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  1. Un parc tout neuf dans le Vieux-Montréal Un nouveau parc desservira le secteur Est du Vieux-Montréal Parmi les projets retenus dans le cadre du volet des projets particuliers du PRAM@FAMILLE - Programme d’amélioration des aménagements de parcs (PAAP), la Ville de Montréal annonce l’aménagement d’un parc dans le nouveau secteur résidentiel Faubourg-Québec dans l’Est du Vieux-Montréal. «Dans Ville-Marie, ce parc permettra de développer un espace convivial et sécuritaire, où touristes et résidants pourront se côtoyer», pense Alan DeSousa, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable du développement durable, de l’environnement et des parcs. «Aménagé sur un terrain vacant, ce parc donnera aux familles un espace vert à proximité de leur résidence.» Alan DeSousa, ce projet, d’une valeur de 250 000$, s’ajoute aux investissements de plus d’un demi-million $ annoncés en juin dernier par la Ville de Montréal et l’arrondissement, pour l’aménagement de nombreux parcs locaux dont Médéric-Martin, Coupal, Magnan, Berthier et Olivier-Robert. Dans le cadre de ce programme PR@M-PAAP, la Ville de Montréal envisage d’investir 2 M$ pour des projets spéciaux d’aménagement supplémentaires de parcs dans cinq arrondissements, dont Ville-Marie. Ces investissements visent à rééquilibrer certains quartiers urbains déficitaires en parcs. D’une manière plus générale pour la Ville de Montréal, le programme PAAP, échelonné sur 3 ans, injectera 21 M$ annuellement pour le réaménagement et l’embellissement des parcs. De ce montant, la somme de 12 M$ a été annoncée pour l’aménagement de 130 parcs locaux répartis dans les 19 arrondissements. Par ailleurs, en plus des 2 M$ annoncés aujourd’hui pour les projets spéciaux, 7 M$ seront prochainement destinés aux grands parcs. (M.J.-F.) (Source: Ville de Montréal) http://www.montrealexpress.ca/Societe/Environnement/2010-07-15/article-1597222/Un-parc-tout-neuf-dans-le-Vieux-Montreal/1
  2. On avait pas de fil je crois, mais le projet était dans les plans en même temps que le Parc Laurier (maintenant réouvert et vraiment très beau!). Aujourd'hui, le Carré était complètement clôturé. Les travaux sont commencés!
  3. MONTREAL – The central-city administration didn’t open the door any further Monday night to preserving the 57-hectare Meadowbrook green space. But Alan DeSousa, vice-chairman of the city executive committee, didn’t slam it shut, either – not with about 375 anti-development protesters who converged on city hall trying to save the West End site hanging onto his words. “We’re ready to see what we can do to support a local community consensus” on Meadowbrook’s future, he told Patrick Asch of the Les Amis de Meadowbrook citizens’ coalition, which wants the entire site preserved as a public park. A Miami Beach condo developer, Michael Bedzow of Pacific Group Canada, wants to build 1,500 housing units on the site, which has been a private golf course for about a century. Meadowbrook hosts a broad range of wildlife, including foxes, rabbits and birds. It straddles the Lachine borough and Côte St. Luc, and is located near rail yards. Asch and other questioners tried repeatedly to get Mayor Gérald Tremblay to commit to preservation. But the mayor left it to DeSousa to do all the talking on his behalf. The site is already partly zoned for development. Last night’s occasionally loud crowd demonstrates broad support for the site’s preservation, Asch said. The site is “irreplaceable and one of the few natural green spaces left in Montreal,” he added. “Residents across the island will not accept the destruction of Meadowbrook.” Tremblay’s continuing silence on the issue is “deafening – and very suspicious,” Asch said. The site’s preservation is part of a May 2009 report that is to be voted on Thursday by Montreal Island’s agglomeration council. DeSousa said that report doesn’t deal with golf courses. On April 15, Karel Mayrand, Quebec executive director of the David Suzuki Foundation, wrote to Tremblay asking him to act “to preserve all of Meadowbrook as a nature park.” The Pacific Group housing plan – which features Plateau Mont Royal density levels – would represent “destruction for short-term private gain,” Mayrand added. Projet Montréal has already endorsed Meadowbrook’s preservation in full as a public park, said party leader Richard Bergeron. janr@thegazette.canwest.com © Copyright © The Montreal Gazette Read more: http://www.montrealgazette.com/technology/City+commit+Meadowbrook/2926786/story.html#ixzz0leaaJ97g
