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  1. CHARLES LECAVALIER Mercredi, 20 avril 2016 00:00 MISE à JOUR Mercredi, 20 avril 2016 00:00 Le virage vert du gouvernement Couillard prend forme: celui-ci rendra obligatoire l’installation de prises extérieures 240 volts destinées à la recharge des autos électriques dans les nouvelles habitations, a appris Le Journal. Cette façon de faire coûtera près de 400 $ de plus aux acheteurs de maisons unifamiliales, jumelés et condos neufs, principalement à cause de l’adaptation du panneau électrique et de l’achat du câblage. L’objectif est de stimuler la vente de véhicules électriques en permettant l’installation facile d’une borne de recharge, qui peut coûter près de 1000 $. Au cabinet du ministre des Transports, Jacques Daoust, on confirme qu’une étude d’impact est en cours de réalisation. Le règlement serait publié d’ici la fin de l’été par la Régie du bâtiment du Québec. Moins cher à la construction Cette solution est bien vue par l’industrie. «C’est positif. Tant mieux si l’on en arrive à rendre les constructions neuves adaptées aux véhicules électriques. Ça coûte beaucoup moins cher de faire l’installation lorsqu’on construit le bâtiment», note François-William Simard, directeur des communications de l’Association des professionnels de la construction. Même son de cloche chez les environnementalistes: «C’est une bonne nouvelle. Pour l’instant, l’absence de prise est un frein à l’achat d’un véhicule électrique parce que les propriétaires qui veulent installer une borne doivent passer un fil électrique de 240 volts de la boîte électrique jusqu’à l’extérieur», dit Patrick Bonin, de Greenpeace. 8000 véhicules sur la route Cette solution peut toutefois paraître prématurée. Au 31 décembre 2015, on dénombrait seulement 8338 véhicules électriques au Québec. Mais le gouvernement y va pleins gaz et fixe un objectif de 100 000 autos électriques sur les routes d’ici 2020. Les propriétaires de logements locatifs devront aussi mettre la main à la pâte. Selon des informations recueillies par notre Bureau parlementaire, Québec projette par ailleurs de les obliger à offrir à leurs locataires des bornes de recharge. Cela inclut tous les immeubles déjà construits. La mesure risque de faire des mécontents, mais Québec donne une subvention de 600 $ aux particuliers pour installer les bornes. LES VÉHICULES ÉLECTRIQUES AU QUÉBEC Au 31 décembre 2015, il y avait 8338 véhicules électriques sur les routes Montréal: 1045 Québec: 826 Laval: 416 Les plus populaires Chevrolet Volt 43 % Nissan Leaf 21 % Tesla modèle S 10 % Nombre de bornes de recharge publiques en service 857 bornes de 240 volts 34 bornes de 480 volts En moyenne, le propriétaire d’un véhicule électrique gagne un salaire de 65 000 $ par année (Statistiques de l’Association des véhicules électriques du Québec) http://www.journaldemontreal.com/2016/04/20/prises-electriques-obligatoires
  2. http://journalmetro.com/actualites/montreal/490051/le-square-viger-pourrait-etre-revitalise-dici-2017/ Le Square Viger pourrait être revitalisé d’ici 2017 Par Laurence Houde-Roy Métro Partager cet article Archives Métro Le Square Viger Richard Bergeron imagine un complément au recouvrement de l’autoroute Ville-Marie. Le conseiller du district Saint-Jacques se dit confiant que le Square Viger sera également revitalisé d’ici la fin des travaux de recouvrement en 2017, entre les rues Sanguinet et Hôtel-de-Ville. Le maire de Montréal, Denis Coderre, avait lui aussi laissé entendre en mars que la revitalisation du Square Viger était la «prochaine étape» dans la foulée du recouvrement. «Je ne suis pas en mesure de dire que ça va être fait, mais sachez que je vais travailler à ce que ça se fasse», a affirmé dimanche le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, lors de sa visite guidée du secteur dans le cadre des Promenades de Jane organisées par le Centre d’écologie urbaine de Montréal. M. Bergeron propose que la partie ouest, celle la plus près de la rue St-Denis et qui comporte plusieurs structures de béton sous-utilisées, devienne plus invitante, plus conviviale». L’inauguration du CHUM en 2016 presse la situation, selon lui. «Des centaines de personnes sortiront le midi. Où vont-ils prendre l’air ? [Le Square Viger], c’est génial comme espace de détente. Sauf qu’actuellement, ça ne peut guère être utilisé, alors il faut avoir fait quelque chose en 2017», s’est exclamé dimanche M. Bergeron. À l’image de ce qui avait été fait en 2006 pour les Outgames à l’autre extrémité du Square, le chef de Projet Montréal souhaite qu’une partie du béton soit enlevée, qu’une douce pente de terre soit créée et que plusieurs espaces ouverts soient aménagés. Il ajoute que la majorité des structures de béton resteraient toutefois sur place, par respect pour l’architecture d’origine. «Le maire [Denis Coderre] m'a dit: “Go mon Richard, et s’il y a des coups de pieds à donner dans l’administration, tu les donnes en mon nom”.» -Richard Bergeron, au sujet d'une conversation qu'il a eu avec le maire vendredi qui lui donnait l'autorisation officielle d’amorcer les démarches. En attente du MTQ Richard Bergeron attend actuellement la fin des négociations avec le ministère des Transports du Québec (MTQ) avant de développer en détail son projet de place publique qui trônera au-dessus de l’autoroute Ville-Marie à la suite de son recouvrement. M. Bergeron, le maire Coderre et son administration souhaitent que la sortie d’autoroute sur la rue St-Antoine soit condamnée, et qu’un projet d’1M$ permette le réaménagement «plus fonctionnel» de la sortie un kilomètre plus loin, entre les rues Amherst et Panet. «Ce qu’on souhaite c’est que le gouvernement du Québec, grâce à la volonté de M. Couillard, renonce définitivement à cette sortie d’autoroute et consente à la sortie suivante», a précisé dimanche M. Bergeron, devenu responsable du dossier du recouvrement de l’autoroute Ville-Marie en février dernier. Il a indiqué à Métro que cette décision devrait être prise «bientôt». «Donc assez prochainement, on pourrait annoncer le périmètre exact de réaménagement et le niveau des considérations techniques [en fonction des indications du MTQ)», a-t-il ajouté. Quelques projets sont toutefois déjà en réflexion, comme la construction d’un «miroir d’eau», de manière à ce que les vitraux de la station de métro Champs-de-mars se reflètent sur cet étang. M. Bergeron se réjouit des près de 20 000 à 25 000 personnes qui circuleront quotidiennement sur cet espace public enserré par le quartier de la santé et le quartier administratif autour de l’Hôtel de Ville. «Tout ça justifie la présence d’un espace de qualité. Ici, il va y avoir une foule tout le temps», a affirmé l’urbaniste de formation aux quelques 25 citoyens venus l’écouter dimanche lors de sa visite guidée.
