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  1. des fotos des projets wow!!! http://blogues.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/immobilier/
  2. Dans le quartier Sainte-Marie, juste à l'ouest du Pont J-C http://www.habitationsgg.com/dp/fr/node/14 22 condominiums René-Lévesque et Falardeau Le RL Condo Bureau des Ventes 2005 René-Lévesque Est Montréal, (Qc)H2K 2M4 Tél.: 514-969-2484 ext. 2 Heures d'ouverture Lundi au Mercredi 12h à 17h Jeudi et Vendredi sur rendez-vous Samedi et Dimanche de 12h à 17h Prix : à partir 208 900$ taxes, terrain et infrastructure inclus à 100% Caractéristiques et Avantages -7 unités sur René-Lévesque -15 unités sur Falardeau-posssibilité de stationnement -Terasse privée sur le toit -plafonds 8 ET 9 -pied en plein coeur de Montréal -Près des festivités et d’un quartier bien vivant -Frais de copropriété peu élevés -5 000 $ d’équipement gratuit EN PRÉVENTE Habiter à deux pas de tout RL CONDO, un développement urbain de 22 condos de une et deux chambres. Situées respectivement sur le boulevard René-Lévesque et sur la rue Falardeau, ces deux phases de trois étages proposent des logements baignant de lumière naturelle et conjuguent qualité et harmonie pour offrir une atmosphère chaleureuse. Un design intérieur raffiné qui brille par son choix de matériaux de première qualité. Un style qui mise sur l’élégance et l’intemporalité. Le tout, situé en plein cœur du centre-ville. Une cuisine au look moderne : comptoirs de quartz, armoires en thermoplastique, dosseret en mosaïque, évier carré au design actuel et robinetterie inspiré des restaurants. Une salle de bain rayonnante de confort, pensée en fonction de votre bien-être : douche à panneaux de verre coulissants offrant des jets de pluie généreux et bien enveloppants, armoire à pharmacie surmontée d’un miroir et meuble-lavabo flottant. Et pour profiter pleinement des beaux jours d’été, quoi de mieux qu’une terrasse sur le toit pour jouir d’une vue imprenable surle centre-ville, le pont Jacques-Cartier et La Ronde. L'endroit rêvé pour vos petites réceptions ou pour admirer les feux d’artifices
  3. Habitez un lieu unique qui a laissé sa marque dans l’histoire de la région. Tirez tous les plaisirs d’un environnement alliant nature et modernité, situé à quelques pas seulement de la rivière des Mille-Îles et à proximité de tous les services. Construit selon un design architectural contemporain, Horizon 128 est un immeuble en copropriétés proposant 28 condominiums de 1117 pieds carrés et plus (2 chambres) et 2 penthouses (3 chambres et terrasse privée). À partir de 225 000$ plus taxes, incluant 1 espace de stationnement souterrain. UN COMPLEXE DE 28 CONDOMINIUMS OFFRANT DE NOMBREUX AVANTAGES, TELS : - Terrasse commune sur le toit avec aire de détente - 51 espaces de stationnement souterrains - Aménagement paysager avec asphalte et bordures - Finition extérieure de grande qualité : briques, pierres et aluminium - Ascenseur - Casiers privatifs (de type locker) pour chaque unité - Système de ventilation au garage conforme au Code de construction - Espace commun réservé aux déchets et au recyclage - Balcon en béton et garde-corps en verre pour chaque unité CHAQUE UNITÉ BÉNÉFICIE D’UN AMÉNAGEMENT DE HAUTE QUALITÉ, PERSONNALISÉ : - Insonorisation supérieure grâce à une construction sur dalles de béton - Plafond de 9 pieds - Fenêtres hybrides - Finition Haut de gamme - Luminaires - Trois choix de couleurs de peinture par unité Contact : http://www.horizon128.com 514-730-1008 128 Grande-Côte, Saint-Eustache, J7P 1A7
  4. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/475276/politique-culturelle-du-quebec-la-culture-c-est-aussi-l-architecture Politique culturelle du Québec La culture, c’est aussi l’architecture L’Ordre des architectes du Québec estime que «l’environnement bâti» fait partie de notre identité 12 juillet 2016 |Jérôme Delgado | Actualités culturelles Habitat 67, à Montréal Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Habitat 67, à Montréal La prochaine politique culturelle du Québec devra affirmer que la qualité architecturale est une affaire d’intérêt public et que « l’environnement bâti constitue un aspect fondamental de notre identité ». C’est ce que revendique l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) dans son mémoire présenté lors d’une des premières séances de la consultation publique mise en place par le ministère de la Culture et des Communications. L’OAQ milite depuis longtemps pour une politique nationale de l’architecture du Québec. Celle-ci forme l’échine du document déposé le 21 juin et intitulé La qualité architecturale, un chantier à poursuivre. « Nous recommandons, y lit-on, que la future politique culturelle plaide en faveur d’une politique nationale de l’architecture pour le Québec. » En 2014, l’OAQ a lancé l’idée d’une politique nationale de l’architecture selon des initiatives observées en Europe. Depuis 1991, une vingtaine de pays se sont dotés d’un tel programme. Au Québec, si la politique culturelle émet le besoin de se doter d’une politique en architecture, ce serait un pas dans la bonne direction, selon la présidente de l’OAQ. « Un pont qui tombe, ça exige l’urgence une action. Une politique nationale, c’est un travail de longue haleine », concède Nathalie Dion, lors d’un entretien téléphonique. Elle se félicite par ailleurs que son lobbying porte ses fruits. L’arrondissement de Saint-Laurent a en effet profité du dépôt du mémoire de l’OAQ pour exiger à son tour une politique de l’architecture. Le conseil des élus de ce secteur de l’ouest de Montréal est ainsi devenu la première instance municipale à voter une résolution dans ce sens. Chercher l’harmonisation Sans politique nationale, pas de vision globale. Sans vision, pas de qualité, ce noble principe qui résulte de l’addition d’harmonie, de fonctionnalité, de durabilité et de réponse aux besoins d’un milieu. Selon le regroupement des architectes, la qualité de ce qui se construit dépend de la cohérence des actions de différents ministères. Or, à l’heure actuelle, chacun travaille en vase clos. « Il y a dix ministères qui touchent à l’architecture. Et il n’y a pas d’harmonisation entre ce que font l’un et l’autre », constate Nathalie Dion. Certains s’occupent du code du bâtiment, d’autres de patrimoine, d’efficacité énergétique ou du cadre légal. Un programme interministériel, ou « national », les réunirait tous. Dans son mémoire de 18 pages, l’OAQ cite l’école Saint-Gérard comme un « exemple frappant » des conséquences néfastes du « manque d’harmonisation ». L’établissement du quartier Villeray, dans Montréal, a écopé du dialogue de sourds, autant lors de sa destruction, rendue inévitable en 2014 pour des raisons de moisissures, que lors de son actuelle reconstruction. La décision initiale du ministère de l’Éducation de refuser un toit vert, l’éclairage DEL et un plan de géothermie pour des raisons de dépassement de coûts ne se serait pas présentée avec une politique nationale. « Il est dommage, déplore l’Ordre, qu’une école en soit ainsi réduite à choisir entre les mesures vertes, l’accessibilité universelle et la convivialité des espaces, alors que tous ces facteurs sont essentiels à la qualité d’un bâtiment public. » Le document de l’OAQ détaille ce que la politique culturelle devrait clamer. Il faudrait qu’elle énonce des grands principes qui détermineront l’action du gouvernement. En plus d’appeler à une meilleure coordination entre les organismes publics, les architectes plaident notamment pour une vision en amont de projets, pour un plus grand soutien aux municipalités et pour une meilleure valorisation de la recherche.
