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  1. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  2. Source: Société immobilière du Canada Location: Montréal Un nouvel appel public de déclaration d’intérêt a été publié à la section des appels d’offres, au sujet de la propriété de la SIC à Longueuil, au Québec. Vous pouvez consulter l’entente de partenariat pour un développement immobilier en cliquant ici. http://www.clc.ca/sites/default/files/Appel_public_de_declaration_dinteret-Longueuil_Quebec.pdf
  3. http://www.le7528casgrain.ca/ Le 7528 Casgrain est un projet qui se veut à la fois moderne et respectueux de son environnement immédiat. Fruit d’une rénovation complète de A à Z, se cachent derrière sa façade qui rappelle les triplex anciens du quartier des espaces de vie d’une grande qualité. L’architecture arrière vient compléter la modernité des espaces intérieurs. L’immeuble compte 6 unités en copropriété indivise mesurant de 780 à 1160 pieds carrés. Les rez-de-chaussée et les unités du 3e étage se déploient sur 2 étages. Quant aux appartements du 2e étage, leur configuration originale rappelle les vieux hangars montréalais. Situé à la limite sud de Villeray, le quartier répond aux normes de développement durable les plus exigeantes. Végétation abondante, proximité des commerces, présence variée d’équipements de transport durable, et bien sûr le Marché Jean-Talon à quelques pas font de ce quartier l’un des plus courus actuellement. Le 7528 Casgrain un projet saura répondre à vos attentes.
  4. Description Axiom 19 propose un chez-soi où confort, aisance et épanouissement sont au rendez-vous. Situé à l’angle de la rue Villeray et de la 19e Avenue, le projet comblera en tous points les attentes et les désirs de leurs futurs propriétaires. Un projet enveloppé de verdure au cœur de Montréal. Projet de 24 unités enveloppé de verdure Unités de 2 chambres Spacieux balcon Aménagement paysager Finition recherchée Places de stationnement Rangement Ce tout nouveau projet signé Vivenda Développement Urbain et Prével Alliance. http://www.axiom19.com/
  5. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/techno/2016/06/17/001-montreal-ville-intelligente.shtml Montréal domine le palmarès mondial des villes intelligentes Publié le vendredi 17 juin 2016 à 11 h 51 Vue sur le centre-ville depuis le Vieux-Montréal Photo : Radio-Canada/Coralie Mensa La nouvelle est tombée au sommet annuel de l'Intelligent Community Forum (ICF) qui se tenait à Columbus, en Ohio. Chaque année, une cérémonie couronne la ville qui démontre la meilleure utilisation des technologies de l'information et des communications à des fins de prospérité économique, de résolution de problèmes sociaux et d'amélioration de la qualité de vie. Un texte de Catherine Mathys Cette reconnaissance internationale vient récompenser les efforts de la ville, qui a entrepris son virage de ville intelligente en 2011. Pour la première fois, Montréal a su se hisser parmi les 7 finalistes, et ce n'était que la deuxième fois qu'on la retenait dans la courte liste des 21 candidatures au concours de l'ICF. ICF est un organisme à but non lucratif, situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Centré essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, il détermine quelles sont les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Montréal devient ainsi la quatrième ville canadienne à remporter les honneurs, après Calgary en 2002, Waterloo en Ontario en 2007 et Toronto en 2014. D'ailleurs, le cofondateur de l'ICF confiait à Triplex, en novembre 2014, que les succès de la Ville Reine avaient tendance à fouetter les troupes montréalaises. Il semble avoir eu raison. Dans un communiqué émis par l'ICF, Zacharilla mentionne la vigueur de l'innovation montréalaise qui se manifeste dans des réalisations comme le Quartier des spectacles, où la technologie et la bande passante sont un vecteur important de développement économique et d'expression culturelle. Un long processus de sélection C'est un processus long d'une année qui vient de prendre fin. Les villes retenues pour le concours sont évaluées selon six indicateurs, et selon un septième critère qui découle de la thématique annuelle. Cette année, la thématique était « De la révolution à la renaissance ». Zacharilla a dit de Montréal qu'elle était la meilleure illustration de l'évolution que pouvait connaître une ville pour arriver à une véritable renaissance en s'appuyant sur la technologie. Tous ces critères sont évalués selon une analyse quantitative des données, des inspections physiques des lieux et le vote d'un jury international composé d'experts d'un peu partout dans le monde. Les qualités de Montréal Selon l'ICF, le virage vers la ville intelligente entrepris en 2011 est un des principaux catalyseurs des changements observés. Aujourd'hui, plus de 6250 entreprises, constituant environ 10 % de la main-d'œuvre, sont actives dans les technologies de l'information et de la communication, le secteur aérospatial, les sciences de la vie ainsi que les technologies reliées à la santé et à l'environnement. Une ville intelligente, c'est bien sûr une ville branchée qui mise sur les infrastructures de communication, mais aussi sur l'efficacité de ses systèmes et services dans le but de créer un écosystème collaboratif entre citoyens, entreprises et institutions. Le taux de pénétration d'Internet de 81 % est important, mais ce sont aussi les efforts d'étendre le wifi aux 17 kilomètres de la ville centrale, ses initiatives qui favorisent la participation citoyenne (pensons à Je fais Montréal), ainsi que les moyens déployés pour favoriser la littératie numérique qui ont retenu l'attention. Montréal produit aussi plus de diplômés universitaires que toute autre ville canadienne. Ce sont 415 000 étudiants qui ont obtenu un diplôme universitaire entre 1998 et 2008. Cette force nourrit l'économie de l'information, qui se manifeste par l'éclosion d'espaces d'apprentissage (LearningLab Network), d'accélérateurs d'innovation et d'espaces collaboratifs de travail qui favorisent à leur tour une culture de l'entreprise en démarrage. Toutes ces initiatives forment un cocktail unique qui fait de Montréal l'un des modèles à suivre en tant que ville intelligente.
