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  1. Vols Air Transat 2017 ouverts à la réservation. Plan de vols Le plan de vols au départ de la Belgique (et des Pays-Bas) pour 2017 est presque similaire à celui de cette année. Le premier vol entre Bruxelles et Montréal aura lieu le 26 avril 2017. Au départ d’Amsterdam le premier vol vers Toronto aura lieu le 20 avril 2017 et celui vers Vancouver, le 6 mai. Vous trouverez ci-joint le plan de vols complet. Vols domestiques Grâce à un vol domestique entre Montréal et Toronto, les voyageurs peuvent au départ de Bruxelles peuvent rejoindre Toronto après un changement d’avion rapide à Montréal. Les voyageurs au départ d’Amsterdam peuvent prendre un vol direct vers Toronto et ensuite prendre facilement une correspondance vers Montréal. Grâce à ces vols domestiques supplémentaires, Air Transat permet aux passagers de rejoindre facilement toutes les grandes villes canadiennes et de poursuivre leur découverte du Canada. http://travel360benelux.com/fr/air-transat/vols-air-transat-2017-ouverts-a-la-reservation/
  2. Bonjour, Je me demande si quelqu'un s'y connaît bien en système informatique pour les compagnies aériennes. Je me pose quelques questions à ce sujet... Avec la nouvelle extension de la jetée internationale, les portes 63 à 68 sont arrivés dans les systèmes informatiques. Comme vous le savez, celles-ci (comme toutes les autres portes de 1 à 61) doivent être précédés par un "A" pour guider le passager vers le bon point de fouille. Il ne semble pas y avoir eu de problème ni avec TS (plus grand utilisateur des nouvelles portes), ni avec WG, ni avec aucune autre cies d'ailleurs. Cependant, avec AC c'est tout autre chose. Depuis le 12 mai que je surveille les vols qui partent des nouvelles portes et AC ne fait pas précédé les numéros par le "A". Il y a eu quelques rare exceptions, mais en général ils ne sont pas affichés correctement. Hier, je pensais enfin que c'était corrigé parce que tous les vols ont bien été affichés mais aujourd'hui on est de retour au point de départ, sans le "A". Hier : Aujourd'hui : Pourquoi? Il ne s'agit pas de faire une reprogrammation du système en ajoutant la lettre devant ces portes? Il me semble que c'est tout simple comme manoeuvre. Comment ça fonctionne en fait? Pourquoi TS n'a pas eu ce soucis? Est-ce que quelqu'un en connaît plus? Aussi, les cartes d'embarquements de ÇA sont identifiée avec comme point de départ "MONTRÉAL DORVAL". Comment est-ce possible? ÇA ne vole ici que depuis septembre dernier et l'aéroport a changé de nom en janvier 2004... Leur site web et bien identifié pourtant. Il ne s'agit pas d'appuyer sur backspace et d'écrire TRUDEAU à la place? Pourquoi est-ce si compliqué? Si vous avez les réponses à ces questions, vous allez faire mon bonheur et assouvir ma curiosité. Parce que franchement, je n'y comprend rien... Bonne journée à tous! Envoyé de mon SGH-I337M en utilisant Tapatalk
  3. Air Transat dévoile son programme de vols pour l’hiver 2016-2017. Air Transat présente aujourd’hui son programme aérien pour l’hiver 2016-2017, qui propose aux voyageurs 34 destinations soleil et des départs de 22 villes canadiennes, en plus de mettre de l’avant une offre diversifiée vers des destinations européennes appréciées des Canadiens pendant la période hivernale. Air Transat ajoute également 11 nouvelles routes à son calendrier de vols. « L’hiver prochain, Air Transat offrira encore plus de soleil pour tout le monde grâce à son vaste éventail de destinations Sud et Europe ainsi qu’à une présence accrue dans les différents aéroports canadiens », déclare Annick Guérard, présidente et directrice générale de Transat Tours Canada. « L’ajout de petits porteurs à notre flotte permanente nous a donné de la flexibilité pour encore mieux adapter notre offre aux différents marchés. Par ailleurs, nous poursuivrons l’hiver prochain notre programme de vols intérieurs, qui nous permet de proposer davantage de destinations en Europe aux voyageurs de Montréal et de Toronto », conclut Annick Guérard. Air Transat augmente son offre et sa capacité vers l’Amérique centrale, une région pour laquelle l’intérêt des Canadiens est en plein essor. Ainsi, au Québec, deux nouvelles routes s’ajoutent au calendrier hebdomadaire, soit un vol vers San Salvador (Salvador) au départ de Montréal ainsi qu’un vol vers l’île de Roatan (Honduras) au départ de Québec. Pour le marché de Toronto, des liaisons vers Managua (Nicaragua) et Carthagène (Colombie) enrichiront un programme déjà très diversifié. Des vols supplémentaires vers San Jose au départ de Montréal et de Toronto permettront par ailleurs de répondre à la demande croissante pour le Costa Rica. Air Transat augmente également la fréquence de ses vols à destination des Antilles françaises (Guadeloupe et Martinique), et de La Havane. Au Québec, en plus des deux nouvelles routes, Air Transat inaugurera des vols intérieurs liant Bagotville et Rouyn-Noranda à Montréal, offrant ainsi un plus vaste choix de destinations soleil aux voyageurs du Saguenay–Lac-Saint-Jean et de l’Abitibi Témiscamingue. Avec ce programme de vols avec correspondance, les Québécois de ces régions pourront maintenant se rendre dans neuf pays des Caraïbes et de l’Amérique centrale. En Ontario, de nouvelles liaisons vers Cayo Coco et Santa Clara, à Cuba, seront offertes au départ d’Ottawa et de Windsor, respectivement. À Fredericton, deux nouvelles destinations en République dominicaine, soit Puerto Plata et Punta Cana, s’ajoutent au programme. Au départ d’Halifax, c’est la Floride qui s’ouvre aux voyageurs grâce à une nouvelle liaison vers Fort Lauderdale. Finalement, dans l’Ouest canadien, Los Cabos sera maintenant accessible au départ de Vancouver, et Punta Cana au départ de Victoria. L’Europe toute l’année avec Air Transat Air Transat augmente par la même occasion sa capacité vers Londres en offrant dorénavant un vol par jour vers la capitale britannique tout au long de l’année au départ de Toronto. Toujours vers Londres, une liaison hebdomadaire, qui passera à deux vols par semaine dès le mois de décembre, est aussi au programme au départ de Vancouver. Air Transat maintient son vol quotidien vers Paris au départ de Montréal ainsi que sa liaison hebdomadaire vers la Ville Lumière au départ de Québec, disponible dès le mois de février. L’offre hivernale Europe comprend aussi des vols directs vers Malaga (Costa del Sol), en Espagne, ainsi que vers Lisbonne et Faro, au Portugal, et ce, au départ de Montréal et de Toronto. Ces destinations ensoleillées sont très prisées des vacanciers canadiens, notamment parce qu’elles permettent d’allier détente et découvertes et se