  4. Les entrepreneurs freinent leurs ardeurs Montréal, Laval et le MTQ constatent une baisse importante du coût des travaux. «L'escompte Marteau» pourrait toutefois être de courte durée, selon le milieu policier. La mise en place de nouvelles règles d'octroi de contrats et la présence déstabilisante de l'opération Marteau ont forcé les joueurs-clés de l'industrie de la construction à freiner leur ardeur, ce qui a ouvert la porte à de nouveaux entrepreneurs et fait baisser les prix dans les municipalités, a appris Le Devoir. Cet «escompte Marteau», comme on l'appelle dans les milieux policiers et municipaux, ne serait toutefois qu'un repli stratégique le temps que l'attention sur l'organisation des contrats publics se détourne. «Ils se gardent une petite gêne pour l'instant», a expliqué une source bien au fait de la situation. Une autre personne qui a requis l'anonymat a renchéri: «Pour calmer le jeu, le club des entrepreneurs nous a donné un escompte, un rabais qu'on peut associer à Marteau. Mais le même groupe de soumissionnaires commence à revenir.» De fait, à Montréal, Laval et au ministère des Transports du Québec, on constate une baisse importante du coût des travaux au cours de la dernière année. La raison? Le marché s'est ouvert et de nouveaux entrepreneurs ont soumissionné pour obtenir des contrats d'infrastructure. À Montréal, l'écart entre l'estimation interne des coûts réalisée par la Ville et le prix final des contrats est de 36 % inférieur en ce qui a trait aux travaux d'aqueduc et d'égout. Dans le cas des travaux de chaussée, la baisse est de 36 % également. Dans le domaine des parcs et pistes cyclables, c'est une baisse de 15 % du coût des travaux. «On constate qu'il y a de nouveaux joueurs qui répondent aux appels d'offres. Certains viennent de l'extérieur de Montréal et n'ont jamais soumissionné à Montréal avant. Plus il y a d'entrepreneurs, plus les prix baissent», a expliqué au Devoir Alan DeSousa, le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal. Selon les recherches effectuées par Le Devoir dans les derniers jours, pas moins de 78,5 % des contrats octroyés par le comité exécutif de Montréal entre décembre 2009 et octobre 2010 l'ont été à des entreprises qui ne font pas partie des gros joueurs de la construction dans la région. Auparavant, c'était la proportion inverse. À peine 23 des 107 nouveaux contrats sont allés aux 15 entrepreneurs qui ont eu la part du lion des contrats sur l'île entre 2005 et 2009. Parmi ces 15 entreprises généralement dominantes dans le marché, seulement le tiers a postulé ou décroché des contrats depuis décembre: Construction Louisbourg (5), Construction Soter (5), Construction DJL (4), Construction Catcan (4), Infrabec (3) et Construction Garnier (3). Toutes ces entreprises ont obtenu les contrats depuis juin dernier. Même scénario dans le génie-conseil, alors que seulement cinq «réguliers» ont obtenu des contrats depuis un an, soit LVM (filiale de Dessau), Genivar à deux reprises, Cima+ et Groupe Séguin. Nouveaux joueurs Construction Doverco, de Saint-Eustache, est l'une des nouvelles entreprises à avoir tenté sa chance dans le marché montréalais. Cet été, elle a obtenu deux contrats d'une valeur totale de 465 000 $ pour réaliser des travaux facilitant l'accès à un centre communautaire et à un aréna. «On n'a jamais eu Montréal comme client avant», confirme le président, Yves Savard. Pourquoi avoir soumissionné cette année? «Je ne sais pas. On a tenté notre chance sur ces contrats et on les a obtenus, c'est tout.» M. Savard affirme ne jamais avoir subi de pression auparavant pour ne pas travailler à Montréal. «C'est juste une question de choix», dit-il, ajoutant qu'il va probablement continuer de brasser des affaires à Montréal. N'empêche, ils sont plusieurs comme lui depuis un an à venir de Laval, Boisbriand, Varennes, Boucherville, et même d'aussi loin que Sainte-Marthe-sur-le-Lac. Alan DeSousa affirme que les mesures prises par Montréal portent leurs fruits. D'abord, la Ville a accordé moins de contrats cet hiver, ce qui a créé une pression sur les entreprises qui cherchaient du travail. Ensuite, la Ville a fractionné les gros contrats pour permettre à de petits entrepreneurs