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Le Sainte-Émilie est un projet de 18 condominiums de 1 à 3 chambres, allant de 657 à 1466 pi2, situé à proximité du canal de Lachine et du marché Atwater, dans le très recherché secteur du Sud-Ouest de Montréal. Livraison: décembre 2014 Plus d'information à la page: districtatwater.com Sainte-Émilie coin Bourget
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CHARLES LECAVALIER Mercredi, 20 avril 2016 00:00 MISE à JOUR Mercredi, 20 avril 2016 00:00 Le virage vert du gouvernement Couillard prend forme: celui-ci rendra obligatoire l’installation de prises extérieures 240 volts destinées à la recharge des autos électriques dans les nouvelles habitations, a appris Le Journal. Cette façon de faire coûtera près de 400 $ de plus aux acheteurs de maisons unifamiliales, jumelés et condos neufs, principalement à cause de l’adaptation du panneau électrique et de l’achat du câblage. L’objectif est de stimuler la vente de véhicules électriques en permettant l’installation facile d’une borne de recharge, qui peut coûter près de 1000 $. Au cabinet du ministre des Transports, Jacques Daoust, on confirme qu’une étude d’impact est en cours de réalisation. Le règlement serait publié d’ici la fin de l’été par la Régie du bâtiment du Québec. Moins cher à la construction Cette solution est bien vue par l’industrie. «C’est positif. Tant mieux si l’on en arrive à rendre les constructions neuves adaptées aux véhicules électriques. Ça coûte beaucoup moins cher de faire l’installation lorsqu’on construit le bâtiment», note François-William Simard, directeur des communications de l’Association des professionnels de la construction. Même son de cloche chez les environnementalistes: «C’est une bonne nouvelle. Pour l’instant, l’absence de prise est un frein à l’achat d’un véhicule électrique parce que les propriétaires qui veulent installer une borne doivent passer un fil électrique de 240 volts de la boîte électrique jusqu’à l’extérieur», dit Patrick Bonin, de Greenpeace. 8000 véhicules sur la route Cette solution peut toutefois paraître prématurée. Au 31 décembre 2015, on dénombrait seulement 8338 véhicules électriques au Québec. Mais le gouvernement y va pleins gaz et fixe un objectif de 100 000 autos électriques sur les routes d’ici 2020. Les propriétaires de logements locatifs devront aussi mettre la main à la pâte. Selon des informations recueillies par notre Bureau parlementaire, Québec projette par ailleurs de les obliger à offrir à leurs locataires des bornes de recharge. Cela inclut tous les immeubles déjà construits. La mesure risque de faire des mécontents, mais Québec donne une subvention de 600 $ aux particuliers pour installer les bornes. LES VÉHICULES ÉLECTRIQUES AU QUÉBEC Au 31 décembre 2015, il y avait 8338 véhicules électriques sur les routes Montréal: 1045 Québec: 826 Laval: 416 Les plus populaires Chevrolet Volt 43 % Nissan Leaf 21 % Tesla modèle S 10 % Nombre de bornes de recharge publiques en service 857 bornes de 240 volts 34 bornes de 480 volts En moyenne, le propriétaire d’un véhicule électrique gagne un salaire de 65 000 $ par année (Statistiques de l’Association des véhicules électriques du Québec) http://www.journaldemontreal.com/2016/04/20/prises-electriques-obligatoires
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Situé à l'intersection des rues Hochelaga et Fletcher, ce projet est composé de 3 phases distinctes. Les deux premières phases sont complétées mais les travaux de la troisième phase ne sont pas encore commencés. Les unités de la troisième phase sont encore en vente. Photos en date du 10 décembre 2013 La troisième phase: La première phase complétée: La deuxième phase complétée: Le terrain longeant la rue Hochelaga qui accueillera la troisième phase:
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Le Québec des visiteurs L’imaginaire touristique des «étrangers» est-il différent du nôtre? 31 décembre 2016 | Benoît Legault - Collaborateur | Voyage http://www.ledevoir.com/plaisirs/voyage/487998/le-quebec-des-visiteurs?utm_campaign=Autopost&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1483305280 Photo: Lukas AykroydLe Festival d’été de Québec et ses grands spectacles, un attrait indéniable pour les visiteursÀ quoi rêvent les étrangers quand ils pensent au Québec ? En quoi leurs fantasmes touristiques sont-ils différents des nôtres ? Rêvent-ils du mont Tremblant, de la poutine, du Festival de jazz de Montréal et d’autres icônes dont nous faisons la promotion ? Ou rêvent-ils plutôt de grandes forêts, d’animaux sauvages et d’autochtones ? Quelques « étrangers » (des non-résidants du Québec et des Québécois venus d’ailleurs) racontent. Leurs avis sont fascinants, souvent inattendus, et ouvrent des fenêtres sur leur et notre monde. Nous avons aussi consulté beaucoup de guides touristiques écrits sur le Québec. On peut distinguer quatre types d’étrangers. Il y a ceux de proximité, les Canadiens anglais et les Américains qui mythifient le Québec, lui accordant une aura de raffinement européen. Il y a les Européens, pour qui la province est une interface américaine nichée dans un climat nordique. Et il y a les étrangers de très loin, vivant dans des pays chauds, exotiques, d’où le Québec apparaît comme un pays cher, difficile à atteindre. «Benoit, montre-moi un Montréal où les Anglos ne vont pas», dit mon ami John Matthew, en marge d’un des