  6. Je ne crois pas qu'on a un sujet sur le projet de transformation de ce tronçon de route. Le large boulevard Papineau à ce niveau changera beaucoup d'apparence dans les prochaines années. La ville de Montréal profite de la réfection du sous-sol pour transformer cette rue "en boulevard verdoyant et durable". Voici un article du Courrier d'Ahuntsic/Bordeaux-Cartierville parlant des éléments écologiques de l'intervention: http://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/actualites/939557/les-trottoirs-sur-papineau-avaleront-les-eaux-de-pluie/ Voici quelques images du projet, tirés de l'article: Avec le développement de l'ancien dépotoir, le Taz, le nouveau centre d'entraînement de soccer, l'immense parc... Il était devenu nécessaire d'intégrer cette rue à la trame urbaine, et surtout de sécuriser un endroit qui sera de plus en plus fréquenté par des familles et des enfants. En prime, ce sera pas mal plus joli.
  7. Une cure de jouvence autour du métro Frontenac Publié le 10 juin 2010 Emilie Russo L’arrondissement Ville-Marie mijote un plan de développement autour de la rue Ontario, qu’il soumettra en consultation publique cet automne. La Ville projette entre autres de développer les alentours de la station de métro Frontenac. « La force d'un secteur comme Frontenac, c'est le métro. On n'est pas du tout isolé, malgré ce qu'on pourrait croire. C'est éparse et dévitalisé, mais proche du centre-ville. Mais visuellement, on ne se sent pas attaché au centre-ville. L’objectif est de revaloriser le secteur », explique Pierre Gaufre, commissaire adjoint au développement pour l’arrondissement Ville-Marie. Sans dévoiler les détails du plan de la ville, M. Gaufre avance l’idée de créer une nouvelle place publique devant le centre commercial près de la rue Fullum. Les services de sports et loisirs seront aussi améliorés et la circulation automobile sera réduite. La Ville compte également exploiter le potentiel immobilier des terrains vacants autour de la rue Parthenais. Les orientations précises du développement envisagé par Ville-Marie ne seront dévoilées qu’à l’automne. http://www.faubourgvillemarie.ca/Actualites/Grands-dossiers/2010-06-10/article-1512602/Une-cure-de-jouvence-autour-du-metro-Frontenac/1
  8. Extrait du bulletin de Saint-Laurent: Le conseil a approuvé plusieurs projets de construction d'envergure, dont deux ensemble de développement résidentiel comprenant des commerces et des services de proximité qui favoriseront une densification urbaine dans une perspective de développement durable. Situé sur une partie du quadrilatère formé par la rue Grenet, le chemin Laval et les boulevards Marcel-Laurin et Henri-Bourassa, le premier comprendra environ 340 logements et permettra l'intensification et la diversification d'activités aux abords de la gare et de la future station de métro Bois-Franc. (...) Ces projets ne sont qu'une première étape d'une planification de quartiers plus larges autour de la gare Bois-Franc et du secteur Thimens/Lucien-Thimens. La démolition du Monsieur Muffler est entamée. Ce sera voisin du Phoenix et de la Place de la gare Bois-franc. Au coin de Marcel-Laurin et Henri-Bourassa http://www.vslcondos.com
  9. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/derniere-heure-vers-un-nouveau-mile-end-a-montreal/588201 La Cité de la mode, qui a déjà été l’épicentre de l’industrie jadis florissante du vêtement à Montréal, est devenue triste à voir. Gris, bétonné, morose, le secteur Chabanel a besoin d’une sérieuse injection d’amour. Et c’est justement ce que s’apprêtent à faire une dizaine de propriétaires d’immeubles du quartier. Unis sous le nom DCMTL Développement, le consortium va d’abord investir 20 millions de dollars sur une période de quatre à cinq ans afin de revitaliser le secteur. DCMTL Développement, pour «District Central Montréal», vise la réhabilitation de plus de 1 500 000 pieds carrés à terme. C’est l’équivalent de presque 2,5 Stades olympiques. Pour la première phase, quatre immeubles sont dans la mire du consortium. Les 9500 Meilleur, 1401 Legendre et les 55 et 350 Louvain Ouest. «Nous voulons donner un nouvel élan au quartier, traditionnellement manufacturier, explique Frédérick Lizotte, vice-président développement commercial du projet. En redéveloppement les édifices du secteur, nous voulons insuffler de l’oxygène au quartier. Qu’il y ait une vie professionnelle, communautaire et commerciale». Et outre, les restaurants, commerces et entreprises qu’il souhaite attirer, «nous voudrions que du résidentiel s’y installe après coup», espère M. Lizotte. Une offre alléchante L’idée derrière ce vaste coup de balai, c’est de recréer les conditions gagnantes qui ont mené certains secteurs à se réinventer, le Mile End ou le Mile Ex, par exemple. Du coup, le prix des loyers affichés par les propriétaires qui sont derrière DCMTL Développement est très, très bas. Non seulement le pi2 sera offert à 10$ (brut) électricité et chauffage inclus, mais chaque locataire aura droit à des améliorations locatives équivalentes à 30$ du pied carré. Les baux seront disponibles pour une période minimale de cinq ans. Et puisque l’espace ne manque pas, les PME ou start-ups pourront y croître physiquement. Dans le grand Montréal, le pied carré se loue en moyenne 18,97$ (net) le