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  1. http://www.theglobeandmail.com/report-on-business/al-jazeera-coming-to-canadian-tv/article1200118/ I am in favour of them bringing this channel to Canada provided that the CRTC keeps a very close eye on it. However, if Videotron adds this channel, they will be receiving an angry phone call or letter. I am still waiting for Fox News to come to Illico, and it is in no way fair to offer Al Jazeera but not Fox News.
  2. ErickMontreal

    TVA Sports

    Une chaîne sportive pour TVA? (Corus Sports)- Selon La Presse Affaires, une demande a été déposée au CRTC par Quebecor afin de lancer une chaîne de télévision sportive. Le réseau a déposé sa demande le 1er mai dernier. La chaîne porte le nom provisoire de TVA Sports. TVA a aboli son bulletin de sports en mars 2002 par nécessité de compression budgétaire, mettant à pied quatre journalistes permanents et huit surnuméraires. Depuis, ce sont des journalistes de l'information générale qui assurent la couverture des événements majeurs, en plus de la présentation de bulletins de sports en direct, le matin, et pré-enregistrés, le midi. TVA avait alors affirmé vouloir concentrer sa production dans ses services des nouvelles et des affaires publiques. Cependant, la demande de licence de TVA Sports survient alors que Quebecor tente d'acquérir le Canadien de Montréal. Les droits de télédiffusion des matchs du Canadien appartiennent à RDS jusqu'à la fin de la saison 2012-2013. Le tarif pour présenter ceux-ci : 20 millions $ par saison. Le CRTC a aboli le monopole des chaînes sportives au pays en octobre dernier. Radio-Canada aurait un projet similaire à l'étude. Radio-Canada avait également aboli son bulletin de sports le 20 juin 2003, avant d'en ramener une version écourtée la saison dernière, qui sera prolongée dès l'automne.
  3. Le CRTC permet la diffusion d'Al Jazeera English La Presse Canadienne . les affaires.com . 26-11-2009 Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) a annoncé jeudi qu'il approuve la demande de licence pour une chaîne en anglais d'Al Jazeera. Par le passé, l'organisme de régulation a souvent hésité à accorder une licence à des chaînes étrangères susceptibles de concurrencer des réseaux canadiens. Cette fois-ci, le CRTC explique que sa décision s'inscrit dans une politique visant à promouvoir la diversité des points de vue éditoriaux. De plus, le CRTC n'a pas imposé à Al Jazeera English le genre de surveillance du contenu qui avait fait échouer la demande de licence de sa chaîne en langue arabe en 2004. La chaîne d'information internationale est déjà diffusée dans 100 pays, à la télévision ou sur Internet. Elle emploie quelque 1200 journalistes, dont certains sont canadiens. Son directeur, Tony Burman, a déjà été à la tête de CBC News et a contribué à récolter des appuis au Canada pour la demande de licence. Le CRTC a noté que la chaîne a reçu un grand nombre d'interventions en faveur de son ajout aux listes numériques, notamment de la part de l'Association des libertés civiles de la Colombie-Britannique, du leader du Nouveau Parti démocratique, Jack Layton, et du sénateur conservateur Hugh Segal. Quelques groupes, comme le Congrès juif canadien et B'nai Brith Canada, ne se sont pas opposés à la demande de licence, mais ont indiqué qu'ils demeureraient vigilants quant au contenu diffusé. Dans une décision dissidente, le conseiller Marc Patrone a cependant soutenu que le CRTC aurait dû tenir compte des antécédents des services arabes d'Al Jazeera, qui ont déjà été mis sur la sellette pour avoir présenté du contenu jugé offensant. Il a également exprimé des doutes quant à l'indépendance totale des deux chaînes _ en arabe et en anglais _ l'une par rapport à l'autre. "C'est aussi une occasion ratée d'envoyer un message international concernant les normes et les codes journalistiques que nous considérons assez importants pour les exiger de tous les nouveaux radiodiffuseurs qui souhaitent s'implanter dans ce pays", a écrit M. Patrone. "Ajouter de la diversité est nécessaire, mais pas à n'importe quel prix."