prêtent bien à de courts comme de longs séjours. Air Transat poursuit cet hiver son programme de vols intérieurs entre Montréal et Toronto, élargissant le choix de destinations transatlantiques pour ces marchés grâce à des vols avec correspondance. Ainsi, les voyageurs de Toronto pourront se rendre à Paris (cinq fois par semaine) et Malaga (une fois par semaine) via Montréal, et ceux de Montréal pourront profiter de liaisons vers Londres (cinq fois par semaine), Manchester (une fois par semaine), Glasgow (une fois par semaine), Porto (une fois par semaine) et Lisbonne (une fois par semaine) en passant par Toronto. Enfin, à compter du mois d’avril, des vols à destination de Rome et de Barcelone seront disponibles au départ de Montréal et de Toronto, notamment afin de répondre à la demande des vacanciers qui, à cette période de l’année, sont nombreux à réaliser une croisière sur la méditerranée. http://www.paxnouvelles.com/article/air-transat-devoile-son-programme-de-vols-pour-lhiver-2016-2017
  4. Salut! Pour les intéressés, C-GWSZ fera quelques rotations sur YUL demain. Voici l'horaire prévu : WS580 (YYZ-YUL) Arrivée prévu à 09h15 WS2820 (YUL-CUN) Départ prévu à 11h45 WS2821 (CUN-YUL) Arrivée prévu à 21h54 Et bien sûr, on peut s'attendre à un dernier départ en fin de soirée (sûrement sur YYZ encore une fois). Bon spotting! Envoyé de mon SGH-I337M en utilisant Tapatalk
  5. Selon l'aéroport, la compagnie n'aurait pas payé les frais d'atterrissage. Il y a aussi des rumeurs qui disent la compagnie pourrait être en faillite... Ça ne s'annonce pas bien. http://globalnews.ca/news/2187158/skygreece-grounds-flights-to-and-from-toronto-passengers-stranded/
  6. Le voyagiste exploitera 19 nouvelles liaisons aériennes pour relier des villes canadiennes aux destinations soleil. Au Québec, cela se traduira notamment par trois nouveaux vols au départ de Montréal (La Havane, Ixtapa et Rio Hato au Panama) et un autre au départ de Québec (La Romana). En fait, Transat cesse restreindre ses inventaires pour renouer avec la conquête de parts de marchés. «Nous augmenterons notre offre globale au 13% dans l’ensemble du Canada», révélait Annick Guérard, directrice général de Transat Tours. «Jean-Marc Eustache l’a annoncé en conférence de presse : nous cessons de réduire nos inventaires, tant sur le Sud que sur l’Europe.» Un redéploiement qui, au Québec, se traduira par la mise en marché vers les destinations soleil de 85 000 sièges de plus pendant la saison d’hiver et de 30 000 sièges supplémentaires pour la saison d’été! http://www.paxnouvelles.com/article/transat-lance-sa-saison-sud-2015-2016
  7. Air Transat : 16 nouveautés pour l’hiver prochain. Publié le 22 mai 2015 à 10h00 par François Duclos dans Actualité, Info pratique - 3 commentaires La compagnie aérienne Air Transat a présenté son programme d’hiver 2015-2016, marqué par seize nouvelles routes et plus de 35 destinations au départ de 19 aéroports canadiens. Le Montréal – Paris sera désormais proposé tous les jours et pendant toute l’année. L’offre hivernale de Transat se décline sur l’Europe grâce au programme annuel de vols directs à destination de Paris et de Londres, ainsi qu’à une offre des plus intéressantes vers Malaga (Costa del Sol), en Espagne, et à Lisbonne et Faro, au Portugal. Encore plus présente sur le marché transatlantique, Air Transat augmente la fréquence de ses vols vers Londres au départ de Toronto, offrant jusqu’à 5 vols par semaine, et augmente sa capacité vers Paris au départ de Montréal, offrant dorénavant un vol par jour tout au long de l’année. Les vols hebdomadaires au départ de Toronto vers Glasgow et Manchester sont aussi au programme ainsi que la liaison hebdomadaire vers Londres-Gatwick au départ de Vancouver, qui augmente à deux vols par semaine dès le mois de février. Fidèle à son titre de plus important transporteur aérien canadien spécialisé dans les voyages vacances, Air Transat répond aussi à la demande de sa clientèle canadienne en ajoutant seize nouvelles routes à son calendrier de vols vers les destinations soleil. Elle augmente considérablement son offre sur Cuba grâce à l’ajout de vols vers Santa Clara au départ de Winnipeg, Calgary, Vancouver, Saskatoon et Edmonton. Au Québec, trois nouvelles routes s’ajoutent au programme Sud, soit un vol vers La Romana en République Dominicaine au départ de la ville de Québec, ainsi que vers La Havane à Cuba et Rio Hato au Panama au départ de Montréal. Les voyageurs de l’Ontario pourront eux aussi bénéficier des avantages liés au nouveau vol vers l’aéroport de Rio Hato au Panama, ainsi que de l’ajout d’une liaison vers La Romana. À Halifax, Air Transat ajoute un vol vers Cayo Coco à Cuba. Au départ de St. John’s, c’est la Floride qui s’ouvre grâce à la nouvelle liaison vers Orlando. Et finalement, dans l’Ouest canadien, trois nouvelles destinations au Mexique s’ajoutent au programme, soit Ixtapa et Cozumel au départ d’Edmonton et Calgary, et Huatulco au départ de Regina. « Cet hiver, Air Transat offre encore plus de Sud pour tout le monde grâce à son vaste éventail de destinations incluant les Caraïbes, l’Amérique centrale et du Sud, Cuba, la République dominicaine, la Jamaïque, le Mexique et la Floride », a déclaré dans un communiqué Jean-François Lemay, directeur général d’Air Transat. « L’introduction de petits porteurs à notre flotte permanente nous a permis de moduler notre offre en fonction de la demande de chacun des aéroports canadiens que nous desservons. Nous avons ainsi augmenté notre capacité sur le marché et notre nombre de routes sur le Sud, offrant ainsi plus de choix et de flexibilité pour les vacanciers ». Rappelons que le programme d’été en France d’Air Transat inclut à Paris jusqu’à 3 vols par jour vers Montréal, jusqu’à 4 vols par semaine vers Québec, jusqu’à 6 vols par semaine vers Toronto, jusqu’à 2 vols par semaine vers Calgary et jusqu’à 4 vols par semaine vers Vancouver (dont 3 vols directs). Elle propose également Montréal au départ de Bâle-Mulhouse (1 vol par semaine), Bordeaux (jusqu’à 2 vols par semaine), Lyon (jusqu’à 4 vols par semaine), Marseille (jusqu’à 4 vols par semaine), Nantes (jusqu’à 2 vols par semaine), Nice (jusqu’à 2 vols par semaine) et Toulouse (jusqu’à 2 vols par semaine). Marseille est en outre reliée à Toronto une fois par semaine via Montréal. http://www.air-journal.fr/2015-05-22-air-transat-16-nouveautes-pour-lhiver-prochain-5144462.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  8. Malek

    Canadiens 2013

    Bon pas de fil? PK viens d'être signé, les deux jeunes resent à Montréal... l'attaque semble pas trop mal! Départ canon en début de saison! Qu,est ce que vous en pensez??