pi2 au premier trimestre de 2016, selon CBRE, une firme de service-conseil en immobilier. «Ça me semble assez alléchant cette offre-là, observe Jean Laurin, président et chef de la direction de NKF Devencore Montréal, une autre firme de service-conseil en immobilier. Je peux très bien les comprendre [les propriétaires] de prendre une position aussi agressive. Ils doivent louer leurs locaux. Il n’y a rien de plus cher qu’un local vide». Pour un nouveau Mile End Quand Marc-André Lanciault cherche des bureaux pour sa PME, Karelab, en 2012, il commence par regarder du côté du Vieux-Montréal. «Mais c’était environ 30$ du pi2 carré. Puis, j’ai un ami qui s’était installé dans la Cité de la mode qui m’a parlé du coin. Maintenant que j’y suis installé, au 55 Louvain Ouest, je loue environ 6 400 pi2 pour 10$ le pied carré. Je préfère investir dans mes employés et mon entreprise (spécialisée en programmes de récompenses pour employés) que dans un loyer. En plus, je n’ai pas besoin d’épater des clients. Je ne suis pas un bureau d’avocats du centre-ville. D’ici quelques années, croit l’entrepreneur, ce ne sera plus aussi abordable, on verra la naissance d’un nouveau Mile End». M. Lizotte ne s’en cache pas, si les prix sont si bas, c’est pour attirer les start-ups et PME créatives dans le quartier. «Ça permet à de jeunes entreprises d’obtenir des locaux à un prix très abordable. Nous recherchons des entreprises à haute valeur ajoutée, que ce soit en TI, en services financiers, etc. C’est à travers ces entreprises-là qu’un secteur se redynamise». Si l’on en croit le vice-président développement commercial du projet, l’initiative DCMTL Développement est déjà sur la bonne voie. Plusieurs ententes de location seraient à annoncer prochainement.
  10. Une idée intéressante d'Énergir annoncée il y a quelques jours. Je n'ai pas vu de fil à ce sujet. Ça semble être une bonne idée. Évidement, si on consomme notre propre gaz plutôt que d'importer celui de l'Alberta, on nous aimera encore moins et on nous accusera de ne penser qu'à nous... Mais dans les faits, ça pourrait rapporter gros au Québec tout en nous permettant de revaloriser nos déchets et de diminuer nos importations en gaz naturel. https://www.lapresse.ca/affaires/economie/energie-et-ressources/201902/06/01-5213711-gaz-naturel-renouvelable-une-solution-a-20-milliards.php
  11. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1868454/montreal-se-dote-dun-droit-de-preemption-dans-neuf-secteurs/ 18/10/2018 Mise à jour : 18 octobre 2018 | 13:28 Montréal se dote d’un droit de préemption dans neuf secteurs Par Dominique Cambron-Goulet MétroLa Ville de Montréal a décidé de se doter d’un droit de préemption sur les terrains en vente dans neuf secteurs où du développement est anticipé. Nouveau pouvoir permis par la Loi sur le statut de métropole, Montréal identifiera des lots pour lesquels elle pourra égaler une offre d’achat et mettre la main en priorité sur des terrains. Les neuf secteurs où se situent ces lots sont Anjou-Langelier, Lachine-Est, Louvain Est, la partie nord de l’Île-des-Soeurs, Namur-De la Savane, Assomption Nord, Bellechasse, Havre-Bridge-Wellington et aux abords de la voie ferrée entre le Plateau et Rosemont. «C’est un outil de plus. Il existe déjà la négociation de gré à gré, l’avis de réserve foncière et l’avis d’expropriation. Mais le droit de préemption, contrairement à un avis de réserve ou d’expropriation, n’a aucun impact sur le propriétaire et ne le force à rien», a expliqué jeudi le responsable de l’urbanisme au sein du comité exécutif, Éric Alan Caldwell. La Ville avisera les propriétaires de son droit de préemption pour dix ans. Si le propriétaire du lot met son terrain en vente et qu’il accepte une offre d’achat, la Ville aura 60 jours pour égaler cette offre et ainsi acheter le terrain. La Ville souhaite acquérir des terrains dans ces secteurs pour y construire des bibliothèques, des parcs et des infrastructures sportives. «Quand on développe des quartiers, on est capable de savoir les besoins pour le secteur en équipements collectifs. Le droit de préemption permet une meilleure planification», a ajouté M. Caldwell. En gros, la Ville souhaite éviter un second Griffintown, quartier développé par les promoteurs immobiliers et dans lequel il manque plusieurs infrastructures publiques, notamment des écoles. Réagissant au fait que Griffintown, le centre-ville ou l’Est de Ville-Marie (où se situent notamment la brasserie Molson et Radio-Canada) ne sont pas dans la liste de lots identifiés, l’élu d’Hochelaga a indiqué que la Ville a «la capacité d’ajuster la liste des secteurs ou des lots à tout moment». «Cette liste sera en évolution à mesure qu’on fait notre planification», a-t-il dit. Les parcs-nature Alors que le règlement sur les neuf secteurs de développement devrait être voté au conseil municipal de novembre, un autre règlement sur des droits de préemption entrera en vigueur dès la semaine prochaine, cette fois pour les parcs-nature. Les lots privés de la douzaine des parcs-nature de l’île seront visés par cette mesure, dont ceux de l’Anse-à-l’Orme et du Bois-d’Anjou. Tandis que des promoteurs immobiliers souhaitent développer certains de ces terrains, l’administration municipale veut agrandir les parcs et en faire des aires protégées.
