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  1. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/838728/au-diable-le-developpement-durable/ Le gouvernement du Québec se targue à l’international d’être un leader en matière de développement durable et de lutte aux changements climatiques, mais les bottines ne suivent pas toujours les babines. Parlez-en à la Commission scolaire de Montréal (CSDM), qui a récemment dû expliquer aux parents et aux enfants de l’école Saint-Gérard, dans Villeray, que la reconstruction de leur établissement scolaire devrait attendre… encore. Pourquoi? Parce qu’après une saga de trois ans marquée par le stress des élèves déménagés et les négociations avec le ministère de l’Éducation, les plans proposés par les architectes de la nouvelle école ne convenaient pas au Conseil du Trésor. «Trop dispendieux», a-t-on répondu à la CSDM. On a ainsi exigé de retrancher 3,1 M$ au projet, ce qui a forcé les architectes à retourner à la table à dessin et à retirer tout ce qui n’était pas «indispensable» à la nouvelle école. Ce qui a écopé : la majeure partie des mesures de développement durable pour réduire l’empreinte écologique du bâtiment. Québec a même permis que les exigences de son Plan d’action sur les changements climatiques 2013-2022 ne soient pas respectées. La toiture verte sera donc remplacée par le minimum exigé par l’arrondissement, un toit blanc. Elle aurait pourtant permis de réduire significativement les îlots de chaleur, d’améliorer la qualité de l’air dans le voisinage et d’absorber les eaux de pluie afin d’éviter la surcharge des aqueducs municipaux. La géothermie, qui aurait engendré des économies importantes de chauffage et de climatisation de l’édifice tout au long de l’année grâce à l’utilisation de la chaleur du sol, a été écartée. L’éclairage DEL, devenu une norme dans plusieurs projets nord-américains, sera remplacé par de simples tubes fluorescents, moins performants et beaucoup plus énergivores. La fenestration sera également réduite à quelques endroits, diminuant l’entrée de lumière naturelle dans le bâtiment. Les équipements mécaniques [peu agréables à contempler dans le paysage urbain] seront finalement installés sur le toit plutôt que d’être camouflés dans l’édifice. Une situation qui risque de provoquer une détérioration plus rapide des systèmes et une augmentation des frais d’entretien pour la CSDM. Bref, je pourrais poursuivre encore longtemps la liste des aberrations. Tout ça pour quoi? Sauver À TRÈS COURT TERME 3,1M$. Ça peut paraître beaucoup d’un point de vue comptable, je vous l’accorde. Mais pour en avoir discuté avec des architectes spécialisés dans le milieu scolaire, l’ensemble des mesures environnementales envisagées dans les plans initiaux aurait probablement été absorbé sur à peine 10 ou 15 ans… pour un édifice qui restera en place au moins 70 ans! Sans compter les bénéfices environnementaux. Mais bon, le développement durable est une priorité du gouvernement du Québec, aime-t-on nous rappeler…
  2. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  3. L'Adresse sur le fleuve voit le jour et annonce l'ouverture du pavillon des ventesUn partenariat signé : Société de développement 3R, Fonds immobilier de solidarité FTQ et Broccolini TROIS-RIVIÈRES, QC, le 11 déc. 2012 /CNW Telbec/ - C'est ce matin, en présence de M. Yves Lévesque, maire de Trois-Rivières, M. Richard Thibault, président de Société de développement 3R, M. Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ et de M. Joseph Broccolini, vice-président de Broccolini, qu'a eu lieu l'ouverture officielle du pavillon des ventes du magnifique projet de développement résidentiel L'Adresse sur le fleuve. Situé au confluent de la rivière Saint-Maurice et du fleuve Saint-Laurent à Trois-Rivières, ce nouveau milieu de vie s'implante sur l'un des plus beaux sites du Québec. « L'engouement pour le projet est très présent dans la communauté. Déjà, de futurs acheteurs nous ont fait part de leur impatience à aménager dans ce développement prestigieux, » a soutenu M. Thibault. « Nous sommes très fiers de nous associer à ce projet qui, pour cette première phase, permettra de créer ou de maintenir quelque 500 emplois d'ici quatre ans. Aussi, ce partenariat nous permet une fois de plus de consolider notre présence à Trois-Rivières. Nous sommes convaincus qu'avec sa localisation exceptionnelle, L'Adresse sur le fleuve répondra aux besoins des citoyens désireux de profiter d'un milieu de vie paisible et confortable, a soutenu M. Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ. De plus, je tiens à saluer les partenaires, les professionnels et les collaborateurs de ce projet, car ensemble nous formons une équipe dynamique faisant preuve d'une grande expertise. » « Quel privilège pour Broccolini d'être associé à L'Adresse sur le fleuve. Ce projet immobilier de grande envergure, par son architecture ainsi que sa localisation avec vue sur le fleuve, offrira aux Trifluviens un style de vie incomparable et deviendra une référence dans la ville. Broccolini est fière de contribuer à l'essor économique de Trois-Rivières et remercie ses partenaires pour la confiance témoignée, » a mentionné M. Joseph Broccolini, vice-président de Broccolini. Le pavillon des ventes présente l'aménagement du site ainsi que l'intérieur des copropriétés qui seront construites dans la première phase du projet. Cette étape comprendra la construction de 228 unités d'habitation d'architecture moderne réparties entre une tour de 16 étages et 5 immeubles de 4 étages. La superficie des unités variera de 850 pieds carrés à 2 200 pieds carrés. La tour ainsi qu'un premier immeuble de 4 étages devraient être mis en chantier au printemps 2013. En plus d'offrir une vue exceptionnelle, les unités d'habitation de L'Adresse sur le fleuve seront pourvues d'une généreuse fenestration, d'une grande terrasse, d'une excellente insonorisation, de plafonds de 9 à 11 pieds de hauteur, d'un accès sécurisé, de stationnements intérieur et extérieur et d'ascenseurs. De plus, les résidents de L'Adresse sur le fleuve bénéficieront de nombreux services, dont une salle d'entraînement, une piscine, un bain à remous, un spa intérieur, une salle de réception avec cuisine, un accès direct à la piste cyclable et aux sentiers pédestres et, éventuellement, une marina. « Le projet s'adresse tant à une clientèle de premiers acheteurs que de deuxièmes acheteurs. Ces derniers découvriront à notre pavillon des ventes une diversité de possibilités pouvant répondre à des besoins variés et s'adapter au budget de chacun, » ajoute M. Thibault. Les citoyens peuvent déjà consulter le site http://www.ladressesurlefleuve.com. Le développement de ce projet résidentiel entraînera de nombreuses retombées pour le milieu trifluvien puisque l'investissement requis pour la première phase s'élève à 85 millions de dollars alors que le projet global est de plus de 250 millions de dollars. Les entreprises Michel Pellerin Architecte, Pluritec, MédiaVox et Maskbec Construction ont participé au développement du projet.
  4. Source: Société immobilière du Canada Location: Montréal Un nouvel appel public de déclaration d’intérêt a été publié à la section des appels d’offres, au sujet de la propriété de la SIC à Longueuil, au Québec. Vous pouvez consulter l’entente de partenariat pour un développement immobilier en cliquant ici. http://www.clc.ca/sites/default/files/Appel_public_de_declaration_dinteret-Longueuil_Quebec.pdf
  5. http://www.le7528casgrain.ca/ Le 7528 Casgrain est un projet qui se veut à la fois moderne et respectueux de son environnement immédiat. Fruit d’une rénovation complète de A à Z, se cachent derrière sa façade qui rappelle les triplex anciens du quartier des espaces de vie d’une grande qualité. L’architecture arrière vient compléter la modernité des espaces intérieurs. L’immeuble compte 6 unités en copropriété indivise mesurant de 780 à 1160 pieds carrés. Les rez-de-chaussée et les unités du 3e étage se déploient sur 2 étages. Quant aux appartements du 2e étage, leur configuration originale rappelle les vieux hangars montréalais. Situé à la limite sud de Villeray, le quartier répond aux normes de développement durable les plus exigeantes. Végétation abondante, proximité des commerces, présence variée d’équipements de transport durable, et bien sûr le Marché Jean-Talon à quelques pas font de ce quartier l’un des plus courus actuellement. Le 7528 Casgrain un projet saura répondre à vos attentes.
