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  1. Suprise aujourd'hui avec la mise en ligne de la carte interactive de Griffintown : le projet de corridor culturel sur la rue Ottawa, annoncé dans le PPU, n'est pas mort! Implantation d'un corridor culturel sur la rue Ottawa La création de nouveaux espaces publics est l'occasion de mettre l'art au cœur de la vie un des résidents de Griffintown. Les parcs de la rue Ottawa accueilleront ainsi des œuvres d'art public, ce qui créera un corridor culturel reliant deux complexes artistiques majeurs : l'Arsenal art contemporain Montréal à l’ouest et la Fonderie Darling à l’est. L'intégration d’œuvres d'art est prévue dans les parcs suivants : place des Arrimeurs; parc A; parc B; parc Mary-Griffin.
  2. Anne Carrier architecture / Labonté Marcil en consortium (ingénierie : Les services EXP) https://www.newswire.ca/fr/news-releases/devoilement-du-laureat-du-concours-darchitecture-pluridisciplinaire-pour-lagrandissement-et-la-renovation-de-la-bibliotheque-loctogone-675685993.html Dévoilement du lauréat du concours d'architecture pluridisciplinaire pour l'agrandissement et la rénovation de la bibliothèque L'Octogone Source Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif Mars 02, 2018, 15:44 ET MONTRÉAL, le 2 mars 2018 /CNW Telbec/ - Au terme du concours d'architecture pluridisciplinaire visant l'agrandissement et la rénovation de la bibliothèque L'Octogone, le jury a retenu le projet de l'équipe Anne Carrier architecture + Labonté Marcil en consortium parmi les quatre équipes finalistes. Une future bibliothèque ludique Sélectionnés en novembre parmi 7 dossiers jugés admissibles, quatre finalistes ont dévoilé leur projet lors d'une présentation publique tenue le 21 février. Le jury a choisi le projet de l'équipe Anne Carrier architecture + Labonté Marcil en consortium (ingénierie : Les Services EXP). La proposition de l'équipe lauréate s'est distinguée notamment pour sa compréhension de l'histoire de l'arrondissement et de ses citoyens, pour l'intégration des préoccupations et des orientations données par la population locale pour sa future bibliothèque et pour son caractère ludique et attrayant. La bande dessinée occupera ainsi une place de choix, au cœur de la bibliothèque. « Félicitations aux lauréats pour leur proposition qui épouse les attentes des citoyennes et citoyens de l'arrondissement de LaSalle. Leur vision s'intègre et bonifie le secteur de l'arrondissement où se situe la bibliothèque L'Octogone », déclare Mme Magda Popeanu, responsable de l'habitation, de la gestion et planification immobilière et de la diversité montréalaise au comité exécutif de la Ville de Montréal. « Les Montréalaises et Montréalais disposeront d'un lieu culturel et de connaissances, à la fois rassembleur et inspirant, avec une variété de services adaptés à l'image d'une bibliothèque du XXIe siècle et dont la magnifique architecture, qui fut dévoilée aux citoyens de LaSalle lors de la présentation publique, a permis de les sensibiliser à l'effet indéniable d'un bel édifice bien conçu sur leur qualité de vie. À titre de Montréal, Ville UNESCO de design, nous pouvons affirmer mission accomplie ! », ajoute Mme Christine Gosselin, responsable de la culture, du design et du patrimoine au comité exécutif de la Ville de Montréal. « À l'issue des présentations des finalistes du concours d'architecture, nous avions la certitude que la future bibliothèque L'Octogone serait un espace culturel et d'échange qui se distinguerait tant par la qualité de son architecture que par son efficacité. L'équipe lauréate propose un concept novateur, accueillant et ludique qui plaira assurément aux LaSallois. C'est donc avec beaucoup de fébrilité que nous assisterons à la naissance de la toute nouvelle bibliothèque L'Octogone, un bâtiment à l'architecture affirmée pour une clientèle unique et diversifiée », dit Mme Manon Barbe, mairesse de l'arrondissement de LaSalle. Le projet de rénovation et d'agrandissement de la bibliothèque L'Octogone fait partie du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (programme RAC). Le concours ainsi que le projet s'inscrivent dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal et sont financés conjointement par le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal. Selon le programme RAC et conformément aux objectifs de la politique de développement culturel 2017-2022 de la Ville de Montréal, le projet a fait l'objet d'un concours d'architecture contribuant ainsi à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Le processus a été élaboré conformément aux exigences de la Ville de Montréal et du Ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire. Le projet Les lauréats disposeront d'un budget maximal de 12 649 491 $ (avant taxes) pour rénover les 2 900 m2 de la superficie actuelle et y ajouter 1 600 m2 de nouveaux espaces à la bibliothèque, située à l'intersection de la rue Dollard et du boulevard De La Vérendrye, dans l'arrondissement de LaSalle. Conformément à la politique montréalaise de développement durable pour les édifices municipaux, le projet vise une certification LEED Or. Le coût global du projet est estimé à plus de 24,5 M$. La fin des travaux de rénovation et d'agrandissement est prévue à la fin de 2020. En plus de conserver l'œuvre d'art actuelle, une nouvelle œuvre sera intégrée à l'architecture. Un espace d'animation extérieur et un lien visuel sur le parc Félix-Leclerc adjacent à la bibliothèque sont aussi prévus. SOURCE Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif Renseignements : Sources : Geneviève Jutras, Attachée de presse de la mairesse, Cabinet de la mairesse et du comité exécutif, 514 243-1268; Renseignements : Linda Boutin, Relationniste, Division des relations médias, 514 872-6013 ----- https://designmontreal.com/concours/agrandissement-et-renovation-de-la-bibliotheque-loctogone « La localisation et l’implantation de la bibliothèque existante, au carrefour de trois axes majeurs nous ont dicté la stratégie urbaine autour de laquelle s’est développé le projet. (…) Le nouvel Octogone se distingue notamment par les trois lanternes articulées autour du cœur du bâtiment qui rappelle le mouvement du Moulin à vent Fleming. La lanterne urbaine est déposée sur les zones administratives et de soutien de la bibliothèque existante et constitue au nord-est un repère identitaire à la croisée de l’avenue Dollard et de la rue Salley. (…) Au sud-ouest, la lanterne pastorale s’étire vers le Parc Félix-Leclerc et le Canal de l’Aqueduc empruntant au grand octogone sous-jacent sa trame structurale. (…) La lanterne communautaire au sud-est abrite les espaces publiques qui bénéficient d’un lien direct avec le carrefour de l’entrée et les activités extérieures aménagées tout autour du volume du petit octogone reconfiguré et agrandi. (…) Le parti architectural mise sur la transparence et la distribution contrôlée de la lumière pour assurer la flexibilité, la qualité et la diversité des espaces et des ambiances.» - Extraits du texte de la prestation lauréate. Le jury reconnaît à l’unanimité que ce projet s’est distingué dans l’ensemble des critères évalués et qu’il rejoint le mieux les objectifs énoncés pour la mise sur pied de la nouvelle bibliothèque L’Octogone. Le jury a – notamment – apprécié les aspects suivants de la proposition : L’étude du site, le contexte, l’histoire de la ville et de ses citoyens ont été bien compris et transposés dans le projet. La présence accrue et marquée sur l’avenue Dollard contribue au rehaussement visé par la Ville pour cette importante artère. La proposition dans son ensemble est ludique et attrayante pour le citoyen. Les aménagements permettent une expérience client bonifiée. L’emprise au sol minimale et les propositions de développement durable témoignent de la présentation d’un projet responsable qui atteindra les objectifs de la commande. - Commentaires du jury
  3. http://journalmetro.com/actualites/national/419174/ces-eglises-qui-changent-de-vocation/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">Ces églises qui changent de vocation Par Marie-Eve Shaffer Métro </header><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; color: rgb(86, 86, 86); font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif; font-size: 15px; line-height: 27px; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Archives MétroL’église Sainte-Germaine-Cousin, à Montréal, abritera sous peu une salle communautaire ainsi qu’un centre de la petite enfance.