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  1. Le Sainte-Émilie est un projet de 18 condominiums de 1 à 3 chambres, allant de 657 à 1466 pi2, situé à proximité du canal de Lachine et du marché Atwater, dans le très recherché secteur du Sud-Ouest de Montréal. Livraison: décembre 2014 Plus d'information à la page: districtatwater.com Sainte-Émilie coin Bourget
  2. Situé à l'intersection des rues Hochelaga et Fletcher, ce projet est composé de 3 phases distinctes. Les deux premières phases sont complétées mais les travaux de la troisième phase ne sont pas encore commencés. Les unités de la troisième phase sont encore en vente. Photos en date du 10 décembre 2013 La troisième phase: La première phase complétée: La deuxième phase complétée: Le terrain longeant la rue Hochelaga qui accueillera la troisième phase:
  3. Le Québec des visiteurs L’imaginaire touristique des «étrangers» est-il différent du nôtre? 31 décembre 2016 | Benoît Legault - Collaborateur | Voyage http://www.ledevoir.com/plaisirs/voyage/487998/le-quebec-des-visiteurs?utm_campaign=Autopost&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1483305280 Photo: Lukas AykroydLe Festival d’été de Québec et ses grands spectacles, un attrait indéniable pour les visiteursÀ quoi rêvent les étrangers quand ils pensent au Québec ? En quoi leurs fantasmes touristiques sont-ils différents des nôtres ? Rêvent-ils du mont Tremblant, de la poutine, du Festival de jazz de Montréal et d’autres icônes dont nous faisons la promotion ? Ou rêvent-ils plutôt de grandes forêts, d’animaux sauvages et d’autochtones ? Quelques « étrangers » (des non-résidants du Québec et des Québécois venus d’ailleurs) racontent. Leurs avis sont fascinants, souvent inattendus, et ouvrent des fenêtres sur leur et notre monde. Nous avons aussi consulté beaucoup de guides touristiques écrits sur le Québec. On peut distinguer quatre types d’étrangers. Il y a ceux de proximité, les Canadiens anglais et les Américains qui mythifient le Québec, lui accordant une aura de raffinement européen. Il y a les Européens, pour qui la province est une interface américaine nichée dans un climat nordique. Et il y a les étrangers de très loin, vivant dans des pays chauds, exotiques, d’où le Québec apparaît comme un pays cher, difficile à atteindre. «Benoit, montre-moi un Montréal où les Anglos ne vont pas», dit mon ami John Matthew, en marge d’un des matchs de baseball des Blue Jays de Toronto disputés à Montréal. John travaille pour les Blue Jays. J’avais l’embarras du choix, car le Montréal que voient les touristes anglos est tout petit, circonscrit. Pour que ce soit facile, je l’emmène donc rue Ontario, dans HoMa, pas bien loin du Stade olympique où jouent les Jays. John était fasciné par une pauvreté bien assumée côtoyant une gentrification élégante. Mais ce qui l’a le plus impressionné, sa rencontre déterminante, fut un hot-dog à 89 cents, relish-moutarde-chou, servi par une wétresse truculente. Il n’en revenait tellement pas qu’il a pris une photo. Et vu que, dans cette rue, tout s’appelle Ontario, ç’était bien amusant aussi. «J’ai adoré pouvoir acheter des saucisses et une bière assortie en même temps chez le saucissier Walter car je ne peux pas faire ça à Toronto.» John a aussi bien aimé se balader en autobus, il avait les yeux grands comme des 30 sous à regarder comment les Montréalais s’habillent, se comportent. John Matthew a apprécié les boutiques émergentes et les restos de hipsters barbus, mais de ça, il y en a beaucoup à Toronto. Photo: Rafael Osio CabricesLa plage du Vieux-Port de Montréal, le fleuve, l’île Sainte-Hélène et le pont Jacques-Cartier : l’architecture urbaine et la nature se déclinent en couches successives qui caractérisent Montréal et d’autres villes du Québec, selon le journaliste latino-américain Rafael Osio Cabrices. Le spectacle du monde Quand je voyage dans les pays latins, en Italie notamment, j’adore regarder les gens car leurs sentiments sont si évidents. Nos Anglos vivent ici le même type de fascination. «Sur le plan culturel, un de mesgrands moments de 2016 a été de voir de grands shows internationaux de rock au Festival d’été de Québec, avec des centaines de milliers de spectateurs exubérants», dit Lukas Aykoyd, un des meilleurs journalistes touristiques au Canada. Il couvre beaucoup aussi la musique et les sports depuis Vancouver. «Les gens sont dans leur bulle, sur la côte Ouest, quand ils assistent à un spectacle. Ici, c’est plus convivial, voir un show est une expérience collective. Voir un match de hockey aussi; assister à un match des Canadiens, c’est unique. Le Centre Bell est la cathédrale du hockey avec son orgue!» Lucas dit que la nature québécoise ne l’attire pas tellement, «car il y a pas mal de nature chez moi. Mais je n’oublierai jamais une balade en scooter sur le mont Royal pendant les couleurs d’automne, en route vers le marché Jean-Talon». Les gens sont dans leur bulle, sur la côte Ouest, quand ils assistent à un spectacle. Ici, c’est plus convivial, voir un show est une expérience collective. Assister à un match des Canadiens, c’est unique. Le Centre Bell est la cathédrale du hockey avec son orgue! Lukas Aykoyd, journaliste touristique au Canada, couvre aussi la musique et les sports depuis Vancouver. Arbres en ville Le marché