersey sont aux prises avec de sérieux ennuis financiers. Une dette impayée de 80 millions $ pourrait bien causer leur perte, rapporte Fox Sports, vendredi. Seule une entente à long terme de droits de télédiffusion avec MSG Network pourrait sauver l'organisation. Cependant, toujours selon Fox Sports, les deux parties ne s'entendent pas et il sera difficile pour le propriétaire des Devils, Jeff Vanderbeek, de trouver un terrain d'entente dans les prochaines semaines. «Le commissaire de la Ligue nationale de hockey, Gary Bettman, a demandé à Vanderbeek de trouver une solution d'ici la mi-février», a indiqué une source à Fox Sports. Si rien n'est réglé d'ici là, la LNH n'écarterait pas la possibilité de prendre possession de l'organisation, comme elle l'a fait avec les Coyotes de Phoenix. Les prêteurs pourraient également forcer l'équipe à déclarer faillite. Neuf des 19 matchs des Devils à domicile, cette saison, ont attiré moins de 15 000 spectateurs. Les membres de l'organisation n'ont pas voulu commenter la situation précaire dans laquelle ils se trouvent.
  3. Karim Benessaieh La Presse Aux prises avec les mêmes obligations financières que ses voisines -régimes de retraite coûteux, infrastructures à refaire-, Laval a pu compter sur une croissance enviable pour limiter les hausses de taxes de ses résidants à 1,4% l'an prochain. Le budget «respecte la capacité de payer des contribuables tout en maintenant des services de qualité», a résumé le maire Gilles Vaillancourt ce matin en point de presse. Pour le propriétaire d'une maison moyenne évaluée à 255 730$, il s'agit d'une augmentation de 39$, pour un compte de 2571$. Pour le secteur non résidentiel, la hausse sera un peu plus salée, de 2,3% en moyenne, soit le taux de l'inflation envisagé par l'administration Vaillancourt. Les dépenses s'établissent à 721,3 millions, en hausse de 4,4% par rapport à 2011. La hausse des prix et de la rémunération de ses employés explique près du tiers de cette augmentation. Le régime de retraite coûtera à lui seul six millions de plus, une augmentation somme toute modeste expliquée par des «mesures transitoires» que Laval a réussi à négocier avec ses employés. D'autres concessions sont actuellement négociées. Moins de bruit Des investissements de plus de 390,6 millions sont prévus, dont 180 en réfection des infrastructures. Au chapitre des projets, on a annoncé un montant de 10 millions pour un futur amphithéâtre dans le quartier de l'Agora, 6 millions pour un complexe aquatique et 11,8 millions en amélioration du réseau routier. Les résidants des alentours de l'autoroute 440 profiteront en outre de diverses mesures d'atténuation du bruit, au coût global de 12,2 millions. Laval, qui a dépassé les 400 000 résidants cette année selon l'Institut de la statistique du Québec, a eu la belle surprise de voir sa cote de crédit AA- améliorée par Standard & Poor, passant de perspective stable à positive. C'est la cote la plus élevée attribuée aux municipalités québécoises, dépassant même celle d'Hydro-Québec et du gouvernement provincial, a noté le maire Vaillancourt. La construction résidentielle a connu un léger fléchissement l'an dernier, alors que la valeur des permis est passée de 589 à 575 millions. Dette en régression Côté transports en commun, on a également annoncé une hausse de l'offre de services de 3,8% en 2012, portant l'augmentation totale à «35% depuis l'ouverture des trois stations de métro en 2007», a précisé le maire. On espère toujours concrétiser le parachèvement de la ligne orange, qui doit relier les stations Montmorency et Côte-Vertu, à Montréal. 