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/756997/mille-voitures-electriques-en-libre-service-dici-5-ans/ 1000 voitures électriques en libre service d'ici 5 ans à Montréal 14/04/2015 Mise à jour : 14 avril 2015 | 19:42 Ajuster la taille du texte Mille voitures électriques en libre-service d’ici 5 ans Par Mathias Marchal Métro Montréal disposera d’ici 5 ans d’un réseau de 1000 autos électriques en libre-service. C’est ce qu’a annoncé le maire Denis Coderre en conférence de presse mardi. «Avec ce projet, Montréal fait d’une pierre quatre coups: déployer un système de véhicules électriques en libre-service, encourager tous les véhicules électriques car les bornes de recharge seront accessibles à tous, diminuer les gaz à effet de serre et positionner la ville en tant que leader dans l’électrification des transports», a déclaré M. Coderre. Un appel international d’intérêts sera lancé en juin aux entreprises intéressées afin de mieux cerner les besoins et «bâtir un système typiquement montréalais». Il aboutira au lancement d’un appel de propositions en octobre pour trouver une entreprise qui installera et gérera le réseau, les bornes de recharge restant de la responsabilité de la Ville et ses partenaires (Stationnement de Montréal, Hydro-Québec et la Commission des services électriques). Impossible par contre de savoir si, au terme du processus de sélection, il restera un ou plusieurs fournisseurs de service, comme c’est le cas actuellement avec car2go et Auto-mobile. Pressé de questions, le maire est resté flou sur le sujet, indiquant que cela serait tranché plus tard dans le processus. Pour l’opposition officielle, l’idée de lancer un appel d’offres indique d’ores et déjà qu’un seul fournisseur sera retenu. «Ça a toute les apparences d’un appel d’offres dirigé pour favoriser l’entreprise AutoLib’ [NDLR : service de libre-service en vigueur de Paris], le maire ayant déjà rencontré le patron de cette entreprise», a déclaré Alex Norris, un élu de Projet Montréal. «La batterie des Bluecar de Bolloré [le groupe français qui fournit les véhicules d’Autolib’] est plus performante (250km en ville). Il suffirait donc de mettre des critères élevés d’autonomie de la batterie pour favoriser l’entreprise», indique Vincent Dussault, blogueur pour RoulezÉlectrique.com. «Si la Ville veut des véhicules électriques, pourquoi ne joue-t-elle pas avec le système de vignettes universelles déjà en place pour favoriser les véhicules électriques et financer un réseau de recharge public», se questionne t-il. En attendant le début du déploiement du nouveau système, dès 2016, le centre-ville et les arrondissements, jusqu’ici récalcitrants, pourront adopter le système de vignette universelle 403 permettant à Auto-mobile et car2go d’étendre leur offre. Les maires des arrondissements de Ville-Marie, Hochelaga-Maisonneuve et Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension ont déjà indiqué leur intention de déployer cette vignette. Les représentants de car2go et Auto-mobile ont tous deux salué la nouvelle de l’électrification future du système d’autos en libre-service auquel ils affirment vouloir participer. Auto-mobile disposera dès cet été de 60 autos 100% électriques sur le territoire, en plus de véhicules hybrides . Et si les 340 autos Smart de car2go fonctionnent à l’essence, l’entreprise américaine propose des Smart électriques sur trois marché: Austin, Amsterdam et Stuttgart. 30 La Ville veut réduire de 30% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020 par rapport aux données de 1990. Elle compte aussi sur l’électrification des autobus et des véhicules municipaux.
  6. La passerelle se concrétise au-dessus du canal de l’aqueduc Deux grues géantes ont envahi ce weekend les trois voies du boulevard De La Vérendrye, pour la construction de la passerelle permettant de relier la piste cyclable de la rue Lapierre à celle longeant le boulevard Champlain. Cette passerelle constitue un des projets prévus par la Ville de Montréal pour accroître l’étendue du réseau cyclable sur l’île. De nombreux piétons et cyclistes ont hâte de pratiquer leurs sports favoris en franchissant le cours d’eau par la passerelle, au lieu d’un pont avec une circulation très dense de véhicules. Actuellement, cyclistes et piétons ne peuvent traverser le canal de l’aqueduc autrement que par le pont Knox, qui divise l’arrondissement et qui est situé plus loin à l’ouest de la rue Lapierre. «Ce sera bénéfique pour nos étudiants qui viennent de l’autre côté du canal et qui doivent faire un grand détour pour accéder au cégep. Des employés voient d’un bon œil la passerelle pour se rendre aux courts de tennis et notre club de marche veut l’utiliser», explique Claude Roy, directeur du cégep André-Laurendeau. Ces travaux sont réalisés par la firme Les Entreprises Michaudville, pour un montant totalisant 2 893 262$. Il y a installation de quatre lampadaires sur la structure et d’un autre à l’approche sud de la passerelle. «Il n’y aura pas de pilier au milieu. C’est un pont préfabriqué et la dalle se dépose sur les assises, de part et d’autre de l’aqueduc», explique la mairesse Manon Barbe. Détours et maintien de circulation Après une pause hivernale, la Ville de Montréal a repris les travaux amorcés l’an dernier afin de relier le Village des rapides au Cégep André-Laurendeau, à l’Aquadôme et au Théâtre Desjardins. Jusqu’à l’été 2016, il y a mise en place d’une structure d’acier et aménagement d’une piste cyclable dans le parc longeant le boulevard Champlain. Malgré le froid et les forts vents du weekend dernier, plusieurs travailleurs s’affairaient à l’assemblage d’immenses poutres, à la hauteur de la 1ère Avenue. L’entrepreneur doit procéder à différentes entraves à la circulation, selon l’évolution du chantier. Certaines nécessitent des travaux de fin de semaine et durant la nuit. «Des mesures sont prises pour en atténuer les inconvénients auprès des résidents riverains», explique Philippe Sabourin, relationniste de la Ville de Montréal. Parmi ces entraves, il y a fermeture de la voie de droite sur le boulevard De La Vérendrye en direction est et fermeture complète du boulevard Champlain, entre la 1ère et la 2 eAvenue, pour environ un mois. Un chemin de détour est aménagé sur la rue Broadway. La piste cyclable est légèrement déviée sur le côté sud du boulevard Champlain. Les riverains ont accès à leur propriété en tout temps. http://journalmetro.com/local/lasalle/actualites/942618/la-passerelle-se-concretise-au-dessus-du-canal-de-laqueduc/
  7. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/440961/guy-laliberte-convoite-un-terrain-sur-l-ile-sainte-helene Guy Laliberté convoite l’île Sainte-Hélène Le fondateur du Cirque du Soleil veut implanter son projet funéraire Pangéa sur un terrain de 130 000 m2 26 mai 2015 |Jeanne Corriveau | Montréal Sur le terrain convoité par Guy Laliberté se trouve notamment la Grande Poudrière, un bâtiment dont la construction remonte à la première moitié du XIXe siècle. Le projet Pangéa comporterait une place publique ainsi qu’un parcours piétonnier dans le «parc nature». Guy Laliberté convoite un terrain sur l’île Sainte-Hélène afin d’y réaliser son projet Pangéa, soit créer un espace commémoratif visant à redéfinir le rapport à la mort et à la mémoire des personnes disparues, a appris Le Devoir. Le fondateur du Cirque du Soleil a dans sa mire une zone située au sud du pont Jacques-Cartier sur cette île montréalaise. Le projet Pangéa s’étendrait sur une superficie de 130 000 m2, selon nos informations. Guy Laliberté souhaite créer une place publique d’environ 10 000 m2 sur la rive ouest de l’île. Cet espace comprend à l’heure actuelle une partie du stationnement P8. Il serait relié à un parcours piétonnier qui s’étendrait sur une portion de 120 000 m2 du parc. Pangéa est un projet mené par la compagnie Lune Rouge Innovation, une entreprise détenue par Guy Laliberté, et c’est sa branche immobilière, Lune Rouge Immobilier, qui pilote la création de l’espace commémoratif sur l’île. L’île Sainte-Hélène, qui avait accueilli Expo 67, appartient à la Ville de Montréal depuis 1908. En 2007, le conseil municipal avait cité l’île comme site du patrimoine, la soumettant dès lors à des règles précises quant à sa préservation. Guy Laliberté veut concrétiser ce projet à temps pour les fêtes du 375e de Montréal. Ce lieu devrait devenir le phare, le premier jalon d’une série de sites commémoratifs que le patron du Cirque du Soleil cherche à implanter partout dans le monde. La réalisation du projet Pangéa pourrait donc impliquer l’achat d’un terrain public à vocation récréative et culturelle pouvant atteindre 130 000 m2, soit l’équivalent de 24 terrains de football américain. Les détails de la transaction financière et des conditions d’occupation de ce territoire par l’entreprise de Guy Laliberté ne sont pas connus. Selon nos informations, le projet aurait fait l’objet d’au moins une rencontre entre des représentants du promoteur et le maire Denis Coderre, mais lundi soir, le cabinet du maire n’a pas voulu commenter le dossier. Musée et restaurant La place publique du projet Pangéa offrirait un accès au fleuve et une vue sur le centre-ville de Montréal. L’aménagement d’un bâtiment emblématique, d’un restaurant, d’un musée, mais également d’un espace pour des célébrations funéraires privées est envisagé dans et aux abords de cette place. Cet espace consacré à la mémoire et à la redéfinition des rites mortuaires comprendrait un large « parc nature » situé à l’est de la place publique et englobant la Poudrière, la Tour de Lévis ainsi que l’étang de la Poudrière. Les éléments préliminaires de ce projet évoquent la création d’une promenade circulaire dans les espaces boisés comportant plusieurs lieux de mémoire, de souvenirs, de détente et de contemplation, ainsi que la mise en place d’un éventuel cimetière pour animaux de compagnie. L’ensemble du projet s’articule autour des quatre éléments de la cosmologie : le feu, l’eau, la terre et l’air. Il devrait comprendre une structure artistique emblématique en forme de tour de plusieurs mètres de haut placée sous le thème du feu. Controverse en vue La possible vente d’une partie d’un parc public par la Ville de Montréal est de nature à susciter une vive controverse. Au cours des dernières années, plusieurs projets empiétant sur les parcs municipaux ont fait les manchettes. En 2009, les critiques avaient eu raison du projet de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles de construire une maison de la culture et des bureaux d’arrondissement dans le parc René-Masson. En 2010, c’était au tour de l’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension de renoncer à l’agrandissement du poste de police 31 dans le parc Jarry en raison des protestations citoyennes. Et en 2012, la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys avait dû abandonner le projet de construction d’une école dans un parc de l’île des Soeurs. En 2012, la mise en vente de l’ancien Planétarium de Montréal, qui incluait un terrain zoné parc, avait attiré les critiques de l’opposition à l’hôtel de ville. La Ville avait finalement fait don de la propriété à l’École de technologie supérieure (ETS). Baptisée Sainte-Hélène par Samuel de Champlain en 1611 en hommage à son épouse Hélène Boullé, l’île avait été concédée à Charles Le Moyne en 1657. Lorsqu’ils en prennent possession en 1818, les Britanniques y construisent des installations militaires pour se protéger des invasions américaines. Après avoir acquis l’île en 1906, la Ville de Montréal a confié à l’architecte-paysagiste Frederick G. Todd l’aménagement de routes, de sentiers et la construction de la Tour de Lévis. Patrimoine Pour créer l’île Sainte-Hélène telle qu’on la connaît aujourd’hui, trois îles ont été réunies, soit l’île Sainte-Hélène, l’île Ronde (qui accueille désormais La Ronde) et l’île aux Fraises. À l’occasion d’Expo 67, plusieurs bâtiments y sont érigés, dont le pavillon des États-Unis (l’actuelle Biosphère) et la Place des Nations. Les travaux d’excavation du métro permettent d’élargir l’île et contribuent à la création de l’île Notre-Dame, que la Ville a cédée au gouvernement du Québec en 2003 en échange d’un chèque de 240 millions de dollars. Le Règlement sur la constitution du site du patrimoine de l’île Sainte-Hélène précise que tous les travaux d’aménagement doivent assurer la conservation des valeurs caractéristiques du site, dont le paysage historique du site militaire et les aménagements conçus par Frederick G. Todd. Toute nouvelle construction doit faire l’objet d’une étude d’impact visuel « démontrant la qualité de son intégration au paysage et aux composantes bâties du site ». Plusieurs bâtiments de l’île sont ainsi protégés en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel, dont la Grande Poudrière, la Tour de Lévis et le Pavillon des baigneurs. L’île comporte en outre plusieurs oeuvres d’art public, dont L’homme de Calder. Le terrain de La Ronde, qui fait l’objet d’un bail emphytéotique, est exclu de la zone protégée.