de se qualifier. Puis, Montréal a mis un bémol à l'utilisation des consortiums, ces regroupements d'entreprises qui répondent ensemble à un contrat, notamment dans le cas des firmes de génie-conseil. «Plus il y a de consortiums, moins il y a de joueurs dans l'appel d'offres», dit M. DeSousa. Pourquoi les habitués du marché obtiennent-ils plus de contrats depuis le mois de juin, avec une pointe à la fin du mois d'août? «On regarde ça attentivement, mais on ne sait pas, dit Alan DeSousa. On pense que c'est parce que les contrats accordés sont plus gros que cet hiver, alors ils ont plus d'intérêts et d'avantages.» Une baisse à Laval Même scénario de baisse des prix à Laval, qui n'a pourtant pas mis en place de mesures spéciales depuis un an, contrairement à Montréal. La facture des travaux de rénovation des égouts et des aqueducs a baissé de 22 % depuis décembre. Dans le domaine de la chaussée, c'est une chute de 26 %. Parcs et pistes cyclables: -20 %. «On a sensiblement le même volume de contrats, mais on a beaucoup plus de soumissions à chaque appel d'offres, explique Dean Dussault, porte-parole de la Ville de Laval. On a des entreprises nouvelles qui viennent de l'extérieur, alors ça fait baisser les prix.» Y a-t-il un effet temporaire en raison de l'opération Marteau? «Je ne peux pas répondre à ça. Je dois m'en tenir aux faits. Et ces faits disent que la raison de la baisse, c'est qu'il y a plus de concurrence», dit M. Dussault. Dans le cas du ministère des Transports du Québec (MTQ), il y a aussi une chute des prix. En fin de semaine, La Presse révélait que les soumissions sont en moyenne de 16,4 % inférieures aux estimations internes des fonctionnaires. L'unité anticollusion a épluché des contrats d'une valeur de 1,7 milliard de dollars. L'économie pour le gouvernement serait de 311 millions de dollars. Au MTQ, on refuse de commenter ce qu'on nomme des «données stratégiques». À Montréal et Laval, on s'est dit incapable de chiffrer les économies pour l'instant. «On va avoir une meilleure idée dans quelques mois», affirme Alan DeSousa. http://www.ledevoir.com/societe/justice/311618/les-entrepreneurs-freinent-leurs-ardeurs
  5. One island, one giant wireless dream Non-Profit group of computer nerds is seeking city hall's help to make Montreal completely Wi-Fi friendly MICHELLE LALONDE, The Gazette Published: 8 hours ago A small group of self-described computer nerds has been quietly beavering away to make wireless Internet access freely available across Montreal Island, and city hall seems poised to help them achieve that goal. Calling themselves Île sans Fil (which translates roughly to "wireless island") and charging not a penny for their services, the group has so far equipped 150 "hotspots" in central Montreal neighbourhoods with wireless capability. The idea is that anyone who wanders into any of these hotspots with a laptop or handheld computer (a BlackBerry, for example) can get free Internet access as long as they have a Wi-Fi card. Île sans Fil is what's known as a community wireless networking group. Its members are students and professionals of varying ages who are interested in Wi-Fi's potential "to empower individuals and to foster a sense of community," according to the group's website. "At the core of this group are just some pretty nerdy people, early adopters of technology I guess we are called," said Daniel Drouet, president of Île sans Fil. "We all had Wi-Fi cards a long time ago, but we saw that people running the cafés and places we wanted to go hadn't heard of Wi-Fi and had no idea how to install it. A lot of business owners seemed to want to offer it, but they were in the business of selling coffee, or whatever, and didn't know where to start." So the group began approaching business owners and offering to set them up. Some of these business owners had already tried charging customers for Internet access, and learned the hard way that few would pay. But offering wireless access for free was a good way to attract customers, they wagered. The group has set up Wi-Fi access at dozens of cafés and restaurants, some sports facilities, a couple of parks (Jarry Park, for example), a few doctors' waiting rooms and at least one laundromat. The group is impatiently awaiting the city of Montreal's approval of their proposal to create about 250 more wireless hotspots, including many outdoor