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  1. Un nouveau complexe culturel à Longueuil (Courtesy of Radio Canada) - This is from 2013. There was some movement recently about this project (see below):
  2. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201504/19/01-4862409-13-million-pour-restaurer-le-bain-saint-michel.php Le bain Saint-Michel, le plus vieux bain public à Montréal toujours existant, sera rénové et conservera sa vocation culturelle des dernières années. L'édifice était condamné depuis quelques temps et défigurait la rue Maguire, en plus de bloquer le trottoir à cause des clôtures tout autour. Bref, c'est une bonne nouvelle pour le Mile End. Voici l'article de la Presse: 1,3 million pour restaurer le Bain Saint-Michel Le Bain Saint-Michel, sur la rue Saint-Dominique. PHOTO ÉDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Daphné Cameron La Presse Le plus vieux bain public de Montréal, dont le taux de vétusté atteint les 95 %, subira une cure de jouvence à compter du mois de mai. La Ville de Montréal et le ministère de la Culture investiront 1,3 million de dollars pour rénover l'enveloppe du Bain Saint-Michel, afin de remettre en valeur ses façades d'inspiration Beaux-Arts, sa fenêtre oeil-de-boeuf et sa maçonnerie de briques avec détails de pierre. Au terme du projet, le Bain du Mile End ne redeviendra pas une piscine comme lors de sa construction en 1909. Il restera un lieu voué à la culture. Pour l'instant, le bâtiment est dans un état pitoyable. Selon la Ville, des débris de maçonnerie tombent sur les trottoirs longeant les façades et la toiture fuit au point de menacer l'intégrité du bâtiment. « Le Bain Saint-Michel (à l'origine nommé Bain Turcot) est le seul survivant de la première vague des bains publics des années 10, les autres ayant été construits vers les années 30. Cela lui confère une valeur historique indéniable », peut-on lire dans un sommaire décisionnel préparé en vue de la prochaine séance du conseil municipal. « L'énoncé patrimonial dont il a fait l'objet recommande sa conservation malgré son taux de vétusté », ajoute le document de la Ville. Centre culturel Cette première étape prévoit la réfection de la maçonnerie, de la toiture et de la cheminée, ainsi que la décontamination fongique, et devrait durer six mois. Un second projet de rénovation globale sera par la suite lancé en vue d'y implanter un lieu culturel dont les détails n'ont pas été dévoilés. Depuis un an, l'édifice situé à l'angle des rues Saint-Dominique et Maguire est vacant pour des raisons de sécurité, mais était utilisé depuis 1998 comme lieu de diffusion artistique. Des groupes citoyens, des entreprises culturelles et des commerces du Mile End militent d'ailleurs depuis deux ans pour pérenniser le lieu comme un endroit de création et de diffusion artistiques. C'est la firme Norgéreq, de Montréal, qui a remporté le contrat de rénovation.
  3. Réinventer la ville - L'oeuvre absente Pourquoi Montréal n'a-t-elle pas plus d'oeuvres d'art public emblématiques? Stéphane Baillargeon 25 novembre 2010 Actualités culturelles Photo : Pedro Ruiz - Le Devoir Depuis L’Homme de Calder (1967), maintenant plantée dans le parc Jean-Drapeau, Montréal n’a pas ajouté une seule œuvre monumentale. Il faut plus que du béton et de l'asphalte pour développer une rue, un quartier, une ville à échelle humaine. Le Devoir poursuit sa série intermittente sur les exemples québécois à suivre et les erreurs à ne plus répéter. La place des Festivals aménagée l'an dernier comprend une immense fontaine, des lampadaires-grues, deux espèces de voitures-restaurants et, au milieu de tout ça, un cube disgracieux fait de tubes et de toiles. Selon les plans, une oeuvre d'art monumentale devrait remplacer cette structure temporaire pour compléter l'aménagement à quelques dizaines de millions de dollars. Le concours n'a toujours pas vu le jour. Le scénario se répète, en pire, de l'autre côté de la Place des Arts, à l'est de l'Adresse symphonique en construction. Le concours pancanadien, bel et bien lancé l'an dernier pour la conception d'un triptyque, a désigné quatre finalistes: Michel De Broin, Michel Goulet, Noel Harding et Hal Ingberg. Le jury n'a retenu aucun projet, selon les informations obtenues par Le Devoir. Rien n'assure un nouvel appel d'offres parce que le service responsable de la Ville reprend la réflexion à zéro en se demandant où installer quoi. La restauration et l'agrandissement de l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau n'ont pas plus accouché d'une oeuvre marquante. La direction a choisi de mettre l'accent sur les arts numériques, a acheté un écran géant et commandé des oeuvres éphémères. Depuis quelques mois, les photos placardées aux murs glissent allègrement vers l'art publicitaire. Finalement, il ne manque donc que de l'art public dans les lieux publics montréalais? Depuis L'Homme de Calder (1967), maintenant plantée dans le parc Jean-Drapeau, Montréal n'a pas ajouté une seule oeuvre monumentale, majeure ou iconique, comme on voudra. La Joute de la place Jean-Paul-Riopelle, entre le Palais des congrès et le QG de la Caisse de dépôt et placement, ne compte pas pour du neuf, la fontaine des années 1970 ayant été déplacée (spoliée selon certains) du parc Olympique. Des oeuvres à prévoir Reposons la question: l'art public est-il le négligé des grands chantiers en cours? «Il n'y a jamais eu autant d'intérêt à la Ville que maintenant pour les enjeux d'art public», répond Jean-Robert Choquet, directeur du Service culturel à la Ville de Montréal, qui ne parle évidemment que pour son secteur et pas pour l'aéroport. «L'enjeu, d'abord et avant tout, dans le Quartier des spectacles, en est un de réaménagement urbain et de mise en valeur des festivals, des événements et des salles de spectacles. Cela dit, en matière d'art public et d'art numérique, à la fin du processus, on souhaite se retrouver avec quelque chose d'assez vibrant, d'assez