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  1. Je vais déménager à Manhattan au mois d'Août. Je garde un pied-à-terre à Vancouver et reviens fréquemment à Montréal. Je viens de voir cette nouvelle toute fraiche. Je vais habiter tout juste à côté de Washington Square, et ce nouveau développement m'intéresse au plus haut point. J'esssaierai de vous en faire part régulièrement. Voici l'article du Wall Street Journal: First Look at NYU Tower Plan University Wants 38-Story Building on Village Site; Critics Fret Over Pei Design By CRAIG KARMIN New York University on Thursday expects to unveil its much-anticipated design plans for the proposed 38-story tower in Greenwich Village, one of the most ambitious projects in the school's controversial 25-year expansion plan. Before and after: The space between two towers designed by I.M. Pei, above, would be filled by a new tower, in rendering below, under NYU's plan. The tower, sight-unseen, is already facing backlash from community groups who say the building would interfere with the original three-tower design by famed architect I.M. Pei. Critics also say the new building would flood the neighborhood with more construction and cause other disruptions. The concrete fourth tower with floor-to-ceiling glass windows would be built on the Bleecker Street side of the site, known as University Village. It would house a moderate-priced hotel on the bottom 15 floors. The 240-room hotel would be intended for visiting professors and other NYU guests, but would also be available to the public. The top floors would be housing for school faculty. In addition, NYU would move the Jerome S. Coles Sports Center farther east toward Mercer Street to clear space for a broader walkway through the site that connects Bleecker and Houston streets. The sports complex would be torn down and rebuilt with a new design. Grimshaw Architects The plan also calls for replacing a grocery store that is currently in the northwest corner of the site with a playground. As a result, the site would gain 8,000 square feet of public space under the tower proposal, according to an NYU spokesman. NYU considers the new tower a crucial component of its ambitious expansion plans to add six million square feet to the campus by 2031—including proposed sites in Brooklyn, Governors Island and possibly the World Trade Center site—in an effort to increase its current student population of about 40,000 by 5,500. The tower is also one of the most contentious parts of the plan because the University Village site received landmark status in 2008 and is home to a Pablo Picasso statue. The three existing towers, including one dedicated to affordable public housing, were designed by Mr. Pei in the 1960s. The 30-story cast-concrete structures are considered a classic example of modernism. Grimshaw Architects, the New York firm that designed the proposed tower, says it wants the new structure to complement Mr. Pei's work. "It would be built with a sensitivity to the existing buildings," says Mark Husser, a Grimshaw partner. "It is meant to relate to the towers but also be contemporary." Grimshaw Architects NYU says the planned building, at center of rendering above, would relate to current towers. He said the new tower would use similar materials to the Pei structures and would be positioned at the site in a way not to cut off views from the existing buildings. Little of this news is likely to pacify local opposition. "A fourth tower would utterly change Pei's design," says Andrew Berman, executive director of the Greenwich Village Society for Historic Preservation. He says that Mr. Pei designed a number of plans about the same time that similarly featured three towers around open space, such as the Society Hill Towers in Philadelphia. Watch a video showing a rendering of New York University's proposed 38-story tower, one of the most ambitious projects in the university's vast 2031 expansion plan. The tower would be located near Bleecker Street in Manhattan. Video courtesy of Grimshaw Architects. Residents say they fear that the new tower would bring years of construction and reduce green spaces and trees. "We are oversaturated with NYU buildings," says Sylvia Rackow, who lives in the tower for public housing. "They have a lot of other options, like in the financial district, but they are just greedy." NYU will have to win permission from the city's Landmark Commission before it can proceed. This process begins on Monday when NYU makes a preliminary presentation to the local community board. Jason Andrew for the Wall Street Journal NYU is 'just greedy,' says Sylvia Rackow, seen in her apartment. Grimshaw. While the commission typically designates a particular district or building, University Village is unusual in that it granted landmark status to a site and the surrounding landscaping, making it harder to predict how the commission may respond. NYU also would need to get commercial zoning approval to build a hotel in an area designated as residential. And the university would have to get approval to purchase small strips of land on the site from the city. If the university is tripped up in getting required approvals, it has a backup plan to build a tower on the site currently occupied by a grocery store at Bleecker and LaGuardia, which would have a size similar to the proposed tower of 270,000 square feet. http://online.wsj.com/article/SB10001424052748704198004575311161334409470.html?mod=WSJ_hpp_MIDDLENexttoWhatsNewsForth