  8. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/884414/soigner-notre-architecture/ 03/12/2015 Mise à jour : 3 décembre 2015 | 3:00 Soigner notre architecture Par Marc-André Carignan L’architecte Michel Broz est allé étudier un centre hospitalier de Chicago pour bâtir l’extension de l’Hôpital général juif. Stéphane Groleau Nos conversations au sujet du système de santé tournent généralement autour des mêmes thématiques: rémunération des médecins, temps d’attente dans les urgences, nombre de lits disponibles. Rarement discute-t-on d’architecture. Et pourtant. Le design de nos établissements de santé a un impact direct sur le temps de convalescence des patients. Ce n’est pas moi qui le dis, mais plutôt diverses études sur le sujet. L’une d’elles, publiée en 2005 aux États-Unis dans le Psychosomatic Medicine Journal, conclut que des individus séjournant dans une chambre exposée à la lumière du soleil à la suite d’une opération consomment 22% moins d’analgésiques que ceux qui se retrouvent dans une chambre fermée. Même la vue offerte à partir d’un lit d’hôpital aurait un impact. «Une [autre] étude [du psychologue Roger Ulrich, Texas A&M University] réalisée pendant deux ans dans un hôpital américain a démontré que le séjour d’un patient ayant une vue sur un mur de brique était 25% plus long que celui d’un patient ayant une vue sur un parc», explique Michel Broz, associé principal chez Jodoin Lamarre Pratte Architectes. Ce dernier en sait quelque chose, puisqu’il est probablement un des architectes d’ici les plus savants en matière d’architecture de la santé. Sa firme vient de chapeauter l’un des plus imposants chantiers hospitaliers de la dernière décennie au Québec: le Pavillon des soins critiques de l’Hôpital général juif. «Une visite à l’hôpital, c’est rarement un moment joyeux, poursuit-il. Notre objectif est de réduire au maximum le stress du patient.» Pour démontrer concrètement ses stratégies en la matière, il m’a invité à visiter en primeur l’extension de l’Hôpital général juif, à quelques semaines de l’entrée des patients, des médecins et des infirmières. Dès qu’on arrive sur les lieux, on constate rapidement qu’on est bien loin du modèle des vieux hôpitaux nord-américains, surcloisonnés et étouffants. Une large allée piétonne nous accueille, bordée par des commerces, un café et une cour alimentaire dominée par des puits de lumière. On se croirait au cœur d’un centre commercial. À la sortie de l’ascenseur, au dixième et dernier étage, M. Broz m’amène directement dans la chambre d’un futur patient pour observer la vue. «Par rapport aux hôpitaux des années 1950 avec de petites fenêtres, on a ici une fenestration de 14 pieds de large pour maximiser l’entrée de lumière naturelle, m’indique-t-il. C’est une façon de donner de l’énergie de guérison aux patients et d’offrir un environnement de travail de qualité au personnel.» Il me fait aussi remarquer la hauteur des plafonds (plus de neuf pieds, comparativement à huit dans plusieurs hôpitaux), qui décomprime l’espace pour favoriser le bien-être des occupants. Autre élément fort appréciable : la coloration des murs et des planchers. Fini le vert «hôpital» et le jaune pâlot traditionnellement associés à ce type d’établissement. Chaque étage possède son propre code de couleurs vives en fonction de sa spécialité: néonatalogie, cardiologie, soins intensifs… Les couleurs apportent un côté ludique au lieu et deviennent une forme de signalétique pour se repérer d’un étage à l’autre. M. Broz prend également le temps de souligner que sur la plupart des étages, les aires de travail des infirmiers et des médecins ont été isolées des corridors de circulation des visiteurs. Une stratégie de design qui offre une meilleure fluidité du trafic dans les corridors et qui permet surtout au personnel hospitalier de mieux se concentrer sur ses tâches. Après presque deux heures de visite, de l’urgence aux salles d’opération, ma tête tourbillonnait. Je venais de saisir la complexité inouïe qui se cache derrière l’architecture de la santé. Tous les détails comptent, même en période d’austérité. On réalise rapidement avec de tels projets que l’architecte n’est pas qu’un simple dessinateur de plans: c’est un maître de l’espace.