Jean-Talon fascine les étrangers. Les Nord-Américains baignent joyeusement dans son ambiance bohème, les Européens adorent y trouver des produits québécois exceptionnels, au Marché des saveurs notamment. «Le marché Jean-Talon mepermet de mesentir chez moi à Montréal», explique Rafael Osio Cabrices, journaliste et auteur vénézuélien basé dans la métropole. «Montréal merappelle aussi Caracas à cause de toute la nature qu’on voit et qu’on sent dans la ville», dit-il. Il rejette toutefois la perception du Québécois latin. «C’est vraiment de la foutaise. Viens au Venezuela, tu verras c’est quoi, le caractère latin. Les Québécois sont très calmes, posés. En outre, les hommes d’ici ne sont pas du tout machistes comme le sont ceux de chez nous.» Le Québec est donc latin pour les Anglo-Saxons et nordique pour les Latins ! Des visas pour le Canada On ne se rend pas compte, ici, à quel point il est souvent difficile pour des étrangers d’obtenir un visa afin de visiter le Canada. «Pour la plupart des Latino-Américains, le visa de touriste pour le Canada est plus cher et plus difficile à obtenir que celui pour les États-Unis. Les Latino-Américains qui peuvent venir ici vont vraiment apprécier les restaurants, la ville culturelle intense et les festivals de Montréal, explique Rafael. Très peu de villes de l’Amérique latine ont une vie culturelle comparable. Il y a Mexico, Buenos Aires, et peut-être les mégapoles du Brésil.» Et l’hiver québécois, est-ce exotique et attirant ? «Très peu de Latino-Américains rêvent de l’hiver. Nous avons peur du froid! Toute température sous les 22°C est considérée comme froide chez nous, alors l’hiver comme attrait, non, pas vraiment. Malgré tout, c’est sûr que tous les enfants aiment l’hiver et c’est bien de leur montrer cela une fois. Mais il faut alors acheter des vêtements juste pour un voyage. Ça fait beaucoup d’argent», dit-il. Les Latino-Américains qui peuvent venir ici vont vraiment apprécier les restaurants, la vie culturelle intense et les festivals de Montréal Rafael Osio Cabrices, journaliste et auteur vénézuélien basé à Montréal La Gaspésie, oui et non Photo: Pierre Charbonneau Tourisme QuébecDes fruits de mer servis à l’Auberge de montagne des Chics-Chocs, en Gaspésie. La gastronomie québécoise est à la fois excellente et abordable, un point fort de l’attrait du Québec. Cadre chez Hydro-Québec, Kim-Nhan Ly est la tante de l’auteure Kim Thúy. Arrivée avec la vague des boat people vietnamiens à la fin des années 1970, elle conserve un tendre souvenir de la région de Granby qui l’a accueillie. Et la première qu’elle a voulu visiter, c’est la Gaspésie. «J’en avais fait le tour en auto avec mon chum. C’était un classique touristique incontournable à l’époque. J’ai adoré, mais j’ai peu visité les autres régions du Québec. Pour le moment, mesvoyages, c’est surtout aller dans le Sud et aller voir ma famille disséminée dans plusieurs lieux.» La jeune peintre et entrepreneure française Aurélia Bizouard a vécu en de nombreux endroits au Canada, dont Montréal. Arrivée au pays il y a quelques années, elle n’a pas vu la Gaspésie. «Les voyagistes français ne semblent pas privilégier cette région. Après Québec, on avait visité en groupe Charlevoix et le Saguenay, avec Tadoussac et ses baleines. Voir la grande nature, aller à la rencontre des Québécois, c’était le but du voyage initial», explique-t-elle. «Plus tard, je suis allée sur la Côte-Nord et j’ai pris un traversier vers la Gaspésie en hiver. Le choc des glaces sur la coque, c’était formidable. Le Québec devrait peut-être promouvoir davantage ce type d’expérience», dit Aurélia Bizouard, qui habite maintenant Vancouver. Des guides Photo: Aurélia BizouardLe Vieux-Québec baigne dans une lumière colorée en fin de journée. Ce lieu magique demeure l’attraction numéro un pour les marchés internationaux. Nous avons consulté la majorité des guides internationaux écrits en français et en anglais sur le Québec. La Gaspésie et les autres régions touristiques très éloignées des grands centres sont relativement peu décrites. Le Vieux-Québec et le Montréal culturel sont bien sûr les vedettes de tous les guides, avec des sections secondaires sur les régions limitrophes. Le fjord du Saguenay et la côte de Charlevoix apparaissent comme les étoiles actuelles du tourisme régional tourné vers l’étranger. Les Laurentides et l’Estrie sont aussi régulièrement mentionnées. Et les îles de la Madeleine exercent une certaine fascination. On a toujours l’impression que les étrangers viennent ici pour vivre la culture autochtone. Pourtant, les mentions de ce tourisme sont courtes et furtives dans les guides touristiques étrangers. La reconnaissance étrangère de l’histoire exceptionnelle du Québec est évidente. Par exemple, dans un Insight Guide du Royaume-Uni, on écrit : «Les premiers Nord-Américains après les Indiens, ce sont les Québécois.» Au final, les étrangers semblent aimer à peu près les mêmes attractions et les mêmes endroits que les Québécois, mais pour des raisons différentes, en fonction de leurs traits culturels et de leurs motivations touristiques. Benoit Legault a beaucoup écrit sur le Québec pour des publications étrangères: le Guide du routard, l’édition britannique du Guide Vert Michelin, les guides américains Frommer’s et USA Today.