</figcaption></figure> Depuis une décennie, pas moins de 285 églises du Québec ont changé de vocation, sinon elles sont sur le point de le faire. La majorité de ces églises ont été converties. Elles ont été mutées en centres communau*taires, en bibliothèques, en salles de spectacle ou même en im*meubles à logements abordables, d’après une compilation scrupuleuse du Conseil du patrimoine religieux du Québec (CPRQ), un organisme à but non lucratif qui veille à la mise en valeur des biens et des immeubles de l’Église. Parfois, les nouvelles fonctions de ces églises sont multiples. Par exemple, l’église Sainte-Germaine-Cousin, dans l’arrondissement de Rivière-des-Pariries–Pointe-aux-Trembles, abritera sous peu une salle communautaire ainsi qu’un centre de la petite enfance. À la place de l’ancien presbytère, un immeuble à logements pour des personnes âgées sera construit. <aside class="related-articles" style="border-style: solid; border-color: rgb(218, 218, 218); border-width: 1px 0px; font-size: 13px; line-height: normal; font-family: Arial, sans-serif; padding: 25px 0px;">À ce sujet: Les rideaux du Théâtre Paradoxe prêts à s’ouvrir </aside>Les activités de culte ne sont pas nécessairement écartées des projets. Plusieurs communautés religieuses ont d’ailleurs racheté ces églises. Dans d’autres cas, un espace plus restreint a été accordé aux religieux. À La Durantaye, dans Chaudières-Appalaches, l’église Saint-Gabriel a été trans**formée en centre multifonctionnel. Les bancs ont été retirés. Le chœur y est toujours, mais il est dissimulé derrière un rideau lors des activités laïques. Dans moins de 1% des cas, les églises ont été modifiées pour abriter des condos. «Des projets de condos, ce n’est pas l’avenir, a indiqué le chargé de projet du CPRQ, Denis Boucher. Il y a toutes sortes de modifications qui doivent être faites et leur coût est énorme.» D’après la professeure titulaire à la Faculté de théologie et des sciences de la religion à l’Université de Montréal, Solange Lefebvre, le Québec est en avance sur plusieurs pays, notamment européens, lorsqu’il est question de trouver un nouvel usage aux églises. «On est plus avancé dans la mesure où on en a déjà converti, a-t-elle dit. On a assumé déjà le fait qu’il fallait [convertir ces églises]». Mme Lefebvre a notamment souligné la création de la Fondation du patrimoine religieux du Québec, en 1995, qui est devenue en 2007 le CPRQ, ainsi que le rapport de la Commission de la culture déposé en 2006, Croire au patrimoine religieux du Québec. La deuxième vie des églises du Québec Infographie: Steve Proulx/37e avenue Le gouvernement du Québec a en plus consacré près de 275 M$ dans la restauration du patrimoine religieux depuis 1995. Bien que le Québec ait fait un pas de plus, il est encore trop souvent en mode réaction, a déploré l’architecte Ron Rayside. «Il faudrait que l’archevêché, les églises, la Ville et peut-être même le gouvernement du Québec s’assoient ensemble pour voir quel sera le plan pour les 20 prochaines années. Il faut qu’on ait une grande réflexion et surtout le temps de la faire», a-t-il fait savoir. En 2006, la Commission de la culture a demandé en vain au gouvernement du Québec de décréter un moratoire «sur l’aliénation et la modification des bâtiments religieux». Ron Rayside regrette que trop souvent, les communautés cherchent à la va-vite un nouvel usage à leurs églises. Lorsque celles-ci sont fermées, elles se détériorent rapidement, faute d’entretien. Et le temps que les communautés, sinon les promoteurs, trouvent un projet réalisable et le financement nécessaire, la dégradation s’accélère. «Quand on trouve un acquéreur, il y a une facture de mise à niveau qui est énorme, a rapporté M. Boucher. Et je ne parle pas de mise aux normes et de tout ce que le bâtiment peut exiger selon l’usage qu’on veut en faire.» Près de 100 ans de changement Depuis près d’un siècle, des églises du Québec sont vendues, transformées sinon démolies. Elles ont laissé leur place dans un premier temps à des développements immobiliers ou même autoroutiers. Sinon, elles sont devenues inutiles en raison de la fusion de deux communautés religieuses. À partir des années 1990, la désertion des églises, le vieillissement de la communauté religieuse et la baisse des vocations religieuses ont poussé les diocèses et les fabriques à commencer à se départir de leurs bâtiments, dont l’entretien est onéreux. Une poignée d’églises changeaient alors de main à chaque année. De 1900 à 2003, près de 250 églises ont été converties, selon l’évaluation de la Chaire de recherche en patrimoine urbain de l’Université du Québec à Montréal. Au fil des ans, la cadence s’est accélérée. Tellement qu’aujourd’hui, près d’une église par semaine est fermée, vendue ou transformée. Au moins 50 églises délaissent annuellement en tout ou en partie leur fonction religieuse. Des travaux sont actuellement réalisés dans 13 d’entre elles. *** Le financement, le nerf de la guerre Le ministère de la Culture dispose d’une enveloppe budgétaire, dont une partie est gérée par le CPRQ, pour protéger le patrimoine religieux. Le CPRQ accorde son aide financière à hauteur de 70% des coûts des projets. Il évalue ceux-ci selon la valeur patrimoniale de l’église – un classement des églises cons*truites avant 1945 a été fait –, la teneur des travaux et la participation de la communauté. Du côté du ministère de la Culture, il finance en partie les projets situés sur des sites patrimoniaux, désignés par lui-même ou les municipalités. «Dans le cas de la basilique Notre-Dame, dans le Vieux-Montréal, il n’y a pas de problème, c’est une église reconnue qui est bien classée par le [CPQR]. Quand l’église n’est pas bien classée, elle n’est pas dans les “winners” qui ont accès à l’argent», a expliqué la professeure titulaire à la Faculté de théologie et des sciences de la religion à l’Université de Montréal et la titulaire de la Chaire religion, culture et société, Solange Lefebvre. Par région Nombre d’églises fermées, transformées ou en cours de transformation par région du Québec Bas-Saint-Laurent: 15 Saguenay–Lac-Saint-Jean: 14 Capitale-Nationale: 18 Mauricie: 14 Estrie: 30 Montréal: 58 Outaouais: 8 Abitibi-Témiscamingue: 15 Côte-Nord: 4 Nord-du-Québec: 0 Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine: 4 Chaudière-Appalaches: 17 Laval: 1 Lanaudière: 5 Laurentides: 21 Montérégie: 47 Centre-du-Québec: 14 TOTAL: 285 Source: Le Conseil du patrimoine religieux du Québec. Les chiffres sont basés sur un inventaire des lieux de culte réalisé en 2003 et mise à jour régulièrement par le CPRQ. Série Métro propose cette semaine une série sur le patrimoine religieux au Québec Aujourd’hui. Ces églises qui trouvent une nouvelle vocation et Les rideaux du Théâtre Paradoxe prêts à s’ouvrir Demain. Ces églises qui ne sont plus Mercredi. Une conversion unique: un spa Jeudi. Très-Saint-Nom-de-Jésus en attente Vendredi. Le cas de l’Oratoire Saint-Joseph
  4. Nicolas Montmorency, conseiller municipal du district de la Pointe-aux-Prairies, dans l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, demande qu'on débaptise la rue Amherst car l'officier de l'armée britannique Jeffery Amherst est indigne, selon lui, d'un tel honneur. La controverse sur la rue Amherst ne date pas d'hier. Il y a belle lurette que des francophones demandent qu'on débaptise la rue Amherst. Nicolas Montmorency en fait partie. Il considère «tout à fait inacceptable qu'un homme ayant tenu des propos soutenant l'extermination des Amérindiens soit honoré de la sorte». «Bien qu'il s'agisse d'un personnage historique, la culture et l'histoire anglophones de Montréal ne doivent pas être injustement représentées par une personne ouvertement en faveur de l'extermination d'un peuple», dit M. Montmorency.De façon plus large, Nicolas Montmorency dit être «préoccupé par l'avenir du français dans la deuxième ville francophone au monde». Il a déposé deux motions au greffier de la Ville de Montréal afin qu'elles soient débattues lors de la prochaine séance du conseil municipal, le 24 août. Il dit se questionner sur «l'utilité de nommer certaines rues avec des dénominations non-francophones, comme les rues University ou City Councillors.» «Le but de cette proposition n'est pas de nier un pan de l'histoire de Montréal, bien au contraire, dit-il. Malheureusement, la métropole du Québec s'anglicise un peu plus tous les ans. Ses élus doivent faire en sorte que ce qui a toujours fait la renommée de Montréal à travers le monde, soit sa culture riche et diversifiée ayant pour base le rayonnement du français, ne soit pas indûment diluée. Montréal est une ville cosmopolite de langue française : il faut en être fier et l'affirmer.» M. Montmorency invite la population à joindre son groupe Facebook, Francisation des rues de Montréal / Rue Amherst, «afin de démontrer son intérêt aux autres élus municipaux face à cette proposition». http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200908/11/01-891594-faut-il-debaptiser-la-rue-amherst.php
  5. Culture: on ferme le robinet Publié le 21 mars 2012 à 08h06 | Mis à jour le 21 mars 2012 à 08h07 Paul Journet La Presse (Ottawa) Après une croissance de 34,6% des dépenses en culture depuis 10 ans, Québec commence à fermer le robinet. Les dépenses se stabilisent. Les nouvelles mesures annoncées dans le budget Bachand sont ciblées. La principale annonce: un «legs» de 125 millions pour célébrer le 375e anniversaire de Montréal, en 2017. L'argent ira notamment à l'Espace pour la vie (45 millions pour un nouveau pavillon de verre au Jardin botanique, un cinquième écosystème au Biodôme, l'agrandissement de l'Insectarium et le nouveau Planétarium). À cela s'ajoutent une promenade le long du fleuve au parc Jean-Drapeau (35 millions), la reconfiguration de l'oratoire Saint-Joseph, avec un centre d'observation dans le dôme (26,4 millions) et un nouveau pavillon au Musée des beaux-arts de Montréal (18,5 millions). La ville de Québec reçoit aussi de l'aide. Le gouvernement provincial financera jusqu'à 30 millions de la construction du Théâtre Le Diamant. C'est la moitié du coût total prévu pour ce théâtre dont Ex-Machina, la société de Robert Lepage, sera le promoteur. Le Fonds du patrimoine sera aussi bonifié de 60 millions d'ici 2020. Les musées recevront quant à eux 11 millions de plus (dont 4 millions aux musées d'histoire McCord et Stewart). Rien n'est annoncé pour le Musée d'art contemporain. Québec «contribuera éventuellement», si le fédéral et le privé investissent.