  9. http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2015/10/29/005-deraillement-train-hochelaga-ontario-esperance.shtml sent via Tapatalk
  10. http://www.lesaffaires.com/blogues/joanie-fontaine/metro-copropriete-moins-chere/581959?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_content=28-09-2015&utm_campaign=metro-coproopriete Êtes-vous de ceux qui cherchent à acheter une copropriété abordable à moins de 15 minutes de marche d’une station? Les prix peuvent varier énormément d’un endroit à l’autre, d’où l’importance de bien se renseigner. De plus, certains quartiers ont changé d’aspect à la suite d’un boom de construction et l’offre de propriétés y est maintenant fort différente. La carte suivante vous permet de voir le prix médian des copropriétés, vendues en 2014, situées à moins de 1,5 km de route d'une station de métro. Le prix médian n’a pu être calculé pour l’ensemble des stations, puisque certaines comptaient trop peu de ventes de copropriétés. Les transactions colligées par JLR comprennent toutes les ventes enregistrées au Registre foncier (par l’entremise d’un courtier et entre particuliers). Les constructions neuves sont également incluses dans les prix présentés. (voir carte en plein écran) sent via Tapatalk
  11. http://www.ledevoir.com/societe/consommation/449987/l-architecture-a-la-conquete-des-oceans-pour-batir-les-villes-de-demain L’architecture à la conquête des océans, pour bâtir les villes de demain 14 septembre 2015 |Olivier Dessibourg - Le Temps | Consommation À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg construit sur des îles artificielles s’enrichit de maisons flottantes. Photo: Margriet Faber Agence France-Presse À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg construit sur des îles artificielles s’enrichit de maisons flottantes. Les océans constituent le prochain espace de conquête architecturale et urbanistique de l’homme. Que ce soit pour y ériger les villes du futur pensées comme des refuges techno-modernes et autonomes en énergie, voire des lieux de vacances hyperexclusifs promus par les images de synthèse de cabinets d’architectes, ou plus simplement parce que les villes et régions déjà les plus peuplées, et souvent situées sur les côtes, devront faire face à une montée des eaux certaine due au réchauffement. Partout, dans les milieux technologiques, économiques, du design, on se demande comment s’installer dans ce Far West aquatique. « Jusqu’à aujourd’hui, les villes en bordure des océans ont été érigées de manière statique, fixe, souvent désordonnée », dit Koen Olthuis. Cet architecte hollandais de 44 ans, nommé en 2007 parmi les personnes les plus influentes par Time Magazine, est l’un des fers de lance de ce mouvement en plein essor. « Dans les cités côtières des pays en développement, les bidonvilles sont souvent proches de ou sur l’eau, et sont ainsi très fragiles face aux inondations. De plus, aux environs de plusieurs mégapoles, il existe parfois d’énormes no man’s land situés entre terre et mer, pour l’heure inoccupés, détaille celui qui a été l’une des stars d’une récente conférence mondiale sur le sujet, à Bangkok. Ce sont ces zones qu’il s’agit de viser en priorité, à l’heure où la population urbaine mondiale va exploser. » Et d’indiquer que des agglomérations comme Londres, Miami, Tokyo ou Djakarta vont étendre leur superficie de 5 à 10 % sur les eaux d’ici à 2030. Bâtiments flottants Avec d’autres, le cofondateur de l’agence d’architectes néerlandaise Waterstudio a dessiné des systèmes permettant de rendre moins vulnérables les habitations côtières, qui se trouvent 90 % du temps sur la terre ferme. « Lorsque l’eau monte, nos constructions y font face sans être submergées. Parmi les solutions d’architecture amphibie envisagées pour les fondations de ces maisons “résilientes” : des “flotteurs” en béton renforcé et remplis d’air, mais tout de même liés au sol. Au final, l’édifice flotte sans se déplacer. De même que, si vous devez porter une charge dans les vagues, vous le pouvez grâce à la force d’Archimède, vos jambes jouant alors le rôle de support fixe. » Selon l’expert, le défi principal consiste à stabiliser l’ensemble en cas de répartition inégale du poids en surface. « C’est possible, grâce à des systèmes de remplissage de compartiments stabilisateurs avec de l’eau. » Des expériences réelles sont déjà menées, avant tout aux Pays-Bas, plate région concernée au plus haut point par la montée des eaux. À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg, construit sur des îles artificielles, s’enrichit de maisons flottantes. L’agence Waterstudio développe aussi des projets de constructions entièrement flottantes, comme ce café Internet qui devrait être installé sur une barge dans un bidonville émergé au Bangladesh. « La technologie des habitations flottantes n’est qu’un pan de l’architecture amphibie, mais le plus emblématique », admet Koen Olthuis. Pour preuve, la pléthore de projets futuristes, voire utopistes, récemment divulgués. La dernière salve en date est celle du Seasteading Institute. Fondée en 2008 en Californie par Patri Friedman, petit-fils du Nobel d’économie Milton Friedman, cette institution rêvait d’ériger une ville entière au large, sur les eaux territoriales, et d’y fonder une nouvelle société autogérée politiquement. Puis ses instigateurs ont reconnu qu’il serait plus aisé de rapprocher leur projet des côtes, pour des raisons évidentes de logistique et d’approvisionnement, mais avec alors la nécessité d’obtenir l’autorisation d’un État hôte qui leur reste à trouver. Des îles-villes, une utopie ? Les visionnaires tiennent à leur idée de base, et viennent de révéler les résultats d’un concours d’architecture visant à façonner leur île-ville pour 167 millions de dollars. Le concept proposé : des plateformes carrées ou pentagonales, de 50 m de côté, supportant des édifices de trois étages ou des parcs (voire les éléments herbeux d’un golf !) que l’on relie à souhait pour former une agglomération. Selon une étude de faisabilité de la société d’ingénierie DeltaSync, chaque plateforme coûterait 15 millions de dollars, soit un prix par mètre carré équivalent à ce qu’on trouve à New York ou Londres. Observateur du monde de l’architecture puisqu’il dirige la revue Tracés, Christophe Catsaros juge « sensée l’idée de gagner du terrain sur les terres immergées près des côtes, comme cela se fait depuis longtemps sur les polders dans le nord de l’Europe. » Par contre, les projets futuristes, « s’ils évoquent l’avenir, n’en ont en fait pas, tant leur coût énorme implique qu’ils ne s’inscrivent pas dans notre logique économique immobilière. » Koen Olthuis admet aussi que, « au regard des besoins dans les pays en développement, ces visions ne constituent pas une priorité, tant elles servent uniquement les riches ». Même si elles demeurent relativement abordables : dans une récente présentation TEDx, l’architecte explique que si une personne fortunée doit sortir 30 millions de dollars pour acquérir un yacht de luxe, une île artificielle ne coûterait qu’une douzaine de millions. Un nouveau marché de luxe Son entreprise a d’ailleurs imaginé de petits îlots équipés d’une résidence de luxe, qui peuvent être installés n’importe où. Depuis cet été, la société Christie’s International Real Estate les commercialise. « Cet hiver, nous construirons aux Pays-Bas les premières îles d’un lot de 33 qui sera acheminé vers Dubaï », dit Koen Olthuis. Selon lui, viser ce segment du luxe n’est pas en contradiction avec sa vision première, car « dans ce cas, les riches paient pour développer des technologies d’architecture amphibie qui pourront être démocratisées partout dans le monde ». Un argument qui ne convainc pas Christophe Catsaros : « L’architecture spectacle peut parfois faire apparaître des avancées intéressantes, mais le plus souvent, elle génère des concepts kitsch qui vieillissent mal. » Le débat naît donc sur ce que d’aucuns qualifient de « révolution bleue ». Et que l’agence DeltaSync, dans son étude de faisabilité servant aussi de manifeste, résume : si les terres viennent à manquer, « où irons-nous ? Dans le désert ? Les ressources en eau manquent. Dans l’espace ? Toujours trop cher. Reste l’océan. […] Ce siècle verra l’émergence sur l’océan de nouvelles cités durables […]. Elles contribueront à offrir un haut standard de vie à la population, tout en protégeant les écosystèmes. Un rêve ? Non, la réponse au principal défi du XXIe siècle. »
  12. http://www.journalmetro.com/linfo/article/828938--un-grand-projet-rue-de-la-commune J'ai bien hâte de voir ce que ça va donner!
  13. http://www.informateurimmobilier.com/2015/04/construction-dun-gratte-ciel-de-67-etages-a-montreal-pour-le-50e-anniversaire-dexpo-67-et-le-375e-anniversaire-de-montreal/ Construction d’un gratte-ciel de 67 étages à Montréal pour le 50e anniversaire d’Expo 67 et le 375e anniversaire de Montréal Le gratte-ciel Le Phare de Québec que le Groupe Dallaire projette de construire ne sera pas, semble-t-il, le plus haut immeuble à l’est de Toronto. Un grand promoteur chinois devrait annoncer aujourd’hui en fin de journée au cours d’une conférence de presse la construction d’un immeuble qui comptera 67 étages, dépassant légèrement l’ambitieux projet de Québec. Le président de la société Evergrande Real Estate, M. Xu Jiayin, annoncera lui-même la nouvelle. « Nous n’étions pas au courant du projet de Québec, et le fait que notre immeuble soit un peu plus haut n’est qu’une pure coïncidence », a-t-il déclaré au magazine Immobilier commercial. Les démarches pour l’obtention des permis auprès de la Ville de Montréal notamment ont été faites dans le plus grand secret. L’édifice, qui sera nommé l’Alose, comprendra des condos, un hôtel, des commerces, une résidence haut de gamme pour personnes retraitées et un aquarium. ... Annonce le 1 avril - un poisson d'avril??
  14. Lampadaire Wi-Fi dans Saint-Laurent Par Marc-André Carignan http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/710917/lampadaire-wi-fi-dans-saint-laurent/ L‘écocampus ne comprendra que des bâtiments dits «novateurs» en matière d’écoconstruction.Arrondissement de Saint-Laurent Plus le temps passe, plus j’avoue être agréablement surpris par l’arrondissement de Saint-Laurent, qui ne manque visiblement pas d’ambition pour l’aménagement de son territoire. Il faut dire que le maire, Alan DeSousa, prend ce dossier à cœur depuis plusieurs années, et se fait une grande fierté d’exiger des constructions de plus en plus écologiques et audacieuses dans son secteur. Bien des gens l’ignorent, mais on retrouve dans Saint-Laurent une des plus fortes concentrations d’immeubles certifiés LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) en Amérique du Nord. Cette certification est d’ailleurs devenue une exigence de l’arrondissement pour de nombreux développements immobiliers, autant résidentiels qu’industriels. Le maire se présente également comme un fier ambassadeur des concours de design à Mont*réal et tient mordicus à promouvoir la qualité architecturale à travers ses bâtiments municipaux. On n’a qu’à penser à la Bibliothèque du Boisé, qui est certainement une des plus belles bibliothèques contemporaines au Québec. Le prochain défi de l’arrondissement? Amorcer d’ici la fin de l’année le chantier d’un technoparc intelligent de 72 000m2 (l’équivalent de 12 terrains de football), en symbiose avec un boisé et un marais situés au nord de l’Aéroport Montréal-Trudeau. Cet «écocampus», dont les investissements sont évalués à 175M$, ne comprendra que des bâtiments dits «novateurs» en matière d’écoconstruction, en plus de réserver une place centrale au transport actif. Des sentiers permettront aux travailleurs de jouir d’un accès privilégié à la biodiversité du site, alors qu’une place publique au cœur du projet favorisera l’interaction entre les entreprises. Une salle de réunion extérieure, avec un mobilier sur lequel il sera possible de connecter ses appareils électroniques, se trouve aussi dans les plans. Mais attention, ne s’y établira pas qui veut. «On souhaite sélectionner les entreprises pour qu’elles soient en symbiose avec le milieu naturel, me précisait récemment la directrice de l’arrondissement, Véronique Doucet. Elles devront respecter notre philosophie écologique dans leurs activités quotidiennes.» Ce quartier deviendra également un banc d’essai pour diverses technologies liées au concept de «ville intelligente»: lampadaires à intensité variable en fonction des passants, senseurs pour la qualité de l’air et le bruit, signalisation électronique en bordure de la rue… La liste est longue. Des trottoirs chauffants pourraient également voir le jour. «Il y a beaucoup de choses qu’on va tester et qui risquent d’être reprises ailleurs sur le territoire si ça répond bien à nos attentes», poursuit Mme Doucet. À terme, l’écocampus devrait générer quelques milliers d’emplois. Les appels d’offres pour ce chantier seront lancés dès ce printemps.