areas, such as city parks and public gathering spots like the Place des Arts. City hall's interest in wireless movement has been growing, especially as it watches other other large North American cities - such as Philadelphia, New York, San Francisco and even Toronto - take steps toward establishing city-wide wireless networks. In the fall of 2007, officials from the mayor's office contacted Drouet and asked the group to come up with a proposal on how the city could help them accelerate their efforts to expand the wireless network. That proposal was submitted to city officials last fall. A standing committee of the agglomeration council also held a public meeting on the issue late last year and the committee subsequently recommended the project go ahead. The partnership, as proposed by Île sans Fil, would see the city contributing $200,000 a year for five years to the group to support the installation of 150 more wireless service points in outdoor locations, and at least another 100 points in local businesses. Drouet said he was told the contract would be approved at a spring executive committee meeting, but is still waiting. He has been informed there is no money left in the 2008 budget, but the project may be included in the 2009 budget. Alan DeSousa, executive committee member responsible for economic development, said he is working to get the project approved as quickly as possible. As mayor of the St. Laurent borough, DeSousa has approved Île sans Fil's installation of Wi-Fi hotspots in several borough locations, such as the borough hall and Marcel Laurin Park. "I think this is an exciting and important project," DeSousa said Friday. "I will do what I can to see it is stickhandled as quickly as possible to make sure it sees the light of day either in 2008 or 2009, but the sooner the better." For more information on Île sans Fil, go to http://www.ilesansfil.org mlalonde@thegazette.canwest.com
  6. À voir la quantité de gens (touristes inclus) qui se promènent au centre-ville après 17h les samedis, je crois que l'initiative suivante serait une très bonne idée. Il faut maintenant attendre la décision du ministère. La Ville est d'accord pour l'ouverture prolongée des commerces du centre-ville Montréal, le 26 juin 2008 - M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif, annonce que la Ville appuie la demande de la Société de développement commercial Destination Centre-Ville visant à prolonger jusqu'à 20 heures, les samedis et dimanches, l'admission aux commerces au centre-ville et dans une partie du Vieux-Montréal. « Nous demandons au ministère du Développement économique, de l'Innovation et l'Exportation (MDEIE) d'adopter cette mesure qui favoriserait l'activité économique au centre-ville et permettrait de mieux répondre aux besoins des touristes étrangers ainsi qu'à la clientèle régionale et suprarégionale, dont les excursionnistes d'un jour, parce que, comme nous l'apprend Tourisme Montréal, le magasinage est l'activité préférée des visiteurs au centre-ville », a déclaré M. DeSousa. « La notoriété du centre-ville s'explique par le grand nombre d'activités et d'événements qui s'y tiennent et par la présence de nombreux attraits touristiques sur son territoire et en périphérie. Il reçoit annuellement cinq millions de touristes, de même qu'il constitue la plus importante concentration hôtelière dans la région et celle qui enregistre le plus grand nombre de nuitées touristiques. Cet afflux de consommateurs représente un atout indéniable pour les 3000 commerces qui en font un pôle économique exceptionnel avec ses quelque 300 000 emplois », a expliqué M. DeSousa. Destination Centre-Ville s'est entendu avec l'arrondissement de Ville-Marie et le MDEIE pour désigner la zone touristique qui sera couverte par le prolongement de la plage horaire commerciale les samedis et dimanches. Le territoire visé se situe dans le périmètre suivant : coin Sherbrooke et Atwater, Sherbrooke vers l'est jusqu'à Saint-Urbain, Saint-Urbain vers le sud jusqu'à Saint-Antoine, Saint-Antoine vers l'ouest jusqu'à de Bleury, de Bleury vers le sud jusqu'à Saint-Jacques, Saint-Jacques vers l'ouest jusqu'à University, University vers le sud jusqu'à Notre-Dame, Notre-Dame vers l'ouest jusqu'à de la Montagne, de la Montagne vers le nord jusqu'à Saint-Antoine, Saint-Antoine vers l'ouest jusqu'à Atwater, Atwater vers le nord jusqu'à Sherbrooke.