  6. The lineup is not official yet, but there have been some bands confirmed/rumoured. They are Rob Zombie, Emperor, Hollywood Undead and Helix. There's also a rumour that they're adding a hip-hop group ala Rockfest.
  7. The Movement presented by AT&T, hosted by former MLS forward Calen Carr, is a new series from MLS Digital that explores the growing soccer movement and soccer culture in North America In Episode 1, Carr visits Montreal to learn about the city’s unique culture and history — on and off the field. Music: ROWJAY “KUNG FUN MARGIELA" A TRAPPIN APE SOUNDCLOUD.COM/ROWJAYCOB Special Thanks Impact Media Pat Vallee Jordano Aguzzi Yvan Delia-Lavictoire
  8. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2016/04/26/003-culture-tourisme-montreal-etude.shtml Un touriste sur quatre vient à Montréal pour la culture Publié le mardi 26 avril 2016 à 15 h 54 Le Festival international de jazz de Montréal Si l'on sait que les nombreux festivals et musées attiraient leur lot de touristes à Montréal chaque année, une étude confirme l'importance de la culture dans le portrait touristique de la métropole. Ainsi, 26 % des touristes, soit un sur quatre, choisissent Montréal comme destination de voyage pour son offre culturelle. L'étude, commandée par Tourisme Montréal, montre également que ces visiteurs culturels dépensent 1,1 milliard de dollars dans la métropole. Chaque année, 2,3 millions de touristes viennent à Montréal pour un événement culturel. Leurs dépenses représentent 44,9 % des dépenses touristiques totales. À lire aussi : Le tourisme musical, le sauveur des festivals payants à Montréal? Quels événements attirent principalement ces touristes? Les festivals attirent à eux seuls 7,5 millions de visites et quatre d'entre eux totalisent un achalandage de 4,2 millions de visites. Il s'agit du Festival international de jazz de Montréal, des FrancoFolies, du Festival Juste pour rire et de Montréal en lumière. Les musées montréalais ne sont pas en reste, avec 7 millions d'entrées, soit 49 % de la fréquentation totale des musées pour le Québec. Les attraits culturels accueillent 9 millions de visiteurs et les arts de la scène 3 millions d'entrées. La firme LJM Conseil a réalisé cette étude pour le compte de Tourisme Montréal. Puisqu'il existe peu de données et de statistiques sur le tourisme culturel, LJM Conseil a croisé des données provenant de diverses sources, comme Statistique Canada, l'Observatoire de la culture et des communications du Québec et des sondages commandés par Tourisme Montréal. Rappelons que, l'automne dernier, Tourisme Montréal a lancé le Passeport MTL culture. Avec ce forfait, les touristes peuvent, sous réserve de disponibilité, assister à des pièces de théâtre, à des spectacles de danse, à des concerts et à quelques festivals, en plus d'accéder à des expositions. Cette offre regroupe 31 organismes culturels, dont le TNM, le Musée des beaux-arts, l'Igloofest, l'Orchestre symphonique de Montréal (OSM) et le Festival international de la littérature.
  9. le jeudi 22 novembre 2007 L'Université du Québec à Montréal (UQAM), dans le cadre de son plan de redressement financier, serait sur le point de vendre la Bibliothèque Saint-Sulpice, selon Le Devoir. Un groupe d'acheteurs aurait déposé une offre d'achat d'environ 4 millions de dollars, le 13 novembre dernier, pour mettre la main sur le bâtiment historique du Quartier latin. L'UQAM avait acquis le bâtiment il y a deux ans. Le groupe d'investisseur souhaite y implanter une librairie dont la bannière demeure toutefois inconnue. La transaction est toutefois conditionnelle à l'accord du bureau des gouverneurs de l'Université du Québec et à l'approbation du ministère de la Culture du Québec. Ce dernier pourrait se prévaloir de son droit de premier acheteur en raison de la valeur patrimoniale de l'édifice. Le bureau des gouverneurs de l'UQ se réunit le 12 décembre prochain pendant que le ministère de la Culture a jusqu'à la fin de l'année pour se prononcer. Le groupe d'acheteurs représenterait des intérêts québécois autres qu'Archambault et Renaud-Bray. Construit en 1914, l'édifice a été classé monument historique en 1988. Le plan de redressement de l'UQAM prévoit l'économie de 155 millions de dollars, notamment par la vente de plusieurs immeubles de son parc immobilier. L'UQAM s'est déjà départi de l'édifice La Patrie, l'ancien pavillon des Sciences et le 221-223 Sainte-Catherine est. Elle pourrait encore liquider le Domaine seigneurial de Mascouche et l'auberge La Huardière de Saint-Michel-des-Saints. L'aventure immobilière de l'UQAM a provoqué un gouffre financier de 300 millions de dollars.
  10. Saint-Laurent, le 1er février 2010 – La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le maire de Saint-Laurent et vice-président du comité exécutif, M. Alan DeSousa, ont dévoilé aujourd’hui le projet lauréat du concours d’architecture tenu à l’échelle du Québec pour la nouvelle bibliothèque de Saint Laurent. Cette annonce s’est faite en présence de la responsable de la culture, du patrimoine et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, et de la présidente du jury, Mme Lise Bissonnette. (...) Selon l’échéancier établi, la firme lauréate travaillera à l’élaboration des plans et devis du bâtiment tout au cours de l’année 2010. La construction s’effectuera en 2011 et en 2012. L’ouverture du nouvel édifice est prévue à la fin de 2012. http://bibliotheque.saintlaurent.ville.montreal.qc.ca/
  11. The Bilbao Effect: is 'starchitecture' all it’s cracked up to be? Every struggling post-industrial city has the same idea: hire a star architect (like Frank Gehry) to design a branch of a famous museum (like the Guggenheim), and watch your city blossom with culture. After all, it worked for Bilbao ... didn’t it? Tomasz Kacprzak, chairman of the city council of Łódź, the third-biggest city in Poland, was telling me about the time he met David Lynch. “We went to his house in California,” Kacprzak said. “He loves Łódź. He wants to build us a cultural centre.” (Lynch’s plan for a 90-acre site comprising a film studio, cinema, gallery, offices and bar in an abandoned power plant in Łódź – the city that also inspired the cult director’s film Inland Empire – is expected to open in 2016.) “Actually,” Kacprzak continued, “Lynch’s house is not great. The interior. It is not modern.” “Oh, no,” I said. “Retro? Nineties?” “No,” Kacprzak said. “Eighties. Gehry’s house was much nicer.” “You went to Frank Gehry’s house, too?” This was interesting. We were standing in the soaring atrium of the Guggenheim Museum in Bilbao, designed by Gehry. Through the window, in the courtyard, you could make out the back of Jeff Koons’ huge, Edward Scissorhands-style plant sculpture, Puppy. “Yes,” Kacprzak said. “We asked for the Guggenheim in Łódź.” “You wanted Gehry to design a new museum?” “No,” Kacprzak said. “The same.” He swept his arm over the pine, glass and steel that curved above our heads. “You wanted him to build the exact same building?” “Yes,” Kacprzak said casually. “The same. But we would use it for a concert hall.” Much is made of the so-called ‘Bilbao effect’, the idea that attracting a world-class cultural institution – in Bilbao’s case, a branch of New York’s Guggenheim art museum – will put your city on the map, and in turn attract more investment, brands, tourism and cultural energy. This was the first time, however, that I’d heard someone say they wanted to copy Bilbao’s building exactly, swooping metal sheet for swooping metal sheet. “What did Gehry say?” I asked. “He said, ‘OK – but it will very expensive.’” Kacprzak shrugged. “We are a small city.” So, of course, was Bilbao 18 years ago when it rose to fame almost overnight. The fourth-largest city in Spain had lost its former glory as a manufacturing centre: its factories shuttered, its port decrepit. But after Spain joined the EU in 1986, Basque Country authorities embarked on an ambitious redevelopment programme for their biggest city. They drafted in expensive architects to design an airport (Santiago Calatrava), a metro system (Norman Foster), and a footbridge (Calatrava again), and in 1991 landed their biggest fish – the Solomon R Guggenheim Foundation, which decided to bring a new branch of the legendary Guggenheim Museum to the city, and hired star California architect Frank Gehry to build it. The building was an instant hit. Critics agreed Gehry’s deconstructed meringue of sweeping metal, which opened in 1997, was a work of “mercurial brilliance”. The collection inside, featuring art by Willem De Kooning, Mark Rothko, Anselm Kiefer and Richard Serra, was world-class. The construction even came in on budget, at $89m. What’s more, Bilbao now had a landmark. Visitor spending in the city jumped, recouping the building cost within three years. Five years after construction, Bilbao estimated that its economic impact on the local economy was worth €168m, and poured an additional €27m into Basque government tax coffers – the equivalent of adding 4,415 jobs. More than one million people annually now visit the museum, which became the centrepiece of the Bilbao Art