  9. Sans vouloir remettre de l'huile sur le feu, je trouve l'article intéressant et révélateur Publié le 07 juin 2013 à 06h19 | Mis à jour à 06h19 Francis Vailles, André Dubuc La Presse (Montréal) Jacques Villeneuve a récemment déclaré que l'impôt n'a rien à voir avec son départ du Québec. Pourtant, au fil des années, le coureur automobile n'a pas hésité à faire des détours par Monaco et Andorre, en passant par la Suisse, pour s'installer dans des lieux fiscalement accommodants. Même au Québec, qui n'est pourtant pas un paradis fiscal, la loi lui a offert des options intéressantes pour minimiser les impôts sur sa fortune, estimée à plusieurs dizaines de millions de dollars. Exemption sur la plus-value? Selon nos recherches, une disposition de la Loi de l'impôt permet à un contribuable, à certaines conditions, d'éviter l'impôt sur la plus-value de la plupart de ses placements s'il a été résidant moins de 60 mois durant les 10 dernières années. L'exonération s'applique sur l'essentiel des biens dont le contribuable était propriétaire à son arrivée et qu'il a conservés jusqu'au jour de son départ, explique André Lareau, professeur de fiscalité à l'Université Laval. Il n'est pas possible de connaître les dates d'arrivée et de départ qu'a déclarées Jacques Villeneuve au fisc. Toutefois, selon un document suisse obtenu par La Presse, Villeneuve a eu sa résidence principale dans la commune d'Ollon, dans les Alpes suisses, jusqu'au 30 juin 2007. Le document indique qu'il a alors déménagé dans un appartement terrasse du Vieux-Montréal. La règle de cinq ans pourrait donc avoir cessé de s'appliquer pour Jacques Villeneuve vers le 30 juin 2012. Selon nos informations, le pilote a mis en vente son chalet des Laurentides en février 2012 et sa maison de Westmount en 2012, également. Lui-même nous a confirmé avoir cessé d'être résidant en 2012, mais il n'a pas voulu préciser la date. Dès que l'échéance de 60 mois est franchie, le gain en capital de ce portefeuille devient pleinement imposable au Canada. Le moment où Jacques Villeneuve a cessé d'être résidant canadien pour devenir résidant d'Andorre est donc «très, très important», confirme Éric Labelle, fiscaliste chez Raymond Chabot Grant Thornton. S'il part officiellement avant le 60e mois, il ne paie pas d'impôt de départ sur le gain de ses avoirs. S'il part après, ses gains sur cinq ans deviennent pleinement imposés. Cette disposition concerne seulement l'impôt sur la plus-value de ses biens (gain en capital). Durant sa résidence au Canada, Villeneuve devait tout de même payer des impôts sur tous ses revenus mondiaux, même sur les intérêts et dividendes d'un portefeuille qui serait resté dans un paradis fiscal. Par contre, à l'avenir, il ne paiera pas d'impôt sur ses revenus et placements, puisqu'il n'y a pas de tels impôts dans la principauté d'Andorre, où Jacques Villeneuve est maintenant résidant. Un autre paradis fiscal Officiellement, Jacques Villeneuve a quitté la Suisse pour s'établir au Québec en 2007. Toutefois, le coureur automobile avait un pied-à-terre à Montréal dès 2003, a appris La Presse. L'ex-pilote de Formule 1 s'est alors acheté un penthouse par l'entremise d'une société des îles Vierges britanniques, paradis fiscal des Antilles. Cette société, baptisée Sapphire Blue Holdings, a comme adresse une boîte postale à Tortola, capitale des îles Vierges britanniques, où les entreprises ne paient pas d'impôts. Nulle part le nom de Jacques Villeneuve ne figure sur l'acte d'achat notarié de la transaction, en 2003, ni sur l'emprunt hypothécaire avec la Banque HSBC, en 2005. Sapphire était alors représentée par un avocat de Montréal. Une transaction subséquente précise cependant que Jacques Villeneuve est actionnaire à plus de 90% de Sapphire. Le condo a été acheté de sa soeur, Mélanie Villeneuve, en 2003. Sapphire l'a payé 400 000$, soit près de 300 000$ de moins que ce que Mélanie Villeneuve avait elle-même payé un an plus tôt. Les trois fiscalistes consultés par La Presse ne s'expliquent pas pourquoi une société des îles Vierges britanniques a été utilisée. Selon eux, Sapphire a probablement dû payer au Canada un impôt net de 25% sur le gain de 1,1 million réalisé à la vente du condo, en 2008, même si la société était incorporée dans un paradis fiscal. Résidence principale et secondaire Au Canada, Jacques Villeneuve a toujours deux propriétés connues situées à Westmount et à Harrington, dans les Laurentides. Le fisc permet au contribuable de choisir une propriété comme résidence principale, qui devient alors non imposable. La maison rénovée de Westmount, en vente à 7,5 millions de dollars, a été payée 3 millions, ce qui permet d'espérer un gain appréciable. La propriété de Harrington a été payée 1 million et elle est en vente à 5 millions. L'une des deux propriétés - idéalement celle qui procure le plus grand gain - sera non imposable, à titre de résidence principale. Quant à l'autre, elle pourrait également être exemptée d'impôts, selon l'historique fiscal de Villeneuve. En effet, selon les règles fiscales canadiennes, le pilote peut utiliser des pertes en capital réalisées au Canada ou ailleurs dans le monde durant son séjour ici pour réduire ou annuler le gain en capital qu'il réalisera à la vente de ses biens ici. «Il ne fait rien d'illégal. Au fond, il structure ses affaires pour payer le moins d'impôt possible, comme c'est le cas des autres coureurs automobiles», dit Éric Labelle. Son parcours fiscal Jacques Villeneuve a récemment déclaré que l'impôt n'a rien à voir avec son départ du Québec. La Presse a fait le tour de ses activités pour constater que les questions fiscales ont pourtant été bien présentes au fil de sa carrière. PRINCIPAUTÉ DE MONACO Ligne de départ Années de résidence: 1996-2002 0% Pas d'impôt sur le revenu des particuliers, ni sur les plus-values ni sur le capital. SUISSE, CANTON DE VAUD (OLLON) 1er virage Années de résidence: 2002-2007 Forfait fiscal Plutôt que de remplir un document dans lequel il déclare ses revenus et ses placements, le contribuable négocie une somme annuelle forfaitaire avec les autorités fiscales, calculée selon ses dépenses en Suisse. ÎLES VIERGES BRITANNIQUES Arrêt aux puits Année de création de la société d'investissement: 2003 0% Pas d'impôt sur le revenu des sociétés ni sur les gains en capital. «Dans les îles Vierges britanniques, c'est très facile de créer des sociétés-écrans. Ça coûte très peu cher, quelques centaines de dollars. Ça permet aux gens de faire des investissements et de détenir des comptes de façon anonyme, au moyen de prête-noms.» - Entretien téléphonique avec La Presse de Gabriel Zucman, chercheur à l'École d'économie de Paris et auteur de l'article «Missing Wealth of Nations», portant sur les paradis fiscaux. QUÉBEC La chicane Années de résidence: 2007-2012 49,97% Taux d'imposition marginal sur les revenus de 49,97%. Gain en capital imposé à 50%. Pleine exemption d'impôts sur la résidence principale. Exemption sur le gain en capital des avoirs étrangers pour les contribuables qui résident cinq ans ou moins. PRINCIPAUTÉ D'ANDORRE Ligne d'arrivée: Années de résidence: 2012 0% Aucun impôt direct ni sur les revenus de travail et de placements ni sur les successions pour les personnes physiques ayant leur résidence en Andorre.