  2. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  3. monctezuma

    L7 - 3 étages

    Nouveau projet près du marché Atwater. L7CONDO Prévente L7CONDO sous peu, remplissez le formulaire contact pour être tenu informé du lancement du projet. Pour toutes questions, contactez nous: 514.808.0590 http://www.chapam.ca/
  4. Nouveau projet à prix invitant ! Situé à l'angle des rues Sicard et de Rouen dans le convoité et inspirant quartier d'Ho-Ma. Le Daxx charmera par son prix avantageux. Dès maintenant, vous offrir un condo de qualité répondant à tous vos besoins et vous établir dans un environnement stimulant est à votre portée. 3 CHAMBRES À COMPTER DE 259 900 $ +tx 4 étages 25 unités de 1 et 3 chambres Design actuel et fonctionnel Grand balcon arrière avec rangement AU CHOIX Unités de 3 chambres offertes sur 2 niveaux (maisonnette) Espaces de stationnements intérieurs (6) extérieurs (6) http://www.condodaxx.com
  5. Dans le quartier Sainte-Marie, juste à l'ouest du Pont J-C http://www.habitationsgg.com/dp/fr/node/14 22 condominiums René-Lévesque et Falardeau Le RL Condo Bureau des Ventes 2005 René-Lévesque Est Montréal, (Qc)H2K 2M4 Tél.: 514-969-2484 ext. 2 Heures d'ouverture Lundi au Mercredi 12h à 17h Jeudi et Vendredi sur rendez-vous Samedi et Dimanche de 12h à 17h Prix : à partir 208 900$ taxes, terrain et infrastructure inclus à 100% Caractéristiques et Avantages -7 unités sur René-Lévesque -15 unités sur Falardeau-posssibilité de stationnement -Terasse privée sur le toit -plafonds 8 ET 9 -pied en plein coeur de Montréal -Près des festivités et d’un quartier bien vivant -Frais de copropriété peu élevés -5 000 $ d’équipement gratuit EN PRÉVENTE Habiter à deux pas de tout RL CONDO, un développement urbain de 22 condos de une et deux chambres. Situées respectivement sur le boulevard René-Lévesque et sur la rue Falardeau, ces deux phases de trois étages proposent des logements baignant de lumière naturelle et conjuguent qualité et harmonie pour offrir une atmosphère chaleureuse. Un design intérieur raffiné qui brille par son choix de matériaux de première qualité. Un style qui mise sur l’élégance et l’intemporalité. Le tout, situé en plein cœur du centre-ville. Une cuisine au look moderne : comptoirs de quartz, armoires en thermoplastique, dosseret en mosaïque, évier carré au design actuel et robinetterie inspiré des restaurants. Une salle de bain rayonnante de confort, pensée en fonction de votre bien-être : douche à panneaux de verre coulissants offrant des jets de pluie généreux et bien enveloppants, armoire à pharmacie surmontée d’un miroir et meuble-lavabo flottant. Et pour profiter pleinement des beaux jours d’été, quoi de mieux qu’une terrasse sur le toit pour jouir d’une vue imprenable surle centre-ville, le pont Jacques-Cartier et La Ronde. L'endroit rêvé pour vos petites réceptions ou pour admirer les feux d’artifices
  6. Le projet initial de 150 millions est annulé et scindé en 2 projets distincts. Ancien projet : http://mtlurb.com/forums/showthread.php/17112
  7. http://www.wintercities.com/ On Facebook https://www.facebook.com/WinterCitiesInstitute Those who live and work in northern cities recognize the need for better planning and design. The sustainability of winter cities requires a creative approach that addresses the problems of snow and cold while enhancing the advantages, opportunities and beauty of the winter season. A positive approach benefits the attitudes of residents, and bolsters the community’s ability to attract new business and residents. The Winter Cities Institute was organized in 2008 to identify, promote and share the positive attributes of winter living, new concepts in architecture and urban design, and success stories from those places that are thriving in the north. The Institute was founded by Patrick Coleman, AICP, recognized for his work with the Livable Winter Cities Association (WCA). From 1982-2005, the WCA organized conferences, published books and the quarterly magazine “Winter Cities”. A totally volunteer staff made the WCA difficult to sustain and in the end it struggled with its mission. As Coleman incorporated winter enhancement strategies in his planning practice with multi-disciplinary design firms in Alaska and northern Michigan, he found enthusiastic reception to the idea of making winter a better time of year. “People are looking for answers to common winter problems and issues”, he said. “I experienced firsthand and heard from many the need for a source of information, networking and resources, and decided to launch the Institute as a web-based network and resource sharing project”. The Winter Cites Institute offers a place for those looking to improve the quality of life in wintertime and need information on what is being done in other northern places. Our members are from around the world and include: cities and towns architects planners engineers parks and recreation professionals economic development and tourism officials Welcome to the resources available on this site and consider joining the network to get even more benefits.
  8. La SAQ Signature située dans le Complexe Les Ailes déménagera sur la rue de la Montagne. Images : Sid Lee Architecture Le design de la SAQ Signature de Québec est vraiment bien!