matchs de baseball des Blue Jays de Toronto disputés à Montréal. John travaille pour les Blue Jays. J’avais l’embarras du choix, car le Montréal que voient les touristes anglos est tout petit, circonscrit. Pour que ce soit facile, je l’emmène donc rue Ontario, dans HoMa, pas bien loin du Stade olympique où jouent les Jays. John était fasciné par une pauvreté bien assumée côtoyant une gentrification élégante. Mais ce qui l’a le plus impressionné, sa rencontre déterminante, fut un hot-dog à 89 cents, relish-moutarde-chou, servi par une wétresse truculente. Il n’en revenait tellement pas qu’il a pris une photo. Et vu que, dans cette rue, tout s’appelle Ontario, ç’était bien amusant aussi. «J’ai adoré pouvoir acheter des saucisses et une bière assortie en même temps chez le saucissier Walter car je ne peux pas faire ça à Toronto.» John a aussi bien aimé se balader en autobus, il avait les yeux grands comme des 30 sous à regarder comment les Montréalais s’habillent, se comportent. John Matthew a apprécié les boutiques émergentes et les restos de hipsters barbus, mais de ça, il y en a beaucoup à Toronto. Photo: Rafael Osio CabricesLa plage du Vieux-Port de Montréal, le fleuve, l’île Sainte-Hélène et le pont Jacques-Cartier : l’architecture urbaine et la nature se déclinent en couches successives qui caractérisent Montréal et d’autres villes du Québec, selon le journaliste latino-américain Rafael Osio Cabrices. Le spectacle du monde Quand je voyage dans les pays latins, en Italie notamment, j’adore regarder les gens car leurs sentiments sont si évidents. Nos Anglos vivent ici le même type de fascination. «Sur le plan culturel, un de mesgrands moments de 2016 a été de voir de grands shows internationaux de rock au Festival d’été de Québec, avec des centaines de milliers de spectateurs exubérants», dit Lukas Aykoyd, un des meilleurs journalistes touristiques au Canada. Il couvre beaucoup aussi la musique et les sports depuis Vancouver. «Les gens sont dans leur bulle, sur la côte Ouest, quand ils assistent à un spectacle. Ici, c’est plus convivial, voir un show est une expérience collective. Voir un match de hockey aussi; assister à un match des Canadiens, c’est unique. Le Centre Bell est la cathédrale du hockey avec son orgue!» Lucas dit que la nature québécoise ne l’attire pas tellement, «car il y a pas mal de nature chez moi. Mais je n’oublierai jamais une balade en scooter sur le mont Royal pendant les couleurs d’automne, en route vers le marché Jean-Talon». Les gens sont dans leur bulle, sur la côte Ouest, quand ils assistent à un spectacle. Ici, c’est plus convivial, voir un show est une expérience collective. Assister à un match des Canadiens, c’est unique. Le Centre Bell est la cathédrale du hockey avec son orgue! Lukas Aykoyd, journaliste touristique au Canada, couvre aussi la musique et les sports depuis Vancouver. Arbres en ville Le marché Jean-Talon fascine les étrangers. Les Nord-Américains baignent joyeusement dans son ambiance bohème, les Européens adorent y trouver des produits québécois exceptionnels, au Marché des saveurs notamment. «Le marché Jean-Talon mepermet de mesentir chez moi à Montréal», explique Rafael Osio Cabrices, journaliste et auteur vénézuélien basé dans la métropole. «Montréal merappelle aussi Caracas à cause de toute la nature qu’on voit et qu’on sent dans la ville», dit-il. Il rejette toutefois la perception du Québécois latin. «C’est vraiment de la foutaise. Viens au Venezuela, tu verras c’est quoi, le caractère latin. Les Québécois sont très calmes, posés. En outre, les hommes d’ici ne sont pas du tout machistes comme le sont ceux de chez nous.» Le Québec est donc latin pour les Anglo-Saxons et nordique pour les Latins ! Des visas pour le Canada On ne se rend pas compte, ici, à quel point il est souvent difficile pour des étrangers d’obtenir un visa afin de visiter le Canada. «Pour la plupart des Latino-Américains, le visa de touriste pour le Canada est plus cher et plus difficile à obtenir que celui pour les États-Unis. Les Latino-Américains qui peuvent venir ici vont vraiment apprécier les restaurants, la ville culturelle intense et les festivals de Montréal, explique Rafael. Très peu de villes de l’Amérique latine ont une vie culturelle comparable. Il y a Mexico, Buenos Aires, et peut-être les mégapoles du Brésil.» Et l’hiver québécois, est-ce exotique et attirant ? «Très peu de Latino-Américains rêvent de l’hiver. Nous avons peur du froid! Toute température sous les 22°C est considérée comme froide chez nous, alors l’hiver comme attrait, non, pas vraiment. Malgré tout, c’est sûr que tous les enfants aiment l’hiver et c’est bien de leur montrer cela une fois. Mais il faut alors acheter des vêtements juste pour un voyage. Ça fait beaucoup d’argent», dit-il. Les Latino-Américains qui peuvent venir ici vont vraiment apprécier les restaurants, la vie culturelle intense et les festivals de Montréal Rafael Osio Cabrices, journaliste et auteur vénézuélien basé à Montréal La Gaspésie, oui et non Photo: Pierre Charbonneau Tourisme QuébecDes fruits de mer servis à l’Auberge de montagne des Chics-Chocs, en Gaspésie. La gastronomie québécoise est à la fois excellente et abordable, un point fort de l’attrait du Québec. Cadre chez Hydro-Québec, Kim-Nhan Ly est la tante de l’auteure Kim Thúy. Arrivée avec la vague des boat people vietnamiens à la fin des années 1970, elle conserve un tendre