  4. Indicatif régional: 514, 438, 450 et maintenant 579 (Source: Radio-Canada) Un nouvel indicatif régional fera son apparition l'année prochaine dans la banlieue métropolitaine, le 579 L'épuisement des numéros de téléphone force le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) à imposer un nouvel indicatif dans la banlieue métropolitaine. À partir du 21 août 2010, le 579 sera attribué aux nouveaux abonnés de la région du 450
  5. Internet: dérapage à haute vitesse? Le Devoir Fabien Deglise Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : CRTC, Internet, Bell, Consommateur, Canada (Pays) Des fournisseurs d'Internet demandent au CRTC de rappeler Bell à l'ordre Le réseau Internet au pays ne va pas très vite. Et Bell Canada y serait un peu pour quelque chose, prétend l'Association canadienne des fournisseurs Internet (ACFI) qui demande au Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) d'intervenir. Comment? En interdisant au géant de la téléphonie «d'interférer» sciemment sur la vitesse de transmission des données, aux dépens des fournisseurs indépendants d'accès à Internet. Le regroupement de petits fournisseurs n'en démord pas. Le CRTC doit contraindre Bell Canada à mettre fin au ralentissement de son service Internet imposé sur l'ensemble de son réseau pendant les heures de pointe, soit entre 16h30 et 2h, tous les jours. Cette mesure, techniquement appelée «lissage du trafic», vise à dissuader l'échange de fichiers sonores et vidéo volumineux durant cette plage horaire, et ce, afin de prévenir l'engorgement des «tuyaux» servant à la transmission de données numériques. Le hic, c'est que les fournisseurs d'accès Internet (FAI) indépendants en font également les frais, à leur corps défendant, puisque leur offre de branchement passe en partie par les installations de Bell Canada et son service de ligne numérique à paires asymétriques de gros, comme on dit dans le milieu, loué par les FAI. Et ils demandent aujourd'hui à Ottawa de sévir. Un premier échec «La situation n'est pas nouvelle, clame Tom Copeland, président de l'Association, joint hier au téléphone par Le Devoir, mais depuis six mois, ça devient pire. On a l'impression que Bell veut réduire et éliminer les indépendants du paysage. Et on ne peut pas rester là, sans rien dire.» L'an dernier, l'ACFI s'est tournée vers le CRTC afin que cesse cette histoire de lissage. L'organisme fédéral a toutefois rejeté la plainte déposée par le regroupement contre Bell, estimant que les pratiques de ralentissement ne contrevenaient pas à la loi. C'était en novembre dernier. «Le CRTC a pris une très bonne décision», a indiqué hier Jacques Bouchard, porte-parole de Bell Canada qui justifie sa «gestion du trafic» pour «assurer un service optimal à la majorité des consommateurs.» Tom Copeland n'est pas du même avis et demande désormais au Conseil de revenir sur cette décision qui «a donné carte blanche à Bell pour interférer avec les services que nous fournissons à nos clients», dit-il. Une interférence qui dépasse d'ailleurs le lissage de trafic, selon lui. «Actuellement, Bell offre à ses clients la possibilité d'accéder à Internet à des vitesses plus élevées [soit cinq à huit fois plus vite que le service traditionnel], poursuit-il. Mais ces vitesses, nous ne pouvons pas les offrir à nos clients, puisque Bell ne veut pas les rendre disponibles dans son service d'accès Internet en gros.» Pour l'entreprise, la raison est purement technique, Bell ne pouvant pas partager ces liens un peu plus rapides avec d'autres, indique M. Bouchard. Un argument fallacieux, dénonce M. Copeland qui parle plutôt d'une tentative de réduire la concurrence au silence. L'homme attend d'ailleurs avec impatience la tenue d'audiences publiques sur la gestion du trafic Internet proposée par le CRTC. La rencontre doit avoir lieu le 6 juillet prochain à Gatineau. Le lissage tout comme le retard technologique du Canada en matière d'accès à une bande passante ultrarapide devraient y être mis au menu. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254101.html
  6. Come on!! je suis certain que les anti-banlieue vont s'amuser avec celle la Source: Les Affaires Le nombre de banlieusards augmente tellement rapidement autour de Montréal, que le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) prévoit une pénurie de numéros portant l'indicatif régional 450 d'ici environ quatre ans. Le conseil a donc créé cette semaine un comité pour étudier les différentes solutions possibles pour éviter un épuisement des numéros. On pourrait ainsi rediviser l'immense zone couverte par le 450 et donner à chaque région son code exclusif. Si ce scénario est retenu, la Rive-Nord et la Rive-Sud pourraient éventuellement avoir une identité téléphonique distincte. L'autre solution consisterait à "superposer" un nouvel indicatif régional au 450. Les abonnés du téléphone se verraient attribuer l'un ou l'autre indicatif, sans égard à leur adresse. Cela se fait déjà sur l'île de Montréal où les codes 514 et 438 cohabitent depuis 2006. Le comité entendra les personnes intéressées cet hiver. D'après le CRTC, l'épuisement prochain du code 450 est principalement attribuable à la croissance démographique rapide des zones qu'il couvre. Entré en vigueur en juin 1998, le 450 aura régné sans partage sur les régions limitrophes de Montréal, soit la Montérégie ainsi qu'une bonne partie des Laurentides et de Lanaudière, de la Haute-Yamaska, du Haut-Richelieu et de l'Estrie pendant moins de 15 ans.