  12. Dernière heure. L’équipementier en télécommunications Ericsson construira un centre de recherche et développement «mondial» de 40 000 mètres carrés à Vaudreuil-Dorion. L’entreprise n’a pas chiffré la valeur de l’investissement. Les installations abriteront la totalité du portefeuille de produits de l’entreprise, ce qui leur permettra de « développer et de vérifier des solutions ainsi que de jeter les bases de la prochaine génération de services technologiques et infonuagiques », précise Ericsson dans un communiqué. Ce nouveau centre doit amorcer ses activités en 2015. Le projet bénéficiera d'une subvention de 10M$ du gouvernement du Québec. Il s'agit d'un troisième centre de recherche et développement au Canada pour Ericsson, après ceux de Montréal et d'Ottawa. Le projet consolide 200 emplois dans la région montréalaise et permettra d'en créer 60 autres, surtout en ingénierie. Plus de détails à venir. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/ericsson-construira-un-centre-de-r-d-a-vaudreuil-dorion/558274#.Uay2gtga44d
  13. Des télécabines dans le ciel du Vieux-Port? Lcn.Canoe.ca La famille Jorgensen veut investir 100 millions de dollars pour la construction d'une télécabine qui relierait, dans un premier temps, le quai Jacques-Cartier au parc Jean-Drapeau, près du casino. Or, la Société du Vieux-Port de Montréal refuse de céder une parcelle de terrain pour la construction d'un terminal, puisqu’elle estime que le projet ne s’inscrit pas dans le cadre du développement patrimonial du secteur. Les promoteurs menacent de réaliser leur projet ailleurs aux États-Unis ou à Dubaï si aucune entente n’est conclue. Barcelone, Lisbonne et Singapour possèdent notamment un système de télécabines. http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20081202_al.wmv
  14. 20 juin 2007 La Presse Montréal se lance dans le marché du carbone. La Ville a vendu mardi à Gaz Métro le droit d'émettre 2000 tonnes de gaz à effet de serre (GES). Elle espère encourager la mise sur pied d'une Bourse du carbone et inciter les entreprises à échanger des droits de polluer. Des rénovations effectuées l'an dernier à la Station d'épuration des eaux usées ont fait chuter les émissions de CO2 de la métropole d'un million de mètres cubes, soit 2000 tonnes par année. La Ville a donc vendu ces « droits de pollution » à Gaz Métro. C'est précisément ce type de transaction qui aura cours dans une éventuelle Bourse du carbone. Des compagnies pourront acheter ou vendre des crédits de GES. Mais pour cela, il faut d'abord obtenir le feu vert d'Ottawa. Le ministre fédéral de l'Environnement, John Baird, a toujours été hostile à la Bourse du carbone. Son plan vert, dévoilé en avril, prévoit une réduction de 20% des émissions de GES d'ici à 2020, par rapport à 2006. Pour le moment, il n'impose aucune cible précise aux entreprises. Sans plafonds, l'industrie ne prend part au marché du carbone que sur une base volontaire. «On ne va pas attendre que les gouvernements soient prêts à y aller. Si on veut profiter de ce nouveau marché, on doit assumer le leadership maintenant», indique le conseiller responsable du développement durable, Alan DeSousa. Nombre d'entreprises ne savent plus sur quel pied danser, indique le vice-président développement durable chez Gaz Métro, Jean Simard. Elles savent qu'elles devront répondre à de nouvelles exigences gouvernementales, mais ignorent leur teneur. «Ce qu'on ne veut pas, c'est de l'incertitude réglementaire et législative. Au moment où l'on se parle, on nage dans l'incertitude depuis quatre ou cinq ans.» La vente rapportera 14 000$ à la Ville, soit environ 7$ la tonne de CO2. C'est à peu près le même cours qu'au Chicago Climate Exchange, le seul marché du genre en Amérique du Nord. Si le gouvernement adopte des cibles plus contraignantes, la valeur des titres devrait augmenter, indique le vice-président de la Bourse de Montréal, Léon Bitton. «Aujourd'hui dans un marché volontaire, la demande est volontaire, dit-il. Dans un marché réglementé, la demande sera obligatoire. Si les cibles sont contraignantes, on devrait créer plus de demande. Et en créant plus de demande, ça devrait avoir un impact sur le prix.»