souvenir de la région de Granby qui l’a accueillie. Et la première qu’elle a voulu visiter, c’est la Gaspésie. «J’en avais fait le tour en auto avec mon chum. C’était un classique touristique incontournable à l’époque. J’ai adoré, mais j’ai peu visité les autres régions du Québec. Pour le moment, mesvoyages, c’est surtout aller dans le Sud et aller voir ma famille disséminée dans plusieurs lieux.» La jeune peintre et entrepreneure française Aurélia Bizouard a vécu en de nombreux endroits au Canada, dont Montréal. Arrivée au pays il y a quelques années, elle n’a pas vu la Gaspésie. «Les voyagistes français ne semblent pas privilégier cette région. Après Québec, on avait visité en groupe Charlevoix et le Saguenay, avec Tadoussac et ses baleines. Voir la grande nature, aller à la rencontre des Québécois, c’était le but du voyage initial», explique-t-elle. «Plus tard, je suis allée sur la Côte-Nord et j’ai pris un traversier vers la Gaspésie en hiver. Le choc des glaces sur la coque, c’était formidable. Le Québec devrait peut-être promouvoir davantage ce type d’expérience», dit Aurélia Bizouard, qui habite maintenant Vancouver. Des guides Photo: Aurélia BizouardLe Vieux-Québec baigne dans une lumière colorée en fin de journée. Ce lieu magique demeure l’attraction numéro un pour les marchés internationaux. Nous avons consulté la majorité des guides internationaux écrits en français et en anglais sur le Québec. La Gaspésie et les autres régions touristiques très éloignées des grands centres sont relativement peu décrites. Le Vieux-Québec et le Montréal culturel sont bien sûr les vedettes de tous les guides, avec des sections secondaires sur les régions limitrophes. Le fjord du Saguenay et la côte de Charlevoix apparaissent comme les étoiles actuelles du tourisme régional tourné vers l’étranger. Les Laurentides et l’Estrie sont aussi régulièrement mentionnées. Et les îles de la Madeleine exercent une certaine fascination. On a toujours l’impression que les étrangers viennent ici pour vivre la culture autochtone. Pourtant, les mentions de ce tourisme sont courtes et furtives dans les guides touristiques étrangers. La reconnaissance étrangère de l’histoire exceptionnelle du Québec est évidente. Par exemple, dans un Insight Guide du Royaume-Uni, on écrit : «Les premiers Nord-Américains après les Indiens, ce sont les Québécois.» Au final, les étrangers semblent aimer à peu près les mêmes attractions et les mêmes endroits que les Québécois, mais pour des raisons différentes, en fonction de leurs traits culturels et de leurs motivations touristiques. Benoit Legault a beaucoup écrit sur le Québec pour des publications étrangères: le Guide du routard, l’édition britannique du Guide Vert Michelin, les guides américains Frommer’s et USA Today.
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Le faubourg Sherbrooke (Pointe-aux-Trembles)
un sujet a posté Étienne MC dans Projets oubliés et/ou en suspens
Rénovation de la façade du centre commercial situé sur la rue Sherbrooke. En date du 10 décembre 2013 : Voici la façade avant les travaux : Photographie de Google StreetView -
Nom: Les Bassins, phase 1 Hauteur: 8 étages Coût du projet: Promoteur: Prével / Rachel Julien Architecte: Emplacement: (voir carte ci-dessous) Début de construction: décembre 2011 Fin de construction: Site internet: http://www.lesbassins.ca
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http://journalmetro.com/actualites/national/893823/lesperance-de-vie-des-bonhommes-de-neige/ Pour voir plus de détails et faire le jeu, il faut aller sur le site ci-haut. 20/12/2015 Mise à jour : 20 décembre 2015 | 19:01 L’espérance de vie des bonhommes de neige Par Naël Shiab Métro Alors que les chances d’avoir un Noël blanc s’évanouissent d’heure en heure à Montréal, la météo sera sans aucun doute un des sujets phares des repas de famille cette année. Imaginons pour un moment le genre de conversations auxquelles vous pourriez faire face. «Quand j’étais jeune, on avait de la neige en juillet, lancera sans doute votre mononcle Jean-Guy. Des Noëls verts, on ne connaissait pas ça, nous!» Il se fera inévitablement contredire par votre matante Huguette: «Ben voyons! Rappelle-toi l’hiver 1967. On déballait nos cadeaux et l’herbe était encore verte dans le jardin.» Votre grand-mère Jeanne ajoutera en hochant la tête qu’«on a plus les Noëls qu’on avait, ça, c’est sûr», tout en vous jetant un regard à la fois sévère et déçu. Parlait-elle des changements climatiques ou de votre refus d’aller à la messe de minuit? «En tout cas, moi, je me souviens de la Tempête du siècle, en 1971, se rappellera la matriarche. La ville croulait sous la neige. Des gens sont morts. On ne voit plus ça aujourd’hui.» «Est-ce que les bonhommes de neige vont disparaître?», vous demandera pour sa part votre neveu Guillaume, inquiet. Pour vous permettre de briller entre une bouchée de tourtière et une cuillérée d’atacas, nous avons fouillé dans plus 140 années de données météorologiques d’Environnement Canada. Cliquez sur chaque catégorie pour en apprendre davantage. - Le mythe du mois de juillet Force est de constater qu’il n’a jamais neigé à Montréal en juillet. Désolé, mononcle Jean-Guy. Les flocons les plus tardifs qui aient nargué les Montréalais étaient ceux du 29 mai 1907. Les plus précoces sont arrivés quant à eux le 20 septembre 1977. Et si dans les films, une petite neige tombe toujours le jour de