  7. QUI DIT VRAI ???? SUR LE FIL DE CET APRÈS-MIDI ( SOURCE CNW) VILLE DE MONTREAL - CABINET DU MAIRE ET DU COMITE EXECUTIF A l'attention du directeur de l'information: Le projet Rives-Nouvelles - Benoit Labonté improvise et recycle des projets déjà en cours MONTREAL, le 11 juin /CNW Telbec/ - M. Alan DeSousa, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025, a déclaré qu'avec le projet "Rives Nouvelles", Benoit Labonté est en train de faire de la récupération de projets qui sont déjà en train de se réaliser. "Comme responsable politique du développement durable à la Ville de Montréal, je suis heureux de voir qu'au moins Monsieur Labonté souscrit au principe du recyclage, mais c'est dommage que ce soit les projets des autres qu'il recycle", a conclu Monsieur DeSousa. "Une partie de ce qu'il présente est déjà contenu dans la Vision 2025 du Havre de Montréal présentée en 2004 par la Société du Havre et qui fait partie intégrante du plan de match Montréal 2025 mis de l'avant par le maire de Montréal M. Gérald Tremblay depuis octobre 2005," a rappelé Monsieur DeSousa. "Le développement des berges est l'idée centrale de la Vision 2025 du Havre. Le titre de son introduction est : Ramener la ville vers son fleuve. Le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie est l'un de ses premiers axes, qui figure à la 14e page du document rendu public en 2004. Il n'y a là rien de nouveau," d'ajouter le responsable du développement durable de la Ville de Montréal. "Monsieur Labonté est un peu en retard dans les nouvelles pour ce qui est du recouvrement de l'autoroute. La ministre des Transports a annoncé au début de mai la formation d'un comité conjoint avec la Ville de Montréal pour étudier la faisabilité technique et financière de différentes formules de recouvrement de l'autoroute Ville-Marie." "Par contre, la Vision 2025 ne prévoit pas le déplacement de la gare ferroviaire du Port, que le maire de l'arrondissement Ville-Marie veut expédier à l'est de la gare Hochelaga. Le Port de Montréal n'a pas inclus ce projet dans son Plan stratégique pour les 15 prochaines années. Cette idée radicale ne vient de nulle part. Est-ce que Monsieur Labonté a un problème à travailler avec des partenaires ?", a déclaré Monsieur DeSousa. "Notre administration favorise un leadership de collaboration. Ainsi, la création d'une instance comme la Société du Havre de Montréal rassemble les partenaires montréalais dans l'élaboration d'une vision d'avenir et une planification concertée du développement de ce secteur névralgique pour Montréal. La Société du Havre peut compter sur une représentation du Port de Montréal, mais aussi des compagnies de chemins de fer CN et CP, de même que des gouvernements du Canada et du Québec, grands propriétaires de terrains dans ce secteur", a déclaré Monsieur DeSousa. Le responsable de Montréal 2025 a rappelé que pendant que le maire de l'arrondissement de Ville-Marie lance des idées à tous vents, il est en retard de trois ans et demi pour le dépôt de son chapitre du plan d'urbanisme. Ce document doit donner une vision d'ensemble aux projets de l'arrondissement et exprimer ses orientations d'aménagement pour tout son territoire. Le Programme particulier d'urbanisme (PPU) du Quartier de la santé, que Monsieur Labonté veut enfin rendre public dans l'après-midi, est attendu depuis deux ans. Il ne définit des orientations que pour le quartier environnant le