  15. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  16. http://journalmetro.com/culture/955808/clap-de-fin-a-lexcentris/ Cinq mois après la fermeture temporaire de l’Excentris, le groupe français MK2, qui souhaitait reprendre le cinéma du boulevard Saint-Laurent et l’agrandir, s’est finalement retiré du projet. Cela a forcé l’organisme à but non lucratif Cinéma Parallèle, propriétaire de l’Excentris, à se placer officiellement sous la loi sur les arrangements avec les créanciers le 5 mai prochain. La Société de développement des entreprises culturelles, actionnaire principal de l’Excentris, devrait reprendre l’immeuble pour le revendre. Quant à l’exploitant de salles français MK2, qui envisageait d’étendre son réseau, il flirte plutôt avec l’idée de construire un complexe au centre-ville de Montréale sent via Tapatalk
  17. Voici une initiative de Google, qui montre la terre en timelapse entre 1984-2012... le développement dans le grand Montréal est incroyable (Laval!!, Ville Saint-Laurent, etc etc) À voir: https://earthengine.google.com/timelapse/
  18. La ville devient immobilier promoteur immobilier Pour la première fois de son histoire, la Ville de Montréal se lance dans un mégaprojet de développement domiciliaire évalué à 300 M$, dans l'est de la ville. L'administration Tremblay a confié à la paramunicipale SHDM le mandat de construire environ 1800 maisons, condos et appartements sur un vaste terrain, le site Contrecoeur, qui appartient à la Ville. Le projet doit être réalisé sur une période d'au moins cinq ans et le constructeur principal retenu à la suite d'un appel d'offres est la firme F. Catania. Le site est impressionnant avec ses 380 000 mètres carrés. Il est délimité au sud par la rue Sherbrooke, à l'ouest par la rue Pierre-Bernard, au nord par Anjou et à l'est par la carrière Lafarge, à Montréal-Est. Logements sociaux Les clientèles visées sont les familles, les revenus moyens, les retraités. Une place importante sera faite aux logements sociaux et, à ce chapitre, il a déjà été déterminé par l'administration de Montréal que plus de la moitié des logements seront de type «abordable» (39 %) et à caractère «social» (21 %). Une zone de maisons unifamiliales sera réservée au nord. Elle sera voisine de l'arrondissement d'Anjou. Cet important développement qui amènera près de 5000 personnes dans le quartier Maisonneuve est évalué à 300 M$. «Nous sommes excités, commente la mairesse de l'arrondissement, Lyne Thériault, mais le projet soulève quelques questions auxquelles l'hôtel de ville devra apporter des réponses.» Elle mentionne entre autres «les dépenses accrues auxquelles devra faire face l'arrondissement pour fournir les services publics à cette nouvelle population». Des parcs L'entreprise est colossale. La SHDM doit prévoir plusieurs zones de développement avec ses rues, ses parcs, ses infrastructures et ses unités d'habitation. À l'extrémité est, les nouveaux quartiers seront voisins de la carrière Lafarge. «Je n'ai pas d'inquiétude quant à cette proximité. Le projet prévoit une large bande verte avec des arbres pour atténuer le bruit et la poussière et autres nuisances liées à l'exploitation de la carrière», soutient la mairesse. Une zone de commerces est aussi aménagée le long de la carrière, dans la partie sud du nouveau quartier. Le projet domiciliaire rapportera 5 M$ et plus de taxes municipales annuellement dans les coffres de la Ville.
  19. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  20. MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 9 fév. 2016) - La société KanAm Grund et Canderel annonçaient aujourd'hui la signature d'un bail au 1360 René-Lévesque Ouest avec Vigilant Global, une firme de TI novatrice nommée parmi les meilleurs petits et moyens employeurs au Canada. L'entreprise montréalaise occupera des locaux de 76 500 pi2 dans cette prestigieuse tour située en plein cœur du Quartier Windsor, la zone connaissant la croissance la plus rapide au centre-ville de Montréal. Ces tout nouveaux bureaux feront désormais office de siège social de Vigilant Global. « Nous nous réjouissons qu'une entreprise en pleine expansion comme Vigilant Global ait choisi de s'établir au 1360 René-Lévesque Ouest, » déclarait Robert Vineberg de Canderel. « Ce déménagement marque de façon positive l'engagement de cette compagnie envers la communauté montréalaise. Les propriétaires des lieux sont, quant à eux, fiers d'accueillir un nouveau locataire d'envergure dans leur immeuble. » « En tant qu'entreprise ayant ses racines à Montréal, nous sommes très heureux de pouvoir prendre part au développement continu de son centre-ville, » affirmait Arvind Ramanathan, directeur et cofondateur de Vigilant Global. « Au 1360 René-Lévesque Ouest, nous pourrons donner à nos employés un espace de travail dynamique à quelques pas de tout ce que la ville offre de meilleur. » Les partenaires de Vigilant Global dans la création de ce nouvel espace sont P & R Desjardins Construction Inc., Provencher Roy Inc. - design intérieur, BPA et Applied Électronique Limitée. Le 1350-1360 René-Lévesque Ouest continue de consolider son positionnement parmi les adresses les plus convoitées à Montréal par les sociétés cherchant un lieu idéal pour établir leur siège social. Vigilant Global se joint ainsi à une liste de locataires impressionnants, dont CGI, IBM et Ciment McInnis. Le 1360 René-Lévesque Ouest est situé à l'intersection sud-ouest de la rue Lucien-L'Allier et du boulevard René-Lévesque Ouest. Desservie par tous les réseaux de transport public, la propriété est située à environ 100 mètres de nombreux arrêts d'autobus, stations de métro et gares de train. L'immeuble détient la certification