  6. Description Axiom 19 propose un chez-soi où confort, aisance et épanouissement sont au rendez-vous. Situé à l’angle de la rue Villeray et de la 19e Avenue, le projet comblera en tous points les attentes et les désirs de leurs futurs propriétaires. Un projet enveloppé de verdure au cœur de Montréal. Projet de 24 unités enveloppé de verdure Unités de 2 chambres Spacieux balcon Aménagement paysager Finition recherchée Places de stationnement Rangement Ce tout nouveau projet signé Vivenda Développement Urbain et Prével Alliance. http://www.axiom19.com/
  7. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/techno/2016/06/17/001-montreal-ville-intelligente.shtml Montréal domine le palmarès mondial des villes intelligentes Publié le vendredi 17 juin 2016 à 11 h 51 Vue sur le centre-ville depuis le Vieux-Montréal Photo : Radio-Canada/Coralie Mensa La nouvelle est tombée au sommet annuel de l'Intelligent Community Forum (ICF) qui se tenait à Columbus, en Ohio. Chaque année, une cérémonie couronne la ville qui démontre la meilleure utilisation des technologies de l'information et des communications à des fins de prospérité économique, de résolution de problèmes sociaux et d'amélioration de la qualité de vie. Un texte de Catherine Mathys Cette reconnaissance internationale vient récompenser les efforts de la ville, qui a entrepris son virage de ville intelligente en 2011. Pour la première fois, Montréal a su se hisser parmi les 7 finalistes, et ce n'était que la deuxième fois qu'on la retenait dans la courte liste des 21 candidatures au concours de l'ICF. ICF est un organisme à but non lucratif, situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Centré essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, il détermine quelles sont les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Montréal devient ainsi la quatrième ville canadienne à remporter les honneurs, après Calgary en 2002, Waterloo en Ontario en 2007 et Toronto en 2014. D'ailleurs, le cofondateur de l'ICF confiait à Triplex, en novembre 2014, que les succès de la Ville Reine avaient tendance à fouetter les troupes montréalaises. Il semble avoir eu raison. Dans un communiqué émis par l'ICF, Zacharilla mentionne la vigueur de l'innovation montréalaise qui se manifeste dans des réalisations comme le Quartier des spectacles, où la technologie et la bande passante sont un vecteur important de développement économique et d'expression culturelle. Un long processus de sélection C'est un processus long d'une année qui vient de prendre fin. Les villes retenues pour le concours sont évaluées selon six indicateurs, et selon un septième critère qui découle de la thématique annuelle. Cette année, la thématique était « De la révolution à la renaissance ». Zacharilla a dit de Montréal qu'elle était la meilleure illustration de l'évolution que pouvait connaître une ville pour arriver à une véritable renaissance en s'appuyant sur la technologie. Tous ces critères sont évalués selon une analyse quantitative des données, des inspections physiques des lieux et le vote d'un jury international composé d'experts d'un peu partout dans le monde. Les qualités de Montréal Selon l'ICF, le virage vers la ville intelligente entrepris en 2011 est un des principaux catalyseurs des changements observés. Aujourd'hui, plus de 6250 entreprises, constituant environ 10 % de la main-d'œuvre, sont actives dans les technologies de l'information et de la communication, le secteur aérospatial, les sciences de la vie ainsi que les technologies reliées à la santé et à l'environnement. Une ville intelligente, c'est bien sûr une ville branchée qui mise sur les infrastructures de communication, mais aussi sur l'efficacité de ses systèmes et services dans le but de créer un écosystème collaboratif entre citoyens, entreprises et institutions. Le taux de pénétration d'Internet de 81 % est important, mais ce sont aussi les efforts d'étendre le wifi aux 17 kilomètres de la ville centrale, ses initiatives qui favorisent la participation citoyenne (pensons à Je fais Montréal), ainsi que les moyens déployés pour favoriser la littératie numérique qui ont retenu l'attention. Montréal produit aussi plus de diplômés universitaires que toute autre ville canadienne. Ce sont 415 000 étudiants qui ont obtenu un diplôme universitaire entre 1998 et 2008. Cette force nourrit l'économie de l'information, qui se manifeste par l'éclosion d'espaces d'apprentissage (LearningLab Network), d'accélérateurs d'innovation et d'espaces collaboratifs de travail qui favorisent à leur tour une culture de l'entreprise en démarrage. Toutes ces initiatives forment un cocktail unique qui fait de Montréal l'un des modèles à suivre en tant que ville intelligente.
  8. Je ne crois pas qu'on a un sujet sur le projet de transformation de ce tronçon de route. Le large boulevard Papineau à ce niveau changera beaucoup d'apparence dans les prochaines années. La ville de Montréal profite de la réfection du sous-sol pour transformer cette rue "en boulevard verdoyant et durable". Voici un article du Courrier d'Ahuntsic/Bordeaux-Cartierville parlant des éléments écologiques de l'intervention: http://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/actualites/939557/les-trottoirs-sur-papineau-avaleront-les-eaux-de-pluie/ Voici quelques images du projet, tirés de l'article: Avec le développement de l'ancien dépotoir, le Taz, le nouveau centre d'entraînement de soccer, l'immense parc... Il était devenu nécessaire d'intégrer cette rue à la trame urbaine, et surtout de sécuriser un endroit qui sera de plus en plus fréquenté par des familles et des enfants. En prime, ce sera pas mal plus joli.