  4. Rénovation de la façade du centre commercial situé sur la rue Sherbrooke. En date du 10 décembre 2013 : Voici la façade avant les travaux : Photographie de Google StreetView
  5. Nom: Les Bassins, phase 1 Hauteur: 8 étages Coût du projet: Promoteur: Prével / Rachel Julien Architecte: Emplacement: (voir carte ci-dessous) Début de construction: décembre 2011 Fin de construction: Site internet: http://www.lesbassins.ca
  6. Voici le projet Contrecoeur. Situé à l'intersection des rues de Contrecoeur et Pierre-de-Coubertin, celui-ci est composé de 3 maisons de ville. Malgré une apparence bleutée sur le rendu, la brique est plutôt grise en vrai. Bien plus beau! En date du 10 décembre 2013 :
  7. La Presse: La revanche du centre-ville Depuis plus de 10 ans, on dénigre Montréal sur bien des tribunes. Au cours des dernières années, ses détracteurs ont eu beau jeu de dépeindre la métropole québécoise comme une ville en crise, avec ses scandales à l'hôtel de ville, ses nids-de-poule, son pont Champlain qui se dégrade et son métro régulièrement en panne, pour ne donner que ces exemples. Pourtant, quand on enlève nos lunettes noires pour regarder la situation dans son ensemble, on s'aperçoit que la métropole est loin d'avoir dit son dernier mot. Cette année, le centre-ville verra apparaître plus de grues qu'il n'en a vues depuis bien longtemps. Pour 2014 seulement, on parle de huit édifices à vocation résidentielle ou mixte de plus de 30 étages en cours de transformations majeures, en construction ou sur le point de l'être. Avec Le V (40 étages, 250 unités), l'Altoria/Aimia (34 étages, 152 unités), le Roccabella (41 étages, 540 unités), l'Icône (39 étages, 357 unités), le Waldorf Astoria (34 étages, 100 unités), l'Avenue (50 étages, 315 unités), la Tour des Canadiens (48 étages, 700 unités), la Tour Union/Tom condos (35 étages, 377 unités), ce sera de près de 3000 nouveaux logements qui verront s'installer des travailleurs intéressés par la vie au centre-ville et possédant un pouvoir d'achat important. Un milieu de vie «Il y a un très grand intérêt pour le centre-ville et la demande est forte parce que la vie au centre-ville de Montréal est vibrante, intéressante, sûre et agréable, dit Paul Lewis, professeur d'urbanisme à l'Université de Montréal. Les gens constatent de plus en plus que ce style de vie présente beaucoup d'avantages.» En offrant un milieu de vie attrayant sur le plan résidentiel, on stimule non seulement l'apparition de nouveaux commerces destinés à répondre aux besoins des nouveaux habitants, mais on attire aussi les emplois. «L'élément le plus important pour les entreprises dans le choix d'une ville, c'est de pouvoir compter sur un bassin de main-d'oeuvre qualifiée. La floraison de nouvelles entreprises technologiques qui choisissent les quartiers centraux est liée au développement résidentiel. Les travailleurs de ces entreprises sont souvent des jeunes professionnels qui aiment habiter près de leur lieu de travail», dit Mario Polèse, professeur et chercheur au Centre urbanisation, culture et société de l'Institut national de recherche scientifique. Selon lui, il ne faut pas s'inquiéter outre mesure au sujet des problèmes actuels d'infrastructures. «Tout le monde est d'accord sur le fait qu'ils sont extrêmement gênants et qu'il est important de les régler, mais c'est une phase qui va passer et que d'autres villes traversent aussi, dit-il. Ce n'est pas cela qui va déterminer, à long terme, la santé économique de la région de Montréal. Je n'ai pas encore entendu une entreprise ou un homme d'affaires dire qu'ils ne viendront pas s'installer à Montréal à cause de ses problèmes d'infrastructures.» Par contre, ces enjeux médiatisés en font oublier d'autres, moins spectaculaires, et sur lesquels il faudrait se pencher davantage, explique le chercheur. «Ce qui est tout aussi important pour qu'une grande métropole puisse rayonner sur le plan économique, ce sont les éléments qui favorisent sa connectivité à l'échelle internationale et régionale. C'est important pour les gens d'affaires d'avoir des interactions faciles avec le reste du monde, comme des vols directs vers d'autres grandes villes. La situation de Montréal à cet égard est loin d'être idéale, pour diverses raisons, que l'on parle du train ou de l'avion. La liaison avec New York, par exemple, est lamentable.» Un nouveau maire L'arrivée de Denis Coderre à la mairie suscite d'énormes attentes. Le nouveau maire a annoncé six priorités pour la Communauté métropolitaine de Montréal: un pont Champlain sans péage, planifier les transports en commun, mettre en place une stratégie économique, mettre en oeuvre le Plan métropolitain d'aménagement et de développement, favoriser le logement social et assurer un leadership fort. Avec autant de défis à relever, les prochaines années s'annoncent cruciales pour le développement et l'avenir de Montréal. «L'un des plus grands défis sera d'attirer et de retenir les familles de classe moyenne, et de stopper leur exil vers la banlieue, dit Paul Lewis. Mais ce ne sera pas une bataille facile.» MONTRÉAL EN CHIFFRES > Population : 1,98 million (2012) > Nombre d'emplois : 977 900 (décembre 2013) > Nombre d'établissements manufacturiers : 9055 (2010) > Taux d'activité : 65 % (décembre 2013) > Taux d'emploi : 59,1 % (décembre 2013) > Taux de chômage : 9,1 % (décembre 2013) > PIB aux prix de base par habitant : 58 126 $ (2012) > Revenu disponible des ménages par habitant : 26 469 $ (2012) Source : Institut de la statistique du Québec PRINCIPAUX SECTEURS D'ACTIVITÉ À MONTRÉAL EN 2012 1. Commerce de gros et de détail: 141 300 emplois (15,0% du total) 2. Soins de santé: 113 040 emplois (12,2%) 3. Services professionnels, scientifiques et techniques: 106 446 emplois (11,3%) 4. Fabrication: 101 736 emplois (10,8%) 5. Information, culture et loisir: 68 766 emplois (7,3%) 6. Hébergement et restauration: 62 172 emplois (6,6%) Source: Desjardins, Études économiques