34 millions seront consacrés à l'achat de 44 autobus, dont 36 hybrides. L'autobus électrique fera son apparition l'an prochain dans le cadre de projets-pilotes, pour évaluer la fiabilité de cette technologie dans des conditions hivernales. La dette par personne a baissé de façon constante depuis 1997 et s'établit en 2012 à 1131$. À peine 16% des investissements annoncés de 390 millions seront financés par des emprunts, près du quart, soit 101 millions, étant assumé par les réserves financières. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/201112/12/01-4477041-une-hausse-de-taxes-de-14-a-laval.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3
  4. Le Canada est passé de la quatrième à la première place dans la liste des pays offrant les meilleures conditions pour faire des affaires, selon le classement du magazine américain Forbes. C’est l’amélioration du système fiscal, l’absence de lourdeurs bureaucratiques, une protection efficace des investisseurs, ainsi que des banques avisées qui ont permis au Canada de grimper les échelons et de détrôner le Danemark du haut du classement. Dans le sous-classement des systèmes fiscaux, le Canada est passé du 23e rang au 9e rang grâce à la réduction des taux d’imposition pour les employés et pour les entreprises, et grâce à la taxe de vente harmonisée (TVH) en Ontario et en Colombie-Britannique. La Colombie-Britannique a toutefois, depuis, supprimé la TVH. « Alors que les États-Unis sont paralysés par la crainte d’une récession à double creux et que l’Europe se débat avec le problème de la dette souveraine, l’économie canadienne s’est mieux comportée que la plupart, peut-on lire dans le magazine. L’économie du Canada, qui se chiffre à 1,6 billion $, est la neuvième du monde et a augmenté de 31 %, l’an dernier. Elle devrait grimper de 2,4 % en 2011, selon la Banque Royale du Canada. » Pour établir sa liste, le magazine Forbes étudie 11 paramètres d’ordre économique et passe 134 pays au crible. Le Danemark, ex-numéro un, est passé à la cinquième place en raison d’un manque de fluidité sur le plan monétaire et de la dégringolade de ses marchés financiers, l’an dernier. La Nouvelle-Zélande se classe deuxième, alors que Hong Kong occupe la troisième place. L’Irlande, bien qu’elle soit confrontée elle aussi à la crise de la dette en Europe, arrive en quatrième position. Les États-Unis sont, de leur côté, passé de la 9e place à la 10e place, principalement en raison d’un fardeau fiscal trop important, a expliqué Forbes. Selon le magazine, les États-Unis font même pire que le Japon sur ce point. En queue de liste, on trouve le Burundi, le Zimbabwe et le Tchad. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/canada/archives/2011/10/20111004-175320.html
  5. Le gouvernement du Québec accumule depuis 10 ans une dette cachée de plus de 6 milliards de dollars pour financer la remise en état du réseau routier québécois, malgré sa propre loi sur le déficit zéro. Selon des données dévoilées par La Presse, ce déficit accumulé par le Fonds de conservation et d'amélioration du réseau routier, qui a été créé en 1996, a augmenté de 760 M$ par année en moyenne au cours des trois années au pouvoir du gouvernement libéral sortant. Durant cette période, Québec a investi annuellement plus de 1 milliard dans la réfection et la construction de nouvelles routes. Les 5,9 milliards de travaux routiers prévus d'ici trois ans pourraient faire passer le déficit du Fonds de conservation et d'amélioration à plus de 10 milliards. Depuis 1996, tous les travaux routiers sont financés par des emprunts au Québec, ce qui permet d'en amortir les coûts sur plusieurs années. L'amortissement est utilisé par plusieurs gouvernements, depuis plusieurs années.