  3. 700 000 emplois disponibles d’ici 3 ans Agence QMI Julie Charette 08/06/2009 12h08 En vue de combler les 700 000 emplois qui seront disponibles au Québec d’ici 2011, le gouvernement de Jean Charest compte sur les travailleurs spécialisés étrangers. Devant une centaine de gens d’affaires réunis ce matin lors de la première journée des travaux du 5e Forum économique international des Amériques, la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles, Yolande James, a soutenu que l’immigration était une partie de la réponse aux besoins en main-d’œuvre du Québec. «La diminution de la population active pourrait entraîner un ralentissement de l’activité économique», affirme Mme James en rappelant qu’en 2050 un Québécois sur trois aura 65 ans et plus. L’immigration: «une valeur ajoutée pour le Québec» Confronté au vieillissement de sa population, le Québec doit donc développer des «mesures audacieuses» pour recruter et retenir les travailleurs immigrants. «À l’heure actuelle, plusieurs pays se font concurrence pour attirer les travailleurs», signale la ministre James. Afin de tirer son épingle du jeu, le Québec a mis en place diverses mesures: priorisation du traitement des demandes des travailleurs qualifiés et accélération de leur arrivée au Québec, accompagnement spécialisé, renforcement de la francisation et signature d’une trentaine d’ententes avec des ordres professionnels pour faciliter l’accès des immigrants aux professions réglementées. Le gouvernement Charest souhaite attirer près 50 000 immigrants annuellement. Pour ce faire, il devra accueillir plus de 9000 immigrants supplémentaires au Québec au cours des prochaines années.
  4. Vidéotron va créer 271 emplois à Joliette 25 mars 2009 - 10h37 Louis-Pierre Côté ARGENT La société Vidéotron entend embaucher 271 personnes à temps plein à son nouveau centre de service à la clientèle et de soutien technique de Joliette, d’ici l’été 2010. La compagnie a annoncé mercredi l’ouverture de son Centre Contact Clients dans la capitale régionale de Lanaudière à l’été 2009. D’ici là, Vidéotron lancera son offensive de recrutement depuis le Salon Emploi – Compétences qui battra son plein entre les 2 et 4 avril prochain aux Galeries Joliette. Situé devant le centre commercial Les Galeries Joliette, le nouveau centre de service à la clientèle de Vidéotron fera partie des premiers locataires à aménager dans le nouvel édifice sis au 1075 du boulevard Firestone. Le montant de l’investissement n’a pas été dévoilé. Vidéotron dit aussi poursuivre ses efforts de recrutement afin de combler plus de 500 postes permanents en 2009 dans tous les services de l’entreprise. Vidéotron est une filiale de Quebecor Media, elle-même une filiale du Groupe Quebecor (QBR.B).
  5. RBC soutient que Transat sera vendu Le voyagiste montréalais Transat A.T. sera vendu d’ici quelques années. C’est ce que soutient l’analyste Nick Morton, de RBC Capital, dans son plus récent rapport de recherche sur l’entreprise dirigée par Jean-Marc Eustache. La vente de Transat s’inscrira dans la foulée du mouvement de consolidation en Europe, souligne Nick Morton. L’analyste de RBC recommande l’achat (sector outperform) des actions de Transat. Jusqu’à vendredi dernier, il recommandait de conserver le titre. M. Morton abaisse cependant son cours cible à 34$ d’ici 12 mois. Il était auparavant de 37$. Nick Morton souligne que la concurrence va demeurer intense pour Transat cet hiver avec les SunWing, Sunquest, Signature, Air Canada et WestJet qui vont tous se battre pour attirer des consommateurs dans un contexte de ralentissement économique. «Tout indique qu’il va se produire une importante transformation dans l’industrie et les joueurs les moins bien capitalisés vont être éliminés», croit l’analyste de RBC. «Transat devrait survivre en raison de sa solidité financière», ajoute Nick Morton qui s’attend à ce que la direction de Transat continue de racheter de ses actions sur les marchés. Mercredi dernier, Transat a révélé que l’entreprise n’avait pas été rentable pendant le troisième trimestre de l’année. Les revenus ont augmenté de près de 16%, mais le prix du carburant a entraîné le voyagiste dans le rouge. Transat a perdu 2,4 M$ cette année pendant les mois de mai, juin et juillet. L’action de Transat se transige présentement à un peu plus de 16$, son niveau le plus bas des 52 dernières semaines. Il y a un an, le titre valait plus de 40$ à la Bourse de Toronto.
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