  10. Après avoir quitté Montréal pour fonder sa propre agence de publicité à Toronto, un ex-vice-président de BBDO, s’apprête à revenir en ville pour ouvrir un bureau à Montréal. Cet ex-vice-président et directeur de création de BBDO Montréal, Martin Beauvais, a confirmé la nouvelle à LesAffaires.com, quelques semaines avant la date prévue. «Il reste encore quelques éléments à fisceler. Mais oui, je vous confirme que dans les prochaines semaines, nous serons en mesure d’annoncer l’ouverture officielle d’Open MTL.» Le départ pour Toronto de l’ex-patron de BBDO, également ex de Taxi et TBWA, avait fait beaucoup parlé dans l’industrie publicitaire montréalaise en 2004. À l’époque, le Montréalais quittait sa position enviable dans l’industrie -on lui doit notamment les campagnes des Producteurs de lait du Québec- pour devenir directeur de la création de Zig, une agence torontoise maintenant connue sous le nom de CP+B Canada. En 2010, Martin Beauvais quitte Zig pour fonder avec le collègue Christian Mathieu (ex-Zig et IKEA), l’agence de création publicitaire, Open. «Dès le départ, nous avons voulu créer à Toronto une agence nationale bilingue. Dans ce contexte, l'ouverture d'un bureau à Montréal nous paraissait non seulement primordiale, mais également toute naturelle.» http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/publicite-une-nouvelle-agence-torontoise-prend-pied-a-montreal/554654
  11. 225 St Jacques Architectes: Panzini Architectes Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Vieux-Port, Montréal ? mètres - 11 étages Descriptions: - Le projet est la réhabilitation d'anciens sièges sociaux en 50 appartements de luxe. - Les bâtiments font partie du Complexe Aquilini dans le Vieux-Montréal. - Le projet inclu l'ajout de 4 étages à l'édifice du départ.
  12. Bonjour tout le monde, je viens de passer presque les 2 derniers mois en Asie. Les villes au programme: - Hong Kong - Shenzen - Guangzhou - Singapour - Jakarta - Makassar - Bangkok - Plein de plages et d'îles paradisiaques en Indonésie, Chine et Thailande Je commence à mettre des photos aujourd'hui. Maudit que c'est déprimant revenir à Montréal ! Vivement le prochain départ ( dans 3 semaines ahahahaha!!!!)
  13. Intéressant, plus gros mois de juin depuis les jeux olympiques! Sur LaPresse Affaires : Saison touristique 2010: départ canon pour Montréal Dans le journal Métro : Les hôtels de Montréal ont fait le plein en juin
  14. Des ponts d'or dans les universités Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 05/11/2009 05h32 Malgré un déficit de 455 millions - Des ponts d'or dans les universités Le campus du centre-ville de l’Université Concordia. L’institution anglophone a remis des primes de départ pour le moins étonnantes à au moins deux cadres supérieurs. Les universités de la province ont beau crouler sous les déficits, cela ne les empêche pas de verser de très généreuses primes de départ à leurs cadres supérieurs... même quand ceux-ci continuent à travailler pour elles par la suite. Des données obtenues par le Journal grâce à la Loi sur l'accès à l'information révèlent que plusieurs hauts dirigeants d'universités québécoises ont reçu des «indemnités de départ» équivalant à au moins un an de salaire, l'an der nier, quelques mois seulement avant d'être réembauchés dans d'autres fonctions. C'est le professeur Martin Singer, de l'Université Concordia, qui a le plus bénéficié de ce système de primes pour le moins étonnant. Après avoir occupé le poste de vice-recteur exécutif durant tout juste trois ans, entre 2004 et 2007, il a ensuite bénéficié d'un «congé administratif» de 14 mois, une période au cours de laquelle il a empoché la bagatelle de 363 430 $. Et ce n'est pas tout. Le contrat de M. Singer était à ce point généreux qu'il lui garantissait son plein salaire de cadre supérieur durant cinq ans, même s'il avait quitté «hâtivement» ses fonctions. Ce professeur d'histoire, qui a été nommé doyen à l'Université York de Toronto le 1er juillet dernier, a donc pu gagner 184 137 $, durant les neuf derniers mois de l'année 2008-2009, alors qu'il enseignait seulement deux cours par session. Réembauchée 11 mois plus tard Le cas de Martin Singer est loin d'être unique dans le réseau des universités québécoises, qui affichait pourtant un déficit accumulé de 455 M$, en 2008. La vice-rectrice à l'administration de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), Hélène Grand-Maître, a obtenu une «indemnité de départ» de 142 427 $, l'an dernier, après avoir volontairement «rompu son lien d'emploi» avec l'institution. Les hauts fonctionnaires oeuvrant dans le réseau de l'Université du Québec ont tous droit à une telle prime après quatre ans de service, a-t-on expliqué au Journal. Mais le «départ» de Hélène Grand-Maître n'a pas été très long : moins d'un an après avoir reçu son «indemnité», elle a été nommée vice-présidente de l'Université du Québec, en août dernier. C'est cet organisme qui chapeaute les universités régionales, dont fait partie son ancien employeur, l'UQO. À l'Université Concordia, le professeur Truong Vo-Van a eu droit à une indemnité de départ de 139 037 $, en 2008-2009, après avoir quitté ses fonctions de vice-recteur associé. Or, il est de retour au sein du corps professoral cette année, indique le secrétaire général de l'institution, Bram Freedman. Un cadeau de retraite ? D'autres cas soulèvent par ailleurs des doutes quant à la nécessité de verser de telles primes à ces hauts fonctionnaires. Le 28 novembre 2008, l'ancien directeur général de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), Pierre Lapointe, a quitté son poste, ce qui a lui a permis d'empocher une prime de 167 562 $. Mais trois jours plus tard, il était nommé à la tête de FPInnovations, une société de recherche du secteur forestier, qui lui aurait offert un «pont d'or» pour l'attirer, selon un article paru à ce moment-là dans un hebdomadaire lavallois. D'autres indemnités de départ ont été consenties à des hauts fonctionnaires des universités l'an dernier, soit parce qu'une telle mesure était prévue à leur contrat ou qu'ils