  9. Une cure de jouvence autour du métro Frontenac Publié le 10 juin 2010 Emilie Russo L’arrondissement Ville-Marie mijote un plan de développement autour de la rue Ontario, qu’il soumettra en consultation publique cet automne. La Ville projette entre autres de développer les alentours de la station de métro Frontenac. « La force d'un secteur comme Frontenac, c'est le métro. On n'est pas du tout isolé, malgré ce qu'on pourrait croire. C'est éparse et dévitalisé, mais proche du centre-ville. Mais visuellement, on ne se sent pas attaché au centre-ville. L’objectif est de revaloriser le secteur », explique Pierre Gaufre, commissaire adjoint au développement pour l’arrondissement Ville-Marie. Sans dévoiler les détails du plan de la ville, M. Gaufre avance l’idée de créer une nouvelle place publique devant le centre commercial près de la rue Fullum. Les services de sports et loisirs seront aussi améliorés et la circulation automobile sera réduite. La Ville compte également exploiter le potentiel immobilier des terrains vacants autour de la rue Parthenais. Les orientations précises du développement envisagé par Ville-Marie ne seront dévoilées qu’à l’automne. http://www.faubourgvillemarie.ca/Actualites/Grands-dossiers/2010-06-10/article-1512602/Une-cure-de-jouvence-autour-du-metro-Frontenac/1
  10. Extrait du bulletin de Saint-Laurent: Le conseil a approuvé plusieurs projets de construction d'envergure, dont deux ensemble de développement résidentiel comprenant des commerces et des services de proximité qui favoriseront une densification urbaine dans une perspective de développement durable. Situé sur une partie du quadrilatère formé par la rue Grenet, le chemin Laval et les boulevards Marcel-Laurin et Henri-Bourassa, le premier comprendra environ 340 logements et permettra l'intensification et la diversification d'activités aux abords de la gare et de la future station de métro Bois-Franc. (...) Ces projets ne sont qu'une première étape d'une planification de quartiers plus larges autour de la gare Bois-Franc et du secteur Thimens/Lucien-Thimens. La démolition du Monsieur Muffler est entamée. Ce sera voisin du Phoenix et de la Place de la gare Bois-franc. Au coin de Marcel-Laurin et Henri-Bourassa http://www.vslcondos.com
  11. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/derniere-heure-vers-un-nouveau-mile-end-a-montreal/588201 La Cité de la mode, qui a déjà été l’épicentre de l’industrie jadis florissante du vêtement à Montréal, est devenue triste à voir. Gris, bétonné, morose, le secteur Chabanel a besoin d’une sérieuse injection d’amour. Et c’est justement ce que s’apprêtent à faire une dizaine de propriétaires d’immeubles du quartier. Unis sous le nom DCMTL Développement, le consortium va d’abord investir 20 millions de dollars sur une période de quatre à cinq ans afin de revitaliser le secteur. DCMTL Développement, pour «District Central Montréal», vise la réhabilitation de plus de 1 500 000 pieds carrés à terme. C’est l’équivalent de presque 2,5 Stades olympiques. Pour la première phase, quatre immeubles sont dans la mire du consortium. Les 9500 Meilleur, 1401 Legendre et les 55 et 350 Louvain Ouest. «Nous voulons donner un nouvel élan au quartier, traditionnellement manufacturier, explique Frédérick Lizotte, vice-président développement commercial du projet. En redéveloppement les édifices du secteur, nous voulons insuffler de l’oxygène au quartier. Qu’il y ait une vie professionnelle, communautaire et commerciale». Et outre, les restaurants, commerces et entreprises qu’il souhaite attirer, «nous voudrions que du résidentiel s’y installe après coup», espère M. Lizotte. Une offre alléchante L’idée derrière ce vaste coup de balai, c’est de recréer les conditions gagnantes qui ont mené certains secteurs à se réinventer, le Mile End ou le Mile Ex, par exemple. Du coup, le prix des loyers affichés par les propriétaires qui sont derrière DCMTL Développement est très, très bas. Non seulement le pi2 sera offert à 10$ (brut) électricité et chauffage inclus, mais chaque locataire aura droit à des améliorations locatives équivalentes à 30$ du pied carré. Les baux seront disponibles pour une période minimale de cinq ans. Et puisque l’espace ne manque pas, les PME ou start-ups pourront y croître physiquement. Dans le grand Montréal, le pied carré se loue en moyenne 18,97$ (net) le pi2 au premier trimestre de 2016, selon CBRE, une firme de service-conseil en immobilier. «Ça me semble assez alléchant cette offre-là, observe Jean Laurin, président et chef de la direction de NKF Devencore Montréal, une autre firme de service-conseil en immobilier. Je peux très bien les comprendre [les propriétaires] de prendre une position aussi agressive. Ils doivent louer leurs locaux. Il n’y a rien de plus cher qu’un local vide». Pour un nouveau Mile End Quand Marc-André Lanciault cherche des bureaux pour sa PME, Karelab, en 2012, il commence par regarder du côté du Vieux-Montréal. «Mais c’était environ 30$ du pi2 carré. Puis, j’ai un ami qui s’était installé dans la Cité de la mode qui m’a parlé du coin. Maintenant que j’y suis installé, au 55 Louvain Ouest, je loue environ 6 400 pi2 pour 10$ le pied carré. Je préfère investir dans mes employés et mon entreprise (spécialisée en programmes de récompenses pour employés) que dans un loyer. En plus, je n’ai pas besoin d’épater des clients. Je ne suis pas un bureau d’avocats du centre-ville. D’ici quelques années, croit l’entrepreneur, ce ne sera plus aussi abordable, on verra la naissance d’un nouveau Mile End». M. Lizotte ne s’en cache pas, si les prix sont si bas, c’est pour attirer les start-ups et PME créatives dans le quartier. «Ça permet à de jeunes entreprises d’obtenir des locaux à un prix très abordable. Nous recherchons des entreprises à haute valeur ajoutée, que ce soit en TI, en services financiers, etc. C’est à travers ces entreprises-là qu’un secteur se redynamise». Si l’on en croit le vice-président développement commercial du projet, l’initiative DCMTL Développement est déjà sur la bonne voie. Plusieurs ententes de location seraient à annoncer prochainement.