Noël, la situation est moins féérique pour les Montréalais. Depuis 1872, il a neigé environ une fois sur cinq pour le 25 décembre. - Les Noëls blancs Pour ce qui est des Noëls blancs, l’épaisseur de la neige au sol est mesurée depuis 1955 à l’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau. Et Matante Huguette a raison, il n’y avait pas de neige le 25 décembre 1967. Mais la neige était tout aussi absente en 1956, 1957, 1964, 1971, 1979, 1988, 1994, 1996, 1998, 1999, 2006 et… 2014. Eh oui, nous avons la mémoire courte! - La tempête du siècle (dernier) Lors de la célèbre Tempête du siècle du 4 mars 1971, dont parlait votre grand-mère Jeanne, il était tombé l’équivalent de 55.59 mm d’eau sous forme de neige. Dix-sept personnes avaient perdu la vie et certains secteurs de la ville avaient été privés d’électricité pendant 10 jours. Et bien ce record a été battu le 27 décembre 2012, lorsque Montréal a reçu l’équivalent de 59.74 mm d’eau. Heureusement, personne n’est mort cette fois-là. Ce nouveau record pourrait s’expliquer par un phénomène très simple aux conséquences paradoxales : plus l’air est chaud, plus il emmagasine d’humidité. « Donc le potentiel d’avoir des chutes de neige très abondantes va en augmentant », explique André Cantin, d’Environnement Canada. - Une neige qui font vite, très vite Puisque la température de nos hivers oscille de plus en plus autour du point de congélation, la neige au sol risque de diminuer de façon significative, même si l’on en reçoit davantage, selon André Cantin d’Environnement Canada. Le Consortium sur l’adaptation aux changements climatiques Ouranos prédit même que la période 2041-2070 connaîtra une période d’enneigement plus courte de 45 à 65 jours, comparativement aux années 1970-1999. Donc, vous pourrez répondre à votre neveu Guillaume que les bonshommes de neige ne risquent pas de disparaître, mais que leur espérance de vie, par contre, va sans doute diminuer. D’ailleurs, annoncez tout de suite à mononcle Jean-Guy, qui aime beaucoup parler de ses taxes, que ça va sans doute lui coûter cher. Dans son Plan d’adaptation aux changements climatiques, la Ville de Montréal souligne une augmentation de 29% des épisodes de gel-dégel au fil des hivers entre 1942 et 2015. «L’augmentation du nombre de cycles gel-dégel entraîne la dégradation accélérée des artères du réseau montréalais et l’apparition accrue de nids-de-poule, peut-on lire dans le rapport. Elle contribue également à la dégradation accélérée de certains ponts, tunnels et viaducs.» ***
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Louis Vuitton renonce à un projet de luxe à Tokyo
un sujet a posté ErickMontreal dans Projets ailleurs dans le monde.
Louis Vuitton renonce à un projet de luxe à Tokyo 16 décembre 2008 - 08h20 Agence France-Presse Le groupe français de luxe Louis Vuitton a renoncé à ouvrir un immeuble de boutiques dans le quartier chic de Ginza à Tokyo, sur fond de récession, ont annoncé mardi le maroquinier et le promoteur immobilier. «La société n'est pas parvenue à un accord sur ce projet», a simplement déclaré une porte-parole s'exprimant au nom de LVJ Group KK, nom de la succursale de Louis Vuitton au Japon. Le promoteur immobilier japonais Hulic, chargé de la construction de l'immeuble de 12 étages, a indiqué que Louis Vuitton avait eu l'intention d'ouvrir des magasins «sur presque la totalité de la superficie de près de 12 000 m2». Selon le journal économique Nikkei, l'immeuble, qui doit ouvrir en 2010 sur l'une des artères commerçantes de Ginza, devait dépasser en surface l'immeuble Louis Vuitton de Paris, le plus grand du monde. Click here to find out more! «D'après ce que nous savons, la société a annulé le projet à cause de ses propres conditions économiques», a déclaré un porte-parole de Hulic. «Nous allons construire l'immeuble comme prévu, en invitant d'autres candidats à la location», a-t-il ajouté. Le porte-parole a souligné que le promoteur n'avait pas d'inquiétude concernant le taux de remplissage de l'immeuble, grâce à sa localisation, mais n'a pas voulu dire s'il allait réclamer des réparations au maroquinier français. Le numéro un mondial du luxe LVMH (Moet Hennessy-Louis Vuitton) a vu ses ventes au Japon chuter de 7% au cours des neuf premier mois de l'année, selon le Nikkei. Louis Vuitton a par ailleurs abaissé ses prix au Japon de 7% en moyenne depuis le 1er décembre, pour les adapter aux variations de l'euro qui s'est déprécié de 30% face au yen depuis septembre. Nombre d'analystes prédisent deux années de récession pour le secteur du luxe, pour la première fois en six ans. La banque japonaise Nomura estime que les ventes mondiales des géants du luxe devraient reculer en moyenne de 4% en 2009 et de 3% en 2010. -
Bonjour à tous les membres, Nous sommes dus pour un 5 à 7 où on pourra échanger autour d'un bon verre (ou 6). Bier Market à l'ombre des nombreuses grues est l'endroit tout indiqué cette année!! Comme d'habitude la première ronde est offerte par votre hôte et je veux vraiment vous voir nombreux! Quelques dates sont possibles: -Jeudis 4, 11 ou 18 décembre -Vendredis 5, 12 ou 19 décembre SVP répondre au sondage, et cochez toutes les dates qui vous conviennent!! Je vais faire tirer quelques cadeaux de Noël, gracieuseté de nos amis les bannières google:silly:. Bier Markt Montréal 1221 Boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal, Québec H3G