  6. La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20G$ 15 mars 2010 | 10h44 La Presse Canadienne La valeur nette nationale du Canada a augmenté de 20 milliards $ au quatrième trimestre pour atteindre 6 billions $. Statistique Canada indique que cette hausse reflète l'augmentation de 0,7 pour cent de la valeur du patrimoine national, particulièrement les actifs en biens immobiliers résidentiels. La progression de la valeur nette nationale a été tempérée par un accroissement de 19 milliards $ de la dette extérieure nette en raison d'une diminution de l'épargne nationale. La valeur nette nationale correspond au patrimoine national moins la dette extérieure nette. Elle constitue la somme de la valeur nette des particuliers et des entreprises individuelles, des sociétés et des administrations publiques. Du troisième trimestre au quatrième trimestre, la valeur nette nationale par habitant n'a pas changé, s'étant établie à 175 900 $. Cependant, la valeur nette des ménages a augmenté de 93 milliards $ pour atteindre 5,9 billions $. L'accroissement de la valeur des actifs financiers, surtout les actions, les assurances-vie et les rentes, ainsi que celui des biens immobiliers résidentiels, explique en grande partie l'augmentation de la valeur nette. La valeur nette des ménages par habitant a progressé pour atteindre 172 600 $ au quatrième trimestre. Pendant ce temps, la dette nette des administrations publiques a continué d'augmenter. La valeur nette du secteur des administrations publiques a baissé de 20 milliards $, car la valeur de la dette nette continuait de croître. Le ratio d'endettement des sociétés a diminué légèrement. Le financement par actions des sociétés non financières a ralenti du troisième trimestre au quatrième trimestre, tandis que l'émission d'obligations s'est affermie. Toutefois, la valeur globale des émissions d'actions et des bénéfices non répartis a dépassé celle de l'emprunt.
  7. Vendre Hydro, la SAQ et Loto-Québec? 08/03/2010 L’Ontario étudie sérieusement la possibilité de créer une super entité, d’y transporter ses principales sociétés commerciales, et d’émettre une partie des actions au public. Idée dont devrait s’inspirer le Québec? Le Toronto Star rapportait cette fin de semaine que le gouvernement ontarien pourrait bientôt créer une super société dans laquelle il transporterait Hydro One, l’Ontario Lottery & Gaming Corp, et la LCBO. Cette super entité pourrait valoir entre 50 et 60 G$. Elle serait ensuite en partie vendue à des investisseurs privés ce qui permettrait de faire rentrer entre 18 et 25 G$ dans les coffres de la province. On s’est demandé ce que l’exercice pourrait donner au Québec. La valeur d’Hydro La société d’État a dégagé l’an dernier (2008) un bénéfice avant intérêts, impôt et amortissement (BAIIA) de 8,8 G$. Gaz Métro se négocie à environ 8 fois le BAIIA, mais on va être un peu plus généreux et appliquer un multiple de 10, qui correspond au multiple moyen du secteur des utilités et des producteurs d’énergie des firmes d’investissement Cormark et Desjardins. Cela veut dire 88,8 G$. Il faut retrancher la dette de 36,4 G$. On en arrive à une valeur de 52,4 G$ pour Hydro. La valeur de Loto-Québec On a évalué le BAIIA de la dernière année à environ 1,7 G$. Bien que sa rentabilité soit actuellement sous pression, Loto-Québec a la chance d’évoluer dans un secteur où les investisseurs sont actuellement prêts à payer plus cher pour des actifs que dans d’autres secteurs. L’univers de la maison Oppenheimer se négocie autour de 14-15 fois le BAIIA. On va prendre 14 fois. Moins la dette de un peu plus de 1 G$. C’est une valeur de 22,8 G$ pour Loto-Québec. La valeur de la SAQ Un BAIIA autour de 842 M$. Une dette de 545 M$. Optons pour un multiple de 10, ce qui est à prime sur l’univers des sociétés d’épicerie de Banque Nationale Groupe financier, mais en ligne avec la fiducie Liquor Stores. Valeur : 7,8 G$. Bon pour le Québec? En additionnant la valeur de chacune des société, on en arrive à une super entité qui devrait valoir autour de 83 G$. S’il faut en croire les chiffres du Star, le gouvernement ontarien songerait à céder 35-40% de la super société. Allons-y avec 40%. C’est dire que l’on pourrait retrancher 33,2 G$ à la dette de la province (134 G$). Toute chose étant relativement égale, le service de la dette (actuellement à 6,5 G$) baisserait d’environ 1,6 G$. Il faut cependant aussi retrancher 40% du bénéfice que le gouvernement a actuellement dans ses livres, puisque l’on n’y aurait plus droit. Si l’on retranche 40% de ce que le gouvernement attend de ses sociétés d’état dans le dernier budget, on se retrouve avec un manque à gagner de 1,9 G$. Quoiqu’il rentrerait probablement autour de 600 M$ en impôt (11,9%) que les sociétés se mettraient à payer. Ca fait donc un manque à gagner de 1,3 G$. Au final On se retrouve donc avec un gain de 1,6 G $ et une perte de 1,3 G $, pour un avantage réel de 300 M$. Évidemment, il y a un peu de pommes et d’oranges dans notre calcul, avec des années fiscales qui ne courent pas toujours sur la même période, des écritures qui pourraient parfois être adaptées, des taux d’intérêt qui peuvent grimper et des multiples qui prêtent à discussion. Mais, très sommaire soit-il, l’exercice permet quand même ce constat : il n’y a pas un très fort signal pour une opération du genre. En tenant compte des coûts de transaction, on ne semble pas loin de changer quatre trente sous pour une piastre.