  12. Une idée intéressante d'Énergir annoncée il y a quelques jours. Je n'ai pas vu de fil à ce sujet. Ça semble être une bonne idée. Évidement, si on consomme notre propre gaz plutôt que d'importer celui de l'Alberta, on nous aimera encore moins et on nous accusera de ne penser qu'à nous... Mais dans les faits, ça pourrait rapporter gros au Québec tout en nous permettant de revaloriser nos déchets et de diminuer nos importations en gaz naturel. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/energie-et-ressources/201902/06/01-5213711-gaz-naturel-renouvelable-une-solution-a-20-milliards.php
  13. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1868454/montreal-se-dote-dun-droit-de-preemption-dans-neuf-secteurs/ 18/10/2018 Mise à jour : 18 octobre 2018 | 13:28 Montréal se dote d’un droit de préemption dans neuf secteurs Par Dominique Cambron-Goulet MétroLa Ville de Montréal a décidé de se doter d’un droit de préemption sur les terrains en vente dans neuf secteurs où du développement est anticipé. Nouveau pouvoir permis par la Loi sur le statut de métropole, Montréal identifiera des lots pour lesquels elle pourra égaler une offre d’achat et mettre la main en priorité sur des terrains. Les neuf secteurs où se situent ces lots sont Anjou-Langelier, Lachine-Est, Louvain Est, la partie nord de l’Île-des-Soeurs, Namur-De la Savane, Assomption Nord, Bellechasse, Havre-Bridge-Wellington et aux abords de la voie ferrée entre le Plateau et Rosemont. «C’est un outil de plus. Il existe déjà la négociation de gré à gré, l’avis de réserve foncière et l’avis d’expropriation. Mais le droit de préemption, contrairement à un avis de réserve ou d’expropriation, n’a aucun impact sur le propriétaire et ne le force à rien», a expliqué jeudi le responsable de l’urbanisme au sein du comité exécutif, Éric Alan Caldwell. La Ville avisera les propriétaires de son droit de préemption pour dix ans. Si le propriétaire du lot met son terrain en vente et qu’il accepte une offre d’achat, la Ville aura 60 jours pour égaler cette offre et ainsi acheter le terrain. La Ville souhaite acquérir des terrains dans ces secteurs pour y construire des bibliothèques, des parcs et des infrastructures sportives. «Quand on développe des quartiers, on est capable de savoir les besoins pour le secteur en équipements collectifs. Le droit de préemption permet une meilleure planification», a ajouté M. Caldwell. En gros, la Ville souhaite éviter un second Griffintown, quartier développé par les promoteurs immobiliers et dans lequel il manque plusieurs infrastructures publiques, notamment des écoles. Réagissant au fait que Griffintown, le centre-ville ou l’Est de Ville-Marie (où se situent notamment la brasserie Molson et Radio-Canada) ne sont pas dans la liste de lots identifiés, l’élu d’Hochelaga a indiqué que la Ville a «la capacité d’ajuster la liste des secteurs ou des lots à tout moment». «Cette liste sera en évolution à mesure qu’on fait notre planification», a-t-il dit. Les parcs-nature Alors que le règlement sur les neuf secteurs de développement devrait être voté au conseil municipal de novembre, un autre règlement sur des droits de préemption entrera en vigueur dès la semaine prochaine, cette fois pour les parcs-nature. Les lots privés de la douzaine des parcs-nature de l’île seront visés par cette mesure, dont ceux de l’Anse-à-l’Orme et du Bois-d’Anjou. Tandis que des promoteurs immobiliers souhaitent développer certains de ces terrains, l’administration municipale veut agrandir les parcs et en faire des aires protégées.