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Projet Contrecoeur (9550 rue Pierre-de-Coubertin) - 2 étages (2014)
un sujet a posté Étienne MC dans Complétés
Voici le projet Contrecoeur. Situé à l'intersection des rues de Contrecoeur et Pierre-de-Coubertin, celui-ci est composé de 3 maisons de ville. Malgré une apparence bleutée sur le rendu, la brique est plutôt grise en vrai. Bien plus beau! En date du 10 décembre 2013 : -
Quoi y a un concours?!?! Oui sans le vouloir, vous y avez tous participé... pourquoi le secret??? la raison est bien simple... continuez à lire plus bas et vous comprendrez! Comment récompenser les membres d'un forum? Qu'est ce qui fait vivre un forum? Les membres contributeurs!!! Ceux qui participent aux débats et surtout ceux qui se donnent la peine de prendre des photos pour être nos yeux sur le terrain. En annonçant le le concours en début d'année, j'avais bien peur que le forum soit inondé de messages et photos dans le but de gagner... voici pour le secret. L'expression une image vaut mille mot, sur MTLURB c'est encore plus vrai! Chaque image génère une quantité incroyable de commentaires et de visites sur le site web... Alors voilà, j'ai séparé les gagnants en 2 catégories, soit top 3 des photographes MTLURB, et top 3 des contributeurs en volume (longueur des textes) de participation. La période couverte est du premier décembre 2012 au premier décembre 2013! Il y a 5 gagnants puisqu'un l'un deux se retrouve dans les deux catégories! Top 3 photographes [table=width: 500, class: grid] [tr] [td]Membre[/td] [td]Photos[/td] [/tr] [tr] [td]Yvon L'Aîné[/td] [td]1539[/td] [/tr] [tr] [td]IluvMTL[/td] [td]449[/td] [/tr] [tr] [td]denpanosekai[/td] [td]299[/td] [/tr] [/table] Top 3 en participation dans les débats [table=width: 500, class: grid] [tr] [td]Membre[/td] [td]Messages[/td] [td]Volume[/td] [/tr] [tr] [td]IluvMTL[/td] [td]1176[/td] [td]1818476[/td] [/tr] [tr] [td]acpnc[/td] [td]765[/td] [td]1255511[/td] [/tr] [tr] [td]monctezuma[/td] [td]1054[/td] [td]628612[/td] [/tr] [/table] Quels sont les prix?? Lors de mon dernier voyage à New York, j'ai remarqué un casse-tête pour adultes, qui est vraiment remarquable pour nous "nerds" de villes et de tours!! Regardez ce vidéo pour comprendre: J'ai choisi 5 villes pour distribuer aux gagnants, soit: New York, Berlin, Sydney, London et Toronto. Puisque pour les contributions photos, consiste à beaucoup plus de travail, je pondère en leur faveur, voici donc l'ordre des gagnants: 1-Yvon L'Aîné 2-IluvMTL 3-denpanosekai 4-acpnc 5-monctezuma Chacuns à votre tour, faites un choix parmi les villes, et je me ferais un plaisir de vous les poster ou livrer. IluvMTL en bonus, vu que tu gagnes dans les deux catégories, tu recevras aussi un puzzle 3D de l'Empire State Building. Merci à tous, et excellente nouvelle année 2014!!!
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La Presse: La revanche du centre-ville Depuis plus de 10 ans, on dénigre Montréal sur bien des tribunes. Au cours des dernières années, ses détracteurs ont eu beau jeu de dépeindre la métropole québécoise comme une ville en crise, avec ses scandales à l'hôtel de ville, ses nids-de-poule, son pont Champlain qui se dégrade et son métro régulièrement en panne, pour ne donner que ces exemples. Pourtant, quand on enlève nos lunettes noires pour regarder la situation dans son ensemble, on s'aperçoit que la métropole est loin d'avoir dit son dernier mot. Cette année, le centre-ville verra apparaître plus de grues qu'il n'en a vues depuis bien longtemps. Pour 2014 seulement, on parle de huit édifices à vocation résidentielle ou mixte de plus de 30 étages en cours de transformations majeures, en construction ou sur le point de l'être. Avec Le V (40 étages, 250 unités), l'Altoria/Aimia (34 étages, 152 unités), le Roccabella (41 étages, 540 unités), l'Icône (39 étages, 357 unités), le Waldorf Astoria (34 étages, 100 unités), l'Avenue (50 étages, 315 unités), la Tour des Canadiens (48 étages, 700 unités), la Tour Union/Tom condos (35 étages, 377 unités), ce sera de près de 3000 nouveaux logements qui verront s'installer des travailleurs intéressés par la vie au centre-ville et possédant un pouvoir d'achat important. Un milieu de vie «Il y a un très grand intérêt pour le centre-ville et la demande est forte parce que la vie au centre-ville de Montréal est vibrante, intéressante, sûre et agréable, dit Paul Lewis, professeur d'urbanisme à l'Université de Montréal. Les gens constatent de plus en plus que ce style de vie présente beaucoup d'avantages.» En offrant un milieu de vie attrayant sur le plan résidentiel, on stimule non seulement l'apparition de nouveaux commerces destinés à répondre aux besoins des nouveaux habitants, mais on attire aussi les emplois. «L'élément le plus important pour les entreprises dans le choix d'une ville, c'est de pouvoir compter sur un bassin de main-d'oeuvre qualifiée. La floraison de nouvelles entreprises technologiques qui choisissent les quartiers centraux est liée au développement résidentiel. Les travailleurs de ces entreprises sont souvent des jeunes professionnels qui aiment habiter près de leur lieu de travail», dit Mario Polèse, professeur et chercheur au Centre urbanisation, culture et société de l'Institut national de recherche scientifique. Selon lui, il ne faut pas s'inquiéter outre mesure au sujet des problèmes actuels d'infrastructures. «Tout le monde est d'accord sur le