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  1. http://www.cbc.ca/m/news/canada/montreal/toys-r-us-in-quebec-refuses-to-sell-english-only-daniel-tiger-doll-1.3031253 Toys "R" Us in Quebec refuses to sell English-only Daniel Tiger doll Montreal father says it should be up to parents, not province to determine what toys kids play with Apr 13, 2015 8:13 PM ET Kate McKenna, CBC News A Montreal man is criticizing Quebec language laws after trying to buy a toy from a local Toys "R" Us — and being told by a clerk he wasn't allowed to purchase it. Chez Geeks board-game store gets OQLF complaint Quebec government stance dismays francophone school supporters Looking back at 40 years of French as Quebec's official language Blue Dog Motel bar no longer in hot water with OQLF Nick Messina tried to purchase a "Daniel Tiger" plush toy for his infant daughter Carina after noticing her eyes "lit up" while watching the popular children's TV show Daniel Tiger's Neighbourhood. Hoping to buy it as an Easter gift, he drove to his nearest Toys "R" Us, which didn't have the toy in stock. Then he called another Toys "R" Us in Montreal where clerk informed Messina there were two of the toys in stock. However, the clerk told Messina that he couldn't buy a Daniel Tiger because the toy is unilingual. "It's kind of saddening."- Nick Messina, father Daniel Tiger talks and sings 14 different phrases — but they're all in English. Messina said the clerk thanked him for letting them know the toy only spoke English, and said it would be shipped back to Ontario. "I kind of felt a little bit turned off. I felt it was discriminatory against the English-speaking community in Montreal. After all, Montreal is multi-ethnic, multi-cultural," he said. Not giving up, the father tried to purchase the doll online — only to discover the Toys "R" Us website wouldn't ship the product to Quebec. English-speaking toys illegal Messina didn't know until a few weeks ago, but because of Quebec's language laws, it's illegal to sell a unilingual toy unless the toy has a French-speaking counterpart. He says it should be up to parents to decide what toys they can buy for their kids, not the province. "I don't understand why, when it comes to the choice of purchasing a toy for our children, that we have to be subjected to these kinds of rules and regulations," he said. "It's kind of saddening." Toys "R" Us admits mistake In a statement to CBC News, a spokeswoman from Toys "R" Us apologized for the inconvenience, but said the toy shouldn't have been on the shelves. "Toys 'R' Us shipped in error the English-speaking product to one of our Quebec stores and a customer tried to purchase it. Our store did not sell the product to the customer and we apologized for the inconvenience that this caused our customer. We immediately communicated to our store that this product cannot be sold," said the statement. Happy ending for family Messina's perseverance paid off. He did manage to buy the doll eventually; he bought it on Amazon for about $50 more than what Toys "R" Us was asking. Though it was more than he planned to pay for the doll, Carina adores her new toy. For Carina Messina, it was love at first sight for this Daniel Tiger doll. (CBC) sent via Tapatalk
  2. C'est de la grande classe. Avec Gordon Campbell, les stars internationales de la gastronomie vont-elles faire de Mtl un terrain de compétition? Ce serait vraiment cool. http://www.montrealgazette.com/Boulud+Ritz+resto+will+lift+competition+chefs/4619441/story.html
  3. www.leselection.com Bon la grue est bien en place maintenant pour la phase 2... à ce qu'il parait. c'est sur le coin Carrefour et Daniel Johnson.
  4. Prix des terres agricoles au Québec: une hausse rapide et problématique Publié le 04 juillet 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Selon un rapport de La Financière agricole, la valeur des terres agricoles a augmenté de 10% au Québec en 2008. Statistique Canada calcule plutôt une hausse de 7% entre janvier et novembre 2008. Vincent Brousseau-Pouliot LA PRESSE Pendant que les propriétaires québécois ont vu la valeur de leur maison stagner au cours de la dernière année, les producteurs agricoles ont été plus chanceux?: la valeur des terres agricoles a augmenté de 10% en 2008, selon La Financière agricole du Québec. Du jamais-vu. Est-ce un signe de la vitalité de l'agriculture québécoise? Pas nécessairement, répondent les producteurs. Après une vingtaine d'années à labourer sa ferme de Saint-Sébastien, en Montérégie, Daniel Lavoie a décidé qu'il en avait assez de cultiver du maïs et du soya. Il a ainsi vendu ses 150 hectares (280 terrains de football!) de terres agricoles. Une décision qui ne pouvait être prise au meilleur moment. Selon un rapport de La Financière