CHUM. "Comment le maire de l'arrondissement qui est au centre de la ville peut-il présenter un tel projet pour le Port de Montréal sans concertation avec le principal partenaire et, en plus, sans vue d'ensemble de l'aménagement de son territoire ? Il est prêt à tout faire pour des raisons purement électoralistes comme il a déjà fait en novembre 2007, quand il a décidé de récupérer le projet du Quartier des Spectacles avant le dévoilement officiel de cette initiative majeure qui implique une série de partenaires du secteur public et privé" a conclu Monsieur DeSousa. Renseignements: Darren Becker, Attaché de presse, (514) 872-6412; Source: Cabinet du maire et du comité exécutif
  8. Montréal consacre 15 millions à la démolition ou à la transformation des bâtiments industriels ou commerciaux dans les secteurs résidentiels. Montréal, le 16 novembre 2007 - M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif de la Ville de Montréal, est heureux d'annoncer la création du programme PR@M-revitalisation. Doté d'une enveloppe de 15 millions de dollars, ce programme offre aux arrondissements un outil supplémentaire dans l'application de leur plan d'urbanisme, en apportant un appui financier à la démolition ou la transformation de bâtiments à usages dérogatoires, industriels ou commerciaux, situés dans les secteurs résidentiels. «Avec ce nouveau programme, les arrondissements pourront agir sur certaines nuisances qui affectent la qualité de vie des citoyens dans plusieurs secteurs résidentiels », a déclaré M. DeSousa. On trouve encore, sur le territoire de la Ville, des activités industrielles et commerciales qui sont exercées dans des bâtiments localisés au cœur de quartiers résidentiels. La quiétude et le bien-être des résidants en souffrent, en raison notamment du bruit, des poussières et des odeurs. De plus, le volume de circulation et le passage de véhicules lourds affectent directement leur sécurité. Le PR@M-revitalisation offre un soutien financier afin d'encourager les propriétaires de ces bâtiments à utiliser l'espace pour construire de nouvelles unités d'habitation. Le propriétaire de l'immeuble ne devra finalement payer qu'une partie du coût des travaux puisque le nouveau programme couvrira 75 % des coûts admissibles, allant jusqu'à 1 500 000 $. Toute demande de subvention doit être présentée avant le 31 décembre 2009. Le projet doit être réalisé dans les 36 mois, à compter de l'acceptation de la demande d'aide financière par la Ville. La durée du programme est donc de cinq ans, à compter du 1er janvier 2008, et son application prendra fin le 31 décembre 2012. Le programme couvre tout le territoire de la Ville de Montréal. Pour y adhérer, les arrondissements doivent adopter une résolution et contribuer au tiers du 75% des coûts admissibles assumés par la Ville. « Le PR@M-revitalisation s'ajoute ainsi au PR@M-industrie et au PR@M-commerce annoncés le mois dernier. Il s'inscrit dans la stratégie de développement économique 2005-2010 de la Ville, réussir@montréal. Il vient répondre à un besoin largement exprimé par les arrondissements d'enrayer certaines nuisances et d'améliorer la qualité de vie des secteurs résidentiels de la ville. Prendre soin de nos quartiers, c'est accroître le pouvoir d'attraction et de rétention de Montréal auprès des citoyennes et des citoyens à la recherche d'un milieu de vie à la fois inspirant et stimulant pour leur famille », a précisé M. DeSousa.