District: a cluster composed of the maritime museum, the fine arts museum and the Sala Rekalde art centre. In 2010, French designer Philippe Starck completed his renovation of a former wine cellar to create the Alhondiga culture and leisure centre (recently rebranded as Azkuna Zentroa). And Zaha Hadid has presented radical plans to redevelop the neglected Zorrozaurre peninsula and turn it into a high-tech residential and cultural island. A struggling city, decimated by the decline of its manufacturing base, had seemingly reinvented itself by – of all things – betting big on culture. Other post-industrial cities noticed. When I told Kacprzak’s story to Maria Fernandez Sabau, a cultural and museum consultant for cities around the world, she sighed. “Yes, many of my clients say the same thing: give us the Guggenheim,” she said. “Often the exact same building! But you can’t just copy it.” Don’t tell that to Abu Dhabi. Possibly in an attempt to buttress itself against the day the oil runs out, the city is building a museum complex called Saadiyat Island, which will feature branches of not just the Guggenheim (again) but the Louvre as well. In Hong Kong, the West Kowloon Cultural District will be home to M+, a new museum of Chinese contemporary art. There are plans for new cultural hubs centred on museums in Mecca, in Tirana, in Belo Horizonte and in Perth, Australia. It’s the same in the UK: Dundee has drafted in Kengo Kuma to build a new V&A Museum of Design, while Liverpool and Margate have welcomed the Tate Liverpool (designed by James Stirling) and the Turner Contemporary (David Chipperfield). Every city, it seems, wants to create the next Bilbao-Guggenheim-Gehry vortex. Praise for this model reached its zenith last month, as mayors, cultural attachés and city representatives descended on Bilbao for the UCLG Cities and Culture Conference. Walking the streets with Kacprzak from Łódź, I could see what the delegates liked so much. The city centre is clean. There are lots of expensive retail shops. “El Fosterito”, the glass-tube metro entrances designed by Foster, are slick and futuristic. And the people seem disproportionately well-off. Presiding over it all, like a monolith of gentrification, is the Guggenheim. Yet despite this icon of culture, the city seems strangely quiet. Where are the local galleries, the music, the graffiti, the skateboarders? Spain’s difficulties with youth unemployment are well-documented, but I expected more twentysomethings in what is regularly billed as a cultural capital. Does the Guggenheim actually encourage creativity in the city, as advertised, or is it a Disneylandish castle on the hill with a fancy name and an expensive entrance fee for tourists and the well-heeled? Is the Bilbao effect to spread culture, or just to spread money? “The Guggenheim put our city on the map, no question. But you also can’t get anything support here unless it’s top-down,” says Manu Gómez-Álvarez, an animated man of around 40 wearing earrings and a black hoodie, who is the driving force behind ZAWP, the Zorrozaurre Art Working Progress, a cultural group based on the Bilbao peninsula that Zaha Hadid proposes to completely redevelop. ZAWP is precisely the kind of cultural organisation that gets praised in megacities like London and New York. It’s a decentralised collective of young artists, theatre-makers, musicians and designers, with co-making spaces in the old industrial buildings of Zorrozaurre and a thriving entrepreneurial atmosphere in their colourful, funky headquarters – which also house a bar, a cafe, a gig space and a theatre. Gómez-Álvarez is leading a movement he calls Meanwhile, which aims to use the still-derelict buildings of the peninsula as temporary sites for plays, gigs, artistic interventions or even just cafes. Every proposal, at every turn, gets the same answer back from the authorities: no. “There’s no support for grassroots culture,” he says. “We waited 20 years before we got any funding from the government at all.” Last year, he says ZAWP finally received a grant – but they still don’t get a permanent home in the new Zorrozaurre, and will almost certainly have to move again. It’s hard to imagine: ZAWP’s premises are huge, stretching through half a dozen buildings and decorated in amazingly elaborate detail. And yet “we are nomads”, says Gómez-Álvarez. I asked Igor de Quadra, who runs Karraskan Bilbao – a network of more than a dozen theatre groups, venues and creative organisations – what he thought of the Guggenheim’s effect. He struggled to frame his words carefully. “It is fine for what it is,” he said at last, “but it gets a lot of attention from people who are just passing through. Events like this [uCLG forum] take up a lot of attention, but don’t leave much behind for Bilbao culture. Frankly, we don’t think about the Guggenheim.” The Guggenheim certainly doesn’t claim to be in the business of fostering local culture, nor would you expect it to. The museum has some Basque art and occasionally runs cultural workshops, but it’s an international art museum, rather incongruously plonked down in northern Spain. (Extreme Basque nationalists didn’t take kindly to its arrival: the week before it opened, ETA killed a police officer in a foiled attempt to bomb the museum.) There are, of course, Basque cultural organisations in the city, such as Harrobia Bilbao, a performing arts group established in a former church in the Otxarkoaga area in 2011, but their presence feels surprisingly marginal in a city that is supposed to be at the heart of Basque culture. “In English Canada, culture’s nice to have – in French Canada, it’s crucial,” says Simon Brault, head of the Arts Council of Canada, talking about a similar dynamic between French-speaking Quebec and the rest of the country. Brault helmed what you might call an “anti-Bilbao effect” – a completely different type of culture-led regeneration in another struggling post-industrial city, Montreal. Brault helped found an open, non-hierarchical cultural network called Culture Montreal, which rather than speaking only to the Guggenheims and cultural superstars of the city, was open to everyday Montrealers – bar owners, teachers, musicians. “An artist just in from Chile would be at the same table as the head of Cirque du Soleil,” he says. The aim wasn’t to secure funding for massive projects, but to put culture at the heart of the city’s regeneration. It was controversial at first. “The cultural groups thought it was a distraction and that what the culture sector needed was more money,” he said. “But within a year, we got what cultural groups had been asking for for 20 years: a seat at the table.” Rather than championing culture only for an elite group of professionals – and asking for money just for the huge institutions – Culture Montreal was better received by city and provincial governments, says Brault. Their goals were less arrogant: to increase cultural access for Montrealers, and to include culture as part of the solution to any civic problems. They achieved this, Brault says, by making everyone feel as though culture was a daily part of everyone’s life, not something for a sophisticated few. “There is definitely room for starchitects, but it’s always better to tap into local culture rather than buy it from outside. You can’t do culture in a city without involving citizens,” he said. So, which is the better way for cities – bottom-up cultural movements or big-ticket splashes? “Of course, there will always be top-down decisions,” Brault said. “The key is to look for a middle ground.” Hadid’s billion-pound redevelopment of Zorrozaurre will be a test for that middle ground in Bilbao. Will its 6,000 new houses, two new technology centres and park genuinely engage with local culture, or will it simply be a flashy area for rich Spaniards looking for a waterfront property? The Bilbao effect might be famous, but it’s here that it could be truly tested. Those cities around the globe hoping a brand-name museum will save them should be watching carefully. “The Guggenheim Bilbao was a rare occurrence,” says museum consultant Maria Fernandez Sabau. “There was an incredible confluence of amazing, talented people. You had a museum that was hungry to expand, available land for cheap, a government with money, an architect itching to make a statement, and a city that desperately needed a new reason to exist. You can’t just buy that.” http://www.theguardian.com/cities/2015/apr/30/bilbao-effect-gehry-guggenheim-history-cities-50-buildings?CMP=twt_gu
  12. http://www.montrealenhistoires.com Montréal en Histoires est un organisme à but non lucratif. Mis sur pied par d’importants leaders de Montréal réunis autour d’un objectif commun, il vise à développer et à réaliser divers projets afin de permettre aux Montréalais, aux visiteurs et aux touristes de découvrir, d’explorer et de célébrer l’histoire de la métropole. Montréal en Histoires met de l’avant des valeurs de plaisir et de découverte, mais aussi de compétence et de rigueur. Il a à cœur l’accessibilité de ses projets et le partage du savoir, de la culture, de pans d’histoire de la mémoire collective. sent via Tapatalk