  8. La dette per capita sous la barre des 1200 $ par Stéphane St-Amour La dette per capita sous la barre des 1200 $ Gaétan Vandal, adjoint au directeur général, administration, de Ville Laval. Elle accapare 17 % du budget de la Ville La dette per capita sous la barre des 1200 $ Fidèle à sa tradition, la Ville empruntera en 2009 moins que ce qu'elle remboursera sur sa dette à long terme, ce qui permettra de réduire la dette per capita sous la barre des 1200 $. Quand la Ville planche sur son programme triennal d'investissement, c'est le «premier critère» qui guide son action, mentionne l'adjoint au directeur général, Gaétan Vandal. Pour réaliser ses projets de développement, la Ville financera des travaux à hauteur de 67,7 M$, alors qu'elle remboursera 70,1 M$ sur le capital d'une dette qui se chiffrerait au 31 décembre 2009 à 467,3 M$. Au chapitre des frais de financement de cette dette, il en coûtera à l'administration 38,4 M$, soit 3,5 M$ de moins qu'en 2008. Capital et intérêts confondus, le service de la dette nécessitera en 2009 un déboursé de 108,5 M$, équivalant à 17 % du budget annuel de la Ville. En dix ans, Laval a diminué la dette de 636 $ par personne, ce qui représente une réduction de 160 M$. Pour la même période, dans l'ensemble des autres villes de 100 000 habitants et plus au Québec, la dette per capita a augmenté, précise le maire Gilles Vaillancourt. «Nos efforts de réduction de la dette sont reconnus par Standard & Poor's, qui vient de renouveler la cote de la municipalité, soit AA -, avec perspective stable, la meilleure évaluation attribuée à un organisme municipal au Québec», n'a pas manqué se souligner M. Vaillancourt, ajoutant même qu'il s'agissait d'une cote supérieure à celle décernée au gouvernement du Québec.
  9. Le plan Carbonneau pour ruiner le Québec Permalink 09/12/09 13:52, Pierre Duhamel / Général, 682 mots Pour la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, les choses sont claires et simples. Les contribuables québécois doivent payer plus d’impôts pour payer les augmentations de salaires des employés de l’État. Ses propositions sur les finances publiques du Québec seraient désastreuses pour les Québécois et leur économie. Voici pourquoi. Hausser les impôts Claudette Carbonneau veut reprendre les baisses d’impôts de 950 millions de dollars accordées aux Québécois en janvier 2008. Ces baisses réduisaient de 40 % l’écart entre les Québécois et les autres Canadiens. Je fais remarquer à la présidente de la CSN qu’il subsiste un écart de 60 % et que seules trois provinces sont plus imposées que le Québec. Sa proposition ne vise qu’à nous redonner le titre de contribuables les plus imposés en Amérique du Nord, un championnat auquel je ne tiens pas particulièrement. Quant aux entreprises, soulignons que le Québec est la seule province à avoir augmenter l’impôt des entreprises depuis 2001. Les juridictions concurrentes cherchent à diminuer le fardeau fiscal des entreprises pour qu’elles puissent prospérer, investir et embaucher sur leur territoire. Pour rester concurrentiel, le Québec a entrepris d’éliminer la taxe sur le capital, une mesure qui a permis aux sociétés d’abaisser leur fardeau fiscal de 20 % depuis 2002. Non à la compression des dépenses Le gouvernement Charest veut limiter la croissance des dépenses à 3,2 % par année. On ne parle pas ici de diminution des dépenses, mais d’un ralentissement de leur augmentation. De plus, cette hausse de 3,2% reste un peu plus élevée que la croissance anticipée de l’économie