  7. Le CRTC a reçu 28 plaintes au sujet du Bye Bye Fannie Olivier La Presse Canadienne Ottawa Le mécontentement à l'égard du Bye Bye 2008 s'est matérialisé en de nombreuses plaintes déposées au bureau du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC); signe qu'en humour, ce qui fait rire les uns peut faire grincer les dents des autres. Pas moins de 28 plaintes ont été enregistrées jusqu'à présent à l'égard de l'émission de fin d'année conçue par Véronique Cloutier et Louis Morissette, qui a reçu un accueil plus que mitigé. Ce chiffre est susceptible de gonfler puisque certaines de ces plaintes avaient été formulées aussi tardivement que mardi, laissant supposer que d'autres pourraient survenir prochainement. Le légendaire Bye Bye de Radio-Canada, dont la cuvée 2008 a été regardée par plus de 4 millions de téléspectateurs, a suscité un flot de commentaires, rarement élogieux, tant de la part des chroniqueurs que du public s'exprimant sur Internet. Certains ont trouvé des sketches, notamment la parodie d'une interview fictive de Denis Lévesque avec Barack Obama, carrément racistes. D'autres ont jugé particulièrement choquants les propos crus de l'humoriste Jean-François Mercier qui, par la voix de son personnage, n'a pas fait de cadeaux, particulièrement au Canada anglais. Au CRTC, cependant, on a indiqué que la teneur exacte des plaintes demeurait jusqu'à présent confidentielle. Il est donc pour l'instant impossible de savoir combien de ces plaintes visent un contenu jugé raciste, un langage trouvé vulgaire ou des attaques perçues comme personnelles. Une fois validées par le CRTC, les plaintes seront acheminées à Radio-Canada, qui disposera de 30 jours pour y répondre. L'organisme fédéral de réglementation peut également choisir de formuler un blâme, comme il l'avait fait en 2006 dans une décision à l'égard des propos tenus par le psychiatre Pierre Mailloux sur les Noirs, sur les ondes de la chaîne publique, à l'émission Tout le monde en parle. Le CRTC souligne qu'il n'y a pas de corrélation entre le nombre de plaintes et la décision qu'il peut être amené à prendre, spécifiant qu'une seule plainte peut conduire à une enquête. «Ce n'est pas le nombre de plaintes qui compte», a-t-on fait valoir. Lundi, Novem, l'entreprise qui a produit la dernière édition du Bye Bye, s'est défendue d'être allée trop loin dans ses gags. «Scénariser un Bye Bye implique de renoncer à faire l'unanimité, alors c'est sans surprises que certaines personnes aiment, d'autres moins», pouvait-on lire dans la missive co-signée notamment par Louis Morissette et l'auteur François Avard. Ils ont écrit qu'il serait néanmoins «malhonnête» de les accuser d'avoir fait preuve de racisme. «Chaque allusion raciale servait à mettre en relief l'ineptie des personnages impliqués dans le sketch», ont-ils poursuivi. Le CRTC n'est pas le seul à avoir enregistré des plaintes à l'égard du controversé Bye Bye. Radio-Canada a reçu directement 800 «commentaires majoritairement défavorables», soit environ 500 courriels et 300 coups de fil. «C'est sûr que l'on prend acte de tous ces commentaires», a indiqué au téléphone la directrice des relations avec la presse de la société d'État, Guylaine O'Farrell. Si elle admet que le nombre de plaintes à l'endroit du Bye Bye 2008 est élevé, elle fait valoir qu'il faut mettre ces chiffres en relief avec ses cotes d'écoute impressionnantes. «Le Bye Bye a toujours été une émission qui a soulevé les passions», a-t-elle conclu.