avaient tout simplement décidé de prendre leur retraite. L'ancien recteur adjoint de l'Université de Sherbrooke, Denis Marceau, est du nombre. Il a eu droit à un chèque 217 441 $, il y a quelques mois, en partant à la retraite. Avec la collaboration de Serge Laplante, notre recherchiste à l'Assemblée nationale. «Révoltant» et «absurde» La Ligue des contribuables du Québec trouve «absolument révoltant» le versement de ces primes de départ à des hauts fonctionnaires des universités. La porte-parole de l'organisme, Claire Joly, avait du mal à contenir sa colère lorsqu'elle a été informée des révélations du Journal. «Ces gens-là profitent du système pour s'en mettre plein les poches, dénonce-t-elle. C'est carrément honteux d'accepter ce genre de primes-là, surtout quand ils ont le culot de venir nous dire ensuite que le système d'éducation supérieur est sous-financé.» Pourquoi de telles primes ? Claire Joly souligne que ce genre de pratique est «malheureusement assez répandu dans le secteur public.» «C'est une pratique de rémunération absurde, qui n'existe absolument pas dans le secteur privé. Si on démissionne ou on prend sa retraite, on n'a pas le droit à une prime de départ.» Mme Joly craint toutefois qu'il soit difficile de mettre un frein à ce système d'indemnités puisque «l'exemple vient d'en haut.» «Les députés eux-mêmes reçoivent une prime de départ s'ils démissionnent», déplore-t-elle.
  15. Le 24 août 2009 Les quartiers montréalais d'hier à aujourd'hui Agrandir Un des bijoux du quartier ouvrier né à l'époque de la Première Guerre mondiale: le marché Maisonneuve. Photo: David Boily, La Presse Marie-France Léger La Presse Découvrir et apprécier l'architecture et l'aménagement de différents quartiers montréalais, voilà ce que nous propose jusqu'au début octobre Héritage Montréal, grâce à ses circuits pédestres Architectours. Pour nous inciter à suivre le guide, Claudine Déom, professeure à l'École d'architecture de l'Université de Montréal, nous dévoile les origines et l'évolution d'un quartier ouvrier qui a opéré, depuis quelques années à peine, une reconversion: Hochelaga-Maisonneuve. «Héritage Montréal se penche sur les origines mais aussi sur les contributions contemporaines, les ajouts qui forment le patrimoine de demain. Ce qu'on dit aux Montréalais: il faut voir autrement ces aménagements et ces arrangements de bâtiments», souligne Mme Déom, qui accompagnera les mordus d'histoire et d'architecture dans ce quartier le 6 septembre. Bien penser les habitations Pour comprendre Hochelaga-Maisonneuve, il faut revenir au modèle souhaité par la municipalité de Maisonneuve au début du XXe siècle: un quartier pour les ouvriers qui serait sain, lumineux et aéré, comportant des logements superposés (les fameux «plex») proches des lieux de travail; les usines bordant le fleuve rue Notre-Dame. On était loin de l'idée des quartiers ouvriers insalubres. «On s'interroge encore sur l'origine de ces plex. On a des hypothèses sur les influences écossaises ou britanniques. Ces habitations typiques proposent une superposition de logements en groupe de deux, trois ou cinq pour régler le problème de densité. Ce sont des habitations en rangée auxquelles on accède par l'arrière par un réseau de ruelle. C'est Montréal qui a été la première à trouver cette solution au Canada. Il faut se souvenir que Montréal était alors la métropole.» Agrandir Un immeuble dont l'architecture ne contraste pas énormément avec des habitations superposées en rangée datant du XXe siècle. (Voir la photo plus bas) Photo: David Boily, La Presse De bons services En fait, les élus de l'époque voulaient ce qu'il y avait de mieux près des habitations, comme aux États-Unis: larges boulevards avec perspective (boulevard Morgan), architecture imposante de style Beaux-Arts (marché Maisonneuve et bain Morgan) et aménagements des espaces publics et des parcs (parc Morgan). «Les élus voulaient qu'il y ait de bons services pour les citoyens. L'idée de l'époque, c'était l'esprit sain dans un corps sain: au bain Morgan, il y avait non seulement une piscine et une palestre, mais aussi des douches et des toilettes, ce qui renforçait le principe de l'hygiène», précise Mme Déom. Agrandir Des plex en rangée remontant au début du XXe siècle dans la rue Nicolet. Au Canada, Montréal a été la première ville à innover avec ce type d'habitation superposées en rangée. Photo: David Boily, La Presse L'ancien quartier ouvrier a connu un boom immobilier depuis quelques années et s'embourgeoise sous l'appellation HoMa. Les tours modernes se multiplient et les chantiers s'activent toujours en 2009 sur les lieux d'anciennes usines et de terrains vagues. Édifiée à l'emplacement d'une ancienne voie ferrée, la place Simon-Valois tente quant à elle de recréer le design d'une vieille gare de triage... Les visites Le centre-ville ouest, domaines et jardins Samedi 22 août, dimanche 4 octobre Départ: 14h, angle Atwater et Sainte-Catherine (métro Atwater, sortie Sainte-Catherine) Le 25e de l'Affaire McGill College Samedi 12 septembre, dimanche 23 août Départ: 14h, angle McGill College et Sherbrooke Ouest (métro McGill) Le square Dorchester Samedi 29 août Départ: 14h, angle Peel et rue du Square Dorchester (métro Peel, sortie Peel est) Agrandir Le Bain Morgan, construit en 1915 dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve. Photo: Alain Roebrge, La Presse Hochelaga-Maisonneuve Dimanche 6 septembre Départ: 14h, angle Notre-Dame Est et Pie-IX (métro Pie-IX et autobus 139 sud) Vieux-Montréal/ Une autoroute pour la rue Saint-Paul Samedi 5 septembre Départ: 14h, angle avenue Viger et rue Saint-Urbain (métro Place-d'Armes) De la Gauchetière, passage oublié Samedi 19 septembre, dimanche 30 août Départ: 14h, angle rue Saint-Hubert et boulevard de Maisonneuve Est (métro Berri, sortie Place-Dupuis) Places et squares au centre-ville Samedi 3 octobre, dimanche 13 septembre Départ: 14h, angle Belmont et Côte du Beaver Hall (métro Square-Victoria, sortie Belmont) Les espaces verts de Westmount Dimanche 20 septembre Départ: 14h, angle boulevard de Maisonneuve et avenue de Vendôme (métro Vendôme) Plus d'info sur les visites et les tarifs: http://www.heritagemontreal.org Voilà quelque chose de positif venant d'Héritage Montréal