au cours des prochaines années. Ce n’est pas comme si le Québec avait du rattrapage à faire au niveau des dépenses publiques, bien au contraire. Les dépenses de programmes – les services de l’État à la population – représentaient en moyenne 26 % du PIB québécois entre 1989 et 2009, contre 17 % pour l’Ontario et 20,3 % pour la moyenne des provinces canadiennes. Surtout pas de hausse de la TVQ L’idée de Madame Carbonneau, c’est de faire payer toute la facture par les 58,6 % des contribuables qui paient de l’impôt et d’épargner tous les autres. Elle fait partie d’une école où vaut mieux taxer la production, plutôt que la consommation. Pour elle, une hausse d’un point de la TVQ serait évidemment «régressive», puisqu’elle avantagerait les mieux nantis. Je lui ferait néanmoins remarquer que les Québécois de la classe moyenne sont déjà lourdement imposés et que les mieux nantis seraient les premières cibles d’une hausse de la TVQ, parce qu’ils consomment davantage. De plus, les plus démunis sont compensés par le gouvernement pour la TVQ et il en serait varisemblablement ainsi si le gouvernement voulait hausser les tarifs d’électricité. Sept ans pour rétablir l’équilibre budgétaire Le gouvernement Charest prévoit des déficits cumulés de 13,2 milliards de dollars d’ici 2013-2014. 13 milliards qui s’ajoutent à la dette déjà considérable du Québec. En ne limitant pas la croissance des dépenses et en refusant l’augmentation de la TVQ, le déficit atteindrait 26,9 milliards de dollars, soit plus du double. Même en ajoutant la ponction fiscale de 3,6 milliards de dollars en quatre ans favorisée par la CSN, on arrive avec 10 milliards de dollars supplémentaires à ajouter à la dette du Québec. En ajoutant deux autres années de déficit au niveau de 2013-2014, on parle de plus de 30 milliards de dollars. Ces dizaines de milliards participeront à la croissance du service de la dette, déjà le troisième poste budgétaire après la santé et l’éducation. Les propositions de Claudette Carbonneau sont injustes pour les contribuables Québécois et ruineuses pour les finances publiques. C’est bête et c’est cher et cela rendra le financement des services de l’État encore plus difficile.
  10. Malek, je sais que tu va me dire que ce n'est pas grave...mais à un certain moment, il faut se poser la question. Avons nous les moyens de se payer tout ces beaux services?? 130 milliards$ la Dette du Québec + 122 milliards$ notre part de la dette Fédérale = 252 milliards$ pour une population de 7.8 millions. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/michel-girard/200911/04/01-918156-la-question-de-12-milliards.php La question de 12 milliards Publié le 04 novembre 2009 à 06h39 Michel Girard La Presse (Montréal) Douze milliards de dollars... c'est la somme totale des frais d'intérêt (service de la dette) que les Québécois vont payer cette année sur les dettes gouvernementales accumulées au fil des décennies par nos deux gouvernements. Une fois les actifs financiers soustraits, on parle d'une dette nette totale de 251 milliards de dollars. Cela comprend la dette provinciale de 129 milliards et la portion de la dette fédérale qui nous revient, soit 122 milliards. Une telle dette nette d'un quart de trillion équivaut à 85% du produit intérieur brut (PIB) du Québec. Quand même! Selon les données transmises à La Presse Affaires par le service économique de Desjardins, de toutes les provinces, c'est au Québec qu'on écope de la plus lourde dette par tête d'habitant. Combien? Du bébé au vieillard, chaque