  13. Publié le 14 janvier 2014 à 14h40 | Mis à jour à 15h12 La Maison Théâtre de Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé un investissement de près de 10 millions pour la construction d'une nouvelle salle multifonctionnelle sur le campus du cégep du Vieux Montréal. L'accord de principe, signé hier avec le Cégep, spécifie qu'il partagera ce nouvel espace avec la Maison Théâtre. Rappelons que la Maison Théâtre propose environ 300 représentations par année destinées à un public âgé de 2 à 17 ans. Devant une classe de quatrième année du primaire, la première ministre Pauline Marois a insisté sur «l'importance de l'accès aux arts et à la culture pour les jeunes». L'inauguration est prévue pour 2017. http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201401/14/01-4728594-la-maison-theatre-de-montreal-sera-agrandie.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS1
  14. L'église Saint-Joseph situé au 550 rue Richmond devriendra le Salon 1861 dans les plans du Quartier de l'Innovation. LE SALON 1861 ET LE LABORATOIRE DE CULTURE URBAINE Riche de son histoire et des nombreux artistes qui y ont habité, le territoire qu’occupe le QI continue d’accueillir de nombreux joueurs de la scène culturelle montréalaise : espaces de diffusion, galeries d’art et studios, notamment. Le Laboratoire de culture urbaine du QI profitera de cette effervescence et de l’expertise universitaire dans le domaine des arts afin de créer des occasions d’échange entre artistes, professeurs, étudiants et résidents du quartier. Le Laboratoire s’installera au sein du QI, dans le Salon 1861, qui pourra accueillir des projets de recherche collaborative, des expositions, des événements, des ateliers d’artistes et des organismes communautaires, tout en favorisant l’échange avec la communauté. Piloté par : Will Straw, professeur, Département d’histoire de l’art et d’études en communications, Université McGill et Natalie Voland, présidente, Gestion immobilière Quo Vadis. Ce site explique l'histoire de cette église : http://avantlautoroute.com/2011/01/10/leglise-st-joseph-rue-richmond/ Article sur la transformation : SALON 1861: THE AFTERLIFE OF L’ÉGLISE ST-JOSEPH Mark Twain has said of Montreal, “this is the first time I was ever in a city where you couldn’t throw a brick without breaking a church window”. Quebec’s history has left the city with a wealth of beautiful churches that are now threatened due to lack of funds for upkeeping. The Église St-Joseph, located in Montreal’s Little-Burgundy neighbourhood, is an example of how the city is rapidly evolving while preserving its communities’ heritage. Starting this summer, Quartier de l’innovation, a McGill University and École de technologies supérieures initiative, will be working in partnership with Gestion Immobilière Quo Vadis to transform l’Église St-Joseph into The Salon 1861, which will host the Laboratory of Urban Culture while still remaining a fixture in the community. Conversion of churches to preserve the architecture and heritage is not uncommon in Montreal. In the city, there are many churches that have been given a second life and yet continue to create value for the community. The Montreal Museum of Fine Arts converted the Erskine and American United Church on Sherbrooke West into a Canadian Art pavilion, completed in 2011, and a successful reinvention of the museum took place to integrate the church into its exhibits. Chic Resto Pop is the site of another converted church in Montreal accessible to surrounding residents. The former Saint Barnabé-Apôtre Church was sold for $300,000 in 2002 and converted into an affordable cafeteria large enough for 300 people. Le Saint-Jude spa opened in fall 2013 is the site of another converted church in the Plateau Mont-Royal district. The spa and health club was renovated into the century old church costing 2.65 million dollars and won the design excellence award in 2013 from Canadian Architect magazine. Soon the Laboratory of Urban Culture will be amongst the list of churches in Montreal that receives a prolonged existence and continues to benefit Montrealers. "a gathering for social or intellectual distinction through discussions, exchanges and ideas of all sorts." The idea for the Laboratory of Urban Culture emerged from a study mandated by the Quartier de l’innovation (QI) in 2012 to study the arts and cultural needs in the district. The QI is an innovative ecosystem located in Montreal’s historic Southwest district – Griffintown, Saint-Henri, Petite Bourgogne and Pointe Saint-Charles. It aims to increase collaboration between academia, the private sector, and the community, as well as encourage research and industrrial projects for social and cultural innovation. QI seeks to address needs and face real challenges, in order to improve the quality of life in its district. A collaboration between École de technologie supérieure (ÉTS) and McGill University, since June 2013, the QI has developed into a non-profit organization that continues to develop impactful projects for the district. map of QI The zone marked in red is the area of QI The inception of the Laboratory of Urban Culture was a result of the study completed by Professor Will Straw, Director of the McGill Institute for the Study of Canada. The direct conclusion was the need to create “a YMCA of culture”: or a neutral space in the community for the intersection of academia, arts and culture. The Laboratory of Urban Culture is establishing an accessible link between different stakeholders to promote arts and culture in the community. Around the same time, Natalie Voland, President of Gestion Immobilière Quo Vadis, had just made quite an astounding purchase: a church! Initially intended for conversion into condominiums, Voland sought efforts to maintain its heritage having realized its priceless architectural value. Built in 1861, l’Église St-Joseph is one of the oldest catholic churches in Montreal with a heritage value close to that of the Oratoire St-Joseph. Having visited the church, the awe factor makes anyone who has seen the interior eager to preserve it. Voland then began a search for ways to preserve the Église St-Joseph. After learning about the purchase of the church in the QI, Isabelle Péan, Project Director of QI at McGill, met with Voland to present the vision of the Laboratory of Urban Culture. Soon after, a collboration was established between QI and Quo Vadis to host the Laboratory of Urban Culture within the Église St-Joseph, now called the Salon 1861. The name “Salon 1861”, comes from old French, meaning a periodic gathering for social or intellectual distinction through discussions, exchanges and ideas of all sorts. The Salon 1861 will be a socially responsible project put together by the synergy of diverse partners. The historically significant heritage building of l’Église St-Joseph will be maintained and transformed into a modern representation still carrying out its intended purpose, a place for civic community, culture and collaboration. In the coming months a McGil Arts doctorate student will finalize programming of workshops, lectures and concerts in the Laboratory. The Laboratory of Urban Culture will be an important aspect of the creative ecosystem, which will be established in the Salon 1861. Other elements of this ecosystem include an art gallery, event spaces and a co-working space in the church’s basement targeted at social economy and arts entrepreneurship. Students will have a variety of opportunities to get involved with the Laboratory and the Salon 1861. Currently, Mark Ramsey, a graduate student in architecture from McGill University, is working with Quo Vadis on the legacy and patrimonial work of the church before reconstruction begins. More internships and projects for students are currently being established within this framework. Essentially, the Salon 1861 will become an ecosystem where different components will mutually complement and benefit the community. Natalie Voland has said “The concept of the Salon 1861 has really been inspired by the QI’s vision. The Salon 1861 will be at the heart of the community and will be a real destination for cultural and social innovation in the District”. To stay connected with the developments of QI, including the progress of the Laboratory of Urban Culture, follow them on Facebook or Twitter! WRITTEN BY ZOEY TUNG IMAGE BY SAM GREGORY
  15. This aired 5 months before Anthony Bourdain's show. Andrew visits the multi-cultural city of Montreal and eats duck livers and horse-heart tartar. Andrew digs into the culture and traditional dishes that represent the city's heritage and modern chefs with food-forward ideas. http://www.travelchannel.com/tv-shows/bizarre-foods/episodes/montreal [video=youtube;PmYcZ0-LWeE]http://www.youtube.com/watch?v=PmYcZ0-LWeE