  9. Nouveau projet de condos sur Bishop a coté du Viva Lofts, rendu pris sur le site de FX studio design
  10. radio-canada.ca PUBLIÉ LE SAMEDI 28 OCTOBRE 2017 À 19 H 36 Au lendemain du Sommet Mondial du Design tenu dans la métropole québécoise dernièrement, le directeur général de Montréal autochtone, Philippe Meilleur, souhaite l'adoption prochaine d'un guide du design pour orienter de futurs chantiers autochtones en milieu urbain. Un texte d’Anne-Marie Yvon Sur les rives du fleuve Saint-Laurent, à quelques encablures des rapides de Lachine, se dresse Nations sur le fleuve, un site culturel autochtone évoquant l’occupation amérindienne. Outre un centre culturel, on y trouve un camping urbain et partout autour des plantes indigènes. Si le lieu est magnifique, il est avant tout virtuel, sorti tout droit de l’imagination de la designer d’ascendance malécite, Johanne Aubin, qui s’inspire de la culture autochtone dans son travail. Leprojet Nations sur le fleuve illustre comment Montréal pourrait, de manière très concrète, intégrer et valoriser la culture et l’histoire des Premiers Peuples. Photo : Radio-Canada/Anne-Marie Yvon Nations sur le fleuve illustre bien comment Montréal pourrait, de manière très concrète, intégrer et valoriser la culture et l’histoire des Premiers Peuples. Le projet verra-t-il le jour? C’est le souhait de Philippe Meilleur qui, au sein de Montréal autochtone, fait tout pour intégrer des milieux de vie autochtones au cœur de la ville. Celle-ci accuse un certain retard comparativement à d’autres grandes métropoles du pays et du monde. L’urbanité autochtone Les données dévoilées par Statistique Canada le 25 octobre le montrent clairement : les Autochtones sont de plus en plus urbains. Le recensement de 2016 révèle que plus de la moitié (51,8 %) des Autochtones vivaient dans une région métropolitaine de plus de 30 000 habitants au pays. Quelque 34 745 Autochtones habitent dans la région urbaine de Montréal, comparativement à 18 465 en 2006. Sur l’île de Montréal, ils sont environ 12 000, précise Philippe Meilleur. L’organisme qu’il dirige a été fondé en 2014, pour pallier l’absence de service pour les familles et la jeunesse, de plus en plus nombreuses. Mais qu’en est-il de l’environnement bâti? Une promenade dans les divers quartiers de Montréal ne permettra pas de mesurer à sa juste valeur la présence des Premières Nations. Il y a bien eu, en septembre, l’ajout d’un cinquième symbole, le pin blanc, placé au centre des armoiries de la Ville pour illustrer leur présence ancestrale sur le territoire. Il y a aussi des représentations de leur culture dans les musées, tenus par des non-Autochtones, tient à préciser Philippe Meilleur, que ce soit le Centre d'histoire de Montréal ou le Musée McCord d'histoire canadienne, mais le reste tient de l’évènement ponctuel, qu'on pense aux pow-wow annuels, au festival Présence autochtone ou même au café de la Maison ronde, fermé pendant l’hiver. Philippe Meilleur, directeur général de Montréal autochtone Photo : Radio-Canada/Anne-Marie Yvon Ce que souhaite Philippe Meilleur, et dont il a été question pendant l’exposition publique Autochtoniser Montréal, dans le cadre du Sommet Mondial du Design, c’est l’élaboration d’un guide de design autochtone en collaboration avec le Bureau du design de Montréal. « Pour tout projet tagué autochtone et qui demande un terrain de la ville pour pouvoir exister, par exemple le projet de logement social à Verdun, ces projets seraient soumis à une réflexion sur la qualité, opérée par le bureau du design », mentionne-t-il. Ailleurs au Canada et dans le monde, des infrastructures publiques collent déjà à la réalité de leur population autochtone, tout en offrant un milieu inspirant pour les non-Autochtones. À Oujé-Bougoumou au Québec, l’Institut culturel cri Aanischaaukamikw s’appuie sur l’architecture de la maison longue traditionnelle de cette nation. L’Institut culturel cri Aanischaaukamikw à Oujé-Bougoumou au Québec. Photo : Radio-Canada/Anne-Marie Yvon À Whistler, en Colombie-Britannique, le Centre culturel Squamish Lil'wat, soutenu par des poutres de sapins de Douglas géants, réinterprète aussi à sa manière les habitations traditionnelles de ces peuples. L’idée est la même derrière la construction, à Taïwan, de la galerie autochtone de Taitung et de l’école primaire Ming-Chuan. L’école primaire Ming-Chuan à Taïwan Photo : Radio-Canada/Anne-Marie Yvon À Christchurch en Nouvelle-Zélande, la bibliothèque centrale, reconstruite après les tremblements de terre de 2010 et de 2011, met en valeur l’héritage de la tribu maorie des Nghai Tahus. À Auckland, on s’est basé sur le manuel de design Maori Te Oro pour réaliser des projets, dont le centre culturel Te Oro. Un projet pourrait bénéficier des cinq principes élaborés dans ce guide de design autochtone, dont un principe d’autorité et de consultation, et devenir une première référence. Cette idée de logement social pourrait se concrétiser à Verdun d’ici quelques années. « La pérennité de ces projets va passer par leur réflexion approfondie, collée à nos réalités, à nos valeurs; donc il nous faut un guide du design pour orienter un grand plan communautaire du développement des grands chantiers autochtones », conclut Philippe Meilleur.