Québécois supporte présentement une dette gouvernementale de 32 341$ (soit 16 635$ du provincial et 15 706$ du fédéral). C'est près de 19% de plus que l'Ontarien et 52% de plus que le Canadien de la Colombie-Britannique. Pire encore. Les frais d'intérêt sur le service de la dette gouvernementale propre aux Québécois devraient dépasser les 15 milliards d'ici à peine deux ans. Pourquoi? Parce que notre endettement gouvernemental va augmenter sensiblement au cours des prochaines années en raison des lourds déficits budgétaires que la récente crise financière nous fait subir. À preuve, Québec prévoit pour l'année en cours un déficit approchant les 5 milliards et le fédéral, un déficit de l'ordre de 56 milliards. Non seulement les revenus d'impôts et de taxes baissent, mais, en plus, les dépenses gouvernementales augmentent. Pour re... stimuler l'économie, les deux ordres de gouvernement ont été contraints de mettre en place un train de programmes et de mesures d'urgence. Et autre facteur majeur: comme les taux d'intérêt vont augmenter, il en coûtera forcément plus cher aux deux ordres de gouvernement pour financer leurs immenses dettes respectives. Revenons à la question de 12 milliards: est-ce grave de devoir payer une telle facture de frais d'intérêt, laquelle va grossir par surcroît au fil des prochaines années? Le chiffre est tellement gros et abstrait... qu'il est difficile d'en saisir l'importance. Voilà pourquoi il m'apparaît intéressant de voir plus concrètement ce que peut représenter la «valeur» de ces 12 milliards de dollars de frais d'intérêt. Jugez par vous-même! Tiens, cette charge de 12 milliards... ça représente les deux tiers de l'impôt sur le revenu des particuliers (18 milliards) perçu l'an dernier par le gouvernement du Québec Cette somme astronomique équivaut à elle seule à 86% du budget (13,9 milliards) du ministère de l'Éducation, Loisir et Sport. Autre comparaison qui fait image: cette facture de 12 milliards de frais d'intérêt sur notre dette équivaut à la somme des dépenses gouvernementales annuelles des ministères suivants: Emploi et solidarité sociale (4,2 milliards); Famille et aînés (1, 9 milliard); Développement économique innovation et exportation (833 millions); Transports (2,3 milliards); Culture, communications, condition féminine (659 millions); Affaires municipales et régions (1,8 milliard); Agriculture, Pêcheries, Alimentation (711 millions). Ces 12 milliards de frais d'intérêt dépassent deux fois la somme totale des revenus de tarification que le gouvernement du Québec tire de l'assurance médicaments, de l'assurance parentale, des droits et permis de conduire et immatriculation des véhicules, de l'assurance automobile (SAAQ), des droits de scolarité universitaire, des services de garde d'enfants, des contributions des adultes hébergés dans le réseau de la santé et des services de police fournis par la Sûreté du Québec . Restons dans les revenus. Un coût d'intérêt de 12 milliards, ça équivaut à 2,4 fois la somme totale des revenus que le gouvernement du Québec a tirés l'an dernier de ses principales vaches à lait... de sociétés d'État: Société des alcools du Québec (797 millions), Loto-Québec (1,3 milliard) et Hydro-Québec (2,8 milliards). Autre comparaison: c'est presque deux fois et demie les baisses d'impôt (5 milliards) consenties par le gouvernement Charest depuis 2003! La population étant vieillissante, comment nos jeunes vont-ils réussir à se sortir de l'endettement gouvernemental dans lequel nous les avons plongés?