  15. Un parc aquatique de 40 M$ sera construit à Blainville Sur la table à dessin depuis un peu plus de deux ans, le projet de parc aquatique Aquapolis vient de franchir une nouvelle étape avec l’acquisition d’un terrain de quelque 900 000 pieds carrés. Situé aux abords de la sortie 28 de l’autoroute 15, le terrain en question subira, à la faveur d’un investissement privé de 40 millions de dollars (11 millions de dollars pour les bâtiments et 29 millions de dollars pour les équipements), une transformation majeure pour devenir un parc aquatique intérieur unique au Canada, dit-on. D’une superficie totale de 100 000 pieds carrés, dont une grande partie sera vitrée, le parc sera complété par des aménagements extérieurs qui s’étendront pour leur part sur une superficie de 30 000 pieds carrés. Aquapolis sera aménagé en quatre espaces thématiques, soit la détente (plage, piscine, bains bouillonnants, jets et douches hydromassants, boutique, restaurant, bar), l’aventure (rivières lentes, cascades, toboggans, rapides), le jeu (arbre à eau, geysers, marelle aquatique) et le coin des petits (garderie et pataugeoire). «Voilà un projet structurant qui aura des effets positifs à plusieurs égards: des revenus supplémentaires pour la Ville, des retombées économiques sur les commerces et les restaurants, de la création d’emplois et la mise en valeur du territoire dans le cadre de notre vision d’espace et d’avenir», a déclaré François Cantin. 500 000 visiteurs par année Selon les projections présentées par Gilles Debut, porte-parole des promoteurs dans le projet, la capacité d’accueil d’Aquapolis sera d’environ 2 500 personnes par jour, ce qui se traduira, sur une base annuelle, par quelque 500 000 visiteurs. «La clientèle sera locale et régionale, mais également touristique grâce à sa localisation et à son originalité», ajoute-t-il. Le prix moyen pour une journée au parc aquatique sera de 27 $ par personne. Les investisseurs associés au projet, nommément Jordan Aberman (Groupe Divco), Sal Fratino (Groupe Rosdev) et Alain Chayer (Liaison capitale), sont d’avis que Blainville représente l’endroit stratégique par excellence pour l’implantation du parc aquatique, tant pour son dynamisme économique, souligne M. Chayer, que pour son accessibilité. Il n’est pas exclu qu’un centre hôtelier vienne se greffer au projet dans les années à venir, ajoute-t-on, bien que cela nécessitera l’acquisition d’un autre terrain. La construction du parc commencera une fois les études de sol terminées, ce qui mènera vraisemblablement au printemps prochain. Le chantier se déploiera ensuite sur une période de 18 mois, pour ouverture du parc, espère-t-on, en novembre 2015. On estime entre 300 et 400 le nombre d’employés qui y travailleront. «Je suis très enthousiaste face à ce projet soutenu par des promoteurs privés et qui permettra à notre ville et à notre région de se doter d’une infrastructure qui s’ajoutera avantageusement à notre offre récréotouristique locale et régionale», s’est réjoui, en terminant, le maire. Pour voir la vidéo de présentation du projet, rendez-vous sur le http://www.youtube.com/watch?v=VQGFV2v2DlI http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/tourisme/un-parc-aquatique-de-40-m-sera-construit-a-blainville/561907#.UkXQ-4ZLMlQ
  16. http://journalmetro.com/local/lasalle/actualites/698614/une-ecole-de-sirenes-voit-le-jour-a-lasalle/ Marielle Chartier Hénault TC Media - Hugo Lorini Previous photo Next photo Alors que Montréal est plongée dans une vague de froid, la fondatrice de l’école AquaSirène, Marielle Chartier-Hénault, est assise en bikini sur le bord de la piscine à l’Aquadôme de LaSalle. C’est là qu’elle a décidé d’établir son école. L’«aquasirène» est un type de natation pratiqué à l’aide d’une monopalme en forme de queue de sirène, qui joint les deux jambes ensemble. La pratique de ce sport offre de nombreux avantages. «[Pour se déplacer dans l’eau avec ce costume], il faut effectuer une ondulation du corps qui fait travailler les muscles abdominaux. On pousse beaucoup d’eau, et ça devient cardio. Après une heure, on est épuisé», précise-t-elle. Les cours progressent par étape. «On commence par des mouvements sans la queue pour que les gens s’habituent à nager de cette façon et puissent traverser la piscine sans toucher le fond. Après, si ça va bien, on enfile le costume», indique la jeune femme. La queue de sirène remonte jusqu’à la taille et est recouverte d’un tissu extensible qui ressemble à s’y méprendre à des écailles de poisson. Il en existe de toutes les tailles et de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Le produit est aussi disponible pour les garçons, même si «la demande de leur part n’est pas très forte en ce moment», explique Mme Chartier-Hénault. Depuis le lancement du site web de l’école qu’elle a fondée, l’engouement se répand à la vitesse de l’éclair. «Plus de 2000 personnes m’ont contactée en trois jours, dont plusieurs mamans pour leurs filles de 7 à 13 ans, rapporte Marielle. Les plus âgées s’y intéressent pour l’aspect mise en forme.» Elle assure les parents que leurs petites sirènes seront sous la supervision d’instructeurs compétents. «C’est une créature que tu forges à ton image. Je suis une sirène bonne humeur mais il y a celles qui chantent et qui envoûtent les marins.» – Marielle Chartier-Hénault, fondatrice d’AquaSirène Il s’agit d’un rêve de jeunesse pour Marielle, qui, en ouvrant cette école, lance sa propre entreprise. «Quand j’étais toute petite, la phobie de ma mère était que je me noie, relate-t-elle. J’ai donc suivi des cours de natation dès l’âge de six mois. Enfant, dans ma tête, j’étais une sirène. Mais quand j’ai dit à mes parents que je lançais une école de sirène, ils n’ont pas vraiment compris…» dit-elle en riant. Marielle Chartier-Hénault voit grand. «Je commence à Montréal, mais à long terme, j’aimerais avoir des franchises ailleurs au Canada, dit-elle. L’été sera la grosse saison.» Elle rêve d’avoir sa propre piscine. «Louer des piscines est difficile, et mon rêve serait de bâtir ma piscine à Montréal pour y tenir mes événements», souligne-t-elle. À l’Aquadôme, les cours commenceront dès février. «J’offre des cours d’essai d’une heure pour 50$, indique Marielle. Pour une session de 10 cours, c’est 300$.» sent via Tapatalk
  17. Les riches sont moins nombreux qu’on ne le pense Nos impressions sur le 1 % le plus riche ne s’appuient pas sur la réalité de l’économie québécoise. Les Québécois peuvent s’indigner des salaires excessifs gagnés à Wall Street, mais les financiers de New York ne paient pas d’impôt à Revenu Québec. On entend beaucoup parler de la concentration accrue de la richesse, particulièrement dans le 1 % supérieur de la distribution des revenus. Il est alors naturel d’imaginer que l’État pourrait facilement financer des programmes sociaux en augmentant les impôts des mieux nantis. « Faire payer les riches » est devenu un slogan répandu parmi ceux qui s’opposent au coup de frein donné dans les dépenses publiques. Malheureusement, nos impressions sur le 1 % le plus riche ne s’appuient pas sur la réalité de l’économie québécoise, et trop souvent sur des données et des anecdotes venant de l’extérieur. Les Québécois peuvent bien s’indigner des salaires excessifs gagnés à Wall Street, mais les financiers de New York ne paient pas d’impôt à Revenu Québec. La proposition selon laquelle le fisc québécois pourrait tirer des revenus plus importants des hauts salariés se heurte à au moins deux problèmes. D’abord, la concentration des revenus a été moins forte au Québec ces 30 dernières années que dans le reste du Canada, et beaucoup moins forte qu’aux États-Unis. En fait, elle s’est largement limitée aux économies anglophones ; la part du 1 % supérieur est restée stable dans les autres économies industrialisées. On constate la même tendance au Canada : Une des hypothèses avancées pour expliquer cet écart — la question demeure ouverte — porte sur le pouvoir de négociation : une menace de la part d’un anglophone hautement qualifié de quitter son pays pour prendre un emploi mieux rémunéré à New York ou à Londres serait plus crédible que celle venant d’un Japonais, d’un Suédois ou… d’un francophone. Ce pouvoir de négociation se traduit par des salaires plus élevés — mais seulement pour ceux qui sont assez bien placés pour chercher des offres à l’étranger. Par ailleurs, la proportion de hauts salariés est moins importante au Québec que dans les autres provinces. Et les « riches » québécois sont moins nombreux que leurs homologues ailleurs au pays : Le taux de hauts revenus au Québec est semblable à celui des provinces atlantiques et inférieur à celui de toutes les autres régions du Canada. Même si sa population équivaut à moins de la moitié de celle du Québec, l’Alberta compte plus de hauts salariés que le Québec. À ces deux points, il faut en ajouter un troisième: une augmentation du taux d’imposition risque de réduire les revenus pour le fisc. Comme je l’ai déjà expliqué au magazine Maclean’s, le taux d’imposition qui maximise les revenus au Canada est autour de 50 %, et c’est ce qu’applique déjà le Québec. Les Québécois peuvent se féliciter d’avoir bien résisté à la tendance vers la concentration des revenus, mais il faut aussi accepter l’autre côté de cette médaille. Il est illusoire de croire que le gouvernement du Québec pourrait générer des revenus substantiels en imposant davantage les mieux nantis: les riches sont moins nombreux qu’on ne le pense, et ils gagnent moins qu’on ne le pense. Si l’État veut plus de revenus, il lui faut ratisser plus large. Stephen Gordon est professeur titulaire au département d’économique de l’Université Laval à Québec. http://www.lactualite.com/actualites/politique/les-riches-sont-moins-nombreux-quon-ne-le-pense/