fait qu'ils sont extrêmement gênants et qu'il est important de les régler, mais c'est une phase qui va passer et que d'autres villes traversent aussi, dit-il. Ce n'est pas cela qui va déterminer, à long terme, la santé économique de la région de Montréal. Je n'ai pas encore entendu une entreprise ou un homme d'affaires dire qu'ils ne viendront pas s'installer à Montréal à cause de ses problèmes d'infrastructures.» Par contre, ces enjeux médiatisés en font oublier d'autres, moins spectaculaires, et sur lesquels il faudrait se pencher davantage, explique le chercheur. «Ce qui est tout aussi important pour qu'une grande métropole puisse rayonner sur le plan économique, ce sont les éléments qui favorisent sa connectivité à l'échelle internationale et régionale. C'est important pour les gens d'affaires d'avoir des interactions faciles avec le reste du monde, comme des vols directs vers d'autres grandes villes. La situation de Montréal à cet égard est loin d'être idéale, pour diverses raisons, que l'on parle du train ou de l'avion. La liaison avec New York, par exemple, est lamentable.» Un nouveau maire L'arrivée de Denis Coderre à la mairie suscite d'énormes attentes. Le nouveau maire a annoncé six priorités pour la Communauté métropolitaine de Montréal: un pont Champlain sans péage, planifier les transports en commun, mettre en place une stratégie économique, mettre en oeuvre le Plan métropolitain d'aménagement et de développement, favoriser le logement social et assurer un leadership fort. Avec autant de défis à relever, les prochaines années s'annoncent cruciales pour le développement et l'avenir de Montréal. «L'un des plus grands défis sera d'attirer et de retenir les familles de classe moyenne, et de stopper leur exil vers la banlieue, dit Paul Lewis. Mais ce ne sera pas une bataille facile.» MONTRÉAL EN CHIFFRES > Population : 1,98 million (2012) > Nombre d'emplois : 977 900 (décembre 2013) > Nombre d'établissements manufacturiers : 9055 (2010) > Taux d'activité : 65 % (décembre 2013) > Taux d'emploi : 59,1 % (décembre 2013) > Taux de chômage : 9,1 % (décembre 2013) > PIB aux prix de base par habitant : 58 126 $ (2012) > Revenu disponible des ménages par habitant : 26 469 $ (2012) Source : Institut de la statistique du Québec PRINCIPAUX SECTEURS D'ACTIVITÉ À MONTRÉAL EN 2012 1. Commerce de gros et de détail: 141 300 emplois (15,0% du total) 2. Soins de santé: 113 040 emplois (12,2%) 3. Services professionnels, scientifiques et techniques: 106 446 emplois (11,3%) 4. Fabrication: 101 736 emplois (10,8%) 5. Information, culture et loisir: 68 766 emplois (7,3%) 6. Hébergement et restauration: 62 172 emplois (6,6%) Source: Desjardins, Études économiques
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http://journalmetro.com/plus/carrieres/433651/lemploi-affiche-un-nouveau-record-a-montreal-pour-un-troisieme-mois-consecutif/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">L’emploi affiche un nouveau record à Montréal pour un 3e mois consécutif Par Laurence Houde-RoyMétro </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">MétroDans la vente et les services aux personnes, environ 50 % des travailleurs sont surqualifiés.</figcaption></figure> Le nombre d’emplois à Montréal a atteint un nouveau record pour le troisième mois consécutif en décembre 2013, selon l’Enquête sur la population active de Statistique Canada. Quelque 977 300 Montréalais travaillaient, soit 1000 de plus qu’en novembre 2013 et 8400 de plus qu’en octobre 2013. «Cette performance est cependant légèrement atténuée par une perte de 4300 postes à temps plein en un mois, alors que 5900 emplois à temps partiel ont été créés», mentionne le bulletin Enquête sur la population active du mois de décembre 2013 de Montréal en statistiques. <aside class="stat-highlight" style="border-style: solid; border-color: rgb(218, 218, 218); border-width: 1px 0px; font-size: 13px; line-height: normal; font-family: Arial, sans-serif; padding: 10px 0px;"> 18 500 On compte 18 500 emplois de plus sur l'Île-de-Montréal en décembre 2013 que douze mois plus tôt. </aside>Le taux de chômage à Montréal a également fait un bond d’un dixième de point en décembre, pour grimper à 9,1%. «L’arrivée de personnes additionnelles au sein de la population active a fait sentir sont impact sur le taux de chômage», explique Montréal en statistique. La population active est effectivement composée de 2600 individus de plus qu’en novembre 2013, avec maintenant 1 075 200 Montréalais en emploi ou à la recherche d’emploi, «soit un record de tous les temps». Le taux de chômage à Montréal en décembre affiche tout de même une baisse de 0,9 point si on le compare aux données de décembre 2012, où il était de 10%.</article>
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Bonjour, Quelques photos récentes (ou plus anciennes) de certains changements urbain de ville de Laval. Note: Les images du haut des premiers montages, proviennent de "Google Street View". Le 1699 le corbusier, aout 2011 et 2 juin 2013 Agrandissement de Place Laval, aout 2011 // 2 juin 2013 Station Canadian Tire (boulevard des Laurentides, Pont Viau), septembre et decembre 2012 Le Zellers de Gallerie laval (face au centre laval), aout 2011 // 1ier juin 2013 1968-2005 Boul Levesques, St-Vincent de Paul, Laval. Autoroute13 1976 // 11 aout 2012. Voila pour le moment, j'en ai quelques autres encore....pour la prochaine fois !!