  11. Nouveau design: [ATTACH=CONFIG]22531[/ATTACH]
  12. Cahier des Charges Concours de design pour le développement d’éléments de mobilier urbain amovibles à l’usage des festivals Concours approuvé par l’association des designers industriels du Québec http://mtlunescodesign.com/docs/projects/09-RM-MobilierFestivals-CDC.pdf
  13. Des clins d'oeil a Montreal chez soi | Andre Laroche | Design Publié le 06 janvier 2017 à 11h00 | Mis à jour le 06 janvier 2017 à 11h00 Des clins d'oeil à Montréal chez soi Neige sur Montréal PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE André Laroche collaboration spéciale Une aquarelle de la carte géographique de Montréal? Des images encadrées de lampadaires typiquement montréalais? Grâce à des oeuvres de designers montréalais, on peut faire de jolis clins d'oeil à la métropole dans son décor. Cette collection s'appelle « Code Souvenir Montréal ». Elle compte quelque 200 objets créés par 59 artistes d'ici. On y trouve, par exemple, des assiettes de porcelaine ornées d'une simple ligne évoquant un bâtiment emblématique de Montréal, des verres à eau estampés « Saint-Laurent frappé », ou des housses de coussin inspirées des fenêtres distinctives de l'aéroport de Dorval. Loin d'être de simples articles promotionnels, ces objets du quotidien évoquent avec subtilité ou humour les emblèmes de la vie montréalaise : le pont Jacques-Cartier, le Monstre, l'enseigne Farine Five Roses, les escaliers en colimaçon, un bagel, une voiture de métro ou simplement le code YUL. Cette collection a d'abord été lancée en 2010 par le Bureau de design de Montréal, voué à faire connaître les designers et les architectes montréalais. Au départ, elle ne devait servir qu'à rassembler une sélection de cadeaux pour les invités de la Ville et des différentes institutions publiques. Elle a cependant permis aussi une formidable source d'émulation, remarque Béatrice Carabin, commissaire au Bureau du design. «La collection s'est raffinée au fil des éditions, car les designers ont développé une meilleure compréhension du message.» <cite>Béatrice Carabin </cite> Les carrés de soie créés par la designer Claire Papillon Photo fournie par la designer Claire Papillon Le catalogue a également franchi les murs de l'hôtel de ville, suscitant l'engouement des Montréalais eux-mêmes dans les boutiques du Jardin botanique et d'Espace pour la vie. En 2017, certaines de ses pièces seront offertes sous l'étiquette « Code Souvenir Montréal » dans plusieurs boutiques de la ville. L'annonce sera faite dans les prochaines semaines. « C'est un projet qui met en valeur la diversité de la vie montréalaise : son territoire, ses habitudes, sa nourriture... Il remet en lumière des choses très ancrées dans la culture d'ici », croit Mme Carabin. Pots à plante, par Alice in Montréal Photo fournie par Alice in Montréal Ce projet se trouve en droit fil avec la démarche de Claire Papillon. Cette artiste travaillait sur une collection de carrés de soie aux motifs évoquant l'histoire, l'architecture ou les événements marquants de Montréal lorsqu'elle a entendu l'appel du Bureau de design. Le catalogue lui offre une vitrine inespérée. « C'est important de bénéficier d'un tel appui, car nous travaillons tous seuls. Le Bureau nous procure une visibilité collective impossible à créer chacun de notre bord avec nos petits drapeaux », croit-elle. > Accédez au catalogue en ligne
  14. SOURCE: La presse - Quatre immeubles démolis dans une aire de protection Buildings to be demolished: 1421-1425 Mackay, and (based on the following text) I strongly suspect the dump at Mackay/Sainte-Catherine will also go down.
  15. Courtesy of Visit Oslo Oslo a great city. I just got back from there. You at least need 2 days there. One thing is for sure, the new museum will be a great addition to all the modern buildings that are there now.
  16. [video=youtube;WH-3FsmU6KQ] At Amtrak we know the future of the Northeast Corridor (NEC) depends on the investments we make today, which is why we are excited to announce the upcoming arrival of the next-generation of high-speed rail. The new trainsets will replace the current Acela Express equipment and begin service in 2021. As part of this multi-faceted modernization program, Amtrak is also investing in the infrastructure needed to improve your customer experience onboard the train and in major NEC stations including Washington Union Station and Moynihan Station New York. This investment will expand and modernize the Acela Express service you’ve come to expect, while adding the amenities and ride quality of international high-speed train services. This next-generation of Acela Express will give you a more comfortable and productive travel experience throughout your entire journey. Just a few of the new amenities include: Approximately one-third more passenger seating, while preserving the spacious, high-end comfort found onboard today Modern interior design Improved Wi-Fi access and quality Personal outlets, USB ports and adjustable reading lights at every seat Enhanced food service options Exceed the ADA minimum accessibility requirements By adding 40-percent more trainsets than the current Acela Express fleet, we are providing you with more travel options. Upon delivery of the new trainsets, Acela Express service will be offered every half-hour between Washington, D.C. and New York City during peak times, and every hour between New York City and Boston throughout the day. This expanded fleet will give you more departure options during peak travel times. The new trainsets are among the safest, most reliable and energy efficient in the world. They have a 35-year track record of transporting billions of customers to their destinations safely. In reliability, we anticipate the new trainsets will be at least eight