agricole, la valeur des terres agricoles a augmenté de 10% au Québec en 2008. Statistique Canada, qui utilise des données différentes, calcule plutôt une hausse de 7% entre janvier et novembre 2008. Dans un tel marché haussier, Daniel Lavoie a pu récolter 2,7 millions$ pour ses terres achetées environ 300 000$ en 1984. L'occasion était trop belle, d'autant plus qu'il devait bientôt faire des investissements importants en équipement et que la passion de l'agriculture n'était plus au rendez-vous depuis quelque temps. «Il aurait fallu mettre 400 000$ pour une moissonneuse neuve, dit-il. Les coûts de semence et de fertilisants sont super cher. J'en avais ras-le-bol et je ne pense pas que le prix des terres agricoles va rester où il est présentement.» Pour des producteurs qui, comme Daniel Lavoie, ont fait le tour du jardin, la récente hausse du prix des terres agricoles est une chance inespérée de rentabiliser des années de dur labeur. Pour les autres qui veulent continuer leur vie dans les champs, c'est une autre histoire. «Nous avons été un peu surpris (par la vigueur de la hausse), dit Denis Bilodeau, deuxième vice-président de l'Union des producteurs agricoles (UPA). La valeur foncière augmente plus vite que les revenus agricoles.» La hausse de la valeur des terres québécoises pose plusieurs problèmes aux producteurs agricoles. Le premier est d'ordre fiscal. Habitués à se faire rembourser une bonne partie de leurs taxes foncières sur leur rapport d'impôt provincial, ils sont de plus en plus nombreux à ne pas se qualifier pour ce crédit d'impôt en raison de la hausse de la valeur de leur propriété. «Seulement en 2008, il y a 18% de producteurs de plus qui se sont vus refuser le crédit d'impôt, qui rembourse jusqu'à 70% des taxes foncières», dit Denis Bilodeau, aussi producteur de maïs, de soya, de porc et de bovin à ses heures dans la région de Warwick. Le deuxième problème est d'ordre générationnel: les terres deviennent trop chères pour les jeunes producteurs qui ne sont pas issus de familles agricoles. Ceux-ci n'ont souvent pas le choix de louer des terres s'ils veulent démarrer leur entreprise. «Plus la valeur des terres va augmenter, plus les gens vont être intéressés à les louer», dit Denis Bilodeau, de l'UPA. «C'est devenu trop cher à certains endroits, dit Isabelle Imbeault, qui cultive des légumes bio sur 2,5 hectares avec son conjoint depuis quatre ans sur ses terres - achetées non sans chercher - dans la région de Lanaudière. Les seules personnes qui peuvent acheter, ce sont les gros producteurs qui ont déjà beaucoup de superficie. Tu arrives dans un village et ils sont trois ou quatre à détenir à peu près toutes les terres...» Même si elle est en hausse, la location des terres est un phénomène deux fois moins répandu au Québec qu'au Canada et aux États-Unis. «J'ai l'impression ça va arriver aussi ici, dit le producteur Daniel Lavoie. Il y aura moins de propriétaires, mais ceux-ci auront encore plus de terres.» Même s'il a vendu sa ferme de Saint-Sébastien, Daniel Lavoie ne quitte pas complètement le milieu agricole. De la somme de 2,7 millions obtenue pour sa ferme, il a pris un million pour acheter un verger à Rougemont. Une propriété plus petite - «seulement» 50 hectares -, mais surtout avec moins de soucis. «Un verger, c'est plus tranquille, dit-il. Le prix des pommes est plus stable. En plus, j'avais besoin d'un autre style de vie. J'étais tanné de jouer dans la boue alors je m'en vais jouer dans le gazon.» La faute de l'éthanol... et des politiciens! La cause de la hausse surprenante des terres agricoles? L'éthanol, le carburant chouchou vert de la classe politique canadienne et américaine. Aux États-Unis, tous les candidats présidentiels qui se prennent au sérieux ne jurent que par l'éthanol, produit en grande partie en Iowa, l'un des États les plus importants des primaires. Au Canada, le Parlement fédéral a adopté l'an dernier une loi exigeant de hausser à 5% le seuil minimum de carburants renouvelables comme l'éthanol dans l'essence. «La production plus importante d'éthanol a contribué à faire monter le prix des céréales. Comme le prix des céréales est plus élevé, ça incite les producteurs à agrandir en achetant d'autres terres», dit Normand Johnston, vice-président au financement de La Financière agricole du Québec. La montée du prix des denrées alimentaires, influencée par la popularité de l'éthanol, a surtout eu lieu durant la première moitié de l'année 2008. Les cours du maïs et du soya ont augmenté respectivement de 58% et 39% entre janvier et juin 2008 à la Bourse de Chicago. Mais ces deux denrées ont terminé l'année dans le rouge (-11% pour le maïs et -19% pour le soya), un résultat final qui n'a curieusement pas semblé déranger le marché immobilier agricole.