LEEDMD argent pour les bâtiments existants (BE). À PROPOS DE LA SOCIÉTÉ KANAM GRUND Fondée en octobre 2000, la société KanAm Grund a généré des transactions immobilières totalisant 25 milliards de dollars américains depuis sa création. Tant à son siège social de Francfort que dans ses bureaux internationaux de Paris et d'Atlanta, l'ensemble de son personnel réunit de nombreuses années d'expérience dans le domaine des investissements immobiliers. Au cours 15 dernières années, la société a concentré ses investissements dans des propriétés de qualité situées au cœur de métropoles internationales telles que Paris, Londres, Washington D.C. et Toronto. KanAm Grund bénéficie ainsi de son propre réseau mondial réunissant plusieurs sites stratégiques importants. Par ailleurs, par son indépendance, la société occupe une position particulière qui lui permet de se concentrer sur une stratégie d'investissement visant le meilleur intérêt des investisseurs. Profitant plus que jamais de cet avantage, les investisseurs institutionnels internationaux se tournent vers KanAm Grund en tant que gestionnaire de fonds, de portefeuilles et d'actifs pour investir et administrer leurs actifs au sein de propriétés allemandes, européennes ou américaines. À PROPOS DE CANDEREL Célébrant cette année son 40e anniversaire, Canderel est une société nationale de développement, de gestion et d'investissement immobilier, avec des projets phares à Montréal, Toronto, Ottawa et Vancouver. Elle a récemment pénétré le marché de l'Alberta par l'entremise de sa société affiliée Humford Management. http://www.canderel.com À PROPOS DE VIGILANT GLOBAL La firme montréalaise Vigilant Global est un chef de fil dans les secteurs de la recherche et du développement (R-D) et des TI. L'entreprise conçoit et met en œuvre des systèmes à haute performance et des solutions logicielles novatrices dans le domaine des finances. Vigilant Global favorise un engagement actif au sein de sa communauté, convaincue qu'une véritable implication sociale enrichit l'expérience que l'on peut tirer de vivre et de travailler à Montréal tout en forgeant un environnement professionnel collaboratif valorisant. Pour en savoir plus, veuillez consulter http://www.vigilantglobal.com. http://www.marketwired.com/press-release/la-societe-kanam-grund-et-canderel-annoncent-larrivee-de-vigilant-global-au-1360-rene-2095121.htm
  21. RDP-PAT veut une rue Sherbrooke Est «digne d’une métropole» Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles (RDP-PAT) s’est doté d’un plan d’urbanisme afin de donner une vision d’avenir pour la rue Sherbrooke, artère que l’arrondissement veut plus verte, moderne et urbaine. Le plan de développement urbain, économique et social (PDUES) adopté lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement établit les lignes directrices de l’aménagement du territoire aux abords de la rue Sherbrooke. Selon Yann Lessnick, conseiller en planification à la direction du développement du territoire, l’arrondissement misera sur le développement résidentiel et commercial lors de l’élaboration d’éventuels projets dans cette artère du quartier. «Nous voulons que la rue Sherbrooke devienne un corridor urbain contemporain digne d’une ville comme Montréal, dit-il. Nous voulons que les citoyens sentent déjà, lorsqu’ils arrivent de Repentigny par la rue Sherbrooke, qu’on arrive dans une métropole.» Des efforts seront donc consacrés afin de mettre en valeur la portion de rue entre le carrefour giratoire à l’extrémité est de la rue Sherbrooke et la gare de Pointe-aux-Trembles à la hauteur de la 57e Avenue, tronçon où circulent quotidiennement 24 000 véhicules. Une meilleure image Les promoteurs qui souhaitent développer des projets dans le secteur devront se plier à certaines normes établies par l’arrondissement. «Nous souhaitons avoir un cadre bâti particulier à l’entrée de la ville. Travailler avec des matériaux nobles, avoir une architecture relevée qui sera durable, mais qui offrira une conception visuelle intéressante afin de bonifier l’image de cette partie de la rue», indique M. Lessnick. Les espaces verts qui longent la rue Sherbrooke, dont le Parc de la Coulée Grou et le Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies seront également mis en valeur. «L’arrondissement est vu comme un lieu urbain dans un milieu naturel, c’est une image que nous aimons et que nous voulons conserver», souligne le conseiller en planification. Commerces et résidences Rappelons que ce plan a été adopté à la suite de plusieurs consultations auprès des citoyens et organismes du secteur. «Les gens veulent avoir des commerces de proximité. Des restaurants, des lieux pour se réunir, des petites boutiques spécialisées, et c’est sur ça que nous allons mettre l’accent dans ce plan.» Plusieurs intersections pourraient devenir de nouveaux pôles commerciaux, notamment le coin des rues de la Rousselière et de la Famille Dubreuil. «Cette partie de la rue Sherbrooke est considérée comme un désert alimentaire. Il est difficile de se procurer des aliments frais, alors nous allons essayer de trouver une façon de changer cette situation, signale M. Lessnick. Nous voulons offrir des services complémentaires afin que les gens ne soient pas obligés de se déplacer à Anjou ou Repentigny afin de se procurer certains produits.» Finalement, on indique qu’en ce qui concerne le développement résidentiel, l’arrondissement favorisera une densification du secteur. «On parle de projets de six étages et plus. Les gens sont tout à fait d’accord avec cette approche et nous pensons que c’est également une façon de moderniser cette artère», conclut le conseiller. Selon l’arrondissement, près de 35 hectares de terrains vacants sont disponibles pour le développement résidentiel et commercial dans ce secteur du quartier. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/915674/rdp-pat-veut-une-rue-sherbrooke-est-digne-dune-metropole/