times more reliable than the equipment it replaces, ensuring that we will get you where you need to go on time, every time. Finally, the new trainsets will reduce operating energy consumption by at least 20 percent, through a combination of minimal aerodynamic drag and lightweight design. This is the most significant investment Amtrak has made in its infrastructure and technology in the 45 years of providing passenger rail service to the American public and it was important to us that these trainsets be “Made in America” as much as possible. For this project, we are pleased to be partnering with Alstom, a leading global provider of innovative systems and equipment in the railway sector. Alstom will be building these new trainsets in New York State, with 95 percent of the trainset’s components being made in America, and parts coming from more than 350 suppliers in over 30 U.S. states. We look forward to having you join us on this journey as we work to revolutionize high-speed passenger rail in the country, support the American economy and continue to provide you with a reliable, smooth and efficient ride as you travel throughout the Northeast. Continue to check back here for more details on the progress of next-generation high-speed rail on the Northeast Corridor. Amtrak’s Next-Generation of High-Speed Trains - blog.amtrak.com
  17. Une firme de design new-yorkaise propose de doter l’Île Sainte-Hélène d’un deuxième dôme conçu comme l’ancien pavillon des États-Unis au cours de l’Expo 67. Selon le magazine de design et d'architecture Dezeen, la firme new-yorkaise Studio Dror aimerait construire une autre sphère géodésique à côté de la Biosphère actuelle, l’ancien pavillon des États-Unis. Ce pavillon avait été conçu à l’époque par l’architecte Richard Buckminster Fuller. Depuis 1990, le dôme est devenu un musée consacré à l’environnement. Le fondateur de Studio Dror, Dror Bensherit, a expliqué son projet au magazine Dezeen: «Comme le ferait le soleil et la lune, notre concept se présente comme une danse poétique avec le design de Fuller. Pour exploiter le potentiel du Parc dans un contexte contemporain.» Cette nouvelle structure, jumelle à celle de l’ancienne Biosphère, en adopterait les mêmes dimensions: 76 mètres de diamètre pour une hauteur de 62 mètres. Toutefois, la nouvelle version des Studio Dror serait construite avec un auvent aménagé à partir du haut de la structure. Ce qui permettrait de créer une zone partiellement abritée autour de sa base. Ses treillis en aluminium seraient aussi conçus pour permettre à la végétation d’y pousser afin de mieux intégrer la structure au décor environnant et d’insonoriser partiellement les lieux. Si le projet des Studio Dror se concrétise, la construction de ce deuxième dôme coïnciderait avec le 50e anniversaire d’Expo 67 l’an prochain. http://www.journaldemontreal.com/2016/04/26/un-nouveau-dome-sur-lile-sainte-helene
  18. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/880479/un-starchitect-debarque-a-montreal/ 26/11/2015 Mise à jour : 26 novembre 2015 | 3:00 Un «starchitect» débarque à Montréal Par Marc-André Carignan Sa signature n’est pas aussi extravagante que celle de plusieurs grands noms de l’architecture, tels que Frank Gehry ou Zaha Hadid. Au contraire: le Britannique David Chipperfield laisse sa marque depuis les années 1980 avec une étonnante sobriété, de Londres à Mexico. Ses lignes droites minimalistes se tiennent bien loin du tape-à-l’œil chinois ou dubaïote, offrant à ses réalisations une qualité architecturale capable de traverser l’épreuve du temps. Sa sensibilité remarquable au patrimoine bâti et aux paysages naturels lui vaut un grand respect de la communauté architecturale et des promoteurs, ce qui lui permet de décrocher des contrats très convoités. Je pense notamment à celui de la nouvelle maison des prix Nobel, à Stockholm. Ou encore, au gratte-ciel que son équipe développe actuellement sur le dernier terrain disponible de Bryant Park, à Manhattan. La qualité de ses espaces a été soulignée à maintes reprises au fil de ses années de pratique. L’architecte a ainsi reçu plus d’une centaine de distinctions, allant de celles de l’American Institute of Architects au prestigieux Mies van der Rohe Award de l’Union européenne. Eh bien, David Chipperfield s’amène à Montréal, un terrain de jeu inexploré jusqu’à présent pour son agence. SSENSE, une entreprise montréalaise de biens luxueux, vient de le mettre sous contrat pour dessiner son nouveau magasin phare (son «flagship») dans la métropole. Le projet n’a pas encore été officiellement soumis à la Ville, mais le mandat des architectes et des ingénieurs a débuté il y a déjà plusieurs semaines, m’a-t-on confié. L’équipe du Britannique devra non seulement élaborer une boutique signature sur l’île, mais elle aura également à plancher sur d’autres projets d’expansion de l’entreprise «dans plusieurs villes». À quoi peut-on s’attendre en termes de design? Difficile à dire pour le moment puisque les architectes cogitent toujours leur concept, et que SSENSE ne m’a pas rendu mes appels. Par contre, si l’on se fie à l’image de marque SSENSE [qui fait affaire avec plus de 200 designers de mode et d’objets haut de gamme], on peut s’attendre à un design très glamour et épuré. Selon mes sources, SSENSE était à la recherche d’une star de l’architecture depuis plusieurs mois afin d’accroître son rayonnement international à travers le design de ses boutiques. Plusieurs noms auraient circulé. Aurait-on pu faire appel à nos talents locaux pour ce mandat? Peut-être, mais il faut tout de même souligner que SSENSE a embauché, en 2013, la talentueuse firme montréalaise Humà Design pour dessiner son nouveau siège social dans une ancienne usine de textiles sur Chabanel. On ne regarde donc pas qu’à l’étranger.