  14. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5997,102503571&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=25474&ret=/pls/portal/url/page/bur_du_maire_fr/rep_bur_du_maire/rep_communiques/coll_communiques Création du Bureau du centre-ville de Montréal - Vers une première stratégie centre-ville pour Montréal 27 août 2015 Montréal, le 27 août 2015 – Le responsable de la stratégie pour le centre-ville au comité exécutif, M. Richard Bergeron, est heureux d'annoncer la création du Bureau du centre-ville de Montréal. L'objectif de ce Bureau est de préparer une stratégie pour le centre-ville en élaborant une vision d'avenir qui contribuera à optimiser son potentiel de développement, en plus de proposer des mesures concrètes et ciblées qui guideront sa croissance. « Le Bureau du centre-ville vise avant tout à créer un centre-ville encore plus attrayant, animé et dynamique. Issue de la volonté du maire de mettre en valeur les formidables attraits de notre centre-ville, cette stratégie, dotée d'objectifs mesurables, tracera la voie vers un futur résolument urbain où il fera bon vivre, travailler, étudier et se divertir », a déclaré M. Bergeron. Lors de la séance du mercredi 26 août, le comité exécutif a autorisé le lancement d'appels d'offres pour la fourniture de services professionnels afin de dresser un portrait des conditions actuelles et identifier les opportunités qu'offre le territoire du centre-ville. Dans un second temps, s'appuyant sur ces études et ces analyses, les professionnels de la Ville et de l'arrondissement Ville-Marie élaboreront la stratégie à déployer pour le centre-ville. Les études en question porteront sur : le milieu de vie (aménagement et patrimoine, habitation, services, sécurité); l'accessibilité et la mobilité au centre-ville (transports et circulation); la vitalité économique du centre-ville (économie urbaine). Depuis 15 ans, les quartiers centraux ont fait l'objet de plusieurs initiatives de planification particulière. L'arrondissement de Ville-Marie compte, à lui seul, plusieurs projets d'envergure issus de démarches de planification. La stratégie du centre-ville s'appuiera sur ces plans et les intégrera en une seule et même vision cohérente du centre-ville. Elle ciblera des initiatives structurantes en lien avec les divers champs de compétence de l'administration municipale. La stratégie établira les bases du Plan directeur de l'aménagement et du développement du centre-ville dont l'élaboration est un des objectifs du Schéma d'aménagement et de développement de l'agglomération de Montréal adopté en 2015. « Avec des initiatives concrètes, des outils de planification et une vision concertée du développement du centre-ville, nous améliorerons son développement, aurons un impact positif sur la qualité de vie des Montréalais et renforcerons l'attractivité économique et touristique de ce secteur névralgique », a conclu M. Bergeron. sent via Tapatalk
  15. Dernière heure. L’équipementier en télécommunications Ericsson construira un centre de recherche et développement «mondial» de 40 000 mètres carrés à Vaudreuil-Dorion. L’entreprise n’a pas chiffré la valeur de l’investissement. Les installations abriteront la totalité du portefeuille de produits de l’entreprise, ce qui leur permettra de « développer et de vérifier des solutions ainsi que de jeter les bases de la prochaine génération de services technologiques et infonuagiques », précise Ericsson dans un communiqué. Ce nouveau centre doit amorcer ses activités en 2015. Le projet bénéficiera d'une subvention de 10M$ du gouvernement du Québec. Il s'agit d'un troisième centre de recherche et développement au Canada pour Ericsson, après ceux de Montréal et d'Ottawa. Le projet consolide 200 emplois dans la région montréalaise et permettra d'en créer 60 autres, surtout en ingénierie. Plus de détails à venir. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/ericsson-construira-un-centre-de-r-d-a-vaudreuil-dorion/558274#.Uay2gtga44d
  16. Très bonne nouvelle pour le secteur des sciences de la vie de la capitale!! En gros: Superficie de 44 000 m2 Création de 200 emplois très bien rémunérés Retombées économiques de 461 M$ d’ici cinq ans Production de 40 à 50 millions de doses de vaccin contre la grippe par année.
  17. Stéphane Champagne Collaboration spéciale La Presse Laval s'offre un centre-ville. L'administration municipale et le secteur privé multiplient les initiatives afin de*doter la troisième ville en importance du Québec d'un endroit digne de ce nom. Au cours des prochaines années, les investissements à cet égard y dépasseront le*milliard. Le quadrilatère, en forme de « L », qui accueillera ce qu'il sera convenu d'appeler « le centre-ville de Laval »*va du Carrefour Laval jusqu'au collège Montmorency, c'est-à-dire de part et d'autre de l'autoroute 15, à la jonction des*quartiers Chomedey et Pont-Viau. « Ce sera un prolongement du centre-ville de Montréal. On a d'ailleurs d'importants joueurs, déjà présents à*Montréal, qui ont choisi de venir s'établir dans notre*nouveau centre-ville », explique Marc Tremblay, directeur adjoint au Service du développement économique de Laval. Le nouveau territoire compte déjà notamment le Cosmodôme, le complexe récréo-touristico-commercial Centropolis, de même que la station de métro Montmorency et bientôt la Place Bell, un amphithéâtre de 200 millions dont l'ouverture est prévue ce printemps. S'y grefferont un nouveau complexe aquatique de 60*millions, un nouveau complexe immobilier à usage mixte de 420 millions, le nouveau BioCentre Armand-Frappier, de même que quelques projets résidentiels, dont*le plus important est Urbania, un îlot de copropriétés situé en face du métro Montmorency. DES TRANSPORTS EN COMMUN La station Montmorency joue d'ailleurs un rôle de*premier plan dans la volonté de Laval de créer un*centre-ville tout en mettant en place des pôles de*TOD (Transport Oriented Developement), un terme en aménagement urbain où les transports en commun et*le*covoiturage sont au coeur de la vie de quartier. Les deux sections du nouveau centre-ville lavallois devraient être reliées, d'ici 2020, par un système d'autobus électriques en boucle qui empruntera les viaducs surplombant l'autoroute 15. Ce réseau de transports collectifs, qui est actuellement en étude de préfaisabilité, devrait être gratuit, espère Marc Tremblay. « Par son design et son effet "wow", on veut que ce circuit électrique devienne un attrait », dit-il. Ensemble, les trois stations de métro de l'île Jésus (Cartier, Concorde et Montmorency) généreront près de*2*milliards d'investissements d'ici cinq ans, ajoute M.