  8. http://journalmetro.com/plus/carrieres/433651/lemploi-affiche-un-nouveau-record-a-montreal-pour-un-troisieme-mois-consecutif/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">L’emploi affiche un nouveau record à Montréal pour un 3e mois consécutif Par Laurence Houde-RoyMétro </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">MétroDans la vente et les services aux personnes, environ 50 % des travailleurs sont surqualifiés.</figcaption></figure> Le nombre d’emplois à Montréal a atteint un nouveau record pour le troisième mois consécutif en décembre 2013, selon l’Enquête sur la population active de Statistique Canada. Quelque 977 300 Montréalais travaillaient, soit 1000 de plus qu’en novembre 2013 et 8400 de plus qu’en octobre 2013. «Cette performance est cependant légèrement atténuée par une perte de 4300 postes à temps plein en un mois, alors que 5900 emplois à temps partiel ont été créés», mentionne le bulletin Enquête sur la population active du mois de décembre 2013 de Montréal en statistiques. <aside class="stat-highlight" style="border-style: solid; border-color: rgb(218, 218, 218); border-width: 1px 0px; font-size: 13px; line-height: normal; font-family: Arial, sans-serif; padding: 10px 0px;"> 18 500 On compte 18 500 emplois de plus sur l'Île-de-Montréal en décembre 2013 que douze mois plus tôt. </aside>Le taux de chômage à Montréal a également fait un bond d’un dixième de point en décembre, pour grimper à 9,1%. «L’arrivée de personnes additionnelles au sein de la population active a fait sentir sont impact sur le taux de chômage», explique Montréal en statistique. La population active est effectivement composée de 2600 individus de plus qu’en novembre 2013, avec maintenant 1 075 200 Montréalais en emploi ou à la recherche d’emploi, «soit un record de tous les temps». Le taux de chômage à Montréal en décembre affiche tout de même une baisse de 0,9 point si on le compare aux données de décembre 2012, où il était de 10%.</article>
  9. Bonjour, Quelques photos récentes (ou plus anciennes) de certains changements urbain de ville de Laval. Note: Les images du haut des premiers montages, proviennent de "Google Street View". Le 1699 le corbusier, aout 2011 et 2 juin 2013 Agrandissement de Place Laval, aout 2011 // 2 juin 2013 Station Canadian Tire (boulevard des Laurentides, Pont Viau), septembre et decembre 2012 Le Zellers de Gallerie laval (face au centre laval), aout 2011 // 1ier juin 2013 1968-2005 Boul Levesques, St-Vincent de Paul, Laval. Autoroute13 1976 // 11 aout 2012. Voila pour le moment, j'en ai quelques autres encore....pour la prochaine fois !!
  10. Seul le Québec, IPE et la Saskatchewan ont eu augmentation du taux de chômage Faut croire que la reprise économique est maintenant bien amorcée au pays. Retour aux chiffres normaux... *** Emploi - Perte de 25 700 emplois au Québec en décembre Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage a légèrement augmenté en décembre, pour s'établir à 7,5 %, en hausse de 0,1 % par rapport à novembre. Statistique Canada souligne que 17 500 emplois ont été ajoutés en décembre au pays après deux mois de baisses. Toutefois, le taux de chômage a augmenté parce que davantage de personnes ont cherché activement du travail. L'organisme rapporte une augmentation de 43 000 du nombre de personnes travaillant à temps partiel en décembre mais note aussi une baisse de 26 000 du nombre de travailleurs à temps plein. Le nombre d'emplois dans le secteur de la fabrication a augmenté de 30 000 en décembre. Parallèlement, le nombre d'emplois a baissé de 7200 dans les services publics et est resté à peu près inchangé dans les autres secteurs. Pour l'ensemble de l'année 2011, les gains sont de 199 000 emplois au pays. La grande majorité de ces emplois ont été créés durant les six premiers mois de l'année. Hausse du chômage au Québec Dans les provinces, l'emploi a augmenté en décembre en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'emploi a toutefois diminué au Québec pour un troisième mois consécutif. La diminution était estimée à 25 700 emplois en décembre, portant le taux de chômage à 8,7 %. Les baisses les plus marquées au Québec se situent dans le secteur de la construction (monctezuma : pourant c'est pas les chantiers qui manquent !?!?) et dans celui des soins de santé et de l'assistance sociale. Le Québec a connu une baisse de 51 000 emplois en un an. Taux de chômage par province, décembre (novembre entre parenthèses) Terre-Neuve-et-Labrador 12,8 (13,2) Île-du-Prince-Édouard 11,4 (11,1) Nouvelle-Écosse 7,8 (8,6) Nouveau-Brunswick 9,4 (9,8) Québec 8,7 (8,0) Ontario 7,7 (7,9) Manitoba 5,4 (5,5) Saskatchewan 5,2 (5,1) Alberta 4,9 (5,0) Colombie-Britannique 7,0 (7,0)
  11. L'offre a ete annoncee il y aquelques semaines. Par contre je n'avais pas realiser que Cominar mettait la main sur la Gare centrale... Cominar émet pour 125 millions de dollars de nouvelles unités. Le plus grand fonds de placement immobilier du Québec et plus grand propriétaire commercial de la province met 5 734 000 nouvelles parts en circulation. Le produit de l'émission d'unités servira à réduire sa dette issue du crédit courant et à «financer le programme d'acquisition et de développement continu de Cominar», selon le communiqué émis par le fonds de placement immobilier (FPI). La société de Québec a lancé le 2 décembre une offre d'achat non sollicitée du FPI montréalais Canmarc, l'ancien FPI Homburg. Au comptant, Cominar propose 838,2 millions de dollars pour Canmarc, notamment propriétaire de la Gare centrale, à Montréal, soit 15,30 $ par unité au moment de la proposition. Cominar offre aussi d'échanger 0,7054 unité de son titre contre une unité de Canmarc, jusqu'à concurrence de 16 millions d'unités de Cominar échangées. Quelques jours avant, le 28 novembre, Cominar avait déjà augmenté ses parts dans Canmarc à 15,1 %, en achetant 3,1 millions d'unités. Le FPI de Québec est ainsi devenu le deuxième plus grand actionnaire de Canmarc.