  22. Une institution internationale déménage son siège social de Paris à Montréal L'organisation internationale New Cities Foundation (NCF) déménagera son siège social de Paris à Montréal le printemps prochain, une implantation qui devrait créer 25 emplois dans la métropole. John Rossant, président et fondateur de NCF, est dans la métropole ce vendredi en vue de signer l'entente de principe avec Montréal International, qui a contribué à attirer cet investissement. « Notre décision de miser sur Montréal constitue un jalon majeur dans le développement de notre organisation à travers le monde ainsi que dans l'élaboration et la mise en place de solutions concrètes aux problématiques de développement urbain », a déclaré M. Rossant. L'organisme sans but lucratif, fondé à Genève en 2010, vise à soutenir le développement des villes partout dans le monde, alors que le mouvement d'urbanisation s'accélère. NCF compte plusieurs institutions universitaires parmi ses membres, comme le Massachusetts Institue of Technology (MIT), ainsi que des entreprises comme Ericsson, Bombardier et Google. Les trois niveaux de gouvernement - municipal, provincial et fédéral - ont contribué financièrement pour attirer l'organisme au Québec. Montréal International a toutefois refusé de dévoiler l'ampleur des subventions consenties par l'État. Les dirigeants de NCF cherchent présentement des locaux à Montréal pour accueillir leur nouveau bureau principal. « Grosse prise » Pour Montréal International, l'attraction d'une institution internationale comme NCF constitue « une grosse prise », puisqu'elle devrait contribuer au rayonnement de la métropole à l'étranger. Les organisations du genre - Montréal en compte une soixantaine - génèrent des retombées économiques annuelles de 300 millions de dollars et contribuent à maintenir 1500 emplois dans la métropole, soutient Montréal International. La métropole compte entre autres quatre sièges d'organismes des Nations Unies, dont l'Organisation de l'aviation civile internationale, ainsi que l'Agence mondiale antidopage et l'Agence universitaire de la francophonie. Selon Montréal International, la métropole québécoise affiche la troisième plus importante concentration d'organisations internationales en Amérique du Nord, derrière Washington et New York. Outre son nouveau siège social montréalais, NCF conservera des bureaux à Paris, New York et Genève. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201512/18/01-4932560-une-institution-internationale-demenage-son-siege-social-de-paris-a-montreal.php
  23. Création de 500 emplois sur cinq ans dans le secteur de l’environnement au Québec. Montréal, le 2 décembre 2015 – Afin de satisfaire les besoins du marché québécois de la collecte, du transport et du traitement des matières résiduelles, Derichebourg Environnement annonce l’implantation de son siège social nord-américain à Montréal. L’entreprise prévoit créer 500 emplois au Québec, et ce, au cours des cinq prochaines années. Le leader européen de la collecte des déchets ménagers rassemblera notamment au sein de sa nouvelle filiale les ressources matérielles et humaines dédiées à la collecte des déchets ménagers sur deux arrondissements de la Ville de Montréal, soit Rosemont–La Petite-Patrie et Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. L’annonce a été faite par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, en mission en France dans le cadre de la tenue de la 21e Conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP21), qui se tient du 30 novembre au 11 décembre à Paris. « Les collectivités doivent faire face à une réduction de budget pour la collecte de déchets, tout en améliorant leurs services aux usagers. C’est pourquoi les municipalités doivent trouver des prestataires capables d’innover et de présenter des offres concurrentielles », a déclaré M. Thomas Derichebourg, président de Derichebourg Canada Environnement. « C’est dans cette optique que Derichebourg Environnement désire accélérer son développement à l’international et plus particulièrement au Canada, en faisant de sa filiale montréalaise la plus importante en Amérique du Nord au sein du Groupe. » Derichebourg s’est engagé dans une politique de recherche et développement à long terme visant à mettre en place des filières pérennes de traitement des biens en fin de vie, respectant et même dépassant les objectifs de valorisation fixés par les directives européennes. « Avec l’arrivée d’un nouveau joueur comme Derichebourg, la métropole québécoise renforce sa position dans la valorisation des matières résiduelles et le développement des compétences dans la collecte et le traitement des déchets », a déclaré M. Denis Coderre, maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal. « La Ville de Montréal priorise toujours des services publics efficaces et efficients, essentiels pour assurer la croissance économique, générer le plus de bénéfices possible pour la collectivité et optimiser le bien-être de tous les citoyens », a-t-il ajouté. Montréal International, en collaboration avec Investissement Québec, a soutenu la société française Derichebourg dans son implantation dans la région. « Le marché de la collecte et du traitement des déchets est en pleine croissance dans le monde. Le Grand Montréal pourra dorénavant compter sur l’expertise ciblée et à l’avant-garde d’un nouvel acteur reconnu en Europe, qui pourra partager son savoir-faire avec des partenaires académiques, institutionnels