*Tremblay. Préférant de ne pas parler d'une renaissance après le long règne du controversé maire Gilles Vaillancourt, le directeur adjoint affirme plutôt que Laval est désormais une ville beaucoup mieux organisée. « La ville est complètement transformée. On s'est dotés de tous les processus de gestion qu'une ville doit avoir*:*bureau des grands projets, politique d'équité et de bonne gouvernance, etc. On est train de devenir une*sorte de "sociétés les mieux gérées". » -*Marc Tremblay, directeur adjoint au Service du développement économique de Laval UNE ÉCONOMIE BIEN DIVERSIFIÉE Outre le développement de ses infrastructures, Laval tire son épingle du jeu à plusieurs égards, croit Jean Philippe Brassard, directeur régional du bureau d'affaires Grand Montréal à Développement économique Canada (DEC). « Même si le secteur tertiaire représente 81*% de son PIB, Laval est la deuxième économie la plus diversifiée au*Québec, explique M. Brassard. Et en 10 ans, elle a connu une croissance démographique de 14,7*%. » Les pôles industriels, des biotechnologies, des technologies, de l'agriculture et du tourisme, lesquels représentent plus de 1200 entreprises dans 14*parcs industriels, sont d'importants moteurs économiques sur le territoire de Laval. Pendant que le secteur pharmaceutique et des sciences de*la vie se transforme et va mieux après des jours difficiles, le secteur touristique, lui, est toutefois sur une*lancée. « En 2015, on a atteint 201 millions*de recettes touristiques (soit le double d'il y a 10 ans) et on a attiré plus de 1,1 million de touristes », explique Geneviève Roy, directrice générale de Tourisme Laval.* « Selon nos projections, nos recettes pourraient atteindre*316 millions d'ici 2035. Mais on veut provoquer une croissance accélérée pour atteindre des recettes de*402*millions et 2,2 millions de visiteurs. Le*développement du centre-ville va nous aider. » http://affaires.lapresse.ca/portfolio/developpement-economique-regional/portrait-2017-laval/201703/30/01-5083759-plus-de-1-milliard-pour-creer-un-centre-ville-a-laval.php
  18. Des télécabines dans le ciel du Vieux-Port? Lcn.Canoe.ca La famille Jorgensen veut investir 100 millions de dollars pour la construction d'une télécabine qui relierait, dans un premier temps, le quai Jacques-Cartier au parc Jean-Drapeau, près du casino. Or, la Société du Vieux-Port de Montréal refuse de céder une parcelle de terrain pour la construction d'un terminal, puisqu’elle estime que le projet ne s’inscrit pas dans le cadre du développement patrimonial du secteur. Les promoteurs menacent de réaliser leur projet ailleurs aux États-Unis ou à Dubaï si aucune entente n’est conclue. Barcelone, Lisbonne et Singapour possèdent notamment un système de télécabines. http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20081202_al.wmv
  19. 20 juin 2007 La Presse Montréal se lance dans le marché du carbone. La Ville a vendu mardi à Gaz Métro le droit d'émettre 2000 tonnes de gaz à effet de serre (GES). Elle espère encourager la mise sur pied d'une Bourse du carbone et inciter les entreprises à échanger des droits de polluer. Des rénovations effectuées l'an dernier à la Station d'épuration des eaux usées ont fait chuter les émissions de CO2 de la métropole d'un million de mètres cubes, soit 2000 tonnes par année. La Ville a donc vendu ces « droits de pollution » à Gaz Métro. C'est précisément ce type de transaction qui aura cours dans une éventuelle Bourse du carbone. Des compagnies pourront acheter ou vendre des crédits de GES. Mais pour cela, il faut d'abord obtenir le feu vert d'Ottawa. Le ministre fédéral de l'Environnement, John Baird, a toujours été hostile à la Bourse du carbone. Son plan vert, dévoilé en avril, prévoit une réduction de 20% des émissions de GES d'ici à 2020, par rapport à 2006. Pour le moment, il n'impose aucune cible précise aux entreprises. Sans plafonds, l'industrie ne prend part au marché du carbone que sur une base volontaire. «On ne va pas attendre que les gouvernements soient prêts à y aller. Si on veut profiter de ce nouveau marché, on doit assumer le leadership maintenant», indique le conseiller responsable du développement durable, Alan DeSousa. Nombre d'entreprises ne savent plus sur quel pied danser, indique le vice-président développement durable chez Gaz Métro, Jean Simard. Elles savent qu'elles devront répondre à de nouvelles exigences gouvernementales, mais ignorent leur teneur. «Ce qu'on ne veut pas, c'est de l'incertitude réglementaire et législative. Au moment où l'on se parle, on nage dans l'incertitude depuis quatre ou cinq ans.» La vente rapportera 14 000$ à la Ville, soit environ 7$ la tonne de CO2. C'est à peu près le même cours qu'au Chicago Climate Exchange, le seul marché du genre en Amérique du Nord. Si le gouvernement adopte des cibles plus contraignantes, la valeur des titres devrait augmenter, indique le vice-président de la Bourse de Montréal, Léon Bitton. «Aujourd'hui dans un marché volontaire, la demande est volontaire, dit-il. Dans un marché réglementé, la demande sera obligatoire. Si les cibles sont contraignantes, on devrait créer plus de demande. Et en créant plus de demande, ça devrait avoir un impact sur le prix.»