  12. MtlMan

    Le Roi est nu

    Me semble que je radote. Mais je ne suis pas le seul. Et puis, c'est pas faux. http://www.cyberpresse.ca/opinions/201101/12/01-4359508-le-roi-est-nu.php
  13. Le Cirque du Soleil a acquis en décembre un terrain vague d'une valeur de 3,2 millions de dollars à proximité de son siège social dans le quartier Saint-Michel, à Montréal, pour y développer ses installations. Selon des documents consultés par Radio-Canada, ce terrain a été acheté en 2008 de la Ville de Montréal pour 2,8 millions de dollars par une compagnie à numéro appartenant à Guy Laliberté, le fondateur et chef de la direction du Cirque. Les prix correspondent aux évaluations municipales. Selon une porte-parole du Cirque du Soleil, l'entreprise a acquis ce terrain en décembre de la compagnie de Guy Laliberté dans le but de le développer « au moment opportun [...] pour une vocation communautaire ou administrative », mais refuse d'en expliquer les raisons détaillées. Le terrain pourrait néanmoins servir à y construire de nouveaux bureaux. Pour l'instant, les employés du Cirque sont logés dans des bureaux loués à proximité du site. « Le Cirque a bel et bien acheté ce terrain près de la TOHU. Cependant, nous n'avons pas pour l'instant de projets établis. Il faut garder en tête le fait que le Cirque est installé dans le quartier Saint-Michel depuis 1997 et que nous avons toujours investi dans l'optique d'être bien ancrés dans le quartier », affirme la porte-parole Tania Orméjuste. « Le Cirque du Soleil ne se cache pas d'être intéressé par les terrains qui pourraient devenir disponibles dans le quartier Saint-Michel pour développer le centre de création qu'est le siège social international », poursuit-elle. L'arrondissement Saint-Michel dit n'avoir délivré aucun permis de construction pour ce terrain récemment ni avoir reçu de demande de permis. Il n'existe pas d'autres transactions ces dernières années dans le secteur au nom de Guy Laliberté ou de sa compagnie à numéro. Ce terrain est partiellement occupé par Rebuts solides canadiens, une société qui trie les matières recyclables de plusieurs arrondissements. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/01/11/013-cirque-soleil-terrain.shtml
  14. Construction de (12) unités de condos. Bâtisse de 8 unités avec livraison pour le 15 septembre 2010 et une de 4 unités avec fenestration sur 3 côtés avec livraison pour décembre 2010. Les bâtisses sont situées aux 6860 et 6870, 25e Avenue au sud de Bélanger, côté Ouest de la 25e Avenue. http://lesconstructionsdla.com/projet_le_25e_avenue.asp
  15. Travaux majeurs La « Main » fermée jusqu'en décembre Mise à jour : 15/09/2010 11h46 Dès jeudi et jusqu’en décembre, les automobilistes devront éviter le secteur du boulevard Saint-Laurent, au centre-ville de Montréal. L’artère principale sera fermée à la circulation pendant trois mois en raison de travaux majeurs, du boulevard René-Lévesque jusqu’au boulevard Maisonneuve. La Ville en profitera pour refaire les infrastructures souterraines du boulevard, dans le cadre des travaux du Quartier des spectacles. Par contre, la rue Jeanne-Mance, qui était barrée depuis la fin de l’été, sera rouverte pour faciliter les déplacements dans le secteur. Les automobilistes venant du sud et de l’est seront redirigés vers le boulevard René-Lévesque, la rue Jeanne-Mance et la rue Sherbrooke. Ceux en provenance de l’ouest devront emprunter un détour vers le boulevard René-Lévesque, la rue Berri et le boulevard de Maisonneuve. (Agence QMI)
  16. Le Marché climatique de Montréal est ouvert La Bourse de Montréal (MXX) et la Chicago Climate Exchange ont procédé à l'ouverture officielle du Marché climatique de Montréal vendredi matin. 30 mai 2008 - 09h39 Presse Canadienne La cérémonie s'est déroulée en présence du premier ministre Jean Charest et de ministres fédéraux, soit John Baird, ministre de l'Environnement du Canada, et Michael Fortier, ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux. L'ouverture a eu lieu à 9h30 après un décompte avec l'inscription à la cote du tout premier contrat à terme lié aux émissions de gaz à effet de serre négocié en bourse au Canada. L'intention de mettre en place un tel marché avait été annoncée en décembre 2005. Sa mise sur pied avait, elle, été rendue publique quelques mois plus tard, en juillet 2006. La Bourse de Montréal apporte à ce nouveau marché son expertise dans les systèmes de négociation, de compensation, de réglementation des marchés et de gestion du risque financier. La CCX fournit son expérience d'exploitation de la bourse climatique de Chicago. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080530/LAINFORMER/80530084/5891/LAINFORMER01