  5. Ex-Centris délaisse le cinéma Le Devoir Odile Tremblay Édition du mardi 13 janvier 2009 Mots clés : Ex-Centris, Culture, Cinéma, Montréal, Québec (province) Daniel Langlois donne une nouvelle vocation à ses salles Daniel Langlois fondait il y a dix ans, boulevard Saint-Laurent, le complexe Ex-Centris, consacré jusqu'ici au cinéma. Photo: Jacques Grenier Le temple cinématographique Ex-Centris, qui fêtera ses dix ans en juin, un des rares complexes dédiés au cinéma de qualité à Montréal, cessera sa programmation régulière de films à compter du 20 mars prochain. Son propriétaire et mécène, Daniel Langlois, entend changer la vocation de l'établissement pour le convertir en lieu d'exploration culturelle diversifiée: performances musicales, oeuvres interactives, art de la scène multimédia, etc. «Ce n'est jamais le fun de dire: "On laisse aller". Moi aussi, ça me fait de la peine, déclarait hier Daniel Langlois au Devoir. J'annonce une nouvelle positive: l'objectif d'explorer à fond l'ensemble des possibilités offertes par nos installations et les offrir au public, avec un aspect triste. Les cinéphiles perdent un lieu unique. Je le sais.» Sa vision le mène ailleurs. «Mon intérêt dans la vie, c'est un contenu diversifié, l'accès à des cultures variées, interactives. J'ai continué dans le cinéma le plus longtemps possible. La technologie avant-gardiste des salles permettait au départ d'explorer de nouvelles avenues, mais en se concentrant sur les films, il devenait impossible de diffuser d'autres types de projets. On a conservé ce mandat-là durant dix ans. Tout au long des opérations, on a essayé d'intégrer, en plus de la programmation cinéma, l'exploration culturelle, mais les paramètres de diffusion de films rendaient la cohabitation impossible. Les contraintes imposées par la distribution traditionnelle du cinéma, qui sont basées sur un nombre de séances fixes par jour et sept jours sur sept, sont acceptables pour les salles à vocation spécialisée et équipées uniquement pour la projection du cinéma. Par contre, cela limite grandement un lieu polyvalent comme Ex-Centris, qui désire programmer à sa guise un contenu varié et expérimental. Je ne pouvais présenter un show de danse, par exemple. Nos opérations n'ont jamais été commerciales, et je ne coupe pas les projections de films pour des raisons économiques. Il est évident toutefois que les coûts d'exploitation ont augmenté, mais pas le prix des billets.» Une partie du personnel devra quitter le poste, six personnes en tout, dont Paule Vaillancourt, directrice des opérations des salles, Marie-Christine Picard, directrice de la programmation, Nadine Viau, attachée de presse, ainsi que des projectionnistes et plusieurs placiers. Exit les bons films qui plaisaient si fort aux cinéphiles? «Pas tout à fait, répond Langlois. On va faire du cinéma sur le mode événementiel. Quand il y aura des visionnements de films, ils seront associés à d'autres activités: conférences, échanges, activités interactives. J'ai accompli le travail que j'avais à faire. D'autres poursuivront cette mission: le Beaubien occupe de plus en plus de place, ainsi que le cinéma du Parc. Ils prendront la relève. Au début, on était presque seuls dans ce créneau. Pas aujourd'hui.» Daniel Langlois entend défendre son amour du septième art: «Pour moi, le cinéma demeure une des formes les plus puissantes et complètes pour véhiculer des émotions et des concepts humains, et je resterai toujours un cinéphile. Cela dit, il existe d'autres formes d'expression qui m'intéressent.» Et qu'en est-il du Festival du nouveau cinéma dont le fief était l'Ex-Centris? «Si le FNC veut revenir ici, les installations seront transformées, précise Daniel Langlois. Mais deux écrans traditionnels sur trois demeureront en activité. Ça sera aux dirigeants du FNC de faire leur choix. Ils pourraient très bien décider de revenir ici.» Dès le 20 mars, les salles de cinéma seront fermées pour quelques mois, afin d'intégrer de nouveaux équipements et des installations supplémentaires, conformes à la vocation multidisciplinaire. Pour les cinéphiles, toutefois, le deuil est immense. «Il s'agit d'une grande perte pour le Québec et pour la diffusion du cinéma d'auteur, déclarait hier Claude Chamberlan, directeur de la programmation au Festival du nouveau cinéma et longtemps à la tête de la programmation des films à Ex-Centris. Si peu de cinémas se consacrent aux films d'auteur. Je crains l'effet domino. Quand des salles sont éliminées, moins d'oeuvres de la cinématographie internationale peuvent trouver leur vitrine. En plus, elles marchaient bien, ces salles-là.» Le Cinéma Parallèle, une des trois salles de l'Ex-Centris, rampe de lancement pour plusieurs films québécois, documentaires et fictions confondus, devrait renaître ailleurs. «Nous allons le relocaliser et cherchons présentement un local. Pas question de l'abandonner», assure Claude Chamberlan, lui aussi en état de choc. http://www.ledevoir.com/2009/01/13/227162.html (13/1/2009 8H45)
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