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  1. Dans une interview à la chaîne CTV, le premier ministre a indiqué qu'il présenterait fin janvier un budget en déficit. «Nous devrons dépenser des milliards de dollars qui n'étaient pas prévus», a-t-il dit. Pour en lire plus...
  2. Gestion ACE Aviation, la société mère d'Air Canada, a annoncé qu'elle prévoit dépenser plus de 500 millions $ pour racheter sa dette et ses actions privilégiées. Pour en lire plus...
  3. «Créativité.» «Flexibilité.» En temps de crise, agences de pub et groupes médiatiques rivalisent d'ingéniosité pour offrir le plus de plateformes possibles aux annonceurs. Dans un but bien précis: les convaincre de dépenser. Pour en lire plus...
  4. Même si la crise économique fait peur aux Québécois, elle ne les empêche pas de dépenser pour leurs loisirs. Pour en lire plus...
  5. Vingt-quatre pour cent (24%) des ménages québécois estiment que leur situation s'est détériorée au cours des six derniers mois, comparativement à 10% des ménages il y a un an. Pour en lire plus...
  6. Les Canadiens étaient toujours prêts à dépenser davantage dans les magasins au début de l'été, mais ils en avaient moins pour leur argent. Pour en lire plus...
  7. General Motors indique à la SEC qu'il va dépenser 100 M$ US cette année, 200 millions l'an prochain et 600 millions au-delà de cette échéance pour se restructurer. Pour en lire plus...
  8. Pouvoir fédéral de dépenser: Charest ne se formalise pas du peu de progrès Le lundi 16 juin 2008 Sylvain Larocque Presse Canadienne Plus d'un an après avoir promis de mobiliser l'Assemblée nationale dans le but de conclure avec Ottawa une entente pour limiter le pouvoir fédéral de dépenser, le premier ministre Jean Charest ne se formalise pas du cul-de-sac dans lequel le dossier semble être plongé. Interrog é sur le sujet lundi, en marge de la Conférence de l'Alliance entre les Etats du Sud-Est des Etats-Unis et les provinces canadiennes, qui se tient à Savannah, en Géorgie, M. Charest a dit espérer qu'Ottawa «clarifie les responsabilités des uns et des autres». Il s'est toutefois empressé d'ajouter qu'il incombait aux conservateurs de faire avancer le dossier. Au début du mois, le quotidien Le Devoir a révélé que les fonctionnaires fédéraux avaient terminé la rédaction d'un projet de loi sur la question, mais que les conservateurs s'abstenaient de le déposer aux Communes par crainte que le Québec ne le vilipende. Selon le journal, le projet de loi permettrait à une province de se retirer avec «juste» compensation financière de tout nouveau programme fédéral à frais partagés, à la condition que celle-ci mette en place un programme semblable. Or, Québec veut que la mesure s'étende à tous les programmes fédéraux qui tombent dans les champs de compétence provinciaux, que les provinces y contribuent financièrement ou non. Dans son discours d'ouverture, en mai 2007, Jean Charest avait soutenu qu'il ne revenait pas au gouvernement fédéral de dire à Québec «où et comment» dépenser ses fonds. Lundi, M. Charest a assuré qu'Ottawa ne l'avait pas informé de la teneur de son projet de loi. Quant à savoir à quel moment le dossier pourrait débloquer, le chef libéral s'en remet totalement au gouvernement fédéral. http://www.cyberpresse.ca/article/20080616/CPACTUALITES/80616208/1019/CPACTUALITES
  9. Les vilaines provinces Michel David Le Devoir mardi 10 juin 2008 Le ministre responsable des Affaires intergouvernementales, Benoît Pelletier, qui éprouve bien de la difficulté dans ses discussions avec Ottawa sur la limitation du pouvoir de dépenser, devrait peut-être avoir une discussion avec son collègue de la Santé, Philippe Couillard. Pour justifier auprès de l’opinion publique canadienne la nécessité d’imposer aux provinces des conditions très strictes à la contribution fédérale au financement des services de santé, qui relèvent pourtant de leur compétence exclusive, il suffirait en effet au gouvernement Harper d’invoquer le dernier rapport du Conseil canadien de la santé, qui dresse un bilan très sombre des ententes « historiques » intervenues il y a cinq ans. « Malgré les milliards de dollars alloués [aux provinces] en vertu de l’Accord des premiers ministres sur le renouvellement des soins de santé conclu en 2003, les progrès sont loin de ce qui aurait pu et de ce qui aurait dû être accompli actuellement », estime le Conseil. En février 2003, après 12 heures de négociations ardues, le gouvernement Chrétien avait accepté de transférer aux provinces plus de 34 milliards en cinq ans. Quelques mois plus tard, le gouvernement Martin inaugurait son mandat par une entente encore plus généreuse, qui ajoutait 41 milliards en dix ans. Le fédéralisme canadien entrait dans une ère nouvelle, disait-on. En retour de ces largesses, M. Chrétien avait cependant exigé la création d’un nouvel organisme qui serait chargé de faire le suivi de ces ententes et d’en rendre compte à la population canadienne. Le Québec, qui disposait déjà d’un Conseil de la santé et du bien-être, n’y participerait pas, mais il s’était engagé à collaborer. À l’époque, le premier ministre Landry, qui s’apprêtait à affronter l’électorat, était trop heureux de voir tomber cette manne pour commencer à faire des histoires. Le premier ministre de l’Alberta, Ralph Klein, qui se méfiait des initiatives d’Ottawa comme la peste, avait émis de sérieuses réserves. L’Ontario était également réticent, mais les neuf provinces anglophones étaient finalement rentrées dans le rang et elles avaient accepté de déléguer un représentant au nouveau Conseil canadien de la santé. *** L’utilisation qu’Ottawa comptait faire de cet organisme n’était pas encore très claire, mais l’idée avait été lancée en novembre 2002 par la Commission sur l’avenir des soins de santé au Canada présidée par Roy Romanow, un vieux complice de Jean Chrétien qui avait toujours été en faveur de la création d’un système de santé unique au Canada. Comme cela était prévisible, le Conseil canadien de la santé a fait sienne la « vision nationale » de M. Romanow, déplorant l’existence d’au moins 14 systèmes de santé au pays, si l’on tient compte des soins dispensés directement par Ottawa, que ce soit aux forces armées ou aux nations autochtones. « Tout en respectant les droits et les responsabilités des provinces et des territoires dans le secteur de la santé, nous devons raviver la vision d’un système pancanadien commun de santé et de soins de santé et nous devons mettre en place des mécanismes pour faire de cette vision une réalité », estime le Conseil. Alors que les soins de première ligne devaient être la pierre angulaire de la réforme envisagée, il constate que les progrès sont minimes. Pourquoi ? Parce que « l’argent a été utilisé pour lancer des petits projets plutôt que d’investir dans des changements durables et à long terme ». Le diagnostic est aussi pessimiste en ce qui concerne l’amélioration des soins à domicile, que le vieillissement de la population a rendue impérieuse. Les gouvernements avaient convenu de déterminer un ensemble minimum de mesures, mais les progrès demeurent « lents et sporadiques ». Qu’il s’agisse du temps d’attente ou de la planification des ressources humaines, la liste des reproches que le Conseil adresse aux provinces est nettement plus longue que celle des éléments jugés encourageants. *** Au total, les engagements pris il y a cinq ans par les premiers ministres provinciaux afin d’obtenir les milliards du gouvernement fédéral n’auraient pas été tenus. « Et comme les Canadiens financent le système par leurs impôts, ils sont en droit d’attendre une meilleure optimisation des fonds. » Si les provinces n’ont pas été la hauteur des attentes, le Conseil a en revanche très bien accompli ce que MM. Chrétien et Romanow attendaient de lui, c’est-à-dire démontrer la nécessité d’un gouvernement central fort. De là à conclure qu’Ottawa devrait de nouveau serrer la vis aux provinces et leur imposer des conditions plus strictes pour s’assurer qu’elles respectent leur parole, il y a un pas que The Globe and Mail n’a pas hésité à franchir. « La prochaine fois, le gouvernement fédéral devrait mieux définir ses objectifs, mettre des conditions à l’octroi de fond et inciter les provinces à collaborer », estime le quotidien torontois. Bref, il faudrait revenir à ce « fédéralisme dominateur » que Stephen Harper avait dénoncé dans son discours de décembre 2005 à Québec. On peut penser qu’une bonne partie de l’opinion publique canadienne, notamment en Ontario, souscrit à l’analyse et aux conclusions du Globe and Mail et du Conseil canadien de la santé. À l’approche d’élections où le vote ontarien sera déterminant, M. Harper serait bien mal avisé d’agréer à la demande du Québec en renonçant à son pouvoir de dépenser, qui constitue le seul moyen dont Ottawa dispose pour imposer ses objectifs aux provinces. Benoît Pelletier, qui avait pris pour argent comptant les engagements de M. Harper sur le pouvoir de dépenser, se retrouve aujourd’hui Gros-Jean comme devant. À défaut de son aide, peut-il seulement compter sur la sympathie de son collègue de la Santé ? Lors de l’étude des crédits de son ministère, M. Couillard, avait fait une étonnante apologie des interventions fédérales dans le secteur de la santé. À l’entendre, le pouvoir de dépenser semblait même une excellente chose. *** mdavid@ledevoir.com
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