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  1. Stéphane Champagne, collaboration spéciale La Presse (Montréal) D'ici 12 mois, Mokko Studio ouvrira un studio de production en Chine et peut-être un autre au Brésil. La PME montréalaise, spécialisée dans les effets visuels et l'animation pour le cinéma et la télévision, est en mode croissance et souhaite devenir un acteur de premier plan dans les pays émergents. Danny Bergeron, président, cofondateur et coactionnaire de l'entreprise de 85 employés, négocie actuellement avec des partenaires de Singapour et de Shanghai afin, dit-il, de faire profiter les Asiatiques du savoir-faire nord-américain dans le domaine des effets visuels et de l'animation. La PME montréalaise a déjà en poche des ententes de coproduction pour 10 films (évaluées à environ 220 millions) en sol asiatique. Du coup, elle détiendra une partie des droits sur les films et n'agira plus seulement à titre d'exécutant au service des grands donneurs d'ordres comme Hollywood, où Mokko Studio tire près de la moitié de ses revenus. Plus d'emplois à Montréal Les pays anglo-saxons, principalement le Canada, l'Australie et la Nouvelle-Zélande, demeurent à ce jour la référence en matière d'effets visuels et d'animation, explique M. Bergeron. «Ce qui fait de Montréal un endroit où la qualité est encore un cran au-dessus par rapport à des pays comme l'Inde», ajoute celui qui se défend de vouloir abolir des emplois à Montréal en ouvrant des studios à l'étranger. «Au contraire, dit-il, nous allons créer des emplois à Montréal. Nous allons travailler sur des projets de coproduction, mais nous allons également offrir notre expertise pour les productions chinoises. Il y a un énorme potentiel. Il y a cinq nouveaux écrans de cinéma qui sont construits chaque jour en Chine. Ce sera bientôt un marché plus important que les États-Unis.» Le président de Mokko Studio souhaite, d'une certaine façon, recréer ce qui se fait dans le secteur manufacturier, où certaines composantes sont fabriquées en Asie, mais où la R-D, le design et l'assemblage final se font ici. «L'objectif est de faire travailler des gens là-bas, mais de garder un contrôle absolu en finalisant les étapes de production à Montréal. Si la demande suit, on va créer encore plus d'emplois de qualité à Montréal», explique l'homme d'affaires de 50 ans. Mokko Studio a également dans sa ligne de mire le Brésil, avec lequel elle travaille déjà sur des projets en coproduction. «Ouvrir des studios au Brésil nous permettra d'avoir accès à tout le marché de l'Amérique latine, du Mexique jusqu'au sud du Chili», souligne Danny Bergeron. Fondée en 2003 par Danny Bergeron et Alain Lachance, Mokko Studio a participé dans les dernières années à des projets cinématographiques dotés de budgets variant de 30 à 80 millions, dont Across the Universe et X-Men Origins: Wolverine. La PME fait donc partie des studios de second échelon tout juste derrière les géants comme ILM ou Weta, qui appartiennent respectivement à George Lucas et Peter Jackson. Le chiffre d'affaires de l'entreprise montréalaise, d'environ six millions actuellement, devrait tripler au cours des prochaines années. L'entreprise à capital fermé, dont les studios sont situés dans l'ancienne usine Redpath sur les bords du canal de Lachine, collabore également à des téléséries de haut calibre, notamment Clash of the Dinosaurs, présentée sur Discovery Channel. Plus près de nous, Mokko Studio a participé aux longs métrages québécois Funkytown, Mémoires affectives et Nez rouge. Précieuse main-d'oeuvre Selon Danny Bergeron, l'époque où les logiciels et le matériel informatique étaient le principal facteur d'endettement - et donc de préoccupation - des entreprises d'animation et d'effets visuels est révolue. «Aujourd'hui, nous gérons des ressources humaines. Notre force, c'est notre main-d'oeuvre», dit-il. Pour se positionner à l'étranger, le président de Mokko Studio affirme donc pouvoir compter sur une équipe de choc. Parmi les directeurs qui travaillent pour la PME se trouvent Alain Lachance (vice-président de la PME et superviseur des effets spéciaux), Anthony Lamolinara (oscarisé pour son travail dans Superman II), Tim Stevenson (qui a travaillé sur Avatar), de même que Benjamin Ribière et Arnaud Brisebois (qui ont notamment participé à 300). Bon pour l'industrie québécoise Une présence à l'étranger permettra non seulement à Mokko Studio d'assurer sa croissance, mais elle sera également bénéfique pour toute l'industrie québécoise, laquelle concurrence Toronto et Vancouver. «Montréal a été une pionnière dans les années 80. Elle mérite la place qui lui revient», affirme Danny Bergeron, selon qui «il y a longtemps que Montréal aurait dû avoir une entreprise de la trempe de Pixar». Selon l'homme d'affaires, il n'y a pas assez de PME québécoises qui se tournent d'emblée vers l'exportation. «Notre bassin de population est trop petit. Il faut viser la planète si l'on veut générer de la richesse. C'est ce que les pays scandinaves font», dit celui qui ne comprend pas pourquoi il n'y a pas plus de Québécois qui sont trilingues. L'article