  16. Air Canada instaure un service sans escale entre Montréal et Bruxelles MONTREAL, le 20 août /CNW Telbec/ - Air Canada a annoncé aujourd'hui l'instauration d'un service sans escale assuré toute l'année entre Montréal et Bruxelles, comprenant un vol direct à destination et au départ de Toronto. Sous réserve de l'approbation gouvernementale, les vols quotidiens seront assurés à compter du 12 juin 2010, à temps pour la haute saison estivale. 20090820 Air Canada to launch Montreal - Houston from Dec 09 Air Canada starting 30NOV09 launches Daily Montreal - Houston service with CRJ705. Schedule as follows: AC7997 YUL0900 - 1155IAH CRA D AC7998 IAH1225 - 1640YUL CRA D Montreal-Fort de France, Martinique - New Air Canada flights launched in July will continue year-round, departing every Sunday onboard 120-seat Airbus A319 aircraft. Montreal-Fort Myers, Florida - New Air Canada flights will depart Sundays beginning December 6 onboard 120-seat Airbus A319 aircraft. Montreal-Samana/El Catey, Dominican Republic - New Air Canada flights will depart Saturdays beginning December 19 onboard 120-seat Airbus A319 aircraft. Montreal-Puerto Vallarta, Mexico - New Air Canada flights will depart Fridays beginning December 25 onboard 120-seat Airbus A319 aircraft. Montreal-Tampa, Florida - Weekly flights doubled with flights departing Thursdays and Saturdays beginning November 7 onboard 120-seat Airbus A319 aircraft. Montreal-Punta Cana, Dominican Republic - Increase to four times weekly, departing Mondays, Fridays, Saturdays and Sundays onboard 140-seat Airbus A320 aircraft.
  17. Charest enterre les PPP Denis Lessard La Presse (Québec) Le gouvernement Charest va habiller l'opération comme une profonde «réflexion» sur l'avenir de la formule des partenariats public-privé. Mais à Québec tout le monde a compris qu'il s'agissait d'un enterrement de première classe, surtout le président de l'Agence des PPP, Pierre Lefebvre. Le départ de ce haut fonctionnaire doit être annoncé aujourd'hui, après la réunion du conseil des ministres, a appris La Presse. Le protégé de Monique Jérôme-Forget était dans la ligne de mire de bien des membres du gouvernement depuis le départ de la Dame de fer, début avril. Joint lundi, il a refusé de commenter. Cette démission, prédit-on déjà, ouvrira la voie au retour au mode conventionnel pour la construction du CHUM, l'hôpital universitaire de Montréal. Ce changement de cap signifierait un an de retard supplémentaire - il faudra faire travailler des professionnels avant d'aller en appel d'offres général et donner tout le temps nécessaire aux entrepreneurs d'y répondre. Tout récemment le ministre de la Santé, Yves Bolduc, soulignait que le gouvernement reconsidérait le choix de la formule PPP pour le CHUM. «Si le gouvernement ne s'était pas peinturé il y a quelques semaines en faveur du projet en PPP, (il voulait désamorcer un rapport embarrassant du Vérificateur général), on serait déjà revenu en conventionnel», confie une source au centre de toutes ces tractations. «Pour les médecins spécialistes, il est évident que si on abandonne le PPP pour le CHUM c'est une excellente nouvelle», de renchérir de son côté le Dr Gaétan Barrette, le président des 8000 spécialistes. La présidente du Conseil du Trésor, Monique Gagnon-Tremblay, avait aussi des réticences et insiste depuis des semaines sur le fait qu'elle n'a jamais trouvé que les PPP étaient une panacée. Et, en coulisse, Julie Boulet et tout le ministère des Transports travaillent à ce que la réfection de l'échangeur Turcot revienne en mode conventionnel. Même le maire de Montréal, Gérald Tremblay, s'est mis de la partie pour demander que Turcot revienne en construction conventionnelle. Pierre Lefebvre, indique-t-on, voyait clairement dans ces sorties publiques convergentes la mort annoncée du processus de PPP. Depuis les dernières semaines, les associations de professionnels, les ingénieurs, les architectes et les entrepreneurs généraux ont enclenché une campagne publique pour que ces deux immenses projets ne soient plus réalisés en partenariat public-privé. Moins médiatisés, beaucoup d'autres projets, le CHUQ (l'hôpital universitaire de Québec), et des constructions de prisons provinciales, sont aussi «pris dans la mélasse». De sources sûres, on a appris que Pierre Lefebvre restera employé au Trésor pour la transition, et deviendrait, à compter de l'automne prochain, secrétaire associé au Conseil du Trésor, une étape avant son départ de la fonction publique - son contrat arrivait à échéance au printemps prochain. Avec un remaniement mineur, le gouvernement Charest doit annoncer ce matin un jeu de chaise musicale plus imposant du côté de la haute fonction publique - même en fin de semaine, on s'affairait à ce sujet au Conseil exécutif, le ministère du premier ministre. «Québec traîne les pieds» Le gouvernement annoncera le remplacement, par intérim, de M. Lefebvre par un haut fonctionnaire. Depuis des semaines, Québec coupait l'oxygène à l'organisme chargé de préparer les partenariats. L'indécision du gouvernement se manifeste de bien des manières. La moitié du conseil d'administration est parti sans être remplacé - le président du conseil, Claude Garcia, est parti depuis mars -, le sous-ministre des Transports, Denis Jean, assume l'intérim depuis. Pour l'économiste de CIRANO, Marcel Boyer, membre du conseil de l'agence, «le gouvernement traîne les pieds dans ces dossiers. Il y a beaucoup de rumeurs... je pourrai commenter dans quelques jours». «Je suis déçu. Les PPP ont leur place même s'il y a une forte opposition au Québec, ce sont des arguments qui ne tiennent pas la route. L'opposition aux PPP vient en général de gens dont la compétence n'est pas étincelante. Ce n'est pas parce qu'on dit quatre fois la même chose que cela devient vrai pour autant», de conclure l'économiste. Aussi, des postes de cadres à l'Agence ont été annoncés, mais n'ont jamais eu le feu vert pour être comblés.