  20. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  21. http://journalmetro.com/culture/955808/clap-de-fin-a-lexcentris/ Cinq mois après la fermeture temporaire de l’Excentris, le groupe français MK2, qui souhaitait reprendre le cinéma du boulevard Saint-Laurent et l’agrandir, s’est finalement retiré du projet. Cela a forcé l’organisme à but non lucratif Cinéma Parallèle, propriétaire de l’Excentris, à se placer officiellement sous la loi sur les arrangements avec les créanciers le 5 mai prochain. La Société de développement des entreprises culturelles, actionnaire principal de l’Excentris, devrait reprendre l’immeuble pour le revendre. Quant à l’exploitant de salles français MK2, qui envisageait d’étendre son réseau, il flirte plutôt avec l’idée de construire un complexe au centre-ville de Montréale sent via Tapatalk
  22. Voici une initiative de Google, qui montre la terre en timelapse entre 1984-2012... le développement dans le grand Montréal est incroyable (Laval!!, Ville Saint-Laurent, etc etc) À voir: https://earthengine.google.com/timelapse/
  23. La ville devient immobilier promoteur immobilier Pour la première fois de son histoire, la Ville de Montréal se lance dans un mégaprojet de développement domiciliaire évalué à 300 M$, dans l'est de la ville. L'administration Tremblay a confié à la paramunicipale SHDM le mandat de construire environ 1800 maisons, condos et appartements sur un vaste terrain, le site Contrecoeur, qui appartient à la Ville. Le projet doit être réalisé sur une période d'au moins cinq ans et le constructeur principal retenu à la suite d'un appel d'offres est la firme F. Catania. Le site est impressionnant avec ses 380 000 mètres carrés. Il est délimité au sud par la rue Sherbrooke, à l'ouest par la rue Pierre-Bernard, au nord par Anjou et à l'est par la carrière Lafarge, à Montréal-Est. Logements sociaux Les clientèles visées sont les familles, les revenus moyens, les retraités. Une place importante sera faite aux logements sociaux et, à ce chapitre, il a déjà été déterminé par l'administration de Montréal que plus de la moitié des logements seront de type «abordable» (39 %) et à caractère «social» (21 %). Une zone de maisons unifamiliales sera réservée au nord. Elle sera voisine de l'arrondissement d'Anjou. Cet important développement qui amènera près de 5000 personnes dans le quartier Maisonneuve est évalué à 300 M$. «Nous sommes excités, commente la mairesse de l'arrondissement, Lyne Thériault, mais le projet soulève quelques questions auxquelles l'hôtel de ville devra apporter des réponses.» Elle mentionne entre autres «les dépenses accrues auxquelles devra faire face l'arrondissement pour fournir les services publics à cette nouvelle population». Des parcs L'entreprise est colossale. La SHDM doit prévoir plusieurs zones de développement avec ses rues, ses parcs, ses infrastructures et ses unités d'habitation. À l'extrémité est, les nouveaux quartiers seront voisins de la carrière Lafarge. «Je n'ai pas d'inquiétude quant à cette proximité. Le projet prévoit une large bande verte avec des arbres pour atténuer le bruit et la poussière et autres nuisances liées à l'exploitation de la carrière», soutient la mairesse. Une zone de commerces est aussi aménagée le long de la carrière, dans la partie sud du nouveau quartier. Le projet domiciliaire rapportera 5 M$ et plus de taxes municipales annuellement dans les coffres de la Ville.
  24. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
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