  8. TQS est loin d'être au bout de ses peines en ce qui concerne des demandes de réintégration d'employés et des indemnités de départ. Pour en lire plus...
  9. Même si le CRTC a refusé aux télévisions généralistes l'accès aux redevances du câble, Quebecor Media se réjouit de voir le Conseil privilégier une certaine déréglementation de la radiodiffusion. Sa filiale, le Groupe TVA, compte présenter de nouvelles licences de chaînes spécialisées dans les prochains mois. Pour en lire plus...
  10. Les compagnies de téléphone pourront augmenter leurs tarifs sans demander l'approbation du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes, le CRTC. Pour en lire plus...
  11. Les discussions sur la vente TQS ont visiblement été mouvementées derrière les portes closes. Michel Morin a cru bon d'inscrire sa dissidence dans un document de 13 pages. Pour en lire plus...
  12. Un groupe d'actionnaires formé de Michel Cadrin, Jacques Tanguay et Patrick Roy peut faire l'acquisition de la station de radio de Québec. Pour en lire plus...
  13. Sans surprise, Remstar a applaudi la décision du CRTC qui donne un feu vert à l'achat de TQS, tandis que les syndiqués l'ont décriée. Pour en lire plus...
  14. Le CRTC dira s'il autorise Remstar à acheter TQS et s'il renouvelle ses licences afin d'accommoder le plan qui doit permettre de relancer la station. Pour en lire plus...
  15. Si le conseiller du CRTC avait l'air aussi exaspéré jeudi, c'est que les frères Rémillard ont refusé de déposer leurs états financiers comme l'organisme fédéral l'avait demandé. Pour en lire plus...
  16. En réponse aux critiques formulées à l'égard du Fonds canadien de télévision par des câblodistributeurs privés, le CRTC estime que son financement devrait être divisé en deux volets, un public et un privé. Pour en lire plus...
  17. Pour le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes, il faudrait diviser le Fonds en deux volets: un privé, l'autre public. Pour en lire plus...
  18. Le CRTC exhorte Remstar à intégrer l'information locale dans son plan de relance du réseau de télévision et à montrer ses états financiers. Pour en lire plus...
  19. Le CRTC demande aux futurs acquéreurs de TQS de présenter un plan incluant des nouvelles régionales. Pour en lire plus...
  20. Leur engagement récent de diffuser des informations sans avoir de salle de rédaction n'a soulevé que du scepticisme lors des audiences à Québec. Pour en lire plus...
  21. Le conseiller du CRTC Michel Morin a révélé que la chaîne ne respectait pas les règles de contenu canadien, comme les autres télédiffuseurs. Pour en lire plus...
  22. Des opposants au projet des frères Rémillard qui veulent fermer la salle des nouvelles de Télévision Quatre-Saisons se feront entendre à Québec dans le cadre des consultations sur le renouvellement de la licence de TQS devant le CRTC. Pour en lire plus...
  23. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes entame des consultations sur le renouvellement de la licence de la chaîne privée, qui compte se départir de ses salles de nouvelles d'ici l'automne prochain. Pour en lire plus...
  24. I was reading by 2012 the corporate taxes in Canada will be down to 15% plus add the 9% for Quebec (currently), it be 24% for corporate taxes. I honestly can see more businesses moving from the US here. From what I am getting off a site right now, here in Quebec the Corporate tax is 32.02%. Which is slightly lower then most states. Bring on more businesses to Canada. OT: Now for the CRTC to auction of the mobile frequencies so we can have more wireless providers in Canada. Probably will happen by then because of WiMax should be the norm.
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