  19. Article intéressant dans le NYMAG : The Psychological Cost of Boring Buildings By Jacoba Urist April 12, 2016 10:56 a.m. <cite class="credit">Photo: Philip Laurell/Getty Images </cite>New Yorkers have long bemoaned their city being overrun by bland office towers and chain stores: Soon, it seems, every corner will either be a bank, a Walgreens, or a Starbucks. And there is indeed evidence that all cities are starting to look the same, which can hurt local growth and wages. But there could be more than an economic or nostalgic price to impersonal retail and high-rise construction: Boring architecture may take an emotional toll on the people forced to live in and around it. A growing body of research in cognitive science illuminates the physical and mental toll bland cityscapes exact on residents. Generally, these researchers argue that humans are healthier when they live among variety — a cacophony of bars, bodegas, and independent shops — or work in well-designed, unique spaces, rather than unattractive, generic ones. In their book, Cognitive Architecture: Designing for How We Respond to the Built Environment, Tufts urban policy professor Justin Hollander and architect Ann Sussman review scientific data to help architects and urban planners understand how, exactly, we respond to our built surroundings. People, they argue, function best in intricate settings and crave variety, not “big, blank, boxy buildings.” Indeed, that’s what Colin Ellard, a neuroscientist at the University of Waterloo and director of its Urban Realities Laboratory, has found in his own work. Five years ago, Ellard became interested in a particular building on East Houston Street — the gigantic Whole Foods “plopped into” a notoriously textured part of lower Manhattan. As described in his book, titled Places of the Heart: The Psychogeography of Everyday Life, Ellard partnered with the Guggenheim Museum’s urban think tank to analyze what happens when someone “turns out of a tiny, historic [knish] restaurant” and encounters a full city block with nothing but “the long, blank façade of the Whole Foods Market.” The Whole Foods on Houston. In 2011, Ellard led small groups on carefully planned Lower East Side walks to measure the effect of the urban environment on their bodies and minds. Participants recorded their response to questions at each stopping point and wore sensors that measured skin conductance, an electrodermal response to emotional excitement. Passing the monolithic Whole Foods, people’s state of arousal reached a nadir in Ellard’s project. Physiologically, he explained, they were bored. In their descriptions of this particular place, they used words like bland, monotonous, and passionless. In contrast, one block east of the Whole Foods on East Houston, at the other test site — a “lively sea of restaurants with lots of open doors and windows” — people’s bracelets measured high levels of physical excitement, and they listed words like lively, busy, and socializing. “The holy grail in urban design is to produce some kind of novelty or change every few seconds,” Ellard said. “Otherwise, we become cognitively disengaged.” The Whole Foods may have gentrified the neighborhood with more high-quality organic groceries, but the building itself stifled people. Its architecture blah-ness made their minds and bodies go meh. And studies show that feeling meh can be more than a passing nuisance. For instance, psychologists Colleen Merrifield and James Danckert’s work suggests that even small doses of boredom can generate stress. People in their experiment watched three videos — one boring, one sad, and one interesting – while wearing electrodes to measure their physiological responses. Boredom, surprisingly, increased people’s heart rate and cortisol level more than sadness. Now take their findings and imagine the cumulative effects of living or working in the same oppressively dull environs day after day, said Ellard. There might even be a potential link between mind-numbing places and attention deficit hyperactivity disorders. In one case, physicians have linked “environmental deprivation” to ADHD in children. Homes without toys, art, or other stimuli were a significant predictor of ADHD symptoms.Meanwhile, the prevalence of U.S. adults treated for attention deficit is rising. And while people may generally be hardwired for variety, Dr. Richard Friedman, director of the pharmacology clinic at Weill Cornell Medical College, makes the case that those with ADHD are especially novelty-seeking. Friedman points to a patient who “treated” his ADHD by changing his workday from one that was highly routine — a standard desk job — to a start-up, which has him “on the road, constantly changing environments.” Most ADD is the result of biological factors, said Dr. Edward Hallowell, a psychiatrist who specializes in ADHD, and co-authored numerous books on the subject, such as Delivered From Distraction: Getting the Most Out of Life With Attention Deficit Disorder. But, he explained, he sees a lot of socially induced ADD, too, a form of the disorder that makes it appear as though you inherited the genes, although you really haven’t. And one way you might have the socially induced condition, according to Hallowell, is to suffer severe boredom or live in a highly nonstimulating environment. “It makes total sense that for these people changing where they work or live to add more visual stimulation and daily variety could be extremely helpful,” Hallowell said. At the same time, many adults may feel they have ADHD because the world has become hypersaturated with constant texts, emails, and input. For them, life has become too adrenalizing. “They don’t have true ADHD,” Hallowell said, “but, rather, what I call a severe case of modern life.” So the trick, it seems, is to design a world that excites but doesn’t overly assault our faculties with a constant barrage of information: Scientists aren’t proposing that all cities look like the Vegas strip or Times Square. “We are, as animals, programmed to respond to thrill,” said professor Brendan Walker, a former aerospace engineer and author of Taxonomy of Thrill and Thrilling Designs. In Walker’s University of Nottingham “thrill laboratory,” devices gauge heart rate and skin conductance