inspirant.» Il ajoute que les délais et les tergiversations permettent à la Ville de brasser les idées en ajoutant une nouvelle possibilité à l'intersection des rues Clark et Sainte-Catherine, «peut-être en favorisant les arts numériques». Pour la place des Festivals, les concepteurs souhaitaient la collaboration d'un mécène. Le partenariat aura peut-être plus de chance au parterre, près de la salle de l'OSM, orchestre réputé pour attirer les gros sous. «Nous n'avons pas encore tiré de conclusions, dit le directeur municipal. Personnellement, je ne me sens pas mal à l'aise de prendre plus de temps pour prendre la bonne décision. Il faut aussi laisser vivre les espaces aménagés pour mieux saisir le génie du lieu. On a encore deux ans pour livrer ce qu'on a à livrer.» Le budget de l'implantation oscille autour de 550 000 $, qui seront dépensés, promet le directeur. Cette somme respecte le programme dit du 1 %, modulable en fonction de l'enveloppe globale d'un projet architectural. Quoique, avec un budget de 140 millions et plus pour le Quartier des spectacles, Montréal aurait pu faire d'autres choix, comme Chicago et ses mécènes qui ont payé la magnifique Cloud Gate d'Anish Kapoor. «Mon ambition, c'est d'aller beaucoup plus loin que ça, dit encore M. Choquet en parlant de son budget. Il faudrait qu'on se rende à 2 millions en tout. Mais on a commencé le projet au moment où les Bourses s'effondraient. C'est pour ça qu'il y a du retard. Mais ce retard n'est pas un désaveu de l'art public, au contraire. Nous allons réaliser des intégrations exemplaires.» Patience donc. L'Adresse symphonique est aussi soumise au programme provincial d'intégration des arts à l'architecture. Des artistes pressentis pour le concours ont visité le chantier au début du mois. Les deux mégahôpitaux universitaires devront aussi faire une place à l'art, tout comme la nouvelle aile du Musée des beaux-arts et une trentaine d'autres projets, explique Annie LeGruiec, responsable des relations avec les médias au ministère de la Culture. Montréal n'a pas d'obligation semblable. À la suite de consultations sur l'art public tenues l'an dernier, la Commission du conseil municipal sur le développement culturel a tout de même recommandé «que la Ville évalue la possibilité de lancer, à intervalles réguliers, un concours international en art public». Le parc municipal compte environ 300 oeuvres, souvent mineures. Par contraste, la collection de Seattle, stimulée depuis 1973 par un programme municipal, compte 350 oeuvres permanentes et 2600 autres «portables». Des oeuvres à voir Par contraste, la Ville de Québec a récemment stimulé l'installation de sculptures en plein air à la faveur des fêtes du 400e. L'aéroport Lester B. Pearson a bénéficié des ajouts artistiques récents les plus intéressants de Toronto, dont une magnifique sculpture de l'Américain Richard Serra intitulée Tilted Speres. «Beaucoup d'aéroports ou d'édifices publics organisent un concours, se dotent d'une oeuvre et vivent avec», commente Christiane Beaulieu, vice-présidente responsable des affaires publiques des Aéroports de Montréal. «Toronto, avec son budget de 6 milliards, a dépensé plusieurs millions en oeuvres d'art. Nous avons pris un chemin différent. Le comité de direction a plutôt choisi d'utiliser un concept d'environnement numérique.» Montréal a dépensé 1,5 milliard pour rénover et agrandir l'ancien aéroport Dorval après l'échec lamentable de Mirabel. Les oeuvres de la collection permanente éclectique (Pellan, Molinari, etc.) héritée de Transport Canada ont été restaurées et repositionnées. Un nouveau programme dit d'«identité montréalaise» utilise la fibre optique, des écrans et des colonnes lumineuses pour diffuser des oeuvres numériques, des photos et des vidéos. On y a vu des vidéos de Sylvain Campeau et d'autres consacrées à la danse contemporaine. Des photos ont récemment rendu hommage aux chefs cuisiniers de la ville et au centenaire des Canadiens de Montréal, dans ce cas avec des reproductions de toiles du peintre Serge Lemoyne. Pas des originaux, des photos de toiles. Cet été, les murs célébraient le Cirque du Soleil, avec des photos de Caroline Bergeron. L'éclairagiste Axel Morgenthaler rajuste trimestriellement les «projections lumineuses» des couloirs d'arrivée. «La décision prise, c'est de ne pas acheter une grande oeuvre mais d'acheter des supports pour diffuser, chaque année ou tous les deux ans, quelque chose d'autre qui soit à l'image de la diversité culturelle qui existe à Montréal, poursuit Mme Beaulieu. Les autres dépensent une fois et c'est bon pour 40 millions d'années. Ils payent un million pour une sculpture et, si tu passes devant, tu es chanceux, sinon tant pis. Nous, on a un budget annuel pour renouveler les contenus. Nous diffusons des artistes différents un peu partout dans l'aérogare.» Le choix est fait et assumé. Adieu monument et bienvenue/welcome à Montréal... http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/311685/reinventer-la-ville-l-oeuvre-absente
  4. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/04/26/003-culture-tourisme-montreal-etude.shtml Un touriste sur quatre vient à Montréal pour la culture Publié le mardi 26 avril 2016 à 15 h 54 Le Festival international de jazz de Montréal Si l'on sait que les nombreux festivals et musées attiraient leur lot de touristes à Montréal chaque année, une étude confirme l'importance de la culture dans le portrait touristique de la métropole. Ainsi, 26 % des touristes, soit un sur quatre, choisissent Montréal comme destination de voyage pour son offre culturelle. L'étude, commandée par Tourisme Montréal, montre également que ces visiteurs culturels dépensent 1,1 milliard de dollars dans la métropole. Chaque année, 2,3 millions de touristes viennent à Montréal pour un événement culturel. Leurs dépenses représentent 44,9 % des dépenses touristiques totales. À lire aussi : Le tourisme musical, le sauveur des festivals