  18. http://www.tastet.ca/2014/10/22/ouverture-de-balsam-inn-exclusivite/ Quand on entre dans le nouvel établissement d’Alexandre Baldwin, d’Alexandre Wolosianski et de Nicole Lemelin (Whisky Café, Baldwin Barmacie, Taverne Square Dominion), d’Éric Dupuis (chef du Dominion et maintenant du Balsam Inn), de Virginie Bergerot, Benoit Essiambre (Taverne Square Dominion), on sent que tous les efforts de ces jeunes (et un peu moins jeunes) gens à rendre le lieu magique ont fait leur effet. Connus pour créer des endroits qui deviennent des classiques intemporels à Montréal, ils ont encore une fois réussi à concevoir un espace qui se démarque et donne envie de rester. Balsam est une sorte de sapin Baumier, arbre typique du Québec, fier ambassadeur de notre plus belle province. Inn, c’est parce que lorsqu’ils ont récupéré l’espace, situé dans un ancien hôtel-restaurant qui date de 1927 — la Taverne Square Dominion et l’hôtel Square Dominon qui ont résisté à la Grande Dépression, mais qui ont été éradiqués par un incendie qui les a réduit en cendres — les propriétaires ont réalisé que le premier étage de la bâtisse était à l’époque la cuisine de l’hôtel Square Dominion. Le « Inn » est donc un hommage au contexte historique rattaché à l’immeuble. En plus, c’est assez joli. À la porte d’à côté de la Taverne Dominion, le restaurant Balsam Inn ouvrira donc officiellement ses portes au début de novembre. Magnifique décor sorti essentiellement de l’imagination explosive du jeune Baldwin, la source d’inspiration principale du décor du Balsam Inn est celle d’une brasserie des années 40. Tout le local a été construit durant les rénovations à l’exception d’un magnifique four à bois de l’époque. Beaucoup de détails frappent: les plafonds de 14 pieds de haut, les anciennes banquettes du feu Chez Gauthier, splendides tabourets vert forêt du bar, le repose pieds en laiton du bar qui est une ancienne rampe de l’Oratoire St-Joseph, l’armoire de bar qui vient d’un vieux magasin général, les luminaires élégants qui rappellent une vieille brasserie ou même les portes vitrées donnant sur la cuisine qui proviennent d’une antiquité industrielle sur l’Avenue du Parc. Monsieur Baldwin, il a l’œil pour ce genre de choses. En salle, on compte environ 80 places, un espace restaurant tables assises et un espace tables hautes, qui évoque l’ambiance d’un bar. Cocktails aux saveurs plus sautillantes que ce qu’on a l’habitude de déguster; un peu du goût de la forêt, du balsam nous dit-on. Le bal de salle sera dirigé par Benoît et Léa Wolosianski, la magnifique fille du propriétaire, qui est aussi très allumée, ne vous inquiétez pas. Le restaurant commencera seulement avec un service de soir, lunchs à venir incessamment. Aux fourneaux, puisque c’est toujours ce qui nous excite le plus les papilles chez les Tastet, le chef Éric Dupuis concocte un menu en sept actes; pains plats cuisinés au four à bois — délicate alternative au pain ou à la pizza — élément du menu qui permet de lier le reste des plaisirs; salades, viandes, poissons, pâtes et/ou fromages. Finissez avec un gâteau à l’orange, un tiramisu ou autre péché sucré si vous le désirez. À tous les amateurs de hockey, tout comme le Dominion, qui sont tous deux à 5 minutes de marche du Centre Bell, le restaurant offre une formule rapide et délicieuse pour les soirées de match. Étant donné que le centre-ville de Montréal n’offre pas une panoplie de très bons endroits où aller prendre une bouchée de qualité, nous vous conseillons de retenir l’adresse. Longue vie à vous. — Élise Tastet
  19. Le propriétaire de l’Impact de Montréal Joey Saputo a fait l’acquisition, en compagnie d’un groupe d’investisseurs, du FC Bologne, un club de soccer italien, jeudi. «Je suis heureux de confirmer que l'offre d'achat de notre groupe d'investisseurs pour l'acquisition du FC Bologne a été acceptée par le conseil d'administration du club», a souligné Saputo, dans un communiqué. Une lettre d'intention a d’ailleurs été signée par le club à cet effet. «Je tiens à remercier tous les gens impliqués dans la transaction, notamment les fidèles partisans du FC Bologne pour leur encouragement au cours du processus. Nous allons continuer de travailler avec le conseil d'administration du club pour finaliser l'entente le 15 octobre.» Marco Di Vaio aurait pour sa part un poste qui l’attendrait avec l’équipe italienne. Il s’agit d’un revirement de situation puisque le FC Bologne avait indiqué, il y a deux semaines, sur son site web que l’équipe serait vendue à Massimo Zanetti. La formation italienne, qui a été fondée en 1909, a été reléguée en Serie B après une saison 2013-2014 difficile. http://www.tvasports.ca/2014/10/09/saputo-devient-proprietaire-du-fc-bologne
  20. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/409975/nouveau-festival-darchitecture-a-montreal/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 16px; position: relative !important;">27/11/2013 Mise à jour: 27 novembre 2013 | 15:46 Ajuster la taille du texte Nouveau festival d’architecture à Montréal Par Marc-André CarignanMétro </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Sylvain AdenotBellastock Danemark – The Beer Cr(e)ate City (2012)</figcaption></figure>Déjà implanté dans près de dix pays, dont la France, l’Espagne, le Mexique et la Chine, le festival d’architecture expérimentale Bellastock étendra enfin ses tentacules au Canada l’été prochain. Réunissant des professionnels et des étudiants du milieu de l’aménagement du territoire et de la construction, l’événement s’articule autour de la création d’un village écologique éphémère. Les participants ont à peine quatre jours pour dessiner et bâtir leur projet, qui doit s’orienter autour d’un matériau précis à chaque édition du festival. «L’objectif ultime de Bellastock est de réfléchir au cycle de vie de la matière, m’explique le cofondateur du volet québécois Louis Destombes. On sélectionne normalement des matériaux-thématiques qui, dans leur contexte local, sont mal employés ou pourraient être mieux exploités. Dans le cas de notre première édition au Québec, on s’intéressera aux rebus des constructions en bois.» Les festivaliers auront donc accès aux résidus de bois de certaines entreprises de recyclage, matériaux qui auraient normalement été broyés pour la fabrication de pâte à papier ou transformés en combustibles à chauffage. Ils devront par la suite démontrer qu’on peut réutiliser ces matériaux comme matière première pour ériger des structures architecturales. L’événement agira ainsi comme une plateforme de socialisation et de partage d’idées créatives entre Montréalais, et valorisera la culture de l’expérimentation en design et en architecture. Une culture trop peu exploitée ces dernières années dans nos universités. «On a beaucoup d’étudiants à Montréal qui sont formés pour de la conception de projet, mais qui n’en réalisent jamais en bout de ligne, poursuit Louis Destombes. On propose donc ici quelque chose de plus concret avec notre formule. L’expérimentation devient un vecteur pédagogique.» Où se tiendra exactement l’événement? L’ex-hippodrome? Le Complexe environnemental Saint-Michel? Le tout reste encore nébuleux dans la tête des organisateurs, mais une chose est certaine : cette mobilisation éphémère devra mettre en valeur un secteur de la ville plus ou moins bien rentabilisé afin de le réactiver de façon durable. «Il faut que les choses produites durant l’événement soient réinvesties par la suite par des associations avec lesquelles on sera partenaire ou par le propriétaire du site lui-même, insiste le cofondateur. […] Bellastock doit mener à une réflexion sur l’espace urbain qui nous entoure.» Près de 35 bénévoles, issus principalement de l’Université de Montréal, de l’UQAM et de l’entreprise de réinsertion sociale Les Ateliers d’Antoine, se réuniront dès ce samedi pour commencer la planification de l’événement. Cinq rencontres figurent actuellement au calendrier d’ici le grand lancement prévu pour la fin août. www.bellastock.com </article>