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16K, phase 2 (Pointe-aux-Trembles ) - 3 étages
un sujet a posté Vauxhall dans Projets oubliés et/ou en suspens
7 Décembre Phase 1 (terminé) Phase 2 -
Seul le Québec, IPE et la Saskatchewan ont eu augmentation du taux de chômage Faut croire que la reprise économique est maintenant bien amorcée au pays. Retour aux chiffres normaux... *** Emploi - Perte de 25 700 emplois au Québec en décembre Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage a légèrement augmenté en décembre, pour s'établir à 7,5 %, en hausse de 0,1 % par rapport à novembre. Statistique Canada souligne que 17 500 emplois ont été ajoutés en décembre au pays après deux mois de baisses. Toutefois, le taux de chômage a augmenté parce que davantage de personnes ont cherché activement du travail. L'organisme rapporte une augmentation de 43 000 du nombre de personnes travaillant à temps partiel en décembre mais note aussi une baisse de 26 000 du nombre de travailleurs à temps plein. Le nombre d'emplois dans le secteur de la fabrication a augmenté de 30 000 en décembre. Parallèlement, le nombre d'emplois a baissé de 7200 dans les services publics et est resté à peu près inchangé dans les autres secteurs. Pour l'ensemble de l'année 2011, les gains sont de 199 000 emplois au pays. La grande majorité de ces emplois ont été créés durant les six premiers mois de l'année. Hausse du chômage au Québec Dans les provinces, l'emploi a augmenté en décembre en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'emploi a toutefois diminué au Québec pour un troisième mois consécutif. La diminution était estimée à 25 700 emplois en décembre, portant le taux de chômage à 8,7 %. Les baisses les plus marquées au Québec se situent dans le secteur de la construction (monctezuma : pourant c'est pas les chantiers qui manquent !?!?) et dans celui des soins de santé et de l'assistance sociale. Le Québec a connu une baisse de 51 000 emplois en un an. Taux de chômage par province, décembre (novembre entre parenthèses) Terre-Neuve-et-Labrador 12,8 (13,2) Île-du-Prince-Édouard 11,4 (11,1) Nouvelle-Écosse 7,8 (8,6) Nouveau-Brunswick 9,4 (9,8) Québec 8,7 (8,0) Ontario 7,7 (7,9) Manitoba 5,4 (5,5) Saskatchewan 5,2 (5,1) Alberta 4,9 (5,0) Colombie-Britannique 7,0 (7,0)
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La méthode londonienne: un centre d'achats éphémère
un sujet a posté mtlurb dans Projets ailleurs dans le monde.
La méthode londonienne: un centre d'achats éphémère Publié le 10 décembre 2011 à 06h00 | Mis à jour le 10 décembre 2011 à 06h00 (Londres) Au lieu de chercher à battre ses rivaux en termes de superficie et de longévité, le promoteur d'un centre d'achats londonien a préféré voir petit et à court terme. Avec son design industriel et sa date d'expiration prévue pour 2016, Boxpark fait sonner les caisses de ses détaillants. Samedi après-midi, dans le quartier est-londonien de Shoreditch. Tuques et grosses lunettes bien en vue, des hipsters dévalisent des conteneurs noirs. Ils en ressortent les bras remplis d'espadrilles Puma, de manteaux North Face... et de friandises. De nouvelles émeutes? Pas au sens propre du terme. Des fashionistas ont accouru le 3 décembre dernier à l'ouverture de Boxpark, le premier centre commercial éphémère au monde. Le concept est d'une simplicité désarmante. Des détaillants, indépendants et internationaux, emménagent dans une soixantaine de conteneurs recyclés pour une durée de cinq ans. À l'expiration des baux, la marchandise est remballée et Boxpark disparaît sans laisser de trace. L'idée a germé dans l'esprit de l'entrepreneur Roger Wade en longeant chaque jour le terrain qui jouxte la station Shoreditch High Street, vacant depuis 40 ans. «Je trouvais dommage de voir ce bel espace à l'abandon», dit-il à La Presse. Avec ses boîtes métalliques, 40 au rez-de-chaussée et 20 au premier étage, il propose un projet clé en main aux propriétaires fonciers, Hammerson et Ballymore. La rumeur sur le premier centre d'achats éclair a été si favorable que de grandes marques, comme Calvin Klein et Nike, se sont disputées les caisses, louées à 40 000 dollars canadiens l'unité par année, avant même leur livraison. Pour les griffes émergentes, c'était l'occasion de se démarquer sur le marché britannique, et en particulier auprès de la faune influente et branchée du quartier Shoreditch, l'équivalent londonien du Meatpacking district à New York. «On cherchait quelque chose de différent pour notre première présence en Angleterre. Le premier centre d'achats pop up, c'est un concept cool qui nous sied bien», dit Ole Fjelberg, porte-parole d'OnePiece, une sorte d'American Apparel norvégien qui fait fureur en Europe. Les conteneurs de Boxpark voyageront bientôt aux quatre coins de l'Europe. Roger Wade s'est allié au géant immobilier Corio pour ouvrir d'autres franchises sur le continent. Prochaine destination: Amsterdam en 2012. Mode et récession L'anti-centre d'achats récupère la tendance pop up, qui fait rage depuis trois ans dans la capitale. Tout a commencé en 2009, lorsque des cordons-bleus londoniens ont commencé à attirer dans leur maison de parfaits inconnus pour des soirées gastronomiques. Intrigués par la popularité de ces restaurants clandestins, des chefs vedettes, dont le triple-étoilé Pierre Koffmann et Nuno Mendes, ont occupé à leur tour des espaces inusités (le dernier étage du magasin Selfridges, un loft) pour une durée limitée. «On ne veut pas rater les événements pop up justement parce qu'ils sont éphémères, explique Victoria Stewart, journaliste au quotidien londonien Evening Standard. Les Londoniens aiment se sentir dans le coup.» Des galeristes et des petits commerçants ont saisi l'occasion. Avec la récession, ils étaient soudain en mesure de dicter leurs règles aux propriétaires de locaux vacants, dont la proportion actuelle est de 6,5% contre 2% en janvier 2009. Bonnie Stowell a ainsi fait l'essai de sa première boutique pendant trois mois dans le chic quartier de Chelsea, question de tâter le marché. «C'était moins risqué que de s'engager à long terme», explique la propriétaire de Willow Beauty. La formule ne plaît toutefois pas à tous les marchands. «Si nos affaires vont bien, ce sera dommage de devoir fermer», dit Georgina Dawson, dont le café Foxcroft & Ginger était bondé au jour de lancement de Boxpark. Mais les locataires de Roger Wade n'auront pas le choix de plier bagage. Un édifice à bureaux de 58 000 mètres carrés, évalué à 780 millions de dollars canadiens, remplacera les boîtes noires dès 2017. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/commerce-de-detail/201112/09/01-4476397-la-methode-londonienne-un-centre-dachats-ephemere.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter -
L'offre a ete annoncee il y aquelques semaines. Par contre je n'avais pas realiser que Cominar mettait la main sur la Gare centrale... Cominar émet pour 125 millions de dollars de nouvelles unités. Le plus grand fonds de placement immobilier du Québec et plus grand propriétaire commercial de la province met 5 734 000 nouvelles parts en circulation. Le produit de l'émission d'unités servira à réduire sa dette issue du crédit courant et à «financer le programme d'acquisition et de développement continu de Cominar», selon le communiqué émis par le fonds de placement immobilier (FPI). La société de Québec a lancé le 2 décembre une offre d'achat non sollicitée du FPI montréalais Canmarc, l'ancien FPI Homburg. Au comptant, Cominar propose 838,2 millions de dollars pour Canmarc, notamment propriétaire de la Gare centrale, à Montréal, soit 15,30 $ par unité au moment de la proposition. Cominar offre aussi d'échanger 0,7054 unité de son titre contre une unité de Canmarc, jusqu'à concurrence de 16 millions d'unités de Cominar échangées. Quelques jours avant, le 28 novembre, Cominar avait déjà augmenté ses parts dans Canmarc à 15,1 %, en achetant 3,1 millions d'unités. Le FPI de Québec est ainsi devenu le deuxième plus grand actionnaire de Canmarc.