  2. Publié le 17 décembre 2009 à 07h28 | Mis à jour à 07h36 Popularité des PM: Charest en milieu de peloton Catherine Handfield La Presse Le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams, est le plus apprécié de tous les chefs des provinces canadiennes. Les temps sont plus durs pour son homologue albertain, Ed Stelmach, qui détient le plus faible appui parmi ses électeurs. C'est ce qui ressort d'un sondage Angus Reid réalisé auprès de 7000 adultes canadiens du 23 au 29 novembre. En cette fin d'année, Danny Williams obtient 78% d'appuis à Terre-Neuve-et-Labrador, révèle le sondage mené en ligne. Brade Wall de la Saskatchewan arrive en deuxième position, avec 58%. «En dépit des problèmes du système de santé, Danny Williams et Brade Wall reçoivent d'excellentes cotes peu importe ce qui se passe. C'est un phénomène avec ces deux chefs», note Jaideep Mukerji, vice-président affaires publiques d'Angus Reid. Leur forte personnalité et la façon font ils gèrent l'économie de leur province expliquent en partie leur forte cote de popularité, selon M.Mukerji. À l'opposé, Ed Stelmach continue de dégringoler dans les sondages. Seulement 14% des répondants albertains approuvent la façon dont il s'acquitte de ses tâches. Cette chute est essentiellement due aux difficultés économiques en Alberta, selon Jaideep Mukerji. Dalton McGuinty, de l'Ontario, ne fait guère mieux avec 18% d'appuis. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, obtient quant à lui 25% d'appuis. Il arrive donc au cinquième rang, après Darrell Dexter de la Nouvelle-Écosse (43%) et Greg Selinger du Manitoba (29%). «Jean Charest a eu un moment de popularité assez marqué cet été (32%), mais une série de facteurs fait en sorte que sa popularité est légèrement à la baisse», indique M. Mukerji. À son avis, le refus du gouvernement d'ordonner une enquête publique sur les allégations de corruption dans l'industrie de la construction y est pour quelque chose.
  3. Le bureau du premier ministre Danny Williams annonce la signature mercredi d'une entente avec le consortium qui cherche à réaliser ce projet de 5 milliards de dollars. Pour en lire plus...
  4. Le Journal de Montréal 15-11-2007 Montréal est en voie de devenir la capitale mondiale des effets spéciaux, à tel point qu'on craint une pénurie de talents pour animer les studios de la métropole. «On contrôle 80% des logiciels d'effets visuels sur le marché mondial», indique Danny Bergeron, de Mokko Films, dans le Vieux-Montréal. Montréal est déjà la capitale des jeux vidéo au Canada; dans les prochaines années, il pourrait bien devenir celle des effets spéciaux. «En 2000, on a été découverts par les Américains. Avant, on n'était même pas un joueur important», ajoute-t-il. Le nombre de films américains dont on a confié les effets spéciaux à Montréal est en hausse fulgurante depuis sept ans. Ça représente 80 % du chiffre d'affaires des studios québécois. Montréal rafle en moyenne de 30 à 50 contrats d'effets pour films à gros budget chaque année, des films qui dépensent en moyenne de 5 à 6M$ en effets spéciaux. Si la tendance se maintient, le Québec manquera d'artistes pour fournir la demande. En effet, il n'est pas rare que certains effets spéciaux soient confiés à des studios de Toronto et Vancouver parce que les compagnies québécoises ne peuvent travailler sur toutes les scènes d'un film. «Il nous faut plus de talents, on sollicite les écoles pour qu'elles augmentent le bassin de talents», indique Jean-Yves Martel, de FX Cartel, un entrepreneur en effets spéciaux dont la compagnie a généré 20 M$ dans l'industrie depuis 2003. Nouveau studio Signe d'une industrie en santé, le studio Mokko Films construit en ce moment un autre studio pour doubler sa capacité de production. Le nombre d'employés grimpera à 60. Le studio vient tout juste de terminer il y a trois semaines les effets visuels du Merveilleux Emporium de M.Magorium (Dustin Hoffman, Natalie Portman), prochain blockbuster de Fox. On parle d'un budget de 10 M$ en effets spéciaux, dont près de la moitié est allée à Montréal. Environ 30 artistes y ont travaillé dans la dernière année et demie. Mais qu'est-ce qui charme tant les Américains dans le travail des artisans québécois? «On est bons au Québec pour marier la technologie et l'art, le Cirque du Soleil l'a démontré», dit Danny Bergeron. On espère prochainement obtenir les contrats d'effets spéciaux des films Death Race et The Mummy 3, qui ont été tournés à Montréal récemment. Une délégation québécoise se prépare à partir pour Los Angeles en janvier, question de convaincre les productions d'envahir les studios de la métropole. «On est les meilleurs du monde, il ne reste qu'à le laisser savoir», conclut Danny Bergeron.
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