  11. La dette du Québec grimpe de 287$ par seconde 18 septembre 2009 | 12h34 ARGENT Katia Germain Argent Le site Internet de l’Institut économique de Montréal (IEDM) s’est doté d’un compteur de la dette publique du Québec, qui affiche aujourd’hui plus de 212 G$. L'outil montre en temps réel la croissance de la dette en fonction des données fournies par le ministère des Finances. Chaque jour, l'endettement de la province grimpe de 25 M$, selon l’outil destiné à sensibiliser les contribuables québécois. «C’est important de mettre en contexte ces chiffres-là afin que les Québécois se rendent compte de la vitesse à laquelle l’argent qu’ils paient se dépense. Aussi, pour les citoyens en général, c’est important de prendre conscience que cette dette-là augmente très rapidement. Et on espère que ça va amener les gouvernements et les gens à agir», explique David Descôteaux, économiste à l’IEDM. La dette qui s’affiche sur le site Internet de l’institut représente la dette à long terme de tout le secteur public, pas seulement du gouvernement. «C’est la dette nette du gouvernement à laquelle on ajoute les dettes des réseaux d’éducation et de la santé. C’est une dette qui est plus représentative des responsabilités du gouvernement. On a pris le rythme de croissance de l’année dernière et on l’a appliqué à cette année», précise M. Descôteaux. L’économiste estime que l’évaluation de la dette faite par l’IEDM est conservatrice. «On est en crise économique. Les revenus du gouvernement chutent, ses dépenses augmentent… Il y a de très bonnes chances que l’an prochain, lors de l’énoncé budgétaire, le montant annoncé soit supérieur à celui qu’on voit à l’écran». Que faut-il faire pour ralentir le compteur? «La solution serait que le gouvernement ne tente pas seulement d’augmenter ses revenus mais diminue aussi ses dépenses», avance M. Descôteaux.
  12. Pierre Duhamel Chroniqueur, Argent À la surprise générale, le Québec semble s’en tirer mieux que la plupart des autres grandes provinces canadiennes malgré la récession. Voici un portrait comparatif de la situation économique du Québec et celle de l’Ontario depuis un an. À la surprise générale, le Québec semble s’en tirer mieux que la plupart des autres grandes provinces canadiennes malgré la récession. Voici un portrait comparatif de la situation économique du Québec et celle de l’Ontario depuis un an. En conclusion, le Québec fait mieux que l’Ontario cette année, mais l’état précaire de ses finances publiques risque de lui jouer de vilains tours au cours des prochaines années. EMPLOIS PERDUS (juillet à juillet) Québec √ Ontario 35 200 168 100 TAUX DE CHÔMAGE (juillet) Québec √ Ontario 9,0% 9,3 % RÉMUNÉRATION (hebdo moyenne juin à juin) Québec √ Ontario 2,7% 0,7 % VENTES AU DÉTAIL (juin) Québec √ Ontario 1,8 % à vérifier VENTES VÉHICULES NEUFS (juin) Québec √ Ontario 1,4 % - 2,3 % REVENU PERSONNEL DISPONIBLE (prév. 2009) Québec √ Ontario 1,3 % 0 % PIB (Prévisions 2009 Conference Board) Québec √ Ontario -0,9 % -3,1 % DÉFICIT GOUVERNEMENTAL (2009-2010) Québec √ Ontario 3,9 milliards $ 14,1 milliards $ DETTE PAR HABITANT (population) Québec Ontario √ 16 336 $ 11 552 $ DETTE PAR HABITANT (PIB) Québec Ontario √ 42 % 25,4 %
  13. Un millier de milliards de dettes Mise à jour le mardi 26 mai 2009 à 12 h 23 Crise économique, chômage et précarité ne semblent pas décourager les ménages canadiens de recourir de plus en plus au crédit pour les dépenses courantes. Une étude de l'Association des comptables généraux agréés du Canada (CGA-Canada) révèle que la dette totale des ménages canadiens a atteint 1300 milliards de dollars en 2008. Les auteurs du rapport indiquent que de nombreux Canadiens continuent de cumuler les achats à leurs comptes de cartes de crédit et de gruger leur marge de crédit. Ce qui réduit leur capacité d'épargne. D'après un sondage figurant dans le rapport, 85 % des ménages avaient, en novembre dernier, une dette active de carte de crédit. Quelque 21 % des répondants admettaient ne plus être en mesure de gérer le poids de leur dette. « L'endettement des ménages canadiens a nettement augmenté ces dernières années, ce qui met en péril leur sécurité financière », a affirmé le président et chef de la direction de CGA-Canada, Anthony Ariganello. Pas moins de 49 % des familles avec au moins un enfant de moins de 18 ans ont affirmé que leur dette avait grimpé ces trois dernières années, révèle le sondage réalisé sur Internet auprès de 2014 Canadiens, dont la marge d'erreur est de 2,2 points de pourcentage, 19 fois sur 20. Les marges de crédit et les cartes de crédit représentent la plus grande partie de la dette de consommation des ménages. Le quart des personnes interrogées ne serait pas capable de faire face à une dépense imprévue de 5000 $, tandis qu'une personne sur 10 aurait de la difficulté à débourser un coût imprévu de 500 $. « Nous devons admettre que la situation financière des ménages canadiens s'est détériorée », explique Rock Lefebvre, vice-président de CGA-Canada. Selon lui, il faut rectifier la situation pour maintenir un « environnement économique sain ». L'association estime qu'il est « plus souhaitable d'adopter une approche équilibrée des dépenses, de l'épargne et du remboursement des dettes pour sortir du marasme économique actuel, que d'essayer de promouvoir les dépenses de consommation. »
  14. La papetière a jusqu'à minuit, mercredi soir, pour négocier le financement d'une partie de sa dette par des banques américaines. Pour en lire plus...