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Me semble que je radote. Mais je ne suis pas le seul. Et puis, c'est pas faux. http://www.cyberpresse.ca/opinions/201101/12/01-4359508-le-roi-est-nu.php
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Nouveau développement pour le Cirque du Soleil?
un sujet a posté WestAust dans Projets oubliés et/ou en suspens
Le Cirque du Soleil a acquis en décembre un terrain vague d'une valeur de 3,2 millions de dollars à proximité de son siège social dans le quartier Saint-Michel, à Montréal, pour y développer ses installations. Selon des documents consultés par Radio-Canada, ce terrain a été acheté en 2008 de la Ville de Montréal pour 2,8 millions de dollars par une compagnie à numéro appartenant à Guy Laliberté, le fondateur et chef de la direction du Cirque. Les prix correspondent aux évaluations municipales. Selon une porte-parole du Cirque du Soleil, l'entreprise a acquis ce terrain en décembre de la compagnie de Guy Laliberté dans le but de le développer « au moment opportun [...] pour une vocation communautaire ou administrative », mais refuse d'en expliquer les raisons détaillées. Le terrain pourrait néanmoins servir à y construire de nouveaux bureaux. Pour l'instant, les employés du Cirque sont logés dans des bureaux loués à proximité du site. « Le Cirque a bel et bien acheté ce terrain près de la TOHU. Cependant, nous n'avons pas pour l'instant de projets établis. Il faut garder en tête le fait que le Cirque est installé dans le quartier Saint-Michel depuis 1997 et que nous avons toujours investi dans l'optique d'être bien ancrés dans le quartier », affirme la porte-parole Tania Orméjuste. « Le Cirque du Soleil ne se cache pas d'être intéressé par les terrains qui pourraient devenir disponibles dans le quartier Saint-Michel pour développer le centre de création qu'est le siège social international », poursuit-elle. L'arrondissement Saint-Michel dit n'avoir délivré aucun permis de construction pour ce terrain récemment ni avoir reçu de demande de permis. Il n'existe pas d'autres transactions ces dernières années dans le secteur au nom de Guy Laliberté ou de sa compagnie à numéro. Ce terrain est partiellement occupé par Rebuts solides canadiens, une société qui trie les matières recyclables de plusieurs arrondissements. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/01/11/013-cirque-soleil-terrain.shtml -
Construction de (12) unités de condos. Bâtisse de 8 unités avec livraison pour le 15 septembre 2010 et une de 4 unités avec fenestration sur 3 côtés avec livraison pour décembre 2010. Les bâtisses sont situées aux 6860 et 6870, 25e Avenue au sud de Bélanger, côté Ouest de la 25e Avenue. http://lesconstructionsdla.com/projet_le_25e_avenue.asp
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Salut tout le monde, Un meet pour MTLURB en fin d'année?? Quand: 29 Décembre 2010 de 18h à ..... Lieu: McKibbins, 1426 Bishop, Montréal Qui: Tout le monde
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Suite à l'article encourageant de la Gazette sur le marché des bureaux à Montréal daté d'aujourd'hui 8 décembre, quel est l'édifice à bureaux que vous souhaitez voir construit en priorité au centre-ville de Montréal?
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Travaux majeurs La « Main » fermée jusqu'en décembre Mise à jour : 15/09/2010 11h46 Dès jeudi et jusqu’en décembre, les automobilistes devront éviter le secteur du boulevard Saint-Laurent, au centre-ville de Montréal. L’artère principale sera fermée à la circulation pendant trois mois en raison de travaux majeurs, du boulevard René-Lévesque jusqu’au boulevard Maisonneuve. La Ville en profitera pour refaire les infrastructures souterraines du boulevard, dans le cadre des travaux du Quartier des spectacles. Par contre, la rue Jeanne-Mance, qui était barrée depuis la fin de l’été, sera rouverte pour faciliter les déplacements dans le secteur. Les automobilistes venant du sud et de l’est seront redirigés vers le boulevard René-Lévesque, la rue Jeanne-Mance et la rue Sherbrooke. Ceux en provenance de l’ouest devront emprunter un détour vers le boulevard René-Lévesque, la rue Berri et le boulevard de Maisonneuve. (Agence QMI)
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