  16. Les trésors de Napoléon à la basilique Notre-Dame Du 16 mai au 1er septembre, les curieux pourront faire une incursion dans la vie de Napoléon Bonaparte en découvrant plus de 350 objets qui lui ont appartenu. Un texte de Valerie-Micaela BainTwitterCourriel Ces pièces provenant des collections privées du Français Pierre-Jean Chalençon et du sénateur Serge Joyal sont exposées à la crypte de la basilique Notre-Dame. Bien que plusieurs de ces items aient déjà été présentés ailleurs dans le monde, l'exposition montréalaise a été créée spécialement pour le public québécois. « Le Québec c'est tellement francophile. Napoléon n'y est jamais venu, mais il y a quand même beaucoup de ses hommes qui sont venus après la chute de l'empire et il y avait un sens culturel entre la France et le Québec. » — Pierre-Jean Chalençon, collectionneur Des objets mythiques L'exposition comprend des objets mythiques comme son chapeau de feutre et son portrait équestre intitulé Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard, mais aussi des sculptures, des dessins, des gravures, de la porcelaine, du mobilier, des vêtements et des bijoux qui caractérisent le style Empire. « L'exposition que nous avons réalisée à basilique de Montréal, c'est une exposition flamboyante et glamour », explique Pierre-Jean Chalençon. Un personnage intemporel Le sénateur Serge Joyal croit que Napoléon Bonaparte continue de marquer l'imaginaire 193 ans après sa mort. « Le personnage de Napoléon est intemporel à toute fin pratique, il traverse les frontières. C'est plus qu'un général français, c'est un général universel. Napoléon est probablement le seul personnage universel qui a autant d'impact que ce soit dans la culture d'expression française ou que ce soit dans la culture britannique, ou même dans la culture américaine », explique Serge Joyal qui a aussi rédigé un essai sur l'empereur. Serge Joyal souligne que l'empereur a aussi laissé sa marque sur les Canadiens français. « Ceux-ci l'ont très tôt adopté comme modèle de bravoure, de résistance, de courage, capable de faire face à ses adversaires ». Une exposition en cinq temps La visite à travers les objets d'art s'effectue en cinq temps : Joséphine et le couronnement, Marie-Louise et le roi de Rome, Napoléon et sa famille, les arts dans la cour de Napoléon et Napoléon à l'île Sainte-Hélène. « On va très simplement apprendre que Napoléon était un passionné, un self-made man, un homme qui était comme les autres, c'était quelqu'un d'une grande simplicité. » — Pierre-Jean Chalençon, collectionneur http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2014/05/15/006-exposition-napoleon-bonaparte-basilique-notre-dame-collection-chalencon-joyal.shtml
  17. MONTRÉAL, le 28 février 2011 - Au nom de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le député de Marquette, M. François Ouimet, la responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, ainsi que le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, annoncent l'investissement de 10, 9 M$ pour le réaménagement et l'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow dans l'arrondissement de Lachine. Ce projet est financé dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal. Le coût global de ce projet, qui s'inscrit dans le programme de rénovation, d'agrandissement et de construction de bibliothèques (RAC), est de 10,9 M$. La Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) investiront chacun 4,3 M$, tandis que l'arrondissement injectera près de 2,3 M$. L'ouverture de la bibliothèque agrandie et rénovée est prévue pour le printemps 2013. Soulignons que durant les travaux, les services offerts aux citoyens seront maintenus, mais temporairement relocalisés au sein de l'arrondissement. « Je suis très fier d'être ici aujourd'hui pour annoncer ce beau projet pour les citoyens de Lachine, qui permettra à la bibliothèque Saul-Bellow d'être un pôle culturel plus attrayant et accessible. Cette réalisation, où battra le cœur de Lachine, a été rendue possible grâce à un engagement commun pris lors du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle. Le concours d'architecture associé à ce projet offre une occasion privilégiée de se surpasser et de viser l'excellence. L'effervescence de notre communauté passe indéniablement par l'accès à un lieu de savoir et de culture vaste et diversifié », a souligné M. François Ouimet. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent accès à la culture et au savoir à ceux qui les fréquentent. Les citoyens de Lachine pourront profiter d'une bibliothèque agrandie, modernisée et axée sur les besoins des familles. Aujourd'hui, notre Administration démontre, encore une fois, qu'elle est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré Mme Fotopulos. « Je suis heureux d'annoncer ce projet de réaménagement et d'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow puisqu'il s'agit d'un investissement direct qui permettra d'offrir aux citoyens de Lachine une bibliothèque moderne, attrayante, fonctionnelle et ouverte à sa communauté. Ce projet vise à combler l'important déficit de l'arrondissement en matière d'offre de service, tant sur les plans qualitatifs que normatifs. Il permettra de plus, de consolider un pôle culturel et social au cœur de l'arrondissement de Lachine », a affirmé M. Claude Dauphin. Ce projet a été retenu par la Ville et le MCCCF sur la base de critères spécifiques, soit : l'écart par rapport aux normes qui avait été rendu public dans le Diagnostic des bibliothèques municipales de l'île de Montréal, la volonté de l'arrondissement de s'engager financièrement, ainsi que la faisabilité et la qualité du projet. Architecture, développement durable et art publicLa future bibliothèque Saul-Bellow intégrera le bâtiment existant (1427 m2) et un ajout d'environ 1194 m2. Une fois les travaux terminés, la superficie de la bibliothèque aura presque doublée. La conception de la bibliothèque fait l'objet d'un concours d'architecture qui contribuera à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Ce nouvel équipement culturel vise une certification environnementale LEED OR. L'appel de candidatures pour le concours d'architecture, qui se déroulera en deux étapes, a été lancé le 16 février dernier. Un jury formé de sept membres recommandera à la Ville de Montréal et à l'arrondissement de Lachine sept finalistes parmi les architectes qui auront déposé leur dossier de candidature. Les sept finalistes retenus présenteront ensuite un concept sur la base duquel l'équipe lauréate sera choisie. Les membres du jury sont : monsieur Patrice Poulin, architecte, PA LEED et gestionnaire immobilier à la Direction des stratégies et des transactions immobilières de la Ville de Montréal; monsieur Alex Polevoy, directeur - Culture, sports, loisirs et développement social, au sein de l'arrondissement de Lachine; madame Julie-Anne Cardella, directrice de la bibliothèque de Westmount; monsieur Daniel Pearl, architecte et professeur à l'Université de Montréal; madame Louise Bédard, architecte; monsieur Maxime Frappier, architecte; madame Anne Carrier, architecte, et monsieur Charles Ferland, architecte et membre suppléant. Selon la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, la Ville procèdera en 2012 à un concours d'art public sur invitation visant à doter la bibliothèque Saul-Bellow d'une œuvre. Rappelons que cette politique consiste à réserver un pourcentage de l'ordre de 1% du budget de construction à la réalisation d'une ou de plusieurs œuvres conçues spécifiquement pour ce lieu. La réalisation du projet d'oeuvre d'art sera gérée par la Division des équipements culturels, de l'art public et du patrimoine artistique par l'entremise de son Bureau d'art public. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1344&lang=fr
  18. Site de la ville de Mtl: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=1576,112471570&_dad=portal&_schema=PORTAL UN Web TV: http://webtv.un.org/live-now/watch/general-assembly-thematic-debate-on-culture-and-development/1705520925001#full-text
  19. MAAM - Musée d'Art et d'Affaires Métropolitain présente « Business'Art - Logo Design » MONTRÉAL, le 21 mai 2013 /CNW Telbec/ - Exposition de 20 logos d'entreprises réalisés À LA MAIN par l'artiste Pierre Bibeau selon les normes de présentation visuelle tel qu'exigé par les entreprises : Air Canada, Apple, Assur 'art, Banque Scotia, Banque Desjardins, Bénévoles d'affaires, Drapeau du Canada, Fédération des Chambres de Commerce du Québec, Ferrari, IBM, Journal Métro, Mercedes, Nike, Omer DeSerres, Drapeau du Québec, Rubiks, Safec, SAQ, STM, Théâtre du Nouveau monde, Videotron, Ville de Montréal et le Centre de Commerce Mondial de Montréal Notre mission : Collecter, conserver et exposer des œuvres d'art venant du milieu des affaires, ceci pour la communication, la connaissance et la culture. Du 21 au 24 MAI 2013 Ruelles des Fortifications Centre de commerce mondial de Montréal 747, rue du Square Victoria Montréal (Québec) H2Y 3Y9 Téléphone : (514) 982-9888 SOURCE : Musée d'Art et d'Affaires Métropolitain Renseignements : Judith-Leba Présidente - Fondatrice MAAM - Musée d'Art et d'Affaires Métropolitain Là où la culture entrepreneuriale devient une œuvre d'art Merci de célébrer l'art dans toute sa diversité culturelle Tél. : 514 793-2526 info@maam-international.ca http://www.maam-international.ca Musée d'Art et d'Affaires Métropolitain - Renseignements sur cet organisme Communiqués de presse