payants à Montréal? Quels événements attirent principalement ces touristes? Les festivals attirent à eux seuls 7,5 millions de visites et quatre d'entre eux totalisent un achalandage de 4,2 millions de visites. Il s'agit du Festival international de jazz de Montréal, des FrancoFolies, du Festival Juste pour rire et de Montréal en lumière. Les musées montréalais ne sont pas en reste, avec 7 millions d'entrées, soit 49 % de la fréquentation totale des musées pour le Québec. Les attraits culturels accueillent 9 millions de visiteurs et les arts de la scène 3 millions d'entrées. La firme LJM Conseil a réalisé cette étude pour le compte de Tourisme Montréal. Puisqu'il existe peu de données et de statistiques sur le tourisme culturel, LJM Conseil a croisé des données provenant de diverses sources, comme Statistique Canada, l'Observatoire de la culture et des communications du Québec et des sondages commandés par Tourisme Montréal. Rappelons que, l'automne dernier, Tourisme Montréal a lancé le Passeport MTL culture. Avec ce forfait, les touristes peuvent, sous réserve de disponibilité, assister à des pièces de théâtre, à des spectacles de danse, à des concerts et à quelques festivals, en plus d'accéder à des expositions. Cette offre regroupe 31 organismes culturels, dont le TNM, le Musée des beaux-arts, l'Igloofest, l'Orchestre symphonique de Montréal (OSM) et le Festival international de la littérature.
  5. Un lieu culturel et touristique autochtone de 6 000 m2 – l’équivalent en superficie de la place des Festivals – devrait être aménagé au cœur de la ville en 2018. http://journalmetro.com/actualites/national/948029/vers-une-ambassade-autochtone/
  6. Montréal, capitale de l’entrepreneuriat culturel Montréal, avec ses nombreux festivals et spectacles, est reconnue comme une capitale culturelle. Au niveau entrepreneurial, elle n’est d’ailleurs pas en reste: la ville regorge d’industries créatives et le domaine des arts y est florissant. Professeur titulaire à la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier de HEC Montréal, Louis Jacques Filion en parle avec passion. «Aussitôt qu’on discute d’entrepreneuriat au Québec, il y a une onde négative, commence-t-il par constater. Or, Montréal est une des villes les plus vibrantes de la planète, particulièrement pour ce qui est de l’entrepreneuriat culturel.» Il rappelle, par exemple, que le grand patron de MGM a déjà mentionné que le succès de Las Vegas reposait sur Montréal, puisque 80% des billets qui y sont vendus sont issus de la créativité de la métropole québécoise. M. Filion définit l’entrepreneuriat culturel comme étant composé de gens jouant un rôle d’innovation dans le domaine des arts et de la culture, plus particulièrement par le développement de produits et de services. Le domaine culturel peut par ailleurs prendre plusieursfor*mes: édition, humour, musi*que, danse, jeux vidéos etc. «Montréal est notamment devenue un incontournable pour l’industrie du jeu vidéo, et le modèle de l’humour québécois sert d’inspiration ailleurs dans le monde», souligne le professeur au HEC. «Montréal regorge d’un bassin de travailleurs autonomes de très grand talent, souvent dans le milieu culturel», affirme Éric Fournier, partenaire et producteur exécutif chez Moment Factory et président de la Table d’action en entrepreneuriat de Montréal (TAE). Il ajoute cependant que la métropole a le potentiel d’aller encore plus loin, puisque l’accent est beaucoup plus porté sur la création que sur la diffusion de ce talent. «Il faut passer du talent brut individuel à des regroupements qui vont cumuler ensemble leur talent pour aller vendre à l’étranger», déclare M. Fournier. «Il est temps de sortir de la morosité et de réaliser tout le potentiel de l’entrepreneuriat culturel au Québec!» – Louis Jacques Filion, professeur titulaire à la Chaire d’entrepreneuriat Rogers-J.-A.-Bombardier de HEC Montréal Dans le cadre de ses travaux, la TAE vise d’ailleurs à promouvoir la création de PME par les travailleurs autonomes. Éric Fournier rappelle que même si plus de 80 organismes ont pour vocation de soutenir les entrepreneurs, les règles fiscales en place n’encouragent pas l’entrepreneuriat. Les travailleurs autonomes et sous-traitants dans le milieu culturel sont donc à la merci des projets et ont de la difficulté à s’organiser. Une chose est sûre, il est important de continuer à promouvoir et soutenir l’entrepreneuriat culturel. «Les pays où les arts se développent sont des pays où il y a beaucoup de liberté. Ça amène une dynamique de créativité dans la société et ouvre à la diversité», conclut Louis Jacques Filion. Le goût du risque Éric Fournier rappelle par ailleurs qu’au delà des programmes universitaires formels, l’entrepreneuriat est un état d’esprit. «Oui, les études peuvent aider, mais c’est avant tout quelque chose qui se vit. L’essence de l’entrepreneurship, c’est le gout du risque», mentionne le producteur exécutif chez Moment Factory. Gestion des arts La Chaire de gestion des arts Carmelle et Rémi-Marcoux aux HEC réalise et publie des recherches sur la gestion des arts. Parallèlement, l’université offre aussi plusieurs possibilités de formation en gestion des arts, notamment: DESS en gestion d’organismes culturels Maîtrise en management des entreprises culturelles Maîtrise internationale en management des arts Doctorat en administration, avec profil en marketing et management des arts, industries culturelles et des médias http://journalmetro.com/plus/carrieres/531576/montreal-capitale-de-lentrepreneuriat-culturel/