et industriels au Québec », a déclaré M. Élie Farah, vice-président Investissement Grand Montréal, Montréal International. « Cette implantation vient renforcer l’économie du Québec et de la grande région montréalaise. De concert avec nos partenaires en prospection, nous avons eu l’occasion d’entretenir des échanges fructueux avec Derichebourg, qui ont permis de mettre en valeur avec succès nos avantages concurrentiels. Cette relation est appelée à se développer et nous comptons bien accompagner l’entreprise dans son développement au Québec », a conclu M. Pierre Gabriel Côté, président-directeur général d’Investissement Québec. Mentionnons que Derichebourg Environnement dispose d’opérations dans toute la France (Paris, Ile de France, Marseille, Caen), en Italie (Turin, Milan, Florence, Sardaigne), au Maroc (Rabat, Marrakech), et à l’Ile de la Réunion dans l’Océan Indien. À propos de Derichebourg (http://www.derichebourg.com) Le Groupe Derichebourg est un acteur majeur, au plan international, des services aux entreprises et aux collectivités. Avec un chiffre d’affaires 2014 de 2,56 milliards d’euros, l’entreprise compte aujourd’hui 28 000 collaborateurs dans le monde, répartis dans 14 pays et sur 3 continents. Derichebourg propose une gamme complète et intégrée de prestations dans deux secteurs d’activités complémentaires et à travers deux entités distinctes : Derichebourg Environnement. Services à l’environnement : recyclage et valorisation des biens en fin de vie, collecte & gestion des déchets industriels et ménagers, propreté urbaine. Derichebourg Multiservices. Services aux entreprises (multiservices) : propreté, énergie, aéronautique, intérim, accueil, manutention, milieux sensibles. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/derichebourg-implantation-siege-social-nord-americain-dans-le-grand-montreal/
  24. http://journalmetro.com/actualites/montreal/841294/ une-cooperative-pour-un-projet-de-monorail/vitesse Par Marie-Eve Shaffer Métro Coop MGV Un groupe de citoyens a mis sur pied une coopérative dans l’espoir de concrétiser le fameux projet de réseau de monorail à grande vitesse au Québec. «Pour que le projet se réalise, on croit que ça doit passer dans une coopérative. On veut que la population soit impliquée dans ce projet», a affirmé mardi le président de la nouvelle coopérative de recherche et de développement Coop MGV, Patrick Leclaire. La nouvelle organisation veut démontrer l’acceptabilité sociale du projet de réseau de monorail afin de trouver le financement nécessaire à la poursuite des études et à sa réalisation, tant auprès des gouvernements que des entreprises privées. Une somme de 250M$ est à prévoir pour la recherche et le développement et un montant oscillant entre 9M$ et 12M$ doit être budgété pour chaque kilomètre que parcourrait le monorail. Le projet que caresse la Coop MGV vise à créer un réseau de lignes de monorail entre plusieurs villes du Québec. Les navettes seraient suspendues à dix mètres du sol à des rails aériens supportés par des poteaux installés dans l’emprise des autoroutes. Elles pourraient accueillir jusqu’à 70 passagers et elles se déplaceraient à 250 km/h grâce à la technologie du moteur-roue, qui a été inventée par l’ingénieur Pierre Couture et qui fonctionne à l’électricité. 3G$ Pour la Coop MGV, l’une des premières lignes de monorail qui devrait voir le jour est celle qui relierait Montréal à Québec. Sa construction coûterait près de 3G$. Les Montréalais pourraient se rendre dans la capitale en une heure environ. «On sait que le projet est rentable. Il coûterait trois fois moins cher qu’un TGV», a dit le vice-président de Coop MGV, Michel Laforest. Ce dernier a vanté l’efficacité du monorail et son impact minime sur l’environnement. D’après la Coop MGV, les études préliminaires, qui serviront à peaufiner et éprouver la technologie du monorail dans le climat du Québec, prendront de trois à cinq ans. Ensuite, la construction de lignes de monorail pourront commencer, tant au Québec qu’à l’étranger. D’autres organisations militent aussi en faveur de la création d’un réseau de monorail à grande vitesse au Québec. L’organisme à but non lucratif MGV Québec, dont le conseil d’administration est notamment formé par l’ancien président du Mouvement Desjardins, Claude Béland, et de l’ex-premier ministre du Québec, Bernard Landry, tente de son côté de sensibiliser les autorités publiques et les industries à la pertinence du projet. «On a les mêmes objectifs [que Coop MGV], mais on n’a pas les mêmes moyens, a expliqué le coordonnateur de MGV Québec, Nicklaus Davey. Ce dernier souhaite que le projet de monorail à grande vitesse soit inclus dans la nouvelle Stratégie d’électrification des transports que doit dévoiler sous peu le gouvernement du Québec. «Quand les études de faisabilité seront déclenchées, [Coop MGV] est une partie prenant avec laquelle on va vouloir travailler parce que ce sera la voix des citoyens, a dit M. Davey, C’est un projet de développement durable. Alors, le volet d’acceptabilité sociale est important. La Coop MGV s’assure qu’en amont, l’enjeu d’acceptabilité sociale est abordé.» L’organisme TrensQuébec essaie pour sa part de convaincre des groupes étrangers puisque selon son directeur, Jean-Paul Marchand, le gouvernement du Québec ne semble pas ouvert au projet de monorail à grande vitesse. «Les choses avancent, mais elles risquent de prendre encore un peu de temps, a écrit M. Marchand dans un courriel adressé à Métro. Chose certaine, nous allons réussir à mettre sur le rail ce système, parce que les retombées pour le Québec sont immenses.» sent via Tapatalk
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