  20. http://voir.ca/societe/2013/04/11/dossier-anglos-artistes-anglos-made-au-quebec/ Dossier Anglos 11 AVRIL 2013 par SIMON JODOIN C’est dans l’air du temps. Le débat sur le renforcement de la loi 101 semble vouloir reprendre de plus belle, entraînant avec lui des discussions parfois acerbes entre les anglos et les francos, les premiers craignant de ne pas trouver leur place au sein de la culture québécoise, les seconds souhaitant tout faire pour éviter de voir leur langue disparaître au profit de l’hégémonie anglo-saxonne. Encore cette semaine, ces discussions faisaient la manchette. «Grogne chez les anglos», titrait Louise Leduc dans le quotidien La Presse en rapportant les tensions entre le ministre Jean-François Lisée et des membres de la communauté anglophone. On pourrait croire que nous entrons dans une nouvelle ère d’animosité. Peut-être… Et peut-être pas! Dans tout ce brouhaha bourré de scènes déjà vues à propos des affiches dans le centre-ville de Montréal, des marques de commerce des multinationales et mettant en vedette la langue d’enseignement (un film dans lequel nous avons joué des centaines de fois), certaines initiatives permettent d’entrevoir le rapport anglos/francos sous un nouveau jour et de dégager de nouvelles pistes de solution. Avec le site web Made au Québec lancé le 22 mars dernier, l’English-Language Arts Network (ELAN) propose d’ouvrir une fenêtre virtuelle – et pourtant bien réelle – sur le travail des artistes anglophones montréalais. L’objectif? Rassembler au sein d’un agrégateur toutes les nouvelles concernant les artistes anglophones de toutes les disciplines. Car si certains groupes de musique sont bien en vue depuis quelques années, on ne saurait en dire autant des écrivains, cinéastes ou artistes en arts visuels qui œuvrent dans la langue de Cohen. Le site made-au-quebec.ca, qui s’affiche par défaut en français, permet ainsi de suivre l’actualité de créateurs d’ici et, dans la plupart des cas pour les francophones, de fréquenter leur travail pour la toute première fois. Pour Guy Rodgers, directeur général d’ELAN: «Depuis vingt ans, le nombre d’artistes anglophones qui choisissent de vivre au Québec a augmenté en flèche.» Un choix qui, selon lui, repose entre autres sur l’attirance pour la langue française et un désir de prendre part à la culture québécoise. Une participation qui demeure parfois assez difficile, il faut en convenir. Car bien souvent, l’artiste anglo d’ici se retrouve dans une quête similaire à celle du Canadien errant, banni de ses foyers à parcourir des pays étrangers. Inconnus de leurs concitoyens qui les confondent volontiers avec n’importe quel Torontois, ils sont pris en sandwich entre la culture francophone et les best-sellers américains ou les blockbusters hollywoodiens. «Beaucoup de revendications ne font pas l’unanimité, selon Guy Rodgers, mais il y a un point sur lequel tous les anglophones sont d’accord: ils ne veulent pas servir de bouc émissaire pour l’ancien empire british ou la dominance économique actuelle de l’empire américain.» Le problème que doivent affronter les anglos est donc double: aller à la rencontre de leurs concitoyens francophones, plutôt habitués à fréquenter les standards de la culture francophone, tout en se distinguant dans leur promotion pour faire valoir leurs racines montréalaises et québécoises. Il s’agit sans doute là, aussi, d’une réponse au déclin des médias anglos. Il y a un an, le Hour et le Mirror fermaient leurs portes, faute de revenus. À la même époque, The Gazette annonçait des suppressions de postes draconiennes à la rédaction. Peu à peu, la culture anglophone montréalaise se retrouve sans voix médiatique. Une situation un peu inquiétante quand on sait que les hebdos culturels gratuits étaient lus aussi, et pour beaucoup, par des francophones. Pas question de s’apitoyer, cependant. «Nous avons créé le site Made au Québec à des fins autant émotives que pragmatiques, résume Rodgers, autant pour promouvoir les artistes que pour stimuler un dialogue entre voisins qui pourraient se connaître mieux.» Made au Québec s’inscrit ainsi dans la lignée du projet Recognizing Artists: Enfin visibles aussi lancé par ELAN en 2010, qui offrait sur le web des portraits d’artistes anglophones bien souvent anonymes et inconnus de leurs concitoyens. Il s’agit maintenant de les suivre au fil de l’actualité et d’allumer un esprit de dialogue entre les deux solitudes, qui sont de moins en moins isolées et éloignées.
  21. Read more: http://www.montrealgazette.com/news/Military+Culture+Festival+starts+with+roar/7174534/story.html#ixzz25Kfon5Z5 It was interesting being in Old Montreal yesterday and seeing multiple CF-18s flying by. Plus I was reading, there was a mini anti-war protest also going on because of this. I saw some comments on Twitter and some news website about, how some people feel bad for refugees that left war-torn nations to come here and to hear fighter planes again. It does suck, but they could have went to Costa Rica or Liechtenstein seeing both those nations do not have a military (I know that is really mean).
  22. J'aurais pu le mettre dans la section bouffe et culture, mais comme il y a des opinions de délégués de l'extérieur, je l'ai posté ici. Peu importe en réalité..... [video=youtube_share;HyLXWY2qC4Q]
  23. Culture: on ferme le robinet Publié le 21 mars 2012 à 08h06 | Mis à jour le 21 mars 2012 à 08h07 Paul Journet La Presse (Ottawa) Après une croissance de 34,6% des dépenses en culture depuis 10 ans, Québec commence à fermer le robinet. Les dépenses se stabilisent. Les nouvelles mesures annoncées dans le budget Bachand sont ciblées. La principale annonce: un «legs» de 125 millions pour célébrer le 375e anniversaire de Montréal, en 2017. L'argent ira notamment à l'Espace pour la vie (45 millions pour un nouveau pavillon de verre au Jardin botanique, un cinquième écosystème au Biodôme, l'agrandissement de l'Insectarium et le nouveau Planétarium). À cela s'ajoutent une promenade le long du fleuve au parc Jean-Drapeau (35 millions), la reconfiguration de l'oratoire Saint-Joseph, avec un centre d'observation dans le dôme (26,4 millions) et un nouveau pavillon au Musée des beaux-arts de Montréal (18,5 millions). La ville de Québec reçoit aussi de l'aide. Le gouvernement provincial financera jusqu'à 30 millions de la construction du Théâtre Le Diamant. C'est la moitié du coût total prévu pour ce théâtre dont Ex-Machina, la société de Robert Lepage, sera le promoteur. Le Fonds du patrimoine sera aussi bonifié de 60 millions d'ici 2020. Les musées recevront quant à eux 11 millions de plus (dont 4 millions aux musées d'histoire McCord et Stewart). Rien n'est annoncé pour le Musée d'art contemporain. Québec «contribuera éventuellement», si le fédéral et le privé investissent.
  24. Berlin: pauvre, mais sexy. Montréal s'est donné jusqu'en 2017 pour devenir une authentique métropole culturelle. En attendant, nous sommes allés enquêter à Berlin, Milan et Portland, trois villes comparables à Montréal sur les plans de la taille et de la population, voir comment la culture s'y portait. D'une ville à l'autre, nous avons découvert des scènes culturelles très différentes, mais qui avaient en commun, avec Montréal, un appétit pour la création et la créativité. Dernier constat: Montréal a peut-être encore deux ou trois choses à envier aux autres métropoles culturelles, mais plus pour très longtemps. Berlin chante, compose, peint, performe, écrit, installe et crée. Berlin danse, au Ballet national, avec Sasha Waltz au Radialsystem V, au milieu de bunkers de fortune, dans des clubs qui ouvrent et ferment au gré des saisons, sur les terrains vagues le long de la rivière Spree, au Tanz im August Festival. Berlin danse, mais joue aussi avec le feu. «Berlin est une ville euphorisée par la drogue, accro aux subventions, qui se dirige tout droit vers la catastrophe parce qu'ici, tout le monde accepte le chaos.» Ces paroles sont de Klaus Lemke, le mauvais garçon du cinéma indépendant. Bien qu'elles aient été rapportées par la presse en février, c'est à peine si Berlin les a entendues. Cause toujours, Klaus... Pourtant, tous les acteurs et intervenants culturels rencontrés dans le cadre de ce reportage m'ont répété la même chose avec dans le regard à la fois un brin d'inquiétude et une lueur d'anticipation ravie. «Nous sommes comme des alcooliques qui refusent d'admettre leur alcoolisme. Nous n'avons plus d'argent, mais nous continuons à en dépenser comme des malades», m'a lancé Matthias Lilienthal, qui dirige le HAU, une des salles branchées les plus en vue de Berlin. Pauvre, mais sexy Berlin est à un tournant, c'est clair. Avec une dette publique de plus 60 milliards qui flambe 5 ou 6 millions d'euros en intérêts par jour, un taux de chômage autour de 12,7% et 20% de la population sur l'aide sociale, la ville frôle la faillite. Et pourtant, sa situation précaire la rend plus dynamique et créative que jamais avec en prime une troisième place au classement des métropoles culturelles de l'Europe, après Londres