  17. Publié le 20 décembre 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Candidature au Forum universel des cultures: Québec affronterait Amman Ian Bussières Le Soleil (Québec) La Ville de Québec déposera cette semaine, avec l'appui des gouvernements du Québec et du Canada, sa candidature afin de présenter en 2016 le cinquième Forum universel des cultures, un événement de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). Ce grand rendez-vous international comporte trois axes prioritaires, à savoir la diversité culturelle, le développement durable et le développement pour la paix qui sont mis en valeur grâce à des colloques, des séminaires, des congrès, des ateliers, des camps de la paix, des expositions, un spectacle permanent et une kyrielle d'activités culturelles. Le budget prévu pour la tenue du Forum à Québec est de 100 millions $, soit 90 millions $ en 2016 et 10 millions $ répartis sur la période de 2011 à 2015 pour les activités pré-Forum. C'est moins de la moitié des 230 millions $ prévus pour le quatrième Forum qui aura lieu à Naples en 2013. Le premier Forum universel des cultures, tenu à Barcelone en 2004, avait coûté 433 millions $. La part des gouvernements Si Québec obtient l'événement, les gouvernements provincial et fédéral assumeront chacun 40 % de la facture, alors que la Ville de Québec contribuera pour 8 %. Les commandites représenteront 9 % du budget, tandis que 2,5 % proviendra de la vente d'entrées et 0,5 % de la vente de produits dérivés. «Nous voulons y aller avec un budget plus modeste que Naples», a déclaré hier l'attaché de presse du maire Régis Labeaume, Paul-Christian Nolin, soulignant que plusieurs investissements majeurs avaient déjà été réalisés à Québec pour les festivités du 400e en 2008. Les villes intéressées ont jusqu'au 31 décembre pour poser leur candidature et, déjà, Paul-Christian Nolin a signalé qu'Amman, capitale et métropole de la Jordanie, figurait parmi les adversaires potentielles de Québec, de même qu'une ville de Belgique. «Nous avons fait beaucoup de travail dans ce dossier, mais on restera discret sur le thème que nous proposerons et les grands éléments de notre candidature d'ici le 31 décembre», a enchaîné M. Nolin. Dans un document de la Ville de Québec dont Le Soleil a obtenu copie, on apprend cependant qu'il a été décidé de ne pas ajouter un thème abstrait et général, comme la connaissance pour le Forum de Monterrey en 2007 ou la mémoire du futur pour celui de Naples. Dans sa candidature, Québec utilisera plutôt «un thème transversal qui soit aussi concret que significatif pour Québec et à partir duquel tous les axes et formats peuvent être abordés». Un comité directeur comptant parmi ses membres Patrick Caux d'Ex Machina, Lili-Anna Peresa de la Fondation One Drop, John R. Porter du Musée national des beaux-arts du Québec, le recteur de l'Université Laval, Denis Brière, Michel Venne de l'Institut du Nouveau Monde et Jean Morency de SSQ Groupe financier a aussi été mis en place pour établir les bases de la candidature. Il est appuyé par Marie Albertson, embauchée cet été comme secrétaire administrative de la mise en candidature, et Denis Ricard, secrétaire général de l'Organisation des villes du patrimoine mondial, qui consacre 15 % de son temps comme conseiller personnel du maire sur les questions de stratégie politique et internationale et sur la recherche d'appuis à la candidature de la ville. Québec a également réalisé des missions auprès des comités organisateurs de tous les forums passés et à venir afin de mieux cerner la teneur de l'événement et auprès de la Fondation du Forum, qui évaluera le dossier de mise en candidature. Annonce en 2011 Si Québec est retenue parmi les trois villes finalistes, une délégation du comité de sélection de la Fondation du Forum se rendra dans la capitale entre février et avril, et Québec saura si sa candidature est retenue entre septembre et décembre. L'annonce publique s'effectuera lors de la cérémonie de clôture du troisième Forum, qui aura lieu à Valparaiso, au Chili, le 7 janvier 2011.
  18. Pour les intéressés, la flamme olympique est dans la région de Montréal cette semaine : http://www.vancouver2010.com/fr/plus-information-2010/relais-de-la-flamme-olympique/carte-interactive-du-parcours-du-relais-de-la-flamme-olympique/ Lundi 7 décembre ... Sorel-Tracy Varennes Ste-Julie Mont-St-Hilaire Beloeil McMasterville St-Basile-le-Grand St-Bruno-de-Montarville Boucherville Longueuil Mardi 8 décembre St-Lambert Greenfield Park Longueuil Brossard Chambly Iberville St-Jean-sur-Richelieu La Prairie Candiac St-Constant Kahnawake Châteauguay Mercier Beauharnois Salaberry-de-Valleyfield St-Lazarre Hudson Vaudreuil-Dorion Pincourt St-Anne-de-Bellevue Baie-d'Urfé Beaconsfield (Mercredi 9 décembre Mont-Tremblant) Jeudi 10 décembre Montréal-Est Mascouche Terrebonne Bois-des-Filion Lorraine Rosemère Blainville Ste-Thérèse Boisbriand Ste-Marthe-sur-le-Lac Deux-Montagnes St-Eustache Laval Dollard-des-Ormeaux Kirkland Pointe-Claire Dorval Montréal-Ouest Côte-St-Luc Hampstead Westmount Mont-Royal MONTRÉAL Vendredi 11 décembre Repentigny L'Assomption Joliette Crabtree St-Jacques St-Lin-Laurentides St-Anne-des-Plaines Mirabel St-Jérôme Lachute ...