  21. Le Mouvement Desjardins réussit son pari hors Québec 6 septembre 2014 Au-delà de cette crise financière et de cette Grande Récession qui l’a interpellée dès les premiers instants de son nouveau mandat, Monique Leroux reconnaît que le thème de l’expansion hors Québec du Mouvement Desjardins résume bien sa présidence. Un graphique d’aujourd’hui juxtaposant une carte géographique du Canada de 2010 démontre l’ampleur d’un rayonnement pancanadien vécu en accéléré entre ces deux dates. « C’est connu. Une entreprise qui n’est plus en croissance et en développement recule, périclite »,lance-t-elle. Les acquisitions se sont enchaînées au cours des dernières années. La financière MGI puis la plateforme de courtage et de gestion de patrimoine QTrade sont venues bonifier l’offre de Desjardins Sécurité financière. Dans l’assurance, de gros morceaux se sont greffés aux activités hors Québec de l’institution québécoise, Western Financial puis State Farm venant consolider la présence du Mouvement Desjardins sur les marchés de l’Ouest canadien et du sud de l’Ontario. « Ce sont autant d’emplois et d’expertise qui se développent ici. » Des partenariats avec des caisses et des crédits unions, et celui des plus stratégiques réalisé avec le français Crédit Mutuel venant décupler l’expertise de chacun dans la monétique, complètent l’expansion de l’institution coopérative. Une expansion qui englobe l’élargissement du réseau de relations de Développement International Desjardins, notamment dans la finance de proximité. « La finance inclusive, solidaire, c’est un métier que l’on maîtrise bien »,met en exergue Monique Leroux, au cours d’un entretien au Devoir. Sans dénaturer sa mission Dit autrement, le mouvement coopératif québécois fait la preuve qu’il peut rayonner et se développer hors Québec sans dénaturer sa mission. La présidente et chef de la direction aime bien revenir aux origines du Mouvement et à la philosophie du fondateur. Elle se demande sans cesse, telle une obsession, si les gestes posés traduisent ou respectent cette pensée originelle. « Alphonse Desjardins était un entrepreneur. Le développement et la croissance étaient omniprésents dans son discours. Il rêvait d’un mouvement économique fort au Québec, basé sur la confiance, dans une perspective canadienne et internationale, selon le principe “aide-toi toi-même”. C’est ce que nous faisons. » Les résultats financiers sont au rendez-vous. Depuis 2000, l’actif a été multiplié par trois pour dépasser les 221 milliards au 30 juin dernier, et les fonds propres, par 3,5 fois. Au terme de l’exercice financier 2013, l’institution québécoise a continué à dégager des excédents avant ristournes de plus de 1,5 milliard, situant le rendement sur fonds propres autour de 10 %. Cette croissance se veut organique dans une proportion de 70 %. Et Monique Leroux de rappeler que « nous sommes dans une logique de créer de la richesse pour en faire bénéficier la société, pas pour faire monter le prix d’une action ». Plus concrètement, cette santé financière sous-tend un investissement massif du Mouvement dans la technologie, au rythme annuel de 750 millions. « Le client veut un accès direct, multiplateforme. Nous devons suivre l’évolution technologique tout en favorisant la relation personnelle. Le grand enjeu consiste à faire tout cela, avec fluidité. » Paiement mobile Desjardins, annoncé cette semaine, y fait largement écho. Monétique, vecteur de développement La présidente revient à ce partenariat avec le Crédit Mutuel. Un pont est ainsi établi pour les entreprises des deux côtés de l’Atlantique, dans un environnement de libre-échange entre l’Europe et le Canada. Avec ce joueur de premier plan dans la monétique, il a également été possible de donner naissance en 2013 à Monetico International, une société conjointe dont le siège social est basé à Montréal et qui se positionne parmi les dix plus grandes organisations spécialisées dans les paiements électroniques. « Nous avons, là, un joueur doté d’une masse critique dans le système de paiement, résilient à l’évolution de la réglementation mondiale. » Cette monétique, véritable vecteur de développement, devient ainsi l’un des grands piliers du développement futur de Desjardins en parallèle à son essor dans l’assurance et la gestion de patrimoine. S’ajoute la volonté, pour l’institution, de poursuivre les rapprochements avec les crédits unions et leur caisse centrale, dans un environnement de contraintes réglementaires particulièrement exigeantes sous Bâle III. « Ce qui ne nous empêche pas de nous doter d’un plan de match pour le Québec se voulant à la fois solide et dense »,insiste Mme Leroux. Il faut notamment s’attendre à une multiplication des vitrines ou des points de services, aussi à des initiatives ciblées auprès de communautés visées. « Je crois en la capacité de Desjardins d’évoluer,résume Monique Leroux. Une entreprise, quelle qu’elle soit, a, à titre de citoyen corporatif, une responsabilité. Celles qui réussissent le mieux vont se démarquer par leur performance et par l’usage qu’elles font de cette performance. » La présidente veut laisser au Mouvement un héritage de croissance, d’innovation, d’adaptation dans un monde global, un Mouvement de 6 millions de membres qui se veut à la fois solide et performant. « La crise de 2008 est venue challenger la pérennité des entreprises et des institutions, et imposer le thème de la croissance responsable, d’une croissance pérenne », insiste-t-elle. Alphonse Desjardins rêvait d’un Grand rassemblement coopératif à Québec. Ce sera fait. Du 6 au 9 octobre, la Vieille Capitale sera l’hôte du Sommet international des coopératives. Ce deuxième rendez-vous capitalise sur le succès remporté en 2012 et, souhaite-t-on, positionne Québec comme étant le pôle d’expertise mondial du modèle coopératif. Le thème principal de cette deuxième édition réunissant des invités venant d’une centaine de pays ? Le pouvoir d’innover des coopératives. « Ce sommet nous amène à partager les perspectives et les expériences. À nous demander si nous pouvons contribuer davantage en matière de création d’emplois, d’innovations ou de soutien au développement des entreprises »,résume Monique Leroux. Sous le titre principal s’ajoutent cinq grands chapitres : le développement de l’entreprise coopérative et mutualiste, le financement et la capitalisation, la sécurité alimentaire, les soins de santé et les services à la personne, et l’emploi. « Ce sont des grands thèmes, des grands enjeux mondiaux qui collent bien à notre modèle d’affaires. Il peut être difficile de confier des problématiques liées à la santé ou à la sécurité alimentaire à des entreprises cotées en Bourse, ancrées sur le retour immédiat aux actionnaires »,lance la présidente du Mouvement Desjardins. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/417765/le-mouvement-desjardins-reussit-son-pari-hors-quebec
  22. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 16.260000228881836px;">http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/409493/montreal-veritable-panier-perce Montréal, véritable panier percé </header>29 mai 2014 |Karl Rettino-Parazelli | Actualités économiques <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Jacques Nadeau - Archives Le DevoirEntre 2007 et 2012, la population de Montréal a augmenté de 4 %, tandis que les dépenses de fonctionnement de la Ville ont progressé de 23 %</figcaption></figure><section class="retenir retenir_paysage" style="box-sizing: border-box; width: 230px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-right: 20px; margin-bottom: 10px; margin-top: 10px; font-size: 13px; background-color: rgb(239, 239, 242);">À consulter: le rapportRegard sur les dépenses municipales au Canada</section>Montréal figure parmi les villes les plus dépensières du Canada. Le rythme de croissance des dépenses de la métropole québécoise est largement supérieur au niveau de progression de sa population, ce qui a une incidence directe sur l’impôt foncier des contribuables, déplore la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI). Entre 2007 et 2012, la population montréalaise a augmenté de 4 %, tandis que les dépenses de fonctionnement de la Ville — ajustées en fonction de l’inflation — ont progressé de 23 %, indique une étude publiée mercredi par la FCEI. Cette hausse des dépenses presque six fois supérieure à la croissance démographique classe Montréal parmi les quatre villes canadiennes qui dépensent le plus en fonction de leur population, aux côtés de Saint-Jean au Nouveau-Brunswick, d’Halifax et de Victoria. Au cours de la même période, la Ville de Québec n’a fait guère mieux : ses dépenses ont été quatre fois supérieures à sa croissance démographique. «Aucune des municipalités analysées n’a su restreindre l’augmentation de ses dépenses au niveau de l’inflation et de la croissance démographique, écrit l’auteure de l’étude, Nina Gormanns. Au fil des dix dernières années, elles ont toutes systématiquement dépensé nettement plus que le niveau raisonnable.» Si elles avaient été redistribuées à travers le pays, les dépenses de fonctionnement « excédentaires » des douze dernières années, c’est-à-dire celles qui ont été supérieures au rythme de l’inflation et de la croissance démographique, auraient permis à chaque ménage canadien de toucher plus de 7800 $. Selon la même logique, les ménages montréalais auraient empoché quelque 2150 $ entre 2007 et 2012. «Les taxes et les frais servant à financer ces dépenses excessives font peser un fardeau indu sur les PME et nuisent au développement des communautés», juge Mme Gormanns. Voilà pourquoi la FCEI recommande aux villes de maintenir la hausse des dépenses de fonctionnement au niveau de l’inflation et de la progression de la population, ou à un niveau inférieur. Elle demande également aux gouvernements fédéral et provincial de«geler» le financement accordé aux municipalités jusqu’à ce qu’elles atteignent ce seuil. Il s’agit d’un objectif ambitieux mais réaliste, affirme Simon Gaudreault, économiste à la FCEI. «Les villes québécoises pourraient par exemple s’inspirer de villes comme Ottawa ou Toronto, qui ont réussi à contenir leurs dépenses au cours des deux dernières années.» Masse salariale Sans grande surprise, la rémunération des employés municipaux est la principale responsable de ces dépenses à la hausse. Dans le cas de Montréal, les salaires et les différents avantages sociaux des fonctionnaires, incluant le coût des régimes de retraite, ont correspondu en moyenne à 58 % des dépenses de fonctionnement totales de la métropole entre 2007 et 2012, révèle le rapport. Selon les données budgétaires de la Ville, cette réalité s’est traduite par une forte augmentation de la masse salariale entre 2009 et 2014 : un bond de 650 millions de dollars, de 1,8 à 2,5 milliards. «Lorsque plus de la moitié de vos dépenses de fonctionnement sont liées à la rémunération et que celle-ci est plus généreuse que ce qui est offert sur l’ensemble du marché du travail dans le secteur privé, ce n’est pas étonnant d’observer des dépenses qui sont hors de contrôle», affirme M. Gaudreault. Aux yeux de la FCEI, les villes n’ont donc pas à se plaindre d’un manque de revenus. Elles n’ont qu’à freiner leurs dépenses. «Ça prend une volonté politique pour ne pas choisir la voie facile qui est d’augmenter le fardeau fiscal des contribuables plutôt que de négocier plus fermement avec les syndicats. Mais je pense que le contexte politique se prête bien à cela», souligne l’économiste, en mentionnant le débat à venir sur les régimes de retraite des employés municipaux. Après l’initiative péquiste, le gouvernement libéral reviendra bientôt à la charge avec le dépôt d’un projet de loi pour baliser la négociation de ces régimes entre les municipalités et leurs employés. Sur une note plus positive, le regroupement des PME canadiennes salue la volonté du maire de Montréal, Denis Coderre, de supprimer au moins 2200 postes d’ici 2018 en misant essentiellement sur le remplacement d’un seul employé partant à la retraite sur deux. Au moment de l’annonce de cette mesure en avril, syndicats et maires d’arrondissement ont fait valoir que cette décision affecterait les services offerts à la population.
  23. Des concessions de la NFL et de la NBA seraient viables à Montréal Sports - Argent Écrit par Guy Madore Lundi, 04 janvier 2010 03:55 Mise à jour le Lundi, 04 janvier 2010 13:24 Montréal est l’une des villes nord-américaines les plus sous-représentées en équipes professionnelles et aurait « les reins assez solides » pour supporter de nouvelles concessions dans la MLS, la NBA, la NFL ou… le baseball majeur. Cinq ans après le départ des Expos, une récente étude réalisée par un groupe de publications économiques américaines – Bizjournals – révèle que l’agglomération montréalaise est l’un des marchés les plus propices pour le relocalisation d’une équipe ou l’expansion d’une ligue. Pour arriver à une telle conclusion, les auteurs n’ont cependant pas évalué la ferveur des amateurs pour un sport en particulier, la situation géographique, la disponibilité d’amphithéâtres, la volonté politique des divers paliers de gouvernement, l’intérêt de commanditaires potentiels ni les « préférences » des commissaires des circuits professionnels majeurs. Bizjournals a plutôt utilisé une valeur plus objective comme le revenu personnel total (RPT), soit la somme de l’argent gagné par tous les résidants d’une région donnée sur une période d’un an, pour statuer sur « l’attractivité » de divers marchés comme celui de la métropole québécoise. Des données de 2008 (Statistique Canada) montrent que le RPT de Montréal s’élève à 127,73 milliards de dollars (G$) – tous les montants sont en dollars américains. Capacité pour trois autres ligues En tenant compte des revenus des équipes et du prix moyen des billets, Bizjournals a pu déterminer le niveau de RPT nécessaire pour « supporter » une équipe de chaque ligue : Si l’on soustrait une somme de 37,3 G$ applicable à la présence du Canadien, Montréal disposerait encore d’un revenu personnel disponible (RPD) d’un peu plus de 90 G$. Assez pour ravoir une concession du baseball majeur. Ou pour accueillir une équipe d’expansion de trois ligues réunies (NFL, NBA et MLS). Il est bon de rappeler que cette analyse n’a pas considéré l’influence de deux autres formations de circuits « mineurs », en l’occurrence les Alouettes (LCF) et l’Impact (USL-1). Cette étude ne fera pas plaisir à ceux qui « plaident » pour le retour d’une équipe de la LNH à Québec. Le niveau du RPT (27,7 G$) de la Vieille Capitale ne serait pas suffisant pour « supporter » un club du circuit Bettman. D’un point de vue statistique, Québec ne pourrait accueillir que deux concessions… de la MLS. Baseball : marché saturé L’analyse de Bizjournals a porté sur 81 marchés aux États-Unis et au Canada qui disposent d’un RPT de plus de 25 G$ et sur Green Bay, au Wisconsin, le seul marché sous cette barre doté d’une équipe professionnelle majeure (Packers, NFL). Il en ressort que le baseball majeur ne pourrait pas élargir ses cadres à moins de s’établir dans le sud de la Californie (San Bernardino-Riverside), dans la région de New York (au New Jersey) ou à… Montréal. En contrepartie, c’est la MLS qui aurait l’embarras du choix pour implanter ses équipes d’expansion. Quarante-deux (42) marchés potentiels ont été identifiés, dont six au Canada : Calgary, Winnipeg, Hamilton, Ottawa, Montréal et Québec. Toronto a adhéré à la MLS en 2007 et Vancouver se joindra à cette ligue en 2011. Dix-huit (18) nouveaux marchés ont un RPT suffisant pour accueillir une concession de la NFL, dont Los Angeles qui est un choix logique. Parmi les villes « candidates », on retrouve trois autres agglomérations californiennes ainsi que Montréal, Rochester, Las Vegas et… Honolulu. Le Stade olympique a vibré au rythme des Alouettes, lors de la finale de l'Est le 22 novembre dernier. L'étude de Bizjournals laisse croire qu'il pourrait en faire autant, régulièrement, pour faire vivre une équipe de la NFL... ou du baseball majeur. Photo d'archives Rogerio Barbosa La NBA compte 17 marchés « inexploités », dont San Jose, Birmingham, Las Vegas et Montréal. Enfin, la LNH disposerait de 16 marchés potentiels, mais aucun situé au Canada. Las Vegas est encore en lice, tout comme Houston, Tulsa et Richmond. Pour consulter un tableau présentant les marchés « disponibles » dans chaque ligue, cliquez ici. Déficits de RPT L’étude de Bizjournals a aussi établi que plusieurs équipes évoluaient dans des villes ne possédant pas suffisamment de RPT. On en dénombre 17 dans la NFL, 13 dans le baseball majeur, 11 dans la NBA, neuf dans la LNH et seulement trois dans la MLS. Six marchés ont été identifiés comme ayant un déficit de RPT de plus de 45 G$ : Cleveland, Kansas City, Milwaukee, Phoenix, Pittsburgh et Tampa-Saint Petersburg.
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