  18. Publié le 06 juin 2009 à 08h44 | Mis à jour à 08h48 Le premier gratte-ciel de Montréal fêtera ses 50 ans Le promoteur William Zeckendorf montre les maquettes de la place Ville-Marie à la Reine Élisabeth II Photo: fournie par la SITQ Jean-Christophe Laurence La Presse Difficile d'imaginer Montréal sans la Place Ville-Marie. Depuis près d'un demi-siècle, cette tour de 188 m de hauteur fait partie intégrante de notre paysage urbain. À un point tel qu'on ne la voit plus. Mais ce ne fut pas toujours le cas. Et la SITQ, propriétaire du bâtiment, se charge de nous le rappeler par une exposition relatant l'histoire du premier gratte-ciel de la métropole québécoise en prévision de son 50e anniversaire, qui aura lieu en 2012. «On a tendance à oublier à quel point cet édifice cruciforme, le plus haut du Commonwealth en 1962, a bouleversé notre ville», résume Dany Gauthier, directeur immobilier principal de PVM. Présentée dans l'aire commerciale au niveau sous-sol, Place Ville-Marie: Quand Montréal s'éleva compte une centaine de maquettes et de photos inédites expliquant la naissance de ce projet d'envergure. On y apprend que la construction de la tour principale a duré quatre ans et que le tout fut réalisé pour la rondelette somme de 80 millions de dollars à l'initiative du promoteur William Zeckendorf, qui voulait faire de la Place Ville-Marie le coeur du nouveau quartier des affaires à Montréal. Sa conception fut confiée à l'architecte Henry N. Cobb, lui-même au service de Leoh Ming Pei, à qui l'on doit notamment la pyramide du Louvre. Avec ses murs-rideaux et ses façades de verre et d'acier, l'édifice s'inscrit à 100% dans le style «international» de l'époque. Mais sa hauteur et sa forme de croix le distinguent de tout ce qui s'est fait à Montréal dans les mêmes années. «Cette croix est comme un X qui marque le centre de Montréal, explique l'architecte Randy Cohen, de l'atelier Big City. Elle lui donne l'air de quatre gratte-ciel C'était une vision métropolitaine très avant-gardiste.» Intéressant: l'immeuble ne devait au départ compter que 44 étages. Mais on lui en ajouta trois in extremis afin de dépasser la tour rivale de la CIBC et de gagner la bataille du ciel montréalais. À noter que la Place Ville-Marie ne fait que huit mètres de moins que le mont Royal. Mais au-delà de l'architecture, il y a aussi l'impact social. Selon Richard Lafontaine, de l'organisme DOCOMOMO-Québec, Place Ville-Marie fait ni plus ni moins partie de notre «inconscient collectif» parce qu'elle marque l'accession de Montréal à la modernité. «Ce fut le signal de départ, explique M. Lafontaine. Ce projet nous plaçait dans la catégorie des grandes villes nord-américaines.» Rien ne fut laissé au hasard pour accentuer cette impression. Défilés de mode, cocktails, spectacles, patinoire et restaurants au sommet ont animé l'édifice au fil du temps, sans oublier son gyrophare, que l'on peut toujours voir à 58 mètres de distance chaque soir jusqu'à 1h du matin. M. Lafontaine déplore seulement qu'on ait «bousillé la plaza» dans les années 80 et défiguré ce qui était de loin le lieu le plus inspiré du complexe. «C'était la plaza moderne dans toute sa splendeur», résume-t-il. Place Ville-Marie est aujourd'hui protégée en vertu d'une citation par l'arrondissement Ville-Marie. Son locataire principal est la Banque Royale du Canada, qui occupe 14 étages. À noter que la construction des quatre autres tours s'est achevée au début des années 80. Place Ville-Marie: Quand Montréal s'éleva. Jusqu'au 31 octobre au 1, Place Ville-Marie La Place Ville-Marie, c'est... > 1 000 000 de passages par mois > 10 000 personnes qui y travaillent > 52 codes postaux > 49 000 tonnes d'acier > 1 million de boulons > 261 km de tuyauterie > Le point de départ des 33 km du réseau souterrain de Montréal source http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200906/06/01-863619-le-premier-gratte-ciel-de-montreal-fetera-ses-50-ans.php
  19. La petite histoire du Tour de l'île Émilie Côté La Presse Le Tour de l'île a contribué largement à l'engouement pour le vélo à Montréal depuis 25 ans. Si bien que, selon le magazine Forbes, la métropole occupe le quatrième rang des villes nord-américaines les plus accueillantes à bicyclette. Difficile de croire que, en 1985, une personne qui allait travailler en vélo était perçue comme «granole». Aujourd'hui, tout Montréal est vélo, que ce soit pour aller travailler, pour faire du sport et même pour... déménager! Pour raconter la naissance du Tour de l'île, il faut d'abord parler de Vélo Québec et de son ancêtre, la Fédération québécoise de cyclotourisme, donc du père Gabriel Lupien et de Gérald Larose. Et oui, l'ancien président de la CSN. Le petit Gérald Larose a grandi à Bury, dans les Cantons-de-l'Est. «Nous étions 11 enfants, mais nous avions deux bicyclettes. Quand c'était notre tour, on en profitait pour partir longtemps», raconte-t-il. Le jeune garçon part faire ses études classiques au séminaire Saint-Alphonse, à Sainte-Anne-de-Beaupré. Son professeur d'éducation physique, le père Gabriel Lupien, est un amoureux du vélo. «L'été, il nous emmenait faire le tour de l'île d'Orléans à bicyclette.» Après avoir créé une école de cyclotourisme, le père Lupien fonde en 1967 la Fédération cyclotouriste provinciale, où Larose déniche un emploi d'été. «On faisait la tournée des OTJ (Organisation des terrains de jeu) et on donnait des cours de sécurité et de mécanique, explique Gérald Larose. J'ai visité tout le Québec.» Des compétitions et de longues randonnées sont aussi organisées. Et en 1979, la Fédération devient Vélo Québec. À l'époque, le changement de nom ne fait pas l'unanimité car le mot «vélo» ne dit pas grand-chose au commun des mortels. «C'était la fin des années 1970. Le vélo n'était pas si populaire. Les cyclistes se connaissaient à peu près tous. Quand je marchais et que je voyais un vélo cadenassé, je me disais: Ah, c'est le vélo d'un tel», raconte Suzanne