  19. Publié le 22 juin 2009 à 12h48 | Mis à jour à 17h17 Souhaitant mieux coordonner leurs efforts dans la lutte contre les changements climatiques, les groupes environnementaux de la planète ont décidé de se regrouper et de faire de Montréal l'épicentre de cette nouvelle alliance internationale. Le gouvernement Charest, Équiterre et Montréal international ont annoncé lundi la création du tout nouveau secrétariat de la Campagne internationale action climat (CIAC), dont le quartier général s'établira dans la métropole. Ce bureau, où n'oeuvreront que quatre employés, aura pour mandat de coordonner certaines des plus importantes activités militantes à venir aux quatre coins de la planète dans la prochaine année : Bangkok et Barcelone (rencontres préliminaire sur le climat), Pittsburgh (G-20), New York (assemblée des Nations Unies), etc. L'objectif est d'accroître la pression sur une douzaine de pays connus pour leur timide engagement en faveur d'une réduction des émissions de gaz à effet de serre, afin qu'ils s'engagent à ratifier un accord international ambitieux, lors de la Conférence de Copenhague qui se tiendra du 7 au 18 décembre prochain. Nommément, le Brésil, l'Inde, l'Arabie saoudite, la Pologne, le Japon et le Canada se retrouvent dans cette liste. «L'objectif est que ces pays s'entendent sur un accord international, à Copenhague, a précisé la ministre québécoise de l'Environnement, Line Beauchamp. Pour cela, nous devons rejoindre certains États clés, certains États stratégiques, afin de les convaincre de l'importance d'une telle entente.» Idée d'Équiterre L'idée de créer la Campagne internationale action climat a été lancée par Équiterre en 2006. Le Québec a ensuite accepté de verser 300 000 $, l'année suivante, afin qu'elle se concrétise. Après quoi la principauté de Monaco, le gouvernement britannique et certaines grandes fondations internationales ont accepté de se joindre à l'effort, qui se chiffre aujourd'hui à environ 10 millions de dollars. Le gouvernement fédéral, pour sa part, n'a rien versé, ce qui lui a d'ailleurs attiré certaines critiques, lors du point de presse des différents partenaires. La création du secrétariat du CIAC s'inscrit dans une vaste campagne appelée tcktcktck (à prononcer tic, tic, tic, comme une horloge), qui doit prendre de l'ampleur au fur et à mesure que la conférence de l'ONU sur les changements climatiques approchera. Une vingtaine de groupes font partie de cette coalition, dont Oxfam, Greenpeace, le Conseil mondial des églises, Global Humanitarian Forum, Union of Concerned Scientists et le Pew Environment Group. Il existait déjà des regroupements, comme Kyoto plus, Power Up et le Réseau action climat, mais les groupes environnementaux estimaient nécessaire de mettre sur pied une coalition dont l'unique mandat est d'encadrer le travail sur le terrain : manifestations, mobilisation, etc. «Le constat est qu'il manquait quelque chose, à l'international, pour s'assurer qu'il y ait un accord en décembre, qu'il soit ratifié et mise en oeuvre rapidement», a précisé Steven Guilbeault, d'Équiterre. Les bureaux du secrétariat seront situés au centre-ville et déménageront éventuellement dans la future Maison du développement durable, qui sera construite rue Sainte-Catherine, à côté du Théâtre du Nouveau Monde. Par ailleurs, Greenpeace a frappé un grand coup, lundi en Europe, en publiant à la fois une fausse édition du International Herald Tribune (50 000 copies, principalement à Bruxelles) ainsi qu'un faux site web, en tout point pareil à celui du journal (on y retrouve même de fausses publicités, à s'y méprendre). En manchette de cette édition datée du 19 décembre 2009, on aperçoit les chefs d'État de France, Nicolas Sarkozy, et d'Allemagne, Angela Merkel, tout sourire à la suite d'un accord ambitieux survenu à Copenhague...
  20. Mises à pied chez Dassault Mise à jour le lundi 11 mai 2009 à 8 h 36 L'avionneur français Dassault, qui fabrique les jets d'affaires Falcon, licenciera quelques centaines d'employés aux États-Unis et forcera quelque 2000 travailleurs du personnel de production à se placer au chômage pour quelques jours entre fin septembre et fin décembre. C'est ce qu'a annoncé lundi le président-directeur général de la firme, Charles Edelstenne, lors du Salon de l'aviation d'affaires EBACE, qui se tient à Genève, en Suisse. Selon lui, les mesures de chômage partiel, toujours en négociation, réduiront le travail des employés de production de trois jours et demi par mois. M. Edelstenne n'a guère donné de détails sur les pertes d'emplois aux États-Unis, où Dassault Aviation embauche plus de 2500 personnes, surtout en Arkansas, mais aussi au Delaware au New Jersey et en Floride. « Ce sera progressif », s'est-il contenté d'ajouter. Tout comme Bombardier au Canada, Dassault est victime du ralentissement économique, qui se traduit notamment par une baisse des dépenses des entreprises. Bombardier a annoncé le mois dernier la suppression de 3000 emplois, dont 800 à Montréal, d'ici la fin de l'année. Dassault n'exclut pas de procéder à d'autres mises à pied au cours des prochains mois. Selon M. Edelstenne, l'entreprise se penchera sur d'éventuels licenciements supplémentaires en décembre. « On verra si on est obligé de faire comme les autres », a-t-il laissé tomber. Selon l'AFP, c'est la première fois que Dassault effectue des mises à pied depuis la dernière grande crise qui a secoué l'industrie du transport aérien, au début des années 90.