  7. MONTRÉAL, le 28 février 2011 - Au nom de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le député de Marquette, M. François Ouimet, la responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, ainsi que le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, annoncent l'investissement de 10, 9 M$ pour le réaménagement et l'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow dans l'arrondissement de Lachine. Ce projet est financé dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal. Le coût global de ce projet, qui s'inscrit dans le programme de rénovation, d'agrandissement et de construction de bibliothèques (RAC), est de 10,9 M$. La Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) investiront chacun 4,3 M$, tandis que l'arrondissement injectera près de 2,3 M$. L'ouverture de la bibliothèque agrandie et rénovée est prévue pour le printemps 2013. Soulignons que durant les travaux, les services offerts aux citoyens seront maintenus, mais temporairement relocalisés au sein de l'arrondissement. « Je suis très fier d'être ici aujourd'hui pour annoncer ce beau projet pour les citoyens de Lachine, qui permettra à la bibliothèque Saul-Bellow d'être un pôle culturel plus attrayant et accessible. Cette réalisation, où battra le cœur de Lachine, a été rendue possible grâce à un engagement commun pris lors du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle. Le concours d'architecture associé à ce projet offre une occasion privilégiée de se surpasser et de viser l'excellence. L'effervescence de notre communauté passe indéniablement par l'accès à un lieu de savoir et de culture vaste et diversifié », a souligné M. François Ouimet. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent accès à la culture et au savoir à ceux qui les fréquentent. Les citoyens de Lachine pourront profiter d'une bibliothèque agrandie, modernisée et axée sur les besoins des familles. Aujourd'hui, notre Administration démontre, encore une fois, qu'elle est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré Mme Fotopulos. « Je suis heureux d'annoncer ce projet de réaménagement et d'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow puisqu'il s'agit d'un investissement direct qui permettra d'offrir aux citoyens de Lachine une bibliothèque moderne, attrayante, fonctionnelle et ouverte à sa communauté. Ce projet vise à combler l'important déficit de l'arrondissement en matière d'offre de service, tant sur les plans qualitatifs que normatifs. Il permettra de plus, de consolider un pôle culturel et social au cœur de l'arrondissement de Lachine », a affirmé M. Claude Dauphin. Ce projet a été retenu par la Ville et le MCCCF sur la base de critères spécifiques, soit : l'écart par rapport aux normes qui avait été rendu public dans le Diagnostic des bibliothèques municipales de l'île de Montréal, la volonté de l'arrondissement de s'engager financièrement, ainsi que la faisabilité et la qualité du projet. Architecture, développement durable et art publicLa future bibliothèque Saul-Bellow intégrera le bâtiment existant (1427 m2) et un ajout d'environ 1194 m2. Une fois les travaux terminés, la superficie de la bibliothèque aura presque doublée. La conception de la bibliothèque fait l'objet d'un concours d'architecture qui contribuera à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Ce nouvel équipement culturel vise une certification environnementale LEED OR. L'appel de candidatures pour le concours d'architecture, qui se déroulera en deux étapes, a été lancé le 16 février dernier. Un jury formé de sept membres recommandera à la Ville de Montréal et à l'arrondissement de Lachine sept finalistes parmi les architectes qui auront déposé leur dossier de candidature. Les sept finalistes retenus présenteront ensuite un concept sur la base duquel l'équipe lauréate sera choisie. Les membres du jury sont : monsieur Patrice Poulin, architecte, PA LEED et gestionnaire immobilier à la Direction des stratégies et des transactions immobilières de la Ville de Montréal; monsieur Alex Polevoy, directeur - Culture, sports, loisirs et développement social, au sein de l'arrondissement de Lachine; madame Julie-Anne Cardella, directrice de la bibliothèque de Westmount; monsieur Daniel Pearl, architecte et professeur à l'Université de Montréal; madame Louise Bédard, architecte; monsieur Maxime Frappier, architecte; madame Anne Carrier, architecte, et monsieur Charles Ferland, architecte et membre suppléant. Selon la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, la Ville procèdera en 2012 à un concours d'art public sur invitation visant à doter la bibliothèque Saul-Bellow d'une œuvre. Rappelons que cette politique consiste à réserver un pourcentage de l'ordre de 1% du budget de construction à la réalisation d'une ou de plusieurs œuvres conçues spécifiquement pour ce lieu. La réalisation du projet d'oeuvre d'art sera gérée par la Division des équipements culturels, de l'art public et du patrimoine artistique par l'entremise de son Bureau d'art public. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1344&lang=fr
  8. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/02/21/008-complexe-culturel-longueuil-investissement-quebec.shtml Québec promet 20 M$ pour le nouveau complexe culturel de Longueuil Mise à jour le vendredi 21 février 2014 à 16 h 56 HNE Maquette du projet Photo : Ville de Longueuil Le gouvernement du Québec s'est engagé vendredi à investir 20 millions de dollars pour la construction d'un nouveau complexe culturel à Longueuil. Le bâtiment, qui abritera notamment le Théâtre de la Ville et l'Orchestre symphonique de Longueuil, sera érigé à la Place Charles-Le Moyne, près de l'Université de Sherbrooke. Photo : Radio-Canada Il comprendra une salle de 1200 places, une autre de 500 et une dernière en formule cabaret de 350 places. On y retrouvera également des bureaux administratifs, deux salles d'exposition et des studios. L'ouverture est prévue à la fin de l'année 2017. La valeur totale du projet est estimée à 53 millions de dollars. La Ville s'était déjà engagée à fournir 20 millions de dollars et à réserver le terrain où sera construit le futur complexe. Le milieu régional doit contribuer à hauteur de 10 millions de dollars grâce à une campagne de financement. Le ministère du Patrimoine canadien sera sollicité pour 3 millions.