to see how people respond to adrenaline-producing experiences such as a roller-coaster ride. And he’s reduced “thrill” to a set of multivariable equations that illustrate the importance of rapid variation in our lives: A thrilling encounter moves us quickly from a state of equilibrium to a kind of desirable “disorientation,” like the moment before you rush down the hill of a roller coaster. “Humans want a certain element of turmoil or confusion,” he said. “Complexity is thrilling whether in an amusement park or architecture.” Environmental thrill and visual variety, Walker believes, help people’s psyche. As many of us instinctively feel a wave of ennui at the thought of working all day in a maze of soulless, white cubicles, blocks of generic buildings stub our senses. It’s not only that we’re genetic adrenaline junkies. Psychologists have found that jaw-dropping or awe-inspiring moments — picture the exhilarating view of the Grand Canyon or Paris from the Eiffel tower — can potentially improve our 21st-century well-being. One study showed that the feeling of awe can make people more patient, less materialistic, and more willing to help others. In an experiment, researchers showed students 60-second clips of waterfalls, whales, or astronauts in space. After only a minute of virtual images, those who said they were awed also felt less pressed for time. In a second experiment, individuals recalled “an awe-inspiring” event and then answered a range of survey questions; they were also more likely to say they’d volunteer for a charity, as compared to those who hadn’t spent time thinking about a past moment of awe. And in yet another variation, people made hypothetical choices between material and experiential goods of equal monetary value: a watchor a Broadway show, a jacket or a restaurant meal. Those who recently “felt awe” were more likely to choose an experience over a physical possession, a choice that is linked with greater satisfaction in the long run. In other words, a visual buzz — whether architectural or natural — might have the ability to change our frame of mind, making modern-day life more satisfying and interactive. It’s important to note, however, that architectural boredom isn’t about how pristine a street is. People often confuse successful architecture with whether an area looks pleasant. On the contrary, when it comes to city buildings, people often focus too narrowly on aesthetics, said Charles Montgomery, author of Happy City: Transforming Our Through Urban Design. But good design is really is about “shaping emotional infrastructure.” Some of the happiest blocks in New York City, he argues, are “kind of ugly and messy.” For instance, Ellard’s “happier” East Houston block is a “jumbled-up, social one”— the Whole Foods stretch, in comparison, is newer and more manicured. Sometimes what’s best for us, Montgomery explained, just isn’t that pretty. His research also shows cacophonous blocks may make people kinder to each other. In 2014, Montgomery’s Happy City lab conducted a Seattle experiment in which he found a strong correlation between messier blocks and pro-social behavior. Montgomery sent researchers, posing as lost tourists, to places he coded as either “active façades” — with a high level of visual interest — or “inactive façades” (like long warehouse blocks). Pedestrians at active sites were nearly five times more likely to offer help than at inactive ones. Of those who helped, seven times as many at the active site offered use of their phone; four times as many offered to lead the “lost tourist” to their destination. Fortunately, it’s not necessarily a dichotomy — new architecture can achieve the optimal level of cacophony and beauty. Take the 2006 Hearst Tower in midtown Manhattan. From the outside, the façade is likely to jolt city dwellers — if anything will — from their daily commutes, while “thrilling” employees who enter it each morning. Designed by Pritzker Architecture Prize–winning architect Norman Foster, Hearst Tower is a glass-and-steel skyscraper, 40 stories of which are designed in a triangular pattern contrasting the 1920s Art Deco base. For many who walk by, Hearst Tower’s design may not be the easiest to understand; it’s both sleek and old. The top looks like it traveled from the future. Inside, workers travel upon diagonal escalators, up a three-story water sculpture, through the tower’s historic atrium” flooded with light. It’s not the view from the Eiffel Tower or the Grand Canyon, but it’s probably as close a modern lobby can come to awe-inspiring. Few New Yorkers who pass by would find this building boring. And they’re likely happier — maybe even nicer to each other — because of it. <cite class="credit"></cite>
  20. http://mentalfloss.com/article/72661/detroit-named-americas-first-unesco-design-city
  21. Depuis quelques semaines il y a des travaux dans le petit immeuble à bureau situé rue Sherbrooke ouest coin Bishop. L'immeuble n'est pas très beau avec ses briques jaunes, et il est complètement vide depuis longtemps. J'ai été surpris de voir des travailleurs à l'intérieur alors je suis rentré pour demander ce qui se passait, évidemment ! À ma surprise un travailleur m'a dit qu'il était en train de construire un bureau de vente qui devrait ouvrir ses portes ce printemps. L'immeuble en question sera complètement transformé pour devenir un immeuble résidentiel avec condos de luxes. C'est le ''Groupe Maxera'' qui s'occupe de ce projet. Le Groupe Maxera est celui qui a construit le Salto dans St-Léonard et qui a lancé la phase II dernièrement. Si les ventes vont bien ils pourrait commencer les travaux dès l'automne. Le bureau de vente lui sera construit comme un unité modèle. Donc, il m'a montré un rendu et j'ai été agréablement surpris. Très beau design. L'immeuble sera complètement ''stripper'' de l'intérieur et de l'extérieur. Seul la structure restera en place. Un revêtement complètement nouveau remplacera les briques jaunes et c'est tant mieux. La hauteur ne devrait pas changer sauf un étage de plus, je crois. Avec un coup d’œil rapide le design m'a fait penser au ''Triomphe'' mais en moins haut et avec une touche un peu plus glamour. Enfin, si tout va bien nous devrions en savoir plus bientôt et probablement voir le rendu en question.