  15. La papetière a jusqu'à minuit, mercredi soir, pour négocier le financement d'une partie de sa dette par des banques américaines. Pour en lire plus...
  16. La dette du gouvernement fédéral augmentera de 81,5 milliards de dollars d'ici deux ans, selon une nouvelle étude de la Banque TD. Pour en lire plus...
  17. La compagnie forestière AbitibiBowater annonce un plan de recapitalisation pour réduire sa dette et vend à Hydro-Québec sa participation de 60 % dans une centrale sur la rivière Manicouagan pour 615 millions de dollars. Pour en lire plus...
  18. Lesté par une dette de 3,9 milliardsde dollars, le groupe Canwest a jusqu'à vendredi pour renégocier sa marge de crédit de 300 millions. Pour en lire plus...
  19. Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers 17 février 2009 - 09h44 ARGENT Dette de 1,7G$ US - Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers La société de casinos Trump Entertainment Resorts Inc. (TRMP) s’est placée mardi sous la protection de ses créanciers en vertu du Chapitre 11 de la loi sur la faillite. La requête était largement anticipée, après que le président et fondateur de l’entreprise, le flamboyant Donald Trump, eut quitté son siège au conseil d’administration la semaine dernière. Sa fille, Ivanka Trump, avait aussi démissionné. La société avait raté une échéance de paiement d’intérêts au montant de 53,1M$ le 1er décembre dernier, alors que les clients se font plus rares dans les établissements. Les détenteurs d’obligations ont poussé la société à avoir recours au chapitre 11, ce que ne voulait pas M. Trump. La dette de la société de casinos se chiffrait à environ 1,74G$ US le 31 décembre dernier, en comparaison avec des actifs de 2,1G$ US, selon l'agence Reuters. Donald Trump a affirmé que la compagnie représentait moins d’un pour cent de sa valeur nette, et que cet investissement n’avait plus de valeur pour lui. Trump Entertainment Resort Holdings avait déjà eu recours au chapitre 11 en 2004, pour en sortir une année plus tard avec M. Trump au poste de chef de la direction.
  20. «Je suis très déçu par sa présidence. Bush est le pire président au plan économique depuis Jimmy Carter.» Pour en lire plus...
  21. Dix institutions créancières s'allient pour négocier l'échange d'obligations contre une entrée au capital du constructeur automobile. Pour en lire plus...
  22. Gestion ACE Aviation, la société mère d'Air Canada, a annoncé qu'elle prévoit dépenser plus de 500 millions $ pour racheter sa dette et ses actions privilégiées. Pour en lire plus...
  23. Il s'agit d'une quatrième augmentation d'une année à l'autre d'affilée. Encore une fois, les grands emprunteurs ont été à l'origine d'une grande part de la hausse. Pour en lire plus...
  24. La firme a pris cette décision afin de refléter la faiblesse du marché publicitaire et la dette élevée de l'entreprise. Pour en lire plus...
  25. James Montier, stratège de la Société Générale, dit qu'il n'a jamais eu une humeur aussi haussière après que la crise financière eut fait chuter les prix des actions, des obligations des sociétés et des titres de dette. Pour en lire plus...
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