  9. Tel que promis, voici quelques-uns des projets dont je vous parlais. La suite est à venir! Voici donc un projet de l'architecte William Lyall. Ce dernier imagina un centre administratif et culturel sur l'actuel boulevard de Maisonneuve, en plus de l'élargissement de ce dernier. La rue à l'Est du projet est Saint-Laurent.
  10. Une entrevue avec François Colbert, titulaire de cette nouvelle Chaire, ce matin à RC. Très intéressant: http://www.radio-canada.ca/emissions/medium_large/2012-2013/chronique.asp?idChronique=303681
  11. Longueuil veut sa propre Place-des-arts Sarah-Maude Lefebvre 06/10/2010 14h09 La Ville de Longueuil veut se doter de sa propre Place-des-Arts. La mairesse Caroline St-Hilaire a dévoilé mercredi l’emplacement retenu pour la construction d’un complexe dédié aux arts de la scène. Le centre multidisciplinaire comprendra deux nouvelles salles de spectacle, de 1200 et 400 fauteuils. D’autres infrastructures, dont un centre d’exposition en art actuel, seront également déployées à l’intérieur de l’édifice qui, promet la Ville, sera doté d’équipements à la fine pointe de la technologie. Le terrain sur lequel sera bâti le complexe est situé dans le quadrilatère formé par les rues Saint-Charles Est, Bord-de-l’eau, d’Auvergne et par le boulevard Roland-Therrien. Ce secteur du Vieux-Longueuil fait actuellement l’objet d’une étude de redéveloppement en vue de sa revitalisation. « L’annonce d’aujourd’hui constitue la preuve de notre volonté de collaborer à la réalisation de ce grand projet qui consiste à doter Longueuil d’un complexe culturel moderne, emblématique de la vision d’avenir qui nous anime », souligne la mairesse de Longueuil, Caroline St-Hilaire. Partenariat avec le Théâtre de la Ville Pour cet ambitieux projet, Longueuil s’associera au Théâtre de la Ville, un diffuseur professionnel pluridisciplinaire situé actuellement sur le campus de Longueuil du Collège Édouard-Montpetit. Très populaire sur la Rive-Sud, le Théâtre de la Ville attire chaque année 200 000 personnes à ses quelque 60 spectacles. Diane Dufresne, Patrick Norman, Fred Pellerin, Michel Tremblay, Chloé Sainte-Marie, Oliver Jones, Dumas, Wajdi Mouawad, Dobacaracol, Daniel Bélanger et Ariane Moffatt ont été tour à tour des têtes d’affiche du Théâtre de la Ville au cours des dernières années. On ne connaît pas encore les coûts du futur complexe culturel à ce stade-ci. D’autres études, préalables à la décision de construire, auront lieu dans les prochaines semaines pour déterminer la faisabilité du projet. sarahmaude.lefebvre@24-heures.ca http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/10/20101006-140949.html
  12. Vox : Montreal en perte de vitesse 16 sep 2009, 19:30 De Vox On reproche beaucoup de choses à notre métropole, on pointe du doigt le déclin de Montréal. Mais qu’en est-il réellement? Diagnostic économique et culturel, avec un oeil tourné vers Québec, capitale nationale en pleine ascension. http://fr.video.canoe.tv/video/actualites/mise-a-jour-montreal/42863225001/montreal-en-perte-de-vitesse/42284831001
  13. Dévoilement de l'étude "La culture à Montréal: impacts économiques et financement privé" MONTRÉAL, le 20 nov. /CNW Telbec/ - La Chambre de commerce du Montréal métropolitain dévoile aujourd'hui les résultats de son étude intitulée : La culture à Montréal : impacts économiques et financement privé. Réalisée dans la foulée du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle, cette analyse illustre, avec des données concrètes, la puissance du secteur culturel comme levier de développement économique pour Montréal et dresse un portrait synthétique de la contribution du secteur privé. "En réalisant cette étude sur les impacts économiques du secteur culturel à Montréal, nous avions la volonté de contribuer à une meilleure compréhension collective de cet atout incomparable pour la métropole. Nous souhaitions également nous doter d'un outil rigoureux et reproductible dans le temps. En effet, l'étude a été conçue de façon à servir de jalon pour suivre l'évolution de ce secteur hautement stratégique pour Montréal, de même que l'implication du secteur privé à son financement au fil des ans", a déclaré Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. "Je me réjouis que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain dévoile aujourd'hui une analyse qui démontre "chiffres en main" la place importante qu'occupe la culture dans l'économie de la grande région de Montréal. Ce document constituera assurément un ajout positif dans notre réflexion sur les façons de préparer l'avenir pour les multiples acteurs culturels de la métropole", a pour sa part dit Christine St-Pierre, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine. À la lumière des résultats qui émanent de l'étude, la Chambre tire les trois grands constats suivants : 1. Un secteur économique vigoureux et en croissance "Le secteur culturel est un créateur d'emplois important avec près de 100 000 personnes qui y œuvrent dans le Grand Montréal. Il s'agit là d'un nombre d'emplois supérieur à celui généré par les grappes des sciences de la vie et de l'aérospatiale combinées. Qui plus est, l'emploi y croît trois fois plus rapidement que pour l'ensemble des autres secteurs économiques et ces emplois en culture ont un effet de levier plus grand que la moyenne sur la création d'emplois indirects", a indiqué Michel Leblanc. "Parmi les données économiques qui méritent d'être soulignées, mentionnons que le secteur culturel montréalais génère des retombées économiques totales de 12 milliards de dollars, dont près de huit milliards en retombées directes, ce qui représente 6 % du PIB de la métropole. C'est énorme!", a ajouté Michel Leblanc. 2. Un "cœur créatif" fragile "Malgré la vigueur dont témoignent les données économiques du secteur culturel montréalais, il faut se garder d'être complaisants. Le "cœur créatif culturel" de Montréal - le secteur artistique - est fragile. En effet, quand on observe le sous-secteur qui est au centre du foisonnement culturel montréalais, soit les artistes, auteurs et interprètes, on se rend compte qu'il demeure généralement précaire. Cette catégorie de travailleurs a des revenus représentant la moitié du salaire moyen à Montréal, et près de 20 000 $ en deçà du revenu moyen en culture", a précisé Michel Leblanc. 