et Paris. Depuis la chute du mur en 1989 et grâce à la pluie féconde et abondante des subventions, Berlin est devenu la capitale mondiale de la danse contemporaine, de la performance, des arts visuels et de la musique classique et électro-acoustique. Tous les ans, neuf millions de touristes s'y précipitent, attirés par l'offre culturelle. Mieux encore: les artistes du monde entier se battent pour y vivre, séduits par l'ambiance bohème, l'énergie créative et la vie bon marché. Les autorités leur accordent même un visa spécial d'artiste, leur permettant d'y résider aussi longtemps qu'ils le veulent et d'avoir accès à un fonds annuel de 27 millions. «Le fonds est ouvert à tous les artistes, sans égard à leur passeport. Un seul critère: leur projet doit être audacieux, innovateur et non commercial», me lance sans sourciller, un fonctionnaire de la chancellerie de la Culture de Berlin, qui consacre 500 millions d'euros par année à la culture. Somme à laquelle s'ajoutent annuellement 400 millions d'euros versés par le gouvernement fédéral. En 2003, Klaus Wowereit, le maire ouvertement gai de Berlin, a eu cette phrase célèbre: Berlin est pauvre, mais sexy. L'expression a non seulement trouvé preneur sur les t-shirts, elle est aussi devenue la marque de commerce de la ville. Va pour la ville pauvre et sexy, mais comment expliquer que, malgré le chômage et la fuite des capitaux et des industries, les opéras, les théâtres, les orchestres symphoniques et les salles de spectacles marchent à plein régime tous les soirs? «Parce que Berlin compte 3,5 millions d'habitants et au moins 4,5 millions de dépisteurs de nouveauté, qui ne veulent pour rien au monde manquer la nouvelle affaire qui n'est pas encore née», blague Matthias Lilienthal. Plus sérieusement, le directeur du HAU ajoute: «Les Berlinois se définissent par la culture. La culture, pour eux, c'est aussi naturel que l'air qu'ils respirent. C'est dans leur ADN.» Chaque soir est un spectacle Le metteur en scène Marius von Mayerburgh offre une autre explication. Auteur en résidence du Schaubühne, un théâtre semi-privé qui ressemble au TNM, il m'initie à l'étonnant système qui a cours au Schaubühne comme partout ailleurs. Le système est basé sur une rotation quotidienne. Si vous êtes à Berlin pour trois jours, vous pourrez ainsi assister à un opéra différent chaque soir au Komische ou avoir le choix entre un Brecht, un Shakespeare et une pièce de Sarah Kane, au Schaubühne, le tout interprété par la même troupe d'acteurs permanents. «Nos acteurs jouent sept ou huit rôles différents par mois, dit l'homme de théâtre. Ça les garde en forme. Pour les touristes, c'est un système flexible qui offre plus de choix et pour les Berlinois, quand ça fait trois ou quatre mois qu'ils entendent parler d'une pièce, le bouche à oreille finit par les rattraper.» Diversité, flexibilité, abondance, la culture à Berlin est accessible partout et tout le temps. Mais il y a une autre raison qui explique la forte fréquentation culturelle: «Berlin a les loyers les moins chers d'Europe, avance Matthias Lilienthal. Quand ton loyer ne te coûte pas la peau des fesses, tu as de l'argent pour sortir et te cultiver, pas juste pour manger et dormir.» Des loyers pas chers: c'est le nerf de la guerre, l'argument répété 100 fois par le milieu culturel et par Guillaume Coutu-Dumont, un musicien et DJ de l'électro pop et un des jumeaux de l'actrice Angèle Coutu. Âgé de 33 ans et père d'un jeune enfant, Guillaume est arrivé à Berlin en 2007, en même temps qu'une douzaine d'amis musiciens montréalais. Sur le lot, seulement deux sont repartis depuis, dont son jumeau, Gabriel. Il me reçoit dans un appartement vaste et lumineux du quartier Kreuzeberg. Serge Gainsbourg joue en sourdine pendant qu'il prépare du thé. «Le rythme de vie relax d'ici me rappelle Montréal, plaide-t-il. Les gens sont cool. Les rues sont grandes. Il y a de la place. On peut respirer. L'été, c'est tout vert. Bref, c'est un cadre de vie agréable et puis on est à une heure d'avion de n'importe quelle autre ville européenne. Pour la musique que je fais, c'est l'idéal. Sans compter que pour composer, je loue un grand studio éclairé qui me coûterait 10 fois plus cher ailleurs.» Il y a cinq ans, en débarquant dans un Berlin en pleine réunification, ce qui a frappé le musicien montréalais, ce ne sont pas tant les grues qui griffaient le ciel et les cathédrales d'architecture contemporaine qui poussaient partout que le climat de grande liberté. Il me cite l'exemple d'amis italiens qui ont décidé de retaper un local abandonné pour y ouvrir un restaurant. «Ils n'avaient pas de permis et pendant deux ans, personne n'est venu leur en demander, dit Guillaume. Berlin est la ville la plus libérale que je connaisse. Tu peux présenter un show, partir un bar, ouvrir une galerie où tu veux. À Paris, si tu veux organiser le moindre évènement, il te faut 127 permis et trois toilettes chimiques. Les autorités d'ici n'infantilisent pas les gens et font confiance à leur sens des responsabilités.» N'empêche. Parce qu'il veut que son fils aille à l'école en français et se frotte à ses racines québécoises, Guillaume prévoit revenir à Montréal dans trois ans. Mais il sait que quitter Berlin sera difficile. «Berlin, aujourd'hui, c'est comme Paris dans les années 20, Londres dans les années 60 ou New York dans les années 70. Il n'y a aucune autre ville en ce moment qui bat l'effervescence, la vitalité et la créativité de Berlin, lance la journaliste et critique Renate Klett, auteure d'un livre d'entretiens avec Robert Lepage. «Quand c'est rendu que des amis new-yorkais t'appellent pour te dire qu'ils viennent d'acheter un appartement à Berlin, c'est le signe qu'il se passe quelque chose», dit-elle avant de laisser tomber: «Le revers, c'est que depuis que tout le monde veut venir à Berlin, les loyers ont augmenté de 20%, ce qui n'augure rien de bon pour l'avenir.» De la controverse et des positions radicales Thomas Oberender est le nouveau directeur du Bureau des festivals de Berlin - le Berliner Festspiele -, une instance fédérale créée il y a 60 ans qui réunit une douzaine de festivals de jazz, de théâtre, de musique classique et contemporaine, sans oublier la Berlinale du cinéma. Ce qu'il a souhaité en entrant en fonction en janvier? Plus de rentabilité pour les festivals? Non. Plus de controverse et de positions esthétiques radicales. Je lui demande pourquoi, un mois plus tard dans son bureau. «Il ne peut y avoir de création sans controverse ni clash d'idées. La controverse est un puissant moteur qui empêche la culture de s'embourgeoiser. Ce que j'aime de Berlin, c'est le mélange de glamour et de trash, de haut et de bas de gamme. Ici, il n'y a pas de nouveaux riches comme à Munich. Ici, il y a encore beaucoup d'espaces libres, ouverts et fluides où tout est possible.» La recherche du plan C L'espace le plus ouvert et le plus fluide de Berlin est sans contredit le Radialsystem V, une ancienne usine de pompage, rénovée au coût de 10 millions d'euros par un investisseur privé. Cet espace pour les arts et les idées, de 3000 mètres carrés, équipé de deux théâtres, trois studios et d'une superbe terrasse sur le Spree, a ouvert ses portes en 2006. Le succès a été fulgurant et instantané, et cela, malgré le fait qu'il s'agisse du seul lieu culturel non subventionné de Berlin. «On a deux coeurs dans notre corps, raconte Folkert Uhde, un des cofondateurs. Un pour la business, l'autre pour la création pure. La rumeur, c'est que les gens viennent ici sans savoir ce qui est l'affiche, mais convaincus que ça sera intéressant.» Et ça marche! Chaque année, le Radialsystem V vend 40 000 billets pour 180 spectacles explorant des avenues non conventionnelles en musique, chant, danse et performance. «C'est vraiment une belle époque pour les arts à Berlin, mais le poids de la dette fait peur», dit Folkert Uhde. En avril 2011, le Radial-system V était l'hôte d'une grande séance de remue-méninges qui avait pour credo: «Capitalisez vos cellules grises, carburez avec la crise.» La centaine d'intervenants du réseau international des arts de la scène en sont venus à une conclusion étonnante: c'est parce que Berlin est en crise que la ville est aussi dynamique et créative. Depuis, les artistes de Berlin sont à la recherche d'un planC pour maintenir ce fragile équilibre entre la création et la crise. Non seulement vont-ils finir par le trouver, mais ce planC devrait inspirer bien des métropoles culturelles, y compris Montréal. 5 IDÉES DE BERLIN > Exiger de l'audace et de l'innovation des créateurs. > Ne pas avoir peur de la controverse et des positions esthétiques radicales. > Accorder un visa spécial aux artistes étrangers qui veulent vivre et créer à Montréal. > Garder bas les loyers des studios et des ateliers d'artiste. > Encourager le mélange des disciplines artistiques. nb:Portland métropole internationale ??????Heuhhhhhhhhh http://www.cyberpresse.ca/arts/201203/23/01-4508765-berlin-pauvre-mais-sexy.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics_sujets-a-la-une_1664122_accueil_POS4
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