  21. Les magasins souffrent Publié le 24 février 2009 à 06h14 Rudy Le Cours La Presse (Montréal) Les consommateurs n'avaient pas le coeur à la fête quand ils ont fait leurs emplettes de Noël. Les ventes des détaillants ont reculé de 5,4% en décembre, révélait hier Statistique Canada. Ce repli mensuel, le plus important depuis l'entrée en vigueur de la TPS en 1991, fait suite à ceux d'octobre et de novembre. Ils indiquent que la consommation s'est effondrée l'automne dernier, en même temps que l'économie mondiale. Ces mauvais chiffres, deux fois pires que ceux qu'attendaient les experts, amènent d'ailleurs Desjardins à réviser une nouvelle fois à la baisse son scénario économique. Tant au Canada dans son ensemble que dans sa société distincte, la récession commencée à l'automne se poursuivra jusqu'à la fin de l'été quand les plans de relance des gouvernements commenceront à porter fruit, estime désormais l'institution lévisienne. Quatre trimestres de décroissance d'affilée plutôt que les deux qu'elle voyait encore dans sa boule de cristal, en décembre. Toutes les catégories touchées Durant le dernier mois de l'année, ce sont avant tout les ventes de voitures neuves qui ont plongé. Sans leur piqué de 15,1%, les ventes des détaillants auraient tout de même reculé de 3,2%. Fait à noter, toutes les catégories de commerce ont enregistré une diminution de leurs ventes. Aucune province n'a été épargnée par le nouvel attachement des ménages aux vertus de l'épargne. Au Québec, le repli atteint 4,4%. «La détente des prix à la pompe représente un boni pour les consommateurs, mais ils préfèrent l'épargner car, si on exclut les ventes d'essence, le recul est quand même de 4,6%», estime Krishebn Rangasamy, économiste chez CIBC Marchés mondiaux. Pour l'ensemble de 2008, les ventes des détaillants ont reculé de 6,4% d'un océan à l'autre, mais de 1,7% seulement au Québec. (En Alberta et en Colombie-Britannique, les ventes ont plongé de plus de 10%.) «Il n'y a pas de doute que les consommateurs n'étaient pas de bonne humeur, ironise Marc Pinsonneault, économiste principal à la Financière Banque Nationale. La troisième chute mensuelle de suite a poussé le commerce de détail en décembre à son plus bas niveau depuis novembre 2006.» Il serait étonnant qu'ils aient été dans de meilleures dispositions en janvier, mois caractérisé par la perte de 129 000 emplois, la pire depuis le début de cette série statistique en 1976. La guerre de prix que se sont livrée les concessionnaires automobiles ou les magasins d'appareils électroniques n'explique pas la baisse de leurs ventes. Exprimées en volume, elles ont reculé de 4,1%, portant à 6,1% le repli trimestriel par rapport aux ventes de l'été. Elles pèseront lourdement sur le calcul du produit intérieur brut (PIB) au quatrième trimestre dont le chiffre sera connu lundi. Desjardins s'attend à une chute de 3,2% du PIB, suivie par de nouveaux reculs de 3,0%, 2,6% et 0,6%, durant l'hiver, le printemps et l'été. «Le Canada ne peut plus échapper à la tendance lourde actuelle, écrivent François Dupuis et Yves Saint-Maurice, économiste en chef et économiste en chef adjoint dans la Mise à jour de leurs prévisions. Pour l'ensemble de la présente année, la croissance économique a été ramenée à -1,6% par rapport à -1,0.» Le Québec Pour le Québec, les chiffres sont à peine moins mauvais: -1,3% pour l'ensemble de 2009. «L'annonce de licenciements massifs, qui touchent maintenant le secteur aéronautique, montre que peu de secteurs seront épargnés par la récession», font observer MM. Dupuis et Saint-Maurice. Les plans de relance des gouvernements vont commencer à porter fruit en seconde moitié d'année. Toutefois, il faudra que le consommateur reprenne goût à la dépense. Les résultats du sondage Harris-Decima mené au début du mois auprès de quelque 2000 personnes sont encourageants à cet égard. L'indice de confiance est à son niveau le plus élevé depuis août.
  22. Les ventes au détail ont reculé de 5,4% en décembre au Canada, une baisse record essentiellement attribuable à l'effondrement des ventes liées au secteur automobile. Pour en lire plus...
  23. Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers 17 février 2009 - 09h44 ARGENT Dette de 1,7G$ US - Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers La société de casinos Trump Entertainment Resorts Inc. (TRMP) s’est placée mardi sous la protection de ses créanciers en vertu du Chapitre 11 de la loi sur la faillite. La requête était largement anticipée, après que le président et fondateur de l’entreprise, le flamboyant Donald Trump, eut quitté son siège au conseil d’administration la semaine dernière. Sa fille, Ivanka Trump, avait aussi démissionné. La société avait raté une échéance de paiement d’intérêts au montant de 53,1M$ le 1er décembre dernier, alors que les clients se font plus rares dans les établissements. Les détenteurs d’obligations ont poussé la société à avoir recours au chapitre 11, ce que ne voulait pas M. Trump. La dette de la société de casinos se chiffrait à environ 1,74G$ US le 31 décembre dernier, en comparaison avec des actifs de 2,1G$ US, selon l'agence Reuters. Donald Trump a affirmé que la compagnie représentait moins d’un pour cent de sa valeur nette, et que cet investissement n’avait plus de valeur pour lui. Trump Entertainment Resort Holdings avait déjà eu recours au chapitre 11 en 2004, pour en sortir une année plus tard avec M. Trump au poste de chef de la direction.
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