3. Une implication notable, mais inégale, du secteur privé "En culture, le secteur privé est un joueur important. Quand on analyse le budget des organismes culturels en lien avec le Conseil des arts de Montréal, on constate que le financement privé est de l'ordre de 21 %. Cependant, les engagements dans le domaine des arts ont souvent une portée qui varie grandement selon la taille des organismes et leur secteur d'activité. Cela met en lumière un enjeu majeur : comment favoriser une meilleure collaboration entre les entreprises et les organismes culturels ? Et comment faire en sorte que le "cœur créatif" soit encore mieux appuyé ? Cette étude représente autant un témoignage du dynamisme économique de notre secteur culturel qu'un appel à la mobilisation des gens d'affaires en sa faveur. À nous maintenant de poursuivre nos efforts pour développer des stratégies de renforcement afin que notre secteur culturel se développe davantage et contribue pleinement à la création de richesse", a conclu Michel Leblanc. Faits saillants de l'étude - En 2008, on recensait 96 910 emplois directs, une croissance annuelle de 4,6 % en 10 ans, soit presque trois fois plus que la moyenne globale du marché du travail, qui était de 1,7 % sur la même période. - Les retombées économiques annuelles totales (directes et indirectes) du secteur de la culture à Montréal sont évaluées à 12 milliards $. La contribution directe à l'économie est de 7,8 milliards $, soit environ 6 % du PIB de la grande région de Montréal. - Le salaire moyen des artistes, auteurs et interprètes est de 24 400 $. Cette catégorie d'emploi est la moins bien rémunérée du secteur culturel, soit à peine plus que la moitié (55 %) du salaire moyen dans le secteur culturel (44 000 $). - Les 294 organismes artistiques constituant l'échantillon analysé par le Conseil des arts de Montréal sont financés à 21 % par le privé, soit 14 % en dons et 7 % en commandites. Cette proportion varie beaucoup en fonction du budget ainsi que du domaine d'activité des organismes. Cette étude de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain a été réalisée grâce au soutien financier du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec ainsi qu'à la collaboration de Culture Montréal et du Conseil des arts de Montréal. Hyperlien à l'étude : http://www.ccmm.qc.ca/financement_culture
  14. Sommet culturel - La danse des millions à Québec Le Devoir Guillaume Bourgault-Côté Édition du mardi 17 février 2009 Mots clés : James Moore, Sommet culturel, Culture, Québec (province), Québec (ville) Le ministre du Patrimoine canadien, James Moore, brillait par son absence La capitale a engrangé des promesses totalisant 50 millions au sommet Québec horizon culture, qui se tenait hier. Québec -- Crise économique ou pas, c'est une véritable valse des dollars qui a rythmé hier le sommet Québec horizon culture. Quelque 50 millions d'engagements fermes ont été promis pour remodeler le visage culturel de la capitale, et ce, en présence de tout ce que le milieu compte d'intervenants et de partenaires... à l'exception notée du gouvernement fédéral. Le ministre du Patrimoine canadien, James Moore, s'est ainsi fait remarquer par son absence, soulignée par plusieurs des participants qui ont pris la parole au fil des plénières. Aucun député du gouvernement n'avait été dépêché pour assurer la présence d'Ottawa au forum. Selon le bureau de M. Moore, un «conflit d'horaires» a empêché la visite du ministre. Pour le critique libéral en matière de Patrimoine, Pablo Rodriguez, cela donne plutôt l'impression que les conservateurs «ont peur du milieu culturel». «Il y a une chaise vide, a-t-il dit après une activité. Et pourtant, tous les députés du Québec sont dans la région. C'est étrange.» La ministre de la Culture et des Communications du Québec, Christine St-Pierre, organisatrice de l'événement, n'a pas voulu en faire un plat. Elle transmettra à son homologue -- qui sera à Montréal aujourd'hui -- les résultats du sommet. Résultats qui, à ses yeux, sont entièrement positifs. Positifs parce que la participation a été massive (environ 800 personnes selon les organisateurs) et que l'argent était au rendez-vous pour appuyer les idées et concrétiser l'intention affichée de placer la culture au centre du développement économique de la ville. En matinée, les millions ainsi pleuvaient de partout. Au final, Québec horizon culturel a donc engrangé des promesses totalisant 50 millions. Plusieurs des sommes évoquées par la Ville de Québec et le ministère de la Culture avaient déjà été dévoilées, mais la Ville a annoncé 12,3 millions d'argent frais, alors que le gouvernement ajoutera 32 millions sur trois ans pour répondre aux besoins culturels de la capitale. Plusieurs autres organismes contribuent de leur côté. Par exemple, le premier ministre Jean Charest a annoncé la bonification (de 21 à 30 millions) de l'entente de développement culturel entre la Ville et le ministère de la Culture. Une trentaine de projets ont autrement été adoptés et chiffrés. La Ville et le gouvernement financeront notamment la création et la réalisation d'une télésérie dramatique à Québec (2,5 millions). Un peu moins de un million sera aussi réservé pour créer une mesure d'aide au démarrage des productions cinématographiques et audiovisuelles dans une ville qui en manque cruellement, a-t-on signalé hier. Le ministère accordera par ailleurs 750 000 $ sur trois ans pour permettre aux compagnies culturelles de Québec de «rayonner sur la scène nationale et internationale», un enjeu délicat ces temps-ci. Deux mesures ont été adoptées pour promouvoir le financement privé en culture. Un nouveau poste sera notamment créé à la Chambre de commerce de Québec pour une personne qui devra trouver des moyens de favoriser le mécénat culturel. Trois fonds d'investissement (équipements culturels, bibliothèques et restauration de biens patrimoniaux) sont également créés pour rénover Québec. Le sommet a accordé une bonne place au sort de la relève: le programme Première Ovation sera donc élargi à de nouvelles disciplines. De même, le quartier Saint-Roch -- que l'on désire voir en «haut lieu de la créativité contemporaine» -- bénéficiera de plusieurs enveloppes. On fera en sorte de «miser sur le design et l'art public» pour aménager l'espace urbain dans le quartier. Le maire Régis Labeaume a parlé de projets au design «fou», avec des lampadaires et des bancs de parcs très stylisés. Pour le président d'honneur du sommet, Robert Lepage, la journée d'hier aura été l'occasion de confirmer un «changement d'attitude» fondamental à Québec. Rappelant que les milieux des affaires et de la culture collaborent rarement («ce sont deux solitudes»), M. Lepage a estimé que l'on «avait commencé à se parler, à se connaître». «Aujourd'hui, on a mis en valeur la valeur de la culture», a-t-il indiqué en point de presse après la clôture. Selon le metteur en scène, le sommet permettra aussi à Québec de «sortir de la confrontation» avec Montréal. «On arrête de comparer Québec à Montréal pour parler de ce qu'on peut offrir. C'est nouveau dans le discours, ça.» La ministre St-Pierre a pour sa part fait allusion à un «événement d'ampleur» apte à faire de Québec un «pôle culturel important». «Nous avons fait avancer la cause de l'investissement privé, imaginé des initiatives porteuses pour la relève et mis en branle des projets emballants», a jugé la ministre. C'est selon elle «une véritable bouffée d'oxygène à la vie culturelle de Québec». Un comité de suivi sera mis sur pied pour mesurer l'avancement réel de tout ce qui a été annoncé hier. L'idée de tenir Québec horizon culture est née dans la foulée de Rendez-vous Montréal -- métropole culturelle, événement tenu en novembre 2007 et qui avait notamment précisé le développement du Quartier des spectacles. Avec collaboration d'Alec Castonguay http://www.ledevoir.com/2009/02/17/234303.html (17/2/2009 4H51) Voir aussi le téléjournal de hier aux alentours de 37 min. 15 sev. sur le sujet: http://www.radio-canada.ca/audio-video/#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2009/CBFT/Telejournal200902162200.asx&pos=0
  15. La récession des années 80, André Ménard s'en souvient. À l'époque, le cofondateur du Festival de jazz de Montréal avait organisé une série de spectacles baptisée «Rock Against Recession». Pour en lire plus...
  16. Quand Montréal écoute ses touristes Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du mardi 30 septembre 2008 Mots clés : Internet, Tourisme, Montréal Un «tableau de bord» permet de suivre ce que racontent les visiteurs sur Internet Si cartes et guides demeurent incontournables pour les touristes, de plus en plus de visiteurs se fient au Web pour préparer leur voyage, et Montréal entend bien en profiter. Photo: Jacques Grenier Avant de voyager en vrai (et après aussi), le nouveau touriste se promène sur la grande Toile pour y récolter et y semer des informations sur ses destinations. Tout y passe: des suggestions d'itinéraires aux critiques de restaurants, des jugements sur la qualité des hôtels aux propositions de sorties culturelles. «Certains blogueurs ont plus d'influence que les journalistes traditionnels, et il faut en tenir compte dans sa stratégie de mise en marché d'une destination touristique», expliquait hier Carmen Ciotola, vice-présidente communication marketing de Tourisme Montréal, aux quelque 220 professionnels réunis pour l'ouverture d'une conférence internationale organisée sur le thème Tourisme culturel: tendances et stratégies. La rencontre qui se poursuit toute la semaine est organisée par le Conseil international des musées et son comité pour l'éducation et l'action culturelle. Près de 80 % des participants arrivent d'une trentaine de pays. Nouvelles technologies La question des nouvelles technologies, et surtout du Web 2.0 (le réseau plus social, interactif et participatif), a monopolisé une part des réflexions de l'atelier matinal sur «les grandes tendances internationales». La représentante de Tourisme Montréal a expliqué que son organisme de promotion de la ville a développé depuis trois ans un «tableau de bord» (à usage interne seulement) pour suivre la «marque Montréal» dans le monde. En juillet dernier, cet indicateur a par exemple suivi 190 postes précis (blogues, forums, etc.) où il était question de la métropole québécoise pour un total de 55 heures de veille. «On peut suivre l'activité et mieux intervenir, expliquait Mme Ciotola. Avec ce site, on en vient à cibler un voyageur urbain qui s'alimente aux nouveaux médias.» Une pyramide de perceptions permet de comprendre encore plus précisément comment est jugée la ville. Les opinions étaient par exemple favorables à près de 90 % en juillet au sujet des arts et de la culture. Mieux: Tourisme Montréal permet aux visiteurs-internautes de bonifier son propre contenu promotionnel. Deux millions de visiteurs fréquentent le site de Tourisme Montréal par année. Depuis quelques mois, 3000 internautes ont proposé des itinéraires dans Montréal, dont une centaine se retrouvent directement sur le site. Un service de baladodiffusion (podcasting) compte déjà 50 épisodes. Le dernier traite des expositions en cours sur l'art et la musique, dont Andy Warhol Live au Musée des beaux-arts de Montréal. Le sujet du tourisme culturel est dans l'air cet automne. Culture Montréal organisera en effet un colloque sur le même thème en novembre. Bon an mal an, 20 % des parts du marché de certaines destinations tombent dans la catégorie du tourisme culturel. Montréal reçoit plus de six millions de visiteurs annuellement, dont une bonne part attirée par les musées ou les activités artistiques, y compris les festivals. «Notre examen du Web 2.0 montre que la marque Montréal est excellente, a résumé Carmen Ciotola. C'est une ville de gens et de lieux, où le nouveau et l'ancien se côtoient, l'Amérique et l'Europe. En plus, la population locale partage énormément avec les visiteurs.» http://www.ledevoir.com/2008/09/30/208266.html (30/09/2008 11H36)
  17. Les institutions financières nippones, longtemps critiquées pour leur manque de créativité financière, ont volé au secours de Wall Street à la faveur de la crise financière, mais cette percée à l'étranger risque d'être compliquée par le choc culturel, avertissent les analystes. Pour en lire plus...