  22. LE MINISTRE SAM HAMAD ANNONCE UNE DÉMARCHE CONCERTÉE POUR L'AMÉNAGEMENT DU PARCOURS D'ENTRÉE DE VILLE DE MONTRÉAL Un concours international d'idées en design urbain est lancé MONTRÉAL, le 20 mai 2011 /CNW Telbec/ - Le ministre des Transports, M. Sam Hamad, a annoncé aujourd'hui, dans le cadre du Forum stratégique sur le développement des infrastructures de transport organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, une démarche concertée pour l'aménagement du parcours d'entrée de ville de Montréal. Cela se traduira par la tenue d'un concours international d'idées en design urbain pour le parcours reliant l'Aéroport international Montréal-Trudeau au centre-ville de Montréal dans le corridor de l'autoroute 20. Initiée par le ministère des Transports, cette démarche concertée réunit en une table de travail les représentants des principaux organismes dans ce secteur, soit la Ville de Montréal et ses arrondissements Côte-des-Neiges - Notre-Dame-de-Grâce, Lachine, Sud-Ouest et Ville-Marie, les villes de Dorval, Montréal-Ouest et Westmount, la Communauté métropolitaine de Montréal, la Conférence régionale des élus de Montréal, Parcs Canada, Aéroports de Montréal, l'Agence métropolitaine de transport ainsi que le Canadien National et le Canadien Pacifique. « La présente décennie a vu et verra de nombreux projets se concrétiser dans ce corridor, notamment ceux du ministère des Transports. Il s'agit là d'une occasion unique de coordonner l'aménagement urbain de ce corridor et d'obtenir des propositions à la hauteur de nos aspirations », a déclaré le ministre Hamad. Pourquoi choisir le corridor de l'autoroute 20 ? Principale porte d'entrée internationale du Québec, le corridor de l'autoroute 20, entre l'aéroport et le centre-ville, constitue pour de très nombreux visiteurs le premier contact avec Montréal et le Québec. C'est également le décor quotidien de milliers de Montréalais qui y circulent en voiture, en train ou en autobus. Ce secteur de la ville est en effervescence et de nombreux projets autant publics que privés sont appelés à s'y réaliser au cours des prochaines années. Il s'agit donc d'une occasion unique de créer un véritable parcours d'entrée de ville de calibre international pour la métropole. Un concours international d'idées Le concours international d'idées pour le développement d'une vision stratégique d'aménagement du corridor de l'autoroute 20 s'adresse à tous les professionnels en aménagement, qu'ils soient architectes, designers urbains ou urbanistes. Ces professionnels sont invités à former des équipes multidisciplinaires comptant également des artistes, scénographes et spécialistes en transport. Les différentes idées qui seront proposées permettront de mieux définir les possibilités de développement et de dégager les options qui font consensus pour l'ensemble des intervenants. Plus spécifiquement, ce concours international d'idées cherche à réinventer et à harmoniser les liens des multiples composantes de ce parcours et les milieux de vie adjacents. « La tenue d'un concours international d'idées permettra d'obtenir des propositions de visions macroscopiques d'aménagement qui reflètent l'identité et la maturité de Montréal et qui soutiennent sa vitalité. La tenue du concours permet aussi de souligner le 5e anniversaire de la désignation de Montréal Ville UNESCO de design en soutenant les efforts d'accroissement de la qualité du design des lieux montréalais afin d'en promouvoir la viabilité et l'attractivité», a souligné M. Hamad. Le concours sera officiellement lancé le 9 juin 2011 lors d'un appel de participation qui présentera l'ensemble des modalités et les documents qui guideront l'élaboration des propositions. Les équipes auront jusqu'au 7 octobre pour déposer leurs projets. Le ministère des Transports a confié à la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal (CPEUM) le soin de piloter le concours international d'idées et l'effort de concertation qui en découle. Fondée en 1996, la CPEUM a pour mission le développement de connaissances et de moyens d'intervention dans les domaines du paysage et de l'environnement. La CPEUM mise, pour ce faire, sur des collaborations étroites avec ses principaux partenaires, dont le ministère des Transports, qui participent aux projets de la CPEUM depuis ses débuts. « Plus que jamais, nos emprises autoroutières doivent s'intégrer de façon harmonieuse dans les milieux urbains dans lesquels elles se trouvent. Une intégration concertée et cohérente permettra à ce parcours de devenir une signature urbaine pour notre métropole», a conclu M. Hamad. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2011/20/c6522.html
  23. SVP, remplacer ce fil par celui du projet de Karl Fischer. Le projet de Lemay n'est visiblement pas celui qui est sur la table. Nouveau design. Merci à MtlSkyline!
  24. http://www.groupesopromont.com/fr/projets/17-projet-delano.html http://delanocondos.com/le-projet.html La première phase de cet impressionnant projet, situé dans le quartier Chomedey à Laval, propose un immeuble de structure de béton, comprenant 59 unités réparties sur 6 étages avec ascenseur. Sa localisation géographique est idéale : à proximité de tous les grands axes routiers Lavallois, du renommé Marché 440 ainsi que d'innombrables restaurants et boutiques qui entourent le site du DELANO. D'un design contemporain, les immeubles démontrent une architecture urbaine et intemporelle. Pour jouir pleinement de la vue panoramique imprenable, toutes les unités sont dotées d'une fenestration abondante.
  25. Bonjour chers membres, Je crois que nous couvrons presque tous les aspects des projets immobilliers, mais nous n'avons rien sur l'interieur de nos demeures. Étant moi-même en pleine rénovation, je me rends compte qu'il n'y a pas de place pour la rénovation, l'aménagement intérieur (design) et même la domotique un sujet fort intéressant pour les geeks que plusieurs d'entre nous sommes! Que penses-vous d'une section pour couvrir ces sujets? Des partants?
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