  9. 09/11/2007 Montréal devient la première ville francophone à recevoir la reconnaissance officielle de l’Université des Nations Unies en matière de développement durable. Dans le cadre du 8e colloque de Montréal en éducation relative à l’environnement, Alan DeSousa, membre du comité exécutif, responsable du développement durable, du développement économique et de Montréal 2025, a tenu à remercier la trentaine de partenaires qui ont permis à Montréal de recevoir cette reconnaissance. Plan stratégique« Montréal est maintenant reconnue au niveau international comme un Centre régional d’expertise sur l’éducation en vue du développement durable. Cela démontre la qualité de nos institutions, notre expertise et nos priorités au niveau du développement durable », explique-t-il. M. DeSousa a aussi applaudi la mise en place du Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise qui a été adopté en avril 2005. M. DeSousa explique que l’urgence d’un plan était venue lors d’une rencontre internationale en 2002. « Le moral était bas. Nous nous rendions compte que depuis déjà dix ans, nous avions de beaux projets, mais que rien de concret n’avait été fait. C’est à ce moment que j’ai décidé de remédier à la situation », affirme-t-il. Depuis, un plan comprenant deux volets a été structuré. En tout, 36 actions précises faisaient partie des objectifs. « Toutes ces actions ont été détaillées, mesurées. Nous avions un échéancier. D’ailleurs, la plupart des actions se sont concrétisées », affirme Alan DeSousa, visiblement fier. C’est justement ce plan qui a été présenté à l’Université des Nations Unies et qui a été reconnu comme le meilleur plan stratégique en matière de développement durable. Selon M. DeSousa, Montréal est désormais sur la carte mondiale : « Nous avons maintenant un rôle de leader au niveau international. J’ai averti le maire Gérald Tremblay que nos standards étaient très élevés et qu’il faudra travailler très fort ». Éducation Les prochains objectifs du Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise sont principalement d’éduquer la population à faire des gestes qui vont dans le sens du développement durable. « Nous misons sur l’effet domino. Chaque geste compte », dit-il. Ce nouveau cheval de bataille s’appuie sur plusieurs réussites en matière de développement durable. La marche au ralenti inutile des véhicules qui fait maintenant l’objet de nouvelles réglementations et de sensibilisation et l’accroissement du nombre d’infrastructures pour l’utilisation des vélos sont deux exemples concrets. Cette « opportunité en or », comme aime bien dire M. DeSousa, devient un tremplin vers encore plus d’actions concrètes. « Nous allons certainement en surprendre plus d’un », lance-t-il en riant, ajoutant qu’ils en ont sûrement déjà surpris plusieurs. « La Ville de Québec nous félicite pour ce plan. Nous sommes au moins cinq ans en avance sur eux en matière de développement durable », conclut-il.
  10. Le Journal de Montréal 21/06/2007 Les cochers du Vieux-Montréal ne pourront plus sortir les chevaux ou devront les rentrer à l'écurie dès que la température atteindra 30 degrés Celsius. «C'est l'affaire la plus stupide que j'ai entendue! «Ça fait 33 ans que je fais ce métier dans le Vieux-Montréal et je sais que les chevaux sont capables de supporter cette chaleur», commente André Saint-Amand, propriétaire de calèche. Cette norme apparaît dans un nouveau règlement de Montréal qui vise à resserrer la discipline dans ce milieu. Mais pour le conseiller municipal Alan DeSousa, responsable de ce dossier, la nouvelle norme est nécessaire puisque la température officielle retenue est celle de Dorval et qu'il y a un écart avec le centre-ville. Que reste-t-il? M. Saint-Amand estime néanmoins que le nouveau règlement complique la vie des cochers. «Il en coûte 5000 $ par année pour l'entretien d'un cheval et la plus belle saison ne dure que deux mois et demi. «Si vous enlevez tous les jours de pluie, alors qu'il est impossible de travailler à cause de l'absence de clientèle, on peut bien se demander pourquoi la Ville de Montréal veut réduire le nombre de jours de travail en imposant le 30° Celsius. Que nous reste-t-il?» demande le cocher. Dans l'ancien règlement, la température critique était fixée à 32 Celsius. Alan DeSousa estime que le nouveau règlement vise la sécurité des clients et aussi le traitement qu'il faut accorder aux chevaux. 31 permis Il confirme que la Ville a racheté cette semaine trois autres permis du même propriétaire, réduisant ainsi à 31 le nombre de cochers pour les touristes. Chaque permis a été racheté au coût de 27 500 $. La Ville est la seule à pouvoir racheter ces permis «parce que nous voulons réduire le nombre à 20», précise le conseiller municipal et maire de Saint-Laurent. M. DeSousa croit que les décisions de son administration feront en sorte que cette activité commerciale sera de plus en plus rentable pour les cochers.
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