  18. Montréal, le 27 septembre 2007 - Le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, a annoncé qu'il assumerait la responsabilité des dossiers de la culture, du patrimoine et du design. « À la veille du Rendez-vous novembre 2007 Montréal métropole culturelle, la ville fait face à des défis majeurs en matière de développement culturel, de patrimoine et de design. Avec le milieu de la culture, la communauté d'affaires, les gouvernements fédéral et provincial, nous mettrons tout en œuvre pour accélérer et consolider la place de Montréal comme métropole culturelle du XXIe siècle. Nous avons des forces soit la créativité, l'originalité, l'accessibilité et la diversité sur lesquelles nous devons et allons miser. Au moment où l'avenir du développement culturel de Montréal se dessine, j'ai décidé de piloter personnellement les dossiers reliés au développement culturel, au patrimoine et au design », a déclaré Gérald Tremblay. Rappelons que le Rendez-vous novembre 2007 Montréal métropole culturelle se tiendra les 12 et 13 novembre 2007.
  19. La Ville de Montréal participera au tiers du financement public total du projet du Centre culturel NCC et investira un montant maximum de 500 000 $ dès 2007 afin de procéder au démarrage du projet MONTREAL, le 27 avril - La Ville de Montréal est fière de participer au financement du projet de restauration, de rénovation et de redéploiement du Centre culturel NCC/Charles H. Este, situé dans l'arrondissement du Sud-Ouest. Le comité exécutif de la Ville de Montréal s'est engagé à investir le tiers du financement public nécessaire à la réalisation de ce projet, en fonction de la participation financière des gouvernements du Québec et du Canada. La Ville injectera un montant maximal de 500 000 $ en 2007. Selon un protocole à établir conjointement avec l'organisme, cette somme sera dédiée aux travaux de restauration, de rénovation et de redéploiement du centre. "L'administration de la Ville de Montréal soutient ce projet depuis plusieurs années. Il est significatif pour l'histoire de la population noire anglophone montréalaise. Le projet de restauration, de rénovation et de redéploiement se réalisera d'ici la fin 2008, et les nombreuses consultations réalisées au préalable permettent d'affirmer que ce sera un projet rassembleur et grandement attendu par la communauté", a déclaré le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay. "Nous sommes heureux de constater que les nombreux efforts consentis par les membres du conseil d'administration du Centre culturel NCC/Charles H. Este, par l'arrondissement du Sud-Ouest et par la Ville de Montréal, et ce, depuis plusieurs années, reçoivent l'appui du comité exécutif", a ajouté la mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, madame Jacqueline Montpetit. La petite histoire d'un grand projet A l'origine une église méthodiste, l'édifice hébergeant le Centre culturel NCC/Charles H. Este, anciennement le Centre communautaire des Noirs, a été construit au début des années 1900 dans le quartier de la petite Bourgogne. Le Centre culturel NCC, une organisation privée à but non lucratif (OBNL), a été fondée en 1927 afin d'améliorer les conditions sociales et économiques des gens de la communauté noire de Montréal. Avec le temps, cet organisme s'est orienté vers le soutien des activités s'adressant aux familles et aux jeunes. Depuis quelques années, l'immeuble centenaire nécessite des réparations majeures. Le NCC, avec le soutien de la Ville, a donc cherché à développer un projet permettant de rénover et de restaurer le bâtiment, tout en offrant à la population noire de Montréal de nouveaux services. En 2003, avec l'aide de l'arrondissement du Sud-Ouest et du Service de développement culturel, de la qualité du milieu de vie et de diversité ethnoculturelle de la Ville de Montréal, le nouveau conseil d'administration du Centre culturel NCC/Charles H. Este a lancé une vaste consultation afin d'élaborer un projet viable et lié très étroitement à la population multiethnique de ce quartier, et tout particulièrement, à la communauté noire anglophone. La conclusion de cette consultation a permis de définir un projet original. Celui-ci comprendra des logements, une salle multifonctionnelle, un centre de référence sur l'histoire des Noirs de Montréal, géré par un OBNL d'employabilité, ainsi que des salles d'activités et de réunions. Ce centre sera ouvert aux membres de la communauté noire, à la population de l'arrondissement du Sud-Ouest ainsi qu'aux organismes à but non lucratif. Concert bénéfice Le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, la mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, madame Jacqueline Montpetit, en présence du chanteur Oliver Jones et de distingués invités, vont participer au concert bénéfice du Centre culturel NCC/Charles H. Este, donné à l'Eglise St-James, le dimanche 29 avril à 19h.
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