Lareau, aujourd'hui PDG de Vélo-Québec après y avoir travaillé toute sa vie. Mais c'est la crise du pétrole et le vélo - surtout associé aux enfants - connaît un certain engouement chez les adultes. «Il y avait une image granole associée au cycliste», signale Mme Lareau. À l'époque, elle travaille chez Vélo Québec avec Michel Labrecque - le président actuel de la STM - et Louise Roy - qui a dirigé les Outgames. «Au début des années 1980, on voulait organiser un grand rassemblement à vélo, comme le Five Boro Bike Tour de New York.» Puis à l'été 1985, le ministre des Transports de l'époque, Guy Tardif, mandate Vélo Québec pour «organiser une activité qui inaugurera les nouvelles pistes cyclables dans l'est de la ville». Délai: six semaines. Le tout premier Tour de l'île a donc lieu le 13 octobre 1985. «C'était effrayant comme temps. Il a plu à torrents. Il ventait et il faisait froid», résume Suzanne Lareau. Seulement 3500 des 7000 personnes inscrites se présentent. Les piles des cellulaires des organisateurs - transportés à l'époque dans des valises - sont déchargées avant même le signal de départ. Devant la foule parsemée, les policiers veulent même interrompre le Tour avant la fin. Mais Guy Tardif dit non. Découragés? «On était surtout inconscients, répond Suzanne Lareau. Mais pour l'équipe, il y avait sans aucun doute un potentiel.» Pour l'année suivante, l'activité est remise au mois de juin. Objectif: 15 000 participants. «Personne ne nous croyait. On nous trouvait ridicules», se souvient Mme Lareau. Le départ n'a pas lieu au Stade olympique, mais dans le Vieux-Port, qui n'est pas asphalté à l'époque. Les 15 000 personnes attendues sont au rendez-vous, mais aussi la pluie. Résultat: «De la boue.» Mais à 11h, le soleil se pointe à l'horizon. Les Tours de l'île suivants ne sont que des succès. On passe de 15 000 à 26 000 participants, à 32 000, puis à 45 000, raflant le record Guinness du plus grand rassemblement cycliste au monde. «La fête a dépassé nos espérances et nos rêves les plus fous, dit Suzanne Lareau. On a prouvé au gouvernement que le vélo était populaire et démocratique. On a pu réclamer des aménagements cyclables.» «On arrivait avec l'antithèse du marathon. Il n'y a pas de gagnant, de chronomètre ou de médailles», fait valoir la PDG de Vélo Québec, qui compte aujourd'hui 130 employés en période de pointe. Aujourd'hui, les cyclistes n'ont plus une image «granole». Il y a des gens en cravate qui roulent pour aller au bureau et de jeunes adultes qui enfourchent un Bixi à la sortie des bars. «À l'époque, on passait pour des hurluberlus, se souvient pourtant Gérald Larose. C'est là qu'on se rend compte qu'il y a des petites choses qui deviennent importantes...» Le Tour de l'île 30 000 cyclistes parcourront 52 km Point de ralliement: parc Jeanne-Mance Départ à compter de 9h15 (avec animation du Cirque du Soleil) Spectacle de clôture avec Daniel Bélanger à 14h30 Des bicyclettes et des chiffres > Selon le magazine Forbes, Montréal occupe le quatrième rang des villes nord-américaines les plus accueillantes à bicyclette. > Le magazine Time a classé le Bixi parmi les 50 meilleures inventions de 2008. (une invention??!!) > Selon Statistique Canada, le tiers des Montréalais de 25-34 ans se déplacent avec des moyens de transport «durables», soit en autobus, à pied ou à vélo. > Selon un rapport de Vélo-Québec datant de 2005, un adulte sur six (16%) utilise le vélo comme moyen de transport au Québec. À ces 900 000 personnes s'ajoutent 75 000 enfants. > Les déplacements à vélo des Montréalais sont passés de 1% à 1,6% de 1996 à 2006. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200906/06/01-863601-la-petite-histoire-du-tour-de-lile.php
  20. Ma préférée du gouv. Charest s'en va ----------------- Politique Monique Jérôme-Forget annonce son départ La Presse Canadienne 08/04/2009 09h33 - Mise à jour 08/04/2009 10h03 Monique Jérôme-Forget démissionne de ses fonctions ministérielles de même que de son poste de députée de Marguerite-Bourgeoys. L'annonce a été faite par Mme Jérôme-Forget elle-même, ce matin, à l'Assemblée nationale, en présence du premier ministre Jean Charest, qu'elle a qualifié d'ami à vie. La ministre des Finances et ministre responsable des Infrastructures entend désormais se consacrer à sa vie familiale. Elle a souligné qu'elle avait décidé depuis un certain temps de quitter la politique. Quant au premier ministre Charest, il a dit être très ému par le départ de Mme Jérôme-Forget. Il a souligné la longue carrière politique de sa fidèle alliée, qui s'étale sur plus de 40 ans. Il a aussi noté la difficulté des mandats que sa ministre a néanmoins accepté de relever au gouvernement du Québec. Elle a été élue pour une première fois à l'Assemblée nationale aux élections générales du 30 novembre 1998. Mme Jérôme-Forget devrait tenir une conférence de presse en après-midi dans sa circonscription de Marguerite-Bourgeoys, dans l'arrondissement LaSalle, à Montréal.
  21. Plutôt que d'offrir des indemnités de départ trop généreuses, Pauline Marois estime qu'on devrait hausser le salaire des PDG de sociétés d'État. Pour en lire plus...
  22. La chef de l'Opposition à Québec, Pauline Marois, ne cache pas son malaise face aux primes de départ consenties aux présidents de grandes sociétés d'État. Pour en lire plus...
  23. Plusieurs hauts dirigeants de sociétés d'État jouissent de clauses contractuelles qui leur garantissent le versement d'indemnités de départ substantielles même s'ils quittent leur poste de leur plein gré. Pour en lire plus...
  24. Henri-Paul Rousseau n'est pas le seul à bénéficier d'une clause particulière d'indemnité de départ. Les PDG d'Hydro-Québec, de la SAQ et de la SGF aussi. Pour en lire plus...
  25. Henri-Paul Rousseau soutient qu'il n'a jamais négocié une indemnité de départ particulière lors de son embauche à titre de PDG de